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#insomnie que faire
emrysmilan · 11 months
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ça fait deux jours je suis triste, je viens de me rendre compte que j'ai rien fait qui m'apporte de la dopamine, OMG NEED
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e642 · 5 months
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J'ai pas dormi de la nuit. Pas trop de nouvelles de mon copain, il devait rentrer ce soir de vacances et on devait se voir demain. Mais je sais pas je sentais qu'un truc se tramait. Pour pas m'auto gâcher la surprise je fais juste une insomnie sur d'autres sujets existentiels. Ce matin je vais donc au partiel, je me fais détruire comme prévu (j'aimerais bien avoir 8 mes critères sont si bas depuis que jsuis à la fac c'est fabuleux). Je sors de l'enfer et il me bombarde d'appels. Il m'appelle souvent après chaque partiel pour avoir mon ressenti (j'apprécie ça). Et jlui dit "ouais je réponds plus tard je discute avec les meufs du groupe". Bon à un moment donné ça m'a saoulée et jsuis partie, mais genre ça a duré 30 min de discussion stérile à propos des réponses de chacune (je déteste les debrief, c'est se mettre du sel dans la plaie tout seul). Je rentre un peu saoulée et il me re appelle. Donc je décroche, il me demande si ça a été, la basique. Et il me dit "purée il fait grand soleil". Moi jlui dis "c'est bizarre il fait pas beau au 3/4 de la France". Et là je capte doucement. Du coup jlui rep "après à nice c'est vrai qu'il fait très très beau aussi". Eh il rigole. Long silence et il me dit "qu'est ce qu'il te va bien ce pantalon vert purée, ça te fait un de ces culs". Et là je capte vraiment. Jle cherche, il était derrière moi. Omg trop heureuse. Mais jvous qu'il a pas d'affaires jme dis bizarre. On rentre, la vaisselle est faite, mes habits sont pliés, un gros bouquet de fleurs, les courses sont faites, et ses affaires sont dans mon appartement. En fait, le mec a tracé paris-nice de nuit, et il a attendu que je parte en partiel pour s'installer et m'attendre. Non en vrai dinguerie. Ça m'a fait tellement plaisir. Je le vois changer et faire mieux et être capable et c'est vraiment plaisant. J'ai de la chance qu'il ait fait ça. Voilà je suis reconnaissante. Et je me pose moins de questions concernant une rupture. Mais pas juste grâce à aujourd'hui, grâce à quelques semaines où il se montre capable d'avoir une relation mature avec un autre être humain, moi en l'occurrence.
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cruelviolence · 2 months
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Insomnie mélancolie
C’était un soir où je m’allongeais sur mon lit
Il était vingt-deux heures du soir
Je rêvais de ma propre mort
En laissant mes démons me faire marcher dessus
Ils étaient heureux que je n’existais plus
Car pour eux j’étais une merde qui ne réussira jamais dans sa vie
Les mots blessants sont restés gravés dans ma mémoire
Comment penser à sa propre mort en étant si jeune ?
Pourquoi se détruire nous-mêmes alors que c’est nous les victimes
C’est tellement horrible de se sentir comme inutile dans sa propre vie
Je n’ai plus jamais refait ce rêve et heureusement que ce n’était qu’une fois
Ce rêve m’avait fait peur mais il m’a fait comprendre que si je mettais fin à ma vie mes démons gagneront la bataille
Je ne sais pas si je suis une bonne ou une mauvaise personne
J’ai tellement des doutes sur moi que j’essaie encore de me chercher et trouver ma lumière
Je veux détruire l’ancienne moi qui ne savait pas se battre et ni se défendre
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perduedansmatete · 26 days
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avant hier je me suis endormie à 11h (du matin évidemment) (mais pour une bonne raison on jouait à un jeu hilarant) hier à 5h et là il est bientôt 3h, je sais pertinemment que ça ne viendra pas alors que je voulais me lever tôt pour faire des trucs de ma journée demain bref super (mais pendant mon insomnie hier soir j’ai pensé à prendre rendez-vous pour dire que c’est plus possible à ma médecin mdr)
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lisaalmeida · 10 months
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Mon amour...... ❤️
Je voudrais t'écrire ta vie, une chanson, une poésie.
Vivre de tes éclats de rire, tes joies, tes "je t'aime", tes craintes, tes insomnies.
Malheureusement, je n'ai aucun de ces talents à te donner ou à t'offrir, pourtant mon cœur est prêt, et mon amour est pur et robuste.
Alors donne-moi ma chance en m'accordant cette danse.
Pour que je puisse te faire tourbillonner dans cette délicate symphonie d'amour, et te prouver à jamais que c'est bien moi l'amour que tu attendais...
Jj
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tealviscaria · 11 months
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Orelsan "J'veux jamais te faire de mal pourtant, j'le fais quand même / C'est comme ça, j'finis toujours par détruire ce que j'aime" (Déchiré)
vs
Salieri "J'ai voué ma vie et mes insomnies par dépit aux requiem / La désharmonie a tué tout ce que j'aime" (Debout les fous)
Fight
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selidren · 5 months
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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jezatalks · 7 months
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J'ai été dans 1 hôpital et 1 clinique aujourd'hui.
Je voulais simplement faire une visite de contrôle et trouver des solutions pour mes insomnies/vertiges/nausées etc.
1er hôpital le matin, j'y passe 3 heures pour qu'ensuite on m'aide à prendre un rdv dans une clinique. Car l'hôpital à côté de chez moi est trop spécialisée et moi il me faut plutôt une clinique pour la médecine plus "générale"
J'y vais l'aprèm. Je remplis des papiers.
Comme pour le matin ils sont perplexes de ma carte de sécurité sociale avec mon adresse d'Okinawa (car j'ai payé toute ma secu jusqu'à fin mars quand j'étais à Okinawa). J'ai bien dit que je connaissais les tenants et aboutissants vis à vis de la secu etc.
J'ai vu un médecin. J'ai ré expliquer mes symptômes. Et je passe une IRM (la première fois de ma vie. C'était étrange.) J'ai du retirer tous mes piercings et je me sentais nue :((
Donc résultat j'ai rien au cerveau. (Tant mieux). Je repars avec des plantes en poudre pour le mal de tête et des cachets de mélatonines pour m'aider à dormir.
Le personnel était super sympa et celle qui avait le traducteur m'a même rempli le papier pour retirer mes médicaments à la pharmacie ;^;
Au total ma consultation m'a coûté 39€40 (je sais pas s'ils ont pris en compte les 70% remboursés par la secu) et mes médocs 4€43.
J'y retourne jeudi prochain pour une visite de contrôle.
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satinea · 10 months
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JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non immédiats, c'est salubre en dépit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille  
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver 
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre 
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados 
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture 
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste 
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud 
Faire la grasse matinée après une longue insomnie 
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective 
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets 
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie 
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin 
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds 
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine 
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie 
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant 
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur 
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère 
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort 
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur 
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e642 · 5 months
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Hier aprem j'ai fait une crise d'angoisse j'ai fini en larmes devant mon mec. Ça ne m'arrive jamais quasiment du fait que j'essaie toujours d'avoir le contrôle et de pas montrer une facette de moi qui pourrait me décrédibiliser. Bon, c'est raté du coup mais peut-être que c'était nécessaire. En effet, tout est parti d'un "viens on va faire du trampoline avec mes potes pendant 2h" un samedi en heure de pointe (plein de gens) pendant ma période de pseudo révision. J'étais déjà angoissée du fait d'aller le voir et savoir que je réviserai peu, mais en plus, je voyais cette activité comme une nuisance à ma possibilité de travailler et à mon angoisse qui commençait à grandir. Donc j'ai dit que je voulais pas y aller mais je voulais pas vraiment m'ouvrir et dire que j'étais morte de trouille pour les partiels, que j'étais crevée du fait des insomnies et angoissée de tous les gens qui seraient autour de nous. Il m'a dit, en premier lieu, que j'étais pas cool et égoïste car j'avais pas vraiment d'arguments si ce n'est "j'ai pas envie c'est comme ça". Et il a forcé. Il m'a dit que je me cherchais des excuses alors que dans ma tête c'était clair que c'était légitime. J'ai redit que je voulais pas mais que s'il my forçais alors je viendrai. Et déjà je l'ai vu compréhensif, il m'a dit que dans cet état ça servait à rien etc mais il a ri à la fin de sa phrase. Ça m'a fait exploser. J'lui ai dit que j'essayais de m'ouvrir et qu'il me riait ouvertement à la gueule et là impossible de m'arrêter. J'ai débité 10 min que j'étais fatiguée, que je dormais mal, angoissée à mort par le monde, l'impression de rien faire, de pas avoir travaillé, que mes partiels étaient dans 1 semaine et que je faisais déjà le "sacrifice" de venir et que lui ne faisait pas l'effort. Et là, il a commencé à comprendre. J'ai vu qu'il a fait des efforts pour comprendre qu'on avait pas les mêmes vies, ni les mêmes seuils d'angoisse et de stress, ni les mêmes gestions émotionnelles. Alors il m'a rassurée. J'avais proposé plus tôt de lui laisser la possibilité d'y aller seule pendant que je réviserai. Il m'a demandé si j'étais sûre que ça ne me ferait pas de peine, ni d'impression de rejet qu'il parte s'amuser alors que je venais de faire une crise d'angoisse et j'ai trouvé ça attentionné. Ce genre de moment, ça me fait dire deux choses: step by step, je le vois changer et comprendre un peu, et aussi que même si ça devrait être un automatisme et intuitif sa réaction, si personne ne lui a jamais dit comment faire ni que je m'ouvre, alors je dois aussi m'adapter et ne pas entièrement lui jeter la pierre à la gueule. Voilà, c'était la mini avancée de notre couple. Je ne sais plus ce que je pense à son propos, ça reste quelqu'un d'important.
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taryanquotes · 9 months
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Je sais pas trop par où commencer... Mon copain a eu un accident.
C'était lundi 8 janvier. Trafic contre voiture. Le trafic a gagné.
Les pompiers ont mis presque 2h à le sortir de la voiture. J'entends encore ses hurlements au moment de le sortir... Ils résonnent dans ma tête quand je ferme les yeux.
Bilan : fémur et nez cassé. Il a eu tellement de chance.
Je suis aller voir la voiture à la casse... J'ai eu des sueurs froides rien qu'à regarder la carcasse difforme. Comment peut-il avoir eu si peu de dégâts ? Une bonne étoile sûrement.
J'ai d'abord cru ne plus jamais le revoir. Puis j'ai cru le voir amputé. Et finalement plus de peur que de mal. Néanmoins, la convalescence va être longue et pénible.
Trois jours post-opératoires le revoilà déjà chez lui à gambader avec son déambulateur à faire des aller-retour entre la table, le fauteuil roulant et les toilettes.
Il fait des progrès de dingue :
Mardi : crise d'angoisse par peur de bouger, incapacité à se lever, nuit très difficile.
Mercredi : dors mieux, se met debout, fait deux aller-retour dans le couloir, mais très affaibli après chaque marche.
Jeudi : est moins fatigué par la marche, bilan nickel, peu rentrer chez lui, mange mieux.
J'appréhende le moment où les progrès stagneront et où le mental deviendra la seule chose qui le poussera car il ne faudra pas abandonner.
Et moi dans tout ça ?
Panique, crises d'angoisse, insomnies, perte d'appétit, etc... J'ai l'impression d'être un fantôme. Je ne suis pas retourner en cours depuis l'accident, j'en suis incapable. J'ai l'impression qu'à tout moment une autre catastrophe va arriver...
J'ai de plus en plus de mal à me contenir, à rester calme, à ne pas craquer devant lui. Je ne veux pas me plaindre, je ne veux pas pleurer alors qu'il est en vie. Mais c'est compliqué car je me sens à l'écart : visites à l'hôpital compromises car je ne suis pas de la famille, je ne peux rien faire pour le soulager, je suis nerveuse pour le moindre truc donc je fais des boulettes plus ou moins grave, je suis maladroite à souhait... J'ai l'impression d'être fasse à une épreuve pour laquelle je n'ai pas les épaules...
Alors de jours en jours j'essaie de prendre mes marques, de faire attention à chaque geste, chaque mot. J'ai peur de le gêner, de le déranger, de lui faire mal. J'ai peur la nuit, qu'il se réveil en crise de douleur, qu'il s'étouffe, que je ne puisse rien faire. J'ai peur la journée, qu'il me repousse car je parle trop, car je plaisante trop, car je lui fais mal, car je fais mal les choses. J'ai peur constamment.
J'aimerai être plus forte que ça.
- 11.01.2024 -
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swedesinstockholm · 11 months
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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professeur-stump · 2 months
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On invente des déchets
On fabrique du plastique, de l'acier, du carton. On invente des déchets. C'est ça, l'industrie régnante, la grande aventure de l'industrie : c'est ne plus savoir ce qu'on fait et que cela ne mérite pas le temps de le faire, et c'est persuader les autres qu'il faut le faire encore plus, huit heures par jour, huit siècles par heure. Le monde industriel c'est le monde tout entier, une fable noire pour enfants, une mauvaise insomnie dans le jour. La présence de l'argent y est considérable, autant que celle de Dieu dans les sociétés primitives. Elle irradie de la même façon. Elle gouverne le mouvement des pensées comme celui des visages. Ceux qui commandent la servent. Ils dépensent leur temps sans compter. Ils croient travailler quand ils ne font que jouir.
(Christian Bobin, Celui qui ne dort jamais, La part manquante, 1989)
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kiliklarsmeyrin · 8 months
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Ah que coucou !
Je remercie parfois mes insomnies qui me font découvrir de très jolis tumblr, ta patte graphique est tellement belle, un réel coup de cœur pour tes crackship **
Est-ce que tu penses pouvoir faire des crackships d'Antonia Thomas et Michiel Huisman ? Ce serait vraiment formidable. Je te remercie infiniment et bonne journée/soirée ❤️
Bonsoir, bonsoir !
Merci d'être passé par ici, j'apprécie beaucoup tes compliments qui me font très plaisir, vraiment. J'espère que ma contribution te fera autant plaisir, merci de ta confiance en tout cas ! ♥
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maddogsociety · 5 months
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Vraiment les insomnies c'est un enfer.
J'ai du réussie à m'endormir vers 6h puis mon copain est rentrer du taff vers 6h30 donc ça m'a réveillé. Il est 8h je suis claquée sa mère. Faut que je sois à 10h sur Strasbourg.
Je voulais me faire un ciné mais je crois ça va pas le faire. Bref. Bref. Bref. Encore une belle journée en perspective. Faudrait que je me bouge si je veux pas louper mon train. J'adore courir de partout quand je suis cher fatiguée. Ahahahaha 🤡
Breeeef
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