#l'art brut
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István ef Zámbó — Bone under the Television (oil on fibreboard, 1989)
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im thinking of starting to learn lace so i can start on my wedding dress
#no intention of getting married but it something i want to make and own#like that crazy lady whos wedding dress is in the musée de l'art brut tjat she made with loose threads in her asylums#as a little girl its something you're hyped up about and such an important moment#a day for you and your pretty dress#your function as a woman#the last piece of you before you give yourself away and no longer belong to yourself#now that im an adult i realise its not a good thing and also i realise how its bot quite reslistic#i still want to feel like a princess#maybe i need to make that dress to mourn that fantasy of a promised life that doesnt really have any bearings in reality
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L'ANALYSE DE FILM ET SES OBJETS
Je participe à ce colloque sur l'analyse de film, mi-octobre 2016. Je présenterai mon analyse d'un film (introuvable) sur l'art brut.
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Laure Pigeon (1882-1965, French) was born in Paris, France. Her mother, a professional laundress, died when Laure was five, leaving the little girl in the hands of her paternal grandmother, in Brittany. Laure received a strict education. At the age of 29, against the wishes of her family, she married a dental surgeon, but after 22 years of married life she separated from her husband, whose infidelity was discovered, and went to live in a boarding house. There she met a woman who initiated her into spiritualism. Fifteen years later she moved into an apartment in the Paris region where she practised spiritualism on her own.
In 1935 Laure Pigeon made her first drawing, which she hid from sight, attributing it to a medium. Laure drew abstract figures within a system of complex, tenuous webs, in blue or black ink. The drawings contained messages and prophecies, written in trance. The meaning of her messages is not clear. Laure's works were discovered in her home after her death.
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Madge Gill, Untitled, colour wool embroidery, Collection de l'Art Brut, Lausanne 2019
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Décors de Bois
Maisons traditionnelles en Norvège
Solvi dos Santos
Traduit du norvégien par Magny Telnes-Tan et Hélène Hervieu Adaptation de Sabine Arqué
Valmont Editeur, Paris 2000, 200 pages, 25x26cm, ISBN 9782908071788
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Dire que la Norvège est le pays du bois ne surprendra personne ! Et ce n'est pas un hasard si les Norvégiens sont passés maîtres dans l'art de travailler le bois, de le sculpter, le peindre, le décorer. .. Irremplaçable richesse naturelle, le bois des forêts norvégiennes a joué un rôle clé dans le développement économique et culturel du pays, particulièrement au début du XIXe siècle lorsque les émigrants venus de toute l'Europe s'installèrent, bâtissant, dans le style de leurs pays d'origine, des maisons en bois. Ainsi, cabanes de bûcherons et maisons de pêcheurs, églises et grandes demeures hanséatiques se côtoient, dans une étonnante diversité d'architectures et de décorations intérieures, où le bois omniprésent, laissé à l'état brut, teinté, blanchi ou vivement coloré se niche dans les moindres recoins, habille tout de sa vivante chaleur. Fresque de la vie quotidienne, simplement racontée par le biais d'anecdotes, "Décors de bois" est un récit passionnant qui couvre trois siècles d'histoire. C'est aussi un regard : celui de la photographe norvégienne Solvi dos Santos sur les décors inscrits dans sa mémoire, revisités, redécouverts pour donner à voir un art de vivre à la spontanéité naïve et vigoureuse, à la fraîcheur intacte, au naturel plus que jamais convoité.
29/12/23
#Norvège#maisons traditionnelles#Solvi dos Santos#Tapisserie ameublement#interior design#décors de bois#Norway#Norvegia#designbooksmilano#fashionbooksmilano
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Les souvenirs d'antan
Sont les crépitements
Provenant de l'âtre d'une cheminée
La source délicate
Et sucrée du pain d'épices
Et de cacao chaud
L'amertume d'un café corsé
Ils flottent dans l'atmosphère
Des fragrances de lavande,
Mélangées au doux parfum de fleur d'oranger
S'accorder le temps d'une parenthèse
Le temps d'un récit narratif
Tout en appréciant l'écoute musicale
Des perles de pluie,
Venues délicatement caresser les velux.
Les feuilles d'automne
Cèdent leur place aux flocons hivernaux.
À chacun sa bulle, son petit nid douillet
Cotons tout doux
Plumes d'anges
Enveloppé d'une douce chaleur apaisante.
Que vous soyez amateur de fanfictions
Ou que votre cœur chavire pour des idylles romanesques
Course poursuite vers des thèmes mystérieux et fantastiques
Récits alternatifs et enquêtes à résoudre
Ou encore vous laissez abondamment submerger
Par un côté somptueusement sombre
Passant de l'art gothique à un zeste de poésie
Écrit brut et masculin
En paradoxe a des extraits de fragilité féminine
Jusqu'à s'attarder un instant sur
Le désir ardent d'érotisme...
Et bien dans ce cas,
Vous êtes arrivés au bon endroit.
Ce compte est pour vous et moi.
Plongez dans mon univers.
Venez... et rêvez...
Un espace cocooning
Aménagé spécialement pour vous !
Oui, vous...
Pour tous les rêveurs et destiné à mes lecteurs.
Je vous souhaite du fond de mon cœur un bon voyage,
Une escapade poétique,
Un séjour magique et essentiellement une bonne lecture.
🥀 La Petite Rose Noire 🥀
✦͙͙͙*͙*❥⃝∗⁎.ʚ 🥀 ɞ.⁎∗❥⃝**͙✦͙͙͙
𝕰́𝖈𝖗𝖎𝖛𝖆𝖎𝖓 [𝕽𝖊́𝖈𝖎𝖙 𝖊𝖓 𝖋𝖗𝖆𝖓𝖈̧𝖆𝖎𝖘]
𝕿𝖊𝖝𝖙𝖊 𝖎𝖓𝖙𝖊́𝖌𝖗𝖆𝖑 𝖆̀ 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊𝖗 𝖘𝖚𝖗
𝖂𝖆𝖙𝖙𝖕𝖆𝖉 & 𝕴𝖓𝖐𝖎𝖙𝖙
𝕾𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖘𝖊𝖚𝖉𝖔 :
🥀 𝕷𝖆𝕻𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊𝕽𝖔𝖘𝖊𝕹𝖔𝖎𝖗𝖊 🥀
#wattpad#inkitt#rose#rose noire#ecrivain#aethestic#photography#poetry#poesie tumblr#poesia#fantasy#romance#romantic#romantique#dream#believe#ecriture#histoire#darkness#dark art#sensitive#citation#phrases#motivation#mots#auteur#my text#art#gothic#text
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Gaston Duf Rinâûçr'-hose; Ippûtâme vêche bêtes, 1948 paper pencil 22 x 18 cm - Photo credit Collection de l'Art Brut, Lausanne
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Alice Neel photographiée par Lynn Gilbert, New York, 1976.
Alice Neel (1900-1984) était une peintre américaine renommée pour ses portraits réalistes. Née à Merion Square, Pennsylvanie, elle a grandi dans une famille de la classe moyenne. Elle a commencé à s'intéresser à l'art dès son jeune âge et a poursuivi ses études à la School of Industrial Art à Philadelphie.
En 1921, elle s'est inscrite à la Philadelphia School of Design for Women (maintenant connue sous le nom de Moore College of Art and Design), où elle a développé une approche unique du portrait. Ses premières œuvres reflétaient l'influence du réalisme et de l'expressionnisme.
Dans les années 1930, elle a déménagé à New York, où elle a vécu dans divers quartiers, y compris Greenwich Village et Spanish Harlem. Cette période a été marquée par des défis personnels, y compris la perte de sa première fille et des difficultés financières. Malgré ces obstacles, elle a continué à peindre, se concentrant souvent sur les gens de son entourage.
Les portraits d'Alice Neel sont connus pour leur représentation psychologique profonde et leur honnêteté brute. Elle a peint une variété de sujets, y compris des amis, des voisins, des activistes, des artistes et des personnalités publiques. Ses œuvres offrent un aperçu des différentes couches sociales et culturelles de New York, notamment durant les époques de la Grande Dépression et des mouvements des droits civiques. Elle est célèbre pour avoir capturé l'essence des individus souvent invisibles aux yeux de la société américaine. Son œuvre, profondément ancrée dans une démarche de représentation des marginaux, des exclus, des malades mentaux, ainsi que des communautés portoricaines en proie à la pauvreté, offre un visage humain et poignant à ces groupes négligés.
Alice, qui se déclarait elle-même fascinée par les « perdants » tant dans la sphère politique que dans les tréfonds de la vie quotidienne, a produit des portraits intenses et dénués de tout artifice. Son travail se distingue nettement des mouvements d'avant-garde contemporains, souvent empreints d'abstraction, par sa crudité et son réalisme sans concession. Se considérant comme une « collectionneuse d'âmes », son art explore non seulement l'apparence extérieure de ses sujets, mais plonge également dans les méandres de la psyché humaine.
Dans son style unique, brut et authentique, elle a également abordé des sujets difficiles tels que la nudité, souvent représentée de manière crue et sans embellissement, et des thèmes sociaux poignants, y compris les femmes enceintes ou victimes de violences domestiques. Par ces représentations, elle a remis en question les conventions traditionnelles de la représentation féminine dans l'art.
Dans les années 1960 et 1970, la reconnaissance d'Alice Neel a augmenté, notamment avec une exposition individuelle à la Whitney Museum of American Art en 1974. Ses œuvres ont été saluées pour leur approche non conventionnelle et leur commentaire social poignant.
Alice Neel est décédée en 1984, mais son héritage persiste. Elle est considérée comme l'une des portraitistes les plus importantes du 20e siècle, ayant influencé de nombreux artistes contemporains. Reconnue pour son indépendance et son caractère affirmé, elle fut pionnière dans la liaison des luttes de sexes, de classes et des questions d'origine à travers ses œuvres. Aujourd'hui, elle est célébrée comme une icône du féminisme et un modèle d'engagement, continuant d'inspirer les nouvelles générations d'artistes féminines. Son travail continue d'être exposé dans des musées et des galeries du monde entier.
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Robert Tatin (1902-1983) — Arcane XXI [oil on canvas, 1968]
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youtube
I'm watching this series. It's good. In this episode, Cocker visits the Collection de l'Art Brut in Lausanne, Switzerland. He interviews the currator of the museum, who says that people go through a bad period of life, ages 10 - 50, when they are concerned with fitting in and making money. After 50, they become worthless as producers or consumers, so they become free to make art. He was referring to outsider artists, not professionals. Outsider artists tend to start later.
I don't totally agree with the museum curator, but I do think he's got a good point. Being a visionary artist is incompatible with making money. You can't serve God and mammon. (Many outsider artists do see themselves as serving God, but I'm using the phrase here in a loose way.) And I'm not the only person who began to notice, around 50, that other people's opinions don't matter much. I feel much freer to create art and music now than I did 10 or 20 years ago. And I like the stuff I'm doing now more than anything I did before.
Pretty thought provoking, for an old series I put on to have something to listen while I do some embroidery.
#outsider art#art brut#jarvis cocker#sordidamok!#be free make art#make art everyday#make art#art#Youtube
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Anonymus: untitled, undated silver print Atelier de numerisation, Collection de L'art Brut, Lausanne
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L’ART DE L’ÊTRE
Je réactualise mon manifeste et le courant artistique que j’avais nommé l’’art léger’’ devient l’ ‘’art de l’être’’ (la légèreté est trop confondante avec la superficialité.)
L’art de l’être est un art de la NÉCESSITÉ et du BESOIN AUTHENTIQUE de l’artiste. Voilà 50 ans que les critiques, philosophes, historiens, nous barbent avec la modernité, la post-modernité et ne savent ni la définir précisément, ni mettre un terme à l’effondrement de cette période car ils ne savent pas dire d’où viendra la NOUVEAUTÉ. La nouveauté réelle émerge de l’intérieur de chacun dès lors que l’individu s’ouvre à son être, suit ses BESOINS AUTHENTIQUES et définit ainsi sa RÉALITÉ NOUVELLE. Le propre de la modernité, qui s’est développée après 2e guerre, est d’avoir célébré le monde de l’avoir, de l’artifice, du paraitre, de la forme pour la forme mais surtout d’avoir CÉLÉBRÉ et CULTIVÉ les BESOINS NON-ESSENTIELS. Cette célébration du besoin non-essentiel était une réponse inconsciente au choc traumatique de la grande guerre, qui nous a totalement anesthésié les sens et l’intelligence, nous plongeons ainsi dans une destruction programmée de nous-même et de notre environnement .
La création est le besoin essentiel et racine de l’être, qui désigne en nous notre haut potentiel, notre dieu intérieur, notre créateur. La créativité est le biais au travers duquel l’être peut s’épanouir en continu tout au long de ses existences (la mort n’est pas une fin définitive, seulement la fin d’une existence permettant ensuite un ‘’upgrade’’ dans l'existence suivante .) La création est un besoin qui se fait sentir de l’intérieur, qui ressemble à la fois à la soif, à la faim, au désir, au stress et à la douleur en même temps mais en beaucoup plus subtil. La raison pour laquelle l’art d’aujourd’hui ne sait plus se renouveler et s’enterre dans la citation, la répétition, le formalisme, l’illustration, la narration etc… C’est que les artistes n’osent plus ressentir ce besoin car ils recherchent la sécurité et la validation, faisant de l'art une entreprise narcissique : ils cherchent d’abord à épouser les codes et les conventions avant même d’épouser leur nécessité. Ils répondent à des commandes posées par des commanditaires coupés de leurs réels besoins. Quand ton besoin, c’est juste ton image de marque et ton argent, tu sers des besoins narcissiques et donc superficiels, non-essentiels. C’est cela même, qui rend l’art vide et MORT.
L’être est notre principe de vie éternel : c’est notre enfant intérieur, notre flamme, notre courant éléctrique de vie, le jus de vie qui nous anime du dedans. L’art de l’être est un art qui conduit à l’éveil.
L’art de l’être est un art LIBRE car DÉLIVRÉ DE LA SOUFFRANCE - et c’est ce qui le différencie de l’art brut. L’art brut (ainsi que l’art singulier, l’outside art, le folk art) est également un art de la nécessité et du besoin authentique mais n’a jamais été réellement libre du fait de l’enfermement mental des artistes.
L’artiste de l’être a conscience que son oeuvre commence d’abord EN LUI-MÊME : il a effectué son ALCHIMIE INTÉRIEURE (il a ‘’cramé ses morts’’) il s’est délivré de son drame personnel et affranchi de ses conditionnements victimaires ainsi que de toutes les influences néfastes qui en découlent (doutes, dévalorisation, addictions, pensées parasitaires, insécurité psychologiques, besoins narcissiques…) Il s’est émancipé de la ‘’voix des autres’’, des influences du milieu dans lequel il a grandit pour s’auto-enfanter lui-même, établir une relation d’amour et de confiance avec lui-même et suivre et écouter sa propre voi(e)x.
L’artiste de l’être est un MÉDIATEUR ENTRE LE VISIBLE ET L’INVISIBLE : il utilise les formes du visible pour représenter l’intensité de la présence (invisible) à savoir le contact de l’homme avec son être, avec son propre PRINCIPE DE VIE ÉTERNEL.
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Attribution: Zizi aka Marcel Drouin (France, 1914-?). Animal, no date, colored pencil and felt tip marker on cardboard, 16.6 x 19.6 cm. Seen in Les Contes de Perrault Illustrés par L'art Brut, eds. Celine Delavaux and Bernadette Bricout (Paris: Éditions Diane de Selliers, 2020). I am always interested in graphic accompaniments to Puss in Boots by Charles Perrault (France, 1628-1703), and this one is particularly interesting because of the juxtaposition of the classic story with the work of an outsider artist. @editionsdianedeselliers
#cats in art#art brut#animals in art#zizi#Marcel brouin#outsider art#outsider artist#french artist#drawing#zeichnung#puss in boots#chat botte#charles perrault#magic marker#magic marker art#colored pencil#dessin#dibujo
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DANS LA MAISON D'AMOUR
Après Thriller
La fin de Gremlin
Le sado-maso
Le vulgaire
L'art alien recule
Ligne de front
L'art brut
Jean Crié disant
Guerrières peinturées
Vive les putes
Mardi 22 octobre 2024
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