#jeunes pousses du sport
Explore tagged Tumblr posts
Text
saga: Soumission & Domination 351
Florian contrat (suite) + mon petit beau-frère - 2
Dimanche matin
Je me réveille le premier comme d'habitude. Alors que le reste du lit (PH et Ludovic) dort encore, je fais défiler sur l'écran de la TV les différentes caméras du blockhaus. Je commence par la chambre de João. Elle est vide ! Je m'attendais à la trouver peut être surchargée mais vide, surement pas ! Je bascule directement sur la chambre type refuge de montagne (deux supports de matelas superposés de 6m de long sur 2m de profondeur). Je les trouve tous les 7 (Second, Julien, João, Romain et Florian, Max et Enguerrand) endormis les uns sur les autres. Du coup je recherche le fichier de l'enregistrement de cette chambre (ils se déclenchent automatiquement quand une personne y séjourne, détection de chaleur). Je passe en accéléré. Après notre fin de soirée chaude, je vois João entrer avec mes deux amis et les deux gymnastes tous encore humides et le drap de bain autour des reins en provenance de la salle de bain. Puis je vois l'arrivée des deux gamins. Ils en font un tas (des draps de bain) et envahissent le niveau du bas. Je les vois se câliner gentiment mais sans sexe. Il faut dire que notre séance digestive nous a mis les couilles à plat. Et ils s'endorment plus ou moins collés.
Il est 8h30. Je pénètre la chambre et silencieusement réveille Julien. Comme je vais pour faire de même avec Second, il me dit tout bas de le laisser dormir, il viendra le rechercher ce midi. On glisse hors de la chambre et je l'accompagne à la salle de bain. Petite douche pour achever le réveil et nous montons prendre un café avant qu'il ne parte vite à sa boutique. Comme il monte en voiture, je lui propose, si son apprenti est libre, de revenir avec pour déjeuner. Ce serait un bon moyen de connaitre son " ouverture d'esprit " et puis avec les jeunes qui sont là ce WE, ça fera moins piège. Il part en me disant qu'il allait y réfléchir. Vers 10h les autres sortent des bras de Morphée. Second me reproche de ne pas l'avoir réveillé en même temps que son mec. Mais quand je lui dis que peut être Julien nous rejoindra pour déjeuner avec son apprenti, il me dit que j'ai fait fort s'il le ramène. Petit déjeuner et matinée de sport. Alors que nous sommes quelques-uns à aligner des longueurs, Second et les deux gymnastes regardent comment ils pourraient intégrer leurs agrès sans prendre plus de place que nécessaire. Quand je sors de l'eau, ils ont des idées à me proposer. Les barres parallèles peuvent prendre place au bout du tatami coté sortie du garage. L'élément pourra toujours être déplacé dans le cas où un Fenwick serait nécessaire pour déplacer les arbres en bac. Quant aux anneaux, comme leur support doit être spité au Blockhaus, c'est à l'opposé par rapport au bassin qu'ils seraient les moins gênants. Je valide et il ne reste plus qu'à attendre les livraisons. Romain et Florian travaillent leur souplesse au sol alors que nous autres on pousse un peu de fonte, juste histoire de gonfler légèrement nos muscles. 12h30 : je pousse le groupe à aller se doucher et se vêtir un minimum au cas où l'apprenti serait des nôtres. Ça se limite quand même à un short + un t-shirt ou un marcel selon. Evidemment Max et Enguerrand enfilent leurs shorts hyper moulants, véritables appels au viol ! 13h15 : nous sommes prêts et attendons avec impatience le retour de Julien. 13h30 : sonnette, Julien est à la porte. J'ouvre qu'il puisse entrer la voiture. J'ai vu que la place du mort était occupée mais je ne dis rien aux autres. Ce n'est que quand le monte-charge s'ouvre que mes comparses voient qu'il est accompagné. Le jeune homme est encore mieux en vrai qu'en photos. Il est intimidé et ses yeux tournent pour ne pas se fixer sur quelque chose ou quelqu'un en particulier. Jusqu'à ce qu'il voit la piscine au-dessus de la cuisine.
Julien lui prend le bras et le pousse en avant pour présenter Nathan à ceux qui ne le connaissent pas. Les plus âgés (dont je fais partie) lui claquent une bise sur la joue comme mes escorts. Par contre Max et Enguerrand ne se gênent pas et directs posent leurs lèvres sur les siennes. Je ne sais si c'est à cause de la surprise ou s'il aime ça mais il ne recule pas en hurlant au viol. Très naturellement nous embrayons sur les clients de la matinée. Julien nous demande ce que nous avions fait en les attendant. Pendant ces échanges, je mate son apprenti. Pour son âge, il est déjà bien bâti. Un petit mètre 80, larges épaules, petit cul mais cuisses épaisses qui remplissent son jeans slim. Tête avec cheveux blond coupés footeux, ses lèvres rose vif sont pulpeuses sans tomber dans le vulgaire. Comme je sers les apéros, Max et Enguerrand le prennent en charge et je tends l'oreille pour saisir leur aparté.
Ils lui demandent dans quel lycée professionnel il est, pourquoi il avait changé de maître d'apprentissage, s'il se sentait bien chez Julien. Il n'a pas le temps de répondre qu'une autre question arrive. Il demande un temps mort et commence à répondre. Il cite un lycée qui n'est pas très éloigné de celui de Max, la raison de son changement est que son ancien patron lui avait fait des avances mais qu'il était vieux et vraiment repoussant pour qu'il accepte. Oui il était bien chez Julien, le travail est très intéressant et il apprend beaucoup en technique. Julien lui demande aussi de travailler sa créativité et ça il aime, même s'il se plante régulièrement. C'est Enguerrand qui relance le côté " sexe ". Il lui dit qu'en plus, contrairement à son ancien patron, Julien est jeune et suffisamment canon pour... il laisse la phrase mourir. C'est Nathan qui conclut en leur disant que oui mais il est casé avec Dorian. Max et Enguerrand sont surpris, c'est vrai qu'ils ne le connaissent que sous le surnom de Second. Ils mettent un peu de temps à réagir jusqu'à ce que Nathan leur montre l'ancien apprenti maçon. En attendant ça sent bon tout ça ! Je finis de servir les verres, il accepte un petit Martini avec plein de glaçon, comme les garçons. PH lui demande d'où lui est venue la vocation. Il se dévoile un peu et nous dit que sa mère est cuisinière et à la maison il l'aide depuis qu'il peut tenir un bol. Moi je lui demande ce qu'il a fait pour avoir cette carrure à son âge. Il me sourit (et il a un très beau sourire) et me dit que depuis tout petit il fait du foot en club mais que depuis son début d'apprentissage il a du mal à en faire régulièrement. Alors, si c'est pour rendre service ! Je n'attends pas l'accord de Julien et lui dis que s'il le veut il pourrait venir faire du sport avec nous tous dans la mesure où ses horaires le permettraient. Ce qu'il y a de bien avec nous c'est que les entrainements se font plutôt en début de soirée qu'en fin d'après-midi. Là je me tourne vers Julien et lui demande si ça pourrait le faire qu'il s'entraine avec Max et Enguerrand. Sans m'engueuler il me dit que je ne perds pas de temps. Je fais l'innocent et lui dis que c'est juste pour rendre service. Il en est content de son apprenti, donc il peut lui faciliter la vie aussi. Il convient qu'il a trouvé avec lui, un futur bon second. Le rouge monte aux joues de notre jeune invité !
Nous passons à table. La vue de Samir et Ammed trouble un peu plus Nathan. Et si je me fie au gonflement de sa braguette, le trouble est plutôt positif pour nous ! On fait tous semblant de ne pas s'en apercevoir pour ne pas le mettre mal à l'aise. Si la conversation commence sur son cursus théorique et pratique, nous passons vite à un sujet plus intéressant lui. Après deux verres de vin, il se lâche un peu plus. Surtout on en apprend plus sur son année passée. Il commence soft mais fini par tout nous raconter. Je pense qu'il avait gardé cela en lui jusqu'à aujourd'hui. Au début son maître d'apprentissage paraissait bien. Bonne boutique avec une réputation de qualité, la sélection avait été dure pour obtenir le poste. Mais cela s'était vite dégradé. En fait le type voulait plus un esclave qu'un apprenti. Il l'avait logé dans un taudis plus qu'une chambre, avec juste un lavabo et l'eau froide. Il ne lui laissait qu'un WE sur deux, une véritable exploitation ! Il avait eu du mal à en parler à son professeur principal et c'est après qu'il avait débarqué chez Julien. Le prof principal étant un ami de ce dernier. Julien comprend mieux le comportement du " petit " dans les premières semaines. Mais comme cela s'était " normalisé " il n'en avait plus fait cas. Comme il est à coté de Nathan, il passe son bras derrière son cou et l'attire vers lui pour lui ébouriffer les cheveux et lui claquer un gros bisou sur la joue. Nathan se laisse faire et nous dit que c'est bon maintenant. Son nouveau patron est trop bien et en plus qu'il soit homo le rassurait lui. Max et Enguerrand sortent de table et vont l'entourer. Il craque et, avec quelques larmes aux yeux, il les serre contre lui. Pas de gêne entre nous. Si pour moi le passage à l'état de PD s'était super bien passé avec Marc, je sais que ce n'est pas le cas de tous. PH à morflé lui aussi ! Quand ils se décollent, Ludovic lui prend le bras et lui dit " bienvenue parmi nous ! ". Un petit sourire contrit lui répond. Puisque ça part comme ça je prends les choses en main. J'impose à Julien de libérer Nathan pour les deux séances de sport hebdomadaires. Florian qui n'avait jusque-là rien dit me propose de le véhiculer les soirs en question. Julien le remercie mais nous dit que cela ne leur fera pas de mal à lui et à Dorian (Second) de reprendre le sport un peu plus sérieusement. Il m'assure qu'il y aura toujours l'un deux pour faire les conduites. Florian m'a l'air un peu déçu. Je le chauffe en lui disant qu'il le retrouvera sur le tatami notre nouvel ami. Du coup c'est lui qui pique un fard ! Le déjeuner se termine dans la bonne humeur et le café pareil. Alors qu'on discute entre nous, Max et Enguerrand me demande l'autorisation de faire visiter les installations sportives à leur nouveau copain.
Ils disparaissent plus d'une heure et nous reviennent tous les trois un peu, non franchement rouges. Florian fait la gueule ! En attendant il est décoincé notre Nathan. Il est beaucoup plus bavard et déjà il est en train de planifier son programme avec nos deux jeunes. Je l'attrape par le cou, le fait venir jusqu'en face de moi et lui demande ce qu'il croit. Qu'il va peut-être faire ce qui lui chante ? Il ne comprend pas. Quand je lui explique qu'on a plusieurs coaches sportifs qui vont s'occuper de lui, il commence à saisir. Julien rit devant sa tête effarée. Il lui dit de se préparer à des journées doubles s'il veut suivre ses nouveaux copains. Le dimanche se fini dans la bonne humeur et quand ils repartent tous, je vais dans notre chambre trouver l'enregistrement qui devrait me renseigner sur l'heure manquante. Je repère le trio dans la cour puis au second dans la salle de sport. Mais c'est dans les douches, en revenant de lui avoir montré la piscine que mes deux jeunes l'on coincé/entrepris. Le dos bloqué par Max, Nathan s'est laissé embrasser par Enguerrand. Puis j'ai vu mes deux gamins lui faire la totale. Alors qu'Enguerrand soulevait son T-shirt pour lui manger les tétons, Max embrassait son cou et lui mordillait les oreilles. Puis ils l'ont coincé contre le mur carrelé avec toujours Max à lui rouler un patin et Enguerrand à descendre d'un étage de plaisir. Sans dégager plus que son service trois pièces, je le vois entamer une pipe de pro. Le sexe du petit nouveau disparait totalement dans la bouche de mon petit beau-frère. Mais comme il sait faire des gorges profondes, ça ne m'indique pas la taille de Nathan. Ils en resteront là pour cette fois, amenant leur nouveau camarade de jeu à l'éjaculation totale.
Et malgré le coup d'eau sur leurs figures, ils avaient encore chaud quand ils nous avaient rejoints. Je remonte au 4ème et attrape les deux " fautifs ". Ils avouent sans que je leur demande que, oui, ils n'avaient pu se retenir de voir s'ils pouvaient décoincer un peu Nathan. Et Max de me rappeler qu'à leur retour, ce dernier était beaucoup plus disert. Je demande à Enguerrand, puisque c'est lui qui avait eu le " matériel " de Nathan en bouche de me l'estimer. Réponse : 18/19 x 4,5/5 avec de belles couilles même si elles étaient invisible sous les poils. Ça promet, même si sa croissance est quasiment terminée. Julien m'appelle quand ils sont arrivés chez eux. Dans la voiture, ils ont beaucoup discutés avec Nathan. Il leur a avoué qu'il s'était laissé sucer par Enguerrand et que s'ils étaient d'accord, il aimerait bien les revoir lui et Max. Je l'annonce à nos deux gamins que je n'ai pas encore raccompagnés. Ils sautent de joie, Nathan leur plait beaucoup. Je reprends ma conversation avec Julien. Il me dit que Nathan était entré dans les détails de son apprentissage précédent et qu'il le comprenait bien mieux maintenant. Son ancien patron était un gros porc d'hétéro qui avait deviné que Nathan était homo et avait voulu en profiter. Il lui faisait du chantage pour ses évaluations, il le coinçait régulièrement dans le labo et frottait son sexe contre son cul. Enfin l'enfer quoi ! Et ç'avait été jusqu'au viol. Je lui dis que Nathan avait dû apprécier le respect avec lequel il l'avait traité. Puisque sans se cacher qu'il vivait avec Second et qu'il n'avait jamais eu un geste déplacé. Il me répond que c'est justement ce qui l'avait fait accepter mon invitation à déjeuner. Mais il craignait maintenant qu'il soit pris pour une salope d'avoir cédé aussi vite à mes deux petits. Comme je lui dis que j'espère qu'il l'a détrompé sur ce dernier point, il me dit que oui, qu'il l'avait assuré qu'il n'avait choqué personne chez nous. J'ajoute que nos cours de self défense devraient lui donner de l'assurance et surtout il saura après mettre KO le moindre mec qui voudrait profiter de lui. Là-dessus, Julien est d'accord que ça ne lui fera pas de mal.
Le mardi suivant ils sont tous les trois pas trop en retard. Par contre ils sont les derniers et le blockhaus bruisse de toute l'activité d'une bonne 20aine de mecs en tenue de sport (enfin la mienne) ! Max et Enguerrand prennent Nathan en charge. Ils lui passent un short complet aussi étroit que les leurs. Quand ils nous le ramènent il se fait siffler par tous les mecs présents. Quand il arrive devant moi, il est tout rouge. J'appelle Jona et lui présente le dernier arrivé. Il devine que c'est un footeux et pas à sa tête mais à ses cuisses puissantes. Il tourne autour de lui, passe ses mains sur son torse, ses bras et lui dit qu'il va falloir travailler tout ça. Il le questionne sur sa pratique sportive at pousse Clem du banc de développé couché pour le tester. Il note les poids soulevés et le fait passer sur plusieurs postes avant qu'Anthony le prenne en charge. Max cours lui chercher un maillot et le fait se changer au pied du bassin. Ses petites fesses blanches provoquent de nouveau sifflets admiratifs. Dans l'eau il se débrouille bien en brasse et crawl. Quand il entend notre maitre-nageur l'informer qu'il va devoir se mettre au papillon, car ça développe bien le torse, il se demande où il est tombé. Je le sort de l'eau et le pousse vers le tatami. João est en train de s'entrainer avec François. Nathan est fasciné par les mouvements des combattants. Je lui prends le bras et à l'oreille lui glisse que quand il aura appris à se défendre comme nous tous, il sera à l'abri de tous les cons de la terre. Il comprend que Julien m'a parlé. Il se tourne vers moi et je vois ses yeux légèrement humides. Je passe mon bras sur ses épaules, le serre contre moi et lui dit qu'avec nous, il est en sécurité. J'ajoute en riant que le seul risque c'est qu'il se laisse séduire par mes amis. Je vois apparaitre un sourire et il m'assure qu'heureusement qu'il est stressé sinon il banderait comme un chien en rut. J'arrête les combattants et leur pousse Nathan. J'avise João que c'est un béotien question sport de combat. Je reste à mater l'entrainement. João lui apprend à tomber sans se faire mal. Pendant 3/4 d'heure, il tombe, tombe et retombe jusqu'à ce qu'il prenne le pli. Avant la fin, Max et Enguerrand sont arrivé voir les progrès. Ils le félicitent et l'embarquent pour aller se doucher. Je vais me doucher à mon tour mais ne les trouve nulle part. Ils reviennent tous sourires et tous propres du 3ème. Florian fait encore une fois la gueule !
Jardinier
~~
~~
~~
~~
~~
30 notes
·
View notes
Text
𝗞͟𝗔͟𝗡͟𝗚͟ 𝗧͟𝗘͟𝗥͟𝗥͟𝗬 ;

Terry est fils unique et fait la fierté de ses parents dès la naissance. Pour ce couple coréen qui n’avait quasiment pas d’espoir d’avoir, un jour, un enfant, le rouquin est en quelque sorte un véritable miracle. Son père le prend en adoration, dès son premier souffle, mais pas pour les bonnes raisons, pas parce qu’il veut donner de l’amour à son unique fils, mais uniquement parce que pour ce patriarcale, voir un garçon suivre la lignée des Kang est une réussite et une fierté. Le jeune homme jongle avec une mère qui est qu’affection, tendresse, et un père qui le pousse très jeune à devenir le jeune homme, qui un jour, reprendra les reines de la famille, qui se mariera avec une fille de bonne famille, qui fera des enfants pour poursuivre la descendance. Qui dit garçon et les stéréotypes qui vont avec, son père l’inscrit à tout un tas de sports dès l’enfance. Le foot, le tennis, tous les sports viriles qui ne plaisent aucunement, qui de son plus jeune âge, comprend bien vite qu’il en a rien à taper de tout ça. Il le fait, se force pour faire plaisir à son paternel, mais lui ce qu’il préfère c’est passer du temps avec sa mère. Sa mère qui le regarde toujours avec des yeux d’amour, qui lui apprend à faire des gâteaux, qui passe du temps à réellement à s’intéresser à lui, à l’écouter et prendre en compte ses souhaits. Il se sent aimé avec sa mère.
Peut-être que c’était un signe avant coureur. Mais un jour, alors qu’il a à peine seize ans, le jeune homme tombe sur les affaires de sa mère, son maquillage, ses vernis. Il ne sait pas d’où lui vient cette envie, cette envie d’affirmer cette partie là de sa personnalité, mais ça commence par du blush, par ci par là, du vernis noire sur ses oncles. Il prend un certain plaisir à prendre soin de lui. Mais jamais devant ses parents, il a bien trop peur des réactions de son père si jamais il le surprend en train de se vernir les doigts de pieds.
Mais ça arrive.
Plus vite que prévu.
Terry se croit en sécurité, se croit discret, et il le croit jusqu’à sa majorité. Seulement, alors qu’un jour il rentre des cours plus tôt et qu’il se réfugie dans sa chambre pour se maquiller, il ne remarque pas tout de suite que son père est rentré quelques minutes après lui. C’est seulement quand il entend sa porte s’ouvrir d’un geste brusque. Son père le surprend, pinceau en main et visage maquillé, face à son miroir. Les choses basculent beaucoup trop vite, la seule chose dont il se souvient c’est son père qui l’attrape par le bras, le force à se lever, prenant son t-shirt entre ses doigts pour effacer ses joues colorées. Et Terry pleure, pleure énormément, encore plus quand la première gifle vient s’abattre sur sa joue. Si seulement son père s’était arrêté là. Jamais le rouquin n’aurait imaginé – malgré le manque d’amour – que son père était capable de lui mettre un savon. C’est pourtant ce qui arrive, parce que dans les minutes qui suivent, Terry est au sol, les joues ramenés contre ses côtes douloureuses, avec sans doute un hématomes qui se forme déjà sur sa joue. Mais il ne sent pas la douleur, tout ce qu’il sent c’est la tristesse, l’injustice, il entend encore et encore les paroles douloureuses de son père, qui lui crie encore et encore qu’il est un garçon, qu’il n’a pas le droit de faire ça. Ce n’est même pas ça le pire au final, parce que la douleur physique n’était rien comparé à la douteur émotionnelle. C’est même pas qu’il se fasse jeter de la maison, c’est le manque de réaction de la part de sa mère, sous l’emprise de son mari. Elle lui adresse à peine un regard quand il passe le pas de la porte. Lui, a le regard rivé sur elle, les larmes qui coulent le long de ses joues, en espérant que sa mère empêcherait son mari, qu’elle le fasse rester. Elle ne fait rien, même pas quand un simple « maman… » vient s’échapper de ses lèvres. Mais il sait que le choix est pris. Alors il passe la porte, et ne reviendra jamais.
( … )
Honnêtement, la seule raison pour laquelle est toujours de ce monde à l’heure actuelle, c’est parce qu’il a été lâche, n’osant pas aller au bout de ses pensées les plus sombres. Et bordel, combien de fois a-t-il pensé à passer à l’acte ? Quand au détour d’une rue, son regard était attiré par une voiture. Quand il fixait un peu trop longuement son plafond, ou que son regard se posait sur les anti-dépresseurs qui étaient sagement posés sur sa table de chevet ? Sa confiance en lui était brisée, il avait l’impression de ne pas valoir le coup, de n’être rien.
Tout le monde se plaint de lyoko, et il est le premier à râler dès qu’ils sont appelés en mission, le premier à tirer la tronche dès qu’ils doivent mettre un pied dans ce monde virtuel. Mais Terry n’osera jamais avoué que c’est eux, c’est ça, justement qui l’a sauvé. Il a ses amis et même si ils ne sont pas agréables la plupart du temps, ce sont ses amis. Alors certes, il attendent tous le moment où ils parviendront à vaincre XANA une bonne fois pour toutes, mais une partie de lui redoute ce moment. Que fera-t-il après ça ? Arrivera-t-il à retrouver un quotidien normal ? Sans les missions, sans Lyoko ? Il ne préfère pas y penser.
Et puis y’a Thomas.
Ça commence par une simple amitié, puis par un flirt des plus bancales entre eux, jusqu’à ce que des sentiments réels viennent s’installer. Et il est incrédule le garçon, ne voit pas que Thomas ressent la même chose, mais il veut se protéger, ne veut pas voir son coeur se briser, sous peine de ne pas réussir à s’en relever. Mais Thomas c’est la seule constante dans sa vie, sa personne préférée. Les choses ne sont toujours pas faciles, parce qu’ils vivent constamment dans la peur et le danger, dans la tristesse de voir Lucas sur son lit d’hôpital, mais Terry se dit que tant qu’il a Thomas avec lui, tout ne peut qu’aller bien.
◡̈
𝗛͟𝗜͟𝗦͟ 𝗠͟𝗢͟𝗢͟𝗗͟𝗕͟𝗢͟𝗔͟𝗥͟𝗗 ;

i. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
ii. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
iii. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
◡̈
𝗧͟𝗛͟𝗘͟ 𝗦͟𝗢͟𝗨͟𝗟͟𝗠͟𝗔͟𝗧͟𝗘 ;

THOMAS — « Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. »
0 notes
Text
Le sport, un amplificateur d'émotions
L'adrénaline au cœur de l'action: Le sport libère une quantité importante d'adrénaline, une hormone qui nous pousse à dépasser nos limites.
Un apprentissage de la gestion du stress: Le sport nous apprend à gérer la pression et à performer dans des situations stressantes.
Un exutoire pour les émotions négatives: Le sport peut être un moyen de canaliser la colère, la frustration ou la tristesse.
Mais attention aux excès !
Le risque de la déshumanisation: En cherchant à toujours plus de performance, on risque d'oublier l'aspect humain du sport.
La pression sociale: Les jeunes sportifs sont souvent soumis à une pression intense de la part de leur entourage, ce qui peut nuire à leur bien-être psychologique.
La violence: Le sport peut parfois être un vecteur de violence, tant sur le terrain qu'en dehors.
Le sport doit rester un plaisir
Il est essentiel de rappeler que le sport doit avant tout être une source de plaisir. Il ne faut pas oublier de prendre du recul et de se poser les bonnes questions :
Quels sont mes objectifs ?
Comment me sens-je après avoir pratiqué mon sport ?
Est-ce que je prends du plaisir ?
En conclusion, le sport a de nombreux bienfaits, mais il ne faut pas oublier qu'il est important de trouver un équilibre entre performance et bien-être.

Pour aller plus loin
0 notes
Text

Bon début du mois de septembre à tous
*Méditation du 01 Septembre 2024*
*Tu as loué les dieux d’argent et d’or, d’airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient, et n’entendent, et ne comprennent pas ; et le Dieu en la main duquel est ton souffle, et à qui appartiennent toutes tes voies, tu ne l’as pas glorifié.*
Daniel 5. 23
*Vénération*
Le texte du jour nous interpelle. Honorons-nous notre Dieu créateur comme nous le devrions…, lui qui nous donne la vie et qui la maintient ?
Les prouesses humaines dans tous les domaines (arts, sciences, sport, technologie, vie sociale…) poussées à l’extrême ne sont-elles pas aujourd’hui vénérées comme des idoles ? Les médias nous inondent de leurs succès. Des sommes colossales sont engagées pour les mettre en valeur.
Que faisons-nous du vrai Dieu, le Père éternel en qui est la vie et qui la donne à chacune de ses créatures ? L’avons-nous oublié au point d’organiser notre vie comme s’il n’existait pas ? Ne serait-il pas normal de lui apporter honneur et reconnaissance plutôt que de vénérer ces vaines idoles qui foisonnent autour de nous et qui asservissent nos esprits ?
Ouvrez la Bible : Dieu s’y présente comme le Sauveur. Il veut délivrer ceux qui sont prisonniers de leur ego, de leur orgueil, de leurs fautes… de leurs idoles ! Elle nous parle de jeunes Grecs qui s’étaient “tournés vers Dieu, se détournant des idoles pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son Fils qu’il a ressuscité d’entre les morts” (1 Thessaloniciens 1. 9, 10). Ces jeunes avaient fait une vraie conversion, un retour à 180 degrés. Se tourner vers Dieu, c’est croire qu’il nous aime, que Jésus son Fils est mort pour nos péchés, qu’il est ressuscité et nous donne la vie éternelle. Nos idoles tombent alors. Elles disparaissent devant un tel amour, un amour qui nous pousse à servir et adorer le seul Dieu vivant et vrai.
0 notes
Text
POURQUOI 30 ANS APRÈS « HOOP DREAMS » RESTE LE MEILLEUR DOCUMENTAIRE SUR LE BASKET ?
Voire le meilleur documentaire sur le sport tout court...
Aussi surprenant cela puisse paraître, Hoop Dreams ne devait au départ durer que 30 minutes.
Quand, en 1987, le réalisateur Steve James et du producteur Frederick Marx se mettent en tête d’aller filmer les playgrounds de Chicago, ils ne souhaitent alors consacrer que trois petites semaines à leur sujet.
Sur place, ils tombent cependant très vite sur un « recruteur local », un certain Earl Smith, qui leur présente deux adolescents de 14 ans bourrés de talent, Arthur Agee et William Gates. Le courant passe, et, une chose amenant une autre, James et Marx commencent à fréquenter leurs familles en dehors des courts.
De là, le projet prend une toute autre envergure. Persuadés d’avoir déniché tous les ingrédients un storytelling d’exception, James et Marx s’adjoignent les services du producteur Peter Gilbert afin d’augmenter sensiblement leur budget et le temps de leur séjour.
Et c’est ainsi que le 14 octobre 1994, cinq ans de tournage et 250 heures de rush plus tard (!), Hoop Dreams sort dans les salles de cinéma, changeant à jamais la vie des intéressés, la place accordée aux documentaires sportifs, mais, aussi et surtout, bouleversant de fond en comble la perception que se fait le grand public du processus de recrutement des athlètes professionnels.
De la sueur et des larmes
Long de presque 3 heures, Hoop Dreams suit les parcours croisés d’Arthur et William, deux surdoués de la balle orange qui rêvent les yeux grands ouverts de NBA. Sauf que bon, entre enquiller les paniers après l’école et décrocher un contrat pro, il y a un fossé – fossé dont chacun va prendre conscience à ses dépens de leur première saison au lycée à leur début à l’université.
[Sur 10 000 lycéens, seuls 3 seront un jour drafté par une franchise...]
Recrutés par le prestigieux Saint Joseph’s High School (célèbre pour avoir été l’alma mater du Bad Boy Isiah Thomas), Arthur et William tombent sur sous la coupe du coach Gene Pingatore. Dès lors, le basketball cesse d’être un jeu.
Vieux briscard, mi-père de substitution mi-chef de plantation, pour lui seule la victoire compte. Du genre « possédé » pour reprendre les mots de William, il s’emploie du mieux qu’il peut à tirer parti de ses jeunes recrues, qu’importe s’il lui faut les humilier ou les faire chanter.
Lorsqu’en junior William se blesse salement au genou, avant même qu’il ne soit rétabli à 100%, Pingatore le pousse à revenir au plus vite, contre l’avis des médecins. Plus craintif balle en main, William se blesse 48 heures plus tard et retourne derechef au bloc opératoire, la confiance dans les chaussettes.
Plus cruel encore, Arthur, qui chaque jour se lève à 5h30 du matin pour aller en cours, est tout bonnement exclu de Saint Joseph sitôt sa famille dans l'incapacité de payer ses frais de scolarité.
Intraitable, Pingatore, qui déjà ne croit plus en lui autant qu’avant (la faute à une croissance qui se fait attendre), laisse faire. Direction le lycée public, et déjà ses rêves « d’acheter une maison pour sa mère, une Cadillac pour son père et de mettre ses frères et ses sœurs bien » s’éloignent.
S’il est un peu facile de faire de Pingatore le grand méchant du film (amoureux sincère du basketball, il ne fait que se jouer d’un système autant que ce système se joue de lui), il est de ceux qui participent à traiter la jeunesse des ghettos comme de la chair à canon.
Ou comme il le résume à la toute fin, après que William et lui se soient faits des adieux aussi ternes que convenus : « Quand un joueur passe la porte dans un sens, un autre joueur passe la porte dans l’autre sens. Ce n’est pas plus compliqué que ça. »
Quelque chose de pourri au pays de l’Oncle Sam
La dure réalité des parquets n’est toutefois pas la seule à laquelle Arthur et William sont confrontés. Loin de là.
Purs produits de leur environnement, ils font face à tout ce qui ne va pas dans un ghetto noir américain moyen, à commencer par une précarité qui ne leur laisse aucun répit.
Drogues, criminalité, chômage, infrastructures délabrées, coupures d’électricité... l’un des passages les plus crève-cœur de Hoop Dreams est certainement celui où Sheila, la mère d’Arthur, lance désespérée : « Vous demandez-vous parfois comment je fais pour vivre ? ».
Sans emploi, séparée d’un mari qui à trop fumer la pipe à crack la battait, elle ne dispose à cet instant T que de 268 dollars par mois pour nourrir ses enfants...
Guère mieux loti, William sent la pression se faire de moins en moins saine, entre un grand frère Curtis, ancien espoir déchu qui ne vit plus qu’à travers lui, et une paternité qui arrive sans prévenir.
Sorte de film dans le film, cette plongée dans le quotidien des deux ados est d’autant plus pénible à regarder qu’Arthur et William voient leurs illusions s’envoler les unes après les autres.
À la merci de cadres blancs replets qui les traitent tels des numéros de série (voir cette scène lunaire où, sur un plateau télé, des reporters qui ont quatre fois leur âge discutent cigares à la main de leur avenir), ils sabordent leur seule autre porte de sortie, l’école. Menacés à tout instant de suspension pour cause de résultats scolaires à la ramasse, incapables de comprendre les enjeux, à chaque fois que le sujet est abordé, ils se murent dans le silence.
Fort heureusement, Hoop Dreams est entrecoupé çà et là de lueurs d’espoir, comme lorsque Sheila, la mère courage d’Arthur, qui, sans rien dire à personne, prend des cours du soir et décroche à la surprise générale un diplôme d’infirmière.
Petit bémol : là où la foule se presse chaque semaine pour applaudir son fils sur un terrain, lorsqu’elle reçoit son diplôme, la salle de réception est quasiment déserte, quand bien même c’est elle qui mérite le plus une standing ovation.
Hoop Dreams, plus que du basket
Filmé avec brio, les scènes de basketball illustrent à merveille cette ambivalence, avec d’une part, une caméra qui capture au plus près l’action sur le terrain, et de l’autre, une caméra qui se concentre sur les réactions des proches en tribune.
Aller-retour permanent entre le spectaculaire et l’intime, Hoop Dreams se sert du sport comme d’un cadre pour raconter une histoire beaucoup plus universelle : celle de deux adolescents au seuil de leur vie, qui, à la manière du jeune berger Santiago dans L’alchimiste de Paulo Coello, vont accomplir leur légende personnelle, réalisant chemin faisant que « c'qui compte c'est pas l'arrivée, c'est la quête ».
Plusieurs années après sa sortie, William déclarera d’ailleurs que « si Hoop Dream émeut tant, c’est que le script tient la route avec ou sans le basket. Se battre pour ses rêves, cela parle à tout le monde. ».
Et tant pis, si ni lui, ni Arthur n’ont un jour porté un uniforme NBA...
William et Arthur en 2014
30 ans après, que sont-ils devenus ?
Pourtant construit selon la très hollywoodienne trame « de zéro-à-héros », Hoop Dreams ne se termine en effet absolument pas sur une note triomphante.
Un simple texte blanc sur fond noir renseigne le spectateur qu’une blessure au pied a lourdement handicapé la carrière universitaire de William tandis qu’Arthur y croit encore.
La saison 1994/1995 marquera le chant du cygne pour nos deux aspirants pro, chacun affichant des stats largement insuffisantes pour un futur drafté (8,3 points de moyenne à 37,8% de réussite pour Arthur, 2,6 points de moyenne pour William).
Bonnes nouvelles toutefois, ils quitteront ensuite l’université diplôme en poche, puis, grâce au chèque de 200 000$ reçu pour leur participation à Hoop Dreams, quitteront le ghetto – sorti en salle, le documentaire a rencontré un vrai succès public, chose inédite pour ce format à l’époque.
Aujourd’hui respectivement pasteur et conférencier, tous deux grands-pères, William et Arthur se retrouvent régulièrement devant les caméras pour évoquer tout sourire leur passé commun, eux qui ne craignaient rien tant de sombrer dans l’oubli trente ans auparavant.
[« Quand les gens me disent ‘Ne m’oublie pas quand tu joueras en NBA’, j’ai envie de leur répondre ‘Ne m’oubliez pas non plus si je ne joue pas en NBA’ » aimait à répéter William.]
Le destin n’a cependant pas été aussi clément pour leurs entourages. Curtis, le frère de William, est mort par balles en 2001 pour une histoire de triangle amoureux. Bo, le père d’Arthur, a été tué en 2004 lors d’une rixe.
Hoop Dreams, ou le rêve américain sans filtre.
youtube
Publié initialement sur Basket Reverse le 10 octobre 2024.
0 notes
Text
Lorsque vous pratiquez une activité physique intense, vos muscles subissent des micro-lésions qui peuvent provoquer des courbatures. La gemmothérapie peut aider à réduire l’inflammation, à favoriser la récupération musculaire et à prévenir les douleurs après l’effort.
Le bourgeon de Cassis est réputé pour ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. En prenant l’extrait de bourgeon de Cassis avant et après l’effort, vous pourrez limiter les dommages musculaires et réduire les risques de courbatures.
Le bourgeon de Bouleau est connu pour son action détoxifiante et drainante. En favorisant l’élimination des toxines accumulées pendant l’effort, il contribue à accélérer la récupération musculaire et à prévenir les courbatures.
Le bourgeon de Frêne est un anti-inflammatoire et aide à l’élimination de l’acide urique responsable des courbatures. Il contribue au maintien de la souplesse des muscles et des articulations.
Pour profiter des bienfaits de ces bourgeons, la posologie recommandée est de 10 à 15 gouttes par jour. Prenez les gouttes directement sur la langue et gardez le macérat quelques instants en bouche avant d’avaler. Vous pouvez également diluer les gouttes dans un peu d’eau.
Afin de bénéficier de l’action synergique des bourgeons, une solution prête à l’emploi est disponible : Le complexe Sportisève.
Celui-ci a été spécialement formulé pour favoriser l’élimination des toxines et des déchets produits par les muscles lors d’un effort physique, afin d’éviter les courbatures et de faciliter la récupération. Sportisève est composé de sève de bouleau fraîche et Bio enrichie en bourgeons de Cassis, Frêne, Noisetier, Bouleau et jeunes pousses de Myrtillier.
Conseils d’utilisation :
Sportif occasionnel : 1 cure de 3 semaines à raison d’1 cuillère à soupe le matin diluée dans un verre d’eau. Faire la cure à la reprise de toute activité sportive, à répéter 2 à 3 fois par an.
Sportif régulier : 1 cure de 3 semaines à raison d’1 cuillère à soupe le matin diluée dans un verre d’eau. Faire 2 fois 3 semaines avec 1 semaine d’arrêt.
Sportif de haut niveau : 1 cure de 3 semaines à raison d’1 cuillère à soupe le matin diluée dans un verre d’eau. Faire la cure 3 semaines avant et juste après la compétition.
1 note
·
View note
Text
MALGRÉ LA VIOLENCE DES GUERRES ET AUTRES GÉNOCIDES, DES CORRUPTIONS ET AUTRES NARCISSISMES, LA PLANÈTE, SES ÊTRES ET SES RACES SURVIVENT ET SONT CAPTÉS PAR DES PHOTOGRAPHES VIFS ET EFFICACES.
LAURÉATS ET FINALISTES DES PRIX ANNUELS DE PHOTOGRAPHIE SONY, ÉDITION 2024, CHOISIS PAR THE ATLANTIC, 12.03.24

« Nous avions fait nos adieux à notre lodge sur la rivière São Lourenço, marquant la fin de notre aventure dans le Pantanal, mais en partant, nous avons entendu dire qu'un jaguar avait été repéré à environ 30 minutes. Nous nous sommes précipités sur les lieux et avons rencontré cette élégante jaguar traquer sa proie. Notre bateau - et mon appareil photo - étaient parfaitement positionnés alors qu'elle s'est jetée sur un caïman sans méfiance. » Ian Ford

« L'équipe masculine de basket-ball des Fairleigh Dickinson Knights termine son échauffement d'avant-match avec un dunk synchronisé, avant un match à domicile à Hackensack, New Jersey. » Ron Ratner

« Alors qu'un lever de lune brûle à l'horizon, les lumières dansent au-dessus du vieil homme de Storr en Écosse. Cette formation rocheuse emblématique a été éclairée par de puissantes lumières attachées à des drones, qui traversent l'obscurité pour révéler le paysage glacé.
« Les blizzards ont hurlé pendant la majeure partie de la nuit, ne laissant que quelques minutes pour exécuter cette photographie avant que la lune ne devienne trop brillante. » Liam Man

« Tout le monde aime la Fleet Week à New York. Tous les soirs de la semaine, les dames viennent en ville pour danser toute la nuit avec les marins en visite, mais les marins doivent partir avant minuit pour retourner sur leurs navires, car leur "liberté de Cendrillon" touche à sa fin. Cette dame a passé un merveilleux moment et offre bonne nuit à son héros en visite. » Kathryn Mussallem

« J'ai pris celle-là à Hikkaduwa au Sri Lanka. Il y avait un coucher de soleil fantastique et beaucoup de gens surfaient, alors j'ai attrapé mon appareil photo et je suis allé photographier l'action. J'ai suivi ce gamin alors qu'il montrait ses compétences et capturait ce moment. » Thusita Jayasundara

« Une scène rare d'un cachalot allaitant de sa mère dans l'océan Indien. Le jeune veau pousse sa mâchoire inférieure dans la cavité du mamelon et la mère injecte du lait dans la bouche du bébé sous l'eau. Comme les jeunes baleines ne peuvent pas respirer et allaiter en même temps, ces événements d'alimentation sont généralement assez courts. » Thien Nguyen Ngoc

« Un portrait en gros plan d'un bourdon. Cela montre une partie du côté droit du visage de l'abeille avec l'œil et l'antenne clairement visibles. » Francis Principe-Gillespie

« Pressé par un emploi du temps chargé, un homme se dirige vers son bureau par les ruelles étroites de Kolkata (Inde). » Deepbrata Dutta

« Dans les montagnes de l'Himalaya dans l'un des pays les plus reculés du monde, le Bhoutan, un baseball prend son envol. Le baseball devient rapidement l'un des sports les plus populaires du pays. » Matthew DeSantis

« Sur le lac Titicaca, entre le Pérou et la Bolivie, un village flottant de pêcheurs contraste l'approche d'un feu sauvage, témoin de la dualité de la nature. » Yan Li
1 note
·
View note
Text
couverture du livre :
PRINTEMPS GLACIAL
PRINTEMPS GLACIAL
FEVRIER
C’est l’hivers. Le froid règne, il est tard et tombe la neige sans discontinuer. Cette Saint-Valentin s’amorce sous de mauvais hospices. Bruno quitte à l’instant son entreprise. Le ciel cotonneux cache les étoiles lointaines. Le vent glacé transperce ses os au travers de son duffelcoat. Bruno tremble plus que de coutume au moment où il actionne l’alarme de son établissement. 20 heures 30, il se trouve enfin au volant de son Scénic. Encore toute la route à faire pendant que le ciel déverse ses gros flocons.
Une pensée négative traverse le cerveau de cet homme d’affaire, de ce patron aussi solitaire que seul. « toujours tard, je rentre toujours tard. Putain, mais jamais je vais savoir faire autrement ». Il allume la radio afin de chasser de sa tête le déplorable constat émit sur lui-même. Il quitte enfin la ville en direction de sa douce campagne. Les routes étroites et mal éclairées ralentissent son retour jusqu’à Saint-Trivier. Son nez coule malgré le chauffage à fond dans l’habitacle. Il renifle et de temps à autre essuie du revers de la main. Tant pis pour ce contre temps hivernal sur son trajet, lorsqu’il arrivera chez lui ; même seul ; il y trouvera un habitat douillet comme chaque jeudi. Monique, la femme de ménage qu’il partage avec sa sœur Martine, s’occupe de sa grande maison. À la fin de sa journée de corvées, Monique a pour habitude de déposer le double des clés sous un pot de fleurs et la télécommande du portail emballée dans un sachet à la gauche de celui-ci.
En ce début de soirée maussade emmène Bruno dans quelques bribes de son passé. Une ex-épouse, Ghyslaine qui l'avait quitté depuis 4 ans pour un gendarme. Ses fils dont il a la garde. L’aîné qu’il a reconnu avant même de se marier à sa mère, et qui vit à Londres. Les deux autres en vacances, aux sports d'hiver à s'éclater. Sabine, cette jeune femme avec qui il aurait pu avoir une belle et longue histoire. Un fil conducteur qu'il n'avait pas su conserver lorsque les démons abaissants de son passé étaient revenus. Et cette foutue neige qui ne s'arrête pas !
« j’ai beau être un bon samaritain à faire bosser tout l’monde, à assumer les garçons. Mais putain ch’suis tout seul. Juste seul avec mon fric, ma baraque et mes chiens ! J’bosse toute la journée comme un forcené mais pour qui, pourquoi ? ch’suis vraiment un abruti ! »
Mais il arrive enfin devant son portail. Ce qui clôt toute la négativité qui encombrait l'habitacle de son véhicule. Il stoppe la voiture face à l’immense double porte qui ceint la bâtisse bressane. Moteur toujours en marche, il sort et va récupérer les clés et la télécommande. Il retourne au poste de conduite et appuie sur le bouton ouverture. Les deux chiens accueillent véhicule et bonhomme dans une liesse sans commune mesure. Maya, la chienne, se sauve comme à chaque fois que le portail s'ouvre. Bruno stationne son carrosse au milieu de la cour face à la piscine bâchée. Il s’empresse de rappeler Maya à l'ordre. La chienne docile, qui aime juste sentir les odeurs qui émanent du ru situé en face de la maison, revient vers lui sans se faire prier. Il ferme le grand portail. Il administre une caresse aux deux animaux et souffle un bon coup. La neige a cessé son manège. Un beau tapis recouvre l'ensemble de la propriété. les chiens adorent ce temps, et montrent leur désir du jeu. Bruno les repousse gentiment et se dirige vers l'entrée de son domaine de vie. Il introduit la clé, et après deux tours la porte s'ouvre. Il tient un sac empli de victuailles de sa main gauche. Il retire les clés de la serrure et pousse légèrement la porte du pied droit. Les chiens lui tournent autour juste au moment où ils s'apprêtent à entrer. Bruno agacé les rabroues. De la main droite il actionne l'interrupteur lumineux.
1 note
·
View note
Text
Enfance (in)souciante
On joue dans les champs, on se rétame par terre, puis on se relève comme si de rien n’était. On essaye de ne pas pleurer, mais la douleur est si grande, c’est plus fort que nous. On se met à pleurnicher, implorant nos parents pour qu’ils viennent nous réconforter. On s’égratigne les chevilles en marchant dans les orties, ça pique et une sensation désagréable se fait ressentir, ça chatouille. Nos genoux sont couverts de bleus, notre manque d’équilibre nous fait dégringoler sur le sol, à toute vitesse. Maman nous met un pansement sur nos plaies, accompagné d’un bisous magique. La douleur s’estompe, les jours qui suivent, on se remet à courir dans la cours de récréation. N’étant pas encore au courant des atrocités de la vie, on rit aux éclats, les yeux pétillants et la bouche grande ouverte. On aperçoit le monde à travers nos yeux d’enfants, émerveillés par les choses du quotidien. À cet âge, la joie de vivre berce nos nuits d’une jeune nostalgie.
Le soir, on se crée des scénarios avant de s’endormir, mais Maman nous ramène à la réalité en nous rappelant qu’il est l’heure d’aller se coucher. Théo et moi marchandons pour rester éveillés un peu plus tardivement et Maman finit par céder à nos caprices. Elle nous lit une histoire, mais nous ne sommes jamais attentifs, nous finissons toujours par nous endormir dès la première ligne.
À l’école, j’apprends à résoudre des multiplications, je récite des poésies, mais je peine à les apprendre par cœur. Je passe devant toute la classe, on se moque de moi. Moi, l’enfant insouciante, je suis confrontée pour la première fois aux moqueries de mes camarades de classe, qui s’instaurent lentement, comme un long poison mortel. Je cherche désespérément un vaccin pour me soigner, ne me rendant pas compte que je suis déjà infectée. Mon sourire enfantin se transforme peu à peu en un rictus léger, je continue de sourire et de chantonner d’un ton enjoué, simplement dans l’espoir de faire croire à Maman que tout va bien.
- Je ne comprends pas pourquoi mes camarades de classe se comportent aussi méchamment avec moi.
Je grandis, j’ai l’impression d’avoir vécu la moitié de ma vie. Les secondes se transforment en heures et les éclats de rires en pleurs. Je suis distante avec Maman, je passe mes journées enfermée dans ma chambre. Je redoute chaque nouvelle journée qui se lève, et je ne descends les escaliers seulement quand il est question d’aller dîner. Maman se demande où est passée la fille qu’elle aimait tant. J’ai changé, je ne suis plus la même qu’avant.
En sport, je suis toujours la dernière à être choisie. On se moque de mes chaussettes Hello Kitty, puis les insultes se multiplient. On m’enferme dans les vestiaires, je hurle de toutes mes forces, mais rien n’y fait. Personne ne m’entend, je suis la voix silencieuse. On me pousse dans les couloirs en me faisant trébucher puis on crée des rumeurs à mon sujet. Tout le collège est au courant, je deviens l’ennemie numéro un. Ils se regroupent tous autour de moi, s’amusent à me tirer les cheveux. Je reste accroupie sur le sol, impuissante. J’observe leur violence avec mépris à travers mes yeux d’adolescente, je suis victime de leurs mascarades. J’implore qu’ils me laissent tranquille, mais rien n’y fait. Je demande de l’aide, mais en vain. L’accumulation grandit, la haine aussi. J’étais différente et les gens ne prennent pas la peine de faire connaissance avec ceux qui ne sont pas comme eux, ils ne savent que fuir les choses qui les effraient, et la différence effraie ces gens qui n’ont pas un coeur d'enfant. Alors j'ai feint l'ignorance, et je suis restée dans mon coin car je n'ai pas ces facultés d'apprendre si rapidement. Je vais à mon rythme et les gens passent leur chemin, ils ne m'attendent pas.
0 notes
Text
Annecy Journée : mercredi 24 mai 2023.
See on Scoop.it - JamesO
Aujourd’hui, mercredi 24/05/23, Journée mondiale du bricolage 🛠
Les violences envers les médecins ont augmenté de près de 23 % en 2022 par rapport à 2021. L'année dernière, 1.244 incidents ont été déclarés par des médecins, un nombre jamais atteint ces vingt dernières années, selon le rapport de l’Observatoire de la sécurité des médecins publié hier par le conseil national de l’Ordre des médecins 😱
L'infirmière agressée au CHU de Reims est morte, a annoncé hier le ministre de la Santé. Deux femmes, une infirmière et une secrétaire médicale, avait été attaquée à l'arme blanche avant-hier. Un suspect a été arrêté 😥
L'État contrôlera 100 % de l'entreprise ÉDF le jeudi 08/06/23, a annoncé hier Bruno Le Maire. L'État contrôle au moins 98,04 % des droits de votes de l'électricien après l'OPA lancée par le gouvernement 💯
La suppression de vols intérieurs courts en France est entrée en vigueur officiellement. Après le feu vert de la Commission européenne, le gouvernement a publié hier le décret d'application de la loi votée en 2021 ✈️
Trois associations de défense des droits LGBT+ ont indiqué hier déposer plainte contre Amazon pour ne pas avoir coupé des chants homophobes lors de la rediffusion de matchs de football. Ces chants installent « un climat de honte pour tous les joueurs et les amoureux de ce sport qui seraient homosexuels », écrit Familles LGBT+ ⚽️
La Roumanie condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme pour son refus de reconnaître les unions de couples de même sexe. Plusieurs couples LGBT+ avaient déposé un recours devant la CEDH, alors que le pays d'Europe de l'Est n'a pas légalisé le mariage pour tous 👩⚖️
Valentin Petit meurt à 32 ans. Le réalisateur de clips vidéos pour Nekfeu, Roméo Elvis ou encore Rosalia est mort samedi dans un accident d'avion en Suisse. L'audiovisuel français perd l'une de ses jeunes pousses les plus prometteuses 😥
Hier, des activistes ont interrompu brièvement le trafic aérien à l'aéroport de Genève. Peu auparavant, des activistes du climat avaient perturbé le salon de l'aviation d'affaires se tenant non loin des pistes 🛫
Le Parlement hongrois a retiré hier un amendement incitant à la délation des personnes LGBT+. L'amendement permettait la délation de « toute remise en cause du mariage », inscrit dans la Constitution depuis 2019 comme étant l'union entre un homme et une femme 👍
Publication de 12 infos programmées de 3h à 21h 📣
Bon troisième jour de la semaine à toutes et à tous 🌅
📷 JamesO PhotO à Annecy le dimanche 21/05/23 📸
JamesO's insight:
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
Par JamesO (Presse & Édition)
Information - Expression - Opinion
⛲️ Depuis le lundi 29/02/88 🦢
Annecy - Grand Annecy
Haute-Savoie - Savoie - France
Union Européenne - Europe - International
#sélection #vérification #rédaction #agrégation #curation #éditorialisation #coopération #diffusion #animation
🌈 JamesO 🎨
L’infO qu’il vous faut❗
⚪️ Le fil blanc de JamesO.InfO
Les jours, les journées et l’aube.
0 notes
Text
saga: Soumission & Domination 337
Enguerrand et Max-2
Le vendredi, j'ai pris mon après-midi, un peu nerveux quand même. Ok c'est un homo mais c'est aussi un policier. PH rit que ça ne m'inquiète que maintenant.
Max et Enguerrand sont venus directement de leurs lycées. Enguerrand me dit que son histoire s'est rependue dans son lycée. L'état des mecs qui les avaient agressés aussi ce qui fait que son coming-out involontaire a moins été pris en compte que le fait qu'il ait cassé la gueule à 4 cons.
Je les envois se laver avant l'arrivée de notre invité. Ils ont beau être arrivés une bonne heure avant lui, ce n'est que quand il sonne au porche que nous voyons réapparaitre leurs deux têtes !!
Je descends le chercher. Il est surpris de l'aménagement de l'entrepôt. Je le vois mater les voitures et motos qui encombrent le garage alors que je le pousse vers le monte-charge. Il trouve intéressant que nous ayons gardé ce moyen d'élévation. Il mate au travers de la porte moitié bois moitié verre chaque étage. Quand nous arrivons au 4ème, il me dit que j'avais réussi à utiliser tous les niveaux. Je cite : bureau de ma société, salle de sport, espace nuit et espace de vie plus au-dessus la terrasse. Je le débarrasse de son blouson et Enguerrand s'avance pour le saluer. Il salut Ludovic et Max avant que je lui présente PH. Je remarque que là aussi, il note tout d'un seul regard. Sa tête a fait un 360° et s'est figée quelques dixièmes de seconde sur la cuisine. Je suis sûr que c'est plus sur les deux torses nus qui dépassent du plan de travail que pour la piscine qui la surplombe.
Il nous donne des infos sur l'avancée de notre dossier. Puis on passe aux conseils pour lesquels nous l'avons fait venir (entre autre...). Je lui propose de mettre en pratique et nous descendons tous au second.
Il est impressionné par l'installation de muscu qui entoure le tatami central. Les deux petits se mettent en tenue c'est-à-dire avec seulement leurs petits shorts moulants sur les fesses. Notre invité est surpris et son paquet enfle nettement. Les deux trublions se positionnent l'un en face de l'autre et lui font une petite démonstration de leurs connaissances dans l'art de mettre à bas un agresseur. Dans un premier temps c'est Max qui fait le méchant puis c'est le tour d'Enguerrand. Max a plus de mal à se débarrasser d'Enguerrand que l'inverse. Flic s'en rend bien compte et me demande si Enguerrand ne ferait pas de la boxe française. Je confirme son intuition. Il se rapproche des deux protagonistes et leur explique comment dévier les chocs à la tête.
Malins, ils l'obligent à leur démontrer les gestes. Il est vite engoncé par ses jeans et son polo. Je lui propose un short. Il veut bien s'il lui colle moins qu'à ces deux " petites frappes ". C'est dit avec un ton affectueux qui enlève le côté insultant.
Je lui sors ceux que mes deux gamins avaient refusés et les lui tends. Il regarde à droite et à gauche pour se trouver un coin pour se changer mais ne voit que les bancs avec patères qui sont dans l'entrée. Il retire ses vêtements et en slip (Dim sport bien rempli) enfile le premier short. C'était un de ceux que j'avais voulu imposer aux deux gamins et à lui, ça moule bien. Comme il va pour essayer l'autre je lui dis que ce n'est pas la peine, il est de la même taille. Je le sens un peu gêné mais il s'avance pour lutter avec eux. Je profite qu'il commence à se frotter aux petits jeunes pour dire à Ludovic et PH que ce serait dommage de ne pas profiter nous aussi de ses conseils. Il ne nous remarque que quand nous les rejoignons en jocks.
Ça l'arrête et il me demande si c'est un piège. Je fais l'innocent (et ça je le fais très bien) et l'assure que non, c'est juste notre tenue pour faire du sport. Il essaye de me croire et nous passons une bonne heure à intégrer les évitements qui nous laisseront le minimum de marque nécessaire à justifier le cassage de gueule de l'adversaire.
Sa gêne réapparait quand je pousse tout le monde sous les douches. Mais le peu de cas (forcé) que nous faisons de sa mise à poil le rassure et nous nous douchons dans une bonne ambiance. Je note quand même en passant qu'il dispose d'un bel outillage. Il ne semble pas très poilu à moins qu'il ne s'épile le torse lui aussi. Ses couilles sont rasées mais la touffe est broussailleuse. Séchages individuels sauf pour nos deux belligérants qui se sèchent mutuellement.
Sans faire de cas, je lui tends un trunk ADDICTED pour remplacer son slip DIM trempé de sueur. Il accepte tout en me disant qu'il me le rendrait propre. La poche met en avant son paquet d'un plus bel effet. On se rhabille, ses jeans font plus " remplis ". On monte diner.
Il est maintenant complètement détendu avec nous. Il commence, je pense, à bien cerner les liens affectifs qui nous unissent tous. Nous faisons avec lui comme avec un ami homo déclaré. C'est-à-dire que nous n'en parlons pas mais que nous n'écartons aucuns sujets ou gestes qui nous sont propres. L'apéritif le surprend non par les alcools proposés mais par mes hommes de service.
Il prend le parti d'en rire et nous dit que c'est vraiment une drôle de maison que nous formons.
Nous passons une bonne soirée. Nous apprenons qu'il n'a que 28ans. Le vin aidant, sans que nous soyons souls pour autant, il se détend vraiment jusqu'à nous avouer au détour d'une conversation que ce n'est pas toujours évident de rencontrer des mecs vu sa situation. Si ce n'est pas interdit dans la maison poulagas, ça reste encore difficile à dire sans que cela n'amène quand même des réflexions et de la gêne.
Max saute alors sur ses genoux, lui roule un patin qu'il n'a pas le temps d'esquiver et lui dit qu'avec Enguerrand et lui-même, il dispose de deux petits copains discrets, mais très très chauds. Il enfonce le coin en ajoutant qu'il va leur falloir encore quelques cours d'évitements afin de bien les intégrer à leurs techniques de combat.
Il est scié et ne se dégage même pas de Max. Il arrive juste à dire que ce n'est pas possible tout en posant ses mains sur la taille de Max. Enguerrand en rajoute en avançant que même s'ils lui sont redevables de bien plus, il est sûr qu'ils prendront tous du plaisir.
Flic me regarde, cherchant de l'aide de mon côté. Je hausse les épaules dans un geste d'impuissance et appuis en ajoutant que ce n'est plus des enfants que l'on peut dresser mais des jeunes adultes qui maîtrisent leurs vies. Ludovic qui est pris à parti en tant que frère d'un des deux petits tentateurs lui dit la même chose.
Il est évident que la situation le fait bander à mort ! Je le sens prêt à nous quitter de peur de céder à la tentation. Mon petit " beau-frère " me fait signe qu'il veut que nous gardions Flic pour la nuit au moins. Je lui fais comprendre de se débrouiller par eux même. J'aide juste en offrant un Jet 27 sur glaçon après le café.
Il finit par nous dire au revoir et je laisse ses deux " élèves " le reconduire à la porte.
Nous allons nous coucher sans attendre leur retour.
C'est donc très surpris qu'au petit déjeuner, nous voyons apparaitre Flic avec nos deux impertinents pour prendre un café. Il est gêné mais, poussé par Enguerrand et Max, il nous rejoint dans la cuisine.
Je lui souhaite la bienvenue et lui dit que s'il porte plainte pour viol, il aura du mal à convaincre un juge vu ses capacités à maitriser les contrevenants. Ludovic qui voit plutôt l'autre facette, lui garanti que ce n'est pas par nous qu'il sera embêté.
Il arrive quand même à avaler un café. Les deux gamins sont eux tout contents du coup qu'ils lui ont fait. Max ne peut s'empêcher de nous dire que la nuit avait été grandiose.
Comme je sens Flic gêné, je l'affranchis que nous somme rarement pudiques entre nous et qu'un mec arrive à satisfaire ces deux petites " salopes " ne peux être qu'élogieux pour le mec en question. Nous sommes passés avant lui et connaissons l'exigence de ces corps en fin de croissance !
C'est à ce moment-là, je crois, qu'il a décidé de laisser vivre. PH l'a encore une fois assuré que tout ce qui se passait ici n'était jamais arrivé dès qu'on passait la porte sur la rue.
Du coup il accepte des oeufs brouillés, du bacon et des pommes de terre sautées, base de nos petits déjeuners de fin de semaine. Nous échangeons nos cartes de visites avant qu'il ne parte avec la promesse de nous revoir.
Je conduis Max et Enguerrand à la propriété.
Quand je rentre je m'arrête à mon bureau. A cet étage, dès qu'une porte de chambre s'ouvre, les caméras enregistrent tant qu'il y a du mouvement. Le fichier est lourd, signe qu'ils ne se sont pas endormis tôt ou plutôt si mais très tôt ce matin.
Je passe en vitesse rapide et ralenti de temps à autre. Il assure notre Flic. Sans débander il a réussi à mettre sur les genoux mes deux protégés. Max a eu un peu de mal avec son ecchymose sur les côtes. Plusieurs fois je l'ai vu grimacer. Par contre ils sont très complices tous les deux. Je crois bien que Max a appris d'Enguerrand si je comprends bien ce que la vidéo me montre. Ils se complètent et en duo ils ont l'air bougrement efficace. Si après un tel traitement, flic n'est pas accros à nos deux trublions alors je ne comprends pas. Même un hétéro se serait fait plaisir avec eux.
Je crois bien que c'est la première fois que deux mecs arrivaient à l'avaler entier au cours de la même baise. Il a adoré enculer en alternance les deux culs. Je le vois tester plusieurs positions : Enguerrand dans les bras de Max, Max sur le dos d'Enguerrand ou les deux culs positionnés côte à côte les deux petits mecs en levrette collés de l'épaule au bassin. A chaque fois, Flic plongeait dans un cul puis dans l'autre. Pour finalement retirer sa kpote et arroser de jus les deux dos accolés. Puis je vois les regarder se finir en 69. On voit nettement quand ils se " nourrissent " respectivement. D'après le temps qu'ils mettent à se téter, la production est bonne. Si Enguerrand est comme ses deux frères, il " donne " au-dessus de la moyenne.
Flic nous recontacte le soir même. Je l'invite à passer. Ça sonne aussitôt. Il avait appelé de sa voiture devant notre porte.
Il monte nous rejoindre. Il semble embêté par son aventure de la veille. Il me demande où sont les jeunes et si ils vont bien.
J'éclate de rire. Il s'en fait pour ces deux petites salopes qui ont pris un pied d'enfer à se faire défoncer à tour de rôle. Je le rassure, ils ne sont en aucun cas traumatisés par leur nuit passée avec lui. Ça l'inquiétait car pendant un moment ils avaient réussi à lui faire oublier que ce n'était pas des mecs de son âge comme à son habitude. Du coup il avait été fort dans la baise.
Je fais attention à ne pas me couper avec ce que j'ai vu sur l'enregistrement. Ludovic lui dit que c'était leurs désirs à eux aussi. Vu comme ils étaient content ce matin même et d'après ce qu'ils nous avaient confié, lui (Flic) avait assuré et qu'ils avaient trop aimé cela. Ils espéraient même pouvoir recommencer.
Flic nous dit que c'était une première pour lui. En général il trouvait des partenaires dans ses âges et plutôt sur internet pour ne pas tomber sur des mecs du coin. Cette contrainte plus celles dues à son travail, faisait qu'il ne baisait pas tous les jours. Ça, plus leurs corps très excitants, il n'avait pu se retenir avec eux.
Je lui prends l'épaule et je lui dis que s'il le veut, il dispose maintenant de deux petits mecs affamés de sa bite. J'ajoute que s'il a peur de les ramener chez lui, il y a toujours une chambre de libre au premier pour abriter leurs ébats.
PH lui dit qu'il faudra quand même leur laisser le temps de travailler leurs cours !
Flic s'offusque qu'il n'était pas question qu'ils loupent leur année à cause de lui. On est sur la même longueur d'onde.
Ludovic le sent quand même encore en retenue. Il appelle son frère et lui dit que Flic est avec nous. La réaction est directe " il est à nous celui-là ". Max ponctue d'un " pas touche les obsédés " quand Enguerrand lui dit avec qui nous sommes.
Comme il a mis le haut-parleur, Adam, notre " Flic " entend tout comme nous les réactions de ses deux compagnons de jeux.
Il est d'accord avec eux mais les met dans le même sac que nous. Surtout quand je lui dis que le jour où la viande fraîche le sature, on est prêt à prendre la relève.
J'ajoute : t'en a pas déjà assez par hasard ?
Il rit et nous dit qu'il peut attendre quelques jours de les revoir. Le téléphone de Ludovic est encore en ligne avec celui de son frère. Nous entendons en sortir un " vous pouvez venir nous chercher demain soir pas trop tard qu'on passe au blockhaus avant de rentrer chez Max ? " suivit de " au fait t'es libre demain soir Adam ? ".
Je gueule que j'espère qu'ils ont fait leur devoir sinon ça va chauffer pour leurs fesses. Réponse impertinente de Max, " on préfère se les faire chauffer par la police". Je capitule et, d'un coup de menton, signifie à Flic de nous donner sa réponse.
Il se tortille un peu sur le canapé mais se laisse tenter. Max nous supplie alors de venir les chercher vers 16h qu'ils aient quand même un peu de temps avant de regagner leur chez lui.
Samir arrive avec l'apéritif. C'est vrai que c'est l'heure. Nous causons un peu. Nous apprenons qu'il vient du 93. Muté il y a presque un an, il avait passé plus de temps à accumuler les permanences que de WE de liberté. Mais ça le changeait agréablement des racailles du 9.3. Par contre ça ne facilitait pas les rencontres.
On parle études supérieures et sport. Il nous demande qui nous a formés en self-défense. PH lui dit qu'il a été le premier à enseigner le karaté puis que nous avions rencontré un pratiquant de Krav Maga. Depuis nous avions mâtiné nos pratiques de techniques militaires US, de boxe Française avec Ludovic et dernièrement nous avions intégré à notre petit club un pro de Capoeira.
Il comprend mieux notre niveau. Ce qui le surprend c'est ma référence aux techniques américaines. Sans dévoiler comment je lui explique que nous avons deux amis qui ont eu l'honneur de faire un stage auprès d'eux l'été dernier. Ils nous avaient enseigné un peu de ce qu'ils avaient appris.
Il me demande si ce serait trop demander que de les rencontrer. J'hésite. C'est quand même un flic et s'il vient à nos séances d'entrainement, il ne mettra pas longtemps à découvrir le pot au rose. Il y aura bien un de mes escorts pour manger le morceau sans le vouloir. D'un autre côté, il s'est un peu compromis avec Enguerrand et Max et s'apprête à le refaire demain soir. Ça plaide pour lui !
Après 5 minutes de réflexion, je lui dis de passer le mardi soir suivant. Mes deux mecs me regardent comme si j'étais fou.
Je préviens Flic que si tout ce qui se passait ici était top-secret à l'extérieur, ce serait pareil pour tout ce qu'il y verrait et entendrait. C'était la seule et unique condition à respecter de sa part et de notre côté nous la respecterons aussi.
A son tour de réfléchir. Il se doute bien qu'il risque de flirter avec l'illégalit�� mais je crois qu'il est trop intrigué pour refuser. Ça plus les deux culs de nos " petits frères ".
Il reste diner avec nous, personne ne l'attendait dans son appartement vide. Je prends quand même le temps de textoter à DGSE pour demander le dossier complet du type.
Jardinier
~~
~~
~~
12 notes
·
View notes
Photo

Le seul sport que je pratique est la natation et encore, de temps en temps. J’en faisait beaucoup plus étant jeune mais de temps en temps, surtout le dimanche matin, j’y retourne. La piscine est ouverte à 9h00 et à cette heure là, il n’est pas rare que je sois seule dans l’eau. C’est très agréable une grande piscine pour moi toute seule. C’est seulement vers 10h30 que les jeunes et les enfants arrivent ce qui rend l’ambiance bien plus bruyante. Ce dimanche n’enfreins pas la règle. Il est 9h05 quand j’arrive au bord de l’eau et j’y suis seule a part un maître nageur qui me regarde m’approcher les yeux rivé sur mes seins. Il faut dire que mon maillot est à l’égal des tenues que je porte en général, sexy voir même provocant. C’est un deux pièces avec en bas, non pas un string car dans la piscine c’est interdit mais une culotte quand même extrêmement mini puisque attachée avec des ficelles sur les côté et le triangle devant et derrière ne cache que le minimum. Quand au dessus, il est lui aussi tout rikiki, voir même trop petit pour mettre en valeur mes seins qui ne sont pas énorme mais d’une taille juste respectable. Le tout est noir et blanc ce qui fait parfaitement ressortir mon bronzage encore présent. Quand je suis dans l’eau, en nageant, je regarde le maitre nageur marcher vers le petit bureau vitré qui se trouve dans un coin.
Après une ou deux longueurs, un homme s’approche du bord de l’eau. Il a une bonne trentaine d’année, l��allure sportive cheveux long. Il m’observe dans l’eau avant d’y entrer dans un plongeon digne d’un grand champion. Il s’enfonce dans l’eau pour en ressortir quelques mètres plus loin et entamer lui aussi une longueur. Je le regarde le dos appuyé et les bras posés sur le bord du bassin. Apres quelques minutes, il s’approche de moi et se présente :
- « Bonjour, je suis Christian. »
- « Enchantée, moi, c’est Sonia. » On se serrent la main avant que le nageur ne reprenne la parole
- « C’est la première fois que je vous vois ici. »
- « Je viens assez rarement mais quand je viens c’est toujours à cette heure ci. »
- « Moi, je ne viens jamais à cette heure ci en réalité. » Il s’en suit quelque banalité pendant les quelles Christian s’approche de plus en plus de moi pour presque me toucher. En sentant cette approche, j'avance ma cuisse gauche doucement pour la passer entre les jambes de l’homme qui les plie légèrement pour que son sexe touche ma chaire au travers du fin tissus de son maillot. Lors de se contacte, je sens qu’il bande bien dur alors j’approche ma main qui remplace ma cuisses dans le contacte avec la queue du nageur. Doucement je lui masse la queue par- dessus le petit short de bain moulant. Il se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille :
- « Et si on sortait de l’eau ? »
- « Ce serait peut être mieux car je suis incapable de te la sucer au fond de l’eau. » En terminant ma phrase, je pousse sur les bras pour m’extirper hors de l’eau et vais vers la douche des femmes sous le regard de celui avec qui je discutais. Christian sort lui aussi de l’eau et file dans la douche des hommes pour me retrouver avant que je ne me rende dans ma cabine. Quand il sort, il constate que c’est moi qui l’attend pour l’emmener dans cette minuscule pièce ou on passe de vêtements à maillot et inversement. Les gens commencent à arriver, des hommes, des femmes, des enfants, des familles circulent librement en maillot. Des portes claquent, des cris et des rires joyeux s’élèvent dans chaque coin des vestiaires. nous savons qu’il faudra être discret.
Dès qu’on se trouvent enfermé dans la minuscule pièce, Christian colle ses lèvres aux mienne, nos langues se caressent, nos salives se mélangent. Les mains du jeune homme s’attardent sur mes seins qu’il sort sans difficulté du maillot. Il les tripote longuement avant de finir par en sucer les tétons sensuellement. Je me laisse faire, profite du moment présent puis me dégage de l’étreinte de cet homme pour m’asseoir sur le petit banc rabattable qui sert aussi de fermeture de porte. Je me trouve maintenant à la bonne hauteur et peut sortir ce sexe qui ne demande que ça. J’abaisse le maillot avant de lécher cette tige dressée. ma langue la parcoure de bas en haut puis de haut en bas en déposant de la salive sur chaque centimètre carré de chaire. Ensuite c’est sur les testicules que je m’attarde pour les gober et branlant d’une main cette grosse bite. Christian se laisse faire en me touchant les cheveux de temps en temps. Il tente de se contrôler pour ne pas gémir, pour ne pas crier des cochonneries. C’est au moment ou j’enfourne sa pine au fond de ma gorge qu’il a le plus de mal à se retenir, quand je le pompe de plus en plus rapidement il sent qu’avec ce traitement, il ne va pas tarder à jouir. D’un coup, il se retire, je comprend qu’il ne veut pas jouir maintenant, qu’il veut me baiser alors je me redresse, lui tourne le dos et me cambre pour qu’il me prenne par derrière. Dans un endroit aussi petit, c’est presque la seule solution puis c’est aussi une des positions que je préfère. Il abaisse doucement ma culotte de maillot puis place son nœud à l’entrée de ma chatte avant de me murmurer à l’oreille :
- « Je vais te baiser. » Je sens la colonne de chair entrer en moi centimètre par centimètre très lentement jusqu'à la garde puis ressortir et entrer à nouveau mais plus rapidement. Christian prend mes seins dans ses mains et fait rouler les bouts entre ses doigts. Les coups de reins sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides. J’ ai envie de gémir, de gueuler qu’il ait plus vite, qu’il soit plus fort. Comme si mon partenaire le sentait, ces mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce qu’il se crispe d’un coup, qu’il ne bouge plus, qu’il reste au fond de mon sexe pour jouir. C’est quand je sens cette explosion de foutre en moi que je jouis à mon tours. Après un long baisé langoureux, Christian quitte la petite cabine pour récupérer ses habits dans son casier pendant que je reste assise en pensant que j’aimerais garder ce sperme en moi jusqu'à mon retours à la maison puis me faire lécher par mon mari mais malheureusement ce n’est pas envisageable. Peut être une autre fois avec un autre amant. Le reste de mon dimanche, je le passe en compagnie de mon mari, un déjeuner en tête à tête à la maison suivit d’une belle balade la main dans la main dans les rues du village.
8 notes
·
View notes
Text
Sans histoire (2)
Dimanche, la météo a prévu de la pluie et elle ne se trompe pas. Pas de grande randonnée en perspective, journée sans histoire. J’ai si souvent raconté mes petites et grandes balades que je me demande si je trouverai encore quelque chose à écrire. Marcher sous la pluie, voilà une expérience intéressante. C’est l’occasion de tester en conditions réelles un nouvel équipement : un poncho-tarp.

J’ai le projet de gagner en autonomie et d’être capable de partir en randonnée itinérante, sans avoir l’assurance d’un hébergement tous les soirs. L’idée de combiner 2 en 1 la protection pour la pluie (le poncho) et la protection pour la nuit (le tarp) m’intéresse. Ce dimanche est l’occasion d’expérimenter la version « pluie ». Les personnes habituées à se déplacer à pied ou à vélo le disent : le souci, ce n’est pas le temps qu’il fait, c’est l’équipement.
Pour cette expérience, pas besoin de partir bien loin. Ce chemin qui fait le tour du lac de Génos-Loudenvielle, je l’ai parcouru des dizaines, peut-être des centaines de fois. Dans un sens ou dans l’autre, à toute heure, en toute saison. Aujourd’hui, la petite pluie fine n’est pas gênante du tout. Elle rend le vert de la nature encore plus brillant. Mon poncho, vert aussi, me recouvre de la tête aux pieds. Je me fonds dans le paysage en solitaire. Pas un chat dehors, seulement 2 ou 3 pêcheurs irréductibles et quelques canards. Quel privilège d’avoir le lac presque pour moi toute seule !
En passant devant Valgora, le nouvel « espace dédié au sport et à la culture », j’aperçois mon reflet sur la façade vitrée : mon poncho ressemble à une grande cape de pèlerin. Il manque juste la bosse sur le dos que ferait un sac de randonnée. Un chantier est en cours juste à côté : d’énormes engins ont entrepris de déplacer des tombereaux de terre. Qu’est-ce qui se prépare par ici ? De nouvelles surfaces de bitume en perspective ?
Je redoute un nouveau parking : il faut bien que les touristes en visite dans la vallée garent leur voiture quelque part. Je me demande toutefois : pourquoi des ingénieurs des travaux publics n’ont-ils pas mis leur ingéniosité à l’œuvre pour inventer un revêtement qui soit à la fois carrossable, marchable et perméable ? Peut-être un tel revêtement existe-t-il ? Mais c’est sûrement plus simple et moins coûteux, l’horrible bitume.
Heureusement, ici, le vert domine largement. Et en cette saison, la palette est étendue, du vert tendre des jeunes pousses, au vert sombre des sapins, en passant par le vert des prairies, que la pluie rend encore plus intense et que quelques rayons de soleil font briller. Comme le vent se met de la partie, soleil et pluie jouent à cache-cache. En regardant devant moi, le ciel se dégage et laisse apparaître de larges morceaux de bleu. En me tournant pour regarder à l’opposé, vers le fond de la vallée, de gros nuages très sombres s’amoncellent. L’eau du lac a la couleur du plomb et le vent forme à la surface de petites vagues. Peut-être vais-je bientôt tester mon poncho en conditions extrêmes !
Même pas peur, je poursuis mon tour du lac, en regardant plutôt du côté bleu que du côté gris. J’hésite à monter directement vers le belvédère et vers mon refuge préféré, au-dessus des ardoisières. Pour changer un peu, je vais plutôt faire le tour par-derrière, par là où j’ai l’habitude de redescendre. Je transforme ma boucle en 8, ou plutôt en ∞, symbole de l’infini… Je traverse le pont, je me faufile le long de la route, je rejoins l’entrée du sentier que je vise. C’est là que je découvre, juste à droite, l’entrée d’un autre sentier, que je n’avais par remarqué jusque là, puisque d’habitude, j’arrive dans l’autre sens.
Ce sentier se faufile au milieu des anciennes ardoisières et se poursuit encore de l’autre côté de la route principale qui traverse Génos. Grâce à lui, je rejoins un autre belvédère, où je ne suis montée que quelques fois, bien qu’il offre un point de vue tout aussi superbe sur le lac. Pendant mon détour, j’ai eu l’impression que la menace de la pluie s’éloignait. J’ai pu tout à loisir admirer les orchidées sauvages qui poussaient au bord du chemin. Je commençais même trouver qu’il faisait bien chaud, sous mon poncho.
Quand j’arrive là-haut, le vent se met de nouveau à souffler en rafales. Le lac est maintenant gris tempête. Je vais finir par me le prendre sur la tête, cet orage ! Je rejoins le lac d’un bon pas, prête à braver l’eau du ciel. Quelques gouttes, et puis… s’en vont ! La partie de cache-cache se poursuit. Puisque c’est comme ça, je remonte vers mon belvédère préféré. J’y découvre un cadeau : juste quand j’y parviens, les nuages s’écartent et les rayons du soleil m’arrosent de lumière. C’est tellement mieux que d’être arrosée par la pluie ! Instants magiques… Je savoure sans modération.
Quand je me décide à repartir, je redescends par là où j’avais prévu d’arriver. Je me demande par où poursuivre ma balade : rentrer directement par le bord du lac, ou bien continuer de suivre la partie de cache-cache entre le soleil et la pluie, en remontant vers la forêt ? Je m’interroge alors que je longe le court passage le long de la route. Dans le fossé, un objet insolite attire mon regard : une bouteille en verre brun. J’imagine que quelqu’un l’a jeté par la fenêtre de sa voiture. C’est une bouteille de whisky, vide bien sûr. Boire ou conduire, celui qui l’a jeté n’a pas choisi !
Impossible pour moi de la laisser dans la nature. Je la repêche dans le fossé, avec l’intention de la déposer dans un conteneur à verre. Mon choix est fait, je ne vais pas repartir dans la forêt, une bouteille à la main. Les conteneurs à verre sont plutôt rares, je dois ramener la bouteille jusqu’au village. Avec l’éclaircie, les promeneurs se sont enhardis à sortir sur le chemin au bord du lac. Que pensent les personnes que je croise ? Devinent-elles mon geste pour la nature, pensent-elles que je noie un quelconque chagrin dans la boisson ? Qu’est devenu l’ivrogne qui a jeté la bouteille par la fenêtre de sa voiture ?

Marcher nourrit la valse des questions. Les pensées s’enchaînent et virevoltent. Elles jouent à saute-mouton et passent du coq à l’âne. Même sans personne avec qui parler, pas facile de faire taire le bavardage dans ma tête. Il est vain de chercher à arrêter de penser. L’avantage de la marche, c’est de rendre les pensées plus légères, plus mobiles, elle les empêche de ruminer, de tourner en rond. Il n’y a pas d’idée fixe ou d’idée noire qui résiste à la magie de la marche.
Aller à Sans histoire (1)
1 note
·
View note
Text
La Reine du Carnaval ☆ Fais ton choix avec le jeu du Roi!
Audio: SoundCloud
Yuma: … Vous savez… manger avec ces gars… sans parler dans le château de Karlheinz dans le Monde Démoniaque… peu importe comment on le regarde, c’est pas un peu bizarre?
Hmm!? C’est délicieux! Ce goût est vraiment bon!!
Reiji: Bon sang… Pourrais-tu s’il-te-plaît t’abstenir de parler la bouche pleine? C’est impoli.
Ayato: Hé, Reiji. Tu vas pas manger ce morceau de viande? Si tu le manges pas, donne-le-moi! … Hop-là!
*Ayato se penche pour voler le morceau de viande de Reiji*
Reiji: …!? Attends, Ayato!
Ayato: *mâche mâche* Hmm! Cette viande est vraiment délicieuse!
Kanato: … Ayato! Ne t’assois pas avec les jambes croisées sur ta chaise! Tu es dans mon chemin! Tu n’arrêtes pas de me frapper avec tes genoux …!
*Kanato pousse Ayato heurtant Laito aussi*
Laito: … Que―!? *tousse tousse* A-Ayato! Sérieusement… Regarde ce que tu as fait! À cause de toi, ma chemise est sale…
Ayato: Hein!? C’est parce que Kanato m’a poussé!
Kanato: Kh…! Alors tu me blâmes!?
Subaru: Tss… Aaarghh! Silence! Vous, les triplés, essayez d’être sage au moins quand on mange…!
*Subaru frappe son poing sur la table*
Azusa: …!
Kou: … Ah―! Hé! Subaru, ma fourchette et mon couteau sont tombés par terre à cause que tu as frappé sur la table…! Hein―? Ouaah…!?
Subaru: Quoi!? Élève pas ta voix comme ça… C’est si pire que ça―? Ah!
Azusa: Ça… Ça fait mal. Fufufu…
Kou: Attends… Azusa!? Est-ce que ça va…? Ta main saigne… Est-ce que tu t’es coupé accidentellement la main?
Azusa: Mmh. Mais… ça va. Ça fait mal, mais… Aah~. C’est… agréable… Nfufufu~.
Shu: … C’est quoi cette farce? Je suis dans un zoo ou quoi?
Ruki: Ha. Je suis entièrement d'accord. Et dire qu'ils ne peuvent même pas manger un seul repas proprement.
Reiji: … Je te signale que ça vaut aussi pour tes jeunes frères.
Ruki: Pardon. Nous n’avons pas reçu la meilleure éducation. Cependant, vous avez le titre de noblesse depuis votre naissance. Malgré cela, ce résultat… Heh.
Reiji: J'espère que tu t’en rends que ces mots insultent indirectement l’éducation de Père?
Ruki: D’après ce que j'ai entendu, vos mères respectives se sont vu confier de s’occuper de votre éducation, je me trompe?
Reiji: C’est…
Kou: Arrêtez, arrêtez! On n’en veut pas de ça aujourd’hui! … Écoutez, M-Neko-chan vous demande d’arrêter aussi!
*Yui hoche la tête*
Ayato: Hein!? S'entendre avec tout le monde!? Je me suis retenu et j'ai essayé de m’entendre avec les autres pendant tout ce temps. Tu vas encore te plaindre?
Laito: Exactement. ce n’est pas bien d’être avide, Bitch-chan! Garde ça lorsque tu es au lit avec moi, d'accord~? Nfu~!
Subaru: … Haah. Fais chier…
Shu: … De toute façon, arrêtez de faire des histoires. Asseyez-vous et mangez votre assiette. Après ça, il est censé se passer quelque chose concernant le Roi et la Reine du Carnaval. Haah… Je suis fatigué.
Kanato: Tu as dit quelque chose concernant le Roi et la Reine du Carnaval? Ce qui veut dire?
Shu: Aucune idée. Je viens de répéter le message que j'ai reçu du familier envoyé de Père.
Ruki: Je n’en ai pas entendu non plus.
Yuma: Hein? Il y en a encore autre chose? Ce banquet m’a déjà épuisé…
Kou: … Quoi qu’il en soit, M-Neko-chan est sûrement la Reine du Carnaval, non?
Ayato: On dirait que oui. Quelque chose ne va pas avec ça?
Kou: Hm… J’étais juste en train de me demander… Qui est le Roi du Carnaval, dans ce cas?
Ruki: Maintenant que tu le dis, tu as raison sur ce point. Si elle est Ève, alors nous avons dix Adam, y compris moi, rassemblés ici.
Reiji: Shu, est-ce que le familier de Père t’a dit qui était le Roi du Carnaval?
Shu: Non. Le Roi du carnaval… on m’a rien dit à propos de ça.
Ayato: Dans ce cas, si on réfléchit logiquement, ça doit être Ore-sama.
Kanato: Quoi? Pourquoi Ayato? Ça ne semble pas du tout raisonnable.
Subaru: … Hé. Est-ce que tu as entendu quelque chose à propos de ça?
*Yui secoue la tête*
Reiji: Bon sang… Toi non plus, hein?
Laito: Nfu~! Nous avons un problème! Il n’y a rien qu’on puisse faire alors pourquoi ne pas tous être les amoureux de Bitch-chan?
Azusa: Ce n’est pas… « amoureux »… c’est… « Roi du Carnaval »…
Laito: Mais ça veut dire essentiellement amoureux, non? Nfu~!
Ruki: Ne dis pas quelque chose d'aussi ordinaire qu’« amoureux »… Il ne peut y avoir qu'un seul Adam pour être avec Ève.
Shu: … Haah. N'importe qui fera l'affaire, décidez-vous. Hé, toi. Tu es la Reine, non? Dans ce cas, tu es la seule à pouvoir choisir le Roi. Fais vite. Tu sais mieux que quiconque que plus cette situation s'éternise, plus elle deviendra compliquée.
*Yui hésite*
Ayato: Hé, Chichinashi! Ça doit évidemment être moi! Pas besoin d'hésiter!
Kanato: Ayato…! Ce n’est pas bien de la menacer pour te choisir! Même si elle voulait vraiment me choisir, maintenant tu lui as rendu la tâche difficile.
*Yui secoue la tête*
Ruki: Ce n’est pas ça? Dans ce cas, dépêche-toi et choisis une seule personne. Je suis sûr que tu ne veux pas non plus qu’il y ait inutilement un bain de sang.
*Yui essaie de se décider*
Azusa: Ève… Il y a un problème…?
Subaru: … C’est pas vraiment quelque chose dont tu dois te casser la tête, non?
Kou: Tu crois? C’est pas plutôt normal pour elle de se sentir sous pression quand tout le monde la regarde avec ces yeux qui crient « choisis-moi! »…?
Laito: Nfu~! Alors pourquoi ne pas décider de façon juste et honnête avec le jeu du Roi?
Yuma: Hein? Le jeu du Roi?
Laito: Bitch-chan est la Reine, non? Elle donnera à nous, dix vampires essayant être le Roi, des ordres déraisonnables. Si la personne ne peut pas le faire, elle est éliminée.
Reiji: Donc, il faut vraiment qu’on décide avec le jeu du Roi?
Laito: Heeiiinn~? Nous voulons décider qui est le Roi, non? Dans ce cas, il faut que nous le fassions avec le jeu du Roi… Et puis, nous avons du temps avant l'arrivée du dessert, alors pourquoi ne pas le faire à ce moment-là? Pas vrai, Bitch-chan?
Yuma: J’ai vraiment un mauvais pressentiment…
Kou: C’est vrai… Surtout si c’est Laito qui le suggère…
Ruki: Cela dit, la personne qui jouera le Roi est Kachiku. Je suis sûr que ses ordres ne seront pas trop déraisonnables. Ce n'est pas grand chose.
Shu: Haah… Peu importe. Choisissez déjà.
Reiji: Eh bien, commençons par donner un numéro à tout le monde. J'ai le 1.
Subaru: Donc, j'ai le 2.
Laito: Numéro 3 pour moi~.
Yuma: J'ai le 4.
Azusa: Je vais me contenter du… 5.
Ruki: 6 pour moi.
Ayato: Alors je prendrai 7.
Kanato: J'ai le 8.
Kou: Je vais prendre le 9 alors~.
Shu: Je suis le dernier, hein?
Laito: Eh bien, notre chère Reine, veuillez donner vos ordres à vos serviteurs. Nfu~!
Ayato: C’est quoi ça, Laito? T’apprécies carrément ça.
Subaru: … D’ailleurs, ce serait pas son intention dès le début?
Laito: Parce queeee~! Vous devez profiter de ce genre de trucs ou vous manquez quelque chose. Nfu~!
Subaru: … Tss!
Reiji: Quant au tirage au sort, j'ai apporté ceci de la salle de jeux. Eh bien, vas-y et pioche les nombres de cette façon.
Ruki: Je vais le faire.
… Numéros 3 et 9.
Laito: Nfu~! Il semble que c’est Kou et moi.
Kou: Hm… Alors, qu’est-ce qu’on doit faire?
Reiji: Si nous devons attendre pour qu'elle décide chaque ordre, le Carnaval prendra fin. Alors, utilisons cette loterie(?) qui a été laissée dans la salle de jeux.
Bien, choisis une feuille de papier à ta guise.
Ruki: Tu sembles habitué à ce genre de choses.
Reiji: Vraiment? J’aimerais croire que j’étais tout simplement attentionné.
*Yui pioche le premier ordre*
Ruki: Kachiku, montre-le-moi.
Les numéros 3 et 9 doivent… faire de la gymnastique ensemble.
Laito: … Hein!?
Kou: De la gymnastique…!?
Laito: Heiin? Pourquoi la gymnastique avec Kou et moi!?
Shu: Heh. Dépêchez-vous et faites-le.
Laito: Hé, Reiji! Ce n’est pas du tout amusant…!
Reiji: Cela ne devrait pas avoir d’importance. Si vous ne le faites pas, vous êtes tous les deux éliminés. C'est tout.
Kou: Nnnh…
Laito: Hein? Mais la gymnastique… Rien me vient à l'esprit… Et puis, le faire avec un mec c’est un peu…
Kou: On dirait qu’on a pas le choix… Je vais utiliser la formation que j’ai apprise lors de l’émission de télévision le « Festival de Sports des idoles »… Laito! Tu es prêt?
Laito: Hein?
Kou: Je vais courir vers toi alors attrape-moi avec tes deux mains et jette-moi en l'air, d'accord? J'arrive…!
*Kou commence à courir vers Laito*
Laito: Heiin!? Attends… Une sec―!
*Crash*
Laito & Kou: Aaaaaah!? … Aïe.
Ruki: Un échec, hein?
Reiji: On dirait bien. Bon, éliminons les numéros 3 et 9.
Shu: Hé, attends.
Reiji: Qu’y a-t-il?
Shu: Ne me dis pas que les autres ordres seront également sur la gymnastique.
Reiji: Comment suis-je censé le savoir?
Shu: … Tss. J'ai un mauvais pressentiment.
Ruki: Allez, il reste encore huit personnes. Dépêche-toi et choisis les suivants.
Subaru: Hm? Numéros 1 et 2, donc… Reiji et moi?
Yuma: Ensuite, il reste à piocher l’ordre. Hé, Mesubuta, choisis-en un.
*Yui pioche le deuxième ordre*
Ruki: Qu'est-ce que nous avons ici?
« Dessine une forme de cœur en l'air avec tes fesses. »
Subaru: Quoi!?
Reiji: Il est hors de question que je fasse quelque chose d'aussi vulgaire.
Subaru: … Agh!
*Subaru se lève soudainement de sa chaise*
Yuma: Hein? Qu’est-ce qu’il y a, hikikomori? Tu es debout comme ça tout d'un coup… Tu vas vraiment le faire?
Subaru: Agh… M-Meeeerde… …! Je peux pas le faire après tout…!
*Crash*
Subaru: Hein…? Hé― … Ouaaaah!?
Reiji: Que―!? Subaru!?
Ayato: Wow… Il s'est carrément auto-détruit(?).
Kanato: Haah… Je suis sûr qu'il va bien. C'est un vampire, après tout.
Ayato: T’as raison. Et toi, Reiji? Tu vas le faire?
Reiji: Faire une telle chose… Bien sûr que non. C’est impossible que quelqu'un d'aussi fier que moi s’abaisse peu importe les circonstances.
Yuma: Eeettt un autre abandonne.
Reiji: … Agh. C'est dommage.
Ayato: Eh bien, c’est l’heure pour moi de me présenter? Hé, Chichinashi. Pioche déjà les numéros suivants.
Laito: Nfu~! Les prochains sont… Tiens, donne-les moi, Bitch-chan.
Reiji: Laito, tu t’es donc réveillé.
Laito: Kou a mal atterri et il est toujours inconscient.
… Oh! C'est les numéros 4 et 7. Yuma et Ayato.
Yuma: Allez, c’est parti! Dépêche-toi et pioche l’ordre.
*Yui pioche le prochain ordre*
Ayato: Hm? Qu'est-ce que c'est? Ça dit que les numéros 4 et 7 doivent jouer au… Pocky?
Kanato: Qu'est-ce que c'est? Le jeu du Pocky?
Ruki: C'est un jeu où les deux joueurs commencent à chaque extrémité d'une collation en forme de bâton couverte de chocolat et mangent vers le milieu jusqu'à ce qu'il n'en reste presque plus. C’est tout.
Ayato: Te fous pas de moi! Comme si je pouvais faire ça!
Yuma: … Arrête de te plaindre à chaque petite chose… C’est pas comme si on nous demandait d’embrasser l’autre. Ne fais pas d’histoires juste parce qu’on doit manger une collation de proches, c'est flippant.
Allez. Mmh.
*Yuma tient le Pocky entre ses dents et attend*
Ayato: … Argh.
Reiji: Yuma te jette un regard mauvais, je suppose que ces yeux disent « Qu'est-ce qui lui prend tant de temps? ».
Ayato: … Merde… Même si tu dis que c’est pas un baiser… t’en demandes trop!
*Ayato frappe Yuma*
Yuma: Mwah―!?
Ruki: Hé. Ce n’est pas contre les règles, ça?
Ayato: Tais-toi! Il y avait un visage dégoûtant près du mien alors je l'ai frappé, c'est tout.
Azusa: Yuma… Si seulement j'avais… pris ta place… n’est-ce pas?
Ruki: Hé, Yuma!
Azusa: Inutile… Il ne… se réveille pas…
Reiji: Bon sang… Avec ça, on dirait que les numéros 4 et 7 sont éliminés?
Ayato: Hé, minute! Pourquoi je suis éliminé aussi!?
Azusa: Tu l’as frappé et… au final… tu ne l’a pas fait… non?
Ayato: Je m’en fiche! Il s'est juste effondré et ne se réveillera pas!
Shu: … La ferme. Continuons. Hé, Reiji.
Reiji: S'il-te-plaît, ne me donne pas d’ordres! … Allez, s'il-te-plaît, pioche les prochains numéros.
Ruki: Les numéros 8 et 10, c’est-à-dire Kanato Sakamaki et Shu Sakamaki?
Shu: Kanato et moi?
Kanato: Fufu… Shu, hein? Cependant, je ne perdrai pas.
Shu: Je pense que ce n’est pas une question de gagner ou de perdre, mais… peu importe. Décide l’ordre.
*Yui pioche le troisième ordre*
Ayato: Chichinashi, je vais le lire pour toi. Voyons voir… Les numéros 8 et 10 doivent dévoiler leur passé sombre.
Kanato: Quoi!?
Shu: Dévoiler notre passé, hein? Eh bien… Nous sommes frères, après tout. Je sais plein de choses.
Kanato: Shu… Si tu en parles, tu sais ce qui va se passer, non?
Shu: Haha… Mais si je ne le dis pas, je perdrai, non?
Kanato: D-Dans ce cas… je vais parler! À propos de ça.
Shu: … « Ça »?
Kanato: …
Reiji: Kanato, vas-y et dis-nous-le. Je suis sûr que tout le monde t’attende pour t’entendre parler de la sombre histoire de Gokutsubushi*. Haha.
Shu: Kanato, Tu peux leur dire, mais en retour… Tu vois ce que je veux dire, non?
Kanato: …!
Shu: Je vais parler de ça à tout le monde sans problème. Même si tu es gêné, je n'aurai aucune pitié.
Kanato: Agh… C'est pas juste!!
Ruki: Hé, vous allez prendre encore combien de temps? À ce rythme-là, ça nous mènera nul part.
Kanato: … Je passe.
Shu: Hahaha… Alors, je passe aussi.
Azusa: Êtes-vous… sûr…?
Kanato: Je n’ai pas le choix…! Si Shu m'expose ici-même… je… je…
Shu: Eh bien, c’est comme ça. Kanato et moi abandonnons.
Ayato: … Vous savez, j’y pense depuis quelques temps que Shu est peut-être le plus grand salaud de nous tous.
Laito: Je suis d’accord…
Shu: Dites ce que vous voulez. Je vais faire une sieste. *Bâille*
Kanato: Agh… Pour moi… perdre comme ça! … Hé, Teddy? Nous nous vengerons un jour contre lui, d'accord…?
Reiji: Mais quel genre de secret connaît-il de toi? … Eh bien, est-ce que les prochains sont les derniers?
Ruki: Ceux qui restent sont… Azusa et moi, hein?
Laito: Nfu~! Ces deux-là me donnent un mauvais pressentiment.
Kou: Aah… Qu’est-ce que…? Mais qu’est-ce qui se passe en ce moment?
Ayato: … Oh? Tu es enfin réveillé?
Azusa: L’ordre final… sera entre Ruki et… moi.
Ruki: Eh bien, commençons. C'est un duel sérieux, Azusa.
Azusa: Pour… Ève… je ne… perdrai pas.
Reiji: Bon sang… Toi, choisis l’ordre final.
*Yui pioche l’ordre final*
Kou: Bien, M-Neko-chan~. Donne-le moi… Je vais lire ce qui est écrit… Hm… C’est quoi ça~? L’ordre de Ruki et Azusa est… Ça dit de jeter quelque chose qui est extrêmement précieux pour vous au feu.
Laito: Quelque chose de précieux? Hm… On dirait que l’ordre le plus simple a duré jusqu'à la fin.
Ayato: Hé, Ruki, Azusa, qu'est-ce qui est précieux pour vous?
Ruki: La… chose la plus précieuse à mes yeux?
Azusa: Hm…
Laito: Eh biieen~? Vous êtes tous les deux en train de fixer Bitch-chan avec des yeux si passionnés… Serait-ce possible… qu'elle soit ce qui est le plus précieux pour vous~? Nfu~!
Reiji: Vous deux, de quoi s’agit-il? Ne restez pas silencieux et répondez-nous.
Ruki: Jeter ce qui m’est… le plus précieux…? Je ne peux pas faire ça…!
Azusa: …
*Azusa marche en direction de Yui*
Ayato: Hein? Azusa, tu vas où? … Hé!
Azusa: Dis… Ève. Je pense que tu… le sais déjà, mais… pour moi… tu es plus précieuse que tout…
*Il saisit Yui*
Azusa: On m'a juste dit que… je devais me débarrasser de… ce qui m'est le plus précieux… Cependant, je… ne peux pas te sacrifier.
Laito: Hé, est-ce que c’est correct?
Reiji: Je ne sais pas, ne demande pas ça à moi.
Azusa: Mais… J'ai… réalisé… Hé? Tu aimes aussi… être blessée et… ressentir la douleur, non?
J'adore ça aussi… Cela dit… nous deux… nous nous ressemblons comme deux gouttes d’eau… Bref, cela signifie que nous sommes pareils… non?
Dans ce cas, si je… me débarrasse tout simplement de… moi-même… ce serait comme si je… me débarrassais de toi, non?
*Azusa sort un couteau*
Ruki: Hé! Azusa!
Azusa: Fufu… Avec ça… je serai le Roi du Carnaval… n’est-ce pas?
Ruki: Arrête!
Kou: A-Attends…! Azusa! Se poignarder en plein cœur est dangereux! Ayato! Dépêche-toi et retiens-le!
Ayato: Quoi? Pourquoi moi?
Kou: …Fais-le!
Ayato: …Merde! C’est quoi, ça!?
Azusa: Fufufufu… Hahaha…! Ève… Maintenant, je suis le… Roi, non?
Laito: Sérieusement, Azusa! Arrête ça― Ouah!?
*Azusa se débat*
Reiji: Bon sang… Kanato! Prends le couteau de sa main!
Kanato: … Pourquoi je― Ah! Hé… …! C'est dangereux!
*Azusa se débat encore*
Azusa: Haa… Haa… Pourquoi… Pourquoi tout le monde… essaie de… m’empêcher…!?
Laito: Azusa! Calme-toi!
Azusa: Haa… Pourquoi… essayez-vous de… m'arrêter? J’y étais… presque…!
Ayato: Arrête ça…! Ouah…!
*Les triplés essaient d'arrêter Azusa*
Ruki: Mon dieu… Au final, nous devons tous gérer ce problème avec Azusa.
Yuma: Aah… Merde… Je me sens encore étourdi…
Ruki: Yuma? Tu es réveillé? Tu vas bien?
Yuma: Ouais… Minute, qu'est-ce que ceux-là ensemble font contre Azusa?
Ruki: Qui sait… Si je devais expliquer ce qui se passe, je dirais qu’ils essaient d’empêcher Azusa de devenir le Roi du Carnaval.
Yuma: Hein?
Ruki: Hé, Kachiku. Tout ça est de ta faute pour ne pas avoir décider qui est le Roi du Carnaval.
Yuma: Bon sang… Exactement.
Subaru: Agh… je… suis tout à fait d'accord…
Ruki: Subaru Sakamaki. Alors tu es réveillé?
Subaru: Hein!? Pourquoi t’as l’air si calme!? Ce gars-là n’est pas l’un des vôtres!? Arrête-le aussi!
Shu: … Silence. Ça n’a pas d’importance. Déjà, essayez de régler ça. Hé, toi. Dépêche-toi. Si tu ne peux toujours pas choisir une seule personne… tu sais ce qui va se passer, n'est-ce pas?
- FIN -
*Bon à rien
#Otome#Otomate#Rejet#Diabolik Lovers#Dialovers#DL#Drama CD#Vandead Carnival#Yui Komori#Ayato Sakamaki#Kanato Sakamaki#Laito Sakamaki#Shu Sakamaki#Reiji Sakamaki#subaru#Famille Sakamaki#Ruki Mukami#Kou Mukami#Yuma Mukami#Azusa Mukami#Famille Mukami
19 notes
·
View notes
Note
[Nia] “Did you just wink at me ?” / “Is this blood ?” / “Put me down.”
“Did you just wink at me ?”
Lyuben reproduit le clignement pour lui donner confirmation. Il voit un rictus s’installer sur le visage sa fille. “C’est que ça allait bien avec mon histoire sur le camping?” Elle contient un rire en pressant ses lèvres ensemble. Le vampire, qui la trouve adorable, se félicite encore, comme il le fait au moins trois fois par jour, d’avoir offert au monde cette petite merveille qu’il pouvait embêter avec ses blagues de papa. Il se sent comblé de la voir sourire. Aujourd'hui est un bon jour pour eux. Il doit quand même à nouveau tourner la tête vers la route, parce que ce ne serait pas malin de la tuer dans un accident juste pour la regarder. “Mon clin d’œil avait l’air super cool que dans ma tête?” Il lui demande très sincèrement, arrachant finalement un rire à Nia qui ne se retient plus de pouffer d’une moquerie tendre. “C’était que dans ta tête, tatko. Ne me fais absolument jamais ça en dehors de cette voiture.” Lyuben prend une fausse mine vexée. Quoi que vexé, il l’est peut-être un peu de la place qu’il a dans la vie de Nia dès qu’ils quittent leur intimité, et plus particulièrement quand ils rejoignent le lycée. Il comprend cependant que c’est peut-être un peu compliqué d’avoir son père dans son groupe d’amis. Un père un peu gênant qui fait des clins d’œil inappropriés et raconte des blagues un peu nulles. La voiture rejoint finalement le parking, et les Aleksiev se saisissent respectivement de leurs sacs sur la banquette arrière. Nia ouvre la porte pour s’apprêter à sortir. “On se voit en cours de sport, Lyuben.” L’entente de son prénom dans la bouche de l’adolescente lui donne toujours la sensation d’être diminué. Comme si il recevait une de ses bonnes tapes sur la tête que lui mettait son papa à lui, ou comme si il avait l’impression de perdre une miette de son lien avec Nia à chaque fois. C’est pas spécialement facile d’abandonner le papa pour devenir le frère. Mais son prénom est ici utilisé comme une raillerie affectueuse, il tâche de ne pas s’en formaliser plus. “Trésor attends!” Lyuben l’appelle, toujours assis à sa place de conducteur alors que Nia commençait déjà à s’éloigner. Cette dernière se retourne, son visage questionnant ce que son père allait bien pouvoir rajouter. Et c’est là qu’il le refait: le clin d’œil gênant. “J’ai le droit. Je suis toujours dans la voiture!”
“Is this blood ?”
Nia pose cette question en connaissant hélas la réponse. Lyuben peut lire un mélange d’émotions sur le visage de sa fille: de l’incompréhension, de la peur, et sûrement du dégoût. Tandis que le vampire n’en trahit qu’une seule: la honte. “Qu’est-ce-que tu as fait, tatko?” Murmure Nia avec une déception qui briserait le cœur du bulgare en mille morceaux si seulement il pensait en avoir encore un. “Je sais pas.” Lyuben se replie sur lui-même dans le coin de la salle de bain où sa fille avait fait son entrée. Il a envie de pleurer, de s’arracher les yeux, de mourir à nouveau. Il essuie le sang sur ses mains et sur ses lèvres avec le rideau de douche, avant de le rabattre pour cacher le corps inerte de la jeune femme dans la baignoire. “Pourquoi tu as fait ça?” Nia n’aurait jamais dû voir ça. Quel putain de père infâme d’infliger ça à une fille de seize ans. Bordel de merde. Iva aurait élevée Nia avec tellement plus de facilité, elle ne l’aurait jamais exposée à de tels traumatismes. Et si elle pouvait voir ça, elle serait complètement horrifiée… Et parlons-en justement. “Parce qu’elle ressemblait à ta mère.” Confesse Lyuben avec une répugnance encore plus palpable. Il sait qu’avec cet aveu, il laisse sa fille dans un flou peut-être plus grand que tout à l’heure. Qu’est-ce-qui faisait que la ressemblance d’une fille avec sa mère mettait son père dans cet état? Elle ne pourrait l’imaginer. Pas le comprendre. Lyuben finit par quitter péniblement le sol, mais son regard tente de ne pas croiser celui de sa fille. A la place, ses yeux se focalisent sur le miroir. Le rouge n’a jamais été aussi rouge et il ne s’est jamais senti si mauvais et déplorable que maintenant. Il n’y a pas énormément de solutions. “On va rejoindre Aidan. On va venir vivre près de chez lui.” Et cette fois-ci ce n’était pas une des simples lubies de Lyuben pendant une de ses crises. Cette fois-ci il sait ce qu’il dit, et il est sûr de prendre la bonne décision. De faire en sorte de protéger son bébé en leur offrant à tous les deux une surveillance supplémentaire. “Mais papa... et Dylan?” Ah. Oui. Merde. Qu’est-ce-qu’il allait pouvoir faire de ce crétin de petit-ami.
“Put me down.”
Les poings de Nia cognent contre le dos de son père sans lui arracher de quelconque réaction. Ce dernier presse le pas vers la voiture, le regard brûlant de rage. Dans la tête du vampire fusent dix milliards de visions: et si il n’était pas arrivé à temps pour empêcher Nia de prendre la drogue? Et si ce garçon en avait profité pour la toucher? Et si il lui était arrivé quelque chose? Le monde que refait le vampire avec ces “si” le pousse à mettre inconsciemment plus de fermeté dans sa prise autour du genoux de sa progéniture. Et encore plus, jusqu’à en oublier la force qu’il possède. “Papa! Tu me fais mal!” L’adolescente pousse maintenant un cri qui fait prendre conscience à Lyuben de son geste. Ses doigts se décontractent autour des os de Nia. C’est une partie de sa rage qui s’envole dans l’élan de culpabilité qu’il ressent à l’égard de ce qu’il vient de faire, et il s’empresse de reposer la bulgare les pieds au sol. “Est-ce-que tu as la moindre idée du danger dans lequel tu aurais pu te mettre?” Le dealer articule avec une volonté de reprendre son autorité. “Je sais très bien ce que je fais! Et que tu essaies de m’en empêcher ça servira à rien!” L’adolescente force de nouveau la colère à prendre possession de son père. “Tu veux m’obliger à t’enfermer dans ta chambre? C’est ça que tu veux?” L’impertinence de Nia met moins de deux secondes à la faire rebondir: “Je trouverai toujours quelqu’un pour me sortir de là si tu le fais, arrête d’insister!” Et elle n’hésite pas à tourner les talons pour retourner vers le bar, tout comme le bulgare n’hésite à rattraper son bras pour l’arrêter. “C’est quoi le problème? J’ai manifesté de l’intérêt pour quelqu’un qui n’est pas toi ou Aidan et tu peux pas le supporter c’est ça?” Nia se met à rire, comme si son père faisait totalement fausse route, alors qu’il sait pertinemment qu’il vient de mettre le doigt sur quelque chose. “Oui... c’est ça. J’attends de voir si t’apprécieras Graham de la même manière quand t’auras réfléchi deux minutes à où j’ai pu me procurer la drogue.” Le vampire se fige, les yeux braqués dans les pupilles de Nia, à la recherche de la vérité. Est-ce-que...? Non... Celle-là, il l’avait pas vu venir.
#ooc: wow ça faisait SI LONGTEMPS#que j'avais pas écrit des prompts#enfin du moins tenté MDR je ne sais pas pourquoi je trouve ça si difficile en ce moment mais bon j'en avais envie#et c'est super parce que du coup c'est majoritairement dramatique MDR#pardon pour graham dans le dernier très sincèrement#mais c'est tellement probable que ça lui revienne comme ça si un jour Nia est pas contente#et je pense qu'il serait un peu perturbé mdr#prompts: nia#prompts
40 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 338
Adam notre Flic
La soirée du samedi est agréable. On boit un peu trop et je ne peux laisser Adam (le Flic) repartir bourré. Quand on va se coucher, je l'accompagne à la chambre du premier qu'il avait occupé la veille mais cette fois il est seul.
Dimanche matin : Réveil en milieu de matinée. Je mate le canal qui enregistre la chambre de notre invité. Il sort juste de la douche et se rhabille. Je le vois hésiter puis ne pas remettre son slip de la veille. Je décide d'aller le chercher en jock sous mon peignoir. Quand je frappe à sa porte il m'ouvre aussitôt. Je lui dis que le petit déjeuner est prêt avant qu'on fasse un peu de sport. Il me suit et nous retrouvons Ludovic et PH en train de prendre un café. Ils sont en jock prêts pour une séance sportive. J'annonce le programme. Sport jusqu'à midi, déjeuner, repos, arrivée des garçons...diner puis je les reconduis chez Max pour la semaine. Adam est partant. Après un petit déjeuner succinct, nous descendons à la piscine pour l'échauffement. Je passe un maillot à Adam qui n'avait pas prévu de rester. Il nage mais est loin d'être un bon nageur. Il nous lâche pour aller courir sur un tapis de course à côté. Nous finissons nos 3/4 d'heure de préparation. Séchage rapide, échange des maillots contre des jocks et nous passons sur les postes de muscu. Là, notre invité est meilleur. Sans pousser aussi lourd que moi, il se place aux alentours de PH ce qui est déjà pas mal. On sue une heure de plus à pousser de la fonte. Les muscles gonflent, les corps brillent, c'est sexe tout d'un coup ! J'assure Adam sur le banc de développé-couché. Il peine dans les derniers soulevés de ses séries. A 80Kg c'est honorable, ce doit ne pas être loin du 100% de son poids. Ses pecs sont bien carrés, épais et plats. Ses tétons se dressent aussi quand il pousse la barre. Il est devient vraiment craquant. Et évidement je ne peux m'empêcher de bander. Ma queue déforme mon jock, repousse le tricot élastique juste au-dessus de son nez. Il ne peut maintenant plus ignorer l'intérêt qu'il suscite en moi. Ce qui me fait plaisir c'est que je vois la même chose se produire dans son jock.
Quand il repose la barre sur son support avec mon aide, je me plie dessus et tombe en avant, ma tête vers son entrejambe. Ma bouche ouverte coiffe l'emplacement de son gland. Alors que je pensais qu'il allait me repousser, je le sens repousser la poche de mon jock et prendre ma bite dans sa bouche et rapidement dans sa gorge. Il me surprend car avec nos deux " petits frères ", il s'était montré plus que dominant. Finalement il est peut être recto/verso. J'entends Ludovic me dire que les deux jeunes ne vont pas apprécier. Je me redresse, le temps de lui dire qu'ils sont gentils mais là, c'est une urgence à traiter. Ils en profiteront ce soir de leur policier. Sorti de son emballage et vu la profondeur qu'il atteint dans ma gorge j'estime son sexe à 21cm par 6 de diamètre ovale. De mon côté, mes 20x5 sont gonflés à bloc et ma rondelle me démange. Je le laisse trente secondes le temps d'attraper une kpote et un tube de gel. Quand je reviens il n'a pas bougé. Je le couvre, une noisette de gel de part et d'autre et je m'assois sur lui. Ses mains se crispent sur la barre chromée encore chargée de ses poids. Je ne cède rien et m'enfonce sa bite jusqu'à poser mes fesses sur le haut de ses cuisses. Je comprends le plaisir que nos deux jeunes ont pu prendre avec elle. L'ovale de sa bite est très agréable tout comme son gros gland rond qui bute et rebute à chaque passage contre ma prostate. Je m'accroche à la barre juste à côté de ses mains et chevauche cette nouvelle queue. A nos côtés PH et Ludovic sont résignés. Ils nous laissent seuls. Je prends un bon plaisir à pomper cette bite avec mon cul. Ses mains lâchent la barre et viennent serrer ma taille. Il accentue mes descentes et me garde un instant enfoncé avant de me relâcher pour que je puisse remonter. Mes cuisses brulent. Mes quadriceps tétanisent mais je garde le rythme. Encore deux coups de son gland contre ma prostate et j'explose. Je jute jusque dans ses cheveux, zébrant son torse, son cou et ses joues de plusieurs trainées de mon sperme. Je m'écroule sur lui alors que sa queue sort naturellement de ma rondelle. Petite douche rapide et nous montons au 4ème retrouver mes deux " consciences ".
Le déjeuner nous attend. Ils arrêtent de faire la gueule avant le fromage. Ils savent que je suis difficilement raisonnable alors m'empêcher de faire quelque chose, de plus sexuel, c'est de l'ordre de l'impossible ! Au dessert on en rit tous. Ludovic admet que je suis probablement le seul à pouvoir me permettre ça avec son frère sans qu'il n'en veuille à Adam. Il prend la 300C pour chercher son frère et Max. Ils nous font la fête quand ils arrivent au blockhaus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, Enguerrand me serre dans ses bras et me demande si j'ai aimé me faire défoncer par Adam autant qu'eux deux. Je lui prends le visage entre mes deux mains, le fixe dans les yeux puis lui roule une pelle entière, exigeante, vorace. Quand nous en terminons, PH conclue tout haut que je suis pardonné. Enguerrand lui répond que de moi, il accepte tout vu la dette qu'il avait. Je fronce les sourcils, pas la peine que notre Flic vienne à apprendre mes " activités " parallèles. Il comprend et change de sujet en annonçant qu'ils n'avaient que deux pauvres petites heures devant eux. Max attire alors Adam et Enguerrand vers le 1er étage. C'est bien 1h50 plus tard qu'ils reviennent sentant tous les trois le savon. Echanges de bisous dans le garage et je reconduis nos deux lycéens chez Max alors qu'Adam nous confirme qu'il passera le mardi soir suivant.
Mardi soir : J'informe les escorts présents c'est-à-dire tous les homos plus Côme et un des " médecins " qu'allait venir un lieutenant de police pour nous enseigner l'art de recevoir un premier coup marquant mais sans conséquence nous permettant de justifier de l'état de légitime défense. Ils sont tous au courant de ce qui est arrivé à Max et Enguerrand et les conséquences policières. Max complète l'information en les avertissant que le type est homo mais qu'il est pour eux deux, donc il les remerciait de ne pas le draguer. Viktor me regarde et dit qu'il ne me croirait pas si je leur dit que j'ai pas baisé avec lui. C'est Enguerrand qui répond à ma place. Il leur dit que moi c'est différent, j'ai tous les droits, ils le savent et d'après ce qu'il a compris, ils sont même d'accord avec lui. Mais ce qu'il accepte de moi, il ne l'acceptera pas forcément d'un autre. Il tempère l'avertissement avec un " mais si ça se passe lors des touzes post sport, ils feront avec ". Le nouveau membre du " club " arrive sur ces entrefaites. Le temps de traverser le garage, il voit qu'un groupe travaille dans la serre autour de la piscine. On monte au 2ème. La pièce est pleine malgré l'extension du rez-de-chaussée.
Il est un peu sidéré du nombre de mec qui s'entraine. Je l'attends alors qu'il se met aussi en jock (que je fourni). Puis on tourne pour lui présenter tous les mecs présents. A ce niveau, c'est François et PH qui s'occupent des lutteurs. Ils viennent nous voir l'un après l'autre pour une présentation plus poussée de leurs enseignements. Dans le monte-charge qui nous descend vers l'autre salle de sport, il me dit que les mecs sont méchamment canons. Il est intrigué par les piercings dorés qui ornent un téton de certains mecs. Je lui dis juste que les lutteurs avaient ôté les leurs pour se battre. Nous entrons dans le jardin. Là aussi nous attend une brochette de beaux mecs. Anthony est en train de coacher les trois nageurs qui utilisent les 3 lignes d'eau. De l'autre côté du bassin, le tatami est dirigé par Jona et Sosthène (la capoeira demande de l'espace !). J'appelle Anthony. Il descend du rebord du bassin. Lui est en maillot. Mais un Aussiebum qui lui remonte le paquet de façon légèrement indécente. Je le présente comme notre responsable diplômé du pôle natation du groupe. Quand je présente Adam, j'annonce qu'il va devoir élaborer un programme intensif pour sa mise à niveau. Protestation de l'intéressé. Mais je lui fais admettre que dans cette discipline il est un peu à la ramasse. Son crawl est désordonné et il a du mal à aligner un km sans s'arrêter deux ou trois fois. Nous rencontrons après les " maîtres " du tatami. Jona l'entretien rapidement sur le sujet principal de sa venue. Je m'aperçois alors qu'Adam est encore meilleur que je ne pensais en combat. Jona n'arrive à le mettre au sol qu'avec ses connaissances estivales. Adam est surpris de se retrouver sur le dos. Il se rétabli d'un coup de rein avant d'aller serrer la main de Jona, impressionné. Il nous demande si le reste de l'équipe est de ce niveau. Jona lui dis que plus ou moins selon les affinités de chacun envers un des sports de base, karaté, krav maga, boxe française ou capoeira. Mais l'apport, depuis la rentrée, des techniques américaines nous a tous transformés en machine très efficace. Avec ce qu'il voit à coté de nous, Adam n'en doute pas. Il me demande si je n'ai pas d'autres étudiants en médecine dans mon équipe car il se rappelle maintenant qu'il a été en intervention aux urgences de l'hôpital pour trouver un " perturbateur " déjà maitrisé et maintenu à terre avec le genre de clé qu'il venait de voir ici. J'avoue qu'il doit y en voir maintenant presque une demi-douzaine à s'entrainer avec nous.
Je le laisse avec Jona. Avec lui, il détermine les façons de prendre un coup marquant sans dégâts. Je retrouve Anthony et fait le point avec lui des capacités à nager d'Adam. Il me dit qu'il veut le voir à l'oeuvre. L'entrainement du premier trio arrivant à sa fin, il appelle Adam. Je lui trouve un maillot " Funky trunks " qui moule ses fesses et son paquet idéalement. Anthony le pousse dans l'eau et le fait nager. Je regarde. La brasse coulée est correcte mais la coulée courte. Le crawl est peu efficace avec des battements de pied frénétiques. Le dos crawlé est de même quant au papillon, inconnu au bataillon. Anthony descend dans le bassin et commence par diriger son crawl. Si Adam n'est pas un très bon nageur, il sait écouter les conseils même s'ils viennent de mecs plus jeunes que lui. Une heure plus tard, il a vraiment fait des progrès. Lui-même est content du résultat. Max et Enguerrand déboulent pour le tirer de l'eau et l'embarquer sous les douches. La prise en commun ne l'étonne pas mais comme nous sommes nombreux à passer, la promiscuité est grande et il ne peut s'empêcher de bander ! Les habitués sourient. Avec le temps ce genre de frottements ne les fait en général plus bander. Une " prise " en main par un collègue, oui !
Max tire Adam coté piscine et Enguerrand suit. On les laisse mais nous entendons rapidement les bruits caractéristiques d'une chaude baise. Coté douches, ça se met à bander ferme. C'est parti pour une touze improvisée. Sans même se sécher, les kpotes sortent des pochettes, se déroulent sur des bites avant de se retrouver bien au chaud de culs accueillants. La kpote que je porte fait connaissance avec les muqueuses internes de Sosthène. J'ai toujours un faible pour les derniers arrivés ! Ça prend peu de temps pour voir apparaitre la tête de nos trois tourtereaux. Adam m'avouera plus tard n'avoir jamais baisé qu'avec 3 mecs en même temps au maximum. Là, les 20 mecs présents sont plus craquants les uns que les autres même s'il a un faible pour les deux plus jeunes.
Je vois Enguerrand le pousser dans les bras de Sosthène. Je l'entends aussi qui lui demande s'il s'est déjà fait un black. Je les laisse avant d'entendre la réponse mais je vois mon petit beau-frère préparer la rondelle noire alors que son policier d'Adam se fait pomper grave par la bouche qui va avec. Je joue avec quelques-uns de mes escorts. J'ai rarement à chercher qui veut faire l'amour avec moi. Je tâte du cul de Simon, Nikolaï et de Clément, me prend dans le mien les bites de Jona et de João, bon début de soirée finalement. Quand je sors de mes plans, je trouve Adam en train de sodomiser Sosthène tout en se faisant rouler des pelles par Max et c'est Enguerrand qui se fait sucer. Puis ce dernier cède à l'appel de la queue de Sosthène. Il se glisse à reculons sous son ventre et je le vois grimacer alors que sa rondelle se fait élargir par le gros sexe black. L'empilement et beau à voir, blanc noir blanc. L'inverse d'un Oréo !
En attendant je vois qu'Adam prend son pied. Quand Max ajoute à son mélange de langue une stimulation de ses tétons, il fait exploser le lieutenant. Il est même obligé de le retenir pour qu'il ne bascule pas en arrière sous la violence de son orgasme. Dessous j'entends Enguerrand qui gémis puis Sosthène qui lui gueule dans les oreilles alors qu'il remplit sa kpote. On se retrouve tous pour un nouveau passage sous les douches. Les hormones se sont calmées et c'est par quelques claques dans le dos qu'Adam est confirmé dans le groupe. A voir le sourire qui lui barre le visage, ç'a l'air de lui plaire. Malgré ses 28ans, il ne dépare pas. Seul son surplus de poils le différencie. Il se sent suffisamment à l'aise pour prendre ses deux amoureux dans ses bras et leur rouler des pelles devant tout le monde. C'est lui qui me demande s'il pourra revenir " travailler " avec nous. Je n'ai pas le temps de donner ma réponse que fuse de toute part des " oui ", des " ce serait bien j'ai pas pu lutter avec lui ", d'Anthony " c'est indispensable vu ton niveau de nage " et comme ça d'à peu près tous les participants. J'attends que tout le monde y soit allé de son argument pour lui dire que c'était ok tant que ce qu'il voit ici n'en sort pas. Sans être encore au fait des " à cotés " des prestations de ma société, il comprend que ce n'est pas le genre de vie qui le fera grimper dans la hiérarchie.
On fait donc comme ça et il est invité à revenir.
Le soir même je reçois son dossier par l'intermédiaire de DGSE. Il est issu d'une famille de juges, d'avocats et de policiers. Orphelin de père, il lui reste sa mère juge. Une soeur plus jeune et un frère de même. Elle fait des études de droit direction avocat, le plus jeune est totalement hors de ce circuit aux beaux-arts à Paris. Le garçon est bien noté. Il a fait ses premières années de terrain dans le 93 avant d'être envoyé dans cette capitale régionale. Etudes de droit brillantes, concours de commissaire passé trop jeune pour le devenir aussitôt (écrit réussit), plus de bons résultats à son école de police il est sur un chemin qui le mènera rapidement à ce poste. Le dossier " supplémentaire " note qu'il est gay, peu de rencontre, pas d'attaches ni de compromissions. Je renvoi un message pour savoir si le fait qu'il se colle à notre " groupe " risque d'être noté dans son dossier. La réponse est immédiate, " c'est de mon ressort donc non cela ne figurera pas "
Ouf je m'en serais voulu de plomber sa carrière.
Jardinier
~~
~~
~~
9 notes
·
View notes