#joanne richoux

[aforcedelire]

Juste avant que, Joanne Richoux

Une atmosphère de fin du monde, des sirènes qui retentissent, des klaxons, des cris, des explosions. Panne de réseau. Plus d’électricité. Émeutes dues à la tension sociale qui couve depuis des années ? Panique face à une catastrophe naturelle qui se prépare ? Et au milieu de tout ça, la narratrice, son meilleur ami, et la chambre de ce dernier. Le désir qu’elle ressent pour lui, l’amour peut-être aussi — mais surtout le désir. J’ai vraiment apprécié ce court roman, où se mêlent érotisme, attirance montée de l’envie, et atmosphère apocalyptique. La narratrice nous raconte son quotidien, celui de son meilleur ami, mais aussi les problèmes sociaux — les riches qui étouffent les classes, les forces de l’ordre qui foncent sur les manifestants étudiants avant de les abattre, l’industrie agroalimentaire qui régit tout, le climat qui a foutu le camp en laissant la France sous 47°… C’est horrible parce que ça pourrait arriver, et d’ici pas si longtemps. Et en même temps, cette langueur, cette attente, cette envie dévorante qu’elle ressent pour son ami. Jusqu’à ce que. Juste avant que.

23/01/2024 - 24/01/2024

[lesparaversdemillina]

Juste avant que de Joanne Richoux

[culturevsnews-blog]

Juste avant que de Joanne Richoux

Achat : https://amzn.to/47aRALM Comme plusieurs soirs par semaine, ils se retrouvent dans sa chambre après le lycée. Sa chambre à lui, son meilleur pote, qu’elle dévore des yeux. Chronique : Joanne Richoux offre un récit saisissant dans ‘Juste avant’. Dans cette chambre, lieu d’intimité entre deux amis, l’atmosphère s’électrise alors que l’extérieur gronde. Les événements sociaux et naturels…

[mmepastel]

Cette lecture sera associée à ces vacances 2022 sur l’île de Groix, entre baignades fraîches, vélo pénible, paysages insensés, rires fous, soleil intense, peau salée.

C’est mon amie qui me l’a prêté, j’aimais le titre et la couverture.

Bon. Je n’aurais jamais lu ça de moi-même, et j’ai failli abandonner en cours de route. Je n’ai pas trop aimé le style, ni l’histoire ! N’empêche, je me suis prise au jeu. Ça ressemblait pour moi à un jeu, un retour en arrière, un plongeon dans mes souvenirs adolescents. Les héroïnes ont 30 ans, mais le style et les comportements sont tellement immatures ! Elles découvrent la sensualité, vivent des amours de vacances à Saint-Jean-de-Luz. L’une d’entre elles est sujette à de l’anxiété généralisée, ça m’a rappelé des choses (ayant connu les attaques de panique), l’autre souffre d’anorexie mais s’asperge d’un parfum que j’ai longtemps porté (à son âge) : La chasse aux papillons de l’Artisan Parfumeur. Ici s’arrêtent les éléments d’identification (l’anorexie ne m’a jamais concernée non plus). La troisième est profondément triste, d’un milieu social défavorisé, complètement libre sexuellement. Toutes sont égocentriques, peu attachantes. Le style est saccadé, pressé, lyrique. Les héroïnes passent par des sentiments excessifs opposés très rapidement, ce qui est censé rendre l’impétuosité du désir et son incohérence. Ça marche partiellement. Oui, j’ai retrouvé certaines émotions anciennes liées au désir de tomber amoureuse lors de soirées embrumées par l’alcool, la peur de ces élans, l’attirance suscitée par le charme des détails anatomiques de certains garçons. Mais tout ceci est si vieux, j’ai vieilli, c’est lointain, et je n’en ai pas vraiment la nostalgie, d’autant que j’étais bien plus inhibée que les protagonistes de ce roman. A trente ans, je n’étais plus dans ces problématiques là. Donc il y a un décalage temporel qui m’a gêné pour partager leurs préoccupations.

Donc, je pense que ce livre s’adresse maximum à des gens de 30 ans, mais j’aurais tendance à croire que ça toucherait davantage celles qui ont la vingtaine. Des lectrices filles, pour retrouver l’amitié soudée de la jeunesse, la griserie des soirées, des possibles. Des filles qui surmonteraient leurs peurs, leurs complexes, réussiraient à s’épanouir sentimentalement et sexuellement. Tout un programme.

[angelitam]

Partageons mon rendez-vous lecture #25-2021 & critiques

Partageons mon rendez-vous lecture #25-2021 & critiques

Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion, Virgile & Bloom de Joanne Richoux Virgile & Bloom de Joanne Richoux – Actes Sud Junior Derrière la haine de Barbara Abel Derrière la haine de Barbara Abel – Editions Pocket En lecture, le deuxième tome consacré à Jack Caffery de Mo Hayder, L’homme du soir L’homme du soir de Mo Hayder – Editions Pocket Présentation de l’éditeur : Aux abords…

[mutinelle]

Toffee Darling - Joanne Richoux

Toffee Darling – Joanne Richoux

♦ Éditeur : Sarbacane / Exprim’ ♦Nombre de pages : 249 ♦ Date de parution : 3 avril 2019 ♦ Prix : 16,00€ ♦ Acheter : Amazon

Résumé : 6 juin 1964, Paris. Vivianne, 19 ans, ne supporte plus Jérôme. Ni cette confiserie qu’ils tiennent ensemble. Alors cette nuit, elle part. Où ? Aucune idée. C’est comme ça qu’elle rencontre Kathleen, une magnétique pin-up aux boucles bicolores. Elle se perd dans son…

[distributhor-of-happiness]

Virgile & Bloom • Joanne Richoux

Virgile & Bloom • Joanne Richoux

Une romance gothique et rock&roll qui cache un récit militant et dénonciateur. (more…)

[etsionlisait]

“Mon” *Toffee Darling* en images...

Dans le (génial) dernier roman paru (chez Sarbacane) de Joanne Richoux, Toffee Darling, on est dans les années 60 et les héros traversent les États-Unis d’ouest en est, de Los Angeles à New York :

On n’a pas été dans tous les points cités – il nous manque la Louisiane - le Mississippi et la Caroline du Sud – mais j’ai réuni des images de tous les autres points traversés (+ Chicago, la ville natale d’un personnage qui a son importance dans le récit). C’est mon Toffee Darling, version années 2000 😊!

Venice Beach, Los Angeles, juillet 2016.

A Los Angeles, août 2011.

Les séquoias de Sequoia National Park, août 2011. Le parc est tout proche de la Sequoia National Forest où vont les héros du roman.

En voiture, longer le désert du Mojave, août 2011...

A Las Vegas, de jour, juillet 2016.

A Las Vegas, de nuit, juillet 2018.

Quelque-part en Arizona, en août 2016.

Au Nouveau-Mexique, en août 2017.

Au Texas, août 2017, l’OVNI Prada Marfa.

Pas très loin de la ville de Marfa, dans le désert texan, au milieu d’une longue route toute droite, il y a Prada Marfa, une installation artistique d'Elmgreen & Dragset qui représente une boutique (fermée!) Prada (tendance minimaliste).

A Chicago, juillet 2013. Le Cloud Gate (la “porte des nuages”) est un des symboles de Chicago. C’est une sculpture de Anish Kapoor située dans le Millennium Park.

Toujours à Chicago, en juillet 2013, une vue sur le métro aérien.

A New-York, août 2012. C’est la dernière étape du road-trip des personnages de Toffee Darling...

Et je le redis, c’est un roman ex-ce-llent!

[prettylittlelyres]

2020: My Year in Reading

-:-:-:-:-:-:-:-:-:- Part 2 -:-:-:-:-:-:-:-:-:-

I also dug into my favourite genre, Historical Fiction, with a spot of Gill Paul, who wrote the most heart-wrenching novel about the sinking of RMS Titanic in 1912. It’s a topic very close to my heart, as Southampton is my home, and was the home of my great-grandmother, who, at nine, watched the ship sail out of the docks there. There are memorials all over the city, and Gill Paul doesn’t shy away from the devastation of the sinking, nor from the effects it had on the few passengers who survived. “Women and Children First” is an excellent novel, and one of the best books about the Titanic that I’ve found, and I’m so glad I did!

Nicola Yeager’s “A Recipe for Love” is a brilliantly funny comedy about Carol and Roksana, two chef best friends getting their London bistro ready for Christmas. There’s just one problem: Carol hates the festival, and wants nothing to do with it at all (but all that’s about to change…)! Roksana is Polish and absolutely fabulous, taking every opportunity to see who will fall for her outlandish stories of a childhood being raised by wolves, eating breezeblocks for breakfast, and so on (it’s alarming how many people do!). She is everything I want to be, and cooks everything I want to eat. (Roksana? …Are you perhaps… single?) “A Recipe for Love” is quintessential Chick-Lit, and wonderfully indulgent. Just don’t read it if you haven’t had lunch yet; the lavish descriptions of food will make your stomach rumble so loudly that you’ll get dirty looks from everyone on the train.

After my holiday in Slovakia, I returned to France to continue working in La Rochelle, and passed the time on my commute to and from my most distant school by reading “Désaccordée” by Joanne Richoux. It was the cover that really grabbed me, I think, but the beautiful window-display my local bookshop had set up to promote it didn’t exactly make it less appealing. The shop was closed when I first saw it, but I went in and bought a copy the very next day! It’s in French, of course, and is brilliant, but very much aimed at a younger audience. I’d recommend it to one of my cousins, and I’m glad I read it, but I don’t think I’d have enjoyed it quite as much if I’d read it in English; the stretch of the story came from reading it in my third language. The stakes for the main character didn’t feel very high. I’m not sure. I may well have missed something that would have been a lot more obvious to target readers (French-speaking teenagers!), so I’m not going to mark “Désaccordée” down at all. At the end of the day, it’s a dark forest fantasy full of references to music, instruments, and music boxes, so it’s actually, right up my rue. I’ll definitely be reading it again! It made me think of “Rubinrot” and “Sapphirblau” by Kerstin Gier (I don’t know much about the third instalment, “Smaragdgrün”, but it looks cracking), which I’ve skimmed in translation, but need to give another read, too. It took me a while to get into “Désaccordée”, but I’m really glad I did, because it was a nice, relaxing read, and I was so pleased with myself when I finished reading a whole book in French!

As Winter came to an end, I started reading with my nose practically pressed against the screen of my eReader, as I was studying sources for my Year Abroad Research Project (investigating the way authors write the dialogue of child characters, and how this differs to the way children speak in real life), and part of this involved a deep-dive into V.C. Andrews’ “Dollanganger” saga (“Flowers in the Attic” and its sequels). These stories haunted my mother as a teenager, as they put their characters through monumental trauma. If I recall her description of the books correctly, “You can’t stop reading them; you need to know what happens next, even though you know it’s going to be horrible. Don’t read them!” to which I say, “That’s part of the fun! It’s like walking through a haunted house,” except that it’s even easier to stop at any time. You can just close the book and put it down; in a haunted house, you have to walk back the way you came, winding your way through endless corridors full of cobwebs and corpses made live! Gothic Horror – any horror, really – is brilliant, and I love it, and I think that’s probably because I get an adrenaline rush from the tense scenes where, “a monster is coming to get the characters (and me!) – will the characters (I!!) escape?” but the answer is guaranteed to be, “yes, I will escape,” because all I need to do is put the book aside, and walk away. In five seconds, I’m safe at home with a cup of tea in my hands. It’s the perfect way to spook myself without consequences. From the Dollangangers, I moved onto the “new V.C. Andrews” books, including the prequels to “Flowers in the Attic” and the “Christopher’s Diary” trilogy, and then the “Mirror Sisters”. My sister and I are so close that we might as well be twins, so reading a story where actual twins despised each other was quite unsettling! “The Mirror Sisters” trilogy is brilliant, though, and captures the voice of V.C. Andrews really well. I’d recommend it to fans of the BBC Three miniseries, “Thirteen,” particularly the second book! I’d quite like to read more V.C. Andrews books in 2021, but I think I will wait until I have a proper lull in my university coursework, because those books really do draw you in.

For my YARP, I also read a lot of articles from the Cambridge Journal of Linguistics, as well as several books on Childhood Language Acquisition, some of which I found by chance in a charity bookshop in Folkestone. I think it was Oxfam Books, which is very well-organised, and staffed by really friendly people. If you’re ever in Folkestone, though, and looking for second-hand books, I’d direct you to my favourite bookshop, SB Paperbacks (Guildhall Street). This is a family-run business with a shop absolutely Stuffed with used books in great condition, on sale for next to nothing. There’s nothing I love more than a local independent bookshop, and I really miss Hooked on Books (Dover), which closed down a few years ago. Please support your local bookshops whenever you can!

[dimasitao]

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[angelitam]

Virgile & Bloom de Joanne Richoux

Virgile & Bloom de Joanne Richoux

  Virgile & Bloom de Joanne Richoux – Actes Sud Junior Virgile et Bloom de Joanne Richoux, présentation Bloom, 20 ans, prend des cours de violoncelle avec Virgile. Elle pense qu’il est un vampire. Ils partent à Brocéliande où vit une communauté. Avis Virgile et Bloom de Joanne Richoux Une énième histoire de vampires ? Oui et non. Non, car le talent de Joanne Richoux permet de situer l’histoire en…