#le bande des quatre
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Les Quatre de Baker Street - T07 - L'Affaire Moran
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Cococuacuakiki
Le super sens du timing d'Averell...
#mine de rien Jack leur a probablement sauvé la vie à tous les quatre ici#Espuelas est assez prompt à leur faire passer l'envie de cococuacuakiker quand il est énervé#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : tortillas pour les dalton#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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La Mode illustrée, no. 49, 9 décembre 1883, Paris. Toilettes de Mme Coussinet, rue Richer, 43. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en moscovite gris acier, velours ciselé et soie brochée de même couleur. La jupe courte en moscovite uni, disposée en gros plis tuyaux, est garnie de quatre plis. Une écharpe en soie brochée est drapée sur le devant de la jupe et reparaît pour former le pouf par derrière. Très grand gilet Louis XV, en velours ciselé, avec jaquette Louis XV, faite en muscovite unie. Cette jaquette est largement ouverte sur le gilet. Sur le bord inférieur de celui-ci se trouve une fente dans laquelle passe l'écharpe, pour former des paniers sur les hanches et pouf derrière.
Dress in steel gray Muscovite, chiseled velvet and brocaded silk of the same color. The short skirt in plain Muscovite, arranged in large pipe pleats, is trimmed with four pleats. A brocaded silk scarf is draped over the front of the skirt and reappears to form the pouf at the back. Very large Louis XV waistcoat, in chiseled velvet, with Louis XV jacket, made of plain Muscovite. This jacket is widely open on the waistcoat. On the lower edge of the latter is a slit through which the scarf passes, to form baskets on the hips and pouf behind.
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Toilette de jeune femme. En satin merveilleux bleu pâle uni. Jupe ronde, garnie devant en tablier de quatre larges bandes de velours grenat. Tunique à paniers sous laquelle tombe de chaque côté un panneau plat entouré d'une broderie représentant des roses nuancées depuis le rose pâle jusqu'au grenat. Le corsage, fait en forme de guimpe, boutonné derrière, montant, est froncé à l'encolure. Collier de velours grenat, noué sur le côté, relevant une ruche de dentelle blanche. A l'extrémité des manches, bracelets de même velours, avec nœud pareil.
Young woman's ensemble. In plain pale blue marvelous satin. Round skirt, trimmed in front in an apron with four wide bands of garnet velvet. Tunic with paniers under which falls on each side a flat panel surrounded by embroidery representing roses shaded from pale pink to garnet. The bodice, made in the shape of a wimple, buttoned behind, rising, is gathered at the neckline. Garnet velvet necklace, tied on the side, raising a ruffle of white lace. At the end of the sleeves, bracelets of the same velvet, with a similar bow.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1883#on this day#December 9#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#dress#bustle#flowers#Modèles de chez#Madame Coussinet
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Quatre travailleurs humanitaires internationaux de World Central Kitchen du Royaume-Uni, d'Australie et de Pologne ont été tués dans une frappe "israélienne" contre leur voiture à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.
Des personnes pacifiques, nobles et courageuses tuées par les criminels sionistes
#israeli war crimes#israeli war criminals#israel war criminal#israel war crimes#israeli terrorism#israel terrorist#gaza strip#free gaza#gaza under attack#gaza genocide#gazaunderattack#gaza under genocide#gazaunderfire#genocide in gaza#save gaza#stand with gaza#gaza#gaza fights for freedom#gaza free#free free palestine#free palestine#palestine#i stand with palestine#palestinian lives matter#genocide in palestine#palestine genocide#palestine will be free#palestine will never die#israël#stand with palestine
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Another of my favourite songs by the indie pop band Ginestà.
Lyrics in Catalan and translation to English:
Marxo, però el meu cos el deixo aquí Amb el cap sobre el coixí També deixo quatre plantes No vengueu els meus vinils
I'm leaving, but I leave my body here with my head on the pillow I also leave a few plants Don't sell my vinil records
No patiu, va ser dormint Vaig triar una bona caixa D'entre totes la de pi, envernissada
Don't worry, it happened when I was sleeping I had chosen a good box out of all the pinewood ones, varnished.
Tornada: Sonen campanes per tota la plaça Gent apartant-se deixant-me passar Sobre l'espatlla dels meus estimats Hi ha el silenci de la resta mortals No ploreu deixant-me anar
Chorus: Bells rings throughout the square People stepping aside to let me pass through On the shoulders of the people I love There's the silence of the rest of mortals Don't cry when you let me go
Marxo, però us observo des d'aquí Amb els núvols de coixí Soc de molt poques paraules No apareixeré de nit Cadascú té el seu destí Ara em toquen les vacances Fer un cafè amb la Lady Di I amb la iaia
I'm leaving, but I watch you from here With the clouds as a pillow I'm not talkative at all, I won't appear at night Each person has its own destiny Now it's time for my holidays To take a coffee with Lady Di And with grandma.
Repeat chorus
#ginestà#música#arts#death tw#català#catalan#indie pop#song recs#music recs#music recommendation#song of the day#indie#indie music#pop music#Spotify
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Dr. John Neff ❤️👍😇 : Dans les années 60, il y avait déjà des polémiques sur l'efficacité des vaccins. Cependant depuis 2021, les dommages causés par les vaccins anti Covid19 sont bien supérieurs à ceux du vaccin contre la variole et à ce jour, toujours aucune réaction de la part des autorités sanitaires françaises ou internationales 🙉🙊🙈🐌☠️😢😕
« Comment tout peut s'effondrer. » Quatre ans après la recherche pour ces ouvrages - si non enchanteurs, prophétiques - notre toit coule, nos politiques, whorenalisses et autres pousheurs de "soin$ public$" s'apprêtent à nous remettre une enième couche de groundup, une autre ronde de génocide sioniste et une autre bande de couaccinophiles par en arrière pis dans face et ce, dans un cloaque de corruption inflationniste.
#pablo servigne#comment tout peut s'effondrer#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid de sens#covid au cerveau#mon ministre est sinistre
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"On ne me fera pas non plus le coup de la France périphérique encore une fois, l’arnaque du petit peuple français sain et inviolé, garant officieux d’une illusoire « décence commune ». Je connais la France périphérique ; je croise un peu les gens moi aussi, je les écoute sans rien dire, je lis les commentaires çà et là sur les réseaux, comme ça un peu au hasard, par-ci par-là. Je lis les conneries qu’ils racontent les gens, l’immense conspiration de tous ces inconnus contre l’intelligence, toutes ces conneries mirifiques qu’aucun algorithme ne pourra jamais concurrencer. L’intelligence artificielle, au rythme où vont les choses, peut dormir bien tranquille ; la connerie, même post-humaine, a de beaux jours devant elle et l’homme ne sera jamais un robot comme les autres.La France périphérique nouvelle génération, c’est ce ramassis de post-humains tatoués jusqu’à la raie, ce florilège d’abrutis orelsanisés et gavés de pornographie jusqu’à la moelle, ces spectateurs morbides de « Quatre mariages pour une lune de miel » en quête de dîners presque parfaits, ces éternels adolescents ectoplasmiques biberonnés à la « culture Web », une file interminable de clones siliconés, spirituellement aya-nakamuraïsés et lexicalement nabilaïsés – à moins que ça ne soit l’inverse ? –, traînant leur pauvre vie de réseau social en réseau social, comme une piètre télé-réalité manquée. La France périphérique, c’est le rap en bande originale toute la journée et le pétard à la bouche dès quatorze ans ; et vogue la galère avec les neurones, déjà restreints, qui s’amenuisent au fil des ans. C’est la France des grands frustrés de la mondialisation, ceux qui voudraient bien à leur tour un peu plus de partouze et de pouvoir d’achat. La France pour qui la dernière Playstation ne sera jamais trop chère, mais le Voyage au bout de la nuit à douze euros cinquante sur Amazon Prime toujours hors de prix. La France qui quémande cinq euros de plus pour se noyer toujours sous davantage de merde et rallonger, pour quelques mois encore, ses abonnements Netflix et Disney Plus. C’est la France d’après l’Histoire, à qui même Tinder ne sourit pas ; la France des demi-vivants voués à partouzer depuis l’enfance dans le cybermonde ; la France qui n’a pas son mot à dire, et qui aimerait tant, pourtant, participer au Déluge."
Tom Benejam
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On This Day: 25th December, 1870
Fashion plate from La Mode Illustrée illustrated by Anaïs Toudouze featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 28 rue Neuve des Petits Champs.
DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe de chambre en cachemire gris-perle, ouatée et doublée de foulard bleu. Cette robe de chambre, ouverte par devant, est bordée sur tout son contour d'une large bande en velours bleu; les manches larges sont bordées de même; le corsage ouvert a des revers en même velours bleu. A l'intérieur, camisole en nansouk fin, brodée et garnie de dentelle de Valenciennes.
Petit garçon de quatre ans. Pantalon large s'arrêtant au genou, et blouse demi-longue en velours anglais noir; bas rouges on laine cachemire; demi-bottes en cuir noir; paletot pareil au costume, bordé d'une bande de fourrure; col plat en toile; cravate rouze.
Jupon en taffetas grenat garní d'un haut volant plissé ayant 40 centimètres de hauteur; robe en velours grenat foncé, garnie d'une bande de petit-gris. Cette robe courte est relevée sous chaque bras par devant elle atteint presque le bord supérieur du volant du jupon en taffetas, par derrière elle dépasse ce bord et tombe à mi-hauteur du volant. Paletot parell à la robe et garni de même; ce paletot est fendu sous chaque bras et au milieu par derrière, tous les contours (y compris les entournures des manches) sont brodés avec une bande de petit-gris. Chapeau de velours noir garni de dentelle noire et d'une plume noire.
Ref: 1870-12 LMI52
#1870-12 LMI52#1870s#french fashion plate#1870s fashion#bustle fashion#1870s dress#first bustle#fashion plate#victorian fashion plate#la mode illustree#anais toudouze#la mode illustrée#historical fashion
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LÉGENDES DU JAZZ
PETER ERSKINE, UN BATTEUR POLYVALENT
Né le 5 juin 1954 à Somers Point, au New Jersey, Peter Erskine a commencé à jouer de la batterie à l’âge de quatre ans. Après avoir fréquenté l’Interlochen Arts Academy au Michigan, Erskine avait étudié les percussions à l’Université d’Indiana sous la direction de George Gaber.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Erskine a amorcé sa carrière professionnelle en 1972 comme membre de l’orchestre de Stan Kenton. Quatre ans plus tard, Erskine s’était joint au groupe de Maynard Ferguson. Après être entré dans le groupe Weather Report en 1978, il s’était installé à Los Angeles. Erskine avait enregistré cinq albums avec le groupe, dont 8.30, qui lui avait mérité son premier prix Grammy. Le partenariat d’Erskine avec la révélation de la basse électrique Jaco Pastorius avait d’ailleurs été un élément essentiel du succès du groupe. Erskine avait aussi travaillé plus tard avec le groupe Word of Mouth de Pastorius.
Durant son séjour à Los Angeles, Erskine avait également collaboré avec Freddie Hubbard, Joe Henderson, Chick Corea, Bobby Hutcherson, Joe Farrell et George Cables. Erskine s’était installé par la suite à New York où il avait travaillé durant cinq ans avec le groupe Steps Ahead composé de Michael Brecker, Mike Mainieri, Eddie Gomez et Eliane Elias. Il avait aussi collaboré avec John Scofield, Bill Frisell et Marc Johnson dans le cadre du groupe Bass Desires, le John Abercrombie Trio et le Bob Mintzer’s Big Band.
Même s’il vivait à Los Angeles depuis 1987, Erskine avait énormément voyagé autour du monde, et avait travaillé avec de nombreux artistes dont Diana Krall, Joni Mitchell, Vince Mendoza, Steely Dan, Jan Garbarek, Kenny Wheeler, Palle Danielsson, John Taylor, Alan Pasqua, Bob Sheppard, Bob Mintzer, Kate Bush, Nguyen Lê, Rita Marcotulli, le Norrbotten Big Band en Suède et Sadao Watanabe au Japon.
ÉVOLUTION RÉCENTE
En 1992, Erskine avait fait une tournée aux États-Unis avec le pianiste Chick Corea.
Erskine avait remporté son second prix Grammy en 2003 comme batteur du WDR big band de Cologne dans le cadre de l’album “Some Skunk Funk qui mettait aussi en vedette les frères Michael Brecker et Randy Brecker, Vince Mendoza et plusieurs autres . Parallèlement, Erskine avait travaillé avec de nombreux autres musiciens dont Seth MacFarlane, Patrick Williams, ainsi qu’avec John Beasley, Bob Sheppard et Benjamin Shepherd du Dr. Um Band, tant en tournée que comme musicien de studio. En 2005, Erskine avait collaboré avec Kate Bush sans le cadre de l’album Aerial, qui mettait également en vedette le bassiste Eberhard Weber. Il avait également travaillé comme musicien invité avec Diana Krall, Eliane Elias, Queen Latifah et Linda Ronstadt ainsi qu’avec divers orchestres symphoniques.
Également compositeur, Erksine avait aussi travaillé sur plusieurs musiques de film dont “Memoirs of a Geisha” (2005), les trois films de la série Austin Powers, les nouveaux films de la série ‘’The Pink Panther’’, ainsi que sur “The Adventures of Tintin’’ (2011) de Steven Spielberg. Erskine avait également joué sur la bande sonore des films “La La Land” (2016), “Let Them All Talk” (2019) de Steven Soderberg, “Mank” (2020) de David Fincher et “Babylon” (2022) de Damien Chazelle. Il avait aussi travaillé sur la bande sonore de la série télévisée “The Orville” diffusée sur le réseau Fox de 2017 à 2019. Erskine avait également composé de la musique pour le théâtre, notamment sur les pièces Richard II et A Midsummer Night’s Dream (Le songe d’une nuit d’été) de Shakespeare, qui avait remporté le prix de la meilleure bande sonore originale décerné par le Los Angeles Drama Critics Circle. La bande sonore qu’Erskine avait composée pour la pièce Twelfth Night de l’American Conservatory Theatre aussi remporté le prix de la Bay Area Drama Critics’ Circle dans la catégorie de la meilleure bande sonore dramatique. Erskine avait également écrit la bande sonore de la pièce Romeo & Juliet de Hamlet, du ballet “History of the Drum” (qu’il avait écrit pour la Kokuma Dance Company de Birmingham, en Angleterre), ainsi que pour les pièces Side Man” et de Defiance Pasadena Playhouse. Erskine avait également écrit des trames sonores pour des films d’animation comme Gun Smith Cats et des livres audio de la série “Alien Voices” mettant en vedette Leonard Nimoy et John deLancie de la télésérie Star Trek.
Erskine avait aussi agi comme producteur sur les albums de jazz de sa propre compagnie de disques Fuzzy Music, pour lesquels il avait obtenu quatre nominations au gala des prix Grammy. Erskine est également l’auteur de plusieurs manuels didactiques dont “Drumset Essentials, Vols. 1, 2 & 3 ” (un manuel d’instruction pour batterie), “Erskine Method” (qui comprend aussi un DVD), “Essential Drum Fills”, “Time Awareness for All Musicians”, “Drum Concepts & Techniques” et “The Drum Perspective”. Erskine est aussi l’auteur de “No Beethoven’’ (une autobiographie et une chronique de la carrière du groupe Weather Report). Son plus récent livre intitulé “The Musician’s Lifeline’’ a été co-écrit avec Dave Black.
Aussi enseignant, Erskine est professeur de pratique et directeur des études de batterie à la Thornton School of Music de l’University of Southern California. Il anime également des cliniques et des séminaires à travers le monde. Erskine est aussi consultant en batterie à la Royal Academy of Music de Londres.
Loin de se limiter au jazz, Erskine avait fait de nombreuses apparitions comme soliste avec plusieurs orchestres symphoniques dont ceux de Londres, Los Angeles et Chicago, ainsi qu’avec l’orchestre de la radio de Francfort, la Scottish Chamber, l’Ensemble Intercontemporain, la Royal Opera House, la BBC Symphony et les orchestres philharmoniques d’Oslo et de Berlin. Aux côtés de la compositrice et percusionniste Evelyn Glennie, Erskine avait également participé en juillet 2000 à la première du concerto de double percussion ‘’Fractured Lines’’ composé par Mark-Anthony Turnage. C’est Sir Andrew Davis qui dirigeait la BBC Symphony Orchestra. L’oeuvre avait été enregitrée plus tard par les disques Chandos. Erskine collabore aussi régulièrement avec le chef d’orchestre Simon Rattle. Erskine a également participé à la première de l’opéra Anna Nicole de Turnage, qui avait été présenté à la Royal Opera House de Londres en 2011. Turnage a d’ailleurs composé un concerto solo en l’honneur du batteur simplement intitulé Erskine, qui avait été présenté en première mondiale à Bonn, en Allemagne, en 2013. La première américaine de l’oeuvre a eu lieu en septembre 2014 au Hollywood Bowl sous la direction du L.A. Philharmonic.
Nommé compositeur en résidence pour le célèbre ensemble choral Hilliard Ensemble en Allemagne en 2000, Erskine a également reçu une commande de la BBC pour écrire une suite intitulée “Music for Brass and Percussion.” Parmi les autres commandes qu’on avait confiées à Erskine, on remarquait une oeuvre à l’intention du Los Angeles Guitar Quartet et du joueur de marimba Colin Currie, ainsi qu’une oeuvre de percussion écrite à la mémoire de co-fondateur de Nexus, John Wyre, intitulée “A Bird Sings”.
Reconnu pour sa polyvalence et son habileté à se produire dans différents contextes, Erskine avait participé à plus de sept cents albums et musiques de film, dont cinquante sous son propre nom ou comme co-leader. Parmi les groupes qu’il avait dirigés, on remarquait son trio avec John Taylor, Palle Danielsson et Rita Marcotulli. Erskine dirige actuellement un trio avec le guitariste Nguyen Le et le bassiste Michel Benita, le Trio E_L_B. Il a aussi joué en trio avec le pianiste Alan Pasqua. Parmi les albums d’Erskine comme leader, on remarque notamment ‘’Peter Erskine”, “Transition”, “Motion Poet”, “Sweet Soul”, “Big Theatre”, “You Never Know,” “Time Being”, “As It Is”, “Juni”, ‘’History of the DRUM”, “Behind Closed Doors” et “Side Man Blue”. Comme co-leader, Erskine a publié “Prism” (avec Bill Dobbins et le WDR Big Band), “Cologne” (avec Bill Dobbins et John Goldsby) et “Dream Flight” (avec Nguyen Le et Michel Benita). Le plus récent album d’Erskine sur étiquette Fuzzy Music met en vedette un trio composé du contrebassiste Chuck Berghofer et du pianiste Terry Trotter. Les autres collaborations d’Erskine incluent son travail avec The Lounge Art Ensemble (avec Bob Sheppard au saxophone). Le plus récent CD du groupe est intitulé “Music for Moderns.’’ Le double CD “Peter Erskine & Alan Pasqua with David Carpenter – Live at Rocco” avait été particulièrement salué par la critique. Le CD d’Erskine intitulé “Worth The Wait” mettant en vedette le trompettiste Tim Hagans et le Norrbotten Big Band, avait également obtenu des commentaires élogieux des crutiques. Le CD suivant d’Erskine intitulé The Avatar Sessions, également été enregistré avec Hagans et le Norrbotten Big Band, comprenait comme solistes invités Randy Brecker, Dave Liebman, George Garzone et Rufus Reid.
Erskine a remporté deux prix Grammy. La Berklee School of Music lui a décerné un doctorat honorifique en 1992. Erskine a été intronisé au sein du temple de la renommée de la Percussive Arts Society en novembre 2022. Erskine a également été élu batteur de jazz de l’année par les lecteurs du magazine Modern Drummer à dix reprises.
Au cours de sa carrière, Erskine avait travaillé avec les plus grands noms du jazz et de la musique populaire, dont les big bands de Stan Kenton et Maynard Ferguson, les groupes Weather Report, Steps Ahead, le The Yellowjackets et Steely Dan, Joni Mitchell, Vince Mendoza, Diana Krall, Queen Latifah, Kenny Wheeler, Mary Chapin Carpenter, Linda Ronstadt, The Brecker Brothers, Kurt Elling, Sadao Watanabe, Eliane Elias, Alan Pasqua, Bob Sheppard, Bob Mintzer, Mike Stern, Kate Bush, Miroslav Vitous, Jan Garbarek, Chick Corea, Joe Henderson, Freddie Hubbard, Pat Metheny, Gary Burton, Bob Mintzer, John Abercrombie et John Scofield.
Peter Erskine a épousé Mutsuko Erskine. Le couple a eu deux enfants, l’actrice et autrice Maya Erskine et le réalisateur et producteur de films Taichi Erskine.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Biography of Peter Erskine.’’ Percussive Arts Society, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ Petererskine.com, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ All About Jazz, 2023.
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Okay William
Jack peut être flatteur vis-à-vis de Joe mais William, c'est un tout autre level. Le pire c'est que c'est sincère. Et parfois même, un peu trop passionné.
Néanmoins, au fur et à mesure des albums, il se modère un peu plus. Faut croire que leurs aventures lui a fait perdre quelques illusions sur le génie de son frère aîné.
#ironiquement c'est le seul des quatre à ne s'être canoniquement jamais intéressé à personne d'autre que ses frères ou Ma#ceci expliquant peut-être cela#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : les dalton dans le blizzard#album : les dalton courent toujours#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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La Mode illustrée, no. 29, 16 juillet 1876, Paris. Toilette de promenade. Modèle de chez Mme Bréant-Castel, rue du Quatre-Septembre, 19. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Jupon en soie de couleur vert myrte. Polonaise en cachemire de l'Inde, uni, de même couleur que le jupon. Cette polonaise est boutonnée sur le côté, et garnie d'une ruche en soie pareille au jupon. Le milieu du dos est orné d'une bande de soie plissée qui encadre l'encolure et descend jusqu'au bas du corsage.
Grandes poches Louis XV, garnies de boutons en métal bronzé et de petites ruches en soie. La polonaise est boutonnée par de longues boutonnières bordées de soie, et de gros boutons en métal bronzé.
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Myrtle green silk petticoat. Polonaise in cashmere from India, plain, same color as the petticoat. This polonaise is buttoned on the side, and trimmed with a silk ruffle similar to the petticoat. The center back is decorated with a band of pleated silk that frames the neckline and extends to the bottom of the bodice.
Large Louis XV pockets, trimmed with bronzed metal buttons and small silk ruffles. The Polish is buttoned with long buttonholes lined with silk, and large bronzed metal buttons.
#La Mode illustrée#19th century#1870s#1876#on this day#July 16#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#polonaise#train#Modèles de chez#Madame Bréant-Castel
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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Nicolas
On est la semaine précédant celle de mes vingt ans. Je suis à l’Abreuvoir (je répète, j’avais 19 ans) avec une de mes amies. On s’apprête à aller au sous-sol.
C’est aussi l’époque où je me commandais des Sex on the Beach au bar, et que j’avais toujours un petit sourire de la part des barmans. Heille, je voulais pas goûter l’alcool dans mes drinks. J’ai le droit. À l’époque, l’Abreuvoir était mon temple et j’étais une adepte depuis plusieurs années. Il y avait tout là-bas; le premier étage style bar sportif pour rencontrer des jocks, la terrasse chauffée pour aller fumer et parler à des p’tits bums et le sous-sol avec les fameuses poles dance pour possiblement frencher. Tout y était. Pourquoi aller ailleurs?
Mon amie et moi on danse au sous-sol. Le genre de place qui nous transporte directement dans un épisode de Fugueuse. La musique est bonne, c’est du Rihanna. Je sens quelqu’un me regarder au loin. Mon prochain french qui m’attend? Let’s go. Je le regarde en retour et je constate qu’il s’est approché. Wo, il me veut? Alright.
Oh, ça sera pas mon prochain kiss celui-là. C’est un ami d’enfance, je le connais depuis que je suis née. Je suis contente de le voir par exemple, ça faisait un bail. On jase un peu avant qu’il m’introduise à son ami, Nicolas. Nicolas est cute. Il a un regard perçant, les cheveux en bataille et est vêtu de noir. Il a l’air mystérieux. J’ai peut-être envie de percer le mystère.
Les gars sont dans le mood pour fêter. Mon amie et moi aussi. Un mariage heureux, rien de moins.
On décide de migrer vers la terrasse pour que les gars puissent fumer et qu’on s’entende un peu plus parler. Nicolas s’assoit tout de suite à côté de moi, nos cuisses se touchent volontairement. Ok, il ne perd pas de temps, me dis-je. On discute tous les quatre ensemble, on a du fun. On parle du dernier album de Drake, que j’ai dévoré. Nicolas et moi avons la même chanson préférée.
Tu me parles d’un bel adon.
Plus je regarde Nico, plus il me rappelle quelqu’un. J’ai l’impression que c’est un acteur, mais il vient de me dire qu’il travaille pour la compagnie de son père. Peut-être que j’ai bu trop de drinks sucrés portant un nom risible.
Mon amie et moi, on veut rentrer chez nous, on est un peu fatiguées. Mon amie est déçue de ne pas avoir frenché, je la comprends. On quitte les gars et je les invite par la bande à ma fête la semaine prochaine au Salon Officiel. Nicolas accepte tout de suite. D’accord, on se verra la semaine prochaine mon beau.
« Damn, y’est down le gars. As he should. » me dit mon amie.
Je donne un bec sur la joue à mon amie. J’aime ça quand on me donne des compliments.
On est le 24 avril 2015, c’est le jour officiel - comme le Salon - de mes 20 ans. Mes ami·es de l’université et moi on fait une tournée des bars sur St-Denis: on va au 3 Amigos manger, on va au St-Bock prendre des shots, on va caler des pichets au St-Sulpice et on fait un arrêt au Pub du Quartier Latin prendre je sais plus quoi. Ça commence à être flou.
On termine notre course à la boisson au Salon Officiel. Je suis complètement ivre. J’ai pris des shooters, j’ai mélangé les drinks, mais j’ai un bon fond de bouffe donc tout est bien géré. On n’a 20 ans juste une fois, hein?
On arrive au Salon Officiel et je ne vois que Nicolas au fond de la salle, pas loin du DJ booth où Ajust s’en donne à cœur joie. Je vais le rejoindre. Nicolas, pas Ajust, même si son set est excellent.
« T’es tout seul? », lui lance-je. Mon esprit logique n’était pas invité à ma fête.
« Ouais, j’étais dans le coin. Ton ami d’enfance va arriver plus tard. », me répond Nicolas.
On se met tout de suite à danser ensemble. Mes ami·es et moi et Nicolas sommes au centre du petit Salon Officiel et on est là pour mettre de l’ambiance. La musique est bonne, il fait chaud, tout est réuni pour que…
Nicolas m’embrasse. Un bec un peu timide, mais sincère. Il ne perd pas de temps. Mes pauvres ami·es vont devoir m’endurer en train de frencher pour un ti-bout. Je suis aussi timide que Nico à ce moment précis, mais l’alcool me donne le kick pour l’embrasser en retour. Y’a beaucoup de va-et-vient dans toute l’histoire.
On est collés, on se french à grands coups d’insouciance. On a clairement plus conscience que mes ami·es nous regardent se manger la face. Oh well. 20 ans, right?
Mon ami d’enfance nous rejoint finalement. Il doit être 2h du matin. La soirée a passé cruellement vite. Je lui donne le plus gros câlin du monde. T’sais, un bon câlin de fille saoule qui vient d’entrer dans la vingtaine. Ça saute dans les bras du monde, ça.
On danse tout le monde ensemble, mes ami·es de l’uni décident de rentrer au bercail. Iels ont été vaillant·es toute la soirée. Allez dormir, mes ami·es. Vous êtes exceptionnel·les.
Mon ami d’enfance, Nicolas et moi, on n’a pas le goût de se coucher. Nico me dit qu’on peut aller chez son père, vu qu’il n’habite pas loin. Je ne suis pas en état de rencontrer le daron, pense-je. Il nous confirme que son père est à Los Angeles pour le travail. Bon, parfait dans ce cas.
Que la fête continue.
On arrive chez le père de Nicolas et… Wow. Quessé ça cette belle maison-là qui n’a l’air de rien à l’extérieur? Les plafonds sont tellement hauts, mais c’est pas écho. Bien pensé, architecturalement parlant.
On continue à boire, d’autres amis de Nico sont venus nous rejoindre pour un after party qui bat visiblement son plein. C’est l’fun, la vingtaine. On continue à faire des shots, à boire des gin tonic plus gin que tonic. Je suis bien partie, mais étonnement encore présente mentalement. C’est ça l’important.
On se réchauffe des pizz’ congelées qu’on mange comme de vrais affamé·es. Je suis comblée. C’est comme ça que je voulais fêter ce soir.
Nicolas m’invite à rester dormir. Il doit être 4h du matin. Je ne me vois pas retourner chez ma mère à ce moment-là, je pense que je lui avais dit que je dormais chez une de mes amies de toute façon. Ton lit ce sera, mon Nico.
On monte et… pardon? Les escaliers flottants, les immenses chambres, les rideaux qui se baissent automatiquement… Mais où suis-je?
« Ton père il fait quoi? », demande-je à Nicolas, de la façon la plus indiscrète possible.
« Il travaille beaucoup disons », me répond Nico. J’oublie cette réponse incomplète et me jette sur le lit. Nicolas me déshabille, c’est cute. Il m’embrasse partout sur le corps. Sur le ventre. Les seins. Les joues. La bouche. Mmm.
« Nico… Je suis trop saoule. Je te vois flou. Hahahaha. », lui dis-je, en toute honnêteté, en simulant un fou rire afin d’étouffer le possible malaise.
« Y’a tellement pas de stress Gen. Moi aussi je suis complètement drunk. Hahahaha. » me revient-il, en respectant mes limites et les siennes.
Une belle fête, quoi.
On s’endort en cuillère dans son lit terriblement confortable.
Je me réveille le lendemain matin, ou le matin même, vers 10h. J’ai un mal de tête monstrueux. Je remarque un peu plus le paysage et je suis toujours aussi impressionnée. Nicolas a un énorme projecteur dans sa chambre. Ça doit valoir cher, me suis-je passée comme remarque.
Moi, je vaux pas grand chose en ce moment. Nico est encore endormi, j’en profite pour me rendre au rez-de-chaussé me claquer un bon verre d’eau.
La place est encore plus belle que la veille. Immenses œuvres d’art qui maquillent les murs, une cour intérieure digne d’une revue d’architecture. Je me sers un verre d’eau dans la somptueuse cuisine et je me retourne vers… des prix?
Voyons. C’est un Golden Globe, ça? Et ça, un Emmy? Quoi?
Attends.
Je m’approche d’une photo regroupant plusieurs personnes et je vois Matthew McConaughey. Puis…
Jean-Marc Vallée.
Attends minute. Attends. Attends. Attends.
Je suis chez… Jean-Marc Vallée.
Je ne vois que des photos de lui par la suite, avec Nicolas et son grand frère.
Je sais où j’ai vu Nicolas. Dans C.R.A.Z.Y. Le petit frère.
Tout devient clair. Mon mal de tête est quasiment parti tellement que mon cerveau est illuminé en ce moment.
Nicolas descend. Il me voit devant toutes les décorations d’or. Il comprend que je comprends.
« Ton père c’est fucking Jean-Marc Vallée? » lui lance-je, visiblement sous le choc.
« Le seul et l’unique! » me répond-t-il, avec un beau sourire. Il a l’air fier. Il a raison de l’être.
Je suis terriblement hangover, mais fière aussi d’être chez un homme que j’admire.
Je ne pouvais pas mieux commencer ma vingtaine. *** Aujourd'hui, c'est émotif pour moi de partager cette nouvelle-là. Je n'ai pas revu Nicolas après ça, mais je suis chanceuse d'avoir eu connaissance de la fierté et de l'amour qu'un fils porte envers son père aussi prolifique. La mort de Jean-Marc Vallée est une tragédie, tant pour sa famille que pour le cinéma et la télévision. Je chéris réellement cette histoire, plus particulièrement depuis son décès. J'aurai toujours une pensée pour ses fils.
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