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Une nouvelle image de moi sur la base d’une photo de moi dans un garage.
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Une photo de moi dans un parc de loisir... qu’auriez vous pensez si vous m’y aviez croisée?
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Petite zone de balade. A la base c’est comme toujours une photo de moi. vous aimez j’espère... commentez sans retenue, j’adore ca
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Vous me voyez sur cette image? je suis certaine que oui..... ha oui, j’adore quand vous êtes tres. crus
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Aujourd’hui je me limite a une photo de moi pour vos commentaires sur ma tenue par exemple
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Histoire vécue recement
Etant en panne avec sa voiture, un jeune collègue, Xavier, me demande de passer le chercher pour aller au boulot. Comme c’est a peu près sur mon chemin, cela ne pose bien entendu aucun problème et c’est avec plaisir que je vais lui rendre ce service. Xavier travaille dans l’immeuble depuis un peu plus de 6 mois maintenant, il doit avoir une trentaine d’année, sportif, bien de sa personne, c’est un homme qu’on peut qualifier de charmant mais assez réservé.
Quand j’arrive chez lui, je veux sonner mais je vois un petit mot sur la porte me disant d’entrer directement sans sonner. C’est évidement ce que je fais. J’ouvre doucement la porte et je découvre un petit appartement cosy, décoré de manière masculine mais avec beaucoup de gout ce qui ne m’étonne pas venant de ce genre d’homme qu’est mon collègue. Je vois ici et les des photos de lui pratiquant visiblement l’alpinisme, de là sont coté sportif certainement. Toujours sans faire de bruit j’avance vers une porte puis me ravise ne sachant pas qui se trouvait derrière celle ci. On ne sait jamais s’il avait quand même une femme dans sa vie…. Ou un homme qui sait…., c’est ce que j’ai pensé en me surprenant à sourire.
Soudain une autre porte derrière moi s’ouvre, je me retourne d’un coup et je vois Xavier occupé à s’essuyer la tête, il est totalement nu mais sa serviette étant devant ses yeux, il ne m’appercoit pas encore. Evidement, difficile pour moi de ne pas regardé son sexe qui pend entre ses jambes. Une queue d’une taille respectable avec une jolie paire de couille et une absence totale de poiles. Je pense que ce moment ne dure pas bien longtemps mais il me paraît tres long malgré tout avant que Xavier ne se rende compte de ma présence. Losqu’il me voit, il devient totalement rouge et tellement gêné qu’il ne pense même pas a couvrir son sexe.
« pardon, je m’excuses, je ne t’avais pas entendue, il y a longtemps que tu es la? »
« Juste assez longtemps » ce fut ma réponse en lui souriant.
Il me regarde d’un air interrogateur, il ne comprenant vraiment pas ce que je voulais dire alors je continue
« assez longtemps pour Matter ta bite »
C’est a cet instant qu’il se rend compte de la situation et d’un coup place sa serviette devant son sexe. Je m’approche alors de lui et tire d’un coup sur la serviette avant de prendre ses couilles à pleine main. Ca a pour effet de le faire bander de suite. Il ne proteste pas du tout alors je m’abaisse, il est maintenant dressé devant moi, la bite tendue. Je le tiens par les poignet et je lèche ses couilles lentement avant de remonter le long de sa queue avec le bout de ma langue. Je redescend et lèche à nouveau ses couilles puis remonte le long de sa queue bien tendue. Je lui fait cette caresse pendant plusieurs minutes et je sens a ces mouvement de poignet que je tiens toujours qu’il se crispe de plus en plus. Ilk doit avoir besoin que sa bite soit serrée dans ma bouche, dans mes mains ou même dans les siennes mais je ne le laisse pas faire. J’entend juste son souffle qui s’accélère puis je l’entend me dire :
« j’en peu plus, faut que je te baise, j’en peu plus »
Il se défait de mon emprise et me pousse sur le canapé. J’écarte les cuisses pour qu’il matte bien ma chatte libre sous ma robe. C’est alors qu’il s’approche la bite à la maison, il se penche et viens me la mettre dans la chatte en me disant :
« C’est ca que tu veux Sonia? »
« Oui vas y baise moi fort »
D’un coup sec il me pénètre et se retrouve tout au fond de moi. Il n’a eu aucun mal à entrer car j’étais trempée. Il ne commence pas lentement mais y va de suite par de grand coup de rein puissant et sans ménagement. Il grogne d’excitation et de plaisir mais ne dit rien, j’avoue que c’est un peu dommage mais certain hommes n’osent pas s’exprimer.
Il ne lui a pas fallu beaucoup de va et vient avant de jouir dans ma chatte. Je pense même qu’il ne s’y attendait pas, il a déchargé tout au fond de moi dans un sale de jouissance. C’est a ce moment quand je l’ai sentis se vider en moi, quand j’ai sentis ces saccades de sperme que moi aussi j’ai jouis.
Il s’est alors retiré et et d’un air coupable m’a dit :
« Je suis désolé d’avoir jouis aussi vite, j’ai pas eu le temps de ressortir »
« Mais c’est pas grave, c’est tres jouissif de te sentir te répondre en moi tu sais »
Il m’a conduite à la salle de bain pour refaire une petite toilette avant de partie au boulot. Dans la voiture on a pas reparlé de ce qui s’était passé mais j’avoue que j’ai pris du plaisir et c’est chouette le matin avant d’aller bosser.
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Ma dernière sortie en boite (histoire vécue)
Je suis encore seule ce soir, Patrick est au foot, il a été invité par une firme avec la quelle il travail régulièrement alors ce genre d’invitation ne se refuse pas surtout pour un amateur de ce sport. Heureusement, Zénon, un copain m’a proposé de sortir danser ce soir. J' en ai parlé à Patrick et comme il connaît Zénon, il ne voyait pas d’inconvénient à ce que je sorte avec lui pour aller danser.
Je me prépare quand mon mari est parti. Je m’habille de manière super sexy car j’ai encore envie de faire bander des hommes ce soir. Il est probable que mon mari sera encore cocu ce soir, une fois de plus. Je tente quelques minutes de compter le nombre de fois qu’il a pu l’être mais je renonce très vite devant l’ampleur de la tâche qui m’attend si je m’acharne a vouloir comptabiliser mes amants d’un soir.
Il est 21h00 quand mon ami se présente à ma porte pour venir me chercher. Quand je lui ouvre, le jeune homme ne peut s’empêcher de lâcher un « ho putain » d’admiration devant ma tenue. C’est vrai qu’avec ma jupe super courte, mes bas, mes bottes hautes et ce petit trop qui en dévoile plus qu’il n’en cache, je dois être vraiment hyper bandante et je le sais. Je sais aussi que même s’il ne fera probablement rien, Zénon va bander toute la soirée en me regardant me faire matée, me faire draguée voir peut être même plus mais ça, il est peut probable qu’il le voit.
Arrivé sur place, c’est certain que ma tenue vestimentaire fait sensation, les regards lubriques et les commentaires cochons plus ou moins discret fusent de toute part ce qui a pour effet de m’exciter. Accompagnée de mon cavalier, je m’installe à une table réservée et je prend un verre puis deux puis trois et enfin monte sur la piste pour me trémousser seule devant Zénon qui m’admire. Seule, je ne le reste pas longtemps, juste quelques minutes puis une bande de mâles en chaleurs viennent vite m’entourée pour danser a mes c��tés. Pendant que je me tortille sur la piste, je remarque deux femmes d’une petite quarantaine d’année installée à une table dans un coin éclairé par une petite lampe de chevet. Ces deux inconnues m’observent avec un regard encore plus vicieux et pervers que les mecs. C’était assez troublant mais aussi très excitant ce regard dans les yeux des femmes. L’une d’entre elle, celle qui avait l’air le plus sévère me fait un petit signe du doigt pour me demander de venir vers elle. Je m’arrête de danser et me fraie un chemin au grand désespoir des hommes qui m’entourent. J’arrive près de la table des deux femmes qui se présentent immédiatement.
- « Bonsoir, je suis Carole »
- « Et moi Mélissa. »
- « Bonsoir, moi c’est Sonia » Comme je l’avais vu depuis la piste les deux femmes devaient avoir une petite quarantaine, celle qui se prénommait carole avait un regard assez sévère mais elle était sexy, elle avait les traits fin et était vêtue visiblement d’un tailleur pantalon. Elle avait de longs cheveux chatains et était coiffée d’une queue de cheval. L’autre, Mélissa était visiblement un peu plus jeune, elle portait quand a elle un chemisier assez strict et une longue jupe de cuir noir. Pendant une seconde je me tourne vers Zénon qui m’observe depuis sa place, en fait il occupe une place de choix pour voir tout ce qui se passe a cette table. C’est Mélissa que prend la parole :
- « Viens t’installée entre nous Sonia. »
Carole se recule un peu et me laisse une place alors je m’installe un peu timidement entre ces deux inconnues. La voisine de banquette a queue de cheval passe son bras derrière mon cou avant de se pencher vers moi en me regardant droit dans les yeux. Ces lèvres s’approchent a quelques centimètres de mon visage
« Alors, on vient faire sa petite pute sur la piste ? »
- ��Pardon?»
Je suis assez surprise d’une question aussi directe de la part de cette femme mais j’en suis aussi assez excitée. Je ne lui ai pas encore répondu que je sens une main m’agripper les cheveux et tirer ma tête en arrière. C’est maintenant le visage de Mélissa, les dents serrées et l’air rageur qui est devant le miens.
- « Carole te demande si tu viens faire la petite pute sur la piste ? » Je me contente de faire un petit geste de la tête toujours maintenue en signe d’approbation. Je sens la main de Carole se poser sur ma cuisse qu’elle caresse en remontant vers mon entre jambes
- « Ecarte tes cuisses salope. » Je ne me fais pas priée et doucement ouvre les jambes. Je sens les doigts de Carole qui s’insinue doucement dans ma petite fente.
- « Elle est trempée cette petite pute, je pense qu’elle aime ca, on va se régaler. »
- « Tu étais venu pour te trouver une bite et tu as dégotté deux maitresses qui vont s’occupé de toi ma belle. » Les deux femmes avaient maintenant les mains plus baladeuses sur mon corps. Elles me caressent, me pelotent, me pincent même parfois. Je lève les yeux vers mon copain comme pour lui dire que tout va bien au cas où il s’inquiéterait mais ce n’est visiblement pas le cas. Il se contente d’observer le manège une main dans la poche et je le soupçonne de tripoter sa pine. Ce salopard est occupé a se branler en me matant me faire maltraitée par ces deux inconnues. Il est aussi vrai que Zénon me connaît et qu’il sait que je prend mon pied dans ce genre de situation. Une petite demi-heure se passe pendant la quelle je suis trempée d’excitation puis c’est carole qui dit a sa copine :
- « Alors, on y va ? » Elles me prennent toutes les deux par le bras et sans vraiment me demander mon avis m’emmènent à l’extérieur. Il est évident que je n’ai vraiment d’autre choix que de les suivre mais je ne me sens pas vraiment forcée, j’ai très envie de continuer ce petit jeu. on s’avance vers un gros 4X4 noir stationné dans le parking. Je monte à l’arrière et les deux autres à l’avant.
- « On n’habite pas loin, dans dix minutes nous seront arrivées. » En effet quelques minutes plus tard, le véhicule s’arrête devant une grande grille qui s’ouvre électriquement puis s’enfonce dans une petite allée d’une cinquantaine de mètres avant de se garer devant une jolie maison ancienne. Quand j’entre dans la maison et que les lumières s’allument, je constate qu’elle est décorée avec beaucoup de gout mais les deux autres femmes ne me laissent pas admirer la déco, elles me prennent par le bras et me poussent dans le salon.
- « Assied toi. » je m’installe dans un grand divan de cuir blanc. Je regarde autours de moi pendant que Mélissa et Carole s’absentent quelques minutes. La décoration du salon est à la fois classe et érotique avec des objets et des sculptures dédiées à la volupté et à la sensualité. Quand les deux femmes reviennent, je me rend de suite compte que je vais déguster mais dans le bon sens du terme. En effet, les deux inconnues jusqu’il y a peu sont nues et porte chacune un gode ceinture autours de la taille. L’un est blanc et l’autre est noir et de très belle taille. Elles s’approchent de moi l’air sévère puis Carole me dit :
- « Suce salope. » Elle m’attrape par les cheveux et m’enfonce son gode ceinture noir dans la bouche. Elle fait des mouvements de bassin comme si elle voulait baisée ma bouche si bien qu’elle en arrive presque a m’étouffée tellement l’objet entre loin dans le fond de ma gorge. Pendant ce temps la, Mélissa me déshabille sans le moindre ménagement avant de prendre la parole :
- « Maintenant agenouille toi salope. » je m’exécute et me retrouve à nouveau avec le gode noir dans la bouche pendant que l’autre femme me lèche la chatte trempée de désirs. Il n’a fallu que quelques courtes minutes avant que l’objet blanc se plante dans ma chatte et que celle qui le porte me file de grand coup de rein puis elles changèrent les rôles encore et encore pendant près d’une heure entière je prend des coups de gode violent dans tout mes orifices. Même mon cul y passe sans le moindre ménagement. Je prend mon pied plusieurs fois, il n’y a pas a dire mais ces deux femmes savent s’y prendre pour me faire jouir, elles m’épuisent littéralement avant de me laissée dans le canapé pour que je les regarde s’occupé l’une de l’autre. Autant il y avait de la brutalité quand elles me baisaient, autant il y a de la douceur et de la tendresse en elle. je comprend qu’elles s’aiment vraiment et qu’elles avaient juste envie de plaisir charnel et de domination envers une autre femme. Lorsque je quitte la pièce après m’être habillée, les deux femmes ne se rendent même pas compte de mon absence. Je sors de la maison et téléphone à Zénon pour qu’il vienne me recherchée. En effet quelques minutes seulement après l’avoir contacté, la voiture de mon copain est devant la grille. Celui-ci ne me pose aucune question sur le trajet du retours mais il voyait a l’expression de mon visage et aux cernes qui le couvre que j’ai du prendre un pied d’enfer.
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histoire vécue :
Nous sommes vendredi, j’ai fini journée et le frigo de la maison est vide. Il est presque 19h00 et je me précipite vers une grande surface pour faire quelques courses en me disant qu’il est heureux que le vendredi ce genre de magasin ferme à 20h00. Je descend au deuxième sous sol du parking et stationne ma voiture dans le fond pour avoir moins de manœuvre à effectuer puis me dirige vers l’ascenseur qui me mènera directement dans le magasin. Comme d’habite je suis habillée de manière très sexy, une jupe bien courte, des bas autoportants, des hauts talons et un chemisier bien provoquant. Cette tenue n’échappe d’ailleurs pas aux hommes qui se trouvent encore dans les allées. je sens très bien leurs regards se poser sur mon corps et je lis dans leurs yeux tout un tas de cochonneries qui leurs traversent l’esprit. Je n’hésite pas à me montrer provocante a chaque fois que j’en ai l’occasion. Je termine mes courses alors qu’une voix annonce la fermeture imminente. Je passe à la caisse assez rapidement car a cette heure et contrairement a mon arrivée, il n’y a maintenant presque plus personne. Je règle ma note et descend avec ma charrette dans le parking ou il n’y a plus que ma voiture. J’ouvre le coffre et commence a y placer les différentes marchandises que j’ai acheter.
Quelques mètres plus loin, tapis dans l’ombre, un homme m’observe vicieusement. D’où il se trouve, il peut voir quand je me baisse dans son coffre, la limite de mes bas et même une partie de mon cul. Ce type qui m’a suivie discrètement dans les rayons du magasin puis ensuite jusqu'à ma voiture bande certainement comme un âne en m’observant. A pas de loup, il s’approche de moi et quand je me trouve a sa portée, il pose une main sur mon cul. Un peu surprise, je me redresse et me tourne d’un coup vers l’inconnu. Il est grand, plutôt costaud, de type magrébin, cheveux court, yeux noirs. Il me regarde avec insistance dans les yeux puis les baisse vers mes seins.
Je ne panique pas le moins du monde en prenant la parole :
- « Je peux savoir ce que vous désirez ? »
- « Je veux te baiser. »
- « Comme ça, sans faire les présentation ? »
- « Avec les tenues de pute que tu porte, c’est tout ce que tu cherche non ? » Je suis toujours très excitée par ce genre de discourt et de déclaration et cette fois ci, je ne déroge pas à la règle. Je sens mon sexe qui commence à mouiller de plus en plus quand cet homme pose une main sur mon sein droit. Le tissus est tellement léger que je sens très bien la chaleur de la paume de cet inconnu sur mon seins nu sous le chemisier comme souvent. - « Tu es à poil sous ta blouse salope. »
- « Comme toujours. » - «Et sous ta jupe aussi?» Alliant le geste a la parole, il glisse sa main sous ma jupe
- « Espèce de petite pute, tu n’as rien sous ta jupe. » Je lui souris et adopte un regard des plus coquin avant de m’abaissée et de dégagé la pine tendue de cet étranger qui me regarde médusé que les choses se passe ainsi. Lui qui imaginait devoir utilité la force pour me faire entendre raison, le voila bien surpris par ma réaction. A peine le sexe du gars est il sortit de son antre que je le prend dans ma bouche pour entamer une fellation dont j’ai le secret. Le mec n’en peut plus, il sent qu’il va jouir très vite mais il ne veut pas, il est là pour me baiser et il compte bien le faire même si je pensais pouvoir éviter ça en le faisant jouir avec ma bouche de suceuse. Soudain, il m’attrape par les cheveux et me redresse en disant :
- « J’ai dit que je voulais te baisée sale pute. » Brutalement, il me retourne et m’enfonce la tête dans le coffre. Je repose maintenant avec le ventre sur le bord de celui-ci. L’inconnu gémis, souffle, grogne. Il remonte ma jupe pour découvrir mon cul qu’il touche et pétris avec fermeté.
- « Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de salope. » Je ne répond pas mais je suis hyper excitée par ce traitement sans ménagement. je sens le sexe de l’inconnu se positionné à l’entrée de ma chatte, dans la position que j’adopte sans l’avoir nécessairement choisie, je sais que son sexe est à la hauteur idéal pour une bonne pénétration en profondeur. D’un coup sec ce mec m’enfonce la bite profondément en moi, je ne peux m’empêcher de gémir brouillemment.
- « Tu aime ça salope ? » Il me prend par les cheveux tout en me posant la question et comme je ne répond pas , il répète :
- ��« Alors pouffiasse, je t’ai demandé si tu aimais ça ? »
- « hummmmmm ouiiiiiiiiii c’est bon. » Quand il entend la manière dont je lui répond, il se sent encore plus excité, il se redresse un peu plus, empoigne mes hanches de et commence a me limé rapidement et brutalement. Ces coups de reins sont de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Le rebord du coffre me fait mal au ventre mais mon excitation et ma jouissance est trop grande que pour m’en plaindre. Ca ne dure pas longtemps avant que je ne sente mon baiseur inconnu ressortir de ma chatte détrempée et que je ne sente ensuite des jets tièdes venir s’écraser contre mes fesses nue sous des râles et des grognements de jouissances. Quand je reprend un peu mes esprits que j’avait légèrement perdu suite a une pénétration et une jouissance aussi brutale et que je me redresse, le ventre rougis par le frottement contre le rebord du coffre de ma voiture, l’étranger n’était plus là. je suis seule, la jupe relevée sur les hanches et les fesses couvertes de foutre. Je m’ajuste doucement puis remonte dans ma voiture épuisée. De retours chez moi, je suis soulagée de voir que mon mari n’est pas encore rentré, je pourrai prendre une douche et enlevé toute trace de sperme de mon cul avant que mon homme n’y mette la main.
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Pour ceux qui seraient trop timide pour se cacher ici en public, je me suis dit que je pourrais vous donner mon adresse mail pour communiquer librement et vous lâcher dans vos commentaires : [email protected]
je vous attends avec impatience
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Une nouvelle photo pour vos commentaires sans aucune retenue
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Une nouvelle photo de moi pour vos commentaires crus
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Quand Denis m’a contactée pour me dire qu’il n’avait pas beaucoup le moral et qu’il est inquiet quand à l’opération qu’il doit subir, je lui ai dit que je terminerait plus tôt pour lui rendre une petite visite et tenter de lui remonter le moral et de lui faire oublier tout cela pendant quelques minutes.
Il est 14h30 quand je rentre chez moi pour me changer avant d’aller à la clinique. J’ai promis à mon copain de lui remonter le moral et je sais très bien par ou cela passe chez un homme. J’enfile une mini jupe moulante très courte et un chemisier légèrement transparent ainsi que des bottes à très hauts talons. Un long imperméable complète ma tenue.
Quand j’arrive dans la chambre de Denis, je constate que c’est une chambre double mais mon ami y est seul. Il m’accueille avec un grand sourire déjà ravi de ma présence pour lui tenir un peu compagnie.
- « Alors messieurs, ça vous plait. »
- « Ho putain, tu m’étonne que ça nous plait. » Le jeune motocycliste, lui, ne répond rien, il se contente de ne pas détourner les yeux de mon corps. Je retire le drap qui recouvre richard pour lui caresser moi- même la queue. Je me contente pour commencer de le branler doucement de la main gauche pendant que de la droite, je lui caresse délicatement les couilles. Denis a très envie de se faire sucer alors il appuie doucement sur ma tête pour me le faire comprendre. je comble de désir et après lui avoir donné quelques coups de langue sur le gland enfourne la bite entière de mon copain dans ma bouche. Je commence une pipe du tonner en regardant le jeune voisin de chambre qui maintenant se branle lui aussi sous son drap en regardant opérer cette inconnue pour lui. En le voyant faire, Je m’arrête pour lui dire :
- « Surtout, ne jouit pas, après, je m’occupe de toi. » Cette réflexion a pour effet d’augmenter l’excitation de Denis qui pousse sur ma tête pour que je reprenne la fellation. Je replonge sur cette pine dressée avec le plus grand plaisir et accélère le mouvement en malaxant les burnes de mon ami. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu’un liquide chaud et gluant ne vienne se déverser dans ma bouche. Je serre les lèvres sans avaler pour que rien ne s’échappe puis passe entre les deux lits, retire le drap qui recouvre le jeune motard et découvre une grosse queue, plus grosse que celle de mon copain fièrement tendue qui n’attend que moi pour s’en occuper. Je me penche au dessus et laisse coulé sur la bite du jeune homme le sperme que Denis venait de me déverser dans la bouche. Ensuite en branlant cette pine gluante, j’approche mon visage de celui du motocycliste pour l’embrasser. Le jeune homme hésitant au début m’attrape quand même par la nuque pour m’attirer contre lui et me roule une pelle d’enfer. Denis nous regarde puis pose ses yeux sur mon cul. ma jupe est tellement courte que quand je suis abaissée de la sorte, on voit le bas de mon derrière et ma chatte nue sous ma jupe. En tant que proche, il est un peu frustré de voir que ce jeune inconnu a plus d’attention que lui ma part. Lui au moins, il a un baiser langoureux et ça énerve quelque peu Denis mais peut être moins que ce que ça l’excite. Sans hésiter, il colle sa main sur ma chatte qu’il tripote un peu avant de me coller d’un coup deux doigts en me disant :
- « Suce le maintenant salope, il n’attend que ça. » En sentant ces deux doigts me fouiller le sexe, je me tortille un peu d’excitation puis plonge sur le sexe du jeune inconnu que je pompe frénétiquement. Voila qui a pour effet, non seulement d’exciter encore plus si nécessaire le jeune motard mais également de provoquer mon copain qui maintenant me fourre trois doigts et s’agite de plus en plus vite pour me faire jouir. Je prend moi aussi mon pied en me rendant compte de l’excitation de mon ami, en subissant ces assauts manuels et en entendant ces commentaires graveleux :
- « Vas y grosse pute, fais le jouir. » Je sens que le jeune homme ne va pas tarder à se vider les boules dans ma bouche alors je redouble d’application et accélère encore le mouvement. ma tête monte et descend pendant que mon copain lui aussi va de plus en plus vite et me fait jouir. D’un coup dans un râle de plaisir et de jouissance le jeune motocycliste déverse sa semence dans ma bouche sans que je ne me retire. J’avale chaque saccade avec un plaisir non dissimulé. Ce foutre est plus sucré que celui de mon ami, il est aussi plus important si bien qu’a la troisième saccade j’en laisse un peu couler le long de la hampe du jeune homme. Après que tout le monde ait bien jouit, je me redresse pour ajuster ma tenue.
- « Maintenant messieurs, il faut que j’y aille. »
- « Merci de ta visite Sonia, tu nous a vraiment remonté le moral. » Après avoir déposé un doux baiser sur les lèvres de chacun d’eux en me faisant une nouvelle fois tripotée, je quitte la chambre pour rentrer chez moi. Il suffit parfois d’un peu de disponibilité pour remonter le moral d’un ami mais dans notre société, je ne suis peut être pas un exemple et pourtant je ne fais que le bien autour de moi.
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Une infidélité récente :
Pour visiter ce lieu de retraite d’entreprise qui se trouve a 250km de Paris, j’ai décidé de prendre le train de manière à tout faire en une journée. Puis il faut avouer que c’est bien plus reposant qu’en voiture et cela me permet de rédiger mon rapport pendant le trajet de retours.
Je suis plongée dans mon ordinateur portable et machinalement je lève les yeux et constate un homme assis sur la banquette de l’autre coté du couloir. Il me souris, je lui répond également par un sourire avant de replongé dans mon ordinateur pour continuer la rédaction de mon rapport de visite.
Soudain des petit bruit étranges attirent mon attention, je lève la tête et regarde en direction de la banquette de l’autre coté du couloir et la je vois que le gars qui y est assis est occupé à se branler comme ca, en me regardant. J’avais déjà vu des vidéo de ce genre sur le net mais en vrais c’était la première fois. J’avoue qu’après quelques seconde de surprise, c’est l’excitation qui a pris le dessus. Je me suis mise à le regarder se branler comme ca sans gêne devant mon regard insistant. C’était un homme qui devait avoir une petite quarantaine d’année et vêtu d’un pantalon de training. J’ai pensé que c’était pour faciliter ses actions d’exhibitionniste qu’il portait ce genre de vêtement. Apres quelques minutes à l’avoir mater se branler, ce qu’il avait d’ailleurs l’air de vraiment aimé, je me suis levée et je me suis assise juste à coté de lui. J’en ai profité pour regarder s’il y avait du monde dans le wagon. Il y avait juste un couple deux banquettes plus loin et deux jeunes hommes avec un casque sur les oreilles.
Sans attendre j’ai plongé la tête la première sur sa queue qu’il s’est arrêté de branler pour la laissé entrer dans ma bouche immédiatement. Il a du être surpris car je ne l’ai même pas prise en main avant de la mettre dans ma bouche. J’ai commencé à le pomper sans le ménager, directement bien fort car j’avais envie qu’il jouisse très vite. Je serrais bien cette queue entre mes lèvres pendant mes mouvement de vas et viens et ajoutant une petite pression de ma langue qui la pousse un peu vers mon palais. Elle était complètement gobée dans ma bouche avide de cette queue de branleur exhibitionniste. Je l’entendis gémir doucement, prendre son pied et je sentais ma petite chatte déguouliner elle aussi de plaisir intense. Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir dans ma bouche. Trois grosses saccades de foutre bien chaud que j’ai laisser couler doucement le long de sa tige en desserrant lentement les lèvres. Je lève les yeux vers lui avant de relevé la tête et en me souriant, il montre du doigt la banquette sur la quelle j’étais assise auparavant. Je redresse la tête doucement pour regarder ce qu’il me montre avec encore un peu de sperme au coin des lèvres.
Il y a la, assis à ma place les deux mecs que j’avais vu avec le casque sur les oreilles. Ils me regardent en souriant. Le micro retenti pour annoncer une arrivée en gare. Quand le train s’arrête, le gars au training que je viens de faire jouir sort ainsi que le couple et je me retrouve seule dans le wagon avec les deux gars qui m’observent toujours en souriant. Quand le train redémarre, je regarde ma montre, il reste une vingtaine de minutes de trajet. Les deux gars se lèvent et viennent vers moi.
« on a vu ton petit manège »
Je les regarde sans rien dire mais sans aucune gène et je leur fais un petit sourire coquin.
Un des deux gars passe devant moi, pose un genoux sur le siège et l’autre pied sur le sol, il s’appuie dos à la fenêtre et sort sa bite en disant :
« Tiens, voila encore de la bite ma belle. J’espère qu’il te reste de l’énergie »
Je me penche doucement vers cette queue déjà bandée par l’excitation de ce qu’il avait vu certainement et je lui lèche le gland doucement. L’autre me prend par les hanches et me position moi aussi un genoux sur le siège et l’autre jambe tendue le pied sur le sol. Je sens qu’il remonte ma jupe doucement puis j’entend un souffle. Pendant ce temps je continue de sucer son pote avec application.
« Putin, tu as un de ces cul de salope »
moi tout ce que je peux répondre c’est
« Hummmmmm »
avec une bite dans la bouche difficile d’en dire plus.
Je sens son gland se positionné puis ils me pénètre la chatte lentement.
Je pousse un nouveau rôle de plaisir mais je ne lache pas la bite que j’ai dans la bouche.
le type que je suce prend la parole
« elle suce bien cette petite chienne, hummmm ouiii vas y salope bouffe bien ma bite »
L’autre commence à me baiser de plus en plus vite, de plus en plus fort si bien que je n’ai même plus de mouvement de tête à effectué. C’est lui qui balance tout mon corp et permet a la queue de son copain d’entrer et sortir. Plus il me baisera vite et plus je sucerai fort. Je suis balancée d’avant en arrière au rythme des coup de bite que je reçois. Un rythme de plus en plus soutenu, de plus en plus fort. Les deux gars commence à grogner en même temps. J’entend qu’ils vont bientôt jouir ces deux porcs et ca m’excite. Malheureusement ils ne me parlent plus, ne m’insultent plus mais qu’est ce qu’ils me bourrent bien la chatte et du coup la bouche. Le premier à cracher est celui que je suce qui se cache dans la bouche directement. Je retire un peu la tête que je tourne le plus possible en arrière et je montre le foutre de son copain dans ma bouche à celui qui me pilonne la chatte. Quand il voit cela, ca a pour effet de le faire jouir presque directement. Il se retire et m’éjacule sur les fesses. Il étale son sperme avec son gland entre mes fesses. c’est super bon et il était temps qu’ils jouissent car l’annonce d’arrivée imminente en gare retentit dans le wagon. Ils rentrent tout les deux leur queues dans leur froc avant de quitter le wagon en me disant
« merci, c’était super bon »
« tout le plaisir était pour moi »
ensuite j’abaisse ma jupe comme je peux sur le foutre que j’ai entre et sur les fesses. Je lèches mes lèvres pour voir s’il ,’y reste pas de sperme. Et je me regarde dans la fenêtre du train qui se transforme en miroir en raison de la nuit tombante pour me regarder et voir si je n’ai pas de sperme sur le visage. Puis je quitte le train satisfaite par ce voyage bien agréable.
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Un collègue de longue date m’avait invité chez lui pour prendre un verre. Bien entendu j’avais accepté avec plaisir et je savais l’idée qu’il avait derrière la tête puisque je l’avais sucé quelques semaines plus tôt et oui avait promis qu’un jour il me baiserait s’il en avait envie. Je pense que le jour est venu et comme on dit : une promesse est une promesse puis j’aime tellement cela que même si je m’y attends je ne refuse jamais une occasion de m’envoyer en l’air.
J’arrive chez lui vers 16h00 dans une tenue sexy bien évidement. Il m’accueille avec un grand sourire, me propose un verre et me fait visiter son appartement. Il habite au premier étage dans un immeuble en carré avec une cours intérieur assez sympa. Tout les appartement ont la chance d’avoir deux balcons, un vers l’extérieur de l’immeuble et l’autre donnant sur cette petite cours. C’est une chance car de ce coté, il y a toujours de l’ombre et cela doit être bien agréable lors de journée bien chaude. Il y a d’ailleurs quelques bancs situé dans la cours témoins des bien fait de son emplacement. Je suppose qu’en plein été il doit y avoir du monde sur ces bancs.
Après avoir fait le tours de son appartement par ailleurs magnifique c’est sur le balcon intérieur qu’on prend notre verre calmement. Je regarde autours de moi, étant au premier étage, je ne vois pas grand choses des autres balcons pourtant pas bien éloigner les un des autres. Ceux d’en face doivent être à une trentaine de mettre tout au plus.
Soudain, je sens Bernard, c’est le prénom de mon collègue, venir derrière moi et doucement il m’embrasse dans le cou. Je me retourne vers lui, le regarde dans les yeux et très naturellement je lui dit :
« je me doutais que tu m’avais invitée pour me baisée »
« tu n’en as pas envie? »
« J’ai toujours envie de me faire baisée tu le sais »
Il me prend par le main et me dit :
« suis moi on va dans la chambre »
« hummmm non, ici, sur ce balcon ce sera mieux »
Il lève les yeux et regarde l’intégralité de l’immeuble de peur être vu certainement puis il me dit en montrant du doigt
« non, regarde au troisième juste en face il y a trois jeunes garçons qui discutent en fumant leur clope »
Evidement je les avais vu et c’est bien pour cette raison que je voulais qu’il me baise ici sur le balcon, je voulais que ces jeunes me matent alors je lui répond :
« ils sont plongé dans leur discutions, ils ne se rendront compte de rien »
Alors j’embrasse longuement et goulûment Bernard en posant ma main sur sa queue par dessus son froc. tout en l’embrassant, je le caresse, le masse et je sens qu’il bande de plus en plus fort alors je détache son pantalon, je l’abaisse et je lèche sa queue longuement. Je lèche aussi ses couilles toutes lisses puis remonte et lèche à nouveau sa grosse bite. Ensuite je commence à le sucer. J’entends ces gémissements de plaisir alors je continue de sucer et sucer encore. En même temps, je jette un regard vers les jeunes du troisième, ils n’ont toujours rien remarqué et discute entre eux. Ca me frustre un peu je l’avoue alors je me place dos contre la rambarde, je pose un pied sur celle ci ce qui a pour effet écarté tres fort mes cuisses et je dis d’une voix assez forte à Bernard :
« Lèche ma chatte »
En raison de son excitation, il ne pense plus aux jeunes du troisième mais quand je me tourne vers eux, je constate qu’ils m’ont enfin entendue et qu’ils matent sans vergogne. Je ne les quitte pas des yeux et je gémis sous les coup de langue de Bernard en me léchant les lèvres de manière sensuelle pour exciter les jeunes qui regardent. Pendant plusieurs minutes Bernard me lèche et me fourre un doigt dans la chatte, je prend mon pied, c’est vraiment bon. Maintenant, je veux qu’il me prenne. Il le sent et me fait me tourner appuyée contre la rambarde.
« Non plutôt la »
et lui montre le coté du balcon. Je m’y appuie, les deux main a plat et le cul bien cambré, la chatte offerte. Je remonte bien ma jupe au dessus de mon cul puis le lui dit avant qu’il ne me pénètre :
« les jeunes auront une meilleur vue si tu me baise comme ca »
Il ne me répond même pas et enfonce sa queue dans ma chatte immédiatement. il commence à me baisé de plus en plus fort, moi je tourne ma tête vers les trois jeunes qui regardent sans en perdre une miette. Je les regarde sans arrêt, ca m’excite de les voir me regarder me faire baisée de la sorte.
Bernard accélère et accélère encore, il me baise de plus en plus fort en me répétant :
« t’es bonne, t’es trop bonne »
Il me défonce vraiment maintenant, je suis entrain de jouir alors je gémis de plus en plus fort en poussant des petit cris et des « oui » de plaisir de plus en plus fort. Nous finissons par jouir ensemble, au moment ou je sens son foutre se répandre dans mon ventre, je jouis encore plus fort et toujours en regardant droit vers les trois jeunes qui a mon avis bandent comme des porcs.
Quand Bernard se retire, je sens le trop plein de foutre couler le long de mes cuisses. Je lui demande si je peux prendre une douche. Il accepte bien évidement. Apres cette bonne douche, je bois un dernier verre avec mon collègue avant de le quitter et de rentrer à la maison encore bien satisfaite.
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Je suis à l’accueil aujourd’hui ce qui signifie, une journée plutôt cool. J’ en profite parfois pour faire mon boulot de responsable d’évènement mais ce n’est pas toujours facile car je suis souvent interrompue par des visiteurs ou des représentants en visite dans l’une ou l’autre entreprise qui occupent l’immeuble et qui pour la plus part emploie m’emploie pour leurs organisations exceptionnelles quelles qu’elles soient. Je suis occupée faire des recherche sur internet quand une femme d’une quarantaine d’année se présente devant mon comptoir.
- « Bonjour, je cherche le bureau de Monsieur Placard ? »
- « Cinquième étage, au fond du couloir sur la gauche puis dans le deuxième couloir troisième porte à droite. »
- « Ca m’a l’air bien compliqué, vous pouvez m’y conduire ? »
- « Si vous voulez. » Je me lève et passe de l’autre côté. Je remarque de suite le regard que la déléguée commerciale me porte. Evidement ma tenue est comme d’habitude sans équivoque, très courte et sexy. La femme que j'emmène vers le bureau de Placard est quand à elle plus sobre. Un tailleur noir avec une jupe droite lui arrivant au dessus du genou, un petit chemisier blanc, tout ce qu’il y a de plus sobre. Elle était assez grande, plus grande que moi, cheveux châtains clair assez long avec une queue de cheval. Elle avait aussi une paire de petite lunette argentée. C’est une belle femme mais trop sage a mes yeux. Pendant le trajet qui l’emmène vers le bureau de celui avec qui elle a rendez-vous, la représentante ne cesse de mater mon cul. Lorsqu’elle arrive devant le bureau en question, elle me dit qu’elle me retrouvera après son rendez- vous car elle a un renseignement à me demander. Je lui répond avec un sourire très coquin voir même cochon comme j’en ai le secret et que j’applique presque systématiquement maintenant avec tout le monde :
- « Je suis à votre disposition dans le hall madame. »
- « Alors ça, c’est bon à savoir. » Cette réponse me trouble et je me demande ce qu’elle veut dire par la. En retournant à mon poste, je me pose des questions sur cette femme à l’allure et au comportement plutôt autoritaire. Etant bisexuelle, les femmes qui m’attire sont toujours autoritaire voir même très dominatrice. Avec les hommes c’est aussi de cette manière que je prend le plus mon pied mais je sais aussi le prendre en inversant les rôles ce qui est nettement moins le cas avec les femmes. Une heure plus tard, la femme redescend et se dirige d’un pas décidé vers l’accueil. Je la regarde venir vers moi avec un sourire. Quand elle arrive à ma hauteur, la déléguée commerciale s’adresse à moi froidement et sur un ton autoritaire :
- « Ou sont les toilettes ? »
- « Il y en a dans le fond du hall ou au sous sol madame. »
- « Alors vous allez m’y conduire. »
- « Oui madame. »
Cette réponse suffit à la représentante pour se rendre compte que je suis plutôt soumise quand à moi, je ne suis pas dupe et je sais que les réponses formulées telle qu’elle laisseraient transparaître une certaine soumission. Quand on arrive dans le couloir, la dominatrice prend la parole directement et sans aucun respect:
« C’est pour allumer les mecs que tu te fringue comme ça ? » « Pardon madame ? » « Je te demande si c’est pour allumer que tu te fringue comme une salope ? »
« Mais enfin madame, je ne vous permets pas. »
Je sais très bien que je provoquerais la colère de la femme en lui répondant de la sorte et c’est en effet ce qui arrive. La représentante s’approche de moi et m’attrape par les cheveux, elle tire ma tête en arrière puis approche son visage très près du mien. Ces lèvres sont presque posées sur les miennes et je sens son souffle chaud sur mon visage et elle me dit :
- « Tu n’a rien à me permettre, tu as compris salope ? » Je lui fait signe « oui » de la tête alors la quadragénaire me prend fermement par le bras et m’attire dans une des toilettes. Elle pose un pied sur la cuvette en remontant sa jupe puis elle écarte son string pour me dévoiler une chatte dégoulinante et parfaitement taillée. Elle me regarde dans les yeux et m’ordonne :
- « Lèche maintenant. » Je m’accroupis et pose ma langue sur le sexe de cette femme. je passe ma langue entre les lèvres charnues puis s’attarde sur son clitoris que je suçote doucement. La déléguée gémit sous les caresses que je lui prodigue avec ma langue. Elle passe sa main dans mes cheveux puis d’un coup les serre dans ses doigts et attire mon visage encore plus vers sa chatte comme si elle voulait enfoncer toute ma tête dans son vagin. Je m’active avec ma langue que j’enfonce le plus loin possible dans la chatte de cette femme pour la faire jouir. A ces gémissement, je me rend compte que ca ne va pas tarder alors je redouble d’application jusqu'à ce que je sente les muscle de la déléguée se relâcher. Elle venait de prendre son pied sous mes coups de langue. Elle me redresse avant de me dire :
- « C’était bon, tu as bien travaillé. »
- « Merci Madame. »
- « Donne-moi ton numéro de portable. » Je m’exécute et le note sur un petit bout de papier que j’ai dans ma poche :
- « Je t’appel quand je reviens dans la région et tu as intérêt à être disponible, je ne serais plus aussi gentille qu’aujourd’hui. » je suis encore toute excitée par ce que je viens d’entendre. Il faut aussi avouer que à part donner du plaisir et être excitée d’être dominée, je n’avait pas reçu beaucoup de jouissance de mon côté. Heureusement je reçoit un message de mon mari qui m’annonce que contrairement à son habitude, il sera de retours assez tôt aujourd’hui. Je vais rentrer avant lui comme d’habitude mais dès son retour je lui sauterai dessus pour qu’il me baise et calme les envies que j’ai.
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Le seul sport que je pratique est la natation et encore, de temps en temps. J’en faisait beaucoup plus étant jeune mais de temps en temps, surtout le dimanche matin, j’y retourne. La piscine est ouverte à 9h00 et à cette heure là, il n’est pas rare que je sois seule dans l’eau. C’est très agréable une grande piscine pour moi toute seule. C’est seulement vers 10h30 que les jeunes et les enfants arrivent ce qui rend l’ambiance bien plus bruyante. Ce dimanche n’enfreins pas la règle. Il est 9h05 quand j’arrive au bord de l’eau et j’y suis seule a part un maître nageur qui me regarde m’approcher les yeux rivé sur mes seins. Il faut dire que mon maillot est à l’égal des tenues que je porte en général, sexy voir même provocant. C’est un deux pièces avec en bas, non pas un string car dans la piscine c’est interdit mais une culotte quand même extrêmement mini puisque attachée avec des ficelles sur les côté et le triangle devant et derrière ne cache que le minimum. Quand au dessus, il est lui aussi tout rikiki, voir même trop petit pour mettre en valeur mes seins qui ne sont pas énorme mais d’une taille juste respectable. Le tout est noir et blanc ce qui fait parfaitement ressortir mon bronzage encore présent. Quand je suis dans l’eau, en nageant, je regarde le maitre nageur marcher vers le petit bureau vitré qui se trouve dans un coin.
Après une ou deux longueurs, un homme s’approche du bord de l’eau. Il a une bonne trentaine d’année, l’allure sportive cheveux long. Il m’observe dans l’eau avant d’y entrer dans un plongeon digne d’un grand champion. Il s’enfonce dans l’eau pour en ressortir quelques mètres plus loin et entamer lui aussi une longueur. Je le regarde le dos appuyé et les bras posés sur le bord du bassin. Apres quelques minutes, il s’approche de moi et se présente :
- « Bonjour, je suis Christian. »
- « Enchantée, moi, c’est Sonia. » On se serrent la main avant que le nageur ne reprenne la parole
- « C’est la première fois que je vous vois ici. »
- « Je viens assez rarement mais quand je viens c’est toujours à cette heure ci. »
- « Moi, je ne viens jamais à cette heure ci en réalité. » Il s’en suit quelque banalité pendant les quelles Christian s’approche de plus en plus de moi pour presque me toucher. En sentant cette approche, j'avance ma cuisse gauche doucement pour la passer entre les jambes de l’homme qui les plie légèrement pour que son sexe touche ma chaire au travers du fin tissus de son maillot. Lors de se contacte, je sens qu’il bande bien dur alors j’approche ma main qui remplace ma cuisses dans le contacte avec la queue du nageur. Doucement je lui masse la queue par- dessus le petit short de bain moulant. Il se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille :
- « Et si on sortait de l’eau ? »
- « Ce serait peut être mieux car je suis incapable de te la sucer au fond de l’eau. » En terminant ma phrase, je pousse sur les bras pour m’extirper hors de l’eau et vais vers la douche des femmes sous le regard de celui avec qui je discutais. Christian sort lui aussi de l’eau et file dans la douche des hommes pour me retrouver avant que je ne me rende dans ma cabine. Quand il sort, il constate que c’est moi qui l’attend pour l’emmener dans cette minuscule pièce ou on passe de vêtements à maillot et inversement. Les gens commencent à arriver, des hommes, des femmes, des enfants, des familles circulent librement en maillot. Des portes claquent, des cris et des rires joyeux s’élèvent dans chaque coin des vestiaires. nous savons qu’il faudra être discret.
Dès qu’on se trouvent enfermé dans la minuscule pièce, Christian colle ses lèvres aux mienne, nos langues se caressent, nos salives se mélangent. Les mains du jeune homme s’attardent sur mes seins qu’il sort sans difficulté du maillot. Il les tripote longuement avant de finir par en sucer les tétons sensuellement. Je me laisse faire, profite du moment présent puis me dégage de l’étreinte de cet homme pour m’asseoir sur le petit banc rabattable qui sert aussi de fermeture de porte. Je me trouve maintenant à la bonne hauteur et peut sortir ce sexe qui ne demande que ça. J’abaisse le maillot avant de lécher cette tige dressée. ma langue la parcoure de bas en haut puis de haut en bas en déposant de la salive sur chaque centimètre carré de chaire. Ensuite c’est sur les testicules que je m’attarde pour les gober et branlant d’une main cette grosse bite. Christian se laisse faire en me touchant les cheveux de temps en temps. Il tente de se contrôler pour ne pas gémir, pour ne pas crier des cochonneries. C’est au moment ou j’enfourne sa pine au fond de ma gorge qu’il a le plus de mal à se retenir, quand je le pompe de plus en plus rapidement il sent qu’avec ce traitement, il ne va pas tarder à jouir. D’un coup, il se retire, je comprend qu’il ne veut pas jouir maintenant, qu’il veut me baiser alors je me redresse, lui tourne le dos et me cambre pour qu’il me prenne par derrière. Dans un endroit aussi petit, c’est presque la seule solution puis c’est aussi une des positions que je préfère. Il abaisse doucement ma culotte de maillot puis place son nœud à l’entrée de ma chatte avant de me murmurer à l’oreille :
- « Je vais te baiser. » Je sens la colonne de chair entrer en moi centimètre par centimètre très lentement jusqu'à la garde puis ressortir et entrer à nouveau mais plus rapidement. Christian prend mes seins dans ses mains et fait rouler les bouts entre ses doigts. Les coups de reins sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides. J’ ai envie de gémir, de gueuler qu’il ait plus vite, qu’il soit plus fort. Comme si mon partenaire le sentait, ces mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce qu’il se crispe d’un coup, qu’il ne bouge plus, qu’il reste au fond de mon sexe pour jouir. C’est quand je sens cette explosion de foutre en moi que je jouis à mon tours. Après un long baisé langoureux, Christian quitte la petite cabine pour récupérer ses habits dans son casier pendant que je reste assise en pensant que j’aimerais garder ce sperme en moi jusqu'à mon retours à la maison puis me faire lécher par mon mari mais malheureusement ce n’est pas envisageable. Peut être une autre fois avec un autre amant. Le reste de mon dimanche, je le passe en compagnie de mon mari, un déjeuner en tête à tête à la maison suivit d’une belle balade la main dans la main dans les rues du village.
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