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Décors de Bois
Maisons traditionnelles en Norvège
Solvi dos Santos
Traduit du norvégien par Magny Telnes-Tan et Hélène Hervieu Adaptation de Sabine Arqué
Valmont Editeur, Paris 2000, 200 pages, 25x26cm, ISBN 9782908071788
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Dire que la Norvège est le pays du bois ne surprendra personne ! Et ce n'est pas un hasard si les Norvégiens sont passés maîtres dans l'art de travailler le bois, de le sculpter, le peindre, le décorer. .. Irremplaçable richesse naturelle, le bois des forêts norvégiennes a joué un rôle clé dans le développement économique et culturel du pays, particulièrement au début du XIXe siècle lorsque les émigrants venus de toute l'Europe s'installèrent, bâtissant, dans le style de leurs pays d'origine, des maisons en bois. Ainsi, cabanes de bûcherons et maisons de pêcheurs, églises et grandes demeures hanséatiques se côtoient, dans une étonnante diversité d'architectures et de décorations intérieures, où le bois omniprésent, laissé à l'état brut, teinté, blanchi ou vivement coloré se niche dans les moindres recoins, habille tout de sa vivante chaleur. Fresque de la vie quotidienne, simplement racontée par le biais d'anecdotes, "Décors de bois" est un récit passionnant qui couvre trois siècles d'histoire. C'est aussi un regard : celui de la photographe norvégienne Solvi dos Santos sur les décors inscrits dans sa mémoire, revisités, redécouverts pour donner à voir un art de vivre à la spontanéité naïve et vigoureuse, à la fraîcheur intacte, au naturel plus que jamais convoité.
29/12/23
#Norvège#maisons traditionnelles#Solvi dos Santos#Tapisserie ameublement#interior design#décors de bois#Norway#Norvegia#designbooksmilano#fashionbooksmilano
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Tables Consoles Modernes & Meubles Consoles En Bois | Sweetdeco.com
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🍁 DÉCORATION DE TABLE 🍁
D'AUTOMNE
Je dirai que pour moi, l'Automne est la saison la plus riche en terme d'idées et d'éléments décoratifs.
La Nature, les Forêts nous offrent des trésors pour nos tables de réception.
Pour ce qui est des Palettes de Couleurs, vous n'avez que l'embarras du choix !
Choisissez des teintes chaudes, comme les Oranges foncés, les Bordeaux riches et les Jaunes dorés qui reflètent la beauté de la Saison.
Ces couleurs évoquent une atmosphère chaleureuse et romantique qui complète le paysage naturel.
Vous pouvez également envisager d'incorporer des nuances de Vert Olive ou de Taupe doux pour ajouter de la profondeur.
N'hésitez pas non plus à mélanger les textures.
Des chemins de table en velours d'un Rouge profond peuvent créer un contraste saisissant avec des tables en bois, tandis que des serviettes en lin d'un or discret peuvent rehausser la sophistication générale.
Vous pouvez même jouer avec des accents métalliques comme le Cuivre ou le Laiton pour ajouter une touche d'élégance !
Concernant les Compositions Florales, utilisez des fleurs de saison dans la palette de votre choix.
Tons chauds, les Tournesols, les Dahlias et les Chrysanthèmes peuvent égayer vos tables et harmoniser magnifiquement votre thème.
Des feuillages de saison comme des feuilles d'eucalyptus ou d'érable renforceront cette ambiance Automnale.
Vous pouvez également intégrer des éléments naturels que vous aurez rapportés de vos promenades dans la Forêt, des glands, des chataignes, des branchages.
Pensez à utiliser de petites citrouilles ou des courges comme décorations de base et créer ainsi une composition discrète avec un mélange de fruits, comme des pommes et des poires.
Cette combinaison ajoutera de la texture et de la couleur tout en gardant votre table propice aux conversations.
Optez pour des nappes qui complètent la palette de couleurs que vous avez choisie, Bordeaux, Orange ou Jaune doré.
Une nappe plus claire surmontée d'un chemin de table plus foncé peut ajouter de la profondeur et de l'élégance !
Des serviettes en tissu aux couleurs ou motifs contrastés peuvent créer un impact visuel agréable.
Pour la Table, choisissez une vaisselle élégante qui correspond à votre thème général. Des touches d'or ou de cuivre rehaussent le décor, tandis que la poterie rustique apporte une touche chaleureuse.
Des dessous d'assiettes apporte un look soigné et des Bougies ou des petites Lanternes, plus de chaleur.
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Découvert !
Je vais vous partager ici un moment intime qui m'a attiré des moqueries et de l'incompréhension...
J'étais étudiant, j'avais mon logement, et depuis maintenant plusieurs années, je m'achetais mes culottes. Elles étaient féminines, avec de la dentelle, du satin... et je les portais au quotidien. J'avais pris soin aussi de m'acheter un lot de "Sloggi" pas trop féminines que je portais pour faire du sport.
J'allais de temps en temps à la piscine avec les copains et cela ne me posait pas de problème, je trouvais toujours une cabine individuelle pour me changer en toute discrétion.
Sauf, qu'une fois, je ne sais plus pour quelle raison, les cabines n'étaient pas disponibles et il m'a fallu partager les vestiaires collectifs.
Pour le déshabillage, j'ai réussi à me faire discret, prétextant avoir perdu mes clefs à l'accueil, je me suis changé lorsque les autres avaient quitté le vestiaire.
Lors de notre retour du bain, il n'en a pas été de même. J'ai tenté tant bien que mal d'enfiler discrètement ma culotte en me cachant sous ma serviette. Mais elle est tombée ! J'étais de dos, en culotte blanche et je priais pour que personne ne remarque le petit décors de la ceinture.
Trop tard !
Un des garçons a dit tout haut : "Mais ! C'est un slip de fille ! Ma sœur a les mêmes !"
J'ai tenté de me justifier, dire que je m'étais trompé de tiroir avec ma copine du moment... Rien n'y a fait. J'ai été le sujet de toutes les moqueries possibles.
Depuis ce jour là, j'ai changé de copains car aucun ne m'a compris, et je ne suis plus jamais retourné à la piscine sans m'assurer de la disponibilité des cabines.
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DISCOVERED !
I'm going to share with you here an intimate moment that attracted mockery and incomprehension…
I was a student, I had my accommodation, and for several years now, I had been buying my underwear. They were feminine, with lace, satin… and I wore them every day. I also took care to buy myself a set of not-too-feminine “Sloggi” that I wore when doing sports.
I went to the swimming pool with friends from time to time and that didn't pose a problem for me, I always found an individual cabin to change in complete discretion.
Except, once, I don't remember why, the cabins were not available and I had to share the collective changing rooms.
When undressing, I managed to be discreet, pretending to have lost my keys at reception, I changed when the others had left the locker room.
When we returned from the bath, it was not the same. I tried as best I could to discreetly put on my panties by hiding under my towel. But she fell! I was facing away, in white panties and I prayed that no one would notice the little decoration on the belt.
Too late !
One of the boys said out loud: "But! Those are girls' underwear! My sister has the same ones!"
I tried to justify myself, to say that I had gone to the wrong drawer with my current girlfriend… Nothing worked. I was the subject of every possible mockery.
Since that day, I changed friends because none of them understood me, and I never went back to the pool without checking that the cabins were available.
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"Aucune histoire banale gravée dans ma mémoire Aucun bateau pirate ne prendra le pouvoir Aucune étoile filante me laissera dans le noir Aucun trac, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucune larme aucune ne viendra m'étrangler Aucun nuage de brume dans mes yeux délavés Aucun sable ni la dune n'arrête le sablier Aucun quartier de lune, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun autre décor, aucun autre que toi Aucune clef à bord, aucune chance pour moi Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun requin, aucun air triste Aucun regret, aucun séisme Aucune langue de bois Aucun chaos, aucun, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large" Françoise Hardy
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"Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "À demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos cœurs, va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or, tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel, se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas, tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je s'rai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie ciel et la terre, se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore, il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort" Françoise Hardy
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Destinée Enchantée
Chapitre 9 : Un secret bien gardé
Ce chapitre contient une scène 🔞 elle resta en route pour que veux que ceux qui ne ce sente pas a l’aise puisse ne pas la lire
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Dans la pénombre du caveau de Regina, l'atmosphère était chargée de mystère et d'anticipation. Les murs en pierre, humides et froids, étaient ornés de vieux grimoires et de potions mystérieuses, créant un décor à la fois intimidant et fascinant. Lucillia, une jeune femme aux yeux pétillants d'enthousiasme, se tenait au centre de la pièce, entourée d'une lueur vacillante émanant de bougies disposées sur une table en bois ancien.
Regina, avec une aura de puissance et de sagesse, observait Lucillia avec un mélange de fierté et de bienveillance. Elle s'approcha lentement, ses mouvements gracieux et sûrs, comme si chaque geste était empreint d'une intention profonde. La lumière dans la pièce dansait sur son visage, révélant des traits marqués par des années de luttes et de triomphes.
Alors que Regina commençait à expliquer les bases de la magie, Lucillia l'écoutait avec une attention soutenue, ses yeux brillants d'admiration. La jeune fille se tenait droite, ses mains légèrement tremblantes, trahissant son excitation mêlée à une certaine appréhension. Regina, consciente de l'importance de ce moment, prenait soin de créer un environnement où Lucillia se sentirait à l'aise pour poser des questions et explorer ses capacités.
Des notes de parfum d'herbes et de fleurs séchées flottaient dans l'air, ajoutant une dimension presque envoûtante à l'ambiance. Regina, avec un léger sourire, commençait à tracer des symboles dans l'air, des éclats de lumière scintillant autour d'eux, tandis que Lucillia, captivée, tentait de reproduire les gestes de sa mentor. Ce moment, empreint de magie et de connexion, marquait le début d'un apprentissage qui changerait à jamais le destin des deux femmes.
Regina s'approcha de la table, un grand vase en céramique dans les bras, décoré de motifs délicats et colorés qui captivaient le regard. Elle le déposa avec soin devant Lucillia, le bruit sourd du vase résonnant dans le silence de la pièce. Regina, avec un sourire encourageant, leva les yeux vers la jeune femme et déclara d'une voix ferme :
« Vas-y, détruis-le. »
Lucillia, les yeux écarquillés, se figea un instant. La panique se lisait sur son visage alors qu'elle dévisageait le vase, son cœur battant la chamade
. « Je ne peux pas ! » s'exclama-t-elle, sa voix trahissant son anxiété. « Je vais tout faire exploser ! »
Elle reculait légèrement, comme si l'idée même de briser l'objet lui semblait insurmontable.Regina, voyant l'effroi dans les yeux de Lucillia, s'approcha d'elle avec douceur. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, lui offrant un ancrage dans ce moment de tourmente.
« Écoute-moi, Lucillia, » dit-elle d'une voix apaisante. « J'ai confiance en toi. Tu peux le faire. Tu as en toi la force nécessaire. »
Ses mots, empreints de conviction, résonnaient dans l'air, créant une bulle de soutien autour d'elles. Lucillia, inspirant profondément, commença à ressentir un mélange de détermination et d'appréhension. Elle plongea son regard dans celui de Regina, cherchant du réconfort dans la confiance que sa mentor lui témoignait un sourire d'encouragement sur les lèvres.
Lilia savais que Lucillia avait un rendez-vous avec Regina pour sa magie. La pensée lui provoqua un frisson d'irritation. Elle détestait ces séances,. Le visage de Regina, avec son sourire confiant et ses yeux pétillants d'excitation, lui revenait en mémoire, et cela ne faisait qu'accroître son agacement.
Décidée à ne pas laissez Lucillia avec Regina , Lilia se dirigea vers la cave de Regina. Les murs de la maison semblaient se resserrer autour d'elle alors qu'elle descendait les marches étroites, chaque pas résonnant dans le silence. L'air devenait plus frais, chargé d'une odeur terreuse et de mystère. Les ombres dans la cave dansaient autour d'elle, créant une atmosphère à la fois inquiétante et fascinante.
Arrivée au bas des marches, elle observa les étagères encombrées d'objets étranges, de fioles scintillantes et de livres anciens, témoins d'un savoir ancien. Lilia se sentait à la fois attirée et repoussée par cet endroit, un sanctuaire de magie qui lui était étranger.
Lilia observait la scène avec un mélange de frustration et d'inquiétude. Elle se tenait à l'écart, cachée derrière une porte entrouverte, les bras croisés et le visage légèrement plissé. Regina était là, derrière Lucillia, leurs corps trop proches à son goût. Les mains de Regina reposaient sur les épaules de Lucillia, une proximité qui lui semblait inappropriée.
Lucillia, dans un élan de confiance, fit exploser la vase, la céramique se brisant en mille morceaux qui scintillaient dans l'air. Un silence stupéfait suivit l'explosion, avant que Regina ne laisse échapper un éclat de rire.
« Oui ! C'est incroyable ! » s'exclama Regina, en serrant Lucillia dans ses bras.
Lilia sentit une vague de jalousie l'envahir en voyant la fierté sur le visage de Regina, son regard brillant comme si elle venait de découvrir un trésor. À cet instant précis, Lilia décida qu'elle ne pouvait plus rester silencieuse. Elle s'avança, le ton de sa voix tranchant à travers l'euphorie ambiante.
« Je vois que les cours se passent bien. »
Ses mots résonnèrent dans la pièce, interrompant le moment tendre entre les deux filles. Regina se tourna vers elle, surprise, tandis que Lucillia se dégageait doucement de l'étreinte de sa mentor, son visage affichant une expression de surprise.
Regina, les bras croisés et un sourire provocateur sur le visage, lança à Lilia : « Je ne me souviens pas vous avoir invitée dans mon caveau. » Son ton était à la fois sarcastique et défiant, comme si elle cherchait à provoquer une réaction.
Lilia, imperturbable, répondit d'un air calme : « Vous devriez fermer la porte alors. » Ses mots étaient simples mais pleins de sous-entendus, une manière de rappeler à Regina qu'elle n'était pas la seule à avoir son mot à dire.
Regina ouvrit la bouche pour répliquer, mais Lucillia, toujours attentive à l'ambiance, posa doucement sa main sur le bras de Regina. « Attends, Regina, » dit-elle d'une voix douce, « Toi, ça va, Lilia ? » Son regard était sincère, cherchant à apaiser les tensions.
Lilia, touchée par l'inquiétude de Lucillia, répondit : « Oui, je voulais voir comment tu t'en sortais. » Elle se força à sourire, tentant de masquer la tension qui l'habitait.
Regina, ne pouvant s'empêcher de s'immiscer dans la conversation, ajouta avec un ton un peu trop enjoué : « Elle s'en sort très bien. » Son regard était plein de malice, comme si elle voulait faire passer un message à Lilia.
Ignorant délibérément Regina, Lilia se tourna vers Lucillia avec un sourire chaleureux. « Je me disais que, maintenant que tu as fini avec Regina, on pourrait aller faire un tour en ville ? » proposa-t-elle, espérant changer l'atmosphère et offrir à Lucillia une échappatoire loin des tensions présentes.
Lucillia, les yeux brillants d'excitation à l'idée d'une sortie, acquiesça avec enthousiasme, tandis que Regina, observait la scène, les bras toujours croisés, consciente que son emprise sur Lucillia était en train de s'effriter.
☆○o。 。o○☆
Ivana était assise à une petite table en bois, la chaleur du chocolat chaud réchauffant ses mains, mais son esprit était ailleurs. Les murs du Ganny's, décorés de vieilles photos et de souvenirs, semblaient vibrer autour d'elle, mais elle ne les remarquait même pas. Ses pensées tourbillonnaient comme la crème qui flottait sur sa boisson, et un silence pesant s'était installé entre elle et Emma.
Emma, les yeux pétillants de curiosité, observa son amie avec une inquiétude croissante. Elle ne pouvait pas ignorer le fait qu'Ivana n'avait pas prononcé un mot depuis qu'elles étaient arrivées.
« Ivana, qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais directe, brisant le silence.
Ivana leva lentement les yeux, surprise par la question. Elle cligna des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. « Je... je ne sais pas, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Elle jouait avec la cuillère dans sa tasse, ses pensées encore embrouillées.
Emma pencha la tête, l'inquiétude se lisant sur son visage. « Tu sembles vraiment préoccupée. Tu fais la même temps que Henry quand il ne veux pas le dire ce qui se passe. » Elle s'approcha un peu plus, cherchant à créer un espace sûr pour que son amie puisse s'ouvrir.
Ivana lâcha un rire franc, le son résonnant joyeusement dans le petit café, attirant quelques regards curieux des autres clients. Elle leva sa tasse de chocolat chaud à ses lèvres, savourant la chaleur qui se répandait dans son corps, avant de poser son regard sur Emma. Leurs yeux se croisèrent, et un moment de silence s'installa, chargé d'anticipation.
« Je suis sûr que tu vas te moquer de moi ou même que ça ne va pas t'intéresser, » dit-elle finalement, sa voix teintée d'une légère nervosité.
Emma, les sourcils froncés dans un mélange de surprise et de détermination, secoua la tête vigoureusement. « Détrompe-toi, ça m'intéresse vraiment, » répondit-elle, sa voix douce mais ferme, comme pour rassurer son amie.
Ivana, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres, se pencha un peu plus près de la table, comme si elle allait partager un secret. « Même si ça concerne Agatha ? » demanda-t-elle, l'excitation et l'appréhension se mêlant dans sa voix.
Emma, les sourcils froncés, observa Ivana avec une inquiétude grandissante. Elle pouvait sentir que quelque chose pesait lourd sur le cœur de son amie.
« Qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais empreinte de préoccupation.
Ivana, évitant le regard d'Emma, baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade autour de son visage. Elle chuchota, presque inaudible, « Agatha a failli m'embrasser. »
Emma, n'ayant pas bien entendu, pencha légèrement la tête, ses yeux s'agrandissant. « Quoi ? Répète, s'il te plaît. »
Après un moment d'hésitation, Ivana prit une profonde inspiration et, d'une voix plus claire mais tremblante, répondit, « Agatha a failli m'embrasser hier soir, mais ne l'a pas fait. Je ne comprends pas son comportement. »
Les mots d'Ivana flottaient dans l'air, et Emma sentit son cœur se serrer. Elle s'approcha un peu plus, cherchant à saisir toute l'ampleur de la situation.
« Qu'est-ce que tu veux dire par 'a failli' ? » demanda-t-elle, son ton encourageant, comme pour inciter Ivana à s'ouvrir davantage.
Ivana leva enfin les yeux, une lueur d'incertitude dans son regard. « C'était tellement inattendu... Je ne sais pas si elle ressent quelque chose pour moi ou si c'était juste un moment. »
Emma, touchée par la vulnérabilité de son amie, posa une main réconfortante sur le bras d'Ivana. « Peut-être qu'il faut lui en parler. Ça pourrait t'aider à comprendre ce qu'elle ressent vraiment. »
Ivana soupira, son regard se perdant dans le vide. « Oui, mais j'ai peur de ce qu'elle pourrait dire... et de ce que cela pourrait changer entre nous. C'était la meilleure amie de ma mère et .. fin c'est très compliqué. »
Le café, avec ses bruits de tasses et de conversations, semblait s'éclipser autour d'elles, laissant place à une bulle de tension et d'espoir, où chaque mot échangé pesait lourd de sens.
Emma, avec un sourire délicat qui illuminait son visage, prit une profonde inspiration avant de s'adresser à Ivana. « Rien n'est jamais facile, mais je sais que si vous continuez à fuir, ça ne va pas s'arranger. »
Ivana, touchée par les mots d'Emma, esquissa un sourire en retour. « Tu peux parler, madame. Je ne fais pas de premiers pas avec Crochet. »
Emma fronça les sourcils, un mélange de surprise et de désaccord dans son regard. « Non, ne nie pas ! » insista-t-elle, sa voix prenant un ton plus sérieux. « Vous vous regardez avec amour et tu ne bouges pas tes fesses ! »
Emma éclata de rire, la tension s'estompant légèrement. « Oh vraiment ? Tu crois que je suis la seule à ne pas agir ? Et toi, qu'est-ce que tu attends ? »
Ivana, amusée, secoua la tête. « Tu es incorrigible. »
Leurs rires résonnèrent dans l'air, créant une bulle de camaraderie et d'encouragement, alors qu'elles savaient toutes les deux que parfois, il fallait simplement oser pour avancer.
☆○o。 。o○☆
C'était le début de l'après-midi, le soleil brillait haut dans le ciel, projetant des ombres dansantes sur le sol du dojo. Ivana se tenait au centre, son cœur battant d'excitation et de nervosité. Il avait toujours rêvé de maîtriser l'art du combat à l'épée, et aujourd'hui, il avait enfin l'occasion de le faire. David,se tenait à quelques pas d'elle , une épée en main, son regard concentré et encourageant.
« Prête ? » demanda David, un sourire confiant sur le visage. « Souviens-toi, la clé est dans la posture. Tiens-toi droit et garde les yeux sur moi. »
Ivana hocha la tête, essayant de calmer les battements de son cœur. « Oui, je suis prête. Je vais essayer de ne pas te décevoir. »
« Tu ne peux pas me décevoir si tu donnes le meilleur de toi-même, » répondit David, se déplaçant lentement pour montrer le mouvement. « Regarde bien. »
David exécuta une série de mouvements fluides, l'épée dansant dans l'air avec grâce. Ivan observa attentivement, notant chaque détail, chaque geste. Il ressentait l'énergie et la passion que David mettait dans chaque coup.
« Maintenant, à ton tour ! » lança David, un éclat d'enthousiasme dans les yeux. « Essaie de reproduire ce que je viens de faire. »
Ivana prit une profonde inspiration, leva son épée et tenta de reproduire les mouvements. Au début, il était hésitant, ses gestes manquant de confiance. David l'encouragea avec des mots réconfortants.
« C'est bien, continue ! N'oublie pas de respirer et de te concentrer. »
Après plusieurs tentatives, Ivan commença à se sentir plus à l'aise. « Regarde, je pense que je commence à comprendre ! » s'exclama-t-il, un sourire éclatant sur son visage.
« Exactement ! » s'enthousiasma David. « Tu progresses rapidement. Je savais que tu avais du potentiel. »
Les deux continuèrent à s'entraîner, leurs rires et leurs encouragements résonnant dans l'air chaud de l'après-midi. David était ravi de partager ce moment avec Ivana, sachant que chaque coup d'épée rapprochait forgeait des souvenirs inoubliables.
Alors qu'Ivana et David continuaient leur entraînement, le soleil commençait à descendre lentement à l'horizon, projetant des teintes dorées sur le dojo. Les bruits des épées s'entrechoquant résonnaient dans l'air, accompagnés de rires et de cris d'encouragement. Ivana, concentrée sur ses mouvements, se tenait près de David, leurs corps se frôlant parfois dans l'excitation du combat.
Mary-Margarette, adossée à un mur, observait la scène avec une expression de mécontentement croissante. Son regard se posait sur David, admirant son aisance avec l'épée, mais une pointe de jalousie s'insinuait dans son cœur. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui se passait entre lui et Ivana.
Lilia, perchée sur un banc à proximité, remarqua le changement d'expression sur le visage de Mary-Margarette. Elle s'approcha d'elle, prenant un ton apaisant.
« Mary-Margarette, pourquoi es-tu si tendue ? » demanda-t-elle doucement.
Mary-Margarette croisa les bras, son regard toujours fixé sur le duo. « Tu ne vois pas comment ils se regardent ? C'est... c'est trop proche, » répondit-elle, la frustration dans sa voix.
Lilia soupira, comprenant la jalousie qui rongeait son amie. « Écoute, peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ? » dit-elle, posant une main sur l'épaule de Mary-Margarette. « Il n'y a rien entre eux. Ils s'entraînent juste. »
Mary-Margarette tourna la tête vers Lilia, ses yeux cherchant une assurance. « Mais... » commença-t-elle, mais Lilia l'interrompit.
« Regarde-les, » insista Lilia, désignant Ivana et David qui riaient ensemble après une série de mouvements. « David est là pour aider Ivana rien de plus. Tu dois leur faire confiance. »
Mary-Margarette soupira, son regard se radoucissant alors qu'elle observait à nouveau la scène. « Peut-être que tu as raison, » admit-elle, bien que des doutes subsistent dans son esprit.
« Bien sûr que j'ai raison, » répondit Lilia avec un sourire encourageant.
Avec un léger sourire, Mary-Margarette acquiesça mais n'en n'était pas certaine.
Mary-Margarette se tenait à l'écart, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle observait la scène qui se déroulait devant elle. Les rayons du soleil couchant filtraient à travers les arbres, créant des ombres dansantes sur le sol, mais pour elle, tout cela semblait flou et lointain. Son regard était fixé sur David, qui riait avec Ivana, son sourire illuminant son visage. Elle pouvait presque sentir la chaleur de leur complicité, comme une flamme qui la brûlait de l'intérieur.
Chaque éclat de rire de David résonnait comme un coup de poignard dans son cœur, et elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'ils partageaient, ce qui lui échappait. Les yeux de David brillaient d'une admiration sincère pour Ivana, et Mary-Margarette se sentait comme une spectatrice d'une pièce de théâtre où elle n'avait pas de rôle. La jalousie s'insinuait en elle, comme une ombre sournoise, la rendant de plus en plus mal à l'aise.
Elle se mordait la lèvre inférieure, réfléchissant à une solution, à quelque chose qui pourrait attirer l'attention de David loin d'Ivana. Ses pensées tourbillonnaient, passant d'une idée à l'autre, mais aucune ne semblait assez bonne. Elle savait qu'elle devait agir, mais comment pouvait-elle rivaliser avec la lumière que semblait dégager Ivana ?
Mary-Margarette se leva, ses jambes tremblantes sous l'effet de l'anxiété. Elle devait trouver un moyen de briser cette connexion, de rétablir l'équilibre dans leur dynamique. Peut-être un petit commentaire, une blague, quelque chose qui pourrait faire rire David et le ramener vers elle. Alors qu'elle avançait, son esprit était en ébullition, mais son cœur savait qu'elle devait faire face à cette situation, coûte que coûte.
Mary-Margarette se tenait près du terrain d'entraînement, le soleil commençant à descendre à l'horizon, projetant une lumière dorée sur tout ce qui l'entourait. Elle regarda David, qui était en train de donner des instructions à Ivana, son visage illuminé par l'enthousiasme. Les rires résonnaient dans l'air, mais une inquiétude sourde grandissait en elle.
« Il se fait tard et nous devons préparer le repas pour Henry, » dit-elle d'une voix qui trahissait une légère nervosité, espérant attirer l'attention de David.
David se tourna vers elle, son sourire s'élargissant. « Oui, c'est vrai, tu as raison, Mary-Margarette. » Il jeta un dernier regard à Ivana, ses yeux pétillants de complicité. « Mais je dois dire qu'Ivana a vraiment bien progressé aujourd'hui. »
Mary-Margarette sentit une petite boule de jalousie se former dans son ventre, mais elle garda son calme. « Oui, elle est très douée, » répondit-elle en essayant de garder un ton neutre.
« Merci, David, » sourit Ivana, visiblement flattée par le compliment. « J'apprécie vraiment ton aide. »
David se tourna à nouveau vers Mary-Margarette, son expression devenant plus sérieuse. « Alors, qu'est-ce qu'on prépare pour Henry ce soir ? »
« Je pensais à quelque chose de simple, peut-être des pâtes avec une sauce tomate, » proposa-t-elle, cherchant à s'ancrer dans la réalité de leur tâche.
« Parfait, j'adore les pâtes, » répondit David en lui adressant un clin d'œil, avant de se tourner vers Ivana. « Et toi, tu devrais venir manger avec nous un soir. »
Mary-Margarette sentit une vague de frustration, mais elle se força à sourire. « Oui, ce serait sympa, » ajouta-t-elle rapidement.
Alors que David et Mary-Margarette s'éloignaient, elle ne pouvait s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à Ivana, qui semblait rayonnante sous les compliments de David.
« Allez, on y va, » dit-elle, déterminée à ne pas laisser ses émotions prendre le dessus.
☆○o。 。o○☆
Ivana venait de rentrer chez elle, le cœur encore lourd des tensions de la soirée passée avec David et Mary-Margarette. Le dîner avait été un véritable tableau de malaises, où les conversations forcées et les sourires crispés avaient dominé l'atmosphère. Heureusement, Henry avait été là, apportant une lueur de réconfort au milieu de cette ambiance pesante.
Une fois dans sa chambre, Ivana se laissa tomber sur le seuil, un soupir profond s'échappant de ses lèvres. Elle jeta sa veste sur la chaise près de la porte, le tissu tombant avec un bruit sourd, comme si même la veste ressentait le poids de la soirée. Ses épaules s'affaissèrent sous le fardeau des émotions accumulées, et elle ferma les yeux un instant, espérant que le silence de sa chambre apaiserait son esprit tourmenté.
Ivana avait une seule envie : se plonger sous les draps, loin des souvenirs de cette soirée désagréable.
Ivana commença à s'approcher de la salle de bains, ses pensées encore embrouillées par les événements de la soirée. Elle était à peine en train de poser sa main sur le poignet de la porte lorsque celle de sa chambre s'ouvrit brusquement. C'était Agatha, son regard perçant la pénombre de la pièce.
« C'est à cette heure-ci que tu rentres ? » demanda Agatha, sa voix teintée d'une pointe de jalousie. Elle se tenait là, les bras croisés, une expression mêlant inquiétude et reproche sur le visage.
Ivana regardait Agatha avec surprise, mais aussi colère. Comment osait-elle ? Ses yeux s'écarquillèrent, et un soupir s'échappa de ses lèvres, trahissant son agacement.
« Non mais je rêve ! Déjà, tu rentres sans autorisation et ensuite tu me fais des reproches ? » s'exclama-t-elle, la voix tremblante d'indignation.
Agatha, imperturbable, croisa les bras et haussait les épaules avec désinvolture. « Je me demandais juste où tu étais. Tu ne donnais aucune nouvelle, » répondit-elle, comme si cela justifiait son intrusion.
Ivana lâcha un rire nerveux, perplexe face à l'attitude d'Agatha. Elle se demandait ce qui se passait dans sa tête. « La bonne blague ! C'est toi qui m'embrasses presque pour au final repartir sans me donner aucune nouvelle, et là tu veux faire style que tu t'inquiètes ? » sa voix s'élevait, chaque mot chargé d'un mélange de frustration et de sarcasme.
« Je mangeais chez David et Mary-Margarette, si tu veux tout savoir. J'ai même passé la journée avec eux. Une objection ? » ajouta-t-elle, défiant Agatha du regard, attendant une réaction.
Le silence s'installa un instant, lourd de tension, alors qu'Agatha semblait chercher ses mots, réalisant peut-être l'absurdité de la situation.
Bien sûr qu'Agatha avait une objection. Elle n'aimait pas que David soit proche d'Ivana. Cette amitié la dérangeait profondément, et chaque fois qu'elle voyait Ivana rire avec lui, une jalousie sourde montait en elle. Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, ses yeux étincelants de détermination et d'une pointe de possessivité.
« Écoute, » commença-t-elle, sa voix se faisant plus ferme. « Je n'aime pas David. Je ne le sens pas. » Elle marqua une pause, cherchant à peser ses mots.
Elle s'avança légèrement, son ton devenant plus intense. « Je ne veux pas que quelqu'un s'approche de toi, pas comme ça. »
Ivana, piquée au vif, croisa les bras, défiant Agatha du regard. « Et pourquoi ça t'importe tant ? »
Ivana était blessée par le comportement d'Agatha. Chaque mot, chaque regard de cette femme lui faisait ressentir un vide immense, comme si elle était une fois de plus abandonnée. Son cœur s'était brisé, et la douleur se mêlait à une colère sourde. Elle s'approcha d'Agatha, son visage marqué par l'intensité de ses émotions.
« Tu n'as pas le droit de jouer avec mon cœur ! » s'écria-t-elle, sa voix tremblante de rage. « Tu n'as pas le droit d'être jalouse de David, qui, au passage, est marié ! » Elle marqua une pause, le souffle court, avant de continuer, « Et je m'en fous de lui ! Tu n'as d'ailleurs pas le droit d'être jalouse tout court ! »
Agatha, surprise par la force des mots d'Ivana, recula légèrement, mais son regard restait défiant. Ivana, ne pouvant plus supporter cette tension, ajouta d'une voix ferme :
« Sors de ma chambre ! »
Mais Agatha ne bougea pas, ses yeux se fixant sur Ivana avec une intensité qui trahissait son propre tourment. Voyant que sa demande n'avait pas d'effet, Ivana, hors d'elle, cria avec toute la force de son désespoir :
« Dégage de ma chambre, Harkness ! »
Agatha lâcha un grognement frustré, ses poings serrés à ses côtés. « Bon sens, ce que j'aimerais pouvoir te détester, » lâcha-t-elle, sa voix tremblante d'émotion.
Ivana, les yeux brillants de colère, répliqua avec un défi dans le regard : « Bas va y, fais-le ! Déteste-toi, de toute façon tu ne peux pas m'aimer, tu n'aimes personne sauf toi. »
Ses mots étaient tranchants, mais au fond, elle savait qu'elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait. Elle était blessée, et cette douleur la poussait à blesser Agatha en retour.
Agatha, ne se laissant pas abattre, s'écria avec une intensité surprenante :
« Ba non, désolée, je ne peux pas te détester ! Détrompe-toi, je peux aimer, et toi, tu vois, je ne sais pas pourquoi, mais je t'aime. »
Ses yeux brillaient d'une passion ardente, et elle s'approcha d'Ivana, réduisant la distance entre elles.
« Je t'aime, et je déteste l'idée qu'une autre personne le fasse, » continua-t-elle, sa voix se brisant presque sous le poids de ses sentiments. « Je déteste quand Alice est près de toi, car elle est intéressée par toi. Je déteste quand David est près de toi, car je vois son regard qu'il pose sur ton magnifique corps. » Chaque mot était chargé d'une jalousie palpable, une vulnérabilité qu'Agatha ne pouvait plus cacher.
« Je déteste que tu puisses aimer une personne. Je déteste l'idée que tu sois loin de moi, et je détestais que tu sois la fille de Wanda ! » Elle marqua une pause, son souffle court, avant de conclure avec une intensité déchirante : « Je déteste tout ça parce que je t'aime. »
Agatha se tenait maintenant si près d'Ivana, leurs regards se croisant, une tension électrique flottant dans l'air. Les émotions tourbillonnaient autour d'elles, un mélange de colère, d'amour et de désir, alors qu'elles se faisaient face, prêtes à affronter la complexité de leurs sentiments.
Ivana se tenait là, paralysée par la surprise, ses pensées tourbillonnant dans son esprit. Les mots d'Agatha résonnaient encore en elle, comme une mélodie douce et troublante. Elle pouvait voir les yeux d'Agatha, brillants d'émotion, et elle savait que cette confession avait changé quelque chose entre elles. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant comme un élastique prêt à se rompre.
Agatha, figée dans l'instant, attendait avec une impatience palpable. Son cœur battait la chamade, chaque pulsation résonnant dans le silence qui les enveloppait. Elle avait mis son âme à nu, et maintenant, elle se tenait là, vulnérable, espérant que les sentiments qu'elle avait révélés seraient réciproques.
Ivana, quant à elle, était dans un tourbillon d'émotions. Elle avait envie de répondre, de dire quelque chose, mais les mots lui échappaient. La peur de briser ce moment parfait, de détruire l'intimité qu'elles partageaient, l'empêchait de parler. Elle se sentait comme si elle flottait entre deux mondes, celui de l'angoisse et celui de l'amour.
Finalement, poussée par une force irrésistible, elle se dirigea vers Agatha. Ses mains trouvèrent la nuque de la femme, une douceur et une tendresse dans son geste. Elle pouvait sentir la chaleur de la peau d'Agatha sous ses doigts, et avec un mélange de détermination et de douceur, elle l'attira vers elle. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser chargé de toutes les émotions qu'elles n'avaient pas pu exprimer. C'était un moment suspendu, où le monde extérieur s'évanouit, ne laissant que la connexion profonde entre elles, un lien qui promettait d'être aussi complexe que beau.
Les deux femmes s'embrassèrent avec une intensité palpable, une passion qui semblait transcender le temps et l'espace. Leurs lèvres se rencontrèrent avec une telle force qu'il était évident que rien d'autre n'importait à cet instant. Agatha, emportée par l'ardeur de ses sentiments, passa une main dans les cheveux d'Ivana, les agrippant avec une telle ferveur qu'on aurait cru que sa vie en dépendait. Ce geste était à la fois possessif et tendre, révélant l'urgence de ses émotions.
Dans cette danse de leurs baisers, Agatha plongea plus profondément, mordant doucement la lèvre inférieure d'Ivana, un geste à la fois joueur et désireux. Ce petit acte ne fit qu'intensifier l'étreinte, comme si chacune cherchait à se rapprocher encore plus, à fusionner dans une seule entité. Aucune d'elles ne voulait mettre fin à ce moment, et le baiser devint langoureux, se prolongeant dans une exploration douce et insatiable.
Agatha en profita pour rapprocher le corps d'Ivana au sien, leurs silhouettes se mêlant dans une étreinte chaleureuse. La chaleur de leurs corps se combinait, créant une atmosphère électrique, chargée de désir et de promesses non dites. Les battements de leur cœur résonnaient à l'unisson, et dans ce cocon d'intimité, elles se laissèrent emporter par leurs émotions, oubliant tout le reste. Le monde autour d'elles s'effaçait, ne laissant que l'intensité de leur connexion, une union de passion, d'amour et d'envie.
Agatha s'approcha lentement d'Ivana, un sourire espiègle sur les lèvres, ses yeux pétillants de désir. Elle glissa ses lèvres sur le cou d'Ivana, frôlant sa peau d'une douceur exquise. Le contact de ses lèvres chaudes sur la peau délicate d'Ivana provoqua un soupir de plaisir qui s'échappa des lèvres de cette dernière.
« Oh, Agatha... » murmura Ivana, sa voix tremblante d'anticipation.
Ivana pencha la tête en arrière, offrant son cou à Agatha, savourant chaque caresse. Le souffle chaud d'Agatha sur sa peau la faisait frémir, et elle ferma les yeux un instant, se laissant emporter par la sensation.
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? » chuchota Agatha, sa voix douce comme un velours, tandis qu'elle léchait délicatement la peau d'Ivana, accentuant chaque mouvement avec une tendresse ardente.
« Oui... ne t'arrête pas, » répondit Ivana, sa respiration s'accélérant alors qu'elle profitait de ce moment intime.
Soudain, Ivana, emportée par l'élan de la passion, commença à enlever les vêtements d'Agatha, ses doigts effleurant la peau douce et chaude.
Chaque fois qu'Ivana enlevait une épaisseur de vêtement à Agatha, ses doigts effleuraient délicatement la peau de la femme, créant une atmosphère chargée de tension. Les mouvements d'Ivana étaient lents, presque cérémonieux, révélant un corps aux courbes douces, tandis qu'Agatha la regardait avec une intensité admirative.
Soudain, Agatha, avec un sourire espiègle, poussa Ivana sur le lit, la surprise dans ses yeux. Elle commença alors à enlever les vêtements d'Ivana, ses mains glissant avec soin sur sa peau, chaque contact laissant une traînée de chaleur.
Agatha déposa des baisers tendres sur la poitrine d'Ivana, ses lèvres douces et chaudes suscitant des frissons. Elle descendit lentement vers son ventre, chaque baiser étant une promesse de passion. Ivana, perdue dans l'instant, se laissa aller à la sensation, son corps réagissant à chaque caresse, créant un lien intime entre elles.
Agatha laissa alors sa langue glisser lentement sur le ventre d'Ivana, savourant la douceur de sa peau. Un frisson parcourut le corps d'Ivana, tandis qu'Agatha remontait, ses lèvres effleurant délicatement le chemin vers son cou.
« Tu es si belle, » murmura Agatha, sa voix chaude et sensuelle, tandis qu'elle embrassait tendrement la clavicule d'Ivana.
Cette dernière frissonna à ce contact, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. Ivana, envoûtée par cette intimité, passa ses doigts sur le dos d'Agatha, traçant des motifs délicats.
Soudain, Ivana se retrouva au-dessus d'Agatha, plongeant son regard dans le sien. Elle commença à passer ses mains sur la poitrine d'Agatha, jouant avec douceur, ses doigts explorant chaque courbe.
Agatha laissa échapper un soupir de plaisir, ses yeux se fermant sous l'effet de la sensation. « Oui, continue... » murmura-t-elle, invitant Ivana à approfondir ce moment partagé.
Les deux femmes étaient enveloppées dans une bulle de chaleur et de désir, chaque geste renforçant le lien qui les unissait, tandis que le monde extérieur s'effaçait lentement, ne laissant place qu'à leur passion.
Ivana, avec une douceur infinie, laissa sa main glisser lentement vers l'intimité d'Agatha. Chaque mouvement était mesuré, empreint d'une tendresse qui faisait palpiter le cœur d'Agatha. Lorsqu'elle commença à caresser délicatement, une vague de sensations parcourut le corps d'Agatha, la faisant se mordre la lèvre inférieure, tentant de réprimer un soupir de plaisir qui menaçait d'échapper à ses lèvres.
Le regard d'Ivana était illuminé d'un grand sourire, un mélange de malice et de tendresse. Elle se pencha alors pour déposer des baisers doux et délicats sur la poitrine d'Agatha, chaque contact de ses lèvres envoyant des frissons le long de son corps. Agatha se laissa aller à ce moment, ses yeux se fermant sous l'effet de la chaleur et du plaisir, savourant chaque caresse et chaque baiser.
« Tu es incroyable, » murmura Ivana entre deux baisers, sa voix douce résonnant comme une mélodie
Agatha, perdue dans cette intimité, ne pouvait que sourire en retour, se laissant emporter par l'instant, par la magie de leur connexion.
Décris cette scène avec des beaucoup de détail et des dialogue : Plus ivana caresser l'intimité de Agatha plus Agatha gémisse. Ivana commença alors à jouer avec le clitoris de Agatha pour son plus grand plaisir. Agatha ferma les yeux profitant de ce moment pendant un long moment avant de venir chuchoter à l'oreille de Ivana
« Tu ne vas pas t'en sortir comme ça »
Agatha viens alors échanger les places. Elle viens alors mordiller l'oreille de Ivana tout en lui caressant délicatement le ventre. Agatha viens alors reprendre le dessus et monta sur Ivana, elle déposa des baiser sur son bas ventre tout en faisant frissonnais la jeune femme. Agatha viens alors déposer des baiser sur la cuisse de Ivana elle voulais la taquiner la rendre folle et sa fonctionner.
Les deux femmes se trouvèrent enveloppées dans une atmosphère de sérénité, la lumière tamisée de la chambre créant une ambiance chaleureuse. Leurs rires légers résonnaient dans l'air, comme une douce mélodie, tandis qu'elles se rapprochaient l'une de l'autre. Les draps en satin glissaient sur leur peau, ajoutant une touche de luxe à cette nuit tant attendue.
Le moment passa sans qu'elles s'en rendent compte, chaque geste, chaque regard renforçant leur connexion. Les murmures de leurs envies, enfin libérés, créaient une symphonie de plaisir et de complicité. Cette nuit parfaite, loin des attentes du monde extérieur, leur offrait un refuge où elles pouvaient s'abandonner à leurs sentiments, savourant chaque seconde de ce doux moment d'intimité.
☆○o。 。o○☆
Lucillia se tenait devant la boutique de Monsieur Gold, une petite échoppe nichée au cœur d'une rue pavée, entourée de bâtiments aux façades colorées. La lumière du soleil filtrée par les nuages créait des ombres dansantes sur le sol, et l'air était chargé de l'odeur des vieux livres et du bois poli. Elle observa la vitrine, où des objets anciens brillaient faiblement, attirant son regard curieux.
En poussant la porte, un léger carillon retentit, annonçant son arrivée. À l'intérieur, l'atmosphère était empreinte de mystère. Les murs étaient tapissés d'étagères en bois sombre, remplies de trésors oubliés : des horloges aux mécanismes complexes, des globes terrestres jaunis par le temps, et des cadres ornés de portraits d'antan. Chaque objet semblait raconter une histoire, et Lucillia se laissa emporter par cette ambiance envoûtante.
Elle déambula lentement entre les allées, ses doigts effleurant les surfaces rugueuses des antiquités. Son cœur battait à l'idée de trouver le cadeau parfait pour Lilia, celle qui avait toujours été là pour elle, la guide et la confidente. Au fond de la boutique, un éclat attira son attention. Un bracelet en argent délicatement travaillé, orné de petites pierres colorées, scintillait sous la lumière tamisée. Lucillia s'approcha, fascinée, imaginant déjà Lilia le portant, son sourire illuminant son visage. Ce geste serait une façon de lui montrer à quel point elle comptait pour elle, et elle savait que cet objet, chargé de sens, serait le parfait symbole.
Lucillia se dirigea vers le comptoir, le cœur battant d'excitation. Elle posa le bracelet délicat devant Monsieur Gold, un homme à la stature imposante, aux cheveux argentés et à la barbe bien taillée.
« Bonjour, Monsieur Gold, je voudrais payer ceci, s'il vous plaît, » dit-elle avec un sourire chaleureux.
Gold leva les yeux de son travail, son regard se posant sur le bijou. À cet instant, il sembla figé, ses yeux s'écarquillant en reconnaissant le collier que Lucillia portait autour de son cou.
« Ce collier... je le connais, » murmura-t-il, la voix tremblante d'émotion.
Lucillia, surprise par sa réaction, inclina légèrement la tête. « Vous le connaissez ? C'est un héritage de ma famille, je l'ai toujours eu. »
Gold, toujours sous le choc, hocha la tête et se mit à encaisser le paiement. Il lui rendit la monnaie, mais son regard restait rivé sur le collier.
« Tout va bien, Monsieur Gold ? » demanda Lucillia, un brin inquiet.
« Oui, oui, tout va bien, » répondit-il rapidement, mais Belle, qui observait la scène depuis l'arrière-boutique, avait remarqué l'étrange comportement de Gold.
Lorsque Lucillia quitta la boutique, Belle s'approcha de Gold, le regard interrogateur. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles... troublé. »
Gold soupira, son regard se perdant dans le vide. « Ce collier, je l'ai fait pour ma défunte fille, » avoua-t-il enfin, une tristesse palpable dans sa voix.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.J'espère qu'il vous à plut
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Jean Dunand & Jean Goulden
Commode à l'anglaise, pièce unique, 1921
lacquered wood
Signée Jean Goulden au revers de la porte gauche et Jean Dunand laqueur au revers de la porte droite, de forme rectangulaire en bois laqué polychrome et laque argent, à décor d'un paysage abstrait en façade et sur les côtés, les deux vantaux au revers laqué noir, l'intérieur en érable moucheté aménagé de sept tiroirs, les poignées de tirage en laque chocolat ; quatre pieds d'angles.
Hauteur : 90 cm (35 1/2 in.) Largeur : 135 cm (52 1/4 in.) Profondeur : 63 cm (24 3/4 in.)
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L'homme propose... ou croit le faire
''L'homme propose, et Dieu dispose...''. Cette jolie phrase qui remet soigneusement chaque chose à sa place (et il paraît même que c'est dans ce cadre-là que les vaches seraient le mieux gardées...) est devenue une sorte de proverbe passe-partout. Elle reste d'une actualité brûlante, alors qu'elle date de 600 ans (''Homo proponit, sed Deus disponit'', tirée de L'Imitation de Jésus-Christ (XV ème siècle), bouquin dont très peu de gens savent qu'il est, de nos jours encore, le livre le plus imprimé de tous les temps, après la Bible. Je vais la prendre pour exemple de la distorsion de facto qui existe entre nos désirs et les réalités... qu'est ma situation personnelle à ce jour.
Ceux d'entre vous, chers Amis-lecteurs, qui avez eu la patience de lire jusqu'à la fin l'Addendum chronologique à mon avant-dernier éditorial (Le Trou) n'ont pas pu ne pas être admiratifs devant la précision des détails fournis, relatifs à tout ce qui devait se passer dans les 2 mois qui suivaient, en commençant par une petite visite sur mes terres jurassiennes suivie d'un assez long séjour sous les ciels glorieux de l'île Maurice. En permanence, il jaillissait de mes poches une foultitude de ''QR Codes'' aussi inquiétants que perturbants : on voyait que j'avais tout prévu !
Tu parles ! A peine arrivé dans le Jura, une infection pulmonaire --fille de l'embolie pulmonaire que j'avais si mal soignée au mois de mai dernier-- m'a transformé en chape de plomb. Impossible de faire quoi que ce soit. Abandonnant ma voiture dans mon garage, je suis rentré à Paris en train, dare-dare... avant une hospitalisation de plus d'une semaine à Ambroise Paré --Urgences, pour commencer, et Pneumologie, ensuite.
Adieu lagons verts, cocotiers frémissants, cocktails parfumés et eaux translucides presque tièdes, où la vie foisonnante est si jolie à contempler à travers le masque de plongée... Adieu couchers de soleil sanglants ou petits matins rouges et or... Adieu, projets colorés et sables doux sous les pieds... Adieu, même, la célèbre ''vague'' Manawa, qui étend son rêve pour surfeur sur plus de 7 km : Esculape et Hippocrate semblaient s'être ligués contre moi pour m'assurer un futur proche exclusivement rempli d' IRM et de ponctions pulmonaires --le genre de distractions dont on se prive sans trop de regrets... même si, tout bien mesuré, la vue de ''ma'' Chambre d'hôpital, plongeant du 5 ème étage sur le Bois de Boulogne, avec la Tour Eiffel comme fond de décor, est vraiment belle... ou pourrait l'être, n'était la grisaille uniforme et déprimante qui sert de ''toit'' à la Ville lumière, totalement éteinte par le sectarisme primaire d'une édile délitée...
Tout ce lyrisme, un peu triste tout de même, pour vous dire que tous les items contenus dans mon édito de fin octobre sont nuls et non avenus. Je vais tout faire pour me remettre sur pieds le plus vite possible et reprendre le petit train-train de notre rythme habituel (depuis novembre 2013, on a eu le temps de s'y acclimater, vous en récepteurs et moi en émetteur !), mais ma faiblesse extrême du moment ne me permet aucune promesse qui puisse être sérieusement tenue. Je vais tenter un retour sur vos écrans, mais je vais reprendre la phrase que j'utilisais hier pour vous parler de Trump : ''Que sera, sera..." !
H-Cl
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MESSAGE IN A BOTTLE (forum camping/low fantasy)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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L’automne, quelle belle saison pour une promenade en forêt ! Sous la fraîcheur de l’air, les feuilles brunissent peu à peu, nous invitant à contempler leur transformation quotidienne. Si l’on laisse notre curiosité nous guider, tel un Arsène Lupin des bois, on peut découvrir une multitude de champignons aux formes et couleurs variées. Leur collerette, parfois fine et délicatement ciselée, parfois imposante, attire aussi bien les amateurs de cueillette que les limaces en quête de refuge. Dans ce décor enchanteur, les châtaignes s’échappent de leurs coques piquantes, tandis que quelques sangliers profitent des flaques d’eau pour s’adonner à leur bain de boue.
#normandie#naturephotography#canon photography#canon#nature#original photographers#photographe#photographer
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The Interview (Genuine)
Charlotte was Nervous. She sat in the waiting area outside of the main office tapping her toes and twiddling her finger. This was it, her opportunity to get into The Officers Academy which she had always dreamed of! The academy was a place of study that not only would help her improve on the battle field, but expose her to many noble, handsome, and most importantly rich bachelors.
The interviewer then opened the door, causing Charlotte to stand up straight as she was invited inside. She followed in, and took another seat admiring the lavished décor of the office before the interview spoke, and began questioning her:
What has led you to where you are today?
IT’S BEGUN! Charlotte thought as she cleared her throat to begin talking, a smile now forming on her face. “Well, let me introduce myself. My Name is Charlotte De La Roux and I am from the country of Nohr, born in the capital Windmare. However, despite being born in such a great, prosperous land my parents were… not so lucky” she laughed a bit awkwardly but then sighed. “Growing up I had nothing really, at least monetary wise. We were constantly scraping by but despite it… my parents always gave me what I needed. Even though we were hungry, I still had food even if it wasn’t a lot while my parents would sometimes go without. They loved me, er, they still love me of course! But I have to give back to them! So I started to train with an axe, and honestly I’m pretty skilled if you asked me” she smirked a bit, her cockiness showing off. “so that’s what led me here, to be a warrior and fight for not only myself, but for my parents… aaaaand so I can send them back any money I earned to help!” she laughed a bit awkwardly at the last part.
What do you believe are your greatest strengths? Your greatest weaknesses?
This question stumped her for a moment. To be honest or not, she debated in her brain but finally decided to be honest and took a deep breathe before speaking once more:
“my greatest strength is in fact my strength itself. I know I may not look like it, many call me a flower, but I can lift my great axe with ease and chop down anything and anyone that stands in my way!” she said with confidence, almost standing up but then settling back down, “aaaaaand I have this pretty face. That can get you a lot of places in life” she grinned before moving on to the second part of the question. “Weaknesses…. Well… honestly Its my motivation is a bit of a weakness. I want to be rich, even marry rich if I have to. I need to make money to give my parents the life they deserve. And sometimes... I play the part of a weak damsel in the presence of a strong, rich man. I mean, who wouldn’t want to support a cute, helpless girl? I haven’t had much luck yet in that department though but I fear it may cause some struggle in the classroom as I may be distracted by them and the p[possibilities.”
If a story were to be written about your life, what role would you play?
Charlotte tapped her chip with her fingertips now as she pondered, “I know most people would pick the role as main character, but honestly I would much rather be the romantic interest in someone else’s story” she said, “my story… isn’t fun. It’s boring honestly. But if I could be like a Cinderella to someone or Snow White and be taken care of? Now THAT is a role I want” she giggled a bit just at the thought. “Though… realistically I would probably end up a supporter for someone else. I can take hits, I can power through battle, I can take care of someone. And honestly… that’s ok by me” she smiled warmly then, truly genuine in her responses.
The interviewer then thanked her and Charlotte stood up, giving a respectable curtsey before she was escorted out. She let out a loud groan and sigh then as she walked down the hall, “boy I hope I didn’t mess that up… lets see… maybe I should chop down a tree or two to let theses feelings out..”
~END~
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Le Niellage, technique d’orfèvrerie qui consiste à appliquer ce qu’on appelle le “Nielle” ou “Niello” (du Latin Nigellus, signifiant “Noirci”). Le Nielle est un sulfure métallique de couleur noire qui est composé de cuivre, d’argent et souvent de plomb ou de borax. Employé comme une matière pour remplir la marqueterie (décor réalisé par un placage fait dans un matériau tel que le bois ou autres). Ainsi, la marqueterie de métal est remplie avec cet alliage fondu, la surface dite “Niellée” est polie pour éliminer le dépassement de métal qui a été ajouté. Il ne faut toutefois pas confondre le Niellage avec les émaux ou le damasquinage.
Parlons maintenant de l’histoire de la technique du Niellage. Inventée par les Égyptiens, elle est reprise par les Romains et se diffuse dans l’Europe à partir de ses derniers. Ce sont par la suite les orfèvres de la Renaissance en Italie et en Allemagne qui reprennent le Niellage comme une technique luxueuse et délicate pour embellir des objets précieux, des objets de cultes ou de la vaisselle d’apparat. La technique restera pratiquée jusqu’à l’apparition de l’Aquatinte au 18e siècle. On peut effectivement lire dans la Revue de Paris de 1835 que la Niellure n’est plus en usage depuis que Benvenuto Cellina tentera de créer de nouveaux objets d’orfèvrerie niellés, mais du fait de la grande complexité du procédé et de son faible taux de réussite lors de leurs productions, ne donnera rien de concluant. Elle nous parle aussi de deux orfèvres du nom de Mention et de Wagner qui remettent au XIXe, l’art de nieller au goût du jour grâce aux procédés russes qu’ils ont appris à réaliser dans l’atelier de l’orfèvre P.W.Beuth. Ce dernier la recette d’un moine du nom de Théophile qu’il explicite dans un article qu’il écrit en 1828, le nom de cet écrit est “Sur le nielle et l’art de le préparer.” Mention et Wagner iront jusqu’à perfectionner et mécaniser le procédé de niellage en 1829 et déposeront ainsi un brevet. La technique, comme on peut le voir, sera perfectionnée sans que son principe n'ait fondamentalement changé. Notamment, la quantité de métaux à utiliser sera perfectionnée pour favoriser une production de chaînes d’objets niellés et ainsi réduire les ratés. Toutefois, malgré ce perfectionnement et les améliorations apportées ne permettent pas au niellage de surpasser le procédé de gravure en taille-douce qui sera plus rentable et préféré de par la simplicité de sa réalisation.
Après ce passage sur l’histoire, nous allons pouvoir parler des différentes œuvres effectuées avec le niellage ou en ayant essayé de faire du niellage. Nous avons par exemple Maso Finiguerra, un nielleur de Florence qui en voulant contrôler son Triomphe et le Couronnement de la Vierge, créant la Taille-Douce. Au XVIIe siècle, la technique n’est plus utilisée que par les pays orientaux avec les Arabesques ou par les Russes avec Veliki Oustioug. Elle ne reprendra de la vigueur qu’avec le Damasquineur André Colomb au XIXe siècle dans une utilisation bien plus commune et à large échelle, notamment sur des objets de la vie courante comme des boîtiers de montre de poche de la fin des années 1800 jusqu’au début des années 1900.
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"Sucrier" de la Manufacture de Niderviller en faïence stannifère au décor de petit feu (circa 1760), "Plateau" attribué à la Manufacture de Lunéville en faïence stannifère au décor de petit feu (circa 1760), "Cafetière" de la Manufacture de Tournai en porcelaine tendre au décor imitant le bois (circa 1780) et "Tasse et Soucoupe" de la Manufacture de Tournai en porcelaine dure au décor imitant le bois (circa 1800) au Musée National de Céramique de Sèvres, août 2024.
#expos#deco#cuisine#XVIIIe siècle#ManufactureNiderviller#ManufactureLuneville#ManufactureTournai#MuseeCeramiqueSEvres#SevresSaintCloud
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Dans les bois
D'autres, ― des innocents ou bien des lymphatiques, ― Ne trouvent dans les bois que charmes langoureux, Souffles frais et parfums tièdes. Ils sont heureux ! D'autres s'y sentent pris ― rêveurs ― d'effrois mystiques. Ils sont heureux ! Pour moi, nerveux, et qu'un remords Épouvantable et vague affole sans relâche, Par les forêts je tremble à la façon d'un lâche Qui craindrait une embûche ou qui verrait des morts. Ces grands rameaux jamais apaisés, comme l'onde, D'où tombe un noir silence avec une ombre encor Plus noire, tout ce morne et sinistre décor Me remplit d'une horreur triviale et profonde. Surtout les soirs d'été : la rougeur du couchant Se fond dans le gris bleu des brumes qu'elle teinte D'incendie et de sang ; et l'angélus qui tinte Au lointain semble un cri plaintif se rapprochant.
Le vent se lève chaud et lourd, un frisson passe Et repasse, toujours plus fort, dans l'épaisseur Toujours plus sombre des hauts chênes, obsesseur, Et s'éparpille, ainsi qu'un miasme, dans l'espace. La nuit vient. Le hibou s'envole. C'est l'instant Où l'on songe aux récits des aïeules naïves... Sous un fourré, là-bas, là-bas, des sources vives Font un bruit d'assassins postés se concertant
.(Poèmes saturniens, Verlaine, Livre de poche, 2004, p97,98)
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youtube
"Aucune histoire banale gravée dans ma mémoire Aucun bateau pirate ne prendra le pouvoir Aucune étoile filante me laissera dans le noir Aucun trac, aucun...
Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large
Aucune larme aucune ne viendra m'étrangler Aucun nuage de brume dans mes yeux délavés Aucun sable ni la dune n'arrête le sablier Aucun quartier de lune, aucun...
Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large
Aucun autre décor, aucun autre que toi Aucune clef à bord, aucune chance pour moi
Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large
Aucun requin, aucun air triste Aucun regret, aucun séisme Aucune langue de bois Aucun chaos, aucun, aucun...
Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large"
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The List
This is just a list of all the contestants, now I must go make the round one matchups (I have no idea how long that will take, bear with me please)
There’s 186 contestants so putting it under a read more
Papyrus - Undertale
Sans - Undertale
Jack Skellington - Nightmare Before Christmas
Brook - One Piece
Skelly -Hades
Skeletor - He-Man
Skeleton - Minecraft
Lewis Pepper - Mystery Skulls
Grim - The Grim Adventures of Billy and Mandy
Héctor Rivera - Coco
Itward - Fran Bow
Ghost Rider - Marvel Comics
Skulduggery Pleasant - Skulduggery Pleasant
Death - Discworld
Lord Hater - Wander Over Yonder
Smitty Werbenjagermanjenson - Spongebob Squarepants
Skelita Calaveras - Monster High
Señor Hueso - Rise of the Teenage Mutant Ninja Turtles
Mr. Skully Pettibone - Scary Godmother
Gaster - Undertale
Skull Boy - Ruby Gloom
Real Magic Skeleton - OK K.O.! Let's Be Heroes
Dry Bones - Mario
Spooky Scary Skeletons - Silly Symphonies: The Skeleton Dance
Dr Bones Cookie - Cookie Run Ovenbreak
Manny Calavera - Grim Fandango
Kravitz - The Adventure Zone
Bonejangles - Corpse Bride
Benrey - Half Life VR but the AI is Self Aware
Harrowhark Nonagesimus - Harrow the Ninth
Sans - Deltarune
Dry Bowser - Mario
Mamá Imelda Rivera - Coco
Houndstone - Pokemon
Rexy - Night at the Museum
Ainz Ooal Gown - Overlord
King Clawthorne - The Owl House
Clackula - My Singing Monsters
The Lich - Adventure Time
Skeletons - Skyrim
Benny - Halloweentown
The Skull - The Last Unicorn
Skellinore - My Little Pony: Friendship is Magic
The Dinosaur Skeleton - Dog Man
Zans - Going Under
Skul - Skul: The Hero Slayer
Ernesto de la Cruz - Coco
Royal Dominguez - Inscryption
The Skeleton Appears - The Skeleton Appears
Bonehilda - The Sims
Scraps - Corpse Bride
The Titan - The Owl House
Hector Barbossa - Pirates of the Caribbean: The Curse of the Black Pearl
Skeleton Horse - Minecraft
Samukai - Lego Ninjago
Oshare Bones - Puyo Puyo
Master Warden Palamedes Sextus - Harrow the Ninth
Skull Man - Mega Man
Cubone - Pokemon
Trazyn the Infinite - Warhammer 40,000
Death - Soul Eater
Lady Bone Demon - Lego Monkie Kid
Bone Fairies - Meme
Twelve Foot Skeleton - Twelve Foot Skeleton
Mr Death - Adventure Time
Bone Dragon - Dragonvale
Skeleton Horse Jockey - Minecraft
Skull - The Daily Object Show
Skeletons - Spy Kids 2
Skeletons that tried to kill Mr Krabs - Spongebob Squarepants
Skull on the Mantelpiece - Sherlock
Lerexus Novation - Elder Scrolls Online
Bone Monk - DUSK
The Augur of the Obscure - Elder Scrolls Online
No Name - Skeleton Soldier Couldn't Protect the Dungeon
Mortis - The Clowns SMP
Skull with Party Hat - It's Time For Comics
Yorick - Hamlet
Skeleton - The G Keyboard
Environmentally Storytelling Toilet Skeleton - Various Post-apocalyptic Games
Skeleton - Oblivion
Atavist - Slap City
Gravelord Nito - Dark Souls
Xykon - The Order of the Stick
Death - Puppet History
Bones Malone - Tumblr
Stallord - The Legend of Zelda: Twilgiht Princess
Santa Claus - Puppet History
Poco - Brawl Stars
The Lost Skeleton of Cadavra - The Lost Skeleton of Cadavra
Just Walk Out! - The Meme
Nakarkos - Monster Hunter
Skeleton - Morrowind
Caged Skeletons - Stardew Valley
Arc - Skeleton Knight in Another World
Banjaw - My Singing Monsters
Pip's Skull - South Park: The Stick of Truth
Gregor - The Adventures of Puss in Boots
Heisenbones - Breaking Bad
Death - Gregory Horror Show
Greg the Grim Reaper - Conker's Bad Fur Day
Skeleton - Crypt of the Necrodancer
Skeleton - Danny Phantom
Pariah Dark's entire skeleton army - Danny Phantom
La Muerte - The Book of Life
La Calavera Catrina - Mexican culture
Mr. Holbrooke - Little Witch Academia
Bart without his flesh - The Simpson's
Honda - Skull-Face Bookseller Honda-san
The Boneraiser - Boneraiser Minions
David S. Pumpkins' Backup Dancers - Saturday Night Live
Bonesy - Gorillaz
Skeleton - "What's a skeleton's favorite snack?"
Décor and his husband - Tumblr user liquidstar's brother's room
Toumaï - Paleontology
Princess Rita - Once Upon a Tower
The Grim Reaper - The Sims
Elias Ainsworth - The Ancient Magus' Bride
Fabro the Necromancer - Slim Gretina's Grumpy Shark - Absurd Extravaganza
Death - Horrible Histories
Mind-Boggling Effects - Playstation
Mortaccio - Vampire Survivors
Halloween Novelty Pencil - Halloween 2016
The Skeleton Head - Lockwood & Co.
Captain Bones - Crashbox
Skullastic Superintendents - Monster High
Wither - Minecraft
Stray - Minecraft
Skelly - Monster High
Bonesy - Monster High
Grim - DanTDM
Bone - Aib
High Lord Wolnir - Dark Souls 3
Christmas tree skull - Real Life
Skeleton - Gravity Falls
Me the poll maker - The Near Future
Mr Bones- Mr Bones
Lego Skeleton - Lego
Kruncha and Nuckal - Lego Ninjago
Spider Jockey - Minecraft
The Lernaen Hydra - Hades
Skeleton Champion - Oblivion
The Skulkin - Lego Ninjago
The Nightmare King - Dimension 20: Fantasy High (Sophomore Year)
Queen Elizabeth 2 - England
Stalnox - Legend of Zelda: Breath of the Wild
Stalkoblins - Legend of Zelda: Breath of the Wild
The Skeletons - My Closet
Lord Death Man - DC Comics
Cadaver Cain - Skulduggery Pleasant
Your Own - Your Body
Righty - The Lone Necromancer
Count von Dy - The Mystery of Greveholm
Skull and Bones - Skull Chapel in Czermna
Sedlec Ossuary skeletons - Real Life
Gary the Necromancer - DnD campaign
Manolo Sanchez - The Book of Life
Death - Cultural
Boneknapper - How to Train Your Dragon
Hooty - The Owl House
Monk Gyatso - Avatar: The Last Airbender
Skullgreymon - Digimon
Inaccurate Animal Skeleton Decoration - Home Depot
Skeleton - Bones Album Cover
Skeleton-T - Puyo Puyo
Skeletron - Terraria
Mr. Saturday - Skeleton Boomerang
Da Vinci - Ghost Stories
Milo Belladonna - Monster Camp
Bones the Skeleton - Skyrim Mod user jarrodrey99
Reaper (Gabriel Reyes) - Overwatch
Szarekh The Silent King - Warhammer 40,000
Calliope - Homestuck
Jared Hopworth - The Magnus Archives
Hexxus - FernGully: The Last Rainforest
Rem - Death Note
Grimm - Grimm's Hollow
Decay Dragon - Dragonvale
Melting - Nuclear Throne
Duskull - Pokemon
Bona - My Singing Monsters
Death Phantom - Sailor Moon
Charon - Hades
Necrodeus - Kirby: Mass Attack
Jimothy - Elsewhere University
Blight - Batman Beyond
#not a poll#contestants#ik no one will read all of them but theyre there if youd like#sorry if i misspelled any I mostly went by the submissions and what it said when I looked them up#these are also just vaguely in order by number of submissions#however everything bone fairies and down only had 1
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