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#la fin de l'été
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bouquet d’hirondelles ; il semble final dans le ciel pâle ; la fin de l’été est un spectacle acrobatique et audacieux qui essaye de s’emparer en vain d’une dernière lumière ; seul l’invisible lui offre ses véritables couronnes de victoire
© Pierre Cressant
(dimanche 3 septembre 2023)
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ecuwe · 2 years
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thinking about how one of my best friends in the whole world is going to move to another state in around a month and crying so hard I get a headache!!!!
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chic-a-gigot · 7 months
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La Mode nationale, no. 9, 28 février 1903, Paris. Toilette de visite, robe pour fillette de 14 ans et toilette de bébé de 3 à 4 ans. Bibliothèque nationale de France
(1.) — Toilette de visite pour jeune femme ou jeune fille, en drap satin beige clair. Le haut de la jupe est entièrement à plis chevauchés assez fins. Donc cette forme ne sied qu'aux personnes élancées. Au-dessous des plis s'effeuillent huit volants bas à peine badinés. Le corsage-blouse est voilé de volants au-dessous d'un très grand empiècement plissé en V. Les volants du corsage et des manches peuvent être en liberty beige agin de moins alourdir. La manche s'évase au-dessous du coude en plusieurs petits volants de drap qui reposent sur un bouffant composé de volants de taffetas et d'un haut poignet.
Chapeau de chenille mélangée, à fond mou, cerclé d'un volant plissé en satin tabac.
(1.) — Visiting ensemble for young women or girls, in light beige satin sheet. The top of the skirt is entirely with fairly fine overlapped pleats. So this shape only suits slender people. Below the folds, eight barely-played low ruffles appear. The bodice-blouse is veiled with ruffles below a very large pleated V-shaped yoke. The ruffles on the bodice and sleeves can be in beige liberty to make it less heavy. The sleeve flares out below the elbow into several small ruffles of cloth which rest on a bouffant made of taffeta ruffles and a high cuff.
Chenille blend hat, with a soft bottom, surrounded by a pleated ruffle in tobacco satin.
Matériaux: 7 mètres de drap, 1m,50 de liberty. Pour l'été, cette robe en voile de laine serait jolie.
(2.) — Robe pour fillette de 14 ans, en zibeline mélangée bleu gendarme. La jupe est à plis chevauchés assez larges qui s'évasent du bas. Le boléro carré, orné de pattes de velours bleu et de jolis boutons fantaisie, ouvre sur un dessous en soie blanche. Il s'orne d'un grand col d'irlande sur transparent blanc. Un revers de guipure en cornet enserre le bas de la manche peu bouffante. Col montant et ceinture de velours bleu.
Toque de velours bleu empanachée de plumes blanches.
(2.) — Dress for a 14-year-old girl, in gendarme blue mixed sable. The skirt has fairly wide overlapping pleats which flare out from the bottom. The square bolero, decorated with blue velvet tabs and pretty fancy buttons, opens onto a white silk underside. It is decorated with a large Irish collar on transparent white. A cone-shaped guipure lapel surrounds the bottom of the slightly puffy sleeve. Stand-up collar and blue velvet belt.
Blue velvet hat plumed with white feathers.
Matériaux: 4m50 de drap, 2m,50 liberty blanc.
(3.) — Toilette de bébé de 3 à 4 ans. Robe de velours anglais rouge, à volants pèlerine, forme américaine avec ceinture placée bas.
Paletot de drap blanc orné de piqûres et de gros boutons de nacre. Poche posée de chaque côté sur un losange orné de piqûres. Double col arrondi, sous un petit col rabattu. Manche chemisette à poignet piqué.
Capote de mousseline de soie blanche.
(3.) — Ensemble for a child from 3 to 4 years old. Red English velvet dress, with pelerine ruffles, American shape with low-placed belt.
White cloth overcoat decorated with stitching and large mother-of-pearl buttons. Pocket placed on each side on a diamond decorated with stitching. Double rounded collar, under a small turn-down collar. Shirt sleeve with stitched cuff.
White silk chiffon hood.
Matériaux: 2m,25 de velours pour la robe, 1m,25 de drap blanc pour le paletot.
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olympic-paris · 3 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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ernestinee · 8 months
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Il y a un chat qui nous a adoptés. Je le connais depuis quelques mois, il allait de jardin en jardin à la fin de l'été, maigre et craintif. Je lui donnais à manger quand je le voyais et il attendait que je sois partie pour manger. Craintif à ce point. Je le surnomme kangourou pcq je voyais son petit corps sauter par dessus les hautes herbes.
Depuis une semaine ce petit bonhomme se plante à une fenêtre et attire l'attention d'Oreo et Muffin jusqu'à ce que j'arrive, et sorte lui donner des croquettes.
Mardi, prévoyant peut-être la neige (?), il était sur le châssis de la porte, et y est revenu après avoir mangé les croquettes.
Puis demande clairement pour rentrer.
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(mardi dans l'entrée de la maison)
Mais bon j'ai déjà deux chats, il a reçu un coussin top confort, une litière propre, de l'eau de spa au cas où ses reins sont fragiles des croquettes, et un toit vu qu'il a dormi dans les toilettes.
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Mercredi avant la neige je suis allée acheter de l'anti-puces. Puis je suis allée le voir régulièrement. Moins craintif du coup.
Et bon tout à l'heure nous bravons le verglas et allons chez le vétérinaire pour voir s'il n'a pas de maladies qui pourraient être transmises à mes chats, voir s'il est pucé (please, non 🥺 j'ai pas envie de devoir le rendre) Là pour l'instant on est en mode câlins et Oreo et Muffin le jaugent de loin.
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aurore-mf · 4 months
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Bonjour à toustes !
Pour célébrer l'été qui arrive, je suis heureuse de vous présenter "Le Chat, le Renard et le Loup", un court-métrage de fin d'études tout récemment terminé ! Un long travail ponctué par la vie qui a pu voir le jour grâce aux nombreux encouragements d'ami.e.s, des proches et des rencontres. Je ne partage que le trailer pour le moment, mais si vous souhaitez le voir en entier, n'hésitez pas à me mp ! :)
Hello !
To celebrate the coming summer, I'm pleased to present “Le Chat, le Renard et le Loup” (The Cat, the Fox and the Wolf), a recently-completed graduation short film! It's a long project, punctuated by life, which came to life thanks to a lot of encouragement from friends, family and encounters.
I'm only sharing the trailer for now, but if you'd like to see it in full, don't hesitate to mp me! :)
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chaize · 24 days
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Déjà la fin de l'été... :(
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nemosisworld · 10 months
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Tu avais beau faire et beau dire Je fus là l'hiver et l'été Un air dans la tête resté D'avoir été sans fin chanté Ou simplement d'avoir été
Tu avais beau faire et beau dire Sur tes pas où tu vas je veux Être ce bruit que fait le feu Cet écho qui semble un aveu L'ave du vent dans tes cheveux
Tu avais beau faire et beau dire Tu ne te parvins démêler De ce qui fut ou m'a semblé De cet amour dont j'ai tremblé De ce bonheur que j'ai volé
Louis Aragon
Ph. Alina Vlasova
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ladyniniane · 3 months
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✨L'ultime chapitre !✨
🌊Nous voilà à la fin de ce voyage.
❧1 an et neuf mois d'écriture, deux ans et demi de travail au total.
❧49 chapitres
❧213,171 mots
❧Quatre héroïnes, quatre héros et de nombreux personnages secondaires. Une grande famille qui vit et évolue.
❧Les zones d'ombre du jeu explorées.
❧Une histoire unique écrite avec amour et motivation !
Alors si vous avez envie de lecture pour l'été et de sortir des sentiers battus...J'ai ce qu'il vous faut !
Un grand merci à tous ceux qui m'ont soutenue jusqu'à la fin !
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The task is endless, it’s true. But we are here to pursue it. I do not have enough faith in reason to subscribe to a belief in progress or to any philosophy of history. I do believe at least that man’s awareness of his destiny has never ceased to advance. We have not overcome our condition, and yet we know it better. We know that we live in contradiction, but we also know that we must refuse this contradiction and do what is needed to reduce it. Our task as men is to find the few principles that will calm the anguish of free souls. We must mend what has been torn apart, make justice imaginable again in a world so obviously unjust, give happiness a meaning once more to peoples poisoned by the misery of the century. Naturally, it is a superhuman task. But superhuman is the term for tasks men take a long time to accomplish, that’s all.
C’est une tâche, il est vrai, qui n’a pas de fin. Mais nous sommes là pour la continuer. Je ne crois pas assez à la raison pour souscrire au progrès, ni à aucune philosophie de l’Histoire. Je crois du moins que les hommes n’ont jamais cessé d’avancer dans la conscience qu’ils prenaient de leur destin. Nous n’avons pas surmonté notre condition, et cependant nous la connaissons mieux. Nous savons que nous sommes dans la contradiction, mais que nous devons refuser la contradiction et faire ce qu’il faut pour la réduire. Notre tâche d’homme est de trouver les quelques formules qui apaiseront l’angoisse infinie des âmes libres. Nous avons à résoudre ce qui est déchiré, à rendre la justice imaginable dans un monde si évidemment injuste, le bonheur significatif pour des peuples empoisonnés par le malheur du siècle. Naturellement, c’est une tâche surhumaine. Mais on appelle surhumaines les tâches que les hommes mettent longtemps à accomplir, voilà tout.
—Albert Camus, Les amandiers (1940), first published in L'Été (1954)
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amoureusedesmots98 · 1 year
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PARCE QUE C'EST TOI
Si tu crois un jour que j'te laisserai tomber
Pour un détail, pour une futilité
N'aie pas peur, je saurai bien
Faire la différence.
Si tu crains un jour que j'te laisserai faner
La fin de l'été, un mauvais cap à passer
N'aie pas peur, personne d'autre n'pourrait
Si facilement te remplacer
Oh non pas toi
Vraiment pas toi
Parce que c'est toi le seul à qui je peux dire
Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir
Parce que c'est toi
Rien que pour ça
Parce que j'avoue j'suis non plus tentée
D'rester seul dans un monde insensé
Si tu crois un jour qu'tout est à refaire
Qu'il faut changer, on était si bien naguère
N'aie pas peur, je n'veux pas tout compliquer
Pourquoi s'fatiguer
Et commence pas à te cacher pour moi
Oh non, je te connais trop bien pour ça
Je connais par cœur ton visage
Tes désirs, ces endroits de ton corps
Qui m'disent encore
Parce que c'est nous, c'est fort
Parce c'est toi j'oserais tout affronter
Et c'est à toi à qui j'pourrais pardonner
Parce que c'est toi
Rien que pour ça
Parce c'est toi j'voudrais un jour un enfant
Et non pas parce que c'est le moment
Parce que c'est toi
Je veux te voir dedans
J'verrais dans ces yeux tous ces petits défauts
Parce que parfait n'est plus mon créneau
Parce que c'est toi...
Parce que c'est toi le seul à qui j'peux dire
Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir
Parce que c'est toi
Rien que pour ça...
Parce que c'est toi.
Axelle Red
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eopederson · 3 days
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Jardinière à la fin de l'été, Montréal, 2023.
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perduedansmatete · 9 months
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2023 merdier sans nom
l'impression de m'être fait rouler dessus, d'avoir été dans un tunnel, j'ai été malade toute l'année, des allergies m'ont pourri la vie quatre mois et mon corps m'a fait si mal mais si mal, j'ai voulu mourir d'avoir si peu de chance et j'ai passé l'année à me dire que je ne tenais plus debout, je suis tombée et tombée par terre je me suis beaucoup fait mal sans faire exprès, peut-être un peu en le faisant exprès, on m'a beaucoup fait mal aussi mais généralement j'ai aimé, sinon j'ai accompli des choses, bosser avec ma bête noire à savoir les enfants et surtout les adolescents non pas une mais deux fois, sous payée la première car service civique, sous payée la deuxième par rapport à ce qu'on me demande car éducation nationale, mais je dois dire que malgré tous les problèmes j'aime plutôt ça, enfin je déteste pas, j'ai repris les études, je ne sais pas trop pourquoi et vers où mais je suis assez fière d'avoir réussi où j'avais échoué l'année dernière à savoir trouver l'énergie pour faire des dossiers, passer des entretiens, les réussir et puis je me sens bien avec les gens de mon master, j'avais très peur de passer les mêmes années qu'en licence mais plus le temps passe plus je crois que je commence à nouer quelques relations dont certaines (une surtout) qui je le pense va être très importante pour moi, si je repense au positif il y a aussi tous les petits les week-end qu'on s'est fait avec mes meilleures amies, pas de vacances ensemble cet été mais ça sera pour l'année prochaine, en parlant d'amies j'ai découvert que je pouvais encore être intensément déçue et blessée par quelqu'un que j'aime depuis toute petite, que ça laisse des traces indélébiles mais d'ici l'été prochain j'imagine que je ne peux que me souhaiter d'aller mieux, d'enfin aller parler à quelqu'un de ce qui m'arrive, ce qui m'est arrivé et de ce qui me bouffe depuis des années, de réussir à entretenir seulement des relations qui me font du bien et qui me rendent heureuse, d'accepter que j'ai le droit d'aller bien, de demander des choses, de poser des limites et qu'on me respecte, puis de ne pas retomber dans des schémas de merde dans lesquels je me mets en danger comme toute cette fin d'année qui ne m'aura pas laissé de répit, pour ça aussi que suis (toujours) si bien à strasbourg, ce n'est pas la vie réelle et c'est très agréable
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sabinerondissime · 25 days
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Un petit coin de Normandie. Ici il fait frais et l'herbe est toujours verte même à la fin de l'été. Sauf que nous le soleil, la chaleur, l'été, on ne l'a vu que quelques jours par mois. 😁
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pastelpaillette · 20 days
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Je regrette que nous soyons déjà le dernier jour du mois d'août. Cela annonce la fin de l'été. Et même s'il continue en septembre, l'ambiance est différente avec la rentrée.
J'ai aimé cet été doux et tranquille. J'ai travaillé et beaucoup profité de mes vacances, j'avais pris 2 semaines de congés, et encore plus profité les week-ends. J'ai aimé la chaleur, la langueur des journées et le rythme au ralenti. Je n'ai pas du tout envie de ressentir le froid de l'automne et de l'hiver, ni de constater que le soleil se couche tôt.
Pour faire la transition entre les deux saisons, je participe au défi littéraire qui s'appelle le pumpkin autumn challenge. On y trouve une ambiance cosy et parfois sans s’en rendre compte on y est déjà, en automne...
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