#ils ont même pas fait de coalition
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gay-impressionist · 5 months ago
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LES REPUBLICANS SONT ARRIVÉS 4e AUX LÉGISLATIVES ET C'EST EUX QUI ONT LE POSTE DE PREMIER MINISTRE ???
ENVIE DE HURLER
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lepartidelamort · 3 months ago
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Le régime rend obligatoire le dépistage de la drépanocytose pour les nouveau-nés blancs.
Le régime a décidé de casser le thermomètre du remplacement racial.
Cette décision n’a aucun sens médical puisque les nouveaux-nés européens – les Blancs donc – ne sont pas affectés par cette maladie.
Vidal :
La drépanocytose touche essentiellement les personnes qui ont des origines africaines, antillaises, maghrébines, moyen-orientales ou indiennes. Les personnes issus de certains pays méditerranéens (Grèce, Sicile) sont également concernés par cette maladie, quoique moins fréquemment.
On l’ignore trop, mais la Sicile et la Grèce ont eu le déplaisir de tomber aux mains des violeurs afro-musulmans.
La Sicile a été occupée pendant 250 ans par les racailles avant d’être délivrée par quelques dizaines de Nazis originaires de Normandie dirigés par Roger de Hauteville, un redoutable skinhead d’origine viking.
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Si vous connaissez Coutances, les fascistes ont installé une statue à sa gloire sur la cathédrale.
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En Grèce, le pays a croulé sous les vendeurs de kebabs pendant 400 ans avant d’être libérée par une coalition de suprémacistes blancs composés de Russes, de Français et d’Anglais.
Hélas, les violeurs d’Anatolie étant ce qu’ils sont, si l’administration turque a déguerpi sans demander son reste, il en va différemment de la génétique qu’elle avait emmené dans ses caravanes.
Pour en revenir à ce dépistage, cela fait des années que le régime tremble devant la légitime utilisation des résultats par les médias qui s’opposent au remplacement de population.
Évidemment, d’après le système, c’était du « délire ».
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Cette décision, dix ans plus tard, démontre que ce n’était pas si délirant. Le système préfère dépister inutilement les nouveaux-nés blancs plutôt que de laisser ces chiffres officiels circuler. Après tout, les statistiques ethniques ne sont pas interdites pour rien en France.
Nous n’aurons plus de belles cartes de cette politique effrayante poursuivie en secret par le système.
Nous vous proposons donc les derniers chiffres, ceux de 2022. Le total des nouveau-nés dépistés en France s’élève à 47,2%.
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Il était de 45,8% en 2021 :
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En 2015, sur la base des chiffres disponibles, l’institut Polémia avait proposé une anticipation. Il prévoyait 46% de naissances non-blanches en 2021 et 50% en 2024.
Nous étions un petit plus conservateurs et proposions plutôt 2027 comme année de bascule théorique, à raison d’une augmentation moyenne de 1% par an.
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Certains sceptiques déclarent que dans diverses maternités les dépistages sont systématiques. Cela peut arriver, mais, comme on le constate, cela ne peut expliquer les disparités entre les régions sur une même année. En 2022, la Bretagne affiche par exemple un taux de 14,6% contre 36,2% dans le « Grand Est ».
Cela n’explique pas davantage l’augmentation marginale, mais régulière, de ce dépistage d’une année sur l’autre. Ainsi la Nouvelle Aquitaine passe de 19,5% de nouveaux-nés dépistés en 2021 à 21,4% en 2022.
Enfin, cela n’explique pas davantage l’explosion générale constatée sur les 20 dernières années. La Bretagne est ainsi passée d’un taux de dépistage de 3,47% en 2005 à 14,6% 19 ans plus tard.
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Les cas de dépistages systématiques peuvent sporadiquement se retrouver dans les villes où le remplacement racial est si avancé que les maternités s’y embarrassent de moins en moins à distinguer la petite minorité de naissances blanches de l’énorme cohorte marron. Le personnel médical allogène doit d’ailleurs pester en interne contre ce qu’il doit percevoir comme un « privilège » accordé aux gwers maudits.
Peu importe ce point de détail, le tableau général demeure et il est laid, laid comme le faciès d’un groïde fraîchement déféqué par sa négresse de mère.
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Sauf bouleversement imprévu, en atténuant les projections de Polémia, on peut estimer, avec une relative assurance, que d’ici à 2030 la moitié de la natalité en France sera non-blanche.
D’ici à 2045, ce sera les deux tiers.
Comme souvent évoqué dans notre média, la disparition progressive des boomers d’ici la décennie 2030-2040 va brutalement assombrir les rues. Les villes françaises de plus de 50,000 habitants seront quasiment toutes à majorité non-blanche.
Nous projetons une France à majorité non-blanche d’ici les années 2050-2060, c’est-à-dire d’ici 30 ans. Mais ce n’est là qu’une projection globale.
Géographiquement ou générationnellement, le basculement aura partiellement lieu avant.
Précisons aussi que si la ventilation des Afro-musulmans est la politique de l’État depuis Manuel Valls, la densité reste un facteur important. Tous les points rouges de cette carte seront des zones à minorité blanche bien avant 2060. Les zones bleues seront relativement moins touchées par le remplacement racial.
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Ici, nous défendons le principe du séparatisme ethno-territorial, un véritable blasphème dans un pays façonné par deux siècles d’unitarisme jacobin.
Cette idée, quoique loufoque pour 99% des Français en 2024, deviendra une évidence d’ici 20 ans, au plus tard.
Une part croissante des Blancs ne voudra pas vivre à proximité des quelques 30 millions d’allogènes galvanisés par l’islam et dévorés par la soif de revanche raciale que leur avant-garde exprime déjà partout dans les médias.
Le racket fiscal au profit des masses parasitaires à peau sombre induit par le maintien d’un état unique poussera de plus en plus de Blancs à vouloir mettre un terme à l’expérience, directement ou indirectement.
Notre proposition d’un ou plusieurs états blancs est non seulement souhaitable, inéluctable, mais réalisable. Une comparaison avec l’état israélien en donne une idée.
Si un tel état factice peut exister au milieu d’un océan islamique, il n’y a pas de raison pour qu’un état blanc existe sur le territoire de la France actuelle.
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Bien sûr, par principe, il faudrait expulser tous les allogènes, de gré ou de force. C’est d’autant plus souhaitable que c’est d’une grande facilité, mais à une condition : la volonté.
Concentrés dans toutes les villes de France, majoritaires dans un certain nombre de départements, voire de régions, une entreprise de reconquête territoriale généralisée nécessiterait en premier lieu une base étatique racialement homogène et racialement et politiquement consciente, instrument d’une force blanche déterminée à reconquérir et nettoyer l’ensemble du territoire français.
Le premier obstacle est la masse de traîtres blancs qui, pour diverses raisons, entend se ménager une cohabitation avec les allogènes. Ils sont l’ennemi prioritaire. Ce n’est pas cette république, fût-elle aux mains d’un parti de droite anti-immigration, qui pourrait le faire. Il est illusoire d’imaginer que l’État français, déjà très affaibli, puisse maintenir son unité politique et administrative sous l’effet du remplacement de population et de l’inévitable résistance autochtone qu’il nourrit par contrecoup avec en plus une bourgeoisie acquise à la capitulation.
La paralysie du système démocratique est déjà manifeste, avec la formation à l’assemblée « nationale » de blocs politiques implicitement raciaux qui n’ont aucune possibilité de compromis, mais mutuellement paralysés grâce au jeu de bascule de la bourgeoisie logée au centre.
Cela implique rien de moins qu’une révolution ethno-séparatiste sur des bases idéologiques nouvelles. Du noyau étatique ainsi formé, se réaffirmerait progressivement l’autorité blanche sur l’ancienne France. Cela prendrait du temps, mais avec une volonté et un programme, les moyens technologiques le permettraient à terme.
Tôt ou tard le point de bascule sera atteint et l’État se désagrégera. Il pourra perdurer fictivement sur une carte, mais dans la réalité il sera éclaté en régions ethniques dominées par une majorité ethno-religieuse.
Comme le Liban.
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C’est la recomposition ethnique, territoriale, étatique qui fera suite à la défaillance de l’État français actuel qu’il faut d’ores et déjà anticiper. Dans un pays où l’État a créé la nation ex nihilo, les Français n’en prendront pas l’initiative. Il doit d’abord se décomposer dans les faits. Ce n’est que lorsque l’État ne pourra plus endiguer les assauts organisés des structures ethno-criminelles allogènes que ce scénario se matérialisera.
La disparition des boomers jouera un rôle important dans l’accélération de ce processus démographique et politique.
Nous faisons ici un énoncé. Dans la pratique, ce sera le résultat de chocs violents, d’affrontements ouverts et larvés, de soubresauts. Mais cela aura lieu et mieux vaut en avoir conscience dès à présent.
Démocratie Participative
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dooareyastudy · 5 months ago
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hello , tu veux bien nous faire une petite récap politique s'il te plaît de la situation de ce qui s'est passé ?
Macron a fait du Macron, comme on pouvait s'y attendre.
Le fait de se présenter comme "garant de la stabilité des institutions" est une pure blague quand c'est lui-même qui a déclenché les élections anticipées qui ont ouvert la porte à une instabilité politique.
On peut critiquer le fait qu'il nomme un PM de droite alors que LR fait un score risible tant qu'on veut mais c'était naïf de penser qu'il nommerait un PM de gauche au regard de la politique qui est la sienne depuis le départ et de sa pratique des institutions qui indique bien qu'il ne souhaite pas partager son pouvoir de décision.
D'autant plus que, comme on l'a souvent rappelé récemment, le régime parlementaire fonctionne par coalition : il a réalisé sa coalition, avec la famille politique la plus proche de la sienne c'est-à-dire la droite. Il a même visiblement réussi à obtenir l'aval de l'extrême-droite pour le moment : belle coalition des droites !
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maaarine · 7 months ago
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Yo Marine,
Avec le brun que c'est devenu en France, je me résous à quitter Lille pour la Belgique prochainement. (Bruxelles)
Du coup, je voulais connaître un peu la météo qu'il y fait malgré le merdier fachiste dans lequel l'Europe se replonge. Est-ce que les Belges ont les reins solides pour esquiver la fièvre qui se propage ?
C'est comment dans la région de Bruxelles en termes de couleurs politiques ?
Non parce que chez nous, depuis le renforcement des nazis à l'hémicycle, ça devient encore plus invivable dans la société civile pour certains, même pour les happy fews qui sont préservés en temps normal.
Du coup bah, flemme de souffrir et de contribuer pour un pays de bouffons, je me dis que les Français ont choisi leur destin politique, et si ça consiste à motiver une partie d'entre eux à se casser, eh bien les infidélités avec mon voisin sont permises plus que jamais.
De ton point de vue, est-ce que la situation est préférable en termes d'hygiène politique ? Si tu ouvres ton troisième œil, est-ce que tu vois se profiler des flirts contre-nature avec des formations abjectes pour les prochaines années ?
Un état des lieux en provenance de l'intérieur est le bienvenu, merci peut-être pour ta coopération 🍟🤝🥖
tu choisis mal ton moment, on vient de voter à droite en juin
d'habitude les élections se passent comme ça: la Flandre vote (très) à droite alors que la Wallonie et Bruxelles votent à gauche
la Belgique détient le record de la formation la plus lente d'un gouvernement après des élections (541 jours lol) parce qu'il faut toujours réconcilier les tendances opposées entre nord et sud via des coalitions et négociations improbables
cette année est inhabituelle parce que la Wallonie et Bruxelles ont voté à droite aussi (c'est surtout Ecolo qui s'est pris une méga fessée, le PS n'a pas coulé)
la formation du gouvernement est toujours en cours mais elle ne devrait pas prendre très longtemps au vu de ces nouvelles affinités
précision: la droite francophone est similaire à la Macronie, elle est pro business sans être totalement tarée/réac non plus, et il n'y a pas d'extrême droite
en Flandre par contre l'extrême droite est #2 mais les autres partis ont toujours refusé de collaborer avec, y compris cette année
ceci étant dit il y a de grandes différences avec le fonctionnement français
déjà la Belgique est un état fédéral avec un pouvoir décentralisé, réparti entre les régions (l'enseignement par exemple n'est pas une compétence fédérale/nationale, les écoles flamandes et wallonnes fonctionnent différemment)
ensuite il n'y a jamais de majorité absolue, c'est toujours un jeu de coalitions, donc la situation actuelle française est 100% normale en Belgique, tout le monde doit mettre de l'eau dans son vin et faire des "compromis à la Belge"
ces deux points font qu'il y a moins cette dominance autoritaire d'un président ou d'un parti qu'il y a en France
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aurevoirmonty · 11 months ago
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Ils sont épuisants ceux qui, pour justifier ou encourager l'envoi de troupes françaises, européennes ou occidentales sur le front ukrainien pour s'y battre contre l'armée russe, traitent de lâches ceux qui s'en inquiètent en leur répondant : «Heureusement que les Américains n'ont pas été lâches comme vous pendant la Seconde guerre mondiale et qu'ils sont venus nous aider», comme si cette comparaison avait la moindre valeur.
Quand les Américains entrent en guerre contre l'Allemagne, l'Allemagne n'a pas 6 000 ogives nucléaires dans son arsenal. Point, fin de la démonstration.
L'introduction de l'arme nucléaire dans l'équation change la donne par définition et c'est même principalement à cela qu'elle sert : elle change la donne, elle modifie la façon de faire de la guerre, elle modifie notre approche de la guerre, en somme elle change tout.
Il est ridicule d'essayer de calquer des modèles qui avaient leur validité avant l'introduction de l'arme nucléaire sur des situations où les deux puissances qui se regardent en chien de faïence disposent chacune d'un armement capable de pulvériser la planète et la rendre inhabitable pendant 1 million d'années.
Personnellement, je ne suis pas d'accord pour miser aussi gros seulement pour donner satisfaction à quelques tocards macronistes, journalistes et influenceurs qui se prennent pour de grands historiens alors qu'ils ont passé plus de temps à jouer à Call of Duty sur console qu'à faire du sport ou apprendre à tenir un fusil à plomb.
En réalité, ceux qui veulent cette guerre suicidaire ou qui acceptent de prendre des risques déments susceptibles de nous y pousser doivent représenter objectivement 0.001% de la population. Les autres, ceux qui n'osent pas trop sortir la tête du trou, sont surtout paralysés par la peur sociale de passer pour des «pro-Poutine» à cause de l'exceptionnelle et délirante campagne médiatique d'intimidation menée par les 0.001% en question.
Ce qui vient d'être dit ne retire rien au courage et à la bravoure des soldats américains tombés sur le front européen pendant la Seconde guerre mondiale, et ne prétend pas que le peuple ukrainien mérite ce qui lui arrive ni que Poutine a raison.
Nous autres, Français, avons désormais le président le plus cinglé de la coalition occidentale, celui qui manifeste les pulsions guerrières les plus violentes et les plus agressives, celui qui, par ses excès, permet le plus efficacement d'entrevoir de dangereuses perspectives d'escalade. Et nous savons qu'il ne le fait pas dans l'intérêt de la France mais pour satisfaire son besoin pathologique d'être au centre des attentions.
Chose étonnante : au début de la guerre russo-ukrainienne il était le moins cinglé de la bande, celui qui voulait continuer à parler avec Poutine et qui multipliait les initiatives diplomatiques. Que s'est-il passé dans la coulisse pour que l'agneau se transforme en ogre ?
Jonathan Sturel
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toutelathailande · 2 months ago
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La Russie veut accroître sa coopération avec la Thaïlande dans les domaines du tourisme, de l'agriculture, de la technologie et de l'énergie via les BRICS+. En octobre 2024, la Thaïlande a fait partie des 13 nations désignées comme nouveaux pays partenaires par les BRICS+, un bloc international créé en 2006 sous la forme d'une coalition de grands marchés émergents. Voir : La Thaïlande souhaite un monde meilleur et plus juste au sommet des BRICS+ L'ambassadeur russe en Thaïlande, Evgeny Tomikhin, a déclaré dans une interview accordée au journal thaïlandais Krungthep Turakij : "L'ASEAN et la Russie sont des partenaires stratégiques, en particulier la Thaïlande et la Russie, et entretiennent des relations solides même pendant les périodes difficiles où le monde connaît des transitions politiques et économiques." Il a souligné que l'un des principaux domaines de coopération entre les deux pays est le tourisme, puisque des millions de Russes visitent la Thaïlande chaque année, générant des revenus importants pour l'économie thaïlandaise. Les touristes russes ont été le deuxième groupe le plus important à visiter la Thaïlande en 2023, après la Chine. En 11 mois de 2024, quelque 1,5 million de Russes sont entrés en Thaïlande, ce qui est supérieur à la même période de l'année dernière, où l'on comptait environ 1,1 million de personnes. Il reste à savoir si la Thaïlande ne va pas se montrer frileuse à l'adhésion après les menaces du futur président, Donald Trump, qui a déclaré : "Nous exigeons un engagement (...) selon lequel ils ne créeront pas une nouvelle monnaie des BRICS, ni ne soutiendront aucune autre monnaie pour remplacer le puissant dollar américain, sinon ils seront confrontés à des droits de douane de 100%. Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar américain dans le commerce international. Tout pays qui essaie devrait dire au revoir à l’Amérique". Un discours qui tranche avec les déclarations de certains experts liés à de puissantes institutions américaines, qui tentaient de minimiser la menace. Voir : Les implications de l’adhésion de la Thaïlande aux BRICS+ Voir aussi : Le président chinois Xi invite la Thaïlande à rejoindre les BRICS+ La Thaïlande souhaite rejoindre les BRICS+ « dès que possible » L’adhésion aux BRICS ouvrirait des perspectives à la Thaïlande Source : The Nation Thailand Read the full article
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actu-juridique · 2 months ago
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Premières réflexions sur le fonctionnement de la Ve République six mois après la dissolution du 9 juin 2024
https://justifiable.fr/?p=2361 https://justifiable.fr/?p=2361 #9juin #Après #dissolution #fonctionnement #Premières #Réflexions #sixmois #sur #VeRépublique Danielle Bonardelle/AdobeStock Il semble possible, d’ores et déjà, de tirer quelques réflexions et enseignements des évènements constitutionnels qui se sont déroulés ces derniers mois. On peut même, sans doute, à leur analyse, en tirer des conclusions sur le fonctionnement actuel et futur de notre Constitution. On retiendra huit points. I – De la dissolution La dissolution est un pouvoir non contresigné du président de la République prévu à l’article 12 de la Constitution1. Ses conditions de mise en œuvre sont très légères. On ne reviendra pas sur les consultations que ledit article rend obligatoires. Depuis longtemps déjà on sait qu’il s’agit d’un exercice de pure forme ; il suffit de se souvenir de la consultation de Gaston Monnerville par le général de Gaulle en 1962. Consulter consiste davantage à informer qu’à demander un avis qui, en toute hypothèse, n’a aucune importance comme le confirme celui, négatif, de Jacques Chaban-Delmas (alors président de l’Assemblée nationale) en 1981. On tirera, en revanche, deux réflexions de ce nouvel emploi d’un pouvoir si longtemps refusé aux exécutifs des troisième et quatrième Républiques. Tout d’abord, on vient d’avoir la confirmation que la dissolution de confort ne fonctionne pas. On se souvient de celle prononcée en 1997 par Jacques Chirac pour éviter la défaite annoncée aux législatives normalement prévues en 1998. Elle devait déboucher sur l’élection d’une majorité hostile au président de la République et sur la troisième cohabitation (1997-2002). La dissolution de 2024 (avec des nuances sur lesquelles nous reviendrons) n’est pas loin d’avoir la même histoire. Décidée pour clarifier la situation issue des législatives de 2022, elle devait permettre de donner une nouvelle majorité au président de la République pour pallier les inconvénients de la majorité relative le soutenant jusqu’alors. Elle a débouché sur plus de relativité encore et sur la nécessité de faire appel, pour diriger le gouvernement, à un homme issu d’un parti opposé à la politique présidentielle. On glosera beaucoup sur la nature de la situation : quatrième cohabitation ou première « coalitation », selon la formule employée parfois à l’Élysée ? Peu importe, le fait est là. Les urnes ont donné le résultat inverse à celui attendu par la dissolution. Si 1997 avait rangé la dissolution au rayon des accessoires, celle de 2024 l’a rangée au rayon des produits dangereux ou, du moins, à manipuler avec précaution. La seconde réflexion est relative au calendrier. Prononcée le 9 juin 2024, la dissolution a conduit à organiser les élections législatives les 30 juin et 7 juillet. On le sait, appliquant l’adage « dissolution sur dissolution ne vaut » qui nous vient de la fin du règne de Charles X, il n’est plus possible de prononcer une nouvelle dissolution pendant un an. Quand donc précisément, le président de la République retrouvera-t-il ce droit pour l’instant interdit ? L’article 12C le précise : « Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans l’année qui suit ces élections », c’est-à-dire les élections consécutives à la dissolution. Autrement dit, la prochaine dissolution ne pourrait intervenir qu’à partir du 8 juillet 20252. Si tel était le cas, le même article prévoyant que « les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution », les élections devraient se tenir en août 2025. On imagine bien la chose impossible. Il est donc logique de penser qu’aucune dissolution ne sera prononcée avant le mois de septembre3 2025. Cette remarque n’est pas sans importance. Nous serons alors à quelque 18 mois de l’élection présidentielle ! II – De la nature de la Constitution du 4 octobre 1958 La situation qui résulte de cette dissolution a en tous les cas le mérite de montrer que notre Constitution reste un régime parlementaire. Elle en a tous les caractères. La Constitution prévoit bien un gouvernement responsable devant le Parlement (art. 20, al. 3C). En l’espèce, l’Assemblée nationale (et elle seule) peut renverser le gouvernement, obligeant, par le vote d’une motion de censure ou en désapprobation du programme ou d’une déclaration de politique générale, le Premier ministre à remettre au président de la République la démission du gouvernement (art. 50C). Pour que l’Assemblée n’ait pas la tentation d’engager cette responsabilité engagée sans limite, la dissolution est fixée comme contrepoids dans les limites que nous venons d’exposer. Ces deux mécanismes sont la base même du régime parlementaire et de son équilibre : toute Constitution qui les prévoit institue un régime parlementaire. Reste que, sur cette base générale, deux variantes existent : • ou bien la responsabilité du gouvernement devant le Parlement est la seule responsabilité envisagée et le régime est alors dit « moniste » ; • ou bien cette responsabilité du gouvernement devant le Parlement se double d’une responsabilité du gouvernement devant le chef de l’État. Il y a alors deux responsabilités et le régime est dit « dualiste ». Ces choses sont connues. Pourtant, il n’est pas inutile de les rappeler lorsqu’on veut analyser la réalité de la pratique passée et actuelle de la constitution. C’est qu’en fait, comme cela a été dit il y a quelques années déjà4, la Ve République est un régime parlementaire àgéométrie variable. Autrement dit, elle est, selon les circonstances, dualiste ou moniste. Et les circonstances déterminantes sont celles qui découlent du résultat des élections législatives et donc de la majorité qui en résulte. Lorsque la majorité présidentielle trouve à l’Assemblée nationale une large majorité parlementaire pour soutenir l’action du président de la République, autrement dit lorsque majorité parlementaire et présidentielle concordent, le président de la République peut choisir un Premier ministre sans véritable volonté politique propre, si ce n’est celle de mettre en œuvre le programme présidentiel. Le Premier ministre est alors davantage le « collaborateur5 » du Président qu’un véritable chef du gouvernement. Le chef de l’État impose sa politique et ses vues ; bref le Président gouverne. Le Premier ministre reste responsable devant le Parlement mais cette responsabilité ne jouera pas ; le Premier ministre est soumis au président de la République. Qu’il vienne à déplaire et la rupture de leur accord ne peut qu’entraîner le départ du Premier ministre. Le régime reste parlementaire, il ne peut en être autrement, mais le Premier ministre est en outre responsable devant le chef de l’État, la clef de voûte du système est le président de la République : nous sommes dans un régime parlementaire dualiste. Que majorité présidentielle et majorité parlementaire s’opposent et les choix laissés au Président sont limités. S’il vient d’être élu, il peut tenter par la dissolution (1981 ou 1988) de rétablir l’adéquation manquante et, en cas de succès, le régime reste dualiste. Si en revanche les législatives viennent d’avoir lieu, il n’a d’autre solution que de se soumettre en nommant un Premier ministre qui a la confiance de l’Assemblée nationale (1986, 1995 ou 1997), sauf à courir à une démission certaine en prononçant (lorsque c’est possible) une dissolution suicide. Le Premier ministre n’est alors plus responsable que devant l’Assemblée nationale : nous sommes dans un régime parlementaire moniste. On pourrait objecter que la situation actuelle est différente dès lors qu’il n’y a pas de majorité à l’Assemblée nationale. Il n’en est rien. La question de la concordance ou de la divergence garde toute sa pertinence même face à un résultat dans lequel il n’existe pas de majorité (absolue ou relative). Il s’agit alors simplement d’une version minoritaire6 du phénomène précédent. Si la minorité capable de gouverner (que nous appellerons donc « minorité gouvernante ») soutient le président de la République, celui-ci garde la possibilité d’intervenir même si son Premier ministre doit l’y aider. Le Premier ministre utilisera tous les articles que la Constitution met à sa disposition pour domestiquer l’Assemblée et permettre la mise en œuvre de la volonté présidentielle. Cela s’avère plus difficile et le rôle du Premier ministre apparaît plus déterminant, mais il reste à la merci de la volonté présidentielle ; la position d’Élisabeth Borne et de Gabriel Attal en témoigne. Néanmoins, le fonctionnement de la Constitution reste dualiste. À l’inverse, si la minorité gouvernante ne soutient pas le président de la République, celui-ci perd toute possibilité d’intervention et le Premier ministre n’a plus à se soucier que de la seule solidité de sa minorité législative. Le fonctionnement de la Constitution est alors moniste. C’est la situation actuelle. III – Du choix du Premier ministre Faut-il déduire du caractère parlementaire de la Constitution que, lorsque le président de la République nomme le Premier ministre, il exerce une compétence liée ? Le Président est-il tenu de choisir le Premier ministre dans le groupe (ou la coalition) majoritaire ou dans le groupe (ou la coalition) le plus important de l’Assemblée, fût-il minoritaire ? C’est ce qu’a tenté de faire croire le Nouveau Font Populaire (NFP) en proposant (non sans difficulté d’ailleurs) la candidature de Lucie Castets. La Constitution indique simplement que « le président de la République nomme le Premier ministre » (art. 8C) sans autre précision. On fera deux remarques. Comme dans de nombreuses dispositions constitutionnelles, l’usage dans cet article du présent de l’indicatif indique une obligation de faire mais celle-ci n’est pas enfermée dans un délai (à comparer avec l’article 10C). C’est ce que l’on appelle le choix du moment. Certes le président de la République doit nommer mais il peut le faire quand il veut. Compte tenu du fait que, par le passé, la situation à l’Assemblée nationale donnait clairement (ou assez clairement) le champ politique dans lequel devait s’exercer le choix du Président, la nomination du Premier ministre était toujours intervenue rapidement. La tripartition de l’Assemblée résultant des élections de 2024 rendait le choix présidentiel plus difficile et donc, nécessairement, le délai s’est allongé7. Si la Constitution ne fixe pas de délai, c’est justement parce qu’il convient de s’assurer que le Premier ministre (et par la suite son gouvernement) est capable de gouverner ; qu’il ne sera pas renversé sitôt après son entrée en fonction. C’est là la conséquence naturelle du caractère parlementaire de la Constitution : le gouvernement est responsable devant l’Assemblée. En effet, au-delà du choix du moment laissé au Président, sa marge de manœuvre est limitée ; le Premier ministre doit normalement être choisi dans la majorité parlementaire (et c’est alors un simple choix de personne) ou dans la minorité disposant des plus grandes chances de ne pas coaliser contre elle tous les autres partis. Choisir un Premier ministre dans les extrêmes de l’Assemblée (dans notre cas au sein du Nouveau Front Populaire ou du Rassemblement National (RN)) conduisant nécessairement à la censure, la seule solution ouverte était de tenter de fédérer les centres et la droite dite de gouvernement (Les Républicains �� ci-après « LR ») sans heurter les extrêmes pour qu’ils ne s’allient pas. Outre le fait qu’il s’agit d’un choix de personne (rejet par le RN de Xavier Bertrand et par le NFP de Bernard Cazeneuve), il fallait donc parvenir à satisfaire ces centres et LR, pourtant opposés au Président. La seule solution possible restait de choisir chez LR (bien qu’il s’agisse de la plus petite formation) celui ou celle qui dirigerait le gouvernement8. En fait, il n’y a là que l’application encore une fois classique du régime parlementaire : la recherche de la coalition la plus stable, fût-elle minoritaire. On retrouve cette situation dans toutes les grandes démocraties et, parfois, la recherche de cette combinaison est longue. Ainsi, en Belgique, cette recherche se poursuit-elle après les élections législatives du 9 juin 2024 soit depuis plus de cinq mois9. Reste que cette recherche, dans la plupart des pays parlementaires, est opérée par les partis politiques eux-mêmes et non par le chef de l’État. Celui-ci se contente en général de nommer une personnalité chargée de cette recherche, personnalité désignée parfois sous l’appellation de « formateur » ou « conciliateur ». La IVe République avait ce mode de fonctionnement10. Notre Constitution donne une telle importance au président de la République que c’est lui-même qui s’est, en l’espèce, chargé de ce travail de conciliation. De cette pratique, nouvelle sous la Ve République, naît encore une différence essentielle avec les autres pays à régime parlementaire. L’accord s’est davantage fait sur le choix d’une personne et de quelques grandes orientations politiques que sur la détermination d’un véritable programme de gouvernement négocié entre les partis de la coalition. Il s’est agi ici de trouver la personnalité capable de fédérer la minorité centriste sans courir le risque de coaliser contre elle les deux extrêmes de l’Assemblée. C’est que, en effet, notre Constitution permet à une minorité de gouverner. IV – Du gouvernement minoritaire Depuis les législatives de 2022, il n’y a plus au Parlement de majorité absolue. On peut peut-être admettre que de 2022 à 2024, il y avait une majorité relative. En fait, cette analyse n’est pas pertinente. L’essentiel, avec la Ve République, est qu’un parti (ou plutôt une coalition de partis) puisse se former au centre et que cette coalition soit coincée entre deux blocs hostiles qui souhaitent la détruire sans pouvoir s’unir eux-mêmes et atteindre la majorité absolue des sièges de l’Assemblée nationale (soit 289 voix). Tant que cette union reste lettre morte, la minorité ainsi flanquée peut gouverner. Il y a à cela deux dispositions constitutionnelles protectrices : • d’une part l’absence d’obligation faite au gouvernement de prouver qu’il est majoritaire. C’est-à-dire l’absence d’investiture. En effet, si les termes du premier alinéa de l’article 49C, utilisant le terme « engage » par opposition à « peut engager » utilisé à l’alinéa 3 ou « a la faculté de demander » mentionné à l’alinéa 4, montrent bien qu’il ne s’agit pas pour le Premier ministre d’une simple faculté mais d’une obligation, celle-ci n’est pas soumise à un délai. Le Premier ministre dispose du choix du moment pour engager sa responsabilité. Il n’est pas tenu d’obtenir un vote de l’Assemblée nationale pour entrer en fonction et exercer la plénitude des pouvoirs que la Constitution lui accorde. Sa seule nomination par le Président suffit. La preuve de la validité de cette interprétation est apportée par la proposition de révision faite en 1995. Le comité présidé par le doyen Georges Vedel proposait alors de modifier l’alinéa 1 de l’article 49 en ajoutant au début : « Dans les quinze jours qui suivent sa nomination… »11. Cette révision n’a pas eu lieu et il faut donc admettre que ce n’est pas au Premier ministre de faire la preuve qu’il dispose d’une majorité mais à l’Assemblée, par le dépôt d’une motion de censure, de faire la preuve qu’il n’en dispose pas. Nombreux du reste sont les gouvernements qui n’ont pas demandé un vote d’approbation de leur programme ou d’une déclaration de politique générale12 ; • d’autre part, c’est l’alinéa 3 du même article 49C qui assure la stabilité d’un gouvernement même minoritaire. Selon le même principe, il appartient à l’Assemblée de montrer par l’adoption d’une motion de censure que le gouvernement n’a pas la confiance de l’Assemblée et que son texte est dès lors rejeté. Ce mécanisme de l’article 49, alinéa 3C est particulièrement intéressant. Il consiste à faire en sorte que les abstentionnistes s’allient aux parlementaires qui soutiennent le gouvernement et non à ceux qui s’opposent à lui. Du reste, dans la pratique, seuls votent les partisans de la motion de censure, les autres (députés appartenant à des partis représentés au gouvernement ou ceux qui, alors même qu’ils ne soutiennent pas le gouvernement, ne souhaitent pas le renverser) ne prenant pas part au scrutin. L’idée de base de ce mécanisme consiste à vouloir éviter la coalition des extrêmes qui, si souvent sous les IIIe et IVe République, avait emporté les gouvernements dans le cadre de la procédure dite de la question de confiance. La motion de censure vise en fait à montrer qu’il existe à l’Assemblée une majorité absolue de députés souhaitant remplacer le gouvernement actuel. Tant que cette démonstration n’est pas faite, un gouvernement, même minoritaire, peut gouverner. C’est donc sur la fiabilité de ce mécanisme que s’appuie un gouvernement pour obtenir les textes qu’il souhaite ou que le président de la République souhaite. Son emploi est donc tout aussi fréquent quand la majorité parlementaire soutient le Président mais est relative13 ou frondeuse14, quand la minorité gouvernante soutient le Président ou lorsque la minorité gouvernante est hostile à la majorité présidentielle. V – De l’article 49, alinéa 3C On vient de le voir, cette disposition constitutionnelle est la base de la stabilité politique dans le cadre de la Constitution de 1958. Très contestée, la disposition est encadrée par la Constitution depuis la révision de 2008. Pourtant, cet encadrement n’a pas vraiment limité son importance. Depuis 2008, il y a une limite à l’usage de cet article : il peut être mis en œuvre sur un projet ou une proposition de loi par session parlementaire. Le principe est donc qu’un seul texte par session peut être adopté selon cette procédure. Dès lors que la session ordinaire du Parlement s’étend du premier jour ouvrable d’octobre au dernier jour ouvrable de juin, l’article 49, alinéa 3C ne peut être mis en œuvre que sur un seul texte pendant ce laps de temps. Sur un seul texte et non une seule fois. Cela veut dire que, dès lors qu’il s’agit d’un même texte, l’article peut être mis en œuvre à chaque lecture devant l’Assemblée nationale. Évidemment, si des sessions parlementaires extraordinaires sont ouvertes, le gouvernement retrouve pour chacune d’elles un droit d’usage de l’article. On peut donc imaginer que le gouvernement utilise cette possibilité pour multiplier le nombre de recours possible à l’article 49, alinéa 3C. Cependant, ces sessions extraordinaires étant ouvertes et closes par le président de la République, il est peu probable qu’elles se multiplient en période de divergence des majorités ; le cas de l’année 2024 en est un exemple parfait. Alors qu’en général une session extraordinaire précède la session ordinaire, il n’en a pas été ouvert cette année. Reste que cette limitation à un texte par session ne concerne pas les lois de finances ou de financement de la Sécurité sociale. On sait l’importance des lois de finances pour le fonctionnement d’un gouvernement et pour le pays. Il est donc logique que l’usage de l’article 49, alinéa 3C soit illimité dans ce cadre. Reste que, à travers ces lois, il est possible de faire adopter des dispositions bien plus variées que celles auxquelles on pense habituellement. On se souvient que c’est dans ce cadre que la réforme des retraites fut adoptée l’an dernier. Certes, le Conseil constitutionnel veillerait sans doute à ce que des cavaliers budgétaires ou sociaux ne puissent pas se glisser. Néanmoins l’étendue des dispositions qui, selon les différentes lois organiques, sont partagées entre les lois de finances ou de financement et les lois ordinaires, permettrait sans doute qu’une grande partie de la législation soit ainsi adoptée sans vote parlementaire. Pour faire fi de nombreuses critiques généralement développées sur le nombre de fois où le gouvernement engage sa responsabilité, tout particulièrement sur la loi de finances, on rappellera que celle-ci est constituée de deux parties et qu’il n’est possible d’engager la discussion sur la seconde partie qu’après l’adoption de la première. Ceci conduit donc le gouvernement, si cela s’avère nécessaire, à devoir engager sa responsabilité sur la première partie puis à l’engager à nouveau sur l’ensemble du texte. Il peut donc être amené à engager six fois sa responsabilité pour obtenir l’adoption de la loi de finances. La combinaison de l’importance des lois financières et de l’article 49, alinéa 3C permet donc bien des possibilités. En particulier, les débats parlementaires peuvent conduire au fait que l’Assemblée modifie considérablement le texte du gouvernement. Ce comportement peut être aussi bien celui d’un des partis extrêmes encadrant la majorité relative ou la minorité gouvernante, que venir de certains membres de la majorité si elle existe ou de la minorité gouvernante elle-même. Le débat budgétaire sera donc âpre et difficile pour le gouvernement. Mais en fait, peu importe. Tout, et l’on oserait dire même n’importe quoi, peut être adopté ; ces adoptions ne sont que provisoires. In fine, le gouvernement peut engager sa responsabilité sur le texte qu’il recompose, soit en retenant les seuls amendements qu’il retient parmi ceux adoptés, soit qu’il ajoute lui-même en dernière minute. Les députés de tous bords peuvent donc s’en donner à cœur joie dans les critiques, modifier le texte par des amendements ou des articles additionnels, refuser de voter certaines dispositions. Rien n’y fait. Le gouvernement peut obtenir le budget qu’il souhaite tant qu’une majorité absolue de députés n’a pas décidé de voter la censure. Affirmer que le budget est mauvais, qu’on ne le votera pas, qu’on s’y oppose, qu’on mettra tout en œuvre pour qu’il ne soit pas adopté sans pour autant aller jusqu’à renverser le gouvernement veut dire en réalité qu’on ne fera rien et que le budget sera adopté tel que le gouvernement le souhaite. On se souvient des débats houleux pendant la discussion du budget pour 1980 présenté par Raymond Barre, Premier ministre issu d’un mouvement minoritaire au sein de la majorité soutenant le gouvernement. On se souvient des critiques portées contre ce texte par Jacques Chirac, Premier ministre sortant, et par les autres députés du RPR, groupe le plus important de la coalition soutenant le gouvernement. Rien ne trouve grâce aux yeux de ces élus. Mais on se souvient aussi que le budget a été adopté par l’article 49, alinéa 3C, exactement comme le souhaitait Raymond Barre. Il est intéressant de noter ici les explications du RPR à l’époque. Philippe Séguin indiquait la position du parti : « Entre la censure ou la soumission, il y a une stratégie. Ce n’est pas celle de l’Aventin ». Il s’agissait donc de s’abstenir comme l’indiquait plus clairement encore Michel Debré : « La fidélité à la majorité impose de dire la vérité (par) l’abstention ». On pourrait raisonnablement penser qu’il en ira de même cette année, même si la situation politique est différente de celle de 1979. VI – Des particularités de la situation actuelle Nous avons déjà dit que la spécificité de la période actuelle tenait à la tripartition de l’Assemblée nationale. Pour la première fois sous la Ve République, c’est un gouvernement minoritaire dirigé par un Premier ministre issu du plus petit groupe composant la minorité gouvernante qui détermine la politique de la nation en faisant en sorte que ses choix ne fédèrent pas les extrêmes dans une coalition du non qui pourrait le renverser. Mais il est une autre particularité de la situation actuelle qui commande en grande partie le fonctionnement actuel du système. Pour la première fois, cette cohabitation se déroule alors que le président de la République est élu pour cinq ans et ne peut pas se représenter. Que ce soit en 1986 ou en 1997, les cohabitations avaient eu lieu pendant le premier mandat d’un Président élu pour sept ans. En 1993, même si l’on pouvait bien penser que François Mitterrand ne briguerait pas un troisième mandat, rien, juridiquement, ne l’interdisait. De plus, les deux cohabitations de l’ère mitterrandienne étaient le résultat d’élections législatives inter-mandat, ayant eu lieu à leur date normale, sans intervention d’une dissolution. Elles apparaissaient logiques dans un système où la durée des mandats présidentiel et parlementaire étant différente, il était évident qu’une telle situation pouvait logiquement se produire15. Dans l’exemple actuel, la situation est tout à fait différente. La cohabitation découle d’une dissolution décidée au cours du second quinquennat d’un Président qui est juridiquement interdit de briguer à nouveau la magistrature suprême. Qui plus est, même sur le plan strictement politique, les choses diffèrent. Certes, comme en 1997, le Président a perdu le pari fait par la dissolution mais il l’a doublement perdu puisque cette dissolution fait suite à des élections européennes qui furent également perdues par le camp présidentiel. En fait, il l’a même triplement perdu puisqu’il lui fut impossible d’obtenir une majorité à l’Assemblée aux élections législatives qui suivirent sa réélection en 2022. Bref, le Président est plus affaibli que ne le furent en leur temps Mitterrand ou Chirac, et la preuve en est bien apportée par la difficulté qu’il eut à trouver un candidat pour Matignon qui ne se serait pas transformé en comète. Il lui a fallu composer avec les anathèmes des uns et des autres. Dans ces conditions, quelles sont les possibilités d’action restant au Président ? On fera tout d’abord litière de l’idée selon laquelle le Président pourrait mettre en œuvre les pouvoirs exceptionnels de l’article 16C. D’une part, il est peu vraisemblable que les conditions imposées par cet article soient réunies ; d’autre part, le Parlement siégeant alors de plein droit, il y a fort à parier qu’une procédure de destitution serait enclenchée et que, cette fois16, elle pourrait prospérer si ce n’est aboutir. Aucun Président ne se lancerait dans cette voie dans une situation de ce type. Il faut donc s’intéresser aux autres pouvoirs présidentiels. Quels sont-ils ? • la dissolution : elle est constitutionnellement impossible avant juillet 2025 et techniquement difficile avant septembre de la même année ; • le référendum : il ne peut être décidé que « sur proposition du Premier ministre ou de la majorité des députés » ; • la révocation du Premier ministre : elle est impossible en période de cohabitation ; le Premier ministre n’est plus responsable devant le Président ; la Constitution s’applique dans sa version moniste. Selon l’expression souvent utilisée depuis, le Premier ministre est « indéboulonnable17 » ; • le droit de message au Parlement : qu’il soit écrit ou oral (devant le Congrès), on voit mal ce que le Président pourrait annoncer et surtout obtenir ; • le refus de signer des ordonnances : il est peu vraisemblable que le Parlement, dans sa configuration actuelle, accorde au gouvernement le pouvoir d’agir par ordonnances et, en toute hypothèse, un refus présidentiel peut être surmonté par le vote du même texte sous la forme d’une loi18. Cela retarde mais n’empêche pas ; • le refus de convoquer le Parlement en session extraordinaire : là encore, c’est un moyen de ralentir en non de s’opposer ; Bref, il semble bien que le Président ne dispose plus d’un réel pouvoir ; le pouvoir est désormais à Matignon. • l’exercice d’un domaine réservé : on parle du domaine réservé comme étant le seul domaine dans lequel le Président disposerait encore de la possibilité de décider. Tout d’abord, on rappellera que la Constitution ne prévoit pas une telle réserve. Le domaine réservé est une formule que Jacques Chaban-Delmas employait pour parler des matières19 pour lesquelles Charles de Gaulle prenait lui-même les décisions, sans nécessairement que le Premier ministre soit d’accord ou même au courant. Ce domaine est aujourd’hui compris comme essentiellement constitué des Affaires étrangères et de la Défense. S’il put y avoir dans les premiers temps du premier septennat de De Gaulle un tel partage des tâches, les choses ont depuis totalement changé. Certes, il fut encore question de ce domaine lors de la première cohabitation de 1986 ; le président de la République pouvait ainsi justifier qu’il gardât sur le choix des ministres de la Défense et des Relations extérieures un véritable droit de veto. Mais le président Sarkozy, dont on sait qu’il était attentif à décider très largement seul, affirmait pourtant : « Je ne crois pas au domaine réservé ». L’actuel Premier ministre le confirme d’ailleurs : « Il n’y a pas de domaines réservés mais des “domaines partagés” »20. La Constitution ne dit pas autre chose. L’article 21C dispose que le Premier ministre « est responsable de la défense nationale » et si l’article 52C affirme que « le président de la République négocie et ratifie les traités », le pouvoir ainsi exercé est soumis au contreseing du Premier ministre. On ne sait pas encore si Emmanuel Macron a participé au choix des ministres dans ces deux domaines. On peut simplement noter que Sébastien Lecornu, ministre des Armées, occupait déjà ce poste dans les deux gouvernements précédents et que Jean-Noël Barrot, actuel ministre de l’Europe et des Affaires étrangères était, dans le gouvernement Attal, ministre délégué chargé de l’Europe ; • la démission spontanée ou du moins, même à bas bruit, le chantage à la démission : là encore on peut douter de l’efficacité d’une telle menace : le Président ne peut pas se représenter21. Il semble donc acquis que le second quinquennat du Président Macron sera de facto aussi court que le premier septennat du Président Chirac : deux ans. Que reste-t-il donc au Président en dehors du « ministère du verbe » ? Peu de choses à vrai dire : car ne croyez pas que le président de la République ait, dans la Constitution, les moyens de s’opposer à la mise en œuvre du programme d’un gouvernement dès lors que celui-ci n’est pas contesté par une majorité absolue de députés22. Comment en est-on arrivé à une telle situation ? VII – De l’avenir de la Constitution La Constitution de 1958, qui était un îlot de stabilité constitutionnelle dans notre histoire politique, semble aujourd’hui échapper à toute cohérence. Certes, comme on vient de le montrer, le système peut fonctionner mais à quel prix ? Le gouvernement minoritaire de Michel Barnier va devoir passer son temps à éviter que les extrêmes ne s’unissent et, dans la configuration actuelle, cela veut dire qu’il doit s’assurer que le RN ne votera pas une motion de censure déposée par le NFP23. Or le nombre des usages de l’article 49, alinéa 3, indispensable à souder une minorité que peu de choses unissent, va multiplier les risques et donc les nécessités de ne pas déplaire au RN. Le gouvernement est ainsi sous surveillance de l’Assemblée nationale et, au sein de celle-ci, d’un des deux extrêmes qui y siègent. Bref, la Ve République n’est définitivement plus le gage de stabilité qu’elle était jusqu’alors. Les raisons de cet affadissement du régime mis en place en 1958 sont nombreuses et, évidemment, l’attitude des partis et des hommes et femmes qui les composent n’est pas négligeable dans ce changement. Il n’en reste pas moins que trois réformes cumulées ont sapé les bases de ce régime. On l’a dit, le quinquennat (et donc la coïncidence de la durée des mandats présidentiel et parlementaire) est sans doute l’élément déclenchant. Ce qui était présenté comme une modernisation de nos institutions, comme une démocratisation du régime par un appel plus fréquent au peuple, s’avère être une erreur majeure24. On pensait à l’époque faire disparaître les cas de cohabitation en donnant à coup sûr au Président une majorité parlementaire. On a vu en 2022 ce qu’il en fut. Et pourquoi ? Parce que le Président fut réélu alors même que, en réalité, le peuple ne souhaitait pas vraiment qu’il le soit. Au second tour de la présidentielle, devant les deux candidats en lice, nombre d’électeurs ont fait un choix par défaut. Ce n’est pas celui que les Français voulaient qui fut élu mais celle que les Français ne voulaient pas qui fut battue. Aussi, lors des législatives, ont-ils confirmé leur vote de la présidentielle en ne donnant pas de majorité au Président. « Cinq ans, ça suffit ! », pourrait-on dire. Nicolas Sarkozy fut battu après son quinquennat ; François Hollande ne tenta même pas de se représenter. Le quinquennat rend très hypothétique la possibilité de faire un second mandat. Le septennat a moins cet effet car, une cohabitation précédant la nouvelle élection, le Président apparaît comme un opposant. Ce n’est plus lui qui est contesté mais le gouvernement en place, gouvernement hostile au Président. La cohabitation redonne au Président une virginité qui lui permet de se présenter à sa réélection comme un homme neuf. Le quinquennat interdit cette possibilité25. La deuxième réforme contestable fut celle conduisant à l’inversion des scrutins. Pour être certain (croyait-on) que les législatives donnent une majorité au Président, il fallait que ces élections interviennent après l’élection présidentielle. On décalait donc les législatives de mars (date traditionnelle depuis 1958) à mai. Comme on vient de le montrer, le phénomène d’entraînement qui suit la présidentielle, s’il existe, ne fonctionne que lors du premier mandat. Et même dans ce cas, peut-on être certain qu’il fonctionne à coup sûr ? N’est-il pas possible qu’après l’élection d’un Président issu d’un parti extrême les autres partis se liguent pour l’empêcher d’avoir la majorité parlementaire lui permettant de mettre en œuvre son programme ? On imagine la situation politique qui en résulterait et le sentiment de frustration des électeurs du Président. La troisième réforme, celle qui vient sceller les défauts des deux autres, est l’interdiction de pouvoir prétendre à exercer plus de deux mandats présidentiels consécutifs. Même si, comme on vient de le dire, ce second mandat est difficile à obtenir, il apparaît très vite comme une fin de règne. Les candidats à la succession ne tardent pas à faire savoir qu’ils sont prêts ; même ceux issus des partis soutenant le Président en place. Celui-ci se retrouve donc avec une opposition naissante au sein de ses propres troupes et, plus s’écoule le temps et s’approche la fin inexorable de sa présidence, plus il est contesté, critiqué26 et donc affaibli. Que faire face à cet affadissement progressif de la Constitution ? VIII – Des sorties de crise envisageables Il y a évidemment la réaction la plus forte, prônée par certains partis extrémistes : passer à une VIe République. Mais sans aller jusqu’à cette solution ultime au contenu à définir et d’ailleurs impossible dans la configuration actuelle des pouvoirs publics constitutionnels, deux hypothèses sont envisageables dont l’une reste un non-dit : la démission du président de la République. Attention, ici, il ne s’agit pas, contrairement au cas précédant, d’une démission spontanée dont le Président se servirait comme d’une arme et que nous avons envisagée plus haut. Non, il s’agit bien de le pousser à la démission dans le but de provoquer une élection présidentielle anticipée. Il s’agit en fait de donner vie à la formule de Gambetta : « Il faudra se soumettre ou se démettre », sachant qu’en fait, comme pour Mac Mahon en 1877-1879, il est possible que, s’étant soumis dans un premier temps, il soit forcé de se démettre dans un second. Si personne ne dit ouvertement qu’il y aurait là (peut-être) une solution de sortie de crise c’est tout d’abord parce que les choses ne sont pas nécessairement mûres dans tous les camps. Pour certains, le temps n’est pas encore venu car il n’y a pas de présidentiable évident. Ce n’est point qu’il y ait pénurie. Bien au contraire ! Il y a pléthore. On pense ici aux partis composant la minorité gouvernante. Parmi les macronistes (ou du moins ceux qui le furent un temps), on compte au moins trois (peut-être quatre) candidats putatifs dont l’un s’est déjà déclaré27. Quant au parti du Premier ministre, il a lui aussi son lot de présidentiables28. Pour d’autres, les choses semblent plus claires. Aux extrêmes, personne ne doute des futurs candidats. Reste que, pour l’instant, l’un des camps est occupé par une affaire judiciaire et l’autre par une fronde partielle d’une partie de ses troupes contre ce candidat par trop automatique. Dans ces conditions, il n’y a, ni pour l’instant ni pour personne, nécessité à réclamer la démission du Président. Cette situation peut rapidement se décanter et les appels à la démission surgir. L’autre proposition, quant à elle ouvertement réclamée par presque tous les partis représentés à l’Assemblée, est la mise en œuvre du scrutin proportionnel. L’avantage non négligeable de cette formule29, outre l’unanimité qu’elle semble recueillir, est qu’elle ne nécessite pas de révision constitutionnelle. Souvent promise30, l’introduction de la proportionnelle dans le cadre des élections législatives n’est jamais mise en œuvre. Ou plus exactement, elle ne le fut qu’une fois pour les législatives de 1986. Le reproche généralement fait à ce mode de scrutin est de ne pas permettre de dégager une majorité alors que le scrutin majoritaire y parviendrait. En fait, cela n’est pas vrai. La preuve en est apportée par l’exemple. Le scrutin proportionnel de 1986 a permis, à l’époque, la formation d’une majorité alors que le scrutin majoritaire n’a pas permis d’en faire émerger une en 2022 et le permit encore moins en 2024. Mieux, le résultat des dernières législatives est proche d’un mécanisme proportionnel puisque la tripartition de l’Assemblée nationale est à peu près représentative de la répartition partisane dans le pays. Reste que presque tous les courants politiques, même dans la minorité gouvernante31, soutiennent qu’il faut réformer le mode de scrutin actuel. On peut pourtant penser que cette volonté aura du mal à se transformer en réalité. C’est que, sous cette apparente unité, se cachent en réalité des volontés très différentes. Tout d’abord, il y a des partisans de l’introduction d’une simple dosede proportionnelle. Autrement dit, seul un pourcentage des députés serait élu à la proportionnelle, les autres continuant de l’être au scrutin majoritaire. On comprend bien qu’ici, toute la question est dans la dose qui serait retenue. Dès lors qu’il y a 577 députés à l’Assemblée, la situation ne sera pas la même selon que 10, 30 ou 50 % sont élus à la proportionnelle. Relève de ce système ce que l’on appelle parfois la proportionnelle avec prime majoritaire32, qui accorde suffisamment de députés au parti arrivé en tête pour lui permettre d’avoir une majorité assez forte et de pouvoir ainsi gouverner sans risque33. Ensuite, la question se pose de savoir si l’on applique la proportionnelle dans le cadre de circonscriptions (le département, comme en 1986) ou si la Nation tout entière constitue une unique circonscription. En effet, plus la circonscription est grande et plus les élus sont éloignés de leurs électeurs, faisant disparaître tout ancrage territorial, plus les partis jouent un rôle prépondérant dans le choix des futurs députés, faisant progressivement de l’Assemblée un repaire d’apparatchiks. Ensuite encore, le résultat sera également différent en fonction du seuil de représentativité retenu. Il s’agit en fait de fixer le pourcentage minimum à atteindre pour qu’un parti puisse prétendre participer à la répartition des sièges et donc obtenir des élus. Là encore, en fonction de ce seuil, on peut éliminer du jeu des partis plus ou moins importants, ce qui augmente mécaniquement le nombre d’élus des grands partis. Enfin, une fois même la dose et la circonscription déterminées et le seuil de représentativité fixé, reste à savoir quel scrutin proportionnel est retenu. Il existe au moins deux grands mécanismes de scrutin proportionnel selon que l’on répartit les restes (c’est-à-dire les sièges non pourvus par l’application stricte du pourcentage obtenu par chaque parti) au plus fort reste (ce qui favorise les petits partis politiques) ou à la plus forte moyenne (appelée aussi méthode par diviseur) ce qui favorise les grands partis. Et là encore au sein même de ces méthodes par diviseur, le résultat ne sera pas le même si on applique le « système d’Hondt »34 favorisant les très grands partis ou le « Système Sainte-Laguë modifié »35, favorisant les partis de taille moyenne. Bref, si la formule du sénateur Hervé Marseille « Il ne suffit pas de dire “proportionnelle”, il y a 500 sortes de proportionnelles… » est sans doute excessive, il n’en reste pas moins que chacun peut avoir en vue une proportionnelle différente de celles des autres. Si le Premier ministre s’engage dans la voie de cette réforme36, les débats risquent d’être houleux à l’Assemblée et de déboucher sur une proposition quine contentera que certains et pas d’autres. Peut-être là encore, alors que chacun s’accorde sur une même idée, l’usage de l’article 49 alinéa 3C pourrait permettre de faire adopter la proportionnelle retenue, contentant les uns mais mécontentant les autres. IX – Conclusion On le voit, les prochaines semaines apporteront leur lot de surprises et de nouveautés. Elles donneront un nouvel éclairage sur la réalité de la pratique constitutionnelle : comment notre Constitution fonctionne-t-elle en période de cohabitation minoritaire ? Reste qu’elles confirmeront à n’en point douter que notre régime est incontestablement parlementaire et que le Premier ministre est bien, sauf s’il ne le souhaite pas, la clef de voûte des institutions. La Constitution résistera-t-elle à ce nouveau défi ? La réponse est moins constitutionnelle que politique. Nous venons de montrer que, même en mode dégradé, les dispositions constitutionnelles peuvent permettre de gouverner. Mais, comme en tout, il y a une limite. En fait cela dépendra surtout des appétits des uns et des autres pour la magistrature suprême, qui sont sans doute le plus grand danger auquel elle devra faire face. Si l’un des extrêmes se sent prêt, il poussera les exigences législatives au-delà du raisonnable37 pour trouver une justification au vote de la censure déposée par d’autres et rendra alors impossible la constitution d’un nouveau gouvernement minoritaire. Le plus probable est que la situation se tende avant que le Président ne puisse à nouveau dissoudre. Mais même si la dissolution est prononcée, ces législatives donneront-elles la stabilité attendue ? Il faut en tous les cas s’interroger sur la pertinence des dernières modifications qui ont affecté le fonctionnement pour éviter qu’une autre modification ou qu’une dissolution hasardeuse ne vienne rendre inéluctable un changement politique plus profond, voire un changement de République. https://www.actu-juridique.fr/constitutionnel/premieres-reflexions-sur-le-fonctionnement-de-la-ve-republique-six-mois-apres-la-dissolution-du-9-juin-2024/
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lifextime · 4 months ago
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"Tout est fait pour transmettre solidement le charme de 'Romance of the Three Kingdoms' - Interview de M. Shō Chikuhiko sur 'Shin Sangokumusō ORIGINS' [TGS 2024]."
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"Le 'Tokyo Game Show 2024' se déroule à Chiba, au Makuhari Messe, du 26 au 29 septembre. Dans cet article, nous vous proposons une interview de M. Shō Chikuhiko, le producteur de 'Shin Sangokumusō ORIGINS'."
'Shin Sangokumusō ORIGINS' est le dernier opus de la série 'Shin Sangokumusō', qui permet de profiter d'une action exaltante dans le monde de 'Romance of the Three Kingdoms'. Lors de l'émission officielle du TGS diffusée le 26, diverses nouvelles informations ont été révélées, y compris que les événements s'étendront de la Rébellion des Turbans Jaunes à la bataille de Chibi, et que le nombre de généraux accompagnateurs jouables sera de neuf, attirant ainsi l'attention des fans.
C'est donc avec M. Shō Chikuhiko, le producteur du jeu, que nous avons réalisé une interview. Nous avons discuté de diverses questions, en nous concentrant principalement sur les nouvelles informations annoncées.
"Prendre le risque de susciter la résistance des fans en introduisant délibérément de nouveaux axes"
―― La diffusion en direct du 26 a été riche en nouvelles informations. Le fait de dépeindre les événements allant de la bataille des Turbans Jaunes à la bataille de Chibi a été particulièrement surprenant. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous avez choisi de faire de Chibi le point culminant ?
Il y a beaucoup de drames et de films sur 'Romance of the Three Kingdoms', mais si l'on devait tout traiter depuis le début, cela prendrait littéralement des dizaines, voire des centaines d'heures, car c'est une histoire d'une ampleur incroyable. Même le manga 'Romance of the Three Kingdoms' de Mitsuteru Yokoyama compte 60 volumes. Donc, si l'on essaie de représenter l'ensemble de 'Romance of the Three Kingdoms' dans un seul jeu, il est inévitable que certaines parties que nous voulons vraiment montrer ne puissent pas l'être. C'est pourquoi nous voulions trouver une solution à ce problème cette fois-ci.
Bien sûr, je m'attendais à ce que diverses opinions émergent, mais en pensant à la nécessité de transmettre correctement le charme de 'Romance of the Three Kingdoms', il n'est pas réaliste de créer un seul jeu qui couvre des événements comme la bataille de Wujun et au-delà. Pour être honnête, même couvrir jusqu'à Chibi représente une quantité de contenu énorme. Mais nous tenions à montrer le moment où les Trois Royaumes se confrontent, car cela fait partie d'une histoire unique. C'est pourquoi nous avons fait l'effort de nous limiter à Chibi.
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En particulier, cette fois-ci, nous souhaitions créer quelque chose de riche non seulement pour les fans de la série, mais aussi pour ceux qui n'ont jamais joué à 'Shin Sangokumusō'... Surtout en Occident, où beaucoup de gens ne connaissent pas très bien 'Romance of the Three Kingdoms', il était important pour nous de transmettre avec précision et soin le charme de 'Romance of the Three Kingdoms'.
―― Néanmoins, il est essentiel de ne pas omettre la bataille de Chibi.
"La coalition des forces de Cao Cao, Sun Jian et Liu Bei, qui formeront plus tard les Trois Royaumes, n'a jamais eu lieu avant Chibi. C'est donc le premier grand point culminant de l'histoire. Il serait inacceptable de donner le titre 'Romance of the Three Kingdoms' sans représenter cet événement. Toutefois, comme vous le savez, les Trois Royaumes ne se forment qu'après Chibi. J'ai reçu plusieurs critiques du genre 'Si c'est juste jusqu'à Chibi, alors ce n'est pas vraiment les Trois Royaumes' (rires). Néanmoins, il était impératif de dépeindre au minimum le moment où ces trois forces se rassemblent."
―― Dans la version jouable présentée cette fois, la bataille de Suiquankuan a été montrée, et lors de la diffusion en direct d'hier, la bataille de Guandu a été dévoilée. Combien de batailles sont prévues au total ?
Je ne peux pas donner de chiffres précis, mais le volume de contenu ne sera en rien inférieur à celui des précédents opus de la série. Il y a encore beaucoup de batailles issues de 'Romance of the Three Kingdoms' et des chroniques historiques que nous n'avons pas encore traitées dans 'Shin Sangokumusō'.
En particulier, cette fois-ci, nous avons réduit le nombre de généraux, ce qui signifie que les joueurs auront davantage d'opportunités de découvrir comment chaque général a traversé diverses batailles pour rejoindre les camps de Liu Bei ou Sun Jian. Ces batailles n'ont jamais été abordées auparavant. Je pense que même pour les fans de la série ou ceux qui ont lu 'Romance of the Three Kingdoms', il y aura beaucoup de moments où ils se diront 'Ah, c'est ça !'.
En jouant à ce jeu, je pense que les joueurs pourront en apprendre davantage sur 'Romance of the Three Kingdoms'.
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―― Le fait qu'il y ait neuf généraux accompagnateurs a également eu un impact considérable.
J'étais préparé à ce que les fans de la série réagissent négativement. Je ne fais pas beaucoup de recherches sur moi-même, mais je suppose qu'il y a eu beaucoup de critiques virulentes (rires).
(Le choix de n'avoir que neuf généraux accompagnateurs) découle de la même raison que celle dont nous avons discuté précédemment, à savoir comment transmettre correctement le charme de 'Romance of the Three Kingdoms' à ceux qui ne connaissent pas bien l'œuvre. Si l'on lit le roman comme une fresque collective, cela peut être plus facile à comprendre, mais jouer avec des dizaines de personnages de différents camps rend difficile la compréhension du fil narratif de 'Romance of the Three Kingdoms' et des motivations derrière les actions des personnages.
Cependant, cette fois-ci, en établissant un protagoniste original... qui de surcroît a perdu la mémoire. Grâce à ce protagoniste, les joueurs pourront découvrir l'univers de 'Romance of the Three Kingdoms' et en apprendre davantage sur chaque général avec un regard neutre. Même ceux qui ne connaissent pas du tout 'Romance of the Three Kingdoms' pourront comprendre l'histoire naturellement en jouant aux côtés du protagoniste.
Bien sûr, je comprends que les gens souhaitent contrôler des personnages comme Guan Yu, Zhao Yun ou Zhou Yu, mais si nous avions trop de généraux, nous ne pourrions pas développer l'histoire de manière profonde du point de vue du protagoniste. Nous essayons vraiment de trouver un équilibre juste, et je pense qu'en ayant trois personnages de chaque camp de Cao Cao, Sun Jian et Liu Bei, nous pourrions représenter l'histoire, les personnages et l'action de manière attrayante.
Si nous avions 40 personnages jouables, nous ne pourrions pas approfondir les actions de chacun. En cherchant à représenter les généraux en dehors du protagoniste de manière approfondie et à maximiser leur attrait en tant que jeu d'action, j'ai jugé qu'environ neuf personnages était le nombre approprié.
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―― Dans cette version jouable, même si vous changez de général accompagnateur, le contrôle revient au protagoniste après un certain temps. Quel est l'objectif de ce choix ?
Si les joueurs pouvaient jouer indéfiniment avec un général puissant, ils commenceraient à ressentir les émotions et les sensations de ce personnage, ce qui transformerait complètement le jeu. Cette fois, le protagoniste n'est pas un général d'exception dès le départ. C'est pourquoi je pense qu'avoir des généraux accompagnateurs qui peuvent libérer leur pleine puissance pendant un temps limité permet de mieux exprimer à quel point ces généraux sont incroyables, en les comparant au protagoniste.
―― Les conditions de changement de général vont-elles varier selon les batailles ?
En général, le changement se fait sur une base commune pour toutes les batailles, et il sera possible de changer après un certain temps. Cependant, pour certaines batailles, selon la situation, il peut y avoir des possibilités de changement immédiat dès le départ. Je ne peux pas donner de noms spécifiques, mais pour une bataille célèbre, c'est effectivement le cas. Nous avons également apporté quelques ajustements pour que certains combats permettent un changement un peu plus rapide que d'autres, mais la base reste essentiellement la même.
"Une exploration approfondie des personnages et de l'histoire grâce à un protagoniste original"
―― Pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous avez introduit des fins multiples ?
Lorsque l'on joue avec un protagoniste anonyme et que l'on découvre 'Romance of the Three Kingdoms' avec un regard neutre, il serait étrange que, lors du climax de la bataille de Chibi, le protagoniste ne décide pas avec qui il va se battre. C'est pourquoi, à un certain moment, le joueur devra choisir un chemin parmi ceux de Cao Cao, Sun Jian ou Liu Bei, mais je pense que c'est une bonne idée, même si c'est un peu prétentieux de ma part.
Il y a plusieurs conditions, comme la contribution au camp choisi, mais autour du milieu du jeu, le joueur devra faire un choix concernant le camp. Cependant, au moment des événements comme la Rébellion des Turbans Jaunes ou la coalition contre Dong Zhuo, tous les personnages sont en quelque sorte des alliés, n'est-ce pas ? Dong Zhuo, à ce stade, est même considéré comme un allié d'une certaine manière. Après avoir vécu des moments de communication en tant qu'alliés, lorsqu'il s'agit de choisir qui soutenir et qui combattre, cela peut devenir assez déroutant.
Si, au début du jeu, on demande 'Quel camp préfères-tu ?', on pourrait répondre facilement 'Je préfère Cao Cao, donc je choisis Wei'. Mais après avoir passé du temps ensemble en tant qu'alliés, et par exemple, si le camp de Sun Jian vous dit 'On t'aime bien, viens avec nous', il est inévitable que des liens se créent. Et si Liu Bei ou Cao Cao vous disent également 'Viens avec nous !', cela rendra le choix beaucoup plus difficile. C'est là que réside une expérience unique que seul un protagoniste original peut offrir.
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―― Les faits historiques eux-mêmes vont-ils changer ?
C'est quelque chose qui revient souvent. En fait, depuis le premier jeu, 'Dynasty Warriors' a toujours exploré des histoires alternatives ('IF'). Finalement, les Trois Royaumes se sont tous effondrés sans jamais réussir à s'unir. C'est précisément parce que c'est un jeu que 'Dynasty Warriors' a constamment décrit une histoire 'IF' où Wei, Wu et Shu unissent leurs forces à la fin. D'une certaine manière, nous n'avons jamais fait autre chose que de l'IF.
Si nous avions suivi la fin historique à la bataille de Chibi, Cao Cao aurait eu une conclusion où il perdrait complètement, et cela ne serait pas vraiment acceptable. C'est là que l'IF entre en jeu, mais le fil conducteur de l'histoire est basé sur 'Romance of the Three Kingdoms'. Cela rejoint notre objectif initial, qui est de savoir comment transmettre avec soin le charme de 'Romance of the Three Kingdoms'. Je pense que nous n'avons pas encore complètement réussi cela, donc cette fois-ci, nous souhaitons vraiment respecter cette œuvre.
Cela dit, si nous restions fidèles à l'‘écriture’ telle quelle, nous aurions déjà couvert tout cela dans les précédents jeux de 'Dynasty Warriors', et les gens diraient 'Je le sais déjà'. Donc, tout en introduisant des éléments 'IF', l'histoire et le cadre uniques de ce jeu, avec un protagoniste original, se développeront de manière à croiser l'intrigue de 'Romance of the Three Kingdoms'. Nous ne voulons pas détruire l'histoire de l'‘écriture’. Au contraire, il y a des éléments uniques à ce jeu qui donneront vie à cette histoire, permettant ainsi aux amateurs de 'Romance of the Three Kingdoms' de profiter de l'expérience avec un regard neuf.
―― Il me semble que l'importance accordée à l'histoire est extrêmement rare dans cette série.
Les impressions varient selon les joueurs. Par exemple, dans 'Dynasty Warriors 4', il s'agissait principalement d'ajouter des éléments narratifs entre les batailles, mais toutes les histoires des généraux étaient présentes, donc on peut dire que l'histoire a été traitée en profondeur. 'Dynasty Warriors 6' a proposé un récit linéaire pour chaque faction, et il a été réalisé de manière très fidèle à 'Romance of the Three Kingdoms'. Dans ce sens, '6' a également bien développé son histoire.
Cependant, en comparaison avec ces précédents volets, la densité de l'histoire dans ce jeu est sans précédent. '6' couvre des événements allant de la Rébellion des Turbans Jaunes jusqu'à la période des Jin, mais cette longueur a pu amener une certaine superficialité. Par exemple, dans les anciennes séries, la Rébellion des Turbans Jaunes se terminait généralement par la défaite de Zhang Jiao. Mais cette fois-ci, nous avons consacré tout un chapitre à la Rébellion des Turbans Jaunes. Nous avons également ajusté l'apparence et la personnalité de Zhang Jiao pour l'adapter à l'intrigue actuelle, car l'approche précédente ne convenait pas au récit que nous voulons raconter.
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La concrétisation d'un défi axé sur le « ressenti du champ de bataille »
―― Lorsque j'ai joué à la bataille de Sui Shui dans la version démo, j'ai réalisé à quel point les forces en présence étaient énormes, et j'ai eu le sentiment de n'être qu'un simple soldat au milieu de tout cela. Cela m'a fait réfléchir à la possibilité que le protagoniste soit englouti par la multitude, ce qui représente un défi considérable. C'est un aspect sur lequel vous avez particulièrement insisté, n'est-ce pas ?
Oui, c'était un objectif dès le départ. Cette série a toujours été conçue autour du concept de 'l'immersion sur le champ de bataille', mais nous avons toujours eu du mal à bien exprimer le sentiment de collaboration avec les alliés.
Nous avons tenté divers défis au fil des séries, mais simplement avoir beaucoup de soldats sur le terrain ne permet pas de capturer ce ressenti du champ de bataille. Il est essentiel que les ennemis et les alliés se déplacent ensemble, se heurtent et combattent de manière cohérente, mais jusqu'à présent, nous étions limités par la puissance matérielle et les contraintes techniques. Cette fois-ci, nous avons vraiment réussi à aller jusqu'au bout de cela. En conséquence, tout le monde se déplace en harmonie, comme un grand groupe qui affronte la bataille ensemble.
En fait, comme vous l'avez mentionné, il arrive effectivement que le protagoniste se perde dans la foule. Mais lors du développement, j'avais plutôt l'impression de me dire 'Perds-toi complètement dans la foule !'. Bien sûr, il n'est pas souhaitable de sacrifier la jouabilité, donc nous avons essayé de faire en sorte que le joueur ne perde pas de vue la position du protagoniste. Cependant, il y a des limites à ce que nous pouvons faire. Nous avons envisagé diverses idées, comme rendre l'environnement autour du protagoniste semi-transparent, mais cela nuirait à l'ambiance du champ de bataille. Après de nombreuses expérimentations, je pense que nous avons trouvé un bon équilibre qui permet de créer cette sensation d'être en mouvement avec les autres et de se sentir réellement inclus dans l'action.
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―― Le système de « stratégies de bataille » permettant de donner diverses instructions aux soldats de garde est l'une des nouvelles fonctionnalités. Cependant, dans la version démo et lors de la diffusion en direct précédente, il y avait quelques différences dans les options disponibles. Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur ce système ?
Les 'stratégies de bataille' font également partie des éléments de progression, et le nombre de types de stratégies que vous pouvez utiliser augmentera au fil du temps. Au final, il y aura une dizaine de stratégies disponibles, mais vous pourrez en configurer seulement trois à la fois. À titre d’information, le nombre de soldats de garde augmentera également. Cela constitue un élément de rejouabilité : en même temps que vous augmentez le nombre de soldats, vous pourrez également développer vos stratégies, et chacun pourra les adapter à son propre style de jeu.
Par exemple, vous pouvez choisir de toujours activer les mêmes trois stratégies ou, au contraire, les changer en fonction des batailles ou des niveaux. Comme nous l'avons montré lors de la diffusion sur 'la bataille de Guan Du', il existe une stratégie appelée 'Tir groupé'. Lorsqu'elle est utilisée depuis un endroit en hauteur, elle déclenche un effet spécial qui réduit le moral des ennemis à proximité. Chacune des stratégies a donc des effets spécifiques qui se déclenchent dans des situations particulières.
Par exemple, sur une scène avec des dénivelés, vous pourriez vouloir toujours inclure 'Tir groupé', tandis que sur un terrain ouvert avec de nombreux ennemis, il serait judicieux d'utiliser 'Charge de cavalerie'. De plus, si vous n'êtes pas à l'aise avec les actions, vous pouvez donner des ordres pour que vos soldats adoptent une formation défensive autour de vous. Ces 'stratégies de bataille' sont conçues pour élargir les options tactiques des joueurs, donc j'espère vraiment que vous apprécierez cet aspect du jeu.
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―― À propos, prévoyez-vous de sortir une version d'essai ?
Pour l'instant, nous n'avons pas de projet de ce genre, mais nous avons reçu beaucoup de demandes à ce sujet, donc nous souhaitons y réfléchir.
―― Enfin, avez-vous un message pour les fans ?
Cette fois-ci, nous avons apporté de nombreux changements par rapport aux séries précédentes, mais nous nous sommes engagés à créer un jeu qui plaira vraiment aux fans, à ceux qui nous ont soutenus et ont joué jusqu'à présent. Je suis conscient que certains peuvent être déçus par la réduction du nombre de généraux jouables, car il y a des demandes pour pouvoir jouer avec plus de personnages, mais cela fait partie de notre démarche pour réaliser le gameplay de ce jeu et pour les 'Musou' à venir. Nous pensons vraiment que ce sera une expérience très agréable en tant que 'Musou'. Donc, j'aimerais vraiment que vous le preniez en main et que vous y jouiez.
De plus, comme je l'ai mentionné précédemment, nous avons conçu ce jeu de manière très soignée pour que même ceux qui n'ont aucune connaissance de 'Romance of the Three Kingdoms' ou de 'Dynasty Warriors' puissent s'amuser. Ainsi, même si vous avez simplement regardé des images du jeu et que cela vous a intrigué, ou si vous vous êtes toujours intéressé à 'Romance of the Three Kingdoms' mais avez pensé que cela serait trop compliqué, j'espère que vous tenterez le jeu. Vous pourrez découvrir l'univers de 'Romance of the Three Kingdoms' avec le protagoniste, et vivre le plaisir essentiel de 'Dynasty Warriors'. Je souhaite que chacun puisse en profiter pleinement.
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source : gamer
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Le Front Populaire 2.0 : La France au bord du précipice ou à l'aube d'un renouveau
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Paris, août 2024 - Les rues de Paris ont retrouvé des airs de 1936, mais sans l'optimisme de l'époque. À l'heure où certains Français chantonnent « Tout va très bien, madame la marquise », d'autres se demandent si la marquise en question n'aurait pas oublié de mentionner que le château est en flammes. C'est ainsi que l'on pourrait résumer l'arrivée fracassante du « Nouveau Front Populaire », un collectif de partis politiques et de mouvements sociaux qui s’est autoproclamé le sauveur d'une France en crise. Mais qui sont-ils, que veulent-ils, et surtout, pourquoi cela fait-il si peur à tout le monde ? Une coalition, ou un cocktail Molotov ? Le Nouveau Front Populaire est composé d'une brochette d'acteurs aussi hétéroclites qu'inattendus : des écologistes radicaux, des syndicats enragés, des révolutionnaires amateurs de Twitter, des anarchistes nostalgiques, et même quelques monarchistes qui espèrent secrètement la résurrection de Louis XVI. Un peu comme si vous mixiez une recette de cuisine de grand-mère avec du wasabi : le résultat est surprenant, mais difficilement digeste. Ce collectif a pour objectif ambitieux de « refonder la République », rien que ça ! Et comment comptent-ils y parvenir ? Par une série de mesures révolutionnaires, dont la nationalisation des boulangeries, l'obligation de porter des bérets en public, et la réquisition de tous les trottinettes électriques pour former une milice de défense nationale. Oui, vous avez bien lu. La fin des haricots, ou juste le début des problèmes ? Les critiques ne se sont pas faites attendre. Entre les uns qui crient au retour des heures sombres et les autres qui voient en ce mouvement le dernier espoir pour sauver la planète, les débats sont aussi enflammés que les poubelles lors des dernières manifestations. Le président, quant à lui, a qualifié ce nouveau Front Populaire de « plus grande menace pour la République depuis l'invention de la raclette ». Une déclaration qui a été reçue avec une légère perplexité, même chez ses plus fervents partisans. Mais qu'importe ! Le Nouveau Front Populaire avance, fier et déterminé, tel un troupeau de moutons sur une autoroute. Ses partisans se multiplient, galvanisés par des slogans comme « Du pain, des roses, et des grèves illimitées » ou « Moins de travail, plus de révolution ». La France tremble, mais est-ce de peur ou de rire ? L'Apocalypse, maintenant ? Alors que les rues se remplissent de cortèges aux revendications aussi variées que contradictoires, la France semble se diriger tout droit vers un chaos organisé, ou plutôt une farce politique dont elle seule a le secret. Certains prophétisent déjà un effondrement imminent, tandis que d'autres y voient simplement un épisode supplémentaire dans la grande tradition de la comédie française. Quoi qu'il en soit, une chose est sûre : le Nouveau Front Populaire ne laissera personne indifférent. Entre les slogans déjantés, les propositions farfelues, et les alliances improbables, cette coalition improbable pourrait bien marquer l’histoire. Reste à savoir si ce sera pour le meilleur ou pour le pire. En attendant, chers lecteurs, restez à l'affût, car la révolution est en marche. Et si vous entendez des cris dans la rue, ne vous inquiétez pas : c'est peut-être juste votre voisin qui a enfin décidé de jeter sa trottinette électrique par la fenêtre. Read the full article
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jogallice · 7 months ago
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09/06/24-30/06/24-07/07/24
Quatorzième billet politique : vingt-huit jours que la dissolution a été annoncée par le président de la République et le jour même du second tour des élections législatives.
On nous avait vendu une soirée électorale historique et c’est effectivement une sacrée soirée électorale.
Il était évident que le Rassemblement National ne pouvait avoir ni majorité absolue, ni majorité relative mais quelle douche froide pour l’extrême droite qui a largement sous-estimé la puissance du front républicain dans notre pays. Même si le RN est le parti qui devrait compter le plus de député·es à l’Assemblée nationale, il n’est qu’en troisième position ce soir. Nous pouvons souligner la clairvoyance d’Éric Ciotti qui a fait le coup de sa vie en pariant très bêtement sur le mauvais cheval. Idem pour Martial Saddier, le président du conseil départemental de la Haute-Savoie, qui s’est déclaré pour l’extrême droite entre les deux tours. Là encore, quelle vision, quel sens politique. Bref, cela n’a plus aucune importance mais il ne faudra jamais oublier celles et ceux qui se disent à droite alors qu’elles et qu’ils lorgnent méchamment vers l’extrême droite.
Le plus étonnant ce soir, c’est de voir Ensemble (Renaissance, MoDem et Horizons) limiter fortement la casse. Le souffle du canon, ça doit être une sacrée expérience. Cela ne va nullement empêcher la majorité présidentielle de devoir se réinventer sérieusement et même s' il est en deuxième position, on se demande bien ce qu’elle va bien pouvoir faire.
Le Nouveau Front Populaire est arrivé en tête et la bonne nouvelle, c’est que LFI ne sera plus majoritaire au sein de l’union de la gauche. Les autres composantes, dont principalement le PS, ont bien progressé et quel plaisir que de voir les sociaux-démocrates reprendre du poil de la bête. La question est de savoir si l’extrême gauche de Jean-Luc Mélenchon a des chances, ou pas, de conserver le “leadership”. J’ai le plus grand mal à penser que la gauche modérée puisse tomber dans le piège mais depuis les résultats de ce soir, on voit les Insoumis tisser leurs toiles un peu partout. Quoi qu’il en soit, cette première place, même sans majorité, devrait permettre d’ouvrir quelques portes, ou pas.
Pour ma part, j’avais espéré un contrat de coalition, la seule solution possible pour la France à court, moyen et long terme, mais vu ce que j’ai entendu ce soir sur les plateaux de télévision, je pense que c’est tout de même assez mal engagé.
Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé qu'il remettrait sa démission demain matin mais qu’il restera à Matignon "aussi longtemps que le devoir l'exigera", dans le contexte des Jeux olympiques. "Aucune majorité absolue ne peut être conduite par les extrêmes", ajoute-t-il.
Quant au président de la République, pas de prise de parole d'Émmanuel Macron ce soir, le chef de l'État attendra la "structuration" de la nouvelle Assemblée pour "prendre les décisions nécessaires".
Je termine avec les résultats des départements savoyards, totalement attendus, les dix député·es sortant·es ont été réélu·es face aux dix candidat·es de l’extrême droite.
La suite au prochain épisode…
Politiquement vôtre,
J.-O.
📷 JamesO PhotO à Annecy le vendredi 05/07/24 📸
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vertus-fruits-et-legumes · 10 months ago
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EN DIRECT Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal. Retrouvez sur cette page notre couverture de l'élection présidentielle du 24 mars au Sénégal. Kafunel vous propose des articles, photos et vidéos produits lors du scrutin de ce 24 mars au Sénégal. Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 1 Les Sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024 dans les différentes régions que compte le pays. Cette élection présidentielle est le 12e que le pays connaît depuis son indépendance en 1960. Ils choisissent le cinquième président de la République. C’est une journée électorale relativement calme qu’a connu le Sénégal, après des périodes mouvementées de la crise politique. Une journée calme dans l’ensemble Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 3 Tout s’est bien passé, indiquent les observateurs de cette élection ainsi que les candidats et autres acteurs politiques du pays. Il n’y a pas eu d’incident majeur à signaler à travers tout le territoire. Les 7,3 millions d'électeurs convoqués dans les urnes ont fait massivement le déplacement. Les autorités en charge de l’organisation de cette élection indiquent que le taux de participation avoisine les 60%. Le direct Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 7 Déjà à la fin de la matinée, presque tous les candidats ont voté. Sauf un, Mouhamed Boun Abdallah qui a été évacué en France dans la nuit de samedi à dimanche pour des soucis de santé. Tous les candidats, après avoir voté, ont appelé leurs partisans à la paix et au calme. Ils ont salué le bon déroulement des opérations de vote et émis leur souhait que cette sérénité prévale jusqu’à la fin du processus. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a déclaré le président sortant Macky Sall au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick. Ousmane Sonko, quant à lui, a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année et à être vigilant pour la suite. « La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage », a-t-il déclaré après le vote. Le candidat Bassirou Diomaye Faye, après avoir appelé ses partisans au calme, a souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection. Amadou Ba, candidat de la Coalition au pouvoir, qui a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée, a aussi appelé au calme et s’est réjoui du bon déroulement des opérations. Même son de cloche au niveau des autres candidats qui ont accompli leur devoir dans leurs différents centres de vote. Cependant, certains électeurs, notamment ceux qui devraient voter au centre de vote du lycée Keur Massar, ont eu quelques soucis pour pouvoir faire leur devoir. Ce qui a provoqué leur colère dans ce centre de vote. Difficultés des électeurs à Keur Massar Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 5 Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer. Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ». Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre viking d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne
peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter. Posté à 20:4120:41 Election présidentielle 2024 au Sénégal : Que retenir de la journée électorale et à quand les résultats ? déroulement du vote à la mi-journée La journée électorale a connu un calme en général au Sénégal, dans le cadre de l'élection présidentielle ce dimanche 24 mars 2024. 18:50 Election présidentielle 2024 au Senegal : Début de dépouillement après la fermeture des bureaux de vote élection présidentielle du 24 mars au Sénégal Les bureaux de vote ont fermé depuis 18 heures au Sénégal. L’opération de dépouillement et de décompte des voix a commencé dans plusieurs bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs ainsi que représentants des différents candidats. 18:06 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Les médias jouent un rôle important tout au long d’un processus électoral. Au Sénégal, les journalistes n’ont pas fait exception. Directs, interviews, reportages et analyses, tous les formats sont au rendez-vous. L’Agence de Presse du Sénégal, APS, par exemple, a déployé des envoyés spéciaux dans plusieurs parties du pays pour suivre le déroulement du scrutin. De l’autre côté, le portail d’informations Seneweb a dressé les profils des différents candidats tout en analysant leurs chances de remporter cette présidentielle. La Radio & Télévision Sénégalaise, RTS, a organisé des plateaux spéciaux consacrés au scrutin. La RTS a également diffusé des interventions de personnalités comme le président sortant Macky Sall. Il y a aussi le Groupe Futurs Médias (radio, télévision et site web) qui a donné la parole aux électeurs sur ses plateformes. Plusieurs autres médias traditionnels et en ligne suivent de près le déroulement du scrutin et publient régulièrement des mises à jour. Posté à 17:4417:44 Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Progressivement, la journée de vote touche à sa fin. Si dans la plupart des centres de vote, l’opération s’est déroulée dans le calme et la sérénité, ce n’est pas le cas au centre de vote du lycée de Keur Massar. Un certain nombre d’électeurs ont, toute la journée, exprimé leur mécontentement parce qu’ils n’ont pas pu voter. Ce qui s’est passé Jusqu’en 2021, Keur Massar faisait partie du département de Pikine. Et tous les électeurs dont les cartes portent l’inscription « département de Pikine » pouvaient voter sans difficulté. Mais depuis que Keur Massar a été érigé en département en 2021, la donne a changé. De nouvelles cartes ont été confectionnées aux électeurs qui votaient à Keur Massar. Ces derniers, qui ne pourront plus voter avec leurs anciennes cartes, devraient aller retirer les nouvelles qui portent l’inscription « département de Keur Massar ». Mais selon ces électeurs, l’information n’a pas circulé. Ce matin, c’est la colère qui se lisait sur leur visage. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que le département a été déplacé à Keur Massar », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. « Sur ma pièce, c’est le département de Pikine au lieu de Keur Massar. Mais quand j’ai vérifié au bureau de vote N°2 avec le président, il a vu effectivement que mon nom se trouve sur la liste, mais que je ne peux pas voter. Juste le département Pikine qui dérange », explique Maman Aissata Camara électrice.
Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre de vote d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Aujourd’hui, ils ont eu la grande surprise de ne pas pouvoir voter parce que sur leur carte c’est bien écrit département de Pikine au lieu de département de Keur Massar », précise-t-elle. Il y a quelques heures, le président de la CENA est intervenu en disant que son institution est en discussion avec la Direction générale des élections (DGE) pour voir les mesures à prendre pour permettre à ces électeurs d’accomplir leur devoir civique. Il a même indiqué que la Commission a demandé que ces électeurs votent, mais que l’information n’est pas parvenue aux responsables des centres de vote à temps. 15:43 Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les citoyens sénégalais auront le choix d’élire le successeur de Macky Sall dans une élection particulière. →À lire aussi Découvrez ici pourquoi : Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 14:5914:59 "Un processus calme, efficace et ordonné" - le bilan à mi-parcours de la Cheffe de la mission d’observation de l’UE Malin Björk, cheffe de la mission d’observation de l’Union Européenne, partage un bilan de la matinée de ce dimanche 24 mars dans les bureaux de vote visités par leurs observateurs. L’UE a déployé une centaine d’observateurs pour observer la présidentielle sénégalaise. Posté à 14:4314:43 Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants » Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants »-2 Bassirou Diomaye Faye un des favoris de la présidentielle, a dit toute sa confiance de remporter l’élection dès le premier tour. Il s’est exprimé après avoir effectué son devoir citoyen dans son village natal, à Ndiaganiao, dans le département de Mbour. « Je demeure confiant quant au choix de la rupture que je suis à même d’incarner cette rupture mieux que quelconque candidat. Je demeure convaincu que cette élection se jouera dès le premier tour. Au sortir de cette élection présidentielle, il n’y a pas de raisons que la tradition démocratique ne soit pas perpétuée, à savoir que le vainqueur soit félicité par le vaincu pour un retour définitif à la sérénité », a-t-il déclaré après son vote. Pour sa part, le candidat du pouvoir l’ancien premier ministre Amadou Ba s’est montré confiant tout en exprimant son souhait que le nouveau président soit connu « dès lundi ». « Mon souhait le plus ardent est que dès demain, les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président et qu’ils puissent vaquer tranquillement à leurs occupations. Les Sénégalais ont besoin d’un président qui va répondre à leurs besoins ». « Je suis très très confiant quant à l’issue du scrutin dès le premier tour, au regard de l’effervescence que notre campagne a suscité », a réagi Amadou Ba. Posté à 14:1614:16 Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal-2 Parmi les candidats les plus en vue figurent on compte des personnalités politiques de premier plan, avec une longue expérience des affaires étatiques, mais aussi des dirigeants de partis d'opposition bien implantés dans le landerneau politique, ainsi que des candidats indépendants avec de riches parcours professionnels. →À lire aussi Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Posté à 13:2013:20 Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême
L’une des particularités de cette élection présidentielle au Sénégal, c’est qu’elle se déroule en pleine période de jeûne du Ramadan. Même si la Constitution ne fait pas de l’islam la religion de la République sénégalaise, la forte proportion de musulmans, plus de 94%, fait du pays l’un des plus islamisés d’Afrique noire. La période du Ramadan est sacrée pour cette communauté qui s’abstient de boire et de manger de l’aube jusqu’au coucher du soleil pour effectuer le jeûne. La coïncidence de la période avec l’élection présidentielle de dimanche 24 mars fait un peu grincer les dents. Beaucoup pensent que ce moment de recueillement et de silence chez les Sénégalais a eu un impact sur la campagne électorale et donc va déteindre sur la mobilisation dans les bureaux de vote ce dimanche. Néanmoins ils ne sont pas tous du même avis. Pour certains, le vote est un devoir civique et donc même en temps de Ramadan, chacun pourra accomplir ce devoir sans que cela impacte son jeûne. C’est le cas de cette Sénégalaise qui pense que le Ramadan n’a vraiment pas impacté la campagne électorale. « Le Ramadan ne nous pénalise pas du tout. Nous partons battre campagne, et le soir nous revenons préparer le repas pour nos familles. Nous vivons la campagne comme d’habitude », dit-elle. « Le carême n’a pas gêné la campagne. Et je pense que le jour du scrutin ça ne dérangera pas », renchérit une chrétienne, également en période de jeûne. Pour d’autres, le temps de carême étant un moment de silence et de communion avec son Dieu, il a eu des répercussions sur la campagne électorale et ce sera probablement la même situation le jour de vote. « J’ai remarqué qu’il n’y a pas eu beaucoup de monde pour les caravanes pendant la campagne, parce qu’on est dans le mois de ramadan qui est un temps de cœur à cœur et de silence avec son Dieu. C’est un peu difficile de lier ça avec la campagne », constate un autre. Pour lui, il n’y a pas eu beaucoup d’ambiance lors de la campagne comme ce qu’on a vécu lors de la présidentielle de 2019. 13:04 «Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le ministre sénégalais de l'intérieur Mouhamadou Makhtar Cissé, vient de voter dans sa ville natale de Dagana, au Nord du Sénégal. Après avoir voté,Mouhamadou Makhtar Cissé a exprimé sa vive joie de pouvoir remplir son devoir civique. Le ministre a également indiqué qu'il reviendra à Dakar après avoir voté pour superviser la suite du processus depuis la capitale. Il a appelé tout le monde à rester calme et à maintenir une attitude pacifique durant tout le processus. « Le jour des élections doit être un jour démocratique, il ne doit pas être un jour de tension et de violence. » Mouhamadou Makhtar Cissé a appelé les candidats à mettre en avant le Sénégal et à se rappeler que le pays transcende les individus. 12:16 Présidentielle 2024 : Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Présidentielle 2024 Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Après avoir effectué son devoir civique au centre Thierno Mamadou Sall de Fatick (centre) accompagné de la première dame Marième Faye Sall, le président sortant Macky Sall s’est exprimé devant la presse, invitant les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats. Ce soir les bureaux de vote vont parler, cela reflétera le choix des Sénégalais. Nous espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a conclu le président Macky Sall qui n’est pas candidat à sa propre succession. Non candidat à la présidentielle, le leader de l’opposition Ousmane Sonko a voté dans son fief à Ziguinchor (sud) avant de réagir face aux journalistes. Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 8 « Nous observons une forte affluence des sénégalais de la diaspora et de l'intérieur du pays. Je crois qu'on n’a jamais vu une telle affluence dès les premières heures de scrutin.
Je n’ai aucun doute que notre candidat Bassirou Diomaye Faye sera largement élu, et ça dès le premier tour ». « Je lance un appel au calme et à la sérénité et j’invite le ministre de l’intérieur à prendre toutes les mesures pour sécuriser le vote », a-t-il ajouté. Posté à 12:1612:16 Bassirou Diomaye Faye vient de voter Bassirou Diomaye Faye vient de voter Le candidat Bassirou Diomaye Faye vient d'accomplir son devoir civique dans sa ville natale, Ndiaganiao. Il a appelé à la paix après des mois de tensions politiques. Il est le candidat de la coalition Diomaye Président pour la présidentielle au Sénégal. 11:40 Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 11:1211:12 Des électeurs réagissent après leur vote C’est dimanche de vote au Sénégal. Les 7,3 millions d’électeurs se rendent dans les urnes aujourd’hui pour élire leur cinquième président de la République. Tôt ce matin, ils sont déjà nombreux à accomplir ce devoir civique. Les bureaux de vote ont ouvert depuis 8 heures. On retrouve de longs fils d’attente devant chaque bureau de vote dans la plupart des centres de vote où est passée l’équipe de la BBC Afrique. El Hadj Amadou, très content d’avoir accompli son devoir de citoyen, décrit l’ambiance dans son centre de vote : « Le vote s’est bien déroulé pour l’instant, et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé un peu rapidement. Pour moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée ». Il souhaite que la réalité des urnes reflète la volontaire populaire à travers les résultats. C’est un soulagement pour Souleymane qui aussi a voté ce matin. Pour lui, la crise lui a fait perdre tout espoir de vote. Mais il est tout content pour avoir fait le geste. « On a voté, pourvu que ça continue dans le calme », souhaite-t-il. « En attendant la suite, nous patientons. C’est un sentiment de devoir accompli », ajoute Maimouna qui aussi a déjà voté ce matin. Dans l’ensemble, tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux de vote à 8 heures. Ceux-ci fermeront à 18 heures. Les citoyens sénégalais continuent d’affluer vers les centres de vote pour le choix du prochain président de la République. Posté à 9:409:40 Ce qu’on peut savoir du parcours des anciens présidents du Sénégal parcours des anciens présidents du Sénégal Macky Sall n’est pas candidat à la présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024. Il l’a déjà dit lors d’un discours qu’il prononcé le lundi 3 juillet 2023. Le 2 avril prochain prend fin son mandat à la tête du Sénégal. Il compte passer la main à celui qui sera élu prochain président de la République. Il a été élu pour la première fois en 2012 puis réélu en 2019. Après des mois de suspense, il a pris la parole pour annoncer sa décision de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la tête du pays, faisant ainsi décrisper la tension politique dans le pays. Pour Prof Mbaye Thiam, historien et enseignant retraité de l’Ecole des bibliothécaires, archiviste et documentaliste de L'Université Cheick Anta Diop de Dakar, cette élection est l’une des plus incertaines. « Le fait que le président sortant était candidat lui donnait toujours une longueur d’avance sur les autres et on estimait que c’est le candidat le mieux positionné. Ici n’ayant pas ce profil, on a des incertitudes sur les résultats », a-t-il analysé. Avant Macky Sall, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade avaient aussi dirigé le Sénégal. Léopold Sédar Senghor Il était dans un contexte de domination coloniale, selon Prof Mabaye Thiam. Il a eu le privilège de conduire le Sénégal à l’indépendance. Il a instauré une rupture avec le colonisateur de manière douce, ce qui a fait que ce dernier a perdu sa souveraineté politique sur le pays, mais a gardé l’essentiel. « Nous avons substitué la coopération à la colonisation », disait le Général De Gaule. Une indépendance factuelle, car la France gardait encore le Sénégal dans son pré carré, comme le souligne le Professeur d’Université.
En 1981, le président Leopold Sédar Senghor avait démissionné en remettant le pouvoir à Abdou Diouf. Abdou Diouf Il a dirigé le Sénégal pendant 19 ans et 3 mois. C’est le président qui a enjambé les deux périodes, la période coloniale et la période de l’indépendance. Il a succédé à Senghor dans les formes qui ont été décriées à l’époque. Abdou Diouf s’est moulé, selon Prof Mbaye Thiam, dans une forme de continuité du système coloniale vers l’accès à une forme d’indépendance plus ou moins douce mais qui, en réalité, reflétait l’attachement à nos racines de colonisés par la France. Abdoulaye Wade Il a présidé la destinée du Sénégal de 2000 à 2012. C’est lui qui a passé le flambeau à Macky Sall. Il est de la même génération que Senghor. Le président Abdoulaye Wade est aussi né dans le système colonial, avec des préoccupations sur comment améliorer les conditions des Sénégalais dans le système colonial. « Le fait qu’il soit resté longtemps dans l’opposition, qu’il ait enduré la répression d’Abdou Diouf, l’a amené, quand il est arrivé au pouvoir porté par des jeunes, à opérer une certaine forme de rupture, non pas dans le fonctionnement de l’Etat, mais une rupture dans l’objet de l’Etat », a souligné Prof Mbaye Thiam qui a énuméré la bataille du développement que Wade a fait pour le pays. Tout cela a amené un changement d’orientation du système vis-à-vis de Senghor et d’Abdou Diouf, selon lui. 9:09 Des votants dans un bureau de vote de St Louis Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 9 Au centre Abdou Diouf de St-Louis, le vote a démarré à l'heure et les citoyens accomplissent leur devoir civique. Posté à 8:348:34 Des citoyens prêts à voter à Boucotte sud, Ziguinchor Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 13 Au centre de vote Amath Barry, de Boucotte sud à Ziguinchor, les votants sont arrivés en masse pour accomplir leur acte civique. 8:20 Les Sénégalais votent aujourd’hui Les Sénégalais votent aujourd’hui Le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal se déroule ce dimanche 24 mars 2024 sur toute l’étendue du territoire. Les citoyens en âge de voter sont appelés aux urnes aujourd’hui pour élire leur prochain président de la République, le cinquième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sur les 18 millions d’habitants que compte la population sénégalaise, sont appelés à voter ce dimanche. Un chiffre légèrement en hausse par rapport à celui que le pays a connu lors de la présidentielle de 2019 où 6 683 043 étaient inscris sur la liste électorale. Ces votants devront choisir parmi 19 candidats dans la course à la magistrature suprême. Les bureaux de vote s’ouvrent à 8 heures et fermeront dans la soirée à 18 heures. Au Sénégal, depuis le référendum constitutionnel de 2016, le président de la République est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à 2 tours. Macky Sall, le président sortant n’est pas candidat. C’est la première fois au Sénégal qu’un président sortant ne participe pas à l’élection présidentielle. Pour gagner cette élection au premier tour, il faut recueillir la majorité absolue, soit plus de 50% des voix. Si aucun candidat n’obtient ce score, un second tour est organisé dans les deux semaines qui suivent la proclamation des résultats pour départager les candidats arrivés en tête. Il faut attendre au moins 5 jours avant de connaître les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes. 8:11 Bienvenue Bienvenue sur cette page. Nous vous proposerons des articles, photos et vidéos sur le scrutin de ce 24 mars au Sénégal Par Kafunel Sources : BBC.com/Afrique
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lepartidelamort · 3 months ago
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Pays-Bas : le gouvernement menace d’éclater suite à une violente dispute raciale entre le juif Wilders et la marocaine Achahbar.
Ajax / Maccabi, le match retour !
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Nora Achahbar
Mettre des juifs et des arabes dans le même gouvernement devait théoriquement permettre de bâtir une société néerlandaise apaisée, bien loin du racisme des Blancs.
Hélas, ça ne se passe pas comme prévu.
Remix :
La large coalition néerlandaise est en pleine crise, vendredi, après la démission d’une femme politique d’origine marocaine appartenant au parti centriste Nouveau contrat social, qui aurait contesté les remarques faites au sujet des assaillants pro-palestiniens impliqués dans la chasse aux juifs à Amsterdam la semaine dernière. Nora Achahbar était secrétaire d’État aux prestations sociales et aux douanes depuis la formation du nouveau gouvernement néerlandais dominé par le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders. Selon De Telegraaf, la politicienne du NSC s’est opposée au ton des discussions lors d’une réunion du cabinet, lundi, consacrée aux troubles civils survenus à Amsterdam la semaine dernière, au cours desquels des foules musulmanes ont attaqué des Israéliens présents dans la ville à l’occasion du match d’Europa League entre le Maccabi Tel Aviv et l’Ajax, le géant néerlandais. M. Wilders a condamné l’incapacité des autorités d’Amsterdam à empêcher ce qu’il a qualifié de « chasse aux juifs » et a demandé la démission immédiate du maire de la ville. « Nous sommes devenus la Gaza de l’Europe », a-t-il déclaré en critiquant le manque de protection policière et en demandant des comptes aux responsables de la ville, avertissant qu’il ne tolérerait en aucun cas une telle violence. « Condamner la chasse aux Juifs à Amsterdam ne suffit pas. Les auteurs doivent quitter le pays. Cela fait plus de 20 ans que je mets en garde contre la haine croissante des Juifs aux Pays-Bas en raison de la poursuite de l’immigration de masse et de l’islamisation de notre pays », a-t-il ajouté.
Pays-Bas : le juif Wilders désigne l’israélien Gidi Markuszower, ex-espion du Mossad, comme « ministre de l’immigration »
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Les médias néerlandais ont rapporté vendredi que « les choses se sont envenimées » au cours de la réunion du cabinet qui a suivi et que, de l’avis de M. Achahbar, des déclarations racistes ont été faites. On ne sait pas exactement quelles remarques ont été faites ni à qui elles s’adressaient.
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La démocratie multiraciale est un enchantement quotidien contrairement aux sociétés exclusivement peuplées de Blancs
La démission de M. Achahbar devrait être le premier véritable test pour une coalition diversifiée qui est quelque peu fragile étant donné sa composition à travers le spectre politique. En outre, selon certaines informations, d’autres collègues du NSC pourraient la suivre dans cette voie. « Il est tout à fait normal qu’Achahbar mette un terme à ses agissements et démissionne », a déclaré Frans Timmermans, chef de file de l’opposition, qui a profité de l’occasion pour demander un débat d’urgence sur la question au parlement. « Dans ce cabinet, les déclarations racistes sont à l’ordre du jour », a-t-il déclaré.
Ça ne va pas fort pour les juifs dans les sociétés multiraciales qu’ils ont patiemment contribué à mettre en place après la destruction de l’Allemagne nationale-socialiste.
Sur Radio J, la militante ultra-nationaliste juive Benzaquen a parlé de la situation de ses congénères en Europe. Avec la coutumière modestie des juifs, Simone Rodan-Benzaquen a assuré que si les juifs devaient quitter l’Europe, « ce serait la fin de l’Europe » (5’50) sans toutefois apporter la moindre preuve de ce qu’elle avance.
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Si les juifs quittaient l’Europe, ce serait exactement l’inverse qui se produirait : l’Europe entamerait sa guérison, comme à chaque fois que les juifs ont été chassés d’un pays qu’ils parasitaient. Les exemples sont légions. La plupart des gens ne remarqueraient même pas que les juifs se sont évaporés dans la nuit.
Confits d’arrogance, les juifs se pensent la race indispensable à l’univers. C’est d’ailleurs la base de la religion juive : Yahweh a créé le monde pour le juif.
Nous avons affaire à des détraqués. Ils se sont arrogés une influence et un contrôle sur les pays blancs qui se retournent à présent contre eux, du fait même de leur absence complète de scrupules. Les Musulmans qu’ils ont massivement importés sont désormais leurs ennemis déclarés.
C’est très bien comme ça, bien mieux que jadis lorsque le juif se disait l’ami des Musulmans et qu’ils les poussaient à nous attaquer, excitant les tensions raciales contre l’homme blanc. Si demain les Musulmans se calmaient, le juif entreprendrait aussitôt de le dresser à nouveau contre les Européens de souche.
Démocratie Participative
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sports-100-buzz · 10 months ago
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EN DIRECT Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal. Retrouvez sur cette page notre couverture de l'élection présidentielle du 24 mars au Sénégal. Kafunel vous propose des articles, photos et vidéos produits lors du scrutin de ce 24 mars au Sénégal. Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 1 Les Sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024 dans les différentes régions que compte le pays. Cette élection présidentielle est le 12e que le pays connaît depuis son indépendance en 1960. Ils choisissent le cinquième président de la République. C’est une journée électorale relativement calme qu’a connu le Sénégal, après des périodes mouvementées de la crise politique. Une journée calme dans l’ensemble Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 3 Tout s’est bien passé, indiquent les observateurs de cette élection ainsi que les candidats et autres acteurs politiques du pays. Il n’y a pas eu d’incident majeur à signaler à travers tout le territoire. Les 7,3 millions d'électeurs convoqués dans les urnes ont fait massivement le déplacement. Les autorités en charge de l’organisation de cette élection indiquent que le taux de participation avoisine les 60%. Le direct Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 7 Déjà à la fin de la matinée, presque tous les candidats ont voté. Sauf un, Mouhamed Boun Abdallah qui a été évacué en France dans la nuit de samedi à dimanche pour des soucis de santé. Tous les candidats, après avoir voté, ont appelé leurs partisans à la paix et au calme. Ils ont salué le bon déroulement des opérations de vote et émis leur souhait que cette sérénité prévale jusqu’à la fin du processus. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a déclaré le président sortant Macky Sall au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick. Ousmane Sonko, quant à lui, a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année et à être vigilant pour la suite. « La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage », a-t-il déclaré après le vote. Le candidat Bassirou Diomaye Faye, après avoir appelé ses partisans au calme, a souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection. Amadou Ba, candidat de la Coalition au pouvoir, qui a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée, a aussi appelé au calme et s’est réjoui du bon déroulement des opérations. Même son de cloche au niveau des autres candidats qui ont accompli leur devoir dans leurs différents centres de vote. Cependant, certains électeurs, notamment ceux qui devraient voter au centre de vote du lycée Keur Massar, ont eu quelques soucis pour pouvoir faire leur devoir. Ce qui a provoqué leur colère dans ce centre de vote. Difficultés des électeurs à Keur Massar Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 5 Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer. Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ». Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre viking d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne
peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter. Posté à 20:4120:41 Election présidentielle 2024 au Sénégal : Que retenir de la journée électorale et à quand les résultats ? déroulement du vote à la mi-journée La journée électorale a connu un calme en général au Sénégal, dans le cadre de l'élection présidentielle ce dimanche 24 mars 2024. 18:50 Election présidentielle 2024 au Senegal : Début de dépouillement après la fermeture des bureaux de vote élection présidentielle du 24 mars au Sénégal Les bureaux de vote ont fermé depuis 18 heures au Sénégal. L’opération de dépouillement et de décompte des voix a commencé dans plusieurs bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs ainsi que représentants des différents candidats. 18:06 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Les médias jouent un rôle important tout au long d’un processus électoral. Au Sénégal, les journalistes n’ont pas fait exception. Directs, interviews, reportages et analyses, tous les formats sont au rendez-vous. L’Agence de Presse du Sénégal, APS, par exemple, a déployé des envoyés spéciaux dans plusieurs parties du pays pour suivre le déroulement du scrutin. De l’autre côté, le portail d’informations Seneweb a dressé les profils des différents candidats tout en analysant leurs chances de remporter cette présidentielle. La Radio & Télévision Sénégalaise, RTS, a organisé des plateaux spéciaux consacrés au scrutin. La RTS a également diffusé des interventions de personnalités comme le président sortant Macky Sall. Il y a aussi le Groupe Futurs Médias (radio, télévision et site web) qui a donné la parole aux électeurs sur ses plateformes. Plusieurs autres médias traditionnels et en ligne suivent de près le déroulement du scrutin et publient régulièrement des mises à jour. Posté à 17:4417:44 Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Progressivement, la journée de vote touche à sa fin. Si dans la plupart des centres de vote, l’opération s’est déroulée dans le calme et la sérénité, ce n’est pas le cas au centre de vote du lycée de Keur Massar. Un certain nombre d’électeurs ont, toute la journée, exprimé leur mécontentement parce qu’ils n’ont pas pu voter. Ce qui s’est passé Jusqu’en 2021, Keur Massar faisait partie du département de Pikine. Et tous les électeurs dont les cartes portent l’inscription « département de Pikine » pouvaient voter sans difficulté. Mais depuis que Keur Massar a été érigé en département en 2021, la donne a changé. De nouvelles cartes ont été confectionnées aux électeurs qui votaient à Keur Massar. Ces derniers, qui ne pourront plus voter avec leurs anciennes cartes, devraient aller retirer les nouvelles qui portent l’inscription « département de Keur Massar ». Mais selon ces électeurs, l’information n’a pas circulé. Ce matin, c’est la colère qui se lisait sur leur visage. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que le département a été déplacé à Keur Massar », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. « Sur ma pièce, c’est le département de Pikine au lieu de Keur Massar. Mais quand j’ai vérifié au bureau de vote N°2 avec le président, il a vu effectivement que mon nom se trouve sur la liste, mais que je ne peux pas voter. Juste le département Pikine qui dérange », explique Maman Aissata Camara électrice.
Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre de vote d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Aujourd’hui, ils ont eu la grande surprise de ne pas pouvoir voter parce que sur leur carte c’est bien écrit département de Pikine au lieu de département de Keur Massar », précise-t-elle. Il y a quelques heures, le président de la CENA est intervenu en disant que son institution est en discussion avec la Direction générale des élections (DGE) pour voir les mesures à prendre pour permettre à ces électeurs d’accomplir leur devoir civique. Il a même indiqué que la Commission a demandé que ces électeurs votent, mais que l’information n’est pas parvenue aux responsables des centres de vote à temps. 15:43 Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les citoyens sénégalais auront le choix d’élire le successeur de Macky Sall dans une élection particulière. →À lire aussi Découvrez ici pourquoi : Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 14:5914:59 "Un processus calme, efficace et ordonné" - le bilan à mi-parcours de la Cheffe de la mission d’observation de l’UE Malin Björk, cheffe de la mission d’observation de l’Union Européenne, partage un bilan de la matinée de ce dimanche 24 mars dans les bureaux de vote visités par leurs observateurs. L’UE a déployé une centaine d’observateurs pour observer la présidentielle sénégalaise. Posté à 14:4314:43 Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants » Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants »-2 Bassirou Diomaye Faye un des favoris de la présidentielle, a dit toute sa confiance de remporter l’élection dès le premier tour. Il s’est exprimé après avoir effectué son devoir citoyen dans son village natal, à Ndiaganiao, dans le département de Mbour. « Je demeure confiant quant au choix de la rupture que je suis à même d’incarner cette rupture mieux que quelconque candidat. Je demeure convaincu que cette élection se jouera dès le premier tour. Au sortir de cette élection présidentielle, il n’y a pas de raisons que la tradition démocratique ne soit pas perpétuée, à savoir que le vainqueur soit félicité par le vaincu pour un retour définitif à la sérénité », a-t-il déclaré après son vote. Pour sa part, le candidat du pouvoir l’ancien premier ministre Amadou Ba s’est montré confiant tout en exprimant son souhait que le nouveau président soit connu « dès lundi ». « Mon souhait le plus ardent est que dès demain, les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président et qu’ils puissent vaquer tranquillement à leurs occupations. Les Sénégalais ont besoin d’un président qui va répondre à leurs besoins ». « Je suis très très confiant quant à l’issue du scrutin dès le premier tour, au regard de l’effervescence que notre campagne a suscité », a réagi Amadou Ba. Posté à 14:1614:16 Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal-2 Parmi les candidats les plus en vue figurent on compte des personnalités politiques de premier plan, avec une longue expérience des affaires étatiques, mais aussi des dirigeants de partis d'opposition bien implantés dans le landerneau politique, ainsi que des candidats indépendants avec de riches parcours professionnels. →À lire aussi Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Posté à 13:2013:20 Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême
L’une des particularités de cette élection présidentielle au Sénégal, c’est qu’elle se déroule en pleine période de jeûne du Ramadan. Même si la Constitution ne fait pas de l’islam la religion de la République sénégalaise, la forte proportion de musulmans, plus de 94%, fait du pays l’un des plus islamisés d’Afrique noire. La période du Ramadan est sacrée pour cette communauté qui s’abstient de boire et de manger de l’aube jusqu’au coucher du soleil pour effectuer le jeûne. La coïncidence de la période avec l’élection présidentielle de dimanche 24 mars fait un peu grincer les dents. Beaucoup pensent que ce moment de recueillement et de silence chez les Sénégalais a eu un impact sur la campagne électorale et donc va déteindre sur la mobilisation dans les bureaux de vote ce dimanche. Néanmoins ils ne sont pas tous du même avis. Pour certains, le vote est un devoir civique et donc même en temps de Ramadan, chacun pourra accomplir ce devoir sans que cela impacte son jeûne. C’est le cas de cette Sénégalaise qui pense que le Ramadan n’a vraiment pas impacté la campagne électorale. « Le Ramadan ne nous pénalise pas du tout. Nous partons battre campagne, et le soir nous revenons préparer le repas pour nos familles. Nous vivons la campagne comme d’habitude », dit-elle. « Le carême n’a pas gêné la campagne. Et je pense que le jour du scrutin ça ne dérangera pas », renchérit une chrétienne, également en période de jeûne. Pour d’autres, le temps de carême étant un moment de silence et de communion avec son Dieu, il a eu des répercussions sur la campagne électorale et ce sera probablement la même situation le jour de vote. « J’ai remarqué qu’il n’y a pas eu beaucoup de monde pour les caravanes pendant la campagne, parce qu’on est dans le mois de ramadan qui est un temps de cœur à cœur et de silence avec son Dieu. C’est un peu difficile de lier ça avec la campagne », constate un autre. Pour lui, il n’y a pas eu beaucoup d’ambiance lors de la campagne comme ce qu’on a vécu lors de la présidentielle de 2019. 13:04 «Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le ministre sénégalais de l'intérieur Mouhamadou Makhtar Cissé, vient de voter dans sa ville natale de Dagana, au Nord du Sénégal. Après avoir voté,Mouhamadou Makhtar Cissé a exprimé sa vive joie de pouvoir remplir son devoir civique. Le ministre a également indiqué qu'il reviendra à Dakar après avoir voté pour superviser la suite du processus depuis la capitale. Il a appelé tout le monde à rester calme et à maintenir une attitude pacifique durant tout le processus. « Le jour des élections doit être un jour démocratique, il ne doit pas être un jour de tension et de violence. » Mouhamadou Makhtar Cissé a appelé les candidats à mettre en avant le Sénégal et à se rappeler que le pays transcende les individus. 12:16 Présidentielle 2024 : Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Présidentielle 2024 Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Après avoir effectué son devoir civique au centre Thierno Mamadou Sall de Fatick (centre) accompagné de la première dame Marième Faye Sall, le président sortant Macky Sall s’est exprimé devant la presse, invitant les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats. Ce soir les bureaux de vote vont parler, cela reflétera le choix des Sénégalais. Nous espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a conclu le président Macky Sall qui n’est pas candidat à sa propre succession. Non candidat à la présidentielle, le leader de l’opposition Ousmane Sonko a voté dans son fief à Ziguinchor (sud) avant de réagir face aux journalistes. Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 8 « Nous observons une forte affluence des sénégalais de la diaspora et de l'intérieur du pays. Je crois qu'on n’a jamais vu une telle affluence dès les premières heures de scrutin.
Je n’ai aucun doute que notre candidat Bassirou Diomaye Faye sera largement élu, et ça dès le premier tour ». « Je lance un appel au calme et à la sérénité et j’invite le ministre de l’intérieur à prendre toutes les mesures pour sécuriser le vote », a-t-il ajouté. Posté à 12:1612:16 Bassirou Diomaye Faye vient de voter Bassirou Diomaye Faye vient de voter Le candidat Bassirou Diomaye Faye vient d'accomplir son devoir civique dans sa ville natale, Ndiaganiao. Il a appelé à la paix après des mois de tensions politiques. Il est le candidat de la coalition Diomaye Président pour la présidentielle au Sénégal. 11:40 Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 11:1211:12 Des électeurs réagissent après leur vote C’est dimanche de vote au Sénégal. Les 7,3 millions d’électeurs se rendent dans les urnes aujourd’hui pour élire leur cinquième président de la République. Tôt ce matin, ils sont déjà nombreux à accomplir ce devoir civique. Les bureaux de vote ont ouvert depuis 8 heures. On retrouve de longs fils d’attente devant chaque bureau de vote dans la plupart des centres de vote où est passée l’équipe de la BBC Afrique. El Hadj Amadou, très content d’avoir accompli son devoir de citoyen, décrit l’ambiance dans son centre de vote : « Le vote s’est bien déroulé pour l’instant, et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé un peu rapidement. Pour moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée ». Il souhaite que la réalité des urnes reflète la volontaire populaire à travers les résultats. C’est un soulagement pour Souleymane qui aussi a voté ce matin. Pour lui, la crise lui a fait perdre tout espoir de vote. Mais il est tout content pour avoir fait le geste. « On a voté, pourvu que ça continue dans le calme », souhaite-t-il. « En attendant la suite, nous patientons. C’est un sentiment de devoir accompli », ajoute Maimouna qui aussi a déjà voté ce matin. Dans l’ensemble, tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux de vote à 8 heures. Ceux-ci fermeront à 18 heures. Les citoyens sénégalais continuent d’affluer vers les centres de vote pour le choix du prochain président de la République. Posté à 9:409:40 Ce qu’on peut savoir du parcours des anciens présidents du Sénégal parcours des anciens présidents du Sénégal Macky Sall n’est pas candidat à la présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024. Il l’a déjà dit lors d’un discours qu’il prononcé le lundi 3 juillet 2023. Le 2 avril prochain prend fin son mandat à la tête du Sénégal. Il compte passer la main à celui qui sera élu prochain président de la République. Il a été élu pour la première fois en 2012 puis réélu en 2019. Après des mois de suspense, il a pris la parole pour annoncer sa décision de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la tête du pays, faisant ainsi décrisper la tension politique dans le pays. Pour Prof Mbaye Thiam, historien et enseignant retraité de l’Ecole des bibliothécaires, archiviste et documentaliste de L'Université Cheick Anta Diop de Dakar, cette élection est l’une des plus incertaines. « Le fait que le président sortant était candidat lui donnait toujours une longueur d’avance sur les autres et on estimait que c’est le candidat le mieux positionné. Ici n’ayant pas ce profil, on a des incertitudes sur les résultats », a-t-il analysé. Avant Macky Sall, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade avaient aussi dirigé le Sénégal. Léopold Sédar Senghor Il était dans un contexte de domination coloniale, selon Prof Mabaye Thiam. Il a eu le privilège de conduire le Sénégal à l’indépendance. Il a instauré une rupture avec le colonisateur de manière douce, ce qui a fait que ce dernier a perdu sa souveraineté politique sur le pays, mais a gardé l’essentiel. « Nous avons substitué la coopération à la colonisation », disait le Général De Gaule. Une indépendance factuelle, car la France gardait encore le Sénégal dans son pré carré, comme le souligne le Professeur d’Université.
En 1981, le président Leopold Sédar Senghor avait démissionné en remettant le pouvoir à Abdou Diouf. Abdou Diouf Il a dirigé le Sénégal pendant 19 ans et 3 mois. C’est le président qui a enjambé les deux périodes, la période coloniale et la période de l’indépendance. Il a succédé à Senghor dans les formes qui ont été décriées à l’époque. Abdou Diouf s’est moulé, selon Prof Mbaye Thiam, dans une forme de continuité du système coloniale vers l’accès à une forme d’indépendance plus ou moins douce mais qui, en réalité, reflétait l’attachement à nos racines de colonisés par la France. Abdoulaye Wade Il a présidé la destinée du Sénégal de 2000 à 2012. C’est lui qui a passé le flambeau à Macky Sall. Il est de la même génération que Senghor. Le président Abdoulaye Wade est aussi né dans le système colonial, avec des préoccupations sur comment améliorer les conditions des Sénégalais dans le système colonial. « Le fait qu’il soit resté longtemps dans l’opposition, qu’il ait enduré la répression d’Abdou Diouf, l’a amené, quand il est arrivé au pouvoir porté par des jeunes, à opérer une certaine forme de rupture, non pas dans le fonctionnement de l’Etat, mais une rupture dans l’objet de l’Etat », a souligné Prof Mbaye Thiam qui a énuméré la bataille du développement que Wade a fait pour le pays. Tout cela a amené un changement d’orientation du système vis-à-vis de Senghor et d’Abdou Diouf, selon lui. 9:09 Des votants dans un bureau de vote de St Louis Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 9 Au centre Abdou Diouf de St-Louis, le vote a démarré à l'heure et les citoyens accomplissent leur devoir civique. Posté à 8:348:34 Des citoyens prêts à voter à Boucotte sud, Ziguinchor Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 13 Au centre de vote Amath Barry, de Boucotte sud à Ziguinchor, les votants sont arrivés en masse pour accomplir leur acte civique. 8:20 Les Sénégalais votent aujourd’hui Les Sénégalais votent aujourd’hui Le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal se déroule ce dimanche 24 mars 2024 sur toute l’étendue du territoire. Les citoyens en âge de voter sont appelés aux urnes aujourd’hui pour élire leur prochain président de la République, le cinquième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sur les 18 millions d’habitants que compte la population sénégalaise, sont appelés à voter ce dimanche. Un chiffre légèrement en hausse par rapport à celui que le pays a connu lors de la présidentielle de 2019 où 6 683 043 étaient inscris sur la liste électorale. Ces votants devront choisir parmi 19 candidats dans la course à la magistrature suprême. Les bureaux de vote s’ouvrent à 8 heures et fermeront dans la soirée à 18 heures. Au Sénégal, depuis le référendum constitutionnel de 2016, le président de la République est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à 2 tours. Macky Sall, le président sortant n’est pas candidat. C’est la première fois au Sénégal qu’un président sortant ne participe pas à l’élection présidentielle. Pour gagner cette élection au premier tour, il faut recueillir la majorité absolue, soit plus de 50% des voix. Si aucun candidat n’obtient ce score, un second tour est organisé dans les deux semaines qui suivent la proclamation des résultats pour départager les candidats arrivés en tête. Il faut attendre au moins 5 jours avant de connaître les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes. 8:11 Bienvenue Bienvenue sur cette page. Nous vous proposerons des articles, photos et vidéos sur le scrutin de ce 24 mars au Sénégal Par Kafunel Sources : BBC.com/Afrique
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aurevoirmonty · 27 days ago
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«Sinon Poutine détruira l’Europe comme Hitler, la France ne fait pas le poids»: Zelensky vient d’admettre que la guerre est perdue
Poutine «détruira tout ce qui l'entoure», a menacé le dirigeant dans une interview chaotique avec Lex Fridman
«Calculez ce que possède l'Europe. Quelles sont les plus grandes armées? Nous avons la plus grande armée. L'armée ukrainienne est la plus importante d'Europe.»
«La deuxième après nous est 4 fois plus petite que nous. Je pense que les Français en ont environ 200.000», a-t-il rappelé.
Plus précisément: 200.000 militaires d’active, auxquels on peut ajouter 41.000 réservistes.
En pratique, l’armée française ne peut pas même aligner une division de 10.000 à 25.000 hommes, munitions comprises, a admis (https://t.me/kompromatmedia_2/1423) le chef d’état-major, Pierre Schill.
Donc cette «puissante coalition» de nations européennes ne suffira pas, conclut Fridman.
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christophe76460 · 8 months ago
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LA CLARTÉ PRÉCIEUSE DE CONFESSIONS ÉPROUVÉES PAR LE TEMPS
Note de l’éditeur : Ceci est le premier chapitre de la série le Symbole des apôtres, Ce que nous croyons et croirons encore
Le peuple de Dieu a toujours été un peuple confessionnel, offrant de courts résumés de ses croyances et convictions sur qui est Dieu et ce qu’il a fait. La confession fondatrice d’Israël, connue sous le nom de Shema, est consignée dans le Deutéronome 6.4 : « Écoute, Israël ! L’Éternel, notre Dieu, est le seul Éternel. » Le Nouveau Testament contient également de courtes distillations de la confession chrétienne, parfois sous la forme d’hymnes poétiques (comme dans Colossiens 1.15-20 et Philippiens 2.6-11) et parfois sous la forme d’une « parole certaine et digne d’être acceptée sans réserve » (comme dans 1 Timothée 1.15 et d’autres passages des Épîtres pastorales).
Depuis le premier siècle, l’Église a été marquée par des disputes et des controverses qui ont inévitablement produit des déclarations confessionnelles – du Symbole des Apôtres aux Symboles de Nicée et de Constantinople, en passant par le Symbole de Chalcédoine, la multiplication des confessions autour de la Réforme avec la Confessio Belgica, la Confession de Westminster et la Confession baptiste de Londres, jusqu’à aujourd’hui, avec des documents tels que la Déclaration confessionnelle de The Gospel Coalition. Ma propre institution, Bethlehem College & Seminary, a une Affirmation de foi qu’elle partage avec Bethlehem Baptist Church et d’autres églises de même sensibilité. En réalité, depuis le début, le peuple de Dieu a entrepris d’élaborer des crédos et des confessions.
Mais est-ce que cela devrait être le cas ? C’est une chose de confesser les paroles de l’Écriture. Le Shema et l’hymne de Paul à Christ dans Philippiens 2 et sa « parole certaine et digne d’être acceptée sans réserve » sont tous fort bien. Mais n’est-il pas évident que ces courtes déclarations bibliques sont sensiblement différentes des longs résumés détaillés de doctrines figurant dans la Confession de Westminster et l’Affirmation de foi de Bethlehem ?
Si nous avons les Écritures, avons-nous besoin de ces déclarations supplémentaires ? Et si nous en avons besoin, faut-il qu’elles soient aussi longues ? Le Shema compte onze mots ; certaines confessions font plus de onze pages. Existe-t-il de bonnes raisons pour avoir des crédos et des confessions de longueurs différentes ?
On pourrait sans doute donner de nombreuses réponses à ces questions. Je voudrais m’attarder sur deux d’entre elles. Premièrement, les confessions résument et clarifient la vérité pour de nouveaux contextes. Deuxièmement, les confessions servent à assurer l’unité de l’Église.
Clarifier la vérité
Dans ce qu’elles ont de meilleur et de plus fondamental, les confessions sont des résumés fidèles des croyances du peuple de Dieu. Le Shema lui-même était un résumé de ce genre. Israël croyait bien plus de choses sur Yahvé que le fait qu’il était unique. Mais la confession de l’unicité de Dieu était une distillation et un résumé d’une gamme plus complète de croyances et d’affirmations sur Dieu.
Le Shema n’est pas le seul exemple. La loi de Moïse peut, dans une certaine mesure, être résumée dans les dix commandements. Et Jésus lui-même a encore résumé la Loi en la réduisant à deux principes : aimer Dieu de tout son être et aimer son prochain comme soi-même (Matthieu 22.37-40). De la même manière, les confessions écrites résument les croyances de l’Église sur Dieu, l’homme, Christ et la voie du salut.
À cet égard, les confessions sont comme des valises ; elles nous permettent d’emballer beaucoup de contenu dans un petit espace. Elles découlent de la reconnaissance du fait que, en tant que créatures, nous ne pouvons pas tout dire tout le temps. Nous devons donc condenser. Nous devons distiller. Nous devons plier nos doctrines en déclarations bien définies et les regrouper dans nos confessions. Les confessions sont un moyen de résumer l’enseignement de toute la Bible et de le présenter sous une forme utilisable.
UNE AUTORITÉ DÉRIVÉE
Il est important de reconnaître que si ces résumés doivent être fondés sur les Écritures, ils ne sont pas identiques aux Écritures. L’Écriture est unique. L’Écriture seule est inspirée par Dieu, sans erreur et infaillible. Par conséquent, seule l’Écriture possède l’autorité suprême et finale en mesure de tester toute affirmation sur ce qui est vrai et juste. Les confessions, en revanche, ont une autorité dérivée et dépendante. Cela signifie qu’une confession de foi ne doit être acceptée que dans la mesure où nous la comprenons comme un résumé et une distillation fidèles de ce que Dieu lui-même a dit dans la Bible.
Mais les confessions ne se contentent pas de résumer ce que dit la Bible. Elles peuvent aussi clarifier ce que la Bible enseigne. L’Écriture fait autorité parce qu’elle est la Parole de Dieu. Dieu se révèle et révèle ses intentions dans et à travers les paroles des auteurs bibliques. Ce point est crucial – les intentions de Dieu sont révélées par les intentions des auteurs humains.
En d’autres termes, pour comprendre ce que Dieu a dit, nous devons comprendre ce que Paul, Pierre, Ésaïe et Moïse ont dit. Nous comprenons la signification divine en prêtant attention à la signification des auteurs humains de la Bible. Ce sens est un fait public – une réalité fixe, objective, historique. Le sens est ce que les auteurs font en public au moyen de mots. Paul raconte des événements, pose des questions, donne des ordres et des exhortations, exprime des désirs et des objectifs au moyen de mots. Et en comprenant le sens et l’intention de Paul, nous comprenons le sens et l’intention divins que Dieu a inspirés.
Découvrir cette intention divine n’est pas facile. Cela demande un effort. En fait, cela demande un effort prudent, humble, empreint de prière et collectif. Il faut maîtriser la langue, comprendre la grammaire, la syntaxe et le vocabulaire, comprendre la poésie et la prose, la métaphore et l’analogie. Plus important encore, il faut l’illumination du Saint-Esprit, qui peut surmonter nos limites créatives, nos présupposés culturels et notre péché personnel afin que nous comprenions correctement ce que Dieu a dit dans la Bible.
UN ABRÉGÉ DE THÉOLOGIE
Mais une fois que nous avons découvert (du moins en partie) ce que Dieu a dit dans la Bible, nous pouvons alors exprimer ce que Dieu a dit de diverses manières. Nous pouvons exposer ce que Dieu a dit, en utilisant de nombreux mots pour déballer, exprimer et appliquer sa signification. Nous pouvons remplir des bibliothèques de prédications et de livres qui déballent les richesses inépuisables contenues dans les Écritures. D’autre part, nous pouvons distiller, résumer et clarifier pour de nouveaux contextes ce que nous trouvons dans toute la Bible, en utilisant moins de mots pour synthétiser ce que Dieu a dit dans 66 livres, afin que la vérité puisse être connue et aimée par plus de personnes.
C’est la première raison pour laquelle l’Église écrit des crédos et des confessions. La vérité est inépuisable. Il y a dans la Parole de Dieu des profondeurs et des richesses que nous allons sonder pendant des siècles. En résumant et en distillant les doctrines de la Bible sous une forme condensée, les confessions clarifient pour nous qui est Dieu et ce qu’il a fait pour nous en Christ. Les confessions distillent les doctrines sous une forme utilisable.
Au service de l’unité de l’Église
Ceci nous amène à la deuxième raison pour laquelle nous écrivons des confessions (et à la raison pour laquelle il existe de grandes différences de longueur entre le Symbole des Apôtres et la Confession de Westminster). Les confessions servent à assurer l’unité de l’Église, et elles le font en nous aidant à voir ce qui est essentiel.
ESSENTIEL POUR QUOI ?
Lorsque nous disons que quelque chose est essentiel, nous devons nous demander : « Essentiel pour quoi ? » Il y a différentes façons de penser à ce qui est essentiel. Certaines doctrines sont essentielles pour la vie de l’Église ; si vous ne confessez pas telle ou telle doctrine, vous n’avez pas la vie éternelle ; vous êtes en dehors de la foi chrétienne. D’autres doctrines sont essentielles pour la santé de l’Église ; le déni d’une telle doctrine ne signifie pas que vous êtes spirituellement mort, mais que vous êtes peut-être spirituellement malade. Enfin, certaines doctrines sont essentielles pour la pratique de l’Église, des sujets sur lesquels les membres de l’Église doivent être d’accord parce qu’ils sont étroitement liés à la façon dont nous organisons nos églises.
La question « essentiel pour quoi ? » explique pourquoi certaines confessions sont plus longues que d’autres. Beaucoup des déclarations confessionnelles les plus courtes – du Symbole des Apôtres au Symbole de Nicée en passant par les affirmations des membres de la plupart des églises – cherchent à identifier ce qui est essentiel pour la vie, ce qui est essentiel pour le salut. Les déclarations plus longues – comme la Confessio Belgica, la Confession de Westminster et l’Affirmation de foi de Bethlehem – identifient généralement non seulement ce qui est essentiel pour le salut, mais aussi ce qui est essentiel pour la santé et la pratique. Cela signifie que tout n’est pas d’égale importance dans les grandes déclarations ; certaines choses sont « de première importance ».
Néanmoins, les déclarations confessionnelles plus longues sont précieuses. Elles définissent souvent les limites de l’enseignement d’une église, d’une école ou d’un ministère. Alors que les membres d’une congrégation ou les étudiants d’une université peuvent avoir une plus grande marge de manœuvre quant à ce qu’ils peuvent croire, on peut s’attendre à ce que les pasteurs et le corps enseignant affirment la déclaration confessionnelle complète. Ces déclarations plus complètes renforcent l’église pour la mission et le ministère en mettant en avant ce que ce coin de la chrétienté croit et en invitant les autres à s’y rallier.
L’AMOUR AU-DELÀ DES BARRIÈRES
Mais comment ces déclarations plus longues servent-elles l’unité de l’Église ? Les déclarations confessionnelles plus courtes semblent y parvenir ; elles établissent le minimum (pour ainsi dire) qu’il faut croire pour être chrétien. Ce faisant, elles unissent tous les chrétiens du monde entier autour d’une affirmation confessionnelle. Mais les déclarations plus longues semblent aller dans l’autre sens, nous divisant les uns des autres par-delà les lignes confessionnelles et dénominationnelles. Comment ces longues déclarations confessionnelles peuvent-elles alors servir l’unité de l’Église ?
Elles y contribuent précisément parce que nous reconnaissons que des confessions différentes ont des usages différents. Notre unité fondamentale est une unité spirituelle en Christ par la foi. Le Saint-Esprit nous unit à Christ et les uns aux autres en une seule Église universelle. Et cette unité s’exprime dans notre confession fondamentale du Dieu trinitaire et de la personne et de l’œuvre de l’homme Dieu, Jésus Christ.
Mais au sein de cette unité spirituelle plus large, il y a place pour diverses barrières. Certaines barrières seront géographiques, nationales ou linguistiques (l’Église américaine, l’Église irlandaise, l’Église chinoise). Et certaines barrières seront d’ordre doctrinal. Mais comme le dit le dicton : « Les bonnes clôtures font les bons voisins. » Considérées avec discernement, les déclarations confessionnelles peuvent servir l’unité de l’Église en nous donnant l’occasion de nous aimer les uns les autres par-delà nos barrières doctrinales.
Telle est donc la double fonction des confessions. L’importance de la vérité est servie par l’existence de frontières doctrinales, et l’unité est servie par la manière dont nous aimons les autres au-delà de ces frontières. Mais cela n’est possible que si nous établissons un lien correct entre l’Écriture et les confessions. L’Écriture est notre autorité ultime et finale. Les confessions sont les serviteurs de la Parole de Dieu et de son Église, résumant et clarifiant la vérité pour notre usage, et servant l’unité de l’Église pour le bien de sa mission.
Cet article est une traduction de l’article anglais « THE PRECIOUS CLARITY OF ENDURING CREEDS » du ministère Desiring God par Timothée Davi.
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toutelathailande · 2 months ago
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La Russie veut accroître sa coopération avec la Thaïlande dans les domaines du tourisme, de l'agriculture, de la technologie et de l'énergie via les BRICS+. En octobre 2024, la Thaïlande a fait partie des 13 nations désignées comme nouveaux pays partenaires par les BRICS+, un bloc international créé en 2006 sous la forme d'une coalition de grands marchés émergents. Voir : La Thaïlande souhaite un monde meilleur et plus juste au sommet des BRICS+ L'ambassadeur russe en Thaïlande, Evgeny Tomikhin, a déclaré dans une interview accordée au journal thaïlandais Krungthep Turakij : "L'ASEAN et la Russie sont des partenaires stratégiques, en particulier la Thaïlande et la Russie, et entretiennent des relations solides même pendant les périodes difficiles où le monde connaît des transitions politiques et économiques." Il a souligné que l'un des principaux domaines de coopération entre les deux pays est le tourisme, puisque des millions de Russes visitent la Thaïlande chaque année, générant des revenus importants pour l'économie thaïlandaise. Les touristes russes ont été le deuxième groupe le plus important à visiter la Thaïlande en 2023, après la Chine. En 11 mois de 2024, quelque 1,5 million de Russes sont entrés en Thaïlande, ce qui est supérieur à la même période de l'année dernière, où l'on comptait environ 1,1 million de personnes. Il reste à savoir si la Thaïlande ne va pas se montrer frileuse à l'adhésion après les menaces du futur président, Donald Trump, qui a déclaré : "Nous exigeons un engagement (...) selon lequel ils ne créeront pas une nouvelle monnaie des BRICS, ni ne soutiendront aucune autre monnaie pour remplacer le puissant dollar américain, sinon ils seront confrontés à des droits de douane de 100%. Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar américain dans le commerce international. Tout pays qui essaie devrait dire au revoir à l’Amérique". Un discours qui tranche avec les déclarations de certains experts liés à de puissantes institutions américaines, qui tentaient de minimiser la menace. Voir : Les implications de l’adhésion de la Thaïlande aux BRICS+ Voir aussi : Le président chinois Xi invite la Thaïlande à rejoindre les BRICS+ La Thaïlande souhaite rejoindre les BRICS+ « dès que possible » L’adhésion aux BRICS ouvrirait des perspectives à la Thaïlande Source : The Nation Thailand Read the full article
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