#le bande des quatre
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Les Quatre de Baker Street - T07 - L'Affaire Moran
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Cococuacuakiki
Le super sens du timing d'Averell...
#mine de rien Jack leur a probablement sauvé la vie à tous les quatre ici#Espuelas est assez prompt à leur faire passer l'envie de cococuacuakiker quand il est énervé#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : tortillas pour les dalton#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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Moving this here from my tags because it's just too funny: I haven't checked AO3, but I was saying in the tags that I can still quote a bunch of sentences from my French textbook and I bet so can most other people who had this book in school.
I wanted to quote one of the most iconic of these sentences:
Et boum! C'est le choc.
And while googling the correct spelling, I discovered that there is/was apparently a band that made songs based on phrases from these books?? Fucking wild!

#nostalgia#découvertes#Et boum! C'est le choc#quatre baguettes pour le prix de deux#arthur est un perroquet#and other gems#textbooks#fanfiction#looks like the band has three songs#and they're not half-bad#absolutely *wild* 😂🤣
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La Mode illustrée, no. 49, 9 décembre 1883, Paris. Toilettes de Mme Coussinet, rue Richer, 43. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en moscovite gris acier, velours ciselé et soie brochée de même couleur. La jupe courte en moscovite uni, disposée en gros plis tuyaux, est garnie de quatre plis. Une écharpe en soie brochée est drapée sur le devant de la jupe et reparaît pour former le pouf par derrière. Très grand gilet Louis XV, en velours ciselé, avec jaquette Louis XV, faite en muscovite unie. Cette jaquette est largement ouverte sur le gilet. Sur le bord inférieur de celui-ci se trouve une fente dans laquelle passe l'écharpe, pour former des paniers sur les hanches et pouf derrière.
Dress in steel gray Muscovite, chiseled velvet and brocaded silk of the same color. The short skirt in plain Muscovite, arranged in large pipe pleats, is trimmed with four pleats. A brocaded silk scarf is draped over the front of the skirt and reappears to form the pouf at the back. Very large Louis XV waistcoat, in chiseled velvet, with Louis XV jacket, made of plain Muscovite. This jacket is widely open on the waistcoat. On the lower edge of the latter is a slit through which the scarf passes, to form baskets on the hips and pouf behind.
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Toilette de jeune femme. En satin merveilleux bleu pâle uni. Jupe ronde, garnie devant en tablier de quatre larges bandes de velours grenat. Tunique à paniers sous laquelle tombe de chaque côté un panneau plat entouré d'une broderie représentant des roses nuancées depuis le rose pâle jusqu'au grenat. Le corsage, fait en forme de guimpe, boutonné derrière, montant, est froncé à l'encolure. Collier de velours grenat, noué sur le côté, relevant une ruche de dentelle blanche. A l'extrémité des manches, bracelets de même velours, avec nœud pareil.
Young woman's ensemble. In plain pale blue marvelous satin. Round skirt, trimmed in front in an apron with four wide bands of garnet velvet. Tunic with paniers under which falls on each side a flat panel surrounded by embroidery representing roses shaded from pale pink to garnet. The bodice, made in the shape of a wimple, buttoned behind, rising, is gathered at the neckline. Garnet velvet necklace, tied on the side, raising a ruffle of white lace. At the end of the sleeves, bracelets of the same velvet, with a similar bow.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1883#on this day#December 9#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#dress#bustle#flowers#Modèles de chez#Madame Coussinet
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US Vogue March 1, 1967
Model : Françoise Hardy
Ara Gallant hair; Dynel hairpieces from Tovar-Tresses.
(1) Chiffon storm: green, purple, magenta, with miles of matching scarf billowing around the smallest bodice—strapless, open in a V, with a high-ruffled skirt dancing like a storm over magenta legs. By George Halley; printed on silk by Julian Tomchin for Chardon-Marché. Charles Jourdan pumps.
(2) Add more flags: the belted shirtdress boasts new colors—bright colors, contrasted like ship's flags on a white field, with cheerful green legs to speed its way. By Mollie Parnis, printed on silk by Fisher & Gentile. Golo shoes.
(3) Flight of the Ostrich: for the most covered of evening gowns, in the hottest pink, wide sleeves trimmed with ostrich feathers and long legs dressed accordingly. John Moore dress, in heavy silk crepe.
(4) Rhinestone bands, left, set against a scarlet sequined yoke… then a faint flash of white crepe streaking through the night over moon-white legs. Pat Sandler dress, rayon crepe. Roger Vivier pumps. With the super-quick looks on these four photos: Hanes pantyhose.
(1) Tempête de mousseline : vert, violet, magenta avec des kilomètres d'écharpe assortie ballottée autour du plus petit corsage – à fines bretelles, dénudé en V. avec une jupe à haut volant dansant comme une tempête sur des jambes magenta. Par George Halley ; imprimé sur soie Julian Tomchin pour Chardon-Marché. Escarpins Charles Jourdan.
(2) Mettez plus de drapeaux : la robe-chemise ceinturée arbore de nouvelles couleurs – des couleurs vives, contrastées comme des pavillons de navires sur un champ blanc, avec des jambes vertes joyeuses pour accélérer son chemin. Par Mollie Parnis, imprimé sur soie Fisher & Gentile. Chaussures Golo.
(3) Le vol de l'autruche : pour la plus couverte des robes de soirée, dans le plus chaud des roses, de larges manches ornées de plumes d'autruche et de longues jambes habillées en conséquence. Robe John Moore, en crêpe de soie épais.
(4) Bandes de strass, posées sur un empiècement de paillettes écarlates… puis un léger éclair de crêpe blanc filant dans la nuit sur des jambes d'un blanc lunaire. Robe Pat Sandler, en crêpe de rayonne. Escarpins Roger Vivier. Avec les looks ultra-rapides de ces quatre photos : bas-culottes Hanes.
Photo Richard Avedon vogue archive
#us vogue#march 1967#fashion 60s#spring summer#printemps été#ready to wear#prêt à porter#françoise hardy#richard avedon#georges halley#mollie parnis#john moore#pat sandler#hanes#ara gallant#golo#roger vivier#charles jourdan#vintage vogue#vintage fashion
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On This Day: 25th December, 1870
Fashion plate from La Mode Illustrée illustrated by Anaïs Toudouze featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 28 rue Neuve des Petits Champs.

DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe de chambre en cachemire gris-perle, ouatée et doublée de foulard bleu. Cette robe de chambre, ouverte par devant, est bordée sur tout son contour d'une large bande en velours bleu; les manches larges sont bordées de même; le corsage ouvert a des revers en même velours bleu. A l'intérieur, camisole en nansouk fin, brodée et garnie de dentelle de Valenciennes.
Petit garçon de quatre ans. Pantalon large s'arrêtant au genou, et blouse demi-longue en velours anglais noir; bas rouges on laine cachemire; demi-bottes en cuir noir; paletot pareil au costume, bordé d'une bande de fourrure; col plat en toile; cravate rouze.
Jupon en taffetas grenat garní d'un haut volant plissé ayant 40 centimètres de hauteur; robe en velours grenat foncé, garnie d'une bande de petit-gris. Cette robe courte est relevée sous chaque bras par devant elle atteint presque le bord supérieur du volant du jupon en taffetas, par derrière elle dépasse ce bord et tombe à mi-hauteur du volant. Paletot parell à la robe et garni de même; ce paletot est fendu sous chaque bras et au milieu par derrière, tous les contours (y compris les entournures des manches) sont brodés avec une bande de petit-gris. Chapeau de velours noir garni de dentelle noire et d'une plume noire.
Ref: 1870-12 LMI52
#1870-12 LMI52#1870s#french fashion plate#1870s fashion#bustle fashion#1870s dress#first bustle#fashion plate#victorian fashion plate#la mode illustree#anais toudouze#la mode illustrée#historical fashion#December
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (20/27)
Agathon n’en avait cure. Il avait passé la nuit à enquêter, à réunir des indices, à interroger des suspects - il avait enfin l’occasion d’être le détective d’un de ses romans policiers, et il n’allait clairement pas la laisser passer, n’en déplaise à nos états d’âme. La matinée commençait à peine, l’orage s’était calmé pendant la nuit, la police serait là d’un instant à l’autre. Le moment était venu d’aligner toutes les pièces du puzzle, de tout nous révéler. Très honnêtement, je doutais que qui que ce soit dans la maison ait pu être coupable d’avoir assassiné qui que ce soit. Certes, Agathon m’avait convaincu avec son histoire d’électrocution simulée. Mais la seule explication que je trouvais à y apporter était celle des représailles par l’un de ces mafieux du gang de ce type qu’évoquait la lettre, Luis Ortega. J’avais certainement dû en faire accoster un la veille, il avait dû trouver le moyen de se faufiler chez nous et de repartir aussi vite. Je creusai ma mémoire. Personne dont je me souvenais ne ressemblait à un mafieux. Mais en même temps, Lorita non plus n’avait pas la tête d’une femme qui aurait pu être dans un gang. Et pourtant…
[Transcription] Gizelle LeBris : Agathon, je t’en supplie, termine, qu’on puisse retourner se coucher avant l’arrivée de la police. Agathon LeBris : Mais j’y viens. Agathon LeBris : Sonia Houveau est née dans le quartier Lumière Rouge de Montréal. Son père, Marcel Houveau, était un caïd qui faisait la loi dans le quartier. Quand elle avait 12 ans, les types d’une bande alliée sont venus le chercher pour aller récupérer l’impôt spécial de protection dans les cabarets du quartier. Agathon LeBris : Il n’est jamais revenu de sa tournée : le lendemain, la police est venue annoncer à sa mère que son père s’est fait refroidir, tué par une prostituée dans un cabaret. Celle-ci s’était envolée, et les autorités, bien contentes de s’être débarrassés de son père, n’avaient pas l’intention d’enquêter. Agathon LeBris : A partir de là, il n’y avait plus personne pour protéger sa famille. Ses sœurs, plus âgées qu’elles, sont tombées dans la prostitution. Elle, elle a développé quelques talents, peut-être de pickpocket, et a réussi à rejoindre une bande, qui l’a entrainée de sales coups en sales coups. Agathon LeBris : Il y a quatre ans, elle a découvert que la prostituée qui a liquidé son père est une Colombienne appelée Lorita, qui travaille pour un gang de trafiquants de drogue à la frontière des Etats-Unis. Utilisant sa réputation, Sonia s’est faite engager dans son gang, gagnant leur confiance et attendant le bon moment pour l’éliminer. Agathon LeBris : Quand le fils de la famille LeBris s’est marié et que sa femme a eu un enfant, Lorita n’a eu aucun mal à les convaincre d’engager une aide - une fille de son gang, dont la véritable raison de sa présence, est de l’aider à acheminer son « matériel »… Agathon LeBris : C’est une aubaine pour Sonia puisque ce poste la rapproche de Lorita ET lui donne une couverture pour ses agissements. Maintenant, comment se débarrasser de Lorita ? Agathon LeBris : Faisons un nouveau bond dans le temps. Agathon LeBris : Arrivons, si vous le voulez-bien, à hier après-midi. 1h. Gizelle sort de sa chambre et nous rejoint en bas. Lorita commence à faire les chambres. 1h30. Nous déjeunons. 2h30. Nous finissons de déjeuner, Sonia prépare le thé. 3h. Nous partons tous vaquer à nos occupations. Agathon LeBris : 4h27. Layla reçoit enfin l’appel téléphonique qu’elle a attendu presque toute l’après-midi, avec pratiquement une demie-heure de retard. L’appel est écourté car les plombs sautent. Vers 4h30, le corps est découvert par elle. C’est dans cette fourchette cruciale, mesdames et monsieur, entre 1h30 et 4h, que Lorita est morte. Agathon LeBris : Entre 4h et 4h27, quelqu’un est monté à l’étage pour réarranger son corps - couvrir la véritable raison de sa mort afin de faire croire à un accident. Agathon LeBris : Voilà la proposition que j’ose apporter pour combler cette période d’1h30 qui a précédé.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Irène Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Gizelle LeBris#Roseline LeBris#Lorita Donaldo#Sonia Houveau
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté���
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Okay William
Jack peut être flatteur vis-à-vis de Joe mais William, c'est un tout autre level. Le pire c'est que c'est sincère. Et parfois même, un peu trop passionné.
Néanmoins, au fur et à mesure des albums, il se modère un peu plus. Faut croire que leurs aventures lui a fait perdre quelques illusions sur le génie de son frère aîné.
#ironiquement c'est le seul des quatre à ne s'être canoniquement jamais intéressé à personne d'autre que ses frères ou Ma#ceci expliquant peut-être cela#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : les dalton dans le blizzard#album : les dalton courent toujours#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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Quatre travailleurs humanitaires internationaux de World Central Kitchen du Royaume-Uni, d'Australie et de Pologne ont été tués dans une frappe "israélienne" contre leur voiture à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.
Des personnes pacifiques, nobles et courageuses tuées par les criminels sionistes
#israeli war crimes#israeli war criminals#israel war criminal#israel war crimes#israeli terrorism#israel terrorist#gaza strip#free gaza#gaza under attack#gaza genocide#gazaunderattack#gaza under genocide#gazaunderfire#genocide in gaza#save gaza#stand with gaza#gaza#gaza fights for freedom#gaza free#free free palestine#free palestine#palestine#i stand with palestine#palestinian lives matter#genocide in palestine#palestine genocide#palestine will be free#palestine will never die#israël#stand with palestine
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La Mode illustrée no. 46, 12 novembre 1865, Paris. Toilettes des Magasin du Louvre, 164 Rue de Rivoli. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Toilette de théâtre. Robe en poult-de-soie jaune d'or; le bas de la jupe est garni avec des entre-deux en dentelle noire composés de médaillons ovales, traversés perpendiculairement de distance en distance par des médaillions de même forme, mais plus grands, qui unissent les deux entre-deux et les dépassent; grand bournous (sp?) en dentelle noire. Chapeau composé de bandes de velours blanc, alternant avec des bouillonnés en crêpe rouge; brides rouges.
Theatre ensemble. Dress in golden yellow poult-de-silk; the bottom of the skirt is trimmed with black lace entre-deux composed of oval medallions, crossed perpendicularly at intervals by medallions of the same shape, but larger, which unite the two entre-deux and exceed them; large shawl in black lace. Hat composed of bands of white velvet, alternating with bouillonnés in red crepe; red straps.
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Première robe en poult de soie blanc, bordée avec un étroit volant tuyauté, surmonté d'un dessin composé de trèfles exécutés en lacet d'or. Robe en velours bleu clair, bordée avec une frange de chenille bleue, mélangée de boules en or; cette robe est relevée devant et sur les côtés, et fixée sur la première robe par des cordelières bleues et or, formant un large trèfle terminé par des glands; corsage décolleté en poult de soie blanc, garni d'une broderie en tulle blanc; corselet en velours bleu, boutonné devant avec trois boutons d'or, encadré avec une corde bleue et or; manches courtes, bouillonnées en tulle. Coiffure antique avec diadème et bandelettes en or chaînette en or, retenant au cou une croix d'or. Gants blancs à quatre boutons (très-longs par conséquent).
First dress in white poult-de-soie, edged with a narrow piped flounce, topped with a design composed of trefoils executed in gold lace. Dress in light blue velvet, edged with a fringe of blue chenille, mixed with gold balls; this dress is raised in front and on the sides, and fixed on the first dress by blue and gold cords, forming a large clover finished with tassels; low-cut bodice in white poult-de-soie, trimmed with white tulle embroidery; blue velvet bodice, buttoned in front with three gold buttons, framed with a blue and gold cord; short sleeves, bubbled in tulle. Antique hairstyle with tiara and gold bands, gold chain, holding a gold cross at the neck. White gloves with four buttons (very long consequently).
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Dernière remarque. La robe de velours forme une longue queue par derrière.
Last remark. The velvet dress forms a long tail at the back.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1865#on this day#November 12#periodical#fashion#fashion plate#color#description#Forney#dress#shawl#gown#evening#theatre#Modèles de chez#Magasin du Louvre
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Redécouvrir sur grand écran les films insolites de Man Ray, réunis sous le titre « Retour à la raison »
La musique planante de Jim Jarmusch et de Carter Logan préserve le mystère des quatre courts-métrages de l’artiste surréaliste, en salle le 13 novembre.
Par Clarisse Fabre Publié le 13 novembre 2024 à 16h30, modifié le 15 novembre 2024 à 17h09

« Les Mystères du château du Dé » (1929), de Man Ray. MAN RAY 2015 TRUST/ADAGP, PARIS 2023/POTEMKINE FILMS
La légende dit que Man Ray (1890-1976), peintre, photographe et génie de la chambre noire, n’aspirait pas spécialement à réaliser des films. Né aux Etats-Unis, il vivait à Paris depuis 1921, entouré de ses amis surréalistes. Mais, un soir de février 1928, Robert Desnos (1900-1945) lut à Man Ray un poème qu’il venait d’écrire, L’Etoile de mer, en hommage à la chanteuse Yvonne George (1896-1930), avec laquelle il avait eu une histoire platonique déceptive.
Dans les mots de Desnos, Man Ray trouva quelques « images hallucinantes », qui lui donnèrent envie de tourner. Ainsi naquit L’Etoile de mer (1928), l’un de ses quatre films muets avec Le Retour à la raison (1923), Emak-Bakia (1926) et Les Mystères du château du Dé (1929) – Man Ray est aussi l’auteur d’une vingtaine d’essais filmiques, tournés entre 1923 et 1940. Distribués par Potemkine, les quatre « courts » restaurés, réunis sous le titre Retour à la raison, sortent en salle accompagnés de la bande-son planante et minimaliste du duo Sqürl, formé par Jim Jarmusch et Carter Logan.
La légende dit que Man Ray (1890-1976), peintre, photographe et génie de la chambre noire, n’aspirait pas spécialement à réaliser des films. Né aux Etats-Unis, il vivait à Paris depuis 1921, entouré de ses amis surréalistes. Mais, un soir de février 1928, Robert Desnos (1900-1945) lut à Man Ray un poème qu’il venait d’écrire, L’Etoile de mer, en hommage à la chanteuse Yvonne George (1896-1930), avec laquelle il avait eu une histoire platonique déceptive.
Dans les mots de Desnos, Man Ray trouva quelques « images hallucinantes », qui lui donnèrent envie de tourner. Ainsi naquit L’Etoile de mer (1928), l’un de ses quatre films muets avec Le Retour à la raison (1923), Emak-Bakia (1926) et Les Mystères du château du Dé (1929) – Man Ray est aussi l’auteur d’une vingtaine d’essais filmiques, tournés entre 1923 et 1940. Distribués par Potemkine, les quatre « courts » restaurés, réunis sous le titre Retour à la raison, sortent en salle accompagnés de la bande-son planante et minimaliste du duo Sqürl, formé par Jim Jarmusch et Carter Logan.
Les guitares et percussions douces préservent le mystère de ces ovnis non narratifs. Man Ray refusait de voir au cinéma tout ce qui renvoie au quotidien et se tenait à l’écart des codes du scénario, de l’industrie… Il préférait les personnages fantastiques, tels Fantômas ou les vampires de Louis Feuillade, auxquels il adresse (peut-être) un clin d’œil lorsqu’il masque les visages.
Kiki de Montparnasse, Robert Desnos…
Man Ray cinéaste expérimente des procédés qu’il avait déjà testés, pour certains, dans la photographie. Comme le rayographe, permettant d’obtenir une image sans appareil, l’objet étant simplement posé entre le papier sensible et la source de lumière. Dans Le Retour à la raison, l’artiste crée ainsi une performance hypnotique de clous, de punaises et de ressorts.
Autre astuce, dans L’Etoile de mer, il pose des morceaux de verre cathédrale devant l’objectif afin de perturber l’optique. Les corps des personnages y apparaissent flous, comme vus à travers une vitre ruisselante de pluie (ou des yeux pleins de larmes). Tel ce moment où Kiki de Montparnasse, artiste et égérie de Man Ray, qui incarne une vendeuse de journaux, se déshabille et s’allonge sur le lit, mains derrière la nuque, en présence d’un homme. Ou alors celui-ci a-t-il rêvé ?
La seule certitude, c’est cette apparition furtive de Robert Desnos, à la fin du film, seule image en mouvement qui existe du poète et résistant. Et aussi cette étoile de mer, enfermée dans un bocal, symbole de l’amour impossible, que Desnos donnera ensuite à Henri Langlois, cofondateur de la Cinémathèque française, à Paris. Les petits piquants de l’animal marin font-ils écho aux dents des femmes, ces « objets si charmants », comme l’indique un carton ? Dans son ouvrage L’Etoile de mer (Gremese, 2018), l’universitaire Carole Aurouet souligne le rôle de Desnos dans la création du film, lequel a pour sous-titre Poème de Robert Desnos tel que l’a vu Man Ray.
Rêve éveillé
Dans ses cartons, l’artiste n’est jamais avare de compliments et de jeux de mots sur la grâce de ses interprètes (belle, Cybèle…). Il les magnifie, les transforme en créatures, comme lorsqu’il peint sur les paupières de Kiki de grands yeux ouverts, dans Emak-Bakia (sous-titre Fichez-moi la paix). On n’a jamais aussi bien filmé le rêve éveillé.
Encore Kiki : Man Ray déréalise son buste dans Le Retour à la raison, l’irradiant de lumière jusqu’à le confondre avec une statue antique. A d’autres instants, les reflets du rideau et la torsion du corps dessinent sur les seins des motifs circulaires, que l’on dirait aujourd’hui pop. L’image apparaît presque futuriste. Et souvent tournoyante.
Une roue, ou un agrès de cirque, traverse le cadre dans Les Mystères du château du Dé, rempli de gymnastes et de baigneurs, en débardeur à rayures, pour un effet ombre-lumière – le film a été tourné dans la Villa Noailles, ultramoderne, de Mallet-Stevens, à Hyères (Var). Tourner sur soi, c’est revenir au point de départ, refuser tout cheminement d’histoire.
Man Ray privilégie le mouvement, le tour de passe-passe (les cols blancs de chemise volent) et les nouvelles transes de l’époque – la danse serpentine ou encore le charleston, qu’exécute une femme lors d’une séquence virtuose. Point de corps immobiles, ou alors ceux-ci fondent au soleil, disparaissant de l’image. Vraiment magique.
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Another of my favourite songs by the indie pop band Ginestà.
Lyrics in Catalan and translation to English:
Marxo, però el meu cos el deixo aquí Amb el cap sobre el coixí També deixo quatre plantes No vengueu els meus vinils
I'm leaving, but I leave my body here with my head on the pillow I also leave a few plants Don't sell my vinil records
No patiu, va ser dormint Vaig triar una bona caixa D'entre totes la de pi, envernissada
Don't worry, it happened when I was sleeping I had chosen a good box out of all the pinewood ones, varnished.
Tornada: Sonen campanes per tota la plaça Gent apartant-se deixant-me passar Sobre l'espatlla dels meus estimats Hi ha el silenci de la resta mortals No ploreu deixant-me anar
Chorus: Bells rings throughout the square People stepping aside to let me pass through On the shoulders of the people I love There's the silence of the rest of mortals Don't cry when you let me go
Marxo, però us observo des d'aquí Amb els núvols de coixí Soc de molt poques paraules No apareixeré de nit Cadascú té el seu destí Ara em toquen les vacances Fer un cafè amb la Lady Di I amb la iaia
I'm leaving, but I watch you from here With the clouds as a pillow I'm not talkative at all, I won't appear at night Each person has its own destiny Now it's time for my holidays To take a coffee with Lady Di And with grandma.
Repeat chorus
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It's Fashion Plate Friday!
This week I have a fashion plate from Journal des Demoiselles from February of 1882. Unsigned.

Toilettes, confection et costume de la maison Simon, rue Saint-Honoré, 183. Modes de madame Boucherie, rue du Vieux-Colombier, 16.
GRAVURE DE MODES No 4349.
PREMIÈRE TOILETTE. Costume court en peluche, satin et vigogne-cachemire bleu Louis XV; la jupe, en peluche, est garnie de quatre gros rouleaux de satin froncé, posés sur un plissé de satin dont la tête est doublée de peluche. Echarpe en vigogne bordée d'un gros rouleau froncé, relevée sur le côté par une corde assortie qui revient devant tomber sur la jupe et est terminée par deux glands. Corsage à gilet droit couvert de rouleaux en satin froncé, disposés en longs; revers de peluche ornés de petits boutons de métal; dos princesse; les petits côtés plats forment un seul pan avec le pouf; les coutures sont recouvertes d'une petite bande de peluche; manche à parement de peluche, à talon rouleauté en satin. Chapeau de feutre à calotte haute; bord relevé de côté et doublé de peluche; chou de satin et plume assortie.
DEUXIÈME TOILETTE. Confection Charles IX en velours frappé loutre, doublée de peluche rubis et bordée d'effilé de chenille mélangée de petits rubans de satin à grelots de perles. Manche froncée avec effilé tombant sur le bas de la manche; nattes fourragère en passementerie loutre, partant des dessus d'épaules, fixés à la taille, et, plus bas, sur la tête du drapé, glands en effilé sur chacun des points d'arrêt de ces nattes. Capote en Pomponnette, nouveau et charmant tissu formé de petits pompons; la passe de la capote est en peluche loutre, presque couverte par une plume nuancée loutre et rubis; brides en peluche. rubis, croisées derrière.
COSTUME D'ENFANT. Robe en cachemire réséda bordée de deux grands plissés; gilet droit, plissé très fin; dos plissé, capoté à la taille et monté sur un empiécement plat; écharpe de cachemire à bouts formant pattes bordées de dentelle blanche, ces bouts relevés derrière en drapant l'un sur l'autre; grand col plissé, arrêté sous une dentelle blanche; parement de dentelle blanche. Chapeau Mascotte en feutre bronze, orné d'une plume amazone bronze; devant, panache de plumes ombrées réséda.
1882-02 JDD9349
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Dr. John Neff ❤️👍😇 : Dans les années 60, il y avait déjà des polémiques sur l'efficacité des vaccins. Cependant depuis 2021, les dommages causés par les vaccins anti Covid19 sont bien supérieurs à ceux du vaccin contre la variole et à ce jour, toujours aucune réaction de la part des autorités sanitaires françaises ou internationales 🙉🙊🙈🐌☠️😢😕





« Comment tout peut s'effondrer. » Quatre ans après la recherche pour ces ouvrages - si non enchanteurs, prophétiques - notre toit coule, nos politiques, whorenalisses et autres pousheurs de "soin$ public$" s'apprêtent à nous remettre une enième couche de groundup, une autre ronde de génocide sioniste et une autre bande de couaccinophiles par en arrière pis dans face et ce, dans un cloaque de corruption inflationniste.
#pablo servigne#comment tout peut s'effondrer#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid de sens#covid au cerveau#mon ministre est sinistre
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