#le cimetière marin
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zahra-rose · 9 days ago
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memory-echo · 1 year ago
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Love Under a Leaky Parasol - Part 1
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The first meeting between Jiro and Nahoko is very curious due to the reference to Paul Valéry’s poem “Le Cimetière Marin”. After young Nahoko rescues Jiro’s hat, she says “Le vent se lève”, and he replies with “Il faut tenter de vivre”. Just what are the odds that two characters would ever quote this poem to one another as some kind of commentary on life?!
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It’s difficult to imagine a more striking first meeting. Jiro and Nahoko share an extraordinary, mystical understanding due to their knowledge of that poem. “Le Cimetière marin” is a meditation on life, mortality, and the impermanence of existence. The characters’ recitation of the poem suggests a shared sensitivity and a recognition of the beauty in the midst of life’s transience. 
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The characters are brought together by the wind: that whimsical and incomprehensible force. Jiro is taken aback by her recitation of the poem, and their secret understanding causes a huge stir in the heart of the young aeronautical enthusiast, and has a profound impact on his life. The line “The wind is rising! We must try to live!” is a call to action, a reminder to cherish the time we have, and to live life to the fullest. Jiro and Nahoko are both dreamers; Jiro yearns to design beautiful airplanes, and Nahoko wants to live a full and meaningful life. They’re both drawn to the beauty of the world around them, and they both have a deep appreciation for life.
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perduedansmatete · 8 months ago
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je pourrais fêter l’anniversaire de ma mamie pour une fois avec elle, voir le papy des crêpes une dernière fois avant qu’il parte cet été, faire des balades avec ma chienne d’amour en fin de vie (celle des grands-parents de mes amies de vacances, puis les voir eux aussi (en fin de vie aussi je le crains)) manger des pizzas sur le blockhaus, traverser la pinède à vélo sans que le gérant du camping me fasse chier, aller au marché acheter des olives, acheter des cartes postales pour les envoyer pas comme d’habitude et aller voir mon papy dans le silence et la paix du cimetière où la brise marine emmêle mes cheveux snif snif snif snif je suis conne
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sinvulkt · 4 months ago
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente. 
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit. 
Attaquer le geôlier le plus proche. 
Courir. 
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair. 
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier. 
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller. 
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier. 
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le goût salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait. 
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti. 
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.  
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage. 
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface. 
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau. 
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.  
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie. 
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
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therealnorverse · 7 months ago
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"Le vent se lève, il faut tenter de vivre."
(Le Cimetière marin)
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ludmilachaibemachado · 1 year ago
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Alain Delon avec Romy Schneider et son fils David pendant le tournage du film "La Piscine". Photo prise au Cimetière marin de Saint-Tropez où se tournera la scène des obsèques de Harry Lannier (Maurice Ronet) que Jean-Paul Leroy (Alain Delon) a noyé dans la piscine selon le scénario du film écrit par Jean-Claude Carrière, 1968🇫🇷
Via @alaindelontoujours on Instagram🇫🇷
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ladyniniane · 1 year ago
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Coucou ! :D Pour le jeu des questions de "j'ai / j'ai jamais écrit sur..." : un UA qui a pour environnement la mer et les grandes étendues maritimes ? (que ce soit avec des pirates, des marins, des sirènes...) En tout cas, je suis sûre que c'est super ! ^^ Merci beaucoup d'avance ! :D
Send me an ask about whether I’ve written a thing [ship, trope, dynamic, category of fandom, etc.] and if I’ve written it, I’ll link you. If I haven’t written it, I’ll tell you how I would write it if I did.
Saluuuut et merci beaucoup pour la super question !
La mer jouait un rôle important dans le premier projet de roman que j'ai mené à bout : Le dit de Koyuki.
C'est une histoire qui se déroulait dans le Japon médiéval, pendant la guerre de Genpei (1180-1185) qui est une période qui m'intéresse beaucoup et qui regorge d'éléments impressionnants et romanesques (par exemple la fameuse bataille navale qui a donné naissance à la légende des crabes dont je t'ai parlé).
J'avais inclus dans l'histoire des éléments surnaturels, notamment liés à la mer. J'avais en effet lu dans un article universitaire que la mer jouait un rôle important dans les croyances du Japon antique, à la fois en tant que frontière entre la terre connue et l'étranger, mais aussi entre le pays des vivants et celui des morts. L'article expliquait qu'elle était vue comme des sortes de limbes. La mer est aussi associée à des mythes de prêtresses/chamanes guerrières comme l'impératrice Jingû.
Mon héroïne était une sorte de médium et allait souvent au bord de la mer. Il y avait aussi plusieurs chapitres où, après avoir reçu un coup à la tête, son esprit dérivait dans des limbes sous-marins pour retrouver la sortie.
Voici un petit extrait :
Un cimetière de bateaux l'attendait à la sortie. La mer autour d'elle avait retrouvé sa teinte ordinaire, un peu de lumière filtrait d'ailleurs depuis la surface. Les poissons filaient ça et là. Il n'y avait autour d'elle que d'immenses embarcations démantelées, leur bois flotté livré à la pourriture, au centre desquelles trônait une immense ancre solitaire, un défi lancé à la nouvelle arrivante. Elle se souvint avoir entendu que le général Taira no Tomonori s'était jeté à la mer attaché à une ancre. Koyuki réalisa alors qu'elle n'était pas seule. Elle alla aussitôt se dissimuler derrière la coque d'un navire afin de pouvoir observer les nouveaux arrivants  et décider de la tactique à adopter. Des guerriers spectraux erraient ça et là, parfois en groupe, tantôt solitaires, à jamais prisonniers de la cage de leur armure, enchaînés à leurs armes. 
On retrouvait aussi dans cette histoire une allusion à une autre légende japonaise : celle d'une nonne immortelle car ayant mangé la chair d'une sirène. L'héroïne est en effet formée par une prêtresse qui est justement immortelle parce que sa mère lui a donné à manger cette chair à son insu.
J'écrivais ça quand j'avais 21/22 ans. Ce texte était publié sur Wattpad, je l'ai retiré aujourd'hui car j'ai plus tendance à en voir les défauts que les qualités. Je ne me reconnais plus dedans (j'avais inclus pas mal de scènes assez sanglantes qui à la réflection ne sont pas très utiles) mais à l'époque j'étais plus exaltée/exacerbée dirons nous. Et la construction n'était de plus pas folichonne.
Tout n'était pas à jeter dedans. Je l'ai relu il y a peu et pas mal de scènes sont, je trouve, très visuelles et immersives (notamment le fameux passage sous l'eau). De plus, j'aime aussi beaucoup le personnage de la mère de l'héroïne : une femme forte mais avec des fêlures, qui s'oppose au début à elle mais capable de se remettre en question, et le couple qu'elle forme avec sa soeur d'armes qui est une redoutable espionne.
Je ne désespère pas un jour de revenir à cette histoire mais ce sera cette fois clairement un roman de fantasy pour pouvoir faire ce que je veux.
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almanach-international · 21 days ago
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6 décembre :  la mémoire du siège de Dubrovnik
Cette journée est connue sous le nom de Journée des défenseurs de Dubrovnik (Dan branitelja Dubrovnika) et sa célébration est liée au long siège de Dubrovnik lors de l'éclatement de la Yougoslavie.
Le siège de Dubrovnik avait débuté le 1er octobre 1991 lorsque les unités de l'Armée populaire yougoslave lancèrent une attaque contre la ville. Le siège dura jusqu'au 31 mai 1992. Le conflit rappelle celui que vit l’Ukraine aujourd’hui. Belgrade n’avait pas accepté que la Croatie fasse sécession et a lancé contre elle, l’Armée yougoslave, une armée essentiellement composée de Serbes puisque Slovènes, Croates et Bosniaques l’avaient quitté. Ces forces commanditées par l’ultra nationaliste serbe Slobodan Milosevic ont bombardé les principales villes croates pour tenter d’empêcher l’éclatement de la Yougoslavie communiste, avec la même fureur que Poutine a tenté de prendre Kiev ou Karkiv en 2022, en souvenir de la défunte URSS.
Une centaine de civils sont morts pendant le siège de Dubrovnik, 70 % des bâtiments de la vieille ville (classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) furent endommagés. La journée du 6 décembre 1991 fut particulièrement meurtrière, c’est pour cela qu’elle fut choisie pour honorer la mémoire des anciens combattants et des victimes de l’agression de Belgrade.
Chaque année, du 3 au 7 décembre, la ville organise tout un programme de commémorations dont la partie centrale a lieu le 6 décembre. La journée commence à 8h au cimetière de Boninovo, avec un hommage aux anciens combattants tombés au combat, en particulier les pompiers, les policiers… À 11h15, c’est un récital d'enfants du primaire à l'amphithéâtre Srđ et, à 12h, un dépôt de fleurs avec allumage de bougies au pied de la croix de Srđ (la montagne qui domine la ville). À 13h, dans le port de la vieille ville, on rend hommage aux marins et vétérans tués en mer. À 15h30, les officiels se rendent au Mémorial des martyrs de Sustjepan, dans le cimetière de ce village côtier situé au nord de Dubrovnik. À 15h45, une messe est dite dans l’église de St. Nikola de Sustjepan. À 17h, retour à Dubrovnik pour le défilé de la fanfare de la ville sur le vieux port, le Stradun et devant l'église Saint-Pierre. À 18h, dans la cathédrale de Dubrovnik, c’est la traditionnelle messe solennelle à la mémoire de tous les anciens combattants tombés au combat. La soirée se termine par des concerts : à 20h, sur le Stradun, la célèbre rue centrale de la vieille ville, Đani Stipanićev & Klapa More & Klapa Ragusavecchia et, à 21h, Marko Perković, dit Thompson, le célèbre chanteur de la mouvance nationaliste croate. Le maire de Dubrovnik, Mato Franković (HDZ, droite) a toutefois interdit d’arborer les symboles du mouvement oustachi (fasciste) lors de cette journée du 6 décembre.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 5 décembre 2024
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actu-juridique · 26 days ago
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France, Conseil d'État, 5ème chambre, 26 novembre 2024, 465732
https://justifiable.fr/?p=1676 https://justifiable.fr/?p=1676 #5ème #chambre #Conseil #dÉtat #France #novembre Vu la procédure suivante : Le préfet de la Gironde a demandé au tribunal administratif de Bordeaux d’annuler la délibération du 29 août 2018 par laquelle le conseil municipal de Lanton (Gironde) a approuvé le plan local d’urbanisme de la commune. Par un jugement n° 1900316 du 27 décembre 2019, le tribunal administratif a sursis à statuer sur le déféré du préfet et accordé un délai de dix mois à la commune de Lanton pour régulariser son plan local d’urbanisme. Par un jugement n° 1900316 du 9 février 2021, le tribunal administratif, après avoir constaté que les vices affectant la délibération du 29 août 2018 avaient été régularisés par une délibération du 15 octobre 2020, a rejeté le déféré du préfet. Par un arrêt n° 21BX01520 du 12 mai 2022, la cour administrative d’appel de Bordeaux a, sur appel de la préfète de la Gironde, annulé les délibérations du conseil municipal de Lanton du 29 août 2018 et du 15 octobre 2020 en tant qu’elles ouvrent à l’urbanisation le secteur de Pichot, la zone A… dans le secteur UEgs ainsi que les zones UC (secteurs résidentiels pavillonnaires de lotissement) au sud-ouest du golf et au sud du cimetière, en tant qu’elles classent quatre boisements situés au sud de la commune en zones Nv (espaces verts aménagés de quartiers) et UC, en tant qu’elles classent en zone UC la partie ouest du lotissement du golf, le lotissement dit A… et la zone triangulaire située dans son prolongement, en tant qu’elles classent en zone UXa (secteur d’activité économique) le secteur d’activité de Cantelaude, en tant qu’elles classent en zone UEgs (secteur des activités de loisirs du golf et des équipements de sports) la partie du secteur les Landes de Mouchon située au nord-ouest du golf, en tant qu’elles autorisent aux articles 2.2 du règlement des zones N (naturelle) et A (agricole) la construction d’annexes aux habitations et en tant qu’elles ne font pas apparaître dans les documents graphiques du règlement les secteurs où le risque de submersion marine justifie que les constructions soient interdites ou soumises à des conditions spéciales et réformé dans cette mesure les jugements du tribunal administratif. Par un pourvoi sommaire et un mémoire complémentaire enregistrés les 12 juillet et 12 octobre 2022 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, la commune de Lanton demande au Conseil d’Etat : 1°) d’annuler cet arrêt en tous les chefs qui lui font grief ; 2°) de mettre à la charge de l’Etat la somme de 6 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Vu les autres pièces du dossier ; Vu : – le code de l’urbanisme ; – la loi n° 2014-366 du 24 mars 2014 ; – le code de justice administrative ; Après avoir entendu en séance publique : – le rapport de Mme Ségolène Cavaliere, maîtresse des requêtes en service extraordinaire, – les conclusions de M. Maxime Boutron, rapporteur public ; La parole ayant été donnée, après les conclusions, à la SCP Célice, Texidor, Perier, avocat de la commune de Lanton ; Considérant ce qui suit : 1. Le préfet de la Gironde a demandé au tribunal administratif de Bordeaux d’annuler la délibération du 29 août 2018 par laquelle le conseil municipal de la commune de Lanton a approuvé la révision du plan local d’urbanisme de la commune. Par un jugement du 9 février 2021, le tribunal administratif, après avoir sursis à statuer, en application de l’article L. 600-9 du code de l’urbanisme, a constaté que les vices affectant la délibération du 29 août 2018 avaient été régularisés par une délibération du 15 octobre 2020, et a rejeté le déféré du préfet. Sur appel du préfet, la cour administrative d’appel de Bordeaux a, par un arrêt du 12 mai 2022, annulé les délibérations du 29 août 2018 et du 15 octobre 2020 en tant, d’une part, qu’elles portent sur le classement du secteur de Pichot, du secteur UEgs de la zone A…, des zones UC au sud-ouest et à l’ouest du golf ainsi qu’au sud du cimetière, du secteur d’activité de Cantelaude et de trois boisements au sud de la commune, en tant, d’autre part, que le règlement des zones N et A autorise la construction d’annexes aux habitations et en tant, enfin, que les documents graphiques du règlement ne font pas apparaître les secteurs où le risque de submersion marine justifie que les constructions soient interdites ou soumises à des conditions spéciales, et a réformé les jugements du 27 décembre 2019 et du 9 février 2021 du tribunal administratif dans cette mesure. La commune de Lanton doit être regardée comme contestant cet arrêt uniquement en tant qu’il porte sur le classement du secteur de Pichot, du secteur UEgs de la zone A…, des zones UC au sud-ouest, à l’ouest du golf et au sud du cimetière et de trois boisements au sud de la commune ainsi que sur le règlement des zones N et A. Sur les conclusions de la commune en tant qu’elles portent sur le classement du secteur de Pichot, du secteur UEgs de la zone A…, des zones UC au sud-ouest et à l’ouest du golf et au sud du cimetière ainsi que de trois boisements au sud de la commune : En ce qui concerne la méconnaissance des dispositions de l’article L. 122-2 du code de l’urbanisme : 2. D’une part, à la date de la délibération de la commune prescrivant la mise en révision de son plan d’occupation des sols, soit le 12 janvier 2011, les dispositions de l’article L. 122-2 du code de l’urbanisme alors applicables prévoyaient que :  » Dans les communes qui sont situées à moins de quinze kilomètres de la périphérie d’une agglomération de plus de 50 000 habitants au sens du recensement général de la population, ou à moins de quinze kilomètres du rivage de la mer, et qui ne sont pas couvertes par un schéma de cohérence territoriale applicable, le plan local d’urbanisme ne peut être modifié ou révisé en vue d’ouvrir à l’urbanisation une zone à urbaniser délimitée après le 1er juillet 2002 ou une zone naturelle.(…) Il peut être dérogé aux dispositions des deux alinéas précédents (…) avec l’accord du préfet donné après avis de la commission départementale compétente en matière de nature, de paysages et de sites et de la chambre d’agriculture (…) « . Il résulte de ces dispositions que, jusqu’à l’adoption de la loi du 24 mars 2014 dont les conditions d’entrée en vigueur ont été définies par son article 129, qui dispose que :  » (…) Pour l’application des articles L. 122-2 et L. 122-2-1 du même code, les dispositions antérieures à la publication de la présente loi demeurent applicables aux procédures d’élaboration et de révision des plans locaux d’urbanisme et des cartes communales en cours à cette date (…) « , l’impossibilité d’ouvrir à l’urbanisation une zone à urbaniser délimitée après le 1er juillet 2002 ou une zone naturelle, sauf dérogation du préfet, ne s’appliquait qu’aux procédures de modification et de révision du plan local d’urbanisme, et non aux procédures d’élaboration du plan local d’urbanisme. 3. D’autre part, s’agissant de la transformation des plans d’occupation des sols en plans locaux d’urbanisme, l’article L. 123-19 du code de l’urbanisme, alors applicable, prévoyait que :  » (…) Dans les autres cas, les plans d’occupation des sols peuvent seulement faire l’objet d’une révision dans les conditions prévues par le sixième alinéa de l’article L. 123-13. Ils sont alors mis en forme de plan local d’urbanisme, conformément aux articles L. 123-1 et suivants  » et aux termes de l’article L. 174-3 du code de l’urbanisme, qui a remplacé depuis le 1er janvier 2016, le onzième alinéa de l’article L. 123-19 :  » Lorsqu’une procédure de révision du plan d’occupation des sols a été engagée avant le 31 décembre 2015, cette procédure peut être menée à terme en application des articles L. 123-1 et suivants, dans leur rédaction issue de la loi n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové, sous réserve d’être achevée au plus tard le 26 mars 2017 (…). Les dispositions du plan d’occupation des sols restent en vigueur jusqu’à l’approbation du plan local d’urbanisme et au plus tard jusqu’à cette dernière date « . 4. Il résulte de l’ensemble de ces dispositions que si la révision d’un plan d’occupation des sols à l’occasion de laquelle le document d’urbanisme existant est mis en forme d’un plan local d’urbanisme doit être regardée comme une évolution d’un document d’urbanisme, il en va nécessairement autrement lorsque, par l’effet de l’article L. 174-3 du code de l’urbanisme, le plan d’occupation des sols cesse d’être applicable sur le territoire concerné, le processus ne pouvant alors être que celui d’une élaboration d’un plan local d’urbanisme. 5. Par suite, en jugeant que, par les délibérations attaquées, la commune de Lanton ne pouvait ouvrir à l’urbanisation le secteur de Pichot classé en zone 1AU, le secteur A… classé en zone UEgs et des zones UC situées au sud-ouest du golf et au sud du cimetière de la commune, sans avoir obtenu préalablement la dérogation préfectorale prévue à l’article L. 122-2 du code de l’urbanisme, alors qu’à la date à laquelle le plan local d’urbanisme a été adopté, la procédure suivie ne pouvait être regardée comme constituant une révision ou une modification du plan d’occupation des sols qui n’était plus en vigueur, la cour a entaché son arrêt d’une erreur de droit. En ce qui concerne l’autre motif d’annulation du classement, d’une part, d’une partie du secteur UEgs de la zone A…, et, d’autre part, des zones UC à l’ouest et au sud-ouest du golf dites partie ouest du lotissement du golf, lotissement A… et zone triangulaire située dans son prolongement : 6. Il ressort des énonciations de l’arrêt attaqué que la cour, a également prononcé l’annulation, d’une part, du classement de la partie située au nord du terrain de golf du secteur A… classé en zone UEgs, et, d’autre part, des zones UC à l’ouest et au sud-ouest du golf dites partie ouest du lotissement du golf, lotissement A… et zone triangulaire située dans son prolongement, au motif qu’elles constituent des extensions de l’urbanisation au sens de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme qui ne peuvent être regardées comme s’inscrivant en continuité avec une agglomération ou un village existant. 7. Aux termes de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme dans sa version applicable au litige :  » L’extension de l’urbanisation se réalise soit en continuité avec les agglomérations et villages existants, soit en hameaux nouveaux intégrés à l’environnement « . Il en résulte que les constructions peuvent être autorisées dans les communes littorales en continuité avec les agglomérations et villages existants, c’est-à-dire avec les zones déjà urbanisées caractérisées par un nombre et une densité significatifs de constructions, mais que, en revanche, aucune construction ne peut être autorisée, même en continuité avec d’autres, dans les zones d’urbanisation diffuse éloignées de ces agglomérations et villages. Il résulte, par ailleurs, des dispositions des articles L. 131-4 et L. 131-7 du code de l’urbanisme, qu’il appartient aux auteurs d’un plan local d’urbanisme de s’assurer, sous le contrôle du juge de l’excès de pouvoir, de sa compatibilité avec ces dispositions de l’article L. 121-8. S’agissant de la partie située au nord du terrain de golf du secteur A… classé en zone UEgs : 8. En premier lieu, la cour n’a pu, en prononçant l’annulation du classement de la partie située au nord du terrain de golf du secteur A… classé en zone UEgs également pour méconnaissance de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme, statuer ultra petita, l’appel formé par la préfète de la Gironde tendant, en tout état de cause, à l’annulation de l’ensemble des dispositions du plan local d’urbanisme adopté par la commune. 9. En second lieu, en estimant que ce secteur qu’elle n’a pas regardé comme étant directement en continuité avec le quartier des Bruyères dont elle a admis, par ailleurs qu’il est densément peuplé, ne se situait pas, dans son ensemble, en continuité avec l’agglomération parce qu’au sud-est, seul point de rattachement avec une urbanisation existante, ne sont construites que quelques maisons éloignées les unes des autres et que la route de Bordeaux fait séparation, la cour n’a ni commis une erreur de droit ni dénaturé les pièces du dossier. Contrairement à ce que soutient la commune requérante, elle a, en outre, expressément indiqué que le règlement du secteur n’autorise que des constructions à destination de bureaux, de commerces ou d’entrepôts directement liées aux installations sportives de la zone et non des logements, circonstance qui est, en tout état de cause, sans incidence, sur l’appréciation de la règle de la constructibilité limitée résultant de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme. S’agissant des zones UC à l’ouest et au sud-ouest du golf dites partie ouest du lotissement du golf, lotissement A… et zone triangulaire située dans son prolongement : 10. En premier lieu, contrairement à ce que soutient la commune requérante, il ne ressort pas des énonciations de l’arrêt attaqué, notamment des éléments sur lesquels la cour s’est fondée pour apprécier si l’extension de l’urbanisation opérée par le classement par le plan local d’urbanisme de la partie ouest du lotissement du golf, du lotissement A… et de la zone triangulaire située dans son prolongement s’inscrit en continuité avec une agglomération ou un village existant au sens de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme, que la cour aurait opéré un contrôle de conformité du plan local d’urbanisme aux dispositions de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme excédant le contrôle de compatibilité qui s’impose pour l’application des principes mentionnés au point 7. 11. En deuxième lieu, doivent être regardées comme une extension de l’urbanisation au sens de ces dispositions l’ouverture à la construction de zones non urbanisées ainsi que la densification significative de zones déjà urbanisées. Par suite, bien que les secteurs en cause comportent déjà des constructions bâties, la cour a pu, sans dénaturer les pièces du dossier et par un arrêt suffisamment motivé sur ce point, retenir que le classement de ces secteurs en zone UC de secteurs résidentiels pavillonnaires et de lotissements, dans laquelle toutes les constructions sont autorisées à l’exception des constructions à destination d’activité industrielle et à destination d’exploitation agricole ou forestière, constitue une extension de l’urbanisation au sens de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme, et, par conséquent, rechercher sans commettre d’erreur de droit s’ils s’inscrivent en continuité avec une agglomération ou un village existant. 12. Enfin, c’est par une appréciation souveraine exempte de dénaturation que la cour a estimé que la partie ouest du lotissement du golf, le lotissement A… et la zone triangulaire située dans son prolongement, ne peuvent être regardés comme s’inscrivant en continuité avec une agglomération ou un village, la première étant notamment séparée de la partie est du lotissement par une zone naturelle, les deux autres étant séparées des zones urbanisées les plus proches de plus de 100 mètres au nord par un espace naturel et de 400 mètres au sud par un parcours de golf, et sont entourés à l’ouest et au sud de forêts et de prairies. En ce qui concerne l’autre motif d’annulation du classement en zone UC du secteur boisé au sud du cimetière ainsi que du classement en zone Nv de trois autres boisements situés au sud de la commune : 13. Il ressort des énonciations de l’arrêt attaqué que la cour, a également prononcé l’annulation du classement en zone UC du secteur boisé au sud du cimetière au motif qu’il méconnaît les dispositions de l’article L. 121-23 du code de l’urbanisme. Pour ce seul motif, elle a prononcé l’annulation du classement en zone Nv de trois autres boisements situés au sud de la commune. 14. Aux termes de l’article L. 121-23 du code de l’urbanisme :  » Les documents et décisions relatifs à la vocation des zones ou à l’occupation et à l’utilisation des sols préservent les espaces terrestres et marins, sites et paysages remarquables ou caractéristiques du patrimoine naturel et culturel du littoral, et les milieux nécessaires au maintien des équilibres biologiques (…) « . Aux termes de l’article R. 121-4 du même code :  » En application de l’article L. 121-23, sont préservés, dès lors qu’ils constituent un site ou un paysage remarquable ou caractéristique du patrimoine naturel et culturel du littoral et sont nécessaires au maintien des équilibres biologiques ou présentent un intérêt écologique : (…) / 2° Les forêts et zones boisées proches du rivage de la mer et des plans d’eau intérieurs d’une superficie supérieure à 1 000 hectares (…) ; / 7° Les parties naturelles des sites inscrits ou classés en application des articles L. 341-1 et L. 341-2 du code de l’environnement (…) « . 15. S’il résulte des dispositions mentionnées ci-dessus que les parties naturelles des sites inscrits ou classés en application des articles L. 341-1 et L. 341-2 du code de l’urbanisme sont présumées constituer des sites ou paysages remarquables, il en va différemment pour les forêts et zones boisées proches du rivage de la mer et de plans d’eau intérieurs d’une superficie supérieure à 1 000 hectares. Dans une telle hypothèse, il appartient au juge de rechercher si la zone considérée présente le caractère de site ou de paysage remarquable, par ses caractéristiques propres ou parce qu’elle constitue une unité paysagère avec un autre espace présentant un tel caractère. Par suite, en jugeant, pour annuler le classement en zone UC du secteur boisé au sud du cimetière et en zone Nv de quatre autres secteurs boisés situés au sud de la commune, que leur caractère de site ou paysage remarquable était présumé et que la commune requérante n’apportait pas les éléments de nature à renverser cette présomption, la cour a commis une erreur de droit. En ce qui concerne la non application des dispositions de l’article L. 600-9 du code de l’urbanisme : 16. Aux termes de l’article L. 600-9 du code de l’urbanisme :  » Si le juge administratif, saisi de conclusions dirigées contre (…) un plan local d’urbanisme (…), estime, après avoir constaté que les autres moyens ne sont pas fondés, qu’une illégalité entachant l’élaboration ou la révision de cet acte est susceptible d’être régularisée, il peut, après avoir invité les parties à présenter leurs observations, surseoir à statuer jusqu’à l’expiration du délai qu’il fixe pour cette régularisation et pendant lequel le document d’urbanisme reste applicable, sous les réserves suivantes : / 1° En cas d’illégalité autre qu’un vice de forme ou de procédure, pour (…) les plans locaux d’urbanisme, le sursis à statuer ne peut être prononcé que si l’illégalité est susceptible d’être régularisée par une procédure de modification prévue à la section 6 du chapitre III du titre IV du livre Ier et à la section 6 du chapitre III du titre V du livre Ier ; (…) « . 17. En premier lieu, il ressort des pièces du dossier qui lui était soumis que la cour n’a été pas été saisie par la commune de Lanton de conclusions tendant à ce qu’elle mette en œuvre le pouvoir que lui confèrent ces dispositions. La commune n’est donc pas fondée à soutenir que son arrêt est entaché d’une d’irrégularité faute d’être motivé sur ce point. 18. En second lieu, si l’exercice de cette faculté par le juge n’est pas nécessairement subordonné à la présentation de conclusions en ce sens, la cour s’est livrée, en s’abstenant de faire une seconde fois usage, après le juge de première instance, des dispositions de l’article L. 600-9 du code de l’urbanisme à une appréciation qui échappe, en tout état de cause, au contrôle du juge de cassation. Sur les conclusions de la commune en tant qu’elles portent sur la réglementation de constructions annexes en zone N et A : 19. Aux termes de l’article L. 151-12 du code de l’urbanisme :  » Dans les zones agricoles, naturelles ou forestières et en dehors des secteurs mentionnés à l’article L. 151-13, les bâtiments d’habitation existants peuvent faire l’objet d’extensions ou d’annexes, dès lors que ces extensions ou annexes ne compromettent pas l’activité agricole ou la qualité paysagère du site. Le règlement précise la zone d’implantation et les conditions de hauteur, d’emprise et de densité de ces extensions ou annexes permettant d’assurer leur insertion dans l’environnement et leur compatibilité avec le maintien du caractère naturel, agricole ou forestier de la zone « . 20. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond que l’article 2.2 du règlement de la zone naturelle N et l’article 2.4 du règlement de la zone agricole A du plan local d’urbanisme litigieux autorisent, dans ces zones, les extensions de bâtiments d’habitation et la construction d’annexes liées à ces constructions, sans qu’elles puissent toutefois excéder 20 % de la surface de plancher existante ni porter la surface de plancher totale à plus de 250 m2. En estimant qu’au regard des caractéristiques des constructions ainsi autorisées et de la possibilité de construire plusieurs annexes, ces dispositions permettent une extension de l’urbanisation incompatible avec les dispositions de l’article L. 121-8 du code de l’urbanisme, alors que de telles limitations ne méconnaissent pas les dispositions précitées de l’article L. 151-12 du code de l’urbanisme que les extensions ou annexes devront, en tout état de cause, respecter, la cour a commis une erreur de droit. 21. Il résulte de tout ce qui précède que la commune de Lanton n’est fondée à demander l’annulation de l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux qu’en tant qu’il annule le classement en zone UEgs A… hormis la partie située au nord du terrain de golf, le classement en zone 1AU du secteur de Pichot, le classement en zone UC d’un espace boisé au sud du cimetière ainsi que le classement en zone Nv de trois autres espaces boisés au sud de la commune ainsi que règlement de la zone N et de la zone A concernant la construction d’annexes aux habitations. 22. Il n’y a pas lieu, dans les circonstances de l’espèce, de mettre à la charge de l’Etat la somme que la commune de Lanton demande au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. D E C I D E : ————– Article 1er : L’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux du 12 mai 2022 est annulé en tant qu’il annule les délibérations du 29 août 2018 et du 15 octobre 2020 du conseil municipal de Lanton portant sur le classement en zone UEgs A… hormis la partie située au nord du terrain de golf, le classement en zone 1AU du secteur de Pichot, le classement en zone UC d’un espace boisé au sud du cimetière, le classement en zone Nv de trois autres espaces boisés au sud de la commune ainsi que le règlement de la zone N et de la zone A concernant la construction d’annexes aux habitations. Article 2 : L’affaire est renvoyée à la cour administrative d’appel de Bordeaux dans cette mesure. Article 3 : Le surplus des conclusions du pourvoi de la commune de Lanton est rejeté. Article 4 : La présente décision sera notifiée à la commune de Lanton et à la ministre du logement et de la rénovation urbaine. Délibéré à l’issue de la séance du 7 novembre 2024 où siégeaient : Mme Laurence Helmlinger, assesseure, présidant ; M. Alain Seban, conseiller d’Etat et Mme Ségolène Cavaliere, maîtresse des requêtes en service extraordinaire-rapporteure. Rendu le 26 novembre 2024. La présidente : Signé : Mme Laurence Helmlinger La rapporteure : Signé : Mme Ségolène Cavaliere La secrétaire : Signé : Mme Nathalie Pilet Source link JUSTIFIABLE : Indexation des Jurisprudences depuis le 1er novembre 2024 JUSTIFIABLE enrichit son offre en indexant désormais les différentes jurisprudences publiées depuis le 1er novembre 2024. Cette nouvelle fonctionnalité couvre les décisions rendues par les juridictions françaises, offrant un accès rapide et structuré à une base de données constamment mise à jour. Ce service vise à faciliter la recherche juridique et à garantir aux professionnels du droit, étudiants, et particuliers un accès clair et précis à l’évolution des décisions judiciaires en France. 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1pour1 · 2 months ago
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Portrait Chinois
1. Si tu étais un animal tu serais: Un loup
2. Si tu étais une plante (fleur, arbre): Un coquelicot
3. Si tu étais un élément: La terre
4. Si tu étais une pierre précieuse: Une aigue marine
5. Si tu étais une saison: Le printemps
6. Si tu étais un moment de la journée: 13h53
7. Si tu étais un des cinq sens: L'ouïe
8. Si tu étais un pays: Le Maroc
9. Si tu étais une ville: Taroudant
10. Si tu étais une planète: Mars
11. Si tu étais un paysage: Paysage de Cyprès près dun cimetière
12. Si tu étais une pièce de la maison: Le couloir
13. Si tu étais un objet du quotidien: Un iPhone
14. Si tu étais un véhicule: Un VTT
15. Si tu étais un vêtement: Des chaussettes
16. Si tu étais un livre: Le jardin du prophète de Khalil Gibran
17. Si tu étais un personnage de fiction: Batman
18. Si tu étais un mot: Frontières
19. Si tu étais un film: Un tramway nommé Désir
20. Si tu étais une célébrité: Karl Lagarfeld
21. Si tu étais un dessin animé: Ghost in the Shell
22. Si tu étais un super pouvoir: Celui de prendre mon temps
23. Si tu étais une créature légendaire / imaginaire: Un dragon
24. Si tu étais un jeu vidéo: Zelda
25. Si tu étais une chanson: La Marseillaise
26. Si tu étais un style de musique: Le silence
27. Si tu étais un instrument de musique: Une cithare
28. Si tu étais une photo: En cours
29. Si tu étais un art: Street Art
30. Si tu étais un événement historique: La naissance de Jésus
31. Si tu étais un plat: Une quiche au saumon
32. Si tu étais un dessert: Une crème brulée
33. Si tu étais une friandise: Du reglisse
34. Si tu étais un fruit: Une figue
35. Si tu étais une boisson: Vita Malt
36. Si tu étais une odeur: Florida Water
37. Si tu étais un loisir créatif: La photographie
38. Si tu étais un sport: La Natation
39. Si tu étais une fête: Pâques
40. Si tu étais la lettre idéale: le R
41. Si tu étais de la papeterie ou un accessoire de papeterie: Un stylo
42. Si tu étais un chiffre ou un nombre: Le 10
43. Si tu étais un bruit: Le décollage du Concorde
44. Si tu étais une devise: Al hamdoulillah
45. Si tu étais un hashtag: En cours...
46. Si tu étais une mauvaise habitude: Sortir de chez moi
47. Si tu étais une qualité: Bien dormir
48. Si tu étais un gros mot: Pollution
49. Si tu étais une émotion: La pudeur
50. Si tu étais un plaisir: La privation
Si j'étais une note de musique: Si
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zahra-rose · 9 days ago
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ondessiderales · 3 months ago
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Le vent se lève
« Le vent se lève (風立ちぬ, Kaze tachinu) est un film d’animation japonais réalisé par Hayao Miyazaki et sorti au Japon le 20 juillet 2013.
Le film est une biographie d'un ingénieur en aéronautique, librement inspirée de la vie de Jirō Horikoshi, le concepteur des chasseurs bombardiers japonais Mitsubishi A6M, appelés « Chasseurs Zéro ». L'univers mis en scène est moins onirique et plus réaliste que dans la plupart des productions précédentes de Miyazaki. Lors de la présentation du film à la Mostra de Venise 2013 où il est en compétition, Koji Hoshino, le président du studio Ghibli, annonce que Le vent se lève sera le dernier film d'Hayao Miyazaki qui prend sa retraite du cinéma, même si le cinéaste revint sur sa décision en 2016. »
« Une nuit, un jeune garçon, Jirō Horikoshi, rêve qu'il pilote un prototype d'avion aux ailes d'oiseau ; son rêve se termine en cauchemar lorsqu'il est attaqué par un énorme bombardier. Jirō s'éveille et entame une journée ordinaire dans le Japon de 1918, où il grandit en compagnie de sa famille. Jirō est un jeune garçon travailleur, épris de justice et surtout passionné d'aéronautique. Il collectionne avidement les revues d'aéronautique étrangères qu'il lit en anglais, langue qu'il est en train d'apprendre. Le soir venu, il s'allonge sur le toit de sa maison pour contempler les étoiles et regarder au loin, espérant ainsi soigner ses problèmes de vue qui risquent de l'empêcher de devenir pilote. Il rêve de Caproni, ingénieur italien ayant conçu de somptueux modèles d'avions, dont un hydravion à neuf ailes. Jirō est rejoint par sa jeune sœur Kayo, qui montre des étoiles filantes à son frère, que ce dernier ne distingue pas à cause de sa mauvaise vue.
Devenu un jeune homme, Jirō étudie l’ingénierie aéronautique à l'université impériale de Tokyo. Dans un train, alors qu'il prend l'air sur la plate-forme arrière d'une voiture, son chapeau s'envole et est rattrapé par une belle jeune fille. Lorsqu'elle lui restitue l'objet, elle prononce en français un vers d'un poème du Français Paul Valéry, Le Cimetière marin, récemment paru : « Le vent se lève... » Jirō complète aussitôt : « ...il faut tenter de vivre ! » »
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Qui a vu le vent ? Ni toi, ni moi, ni personne. Mais lorsque les feuilles frémissent, c'est que le vent est là. Ô Vent, fais frémir ces ailes, et emmène moi être auprès d'elle...
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leilagarfield · 3 months ago
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/ Sète / octobre 24 / dans le désordre : une visite au Miam : musée international des arts modestes, le bleu de la Méditerranée, le cimetière marin, les bateaux dans le port, les céramiques de la boulangerie du bout de la rue, le marché du matin au soleil, l’accent du sud, le vent qui décoiffe et l’envie de rester plus longtemps… /
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albert-prous · 6 months ago
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ACT209
pieds dans l'eau vacances d'été
barbotant tous à tous les étages caves
simple bassine au bleu de méthylène
touché coulé seau mercurochrome
tasse au lever du jour nitrate d'argent
nez dans les embruns vague épuration
ça sent fort date limite iode impur
aérosol bon marché écoutilles closes
crème solaire extra huile à frire
cous nus poster au plafond couleur tendre
culs à volonté photos en main
baladeuses voluptés sous les 100 watts
tangue ta langue tempête dans un verre d'eau
vue trouble sur le poisson rouge du bocal
dessalement sous la douche shampoing gras
serviette de plage basse ceinture
vingt heures météo marine prévisions
alerte sécheresse plus d'eau dans la bassine
impuissance niveau au plus bas coule de source
à gué à gué oyé Pharaon t'es foutu
trop de vapeurs requins coquins
passages pour piétons d'une rive l'autre
bleu des eaux main droite ou main gauche
bleu du ciel pareil gauche ou droite 1
ah les marées voir les horaires
je veux pas vous voir aller seul au cimetière
premières tombes sont les lépreux illisibles
vu d'un tapis volant ou sur des échasses
les fosses sont percées ça fuit de partout
les clochers les revoilà les pas japonais
son front de rides seins avec balises
au fond les dieux tous parmi les épaves
canyons sous marin malles frou frou or
l'histoire vraie des trois petits palétuviers
sur les planches secrets de polichinelle
le port haut front à rides cœur à trous
sous le plancher crâne lisse à boire santé
étendue de matières sèches salées
comment s'habillaient les marins en ville
quelle veste était portée à l'origine par les marins
où était fabriqué les cirés et paletots
comment s’appelait une veste de marin
dessaler depuis sémaphores
savaient-ils qu'il n'y aurait plus une goutte
hep hep poète crois mare où là à tes pieds
grenouilles si grosses couleuvres avalant
toujours plus distinctement le sable
bel été au balcon frappe cormoran ami
prous
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21 mai
Visite du Nord de la Grande-Terre aujourd'hui. De retour au niveau du Grand-cul-de-sac marin mais la portion est jusqu'à la pointe de la Grande Vigie, le point le plus à l'est de la Guadeloupe. Paysages complètement différents. La végétation également. Beaucoup moins luxuriante. Les arbustes sont petits, le sol est plus sec et dans les sentiers, on marche sur des rochers "troués" et plutôt acérés.
-Arrêt au cimetière de Morne-à-l'eau (ce n'est qu'une toute petite partie ; il est très grand et les mausolées comme des petites maisonnettes, organisées en rues comme dans un village)
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-Vieux-Bourg, vue sur l'une des mangroves du Grand-cul-de-sac
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-Petit-Canal (escaliers des esclaves près du monument qui souligne l'abolition de l'esclavage en 1848), art de rue et petite case typique
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-Plage du Souffleur à Port-Louis (pleins de beaux poissons observables en snorkling tout près du bord de la plage)
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-Anse-Bertrand (vue du resto où nous avons dîné)
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-Porte d'enfer et Pointe de la Grande Vigie
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Il annonce de la pluie demain; nous en avons eu un peu aujourd'hui aussi. On verra bien. La chaleur est toujours là alors les nuages sont souvent bienvenus !
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yespat49 · 8 months ago
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“Raciste”, “sioniste”, “juif”, “Allah” : des tags découverts une nouvelle fois dans un cimetière de Dordogne
Des dizaines de tombes ont été recouvertes d’inscriptions à la bombe de peinture noire : “Allah”, “lâches”, “Je vous hais”, ainsi que des tags faisant référence à des personnalités politiques ou des faits-divers. Des tags annoncent des dates de mort de Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ou Jordan Bardella, ou encore de Pascal Praud, d’autres font référence à Mila ou “vengeance pour…
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