#kader belarbi
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kameliendame · 2 years ago
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Patricia Ruanne, principal dancer for the Royal Ballet and London Festival Ballet (now known as English National Ballet), but also one of the most prominent ballet mistresses of the Paris Opera Ballet, has passed away last month. Click on images for names.
ph. Roy Round, Jacques Moatti and David Thorpe
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basilepesso · 2 years ago
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“Kader Belarbi, chorégraphe et directeur de la danse à l’Opéra national du Capitole à Toulouse, accusé de harcèlement, a été licencié le 10 février 2023 à la suite d’une enquête interne réunissant de nombreux témoignages convergents. Ce dernier, qui avait demandé au tribunal administratif de surseoir à son licenciement, a été débouté ce mardi. Selon les juges, le licenciement du chorégraphe n'est entaché d'aucune irrégularité. (...) "Le juge des référés a estimé que les faits reprochés à l’intéressé, qui consistent en l’exercice d’un management caractérisé par d’importantes pressions et des formes de violences, tant sexistes et sexuelles que psychologiques, ayant des conséquences sur la santé des danseuses et danseurs et plus généralement sur le bon fonctionnement de l’institution étaient suffisamment établis par les pièces du dossier, et ne sauraient être légitimées ou excusées par les spécificités du monde de la danse" explique le tribunal administratif." (Aussi sur Fb, 28 mars 2 023) Article de La Dépêche : “Toulouse : "Formes de violences sexistes et sexuelles" : le tribunal confirme le licenciement du directeur de la danse à l'opéra national du Capitole”
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sdeet · 9 months ago
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観たいものメモ2
Kader Belarbi : Les SaltimbanquesHalle aux Grains, Toulouse
Ambiguous Dance Company : Body ConcertThéâtre Paul Eluard, Bezons
Alexander Whitley Dance Company : Anti-BodyColours International Dance Festival, Stuttgart 2022
そういえば野田秀樹の赤鬼も配信していますね。
 20年以上前に確かTVで放送してるんだったかを見たきりなのでもう一回見てもいいかもな。
Philippe Decouflé : Stéréo DeluxeNuits de Fourvière 2023
ドゥクフレ~~去年から配信してるのに観ずにここまで来ちゃった。観よう。
ÉlémentsSidi Larbi Cherkaoui à Genève
La Mondiale Générale
43e Festival mondial du cirque de demain
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productions-sarfati · 2 years ago
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REPORT DE PLACES REPRÉSENTATION DU JEUDI 13 AVRIL 2023 | BALLET NATIONAL DU CAPITOLE DE TOULOUSE | TRANSCENDANSES AU THÉÂTRE DES CHAMPS-ELYSÉES
En raison du mouvement national de grève sur les retraites, suivi par une partie du personnel du Théâtre des Champs-Elysées, les effectifs nécessaires pour assurer les conditions techniques requises à la présentation du spectacle « Toulouse Lautrec » (chorégraphie de Kader Belarbi) ne peuvent être réunies. Nous ne sommes donc pas en mesure de maintenir la représentation de ce soir.
Dans la limite des places disponibles , les spectateurs détenteurs de billets datés du 13 avril pourront reporter leur places sur les représentations de vendredi 14 à 20h et samedi 15 avril à 14h30 & 20h, en contactant le Théâtre des Champs-Elysées par téléphone au 01 49 52 50 50 ou directement sur le site du Théâtre via votre Espace Personnel.
Nous vous remercions par avance de votre compréhension.
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spectredelarose · 2 years ago
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Marie-Agnès Gillot and Nicolas Le Riche in Hurlevent, Paris Opera Ballet, 2005
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strechanadi · 7 years ago
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Paris Opera ballet
Les Joyaux - Emerauds
photo: Christian Leiber
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galina-ulanova · 7 years ago
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Laura Bachman and Takeru Coste in Kader Belarbi’s Wuthering Heights, during the Soirée Jeunes Danseurs (Paris Opera Ballet, 2014)
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jakarnould · 5 years ago
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(via https://www.youtube.com/watch?v=xdmioaJ18Sk)
Kader Belarbi star by Jak.
jak Arnould ©ADAGP
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journaljunkpage · 6 years ago
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LES CHARMES RETROUVÉS
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Sandrine Chatelier / Davit Galstyan (Albrecht), Julie Charlet (Giselle) © David Herrero
Kader Belarbi clôture Le Temps d’Aimer la danse à Biarritz et ouvre le festival Cadences à Arcachon avec sa Giselle, ballet romantique par excellence et sans doute l’oeuvre du répertoire la plus dansée au monde. Entretien à bâtons rompus du chorégraphe et directeur de la danse au Capitole.
Que représente Giselle pour vous ?
C’est un premier amour. Un rôle fétiche, transmis par Vassiliev, Noureev… Je me rappelle Yvette Chauviré, à 65 ans, qui m’apprend le rôle : elle relève ses jupes et elle devient le prince de 17 ans. J’avais les larmes aux yeux de voir cette dame jouer au petit bad boy en posant le genou sur un banc face à ma Giselle. J’ai trouvé ça extraordinaire. Et puis tout d’un coup, la voici Giselle, elle a 15 ans ! J’ai dansé tous les rôles, excepté Hilarion. J’ai aussi interprété de nombreuses versions, y compris la relecture contemporaine de Mats Ek.
Pourquoi s’attaquer à un tel monument ?
Parce que comme interprète du Prince Albrecht, et c’est partagé par quasiment tous les garçons étoiles, mais qu’est-ce qu’on s’embête dans le premier acte ! [Rires] Que de mièvreries ! Sérieusement, et sans renier la tradition, ça manque de matière pour le prince. À un moment donné, cela donne envie de se replonger dans la lettre et l’esprit de ce ballet que je connais sous toutes les coutures. Je suis tombé sur le livret du maître de ballet à la création, en 1841. Il a écrit tout Giselle, note par note, dessin par dessin, avec de petits triangles ; la pantomime est plus ou moins signifiée en français d’époque. C’est un témoignage très touchant. On voit ce qui a été conservé et ce qui a disparu. C’est important de voir comment effacer cette mièvrerie du premier acte que je n’aime pas. La scène de la folie reste intéressante. En revanche, à l’acte II, il y a toujours quelque chose à dire, que ce soit au niveau du style ou de l’interprétation. C’est aussi un rapport à la partenaire incroyable ; il y a tout pour exister. Il faut dire qu’Albrecht est un des princes les moins cons du répertoire !
Vous avez quasiment recréé le premier acte ?
Oui. Avec de nouvelles danses folkloriques de caractère ancrées dans le monde des vignerons et un enracinement dans une réalité paysanne. Mais j’enlève les petites fleurettes qu’on a l’habitude de mettre en arceaux, ou les filles en corolle ! Je souhaitais accentuer encore plus la dualité entre le monde terrestre et paysan du premier acte et le monde surnaturel du deuxième. Je voulais même remettre des vols de Willis au deuxième acte, mais techniquement, ce ne fut pas possible. J’ai donc travaillé avec mon assistante Laure Muret sur toute une série de petites nuances ou détails dans la composition chorégraphique pour amplifier l’évanescence : entre le brouillard et le tulle, les esprits apparaissent. Je redonne un sens sur la lettre et l’esprit.
Vous vous êtes livrés à un gros travail sur la partition d’Adolphe Adam…
Avec Philippe Béran, chef d’orchestre de la Suisse romande, nous sommes repartis sur la partition complète d’origine annotée. Nous avons pu voir les coupes, ajouts ou oublis effectués au cours du temps. J’ai remis des musiques et des danses qui avaient disparu comme certaines qui appartiennent à Albrecht dans la tromperie où il prétend être paysan. On retrouve des passages plus rustres. J’ai aussi créé un duo d’ivrognes auquel tout le monde participe sur des musiques absentes de la version traditionnelle mais qui existent dans la version originale d’Adam. Certains rôles m’ont toujours interpellé comme celui de Bathilde, la fiancée d’Albrecht : dans la scène de la folie, elle est très jolie, avec une très belle robe comme Sissi, mais elle n’existe pas. J’ai retrouvé des leitmotivs qui sont associés à ce personnage et je les ai réintégrés : on la voit compatir au sort de Giselle qui perd la raison. Cela redonne une épaisseur et une humanité au personnage. J’ai aussi remis la fin originale de la musique avec un retour à la réalité. Comme chorégraphe, je trouve cette fin plus intéressante qu’une échappée romantique. C’est une boucle. Avec le retour sur la tombe.
Laissez-vous une marge de manoeuvre à vos danseurs dans l’interprétation ?
Avant l’interprétation, il y a une manière de penser. Et, au-delà, même si vous avez la même pensée, vous n’avez pas les mêmes gestes. Quoi qu’on dise, tout dépend ensuite de la façon dont le soliste l’interprète. Je fais travailler tous les rôles aux danseurs et je leur délivre ce que je pense, et ce qu’on m’a transmis. Je laisse une ouverture à ce qu’ils peuvent eux trouver. Mais il ne faut pas laisser tomber les différentes relations qui se jouent entre les personnages au premier acte. On rentre alors dans une pantomime qui n’est pas figée, mais tellement incarnée que cela devient naturel ! Là, ça devient super intéressant. Ou par exemple, quand le prince arrive avec sa cape, s’il marche, ce n’est pas génial ; il ne semble pas si pressé que ça de revenir voir Giselle. Il faut qu’il arrive dans une course assez frénétique. Puis il y a tout un travail de decrescendo : il traverse la scène entièrement dans une envolée sinueuse qui va ralentir puis mourir avec l’ouverture de la cape et la vérification du bon emplacement de la cahute recherchée. Ensuite, il y a une marche avec une envie, un désir des yeux et du corps de s’approcher de cette cahute jusqu’à reprendre un petit élan. Puis il tend le bras pour dire : « Dans cette maison, il y a une très jolie fille et moi je l’aime beaucoup. » Tout ça avec la musique. Presque chaque note parle ; chaque note est associée à un sentiment. Giselle, ça n’est vide de rien !
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© David Herrero
Vous semblez fasciné par les actes en blanc ; on les retrouve souvent dans vos créations (La Reine morte, Hurlevent…)
Ah ! Je suis peut-être un homme du xixe siècle ? J’avoue que j’aurais vraiment souhaité être un peintre ! Du coup, l’axe pictural est celui que je prends quand je chorégraphie. J’ai choisi Thierry Bosquet, un des derniers grands peintres et créateurs de décors de théâtre et d’opéra dont j’ai connu la version de Giselle pour Alicia Alonso en… 1976 ! Avec une équation à résoudre : comment faire une forêt automnale à l’acte I et une forêt lunaire à l’acte II, sachant qu’on change très peu de choses pour des raisons économiques mais aussi pratiques, lors des tournées. Le créateur lumière Sylvain Chevallot, formidable aussi, a travaillé sur l’épaisseur et la densité de la lumière. Il a réussi à créer, avec un seul lino, un aspect terrestre avec un marron prune au premier acte et un gris/blanc/bleu lunaire pour le deuxième. Le tout conjugué donne un univers ; un charme qui se rapproche a priori de ce que doit être le rendu final de Giselle.
Giselle (version de Kader Belarbi), Ballet du Capitole, dimanche 16 septembre, 21 h, Gare du Midi, Biarritz (64200). www.letempsdaimer.com
jeudi 20 septembre, 20 h,théâtre de l’Olympia, Arcachon (33120). www.arcachon.fr
Gigabarre du Ballet du Capitole, 11 h, promenoir de la Grande Plage, Biarritz (64200).
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idherault · 6 years ago
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MONTPELLIER DANSE - Retour sur Ballet du Capitole - 2/3 juillet
MONTPELLIER DANSE – Retour sur Ballet du Capitole – 2/3 juillet
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kameliendame · 5 years ago
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Roland Petit, Le Jeune Homme et La Mort
Kader Belarbi and Marie-Claude Pietragalla
ph. Daniel Cande
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automaticvr · 5 years ago
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TOULOUSE-LAUTREC - Ballet Création mondiale Kader Belarbi Chorégraphie, mise en scène et livret Bruno Coulais Musique Danièle Devynck Conseillère artistique Laure Muret Assistante à la scénographie Laurence Fanon Collaboratrice artistique Sylvie Olivé Scénographie Luc Riolon Réalité virtuelle Olivier Bériot Costumes Nicolas Olivier Lumières Sergio Tomassi Accordéon Raúl Rodríguez Bey Piano Ballet du Capitole Coproduction Théâtre du Capitole / Scène nationale d'Albi CRÉATION MONDIALE Toulouse-Lautrec, dit Monsieur Cloche-pied, peintre esclave de son petit corps et du regard des autres, consomme, consume et transcende sa vie en croquant celle des gens grâce à des yeux clairvoyants et à un geste virtuose. Une nouvelle chorégraphie de Kader Belarbi avec les Etoiles, les Solistes et le Corps de Ballet du Capitole. Le rideau se lèvera sur les mélodies et les rythmes de Bruno Coulais, la scénographie de Sylvie Olivé, la lumière de Nicolas Olivier, les costumes d’Olivier Bériot, où le petit grand homme croise des figures légendaires. Pour la première fois, plongez dans un spectacle à la fascinante expérience immersive grâce à un casque de réalité virtuelle. Une nouvelle rencontre avec Toulouse-Lautrec à la tonalité d’une fête éternelle. The prisoner of his own deformed body, Toulouse-Lautrec, also known as Monsieur Cloche-Pied due to his club-foot, devours and transcends life through drinking and painting. His perspicacious gaze and virtuoso hand portray his contemporaries with uncompromising clarity, unveiling the depths of the human soul. A new choreography by Kader Belarbi with the Principals, Soloists and Corps de Ballet of the Ballet du Capitole. The curtain rises to Bruno Coulais’s rhythms and melodies, Sylvie Olivé's scenography, Nicolas Olivier's lighting, Olivier Bériot's costumes, as legendary figures come and go on stage. For the first time, immerse yourself in a dance show with a fascinating experience thanks to a virtual reality headset. A new encounter with Toulouse-Lautrec rhyming with eternal revelry. THÉÂTRE DU CAPITOLE 4, 5, 6 ET 7 NOVEMBRE, 20H 8 NOVEMBRE, 15H DURÉE 2H TARIF D : DE 8 À 60 € TARIF RÉALITÉ VIRTUELLE : 63 € / - 27 ANS : 28 € (dans la limite des places disponibles) Avec le soutien AÏDA S- SAFRAN BANQUE COURTOIS (260 ANS)
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en24news · 5 years ago
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"The Nutcracker is the Christmas spirit"
"The Nutcracker is the Christmas spirit"
[ad_1]
The Ukrainian star dancer Natalia de Froberville is Marie in "The Nutcracker", a production of the Capitole Ballet by choreographer Kader Belarbi. Married to a Frenchman, she has lived in Toulouse for four years.
How did you hear about the Capitol Ballet?
By videos on YouTube that made me want to work with Kader Belarbi. I…
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productions-sarfati · 4 years ago
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Pour Le Figaro, Ariane Bavelier a interviewé Kader Belarbi et Thierry Malandain, qui partagent leur vision du Pas de deux.
“Le pas de deux c'est l'amour, c'est la vie..” Thierry Malandain
“La magie ce sont les moments suspendus, où l'on sent l'émotion partagée entre ces deux partenaires” Kader Belarbi
FRANCENDANSE AU THÉATRE DES CHAMPS-ELYSÉES : 15 octobre 2020
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operaeoperanews · 6 years ago
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#Repost @theatrecapitole • • • • • "La Bête et la Belle", à découvrir au Théâtre du Capitole du 25 au 28 avril 2019. 😍 . Un ballet librement inspiré du célèbre conte de Madame Leprince de Beaumont, que le chorégraphe Kader Belarbi réinterprète à sa façon : une rêverie entre parcours initiatique et enchantement !🌠 . Première le jeudi 25 avril à 20h au Théâtre du Capitole. . 🎟️ Réservations : lien dans la bio. . #LaBêteEtLaBelleTDC #laBêteEtLaBelle #balletTDC #ballet #danse #theatrecapitole #balletdancer #balletphotography #balletlife #dancerlife #theatre #kaderbelarbi #Toulouse #toulousemaville #igerstoulouse #dansecontemporaine #danseclassique https://www.instagram.com/p/BwHATh2IFIS/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1t2s677r820l1
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m-o-u-v-e-m-e-n-t-blog · 7 years ago
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Mats Ek
Mats Ek est un danseur et chorégraphe de danse contemporaine d'origine suédoise. Fils de Birgit Cullberg et de l'acteur Anders Ek, frère du danseur Niklas Ek, Mats Ek commence des études de théâtre à Stockholm et débute la danse à l'âge de 26 ans. En 1973, il entre au Ballet Cullberg qu'il dirigera de 1985 à 1993. Il débuta initialement sa carrière de chorégraphe en revisitant de manière contemporaine de grands ballets classiques, avant d'affirmer ses propres créations.
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La maison de Bernada (1978)
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Smoke (1995) partie 1 dansé par Sylvie Guillem et Niklas Ek musique Arvo Part
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Smoke (1995) partie 2
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Smoke (1995) partie 3
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Appartment (2003), Grand pas de deux, dansé par Céline Talon et Nicolas Le Riche, à l'Opéra National de Paris. musique de Fleshquartet.
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Appartment (2003) La cuisine (Pas de deux), dansé par Clairemarie Osta et Kader Belarbi, à l'Opéra National de Paris. musique de Fleshquartet.
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Fluke (2002) Création pour le Cullberg Ballet, Stockholm. Dansée par le Nederlands Dans Theater.
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