#j’aime les nails..

[girlbosscannibalism]

trying not to meow out of respect

[marinelp]

🇫🇷 Hello par ici ! Vous allez bien ? Je suis de retour de vacances alors je vais reprendre progressivement les publications par ici et je commence avec le petit nail art qui va m’accompagner pour le début de semaine ☺️ Je voulais quelque chose de rapide alors j’ai jeté mon dévolu sur les nouveaux stickers multichrome de @peggysageofficial sur une base blanche et j’aime beaucoup le résultat 🤩 Qu’est ce que vous en pensez ? 😀 Bonne soirée et bonne semaine ! • 🇬🇧 Hello! How are you doing? I'm back from holiday so I'm going to gradually resume posting around here and I'm starting with the little nail art that's going to be with me for the start of the week ☺️ I wanted something quick so I decided on @peggysageofficial's new multichrome stickers on a white base and I really like the result 🤩 What do you guys think? 😀 Have a great evening and week ahead! • #peggysage #peggysageofficial #metallicnails #summernails #multichromenails #minimalistnailart #nailart #marinelovespolish #instanails #nailitdaily #nailsofinstagram #naildesign #nails2inspire #ignails #nailstagram #nailpromote #nailswag #nailartwow #naturalnaillover #nailartheaven pr sample/coIIaboration https://www.instagram.com/p/Cf1w7jbKIvg/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[plaidetchocolatchaud]

Je viens d’être taguée par @haweke sitôt taguée, sitôt répondu :D ! Merci 😃 !

tag game: three things that make up how you dress/look/present 

 1. Glasses : Toujours mes lunettes rondes et dorées (mais pas trop bling-bling !); Là, elles sont juste un peu remontées sur mes tempes, sinon, j’ai mal avec mon casque !

2. Black and Red : ça fait très “emo” comme titre ^^ ! Pourtant, quand j’avais eu ma “phase” j’étais rarement en noir et rouge, plutôt en noir et violet, noir et blanc, ou en noir et bleu, noir et rose parfois... Mais noir et rouge c’est pas mal ! Aujourd’hui, j’ai beaucoup de rouge, j’aime bien ça me donne bonne mine, et ça me va bien. Et j’ai aussi beaucoup de noir... parce que l’on ne sort jamais complètement de sa phase emo ;)

3. Bitten nails : Je ne me suis jamais rongé les ongles, et ça m’arrive de les avoir un peu trop long (vraiment pas pratique pour le piano), car flemme de les couper. Les vernis à ongle, c’est l’un des rares trucs que j’aime bien niveau maquillage/cosmétique, avec l’eye-liner (voir la réponse de la question 2), mais je n’en porte pas systématiquement (car grosse flemme) !

Je tague @antonomase @larosezen @jasministheb @sans-rancune-sans-regrets @reveriespersonnelles @par-merlin @pourquoicommentparceque et @socialement-malaisante :)

[fille-lioncelle]

Now that Skam France is over, what would you say were the best moments from season 3?

Wow. Um. This is going to be not very objective at all haha. (Also, I’m really glad Skam France isn’t TOTALLY over and we’re still getting Imane’s season at least, even if I’m hella nervous about how that’s going to turn out.)

The minute par minute clip, especially Eliott’s “J’ai pas envie de te blesser” speech. They did some QuestionableTM things in this season but letting Eliott speak about his experience with his illness and his feelings about it and about Lucas and their relationship was definitely one of the very best moments. I love the way Lucas keeps moving in for a kiss and sort of downplaying Eliott’s worries but Eliott keeps evading him and insisting because while Lucas’ instinct is to soothe and take the hurt away, that’s not what Eliott needs. And then Lucas stops and listens and takes Eliott seriously and accepts what he says. Yes, there are going to be bad days. Yes, it will suck. But while, yes, Lucas’ bad days won’t be the same as Eliott’s, they will be there too and so they’ll just accept each other’s bad days and try and do their best to work out ways to deal with them. He stops telling Eliott he’ll handle it and switches to saying they’ll handle it. It puts them on the “same side” and on equal footing and the way Eliott looks at Lucas then is just gutting in the best way. (Also, Maxence and Axel nailed that scene.)

Samedi, 9:17. The sheer joy and wonder they display at getting to discover each other - physically and emotionally - is so tender and so open. It makes me giggly and smiley and it’s so soft.

The mural scene. Okay. This one… is probably a hefty percentage down to the aesthetics. People messing around with paint and kissing is up there in my top daydream fantasies haha. I cannot believe they shot that in a single take and managed to get something that came out looking like it was meticulously crafted and planned down to the very last detail! Also, watching them come back together like they’d literally die if they didn’t makes me dizzy in the best way. They kiss like it feels when you think you look like that perfect Hollywood kiss but in actuality you look really ridiculous only they LOOK LIKE A PERFECT HOLLYWOOD KISS. ONLY REAL. I didn’t even know that was possible!

The “J’aime bien les gens surprenants” scene. That entire afternoon and all its scenes are great and I love that they lead up to this, but this is unambiguously the climax. I love that they tease each other back and forth, Lucas asking about the piano, Eliott slightly faux-modest about how he doesn’t know that much, Lucas pressing a few keys like he has no clue, Eliott making that quip about how he has a triangle somewhere and then Lucas segues into that lovely Riopy piece without another word and just— the change that comes over Eliott as he realises Lucas can play, the way he sits up and listens and stares at him like he’s dreaming. I think in that moment Lucas becomes a real person for Eliott and he really starts to fall for him. Before this Lucas was a pretty face and maybe a distraction. A possibility and an idea. But now Lucas is a person. He flirts and he teases and he smokes and he plays the piano and Eliott probably expected some of that but not all, and by being surprised he’s reminded that there are so many things about Lucas he doesn’t know but can get to know.

I’m gonna stop here before I just list all the Lucas/Eliott scenes haha. Also, honorary mention to every time Lucas and Manon were each other’s found siblings. I wish they’d done more with that.

How about you, anon? What are your favourites?

[maevapad]

Bonjour! Je m’appelle Maëva et je suis passionnée par la création. Créer est pour moi un moyen de m’évader de la routine et d’exprimer ma personnalité. Je suis passionnée par l’art, plus particulièrement par l’art engagé, contemporain et figuratif. Je suis passionnée par le monde qui m’entoure et par tout ce que j’entreprends. Je suis très créative, ce qui me pousse à repousser les limites de mon imagination et à créer toujours plus. J’aime expérimenter différents domaines comme la peinture, le dessin, le nail art, la couture, le bricolage, ou encore la sculpture. Je suis aussi très curieuse, j’ai soif d’apprendre et de découvrir de nouvelles choses.

[afterdawnrpg-blog]

Four boards and twelve nails (Eagon & Saoryne)

Eagon : “Des jumeaux sont dans le ventre de leur mère. Ils parlent de l’accouchement. L’un dit à l’autre :

- Crois-tu qu’il existe une vie après l’accouchement ?

- Bien sûr que oui. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend par la suite.

- C’est ridicule. Il n’y a rien après l’accouchement, à quoi ressemblerait une vie en dehors du ventre ?

- Eh bien, il existe beaucoup d’histoire à propos de l’autre côté. On dit que là bas il y a beaucoup de lumière, de joie, d’émotions et des milliers de choses à vivre. On dit même qu’on peut manger avec notre bouche.

- C’est n’importe quoi ! Nous avons un cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le SAIT. Et en plus, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie. Donc tout ça, ce sont des histoires pour les naïfs. La vie se termine après l’accouchement. C’est comme ça, faut l’accepter. Y’a rien après.

- Hé bien permets moi de penser autrement. C’est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie va ressembler et je ne pourrais rien prouver. Mais j’aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre mère et qu’elle prendra soin de nous.

- "Maman" ? Tu veux dire que tu crois en "maman" ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?

Amusé, le second bébé répond :

- Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d'elle et c'est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.

Le premier bébé semble agacé par les propos de son frère.

- C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.

- Je ne suis pas d’accord, ça c'est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante. On peut sentir quand elle caresse notre monde.… Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement...”

[zonenailart]

Aujourd’hui c’est la fête de l’amoureux! Et pour célébrer, je me suis adonnée à l’exercice de le représenter en nailart! C’est pas facile de pas tourner au girly avec un médium aussi girly que le nailart, mais j’aime bien mon résultat.  Ôde à mon amoureux de films, de musique et de bouffe ; un papa et copain exemplaire. Love you babe ❤️ . . Today is my boyfriend birthday! And to celebrate, I tried to rerpesente him into nailarts. Not easy to do something not so girly with a so girly medium, but I really like the result.  Here’s to my movies, music and food lover ; a father and boyfriend so kind and loving. I love you babe ❤️ . . #nailart #nailsinspo #nailinspo #burger #music #tarantino #movies #love #birthday #nails #npa #nailista #notd #stampingnails #moyoulondon #maniology #fakenails #nailartoftheday (at Victoriaville, Quebec) https://www.instagram.com/p/B882Lq1AXV-/?igshid=bvmei1kgoesi

[indochine-ma-sauve-la-vie]

Indochine: notre rencontre avec Olivier Gérard, alias oLi dE SaT Le nouvel album du groupe phénomène, sobrement intitulé «13», sera dans les bacs dès le 8 septembre 2017. Afin de vous aider à patienter, on vous raconte notre rencontre avec Olivier Gérard, dit oLi dE SaT, guitariste, compositeur, et bras droit de Nicola Sirkis. Conversation mémorable avec le «Chat sur Mars».

oLi dE SaT, alias Olivier Gérard, était initialement un fan du groupe Indochine. C'est en envoyant des cassettes à Nicola Sirkis qu'il a fini par attirer son attention.

Getty

FEMINA Parlez-nous de ce nouvel album, «13», dont la sortie est prévue pour le 8 septembre 2017. Olivier Gérard / oLi dE SaT Nous avons mis deux ans à écrire cet album, ce qui en fait le disque le plus long à réaliser, en temps de composition. Nous nous sommes montrés particulièrement exigeants: on a beaucoup soigné la production, la composition, et Nicola ses paroles, bien évidemment. On a fait appel à un mixeur qui avait travaillé avec Daft Punk: il y a beaucoup d’électro dans les sons, car nous voulions atteindre une résonnance actuelle. Je pense que certains titres, très électro-techno, surprendront le public.

Il s'agissait également de peaufiner l'univers graphique, et notamment la pochette de l'album, réalisée par [le photographe néérlandais, ndlr] Erwin Olaf. Le visuel a toujours joué un rôle très important dans Indochine, et nous sommes honorés qu’Erwin Olaf ait amené cette photo comme une véritable œuvre: initialement, l'image n'avait pas été pensée comme une pochette d’album, mais comme une photo d'exposition.

Il ne faut pas oublier que le groupe a 37 ans. Nous nous posons beaucoup de questions: comment l’album sera-t-il perçu? N’y a-t-il pas de redite? Il s'agit d'un questionnement qui n’était peut-être pas présent il y a une dizaine d’années.

Cela vous tracasse? «Tracasser» n’est pas le mot, mais c’est là que se trouve notre principale exigence: essayer de se renouveler et proposer ce que nous estimons être nouveau, en sachant qu’Indochine a quand même sa patte et sa marque.

Comment vivez-vous le fait d’être membre d’un groupe dont des millions de fans attendent le nouvel album? C’est très curieux. Quand nous sommes en tournée, nous sommes sans cesse confrontés à cela. Mais à côté, nous vivons tous nos vies normales, sans évoluer dans le circuit des soirées parisiennes et des «afters»… Nous avons tous des vies plutôt calmes. Parfois, c’est étrange, quand on est subitement confronté à un fan qui, en pleurs, demande un autographe: ce changement de monde est particulièrement troublant.

Car j’ai un quotidien tout à fait normal, je fais mes courses à Auchan comme tout le monde. On ne se rend pas forcément compte de ce qu’on véhicule. Même quand on compose, Nicola et moi, on travaille dans une petite structure, seuls dans un petit studio. On n’est jamais confronté au succès que le groupe peut engendrer, finalement.

Vous avez l’impression de mener une double vie? C’est un peu ça. Les deux se marient très bien, mais c’est au-travers du regard des fans que nous réalisons que notre travail représente bien plus que de la musique pour eux. Parfois, cela en devient presque un besoin vital, vu la façon dont certains nous en parlent. C'est curieux, mais c’est grâce à cela que le groupe existe depuis 37 ans: ils nous ont portés, même dans les années 90, quand le groupe passait dans le creux de la vague. Ils veulent défendre Indochine à tout prix. Pour certains, il s'agit un peu d'un compagnon de vie: on reçoit parfois des lettres très touchantes dans lesquelles des gens nous disent que tel morceau a sauvé leur vie.

Vous parvenez à réunir plusieurs générations depuis des années. Comment expliquez-vous cela? C’est l’élément irrationnel: pourquoi ce groupe a-t-il réussi à créer ce lien multigénérationnel? C’est inexplicable. Peut-être parce qu’en vue des arrivées et des départs de certains membres, Indochine a connu plusieurs vies différentes? Peut-être parce que Nicola, le seul maître à bord présent depuis le début, écrit des textes qui touchent infiniment les gens. Mais il me semble aussi, d'après ce que nous en dit le public, qu'il n’y a pas beaucoup d’équivalence en France: un groupe pop-rock qui donne beaucoup d’importance au visuel, alors qu’on n’a pas forcément cette culture de l’image, dans le pays.

Votre pseudonyme est oLi dE SaT, mais est-ce vrai qu'on vous appelle également le «Chat sur Mars»? Oui, ce surnom vient de l’album «Alice & June», datant de l’époque où Nicola lisait «Alice au pays des Merveilles» à sa fille: il avait trouvé ce personnage-là pour moi, le chat sur Mars. La raison véritable, je ne la connais pas vraiment. Mais le surnom est resté un petit moment, les fans m’appelaient également comme cela.

Initialement, vous étiez vous-même un fan du groupe: avec le recul, en vous souvenant de l’époque où vous envoyiez vos remix à Nicola, dans l'espoir d'attirer son attention, que vous dites-vous? Je suis quelqu’un qui a les pieds sur terre. J’ai encore du mal à me rendre compte que les gens me reconnaissent, car je ne vis pas du tout dans le «trip» de l'artiste qui cultive cela. Je suis entré progressivement dans le groupe, mais pendant 4-5 ans je ne me sentais pas légitime, surtout lorsqu’on jouait des anciens morceaux d’Indochine.

Avant, quand le public applaudissait, je ne me sentais pas légitime de recevoir ces applaudissements, car je n’étais pas là à l’époque où ces titres ont été écrits. C’était une drôle de sensation, très troublante. Cela a créé un lien entre moi et les fans; je suis un peu comme leur pote, celui qui a réussi à passer de l’autre côté.

Vous incarnez leur rêve! Est-ce qu’ils vous en parlent, parfois? Ils m'envoient beaucoup de morceaux à écouter, car ils savent que je suis aussi passé par-là. Je me souviens de ce que c’était d’être fan, d’avoir cet âge-là, d’être rempli de rêves.... Du coup, j’essaie d’écouter toutes les compos qu’ils m’envoient.

Et vous, de qui êtes-vous fan? Quelles sont vos inspirations musicales ? Je pense que lorsqu'on est mélomane, il y a toujours un ou deux artistes qui vous suivent toute votre vie et vous donnent l’impression que c’est exactement ce que vous vouliez entendre. Pour moi, il s’agit du groupe «Nine Inch Nails». Quand je l’ai écouté pour la première fois, au début des années 90, j’ai eu une révélation. C'est un groupe sans concession, avec un univers graphique très travaillé, et des textes bien écrits, ce qui est plutôt rare dans les paroles anglosaxones (rires). En français, j’aime beaucoup Christophe, Arman Méliès, les textes de Dominique A... Ce qui est curieux en France, c’est qu’il y a beaucoup de talents, mais qu’ils ne sont pas forcément connus du grand public.

Et pour composer? Je suis très visuel, je travaille beaucoup avec les images: pour moi, chaque son est une image. Dans ma tête, tout est très photographique. Quand je vois un film et que j’en sors tout à fait euphorique, j’ai tout de suite envie d’aller dessiner. J’ai fait des études d’art graphique, ma femme est peintre; je vis dans un univers ou les deux arts sont constamment liés.

En 2015, quand vous avez commencé à travailler sur cet album, quel était le processus? La seule directive dont Nicola m’ait fait part est qu’il voulait un album court… et c’est raté (rires)! Il trouvait, à juste titre, que de nos jours les gens n’ont plus le temps d’écouter de la musique et qu’il faut que tout aille plus vite. Nous avons tous les deux des enfants, nos filles sont d’ailleurs très amies: et nous voyons que les consommations de musique changent, que les leurs sont à des millénaires des miennes.

Moi, quand j’étais ado, je comptais les jours avant la sortie d’un album, je le mettais sur ma platine vinyle ou mon lecteur CD, je prenais une page blanche et je dessinais en écoutant les paroles. C’était presque une écoute religieuse!

La nouvelle tournée d'Indochine, le «13 Tour», débutera en 2018 avec un passage à l'Arena de Genève le 26 avril 2018. Si Nicola Sirkis annonçait, en 2015, qu'il s'agirait d'une très, très grande tournée, Olivier Gérard n'a pas hésité à confirmer cela: «Comme pour la précédente, nous allons essayer de mêler image et musique avec un concept qui va faire du bruit, explique-t-il. Je pense qu'il va donner le vertige.» Littéralement? lui demandons-nous. Ses yeux brillent, l'espace d'un instant, avec l'enthousiasme malicieux d'un enfant plein de rêves. «Vous verrez bientôt», répond-t-il avec mystère.

Indochine: notre rencontre avec Olivier Gérard, alias oLi dE SaT

[rollingstonemag]

Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/linkin-park-en-douze-chansons-memorables/

Linkin Park en douze chansons mémorables

Alors que le monde a appris, jeudi 20 juillet, la mort du chanteur de Linkin Park, Chester Bennington, retour sur les titres qui ont fait la légende du groupe

La musique de Linkin Park a abordé pendant longtemps les thématiques de l’aliénation, des démons intérieurs et de souffrance personnelle, accentuant la peine causée par le suicide de Chester Bennington. Sa voix si identifiable semblait se battre entre la chute et l’espoir, en évoluant rapidement d’une vulnérabilité tendre et subtile à des cris râpeux et enflammés. Pour lui rendre hommage, nous avons sélectionné douze chansons du groupe.

« One Step Closer », 2000

https://youtu.be/4qlCC1GOwFw

« Les paroles se suffisent à elles-mêmes » expliquait le second chanteur de Linkin Park Mike Shinoda à Billboard en 2000. « Je pense que c’est l’une des raisons qui expliquent le bon accueil que la chanson reçoit. » Pour leur premier single, Linkin Park a rassemblé tous les éléments qui feront du groupe un incontournable : des guitares désaccordées, un chant à la fois entonné et rappé et un refrain qui mêle vulnérabilité et rage (« Everything you say to me/Takes me one step closer to the edge/And I’m about to break! »). « On a écrit cette chanson alors que nous étions en studio et les événements de notre vie sociale et dans notre musique devenaient un peu stressants, » continue Mike Shinoda. « Nous étions à bout« . Des années plus tard, Shinoda révèlera que la chanson a été écrite en s’inspirant d’un producteur qui avait tenté de convaincre Chester Bennington de laisser tomber le groupe pour entamer une carrière solo.

« Crawling », 2001

https://youtu.be/Gd9OhYroLN0

« Crawling » donne la première place à Chester Bennington, lui permettant d’incarner pleinement la tension grinçante évoquée dans les couplets malaisants. Bennington expliquait à Rolling Stone que « Crawling » et d’autres titres similaires étaient un moyen de panser les plaies de sa vie. « C’est facile de tomber dans cette logique – « pauvre, pauvre moi ». C’est de là que viennent des chansons comme « Crawnling » : je ne me supporte plus. Mais cette chanson implique de prendre mes responsabilités vis-à-vis de mes actions. Je ne m’adresse d’ailleurs jamais à l’auditeur. Elle établit un lien entre moi et la façon dont je me sens. Il y a quelque chose à l’intérieur de moi qui me fait tomber. »

« Papercut », 2001

https://youtu.be/vjVkXlxsO8Q

Dans une interview donnée en 2013 à la radio manilène, Chester Bennington décrivait « Papercut » comme « un marqueur de l’identité du groupe » et sa chanson préférée du répertoire de Linkin Park. L’intro incendiaire de leur premier album Hybrid Theory crée un précédent dans l’histoire du metal nouveau millénium. « Au début, mon but principal était d’apporter le plus de mélodie possible à la musique » explique Bennington. « Le groupe était vraiment très, très bon pour toutes les phases hip-hop et à l’écriture d’une musique rock, mais il n’y avait pas beaucoup de mélodie [avant que] je les rejoigne… Quand on est passés à cette chanson, le refrain était si génial et les mots si cool, que je n’avais pas besoin de faire grand chose au niveau de la mélodie. C’était vraiment génial ; j’ai eu l’impression que la chanson capturait l’identité du groupe. »

« In the End », 2001

https://youtu.be/eVTXPUF4Oz4

Ce titre du vertigineux Hybrid Theory atteindra la deuxième place du classement Billboard – meilleur classement au Hot 100 de la carrière du groupe. Chester Bennington, cependant, a admis plus tard qu’il n’avait pas été convaincu au début. « Je n’ai jamais été fan de « In the End » et, pour être honnête, je ne voulais même pas que le titre apparaisse sur l’album, » a affirmé le chanteur à V Music en 2012. « A quel point j’ai pu me tromper… Mais vous savez, maintenant j’aime bien cette chanson et je pense vraiment que c’est une très bonne chanson. »

« Faint », 2003

https://youtu.be/LYU-8IFcDPw

Le second single de Meteora dissèque, du point de vue de Mike Shinoda à la demande de Chester Bennington, la fin d’une relation : « I can’t feel the way I did before/Don’t turn your back to me/I won’t be ignored ! ». Les ficelles de ses paroles et ses riffs géniaux rendent un effet formidable.

  « Breaking the Habit », 2004

https://youtu.be/v2H4l9RpkwM

Ce morceau est devenu le cinquième single du deuxième album du groupe, Meteora, ce qui permis à l’album d’être vendu à plus de 27 millions d’exemplaires dans le monde entier.

« Numb/Encore » avec Jay Z, 2004

https://youtu.be/DLlF2FMv968

En 2004, Linkin Parke explose un peu plus les frontières du rap et du rock en faisant équipe avec Jay-Z lui-même. Initiallement enregistrée pour une émission spéciale de MTV, la chanson conduira finalement à la production d’un EP intitulé Collision Course, collection de six chansons où les titres de Linkin Park sont accolés aux grands classiques du rappeur. Cet opus deviendra le second EP à avoir jamais été numéro 1 du classement Billboard. Son unique single « Numb/Encore » (nouvelle version du morceau « Numb » de Linkin Park) sera la cerise sur le gateau. Les couplets de Jay-Z résonnent sur un rythme Lo-Fi, et la performance vocale de Chester Bennington – qui évolue entre tendresse et dureté – complète parfaitement cette association. « Il n’y avait aucun problème d’ego lorsque l’on a travaillé avec Jay, » a affirmé Mike Shinoda au micro de MTV News. « Si je lui demandais de chanter quelque chose d’une certaine façon ou de rajouter une ligne ici ou là, il était ravi de le faire. »

  « What I’ve Done », 2007

https://youtu.be/8sgycukafqQ

Pour leur troisième album, Minutes to Midnight, Linkin Park a fait équipe avec le légendaire producteur Rick Rubin, qui a aidé le groupe à quitter progressivement leurs racines nu-metal. Le single principal de cet album, « What I’ve Done » résume bien la nouvelle approche du groupe, se concentrant sur la voix de Chester Bennington pour abandonner l’alternance entre la voix rauque du chanteur et la rythmique de Mike Shinoda. De la vulnérabilité au désespoir, le chanteur explore ses regrets sur une ligne de piano hypnotique. « Nous nous éloignons beaucoup de ce que l’on a pu faire dans le passé, » expliquait à l’époque Chester Bennington.

« Bleed it Out », 2007

https://youtu.be/OnuuYcqhzCE

Ce titre de Minutes to Midnight résume bien le manque de considération de Linkin Park pour toutes les frontières stylistiques en mêlant les couplets rappés de Mike Shinoda aux refrains mélodiques de Chester Bennington. Mike Shinoda expliquait son ressenti à la sortie du morceau au magazine Kerrang ! : « Quand tout s’est finalement assemblé, j’ai dit au groupe ‘Je ne crois pas que quelqu’un d’autre que nous aurait pu faire cette chanson.’ »

« The Catalyst », 2010

https://youtu.be/51iquRYKPbs

« Nous voulions qu’un morceau explique la direction dans laquelle allait l’album et comment il allait fonctionner. Ce titre était le meilleur pour faire ça, » expliquait Dave « Phoenix » Farrell à MTV News. Le bassiste du groupe se justifiait quant à la décision de Linkin Park de sortir « The Catalyst » comme single principal de l’album A Thousand Suns. « C’est un risque, mais cela en vaut la peine. » La chanson rompt clairement avec les sons du groupe des années 2000, en combinant de la synth-pop à des réminiscences industrielles de Nine Inch Nails.

« Burn it Down », 2012

https://youtu.be/dxytyRy-O1k

« Burn it Down » sert d’intro à Living Things (produit par Rick Rubin). Ce titre marque, d’une certaine façon, le retour de Linkin Park à ses premières amours, après le micmac stylistique qu’était son prédécesseur A Thousand Suns. « Dans le passé, nous nous sommes consciencieusement éloignés de ce que nous avions déjà fait. Mais ici, l’énergie est clairement similaire à celle d’Hybrid Theory, » expliquait Chester Bennington à Rolling Stone en 2012.

Christopher R. Weingarten, Hank Shteamer, Brittany Spanos, Suzy Exposito, Maura Johnston, Patrick Doyle / Traduit et adapté par L-C. B.

[beenchantd]

Happy Valentine’s Day everyone! Get ready for all the fluff and Sherlock speaking French! 

Read on AO3

                                                __________________

Johns pushes the front door open, letting out a loud sigh and rubbing one hand over his face. He’s tired, hungry and wants nothing more but to curl around Sherlock and let the exhaustion of the day fade away. He knows there is a high probability Sherlock isn't even home right now, most likely out seeing Lestrade about the case they’ve been working on for the past three days. John shakes his head, smiling as he heads up the stairs. Somehow it feels strangely normal to think he’s going to spend the evening of Valentine’s Day alone at the flat.

It isn’t that they’ve never celebrated it, and John can only remember too well their first Valentine’s Day together. Sherlock had (stupidly) thought John would love something ridiculously romantic and over the top, and after the third romantic cliché, he had made sure Sherlock knew there was only one thing he needed for Valentine’s Day and that it involved a certain detective naked in bed. Ever since, they had celebrated in their own way, not always with a gift but with small gestures and affections.

Heading directly for the kitchen, John calls Sherlock’s name once, twice and only hears silence. Considering sending a text, he goes to put the kettle on and that’s when he finds the first note, right next to his mug. He frowns, immediately recognizing the language but digging into his high school memories to understand what’s written.

J’aime savoir qu’il y aura toujours une deuxième tasse de thé

à remplir lorsque je me l ève le matin.

John catches the words tea and love , but gives up on understanding anything else. Sherlock must be working on some experiment, and it’s not the first time he’s switched to some other language. He stares at the note, waiting for the water to boil, and is vaguely certain there’s also a morning there. He pours himself some tea, careful not to spill any on the note, and gets some biscuits.

The second note is on his chair, and John rolls his eyes as while he sits down. French again, and this time John realises it starts the same as the previous one.

J’aime te voir assis ici quand je joue du violon, tes yeux fermés

et ce sourire  réservé juste pour moi sur tes lèvres.

He fidgets with the notes, staring at Sherlock’s handwriting and trying to guess by the force of his will to decrypt what he wrote down. Violin isn’t hard to understand, and there’s love again. John frowns, moi is me , right? Letting out a loud sigh, John looks around the flat, suddenly wondering if there are more of these notes, and his eyes find the one pinned to the wall above the sofa immediately. He stands up, setting the one still in his hands back on the chair and rushes to the other side of the room.

J’aime le fait que tu restes un mystère.

Un puzzle que je ne résoudrai jamais.

Mystery? Puzzle?

John isn’t so sure about the meaning of these notes again, and tries to remember if Sherlock talked about any new experiments lately. There was the one with the nails, and the one with their bed sheets, but John is fairly certain both were finished already. Sherlock hasn’t mentioned a new one, and certainly not a new one involving so much French.

Love , again. Could this be...

John feels himself smile, something warm spreading throughout his chest, and he scans the living room one more time. There’s nothing on the table or Sherlock’s chair, nothing on the shelf, nothing by the TV. Licking his lips, John tries to put himself in Sherlock’s place. Where would he leave another note? He turns towards the stairs, wondering.

“We never go up there anymore,” he murmurs to himself, but he’s already heading up to his old bedroom.

He finds the note in the center of his old bed.

J’aime me souvenir de notre premier baiser, debout devant ce lit.

Tu te souviens?

Same pattern, but a question this time. John wishes more than anything he could answer, but decides he’ll have to wait a bit longer for that. For now, he has more notes to find, more evidence to gather. He rushes back downstairs, abandoning the notes. He checks the kitchen once more before heading to the bathroom.

The note is taped to the wall.

J’aime quand tu m’embrasses lorsqu’on se douche, quand tu me touches,

quand tu me fais perdre la raison.

“Christ, Sherlock, what are you doing?”

John reaches for his phone and starts a text before stopping. If Sherlock has a plan, it surely doesn’t involve John questioning it. There must be an end to it, and John only needs to play a little longer. Shaking his head, he puts away his phone in his pocket with a laugh. The placement for the next one is obvious, and John feels his heart beat just a little faster as he opens the door to their bedroom.

There is a note, of course, but there is also a small box, and suddenly John finds it much harder to breathe. His hand is shaking as he picks up the note and reads his name on it, finding himself wishing Sherlock was here so he could kiss him for a very, very long time.

John, je t’aime.

Veux-tu m’épouser?

Shutting his eyes tightly, John lets out a small laugh. Christ, where is Sherlock? He’s about to take out his phone again and call him this instant when he hears careful footsteps behind him. Eyes fluttering open, John inhales deeply and sets the note down on the bed again.

“What do you think?” Sherlock asks in a whisper.

John turns around, reading on Sherlock’s face all there is to know, and smiles, “I’m thinking I should have paid more attention in French class.”

Sherlock’s lips stretch into a smile, “Need some help?” He’s still standing in the doorway, and when John nods, he takes a step forward. “I love knowing that there’ll always be a second cup of tea to fill every morning.”

Another step, “I love seeing you sitting here as I play my violin, your eyes closed and this smile reserved just for me on your lips.”

“Just you,” John whispers, and Sherlock’s smile widens.

Another step, “I love the fact that you remain a mystery. A puzzle I will never solve.”

Sherlock is standing in front of him now, and John closes one hand around his coat.

“I love remembering our first kiss, standing in front of that bed. Do you think about it too?”

John nods, laughing again and feeling tears form in his eyes, “All the bloody time.”

Sherlock rolls his eyes but moves closer, his voice much lower as he translates the next note, “I love when you kiss me when we shower, when you’re touching me, when you make me lose my mind.”

John exhales loudly, feeling Sherlock’s own breath against his lips. God, he wants to kiss him. Sherlock remains silent, the final note having yet to be translated, and John pulls him ever closer. He nudges their noses together.

“I think I can deduce the last one,” he whispers against Sherlock’s lips.

“Can you?” Sherlock asks, both of his hands coming up to cup John’s face.

John nods, “I already did, actually,” he smiles. “Truth is, I’ve been thinking about making the same kind of note for a while now.”

Sherlock’s breath catches, pulling away just enough so his eyes can search his face, and John lets all the love and adoration he feels for this brilliant man show.

“You really did,” Sherlock asserts after a few seconds.

John nods again, “I did.”

“Does that mean...you’re saying..” Sherlock’s voice falters, eyes still roaming all over his face, and John pulls him back against him.

“It means I’m going to marry you, Sherlock Holmes,” he breathes against his lips, feeling Sherlock smile before they’re kissing.

Sherlock hums into the kiss, his entire body relaxing into John’s arms. John kisses him harder, parting his lips and letting their tongues meet. It still amazes him sometimes, how different every kiss feels. John smiles against Sherlock’s lips, knowing he will be remembering this one for a very long time.

“John,” Sherlock breathes out when they part, “You never really replied.”

John pulls away to pick up the note, “Read it to me.”

Sherlock stares at him, “John, je t’aime,” he begins, not reading any of the words.

“I love you too,” John smiles.

Sherlock leans for another kiss, lingering for a moment. When he pulls away, he reaches for the box and places it in John’s hand, “Veux-tu m’épouser?”

John holds the box in his hand tightly, realising he might sound ridiculous but finding he does not care as he finally says, “Oui.”

Read on AO3

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Thank you to Heather @astudyinsnoggy for the edits!

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[chlokenail-blog]

Ces derniers temps, les seuls nail arts qui me sont accessibles au quotidien sont ceux sont ceux qui sont les moins chronophages. Du coup je me plaît à chercher de petites décos minimalistes et rapides (mais qui font néanmoins leur petit effet). Et comme récemment Caroline de la boutique Kit-Manucure m’a soumis l’idée de réaliser quelques nail arts pour les fêtes à venir, j’ai sauté sur l’occasion. Je vous emmène donc aujourd’hui pour un petit voyage au fin fond de l’Irlande pour célébrer la St-Patrick ^^.

Je l’avoue, hormis les nail arts que je peux réaliser à l’occasion de cette fête, je n’y connais pas grand chose à la St-Patrick. Mais j’aime l’idée de m’inspirer des symboles de cette fête (notamment le vert et les trèfles) sur mes ongles. Et j’ai eu envie de quelque chose de très doux et pastel cette année.

J’ai donc appliqué Apple Pie de Model Owns (et sa merveilleuse fragrance de pomme <3) en base. Ensuite, avec Winter Bloom (qui va très bientôt retourner chez son vrai proprio d’ailleurs é.è), j’ai grossièrement réalisé des formes de trèfles avec parcimonie sur mes ongles. A cette étape, pas besoin d’être précis puisque l’on détoure ensuite les trèfles en noir pour leur donner davantage de dimension.

J’ai vraiment adoré la simplicité de ce nail art, c’était frais et printanier, parfait pour les beaux jours qui arrivent !

Voilà pour ce bref article :) J’espère que cela vous aura fait plaisir de revoir un petit nail art par ici ;p.

St Patrick’s Day 2017 Ces derniers temps, les seuls nail arts qui me sont accessibles au quotidien sont ceux sont ceux qui sont les…

[lagreenwitch2]

Nine Inch Nails - Self Destruction, Final

Catégorie [x] [x] []

Et sinon, tu écoutes des fois des groupes connus ? OUI !!! Trent Reznor a sa place en mars, bien entendu. S’il y a un album de NIN que j’ai mis longtemps à écouter en entier, c’est bien « Further Down The Spiral » et ’est en partie à cause de ce morceau. Peu importe mon état initial, j’ai, dès la 48ème seconde, envie de balancer des objets par terre. A chaque cycle, la violence (je n’ai pas d’autre mot) me parait plus difficile à supporter. A partir de 6:19, je me vois me taper la tête contre les murs, puis étaler mes boyaux sur le plancher en me roulant dedans et en riant de façon dérangeante. (C’est de la métaphore). Passé les 7:30, c’est une question de seconde (et de survie), je me dois d’arrêter ça.

Et sinon, j’aime ce mec, toutes périodes confondues.

[marinelp]

💕 Happy Valentine’s Day 💕 • 🇫🇷 Hello par ici ! Vous allez bien ? Même si on ne fait rien de spécial pour la Saint-Valentin, j’aime bien faire un petit quelque chose sur mes ongles pour l’occasion 😊 Cette année, comme vous l’avez vu sur mon post précédent, j’ai été inspirée par le parfum Candy Love et j’ai opté pour un nail art negative space à base de cœurs avec un stamping @peggysageofficial ! L’article complet est en ligne sur le blog (lien dans ma bio ou story) ☺️ Vous aimez ? Vous faites quelque chose pour la Saint-Valentin ? Bonne soirée 💘 • 🇬🇧 Hello! How are you? Even if we don't really celebrate Valentine's Day, I like to do a little something on my nails for the occasion 😊 This year, as you saw on my previous post, I was inspired by the Candy Love fragrance and I opted for a negative space heart nail art with a @peggysageofficial stamping! The full post is online on my blog (link in my bio or story) ☺️ Do you like it ? Are you doing something special for Valentine's Day? Have a nice evening 💘 • #peggysageofficial #heartnails #notd #nailart #uñas #marinelovespolish #instanails #nailitdaily #nailsart #nailsofinstagram #naildesign #nails2inspire #ignails #nailstagram #nailpromote #nailswag #nailartwow #manicura #esmalte #nailpolish #thenailartstory #nailartstylist #nailartheaven #nailrusecret #valentinesdaynails #vdaymakeup prsample/collaboration https://www.instagram.com/p/CLSGNTwAaMD/?igshid=1bzan5auuvg2v

[ongleshorslaloinails-blog]

Mise à nue!

Mise à nue! Dans mon monde à moi, il y a des souris qui rongent mes ongles la nuit et grugent mes cuticules.

Êtes-vous comme moi? Une rongeuse experte en la matière ? On dit de nous que ce n'est pas beau, que cela est dû à l'anxiété, un tic inesthétique.. Alors, je m'assume! Oui, je suis cette souris féroce qui fait de mes ongles un jardin à grignoter! Mes doigts saignent parfois, ils sont meurtris, ils font mal, mais cela est plus fort que moi, hélas!

Conséquemment, j’ai eu un terrible panaris il y a quelques années. Aouch! Cette infection était si importante que j'ai dû me rendre à la clinique. Le médecin a tenté d’injecter à trois reprises un analgésique dans mon pouce infecté, mais savez-vous que l’analgésie ne fait aucun effet lors d'une infection? J'ai donc serré les dents et le médecin a littéralement ouvert mon doigt avec un scalpel! (À mon souvenir, cela a fait moins mal que certains de mes tattoos.) En toute confidence, je n’étais pas très féminine avec ces extrémités ensanglantés. Mes doigts ressemblaient littéralement à des mégots de cigarettes! Heureusement, la pose d'ongles a sauvé non seulement mes ongles naturels mais aussi mon estime en tant que femme. Bien que je n'aime pas me maquiller ni me coiffer minutieusement sauf pour des occasions spéciales, mes ongles sont devenus mes bijoux, la signature de ma féminité, et le miroir de ma personnalité authentique et complète!

Certains d'autres nous pensent encore que les souliers indiquent le reflet miroitant d'un individu! En vérité, les mains sont-elles que le juste prolongement de l'âme. Quelle femme n'adore pas regarder les paluches d'un homme? Elles sont puissantes, protectrices et travaillantes! Pour moi, les mains d'un homme est pratiquement un attrait sensuel. Qu'en est-il alors des délicates menottes d'une femme? Pour vous messieurs, elles peuvent caresser, briller, mais fondamentalement, elles honorent sa féminité unique et radieuse!

Enfin, je peux maintenant oublier cette fillette souffrante du syndrome des souris grignotant ses ongles. Depuis ma découverte du Nail Art, j’aime mes mains aujourd’hui. Elles sont moi, cette nouvelle femme mise à nue, mais qui, fidèle et loyale, s’abandonne qu'à un seul homme aux paluches authentiques à son être!

Viviane Thibault-Liboiron

Ongles Hors-la-loi Nails

#nudenails #nailartiste #antiblognails

[uniquebirdprince]

Découvrons Diane Garance, merci d’avoir répondu aux questions !

Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je suis Marie F chroniqueuse sur « La voix littéraire » Etes-vous prêt(e) à passer aux questions ? Présentez-vous un peu avant de répondre.

Mon nom de plume est Diane Garance, j’ai 43 ans, mariée et heureuse maman d’une fille et d’un garçon. J’habite en région Lyonnaise avec ma tribu, sans oublier le chat. Indispensable pour écrire un bon roman !

Mon métier dans l’industrie est à des années lumières de l’écriture, mais me passionne tout autant.

Dans la vie j’aime partager avec les gens. Et l’écriture est justement un formidable outil de partage. De nature joyeuse et prête à toujours relever de nouveaux défis, je me suis lancée à la conquête de la comédie policière.

1) Comment vous est venue l’envie d’écrire ?

Depuis de nombreuses années, je cherche à écrire un roman. En bonne lectrice, je me suis souvent dit que j’aurais pu écrire moi-même ce que j’étais en train de lire. Et puis un jour, j’ai lu le livre déclencheur, celui qui ne se terminait pas comme j’en avais envie. Alors, j’ai décidé de me lancer. Pendant plusieurs semaines j’ai tâtonné, car je n’avais pas d’histoire à raconter. Et puis un jour, au cours d’une discussion avec mes enfants, les choses se sont mises en place toutes seules dans mon esprit. J’avais mon idée !

2) Quels genres de livres écrivez-vous ?

Dès le départ, j’ai eu envie d’écrire quelque chose de drôle. J’ai donc opté pour la comédie policière qui inclus le côté enquête et aventure qui me plaisent.

3) Parlez-nous un peu de vous, avez-vous d’autres passions ?

Je suis une passionnée dans la vie. Dès que je trouve une activité qui attise mon intérêt, je me lance à fond dedans. C’est comme ça que je suis passée du sport aux créations de bijoux en perles, de la danse au nail-art. Mais l’écriture a été une vraie révélation pour moi. Depuis, les idées d’histoires se bousculent dans ma tête et je ne sais pas si j’aurais assez d’une vie pour toutes vous les raconter.

4) Lors de votre premier livre publié, comment vous êtes senti ?

Mon premier roman : Lucia : les diamants au paradis est sorti il y a seulement quelques semaines. Le 1er avril 2020 exactement. Je trouvais la blague drôle. Ce jour-là je me suis sentie un peu fébrile à l’idée que mon travail pouvait ne pas plaire et décevoir des lecteurs. Mais pour le moment, tous les retours sont très positifs, ce qui me touche énormément.

5) Quels sont vos coups de cœurs ?

Mes coups de cœurs ? Littéraires ? Parmi mes lectures de 2020, j’ai beaucoup aimé les romans de Naëlle Charles (Bigoudis et petites enquêtes), Anna Kessou (L’étrange pension de Mrs Scragge), Sylvie G (Pistolet et hauts talons).

6) Avez-vous déjà fait des salons du livre ? Si oui, comment ça s’est passé ?

Je n’ai pas encore fait de salon du livre et ne sais pas si je suis prête à franchir le pas. J’aime cet anonymat qui permet aussi aux lecteurs de s’imaginer un peu ce qu’ils veulent concernant l’auteur qui se cache derrière l’histoire.

7) Quel a été votre rêve le plus étrange ?

Il fait nuit, une ombre passe derrière la fenêtre de la chambre. Je me lève et fait le tour de la maison pour la suivre, mais c’est elle qui me suit. À chaque pas que je fais, elle avance… Je m’arrête, elle s’arrête… Du coin de l’œil je repère une arme pour me défendre, ma pantoufle ! Oui, une pantoufle ! Bien placée elle peut être redoutable. Je tends le bras, l’air de rien, la prends discrètement en main. L’ombre ne bouge pas, mais je sens sa présence derrière moi. Prenant mon courage à bout de pantoufle, je me retourne d’un coup, lève mon arme, prête à en découdre. C’est mon mari ! Il est mort de rire à me voir avec mon pauvre chausson à la main. Tout ceci n’est pas vrai bien sûr . Je ne me rappelle malheureusement jamais de mes rêves et n’avais pas mieux comme réponse.

8) Avez-vous un moment dans la journée, où vous vous sentez le mieux pour écrire ?

J’écris beaucoup la nuit lorsque tout le monde dort et que le temps m’appartient. Par contre, comme je n’ai pas de souci d’inspiration, dès que j’ai même seulement cinq minutes devant moi, je suis capable d’écrire une ligne, un paragraphe, une page.

9) Avez-vous un grigri ?

Évidemment ! J’ai mon p’tit chat d’amour, mon british bleu.

10) Sortirez-vous d’autres livres ? En avez-vous déjà sorti, si oui lesquels ? Parlez nous en un peu plus.

Je termine actuellement l’écriture du tome 2 des aventures de Lucia. Il paraîtra probablement courant juin 2020. Le tome 1, Lucia : les diamants au paradis est une comédie policière en 3 romans. Elle raconte les tribulations d’une apprentie enquêtrice qui découvre le métier malgré elle tout en se basant sur ses souvenirs des séries policières des années 80 pour avancer dans ses recherches. J’ai voulu ces romans légers, drôles et divertissants pour que le lecteur passe un moment agréable et oublie les soucis du quotidien le temps d’une lecture.

11) Votre entourage sait-il que vous écrivez ? Si oui, comment ont-ils réagi ?

Mon cercle proche sait que j’écris depuis le premier jour. C’est grâce aux encouragements de mon mari et de mes enfants et à la mise en place d’une organisation différente à la maison que j’ai pu écrire aussi vite. Ma tante m’accompagne dans mes relectures au fur et à mesure que j’avance, elle est donc très impliquée et je lui en suis reconnaissante. Toutefois, une partie de ma famille n’est pas au courant de mon activité, au même titre que je ne connais pas forcément leurs hobbies ou talents cachés. 

12) Résumez en une phrase votre parcours :

Mon parcours est simple, il se résume en trois mots : autodidacte sans barrières.

13) Lisez-vous, si oui quels genres ?

Je lis beaucoup, mon record, 20 romans en un mois. J’aime les policiers, feel-good, développement personnel, suspense et sociétés secrètes.

14) Ebooks ou livres papiers ?

J’aime les deux, mais ces derniers temps, l’e-book est devenu mon préféré. Grâce à lui, je peux lire la nuit et partir en vacances sans surcharger ma valise. 

15) Votre gourmandise préférée ?  

Ma gourmandise : le mi-cuit au chocolat noir. Hummmm, avec le cœur qui coule. Et voilà ! J’ai envie d’en manger un, c’est terrible !

Merci d’avoir répondu à mes questions. Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Merci beaucoup pour cette interview, j’ai passé un agréable moment à répondre aux questions. Avant de nous quitter j’aimerais vous faire part de ma devise de vie : ” si quelqu’un dans le monde peut le faire alors moi aussi ! “

Ne laissez jamais tomber vos rêves.

Merci Marie F chroniqueuse d’avoir proposé de m’interviewer et merci à toutes les personnes qui ont pris le temps de me lire.

Interview#36 Diane Garance Découvrons Diane Garance, merci d’avoir répondu aux questions !

[vlisk]

Khloé Kardashian - Elle se fait critiquer pour avoir de trop longs ongles

Khloé Kardashian – Elle se fait critiquer pour avoir de trop longs ongles

Le nail-art est une marque de fabrique chez la plupart des Kardashian-Jenner. Khloé Kardashian est peut-être en tête de gondole. «J’aime les ongles longs. Ils me donnent de l’énergie», déclare-t-elle dans un épisode de «L’incroyable famille Kardashian». Mais certains de ses abonnés sur Instagram doutent de sa capacité à prendre soin de sa fille True avec une telle manucure.

Samedi, Khloé a posté…