#léonore

[bebemoon]

look for the name: LÉONORE

ludovic de saint sernin "poulain" one-shoulder black leather dress + schiaparelli faux taxidermy lion's head over-sized shoulder embellishment {edited together by me🎔}

alexander mcqueen black over-the-knee leather pump boots

lemaire gold piercings earrings set

chanel "le lion de chanel" eau de parfum

gucci horsebit 1955 velvet chain handbag

[opera-ghosts]

On November 20, 1805, the premiere of the first version, Ludwig van Beethoven's only opera "Fidelio", took place in the Theater an der Wien - Das Opernhaus. This work could also be heard in America. Here is the original evening note from one of the first performances at The Metropolitan Opera in New York on December 31, 1887.

Lilli Lehmann as Leonore and Albert Niemann as Florestan.

[eirene]

La Grange Batelière, 1977 Léonor Fini

[vizuart]

Léonor Fini - The Sleeping Water (1962)

[r-aindr0p]

Back to my magical musketeers for this post !

I have a precise aesthetic for them in mind and I’m trying to work on it and how to convey it aahfnhdej

The two last drawings are older of a few months and I wanted to post them with more content, it’s not much but here you go !

That sword thing interaction has been living rent free in my head since day 1 of their creation…

Lore time, basically in the magical musketeer code of honor/rules one’s sword is unique to each musketeer and is a part of their being and soul, picking up somebody else’s sword or touching it by the hilt is considered like a proposal.

You can see it in the example above, and Gloire (rainbow guy) in all of his glory being blissfully unaware since he did not bother reading the code of honor, thanks Gloire, very cool.

[lovelyballetandmore]

Léonore Baulac | Guillaume Diop | Paris Opera Ballet | Photo by Agathe Poupeney

[imarigil]

Let us celebrate the recent addition of the word ‘boop’ in the Cambridge dictionary.

Clip from "La Dame aux camélias" with Léonore Baulac and Mathieu Ganio.

[prosedumonde]

Quand on a vécu dans sa chair ce qu’il y a de plus obscur, on comprend combien il faut choyer la lumière, aussi éphémère soit-elle. 

Léonor de Récondo, Amours

[clove-pinks]

I've been going on something of a mini-dive into the Franco-Prussian War. It really hasn't been on my radar, although increasingly I come across it (thanks Victor Hugo I guess)—and as a piece of trivia Paul Gavarni's son Pierre, who painted as Pierre Gavarni, was awarded Chevalier de la Légion d'honneur for his actions during the war (I have no information about what he did).

"The Franco-Prussian War: Depicting defeat" is a fantastic series of blog posts that I've found, focused on art of the war. Émile Betsellère's L’Oublié (The Forgotten) is absolutely devastating.

(The artist's model for this painting was an actual soldier in the conflict who was injured and abandoned on the battlefield, Théodore Larran, who later married the nurse who saved his life.)

In the Trenches (1874), by Alphonse de Neuville. You look at scenes like this and all those people around the turn of the 20th century who said a huge war could NEVER happen again sound a hundred times more demented.

[oldfilmsflicker]

new-to-me #293 - Un petit frère

[mallowsweet]

“Les roses n'ont rien de mièvre ou de gentil, elles sont juste vraies. Cruellement vraies.”

[lesgensdeslivreslisent]

Depuis le début du lycée, elle lisait avec application, persuadée que plus elle rencontrerait de personnages, plus elle pourrait en incarner, et plus les livres étaient longs, plus elle trouvait du réconfort. Elle avait l’impression de s’installer dans les textes, de faire connaissance dans le temps avec les protagonistes, d’entrer dans leur intimité, de s’amalgamer à leurs mondes. Que de voyages en Russie n’a-t-elle pas rêvés durant ces années ? Elle se lovait dans les noms, se réchauffait aux cheminées des datchas, imaginait les campagnes enneigées, les étendues à perte de vue, les paysages immenses qui s’offraient à elle et créaient de nouveaux territoires à explorer dans son esprit. La Russie était son périple préféré. Les Frères Karamazov, Crime et Châtiment, Les Nuits blanches, Le Sous-Sol, Les Possédés, Souvenirs de la maison des morts, Le Joueur. Dostoïevski d’abord, puis Tchekhov comme une obsession. Pour parvenir à jouer ses personnages féminins, elle était persuadée qu’il lui faudrait avoir lu les mêmes livres que ses héroïnes. Pas un instant, Magdalena ne se dit qu’un séjour en terre russe serait nécessaire, non, lire la bibliothèque intérieure d’une personne devait suffire à la connaître, quels que soient son pays d’origine ou sa langue. De quels personnages fictifs Irina Sergueïevna Prozorova était-elle constituée, dans quelle femme imaginaire s’était-elle projetée ? Et Tchekhov, quand il s’invitait dans le salon des trois sœurs, quel livre avait-il glissé dans les rayonnages ? Cette mise en abîme fascinait Magdalena. Chacun transportait sa kyrielle de héros de roman, de film, de théâtre, et ces personnages étaient, eux-mêmes, composés d’autres encore. On pouvait ainsi remonter jusqu’à la nuit des temps. Et l’amour, nous permettait-il aussi de rebrousser chemin ? Chaque couple, en évoquant d’autres, menait ainsi à un précédent, jusqu’au premier ? Après son amitié amoureuse avec Héloïse-Ismène, après le désespoir qui les avait saisies l’une et l’autre à l’annonce du déménagement de la famille d’Héloïse dans une ville voisine, après les serments de ne jamais se perdre, de s’écrire sans fin et de s’aimer de même, après l’été où tout avait disparu comme pollen au vent, Magdalena était entrée au lycée, et avait aussitôt remarqué Igor. Comment ne pas succomber à ce prénom qui la menait au cœur de son pays de prédilection ?

Léonor de Récondo, Revenir à toi

[eirene]

Femme au coquillage, 1940 Léonor Fini

[jacobwren]

Tajne Koncerty: Léonore Boulanger

[moviescramble]

Mother and Son (Un Petit Frère) - Review

Writer-director Léonor Serraille’s second feature-length film, Mother and Son (Un Petit Frère) is an immigrant story wrapped up in a coming-of-age drama. The film is broken down into three character-driven chapters; like a good book, we get to see different events from different perspectives. It is topped and tailed by a voiceover from the adult Ernest, the youngest of two sons who immigrate with…

[rizdoodls]

HAPPY BIRTHDAY LÉONORE !!!🎉🎉🎉

(4 November)🎉