#il le prend et rentre à la maison
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C'est un type qui trouve un chat dans la rue, il le prend et rentre à la maison, quand sa femme lui ouvre la porte il dit: - Tu penses quoi de cette vache? - Ce n'est pas une vache c'est un chat. - De quoi tu te mêles, je parlais au chat.
#C'est un type qui trouve un chat dans la rue#il le prend et rentre à la maison#quand sa femme lui ouvre la porte il dit:#- Tu penses quoi de cette vache?#- Ce n'est pas une vache c'est un chat.#- De quoi tu te mêles#je parlais au chat.
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saga: Soumission & Domination 325
Marc - Diversification des ressources : João
Quand Marc revient le WE suivant, Ludovic ne peut s'empêcher de lui raconter ce que j'ai fait pour son frère.
Cela me vaut une discussion en tête à tête ! Je suis obligé de lui expliquer le dossier de A à Z. A la fin de mon récit, il me demande ce que j'aurais fait si je n'avais pas eu les ressources de mes amis. Sans ambages je lui avoue que je l'aurais peut être battu à mort.
Il me prend dans ses bras et me dit que j'ai bien fait alors.
Nous passons un WE que tous les 4. Samir et Ammed nous ont demandé la maison de campagne pour se faire un WE " Domi " avec Amaury. Ils nous ont préparé tous les repas et laissé la liste à respecter sauf que Marc compte bien nous emmener diner au restaurant le samedi soir.
Mais nous sommes vendredi. On retrouve PH et Ludovic et décidons ensemble qu'un bain serait bien agréable. A poil nous grimpons sur la terrasse et allons nous tremper dans la piscine. Ludovic chahute et glisse entre nos jambes, en s'arrangeant pour nous faire bander aux passages. Marc cède le premier, il l'attrape et le balance hors de l'eau sur l'herbe synthétique. Excité, Ludovic prend des poses jusqu'à ce que nous aussi, excités, sortions de l'eau. Ce qu'il n'avait pas prévu c'est que nous serions trois contre un. Marc le prend aux épaules, moi aux jambes et nous l'étalons sur l'herbe. PH se charge des chatouillis et il se tord pour essayer de nous échapper. Il cesse quand je lui attrape les couilles et tire doucement dessus.
Marc enjambe son torse et Ludovic lui mange la bite. PH m'aide et, à deux, nous soulevons ses fesses pour pouvoir : PH le pomper et moi, lui manger la rondelle.
Occupé de partout notre nouvel ami prend grave son pied. Quand Marc recule le bassin pour le laisser respirer un peu, c'est lui-même qui l'attire à nouveau dans sa gorge. Je bande comme un malade. Je m'enfonce dans sa caverne chaude et moite de ma préparation. PH continue de le pomper. J' profite bien de sa rondelle musclée et de sa chaleur interne. Je m'enfonce à chaque fois plus loin et avec encore plus de plaisir.
Comme je vois ses couilles remonter contre sa bite, je sors vite avant qu'il ne jouisse. PH arrête aussi ses caresses buccales. Marc se retourne et nous demande pourquoi nous avons cessé d'exciter le petit.
On lui montre ses couilles qui lentement redescendent. Il se retire. Ludovic s'étire et nous dit de continuer que c'est trop bon ! On s'en doutait un peu !! On attaque à nouveau. C'est le tour de Marc d'enculer ce beau jeune homme. Moi, je joue avec sa queue. Je suçote son gland, passant ma langue sur chaque mm² de cette peau si douce quand elle est tendue par le sang en furie. Je la passe sous la couronne pour toucher le frein et jouer avec. Je la fais fine pour essayer de l'enfiler dans le petit trou d'où jaillira tout à l'heure son sperme chaud.
Je descends sur ses couilles. Elles ont juste de la bonne taille pour que je puisse les prendre ensemble dans ma bouche. Je les fais rouler sous ma langue. Elles grossissent et je retourne à sa queue. Elle me rentre toute seule dans la bouche et dans la gorge, poussée par les coups de rein de Marc. Je me colle les lèvres à son pubis et masse son gland par mes déglutitions. Il kiffe ça et la bite de PH qui lui obstrue la bouche n'est pas suffisante pour l'empêcher de crier son plaisir.
Marc le lime plus vite, je sens qu'il ne va pas tarder à lâcher la première salve. C'est Ludovic qui part le premier. Il me remplit la gorge et j'ai juste le temps de reculer pour pouvoir en garder dans la bouche. Marc le secoue d'un dernier et puissant coup de main qui me renfonce son gland dans ma gorge ! PH se vide à son tour mais dans la bouche de Ludovic. Il a juste le temps de se retourner et de me prendre en bouche qu'à mon tour je largue la purée. Une fois dés-emboités, nous nous roulons des pelles aux spermes. Marc nous regarde faire. Dans notre monde, nous nous léchons le museau jusqu'à ce qu'il ne reste plus un spermatozoïde hors de nos estomacs.
Allongés cotes à cotes sur le dos, nous regardons le ciel noir et constellé. On voudrait faire des voeux mais pas d'étoiles filantes pour nous aider. Marc rit de nos enfantillages et nous dit qu'il descend mettre le diner au chaud.
Petite douche et nous le rejoignons. Nos hommes de service avait prévus le coup, les quantités sont généreuses et malgré cela, nous finissons les plats !
Marc nous raconte ses conquêtes locales. Avec Hervé qui l'accompagne de plus en plus, depuis qu'il a bien vu que cela n'altérait pas sa relation avec Ernesto, ils trainent les bars gays et rentrent rarement tout seul.
Il nous montre quelques photos des petits mecs qu'ils mettent dans leurs lits ? Ils ne se font pas chier ! Mais faut dire que nous non plus nous ne sommes pas des anges ! Tous ces asiatiques sont mignons, ça me fait penser que j'en ai pas encore dans mon équipe. Mais faut dire que j'ai principalement du blanc hormis Jimmy qui est mon seul beur en activité.
C'est d'ailleurs la remarque que mon fait PH et Ludovic après le visionnage du portable de Marc.
C'est décidé mes prochaines recrues devront sortir du stéréotype " petit blanc ".
Le samedi soir, Marc nous " sort " au restaurant. Il a réservé dans le meilleur de la ville. Etoilé au Michelin, il n'usurpe pas sa distinction. Ses plats de crustacés et de poissons sont délicieux.
La clientèle est sélecte (vu les prix c'est pas étonnant), mais nous ne détonnons pas vu que Marc nous avait demandé de laisser les jeans au placard. Notre table attire comme souvent pas mal de regard. Je reconnais autour de nous quelques clients de ma société. Certains sont accompagnés de femmes de leur âge, probablement leurs femmes.
J'ai juste eu le temps, quand nous sommes entrés, de retenir Ludovic qui allait saluer à une table Viktor et Nicolaï qui travaillaient en duo avec un de mes clients. J'ai juste le temps de lui glisser que quand nous rencontrons nos " amis " en prestation, nous devons faire comme si nous ne les connaissions pas sauf exception.
Le client me fait quand même un clin d'oeil quand mon regard parcours la salle.
Depuis quelques mois, ces deux-là me sont souvent réclamés ensemble. Comme 1+1=3 chez moi, ça ne me pose aucun problème. L'homme est aussi blond qu'eux. Si je ne savais pas, ils pourraient passer sans problème pour un père et ses deux fils.
Quand je vais aux toilettes, je suis rejoint par Viktor. Il me dit que tout se passe bien comme d'habitude avec ce client. Par contre ce dernier voudrait étendre la prestation jusqu'à dimanche soir mais que ce n'était pas prévu. Oui, je me souviens maintenant, c'était juste " soirée + ". Je lui demande si cela les dérange tous les deux de rallonger la prestation. Il m'assure que non, j'accepte et lui dis de prévenir le client de mon accord.
Le diner se passe, le vin est bon et pour une fois que je ne conduis pas j'en profite. C'est quand nous reprenons nos manteaux que nous croisons le client. Il me fait un signe. Je traine et laisse partir devant mes amis. Il me fait remarquer qu'il ne pourra régler la différence que lundi prochain, le temps d'aller à sa banque (ce client me paye toujours en liquide pour ne pas laisser de trace). Je lui signifie qu'il n'y a aucun problème, j'ai confiance en lui. Il me remercie et pousse les deux benêts qui l'assurent qu'il va passer un dimanche merveilleux.
La semaine qui suit, je prends un peu de temps pour rechercher dans le fichier des Premières années de Facs (et mecs de 18ans) mes recrues " ethniques ", (fichier récupéré auprès de DGSE). J'effectue un premier tri avec les boursiers et les revenus parentaux faibles en sus des origines hors caucasiennes.
Il m'en sort un nombre encore trop important. Je resserre les critères, ajoute le ratio taille/poids (la taille seule n'est pas intéressante) et la pratique d'un sport. Là, j'obtiens une sélection de 100 jeunes hommes.
Après c'est la lecture fiche par fiche. Ejections faites des mecs trop moches, des physiques irréguliers (faut bien des critères quand même), des porteurs de lunettes, des sportifs en compétitions quoique certains soient quand même assez canon, il me reste 20 dossiers.
6 physiques asiatiques petits formats mais musclés, adeptes de boxe thaï et autre sports de combat,
5 blacks stéréotypés, grands, très black, suspecté d'être très bien montés,
4 " brésilien " métis, belles gueules et slips remplis,
3 beurs, peau bronzée, noir de poil, massifs de tous côtés,
2 blacks des iles, teint plutôt chocolat au lait, traits européens,
Avant de les approcher je demande à Jona et François de vérifier leurs préférences sexuelles. S'ils sortent dans le milieu ou pas et de se renseigner pour voir où je pourrais les harponner.
Retour d'enquête, j'ai la chance d'en avoir 4 dans ma sélection. 2 asiatiques, 1 des " Brésiliens " et un des DOM-TOM.
Autant commencer par ceux-là.
Le brésilien, João 20ans, est un adepte de la Capoeira qui enseigne aux jeunes de son club, j'irai donc y faire un test un jour où je serais sûr qu'il y soit. Il ne sort pas dans le milieu gay et n'a pas de petit copain connu. De temps à autres traine les lieux de drague où il se laisse branler par des vieux (enfin des 30-40ans) et pratique la réciproque. Parfois il accepte un billet quand le mec est trop vieux. En chambre de cité U, il n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'amis et travaille le soir avec un ou deux de ses collègues de 1ère année de Science. Il se déplace en bus et n'a pas de véhicule à lui.
Ok au moins ça le choquera pas de taffer sexe pour du fric.
Je m'arrange pour aller tester ce sport de façon à ce que je sorte dans ses propres horaires.
L'accueil au club est chaleureux. Le dirigeant (la 40aine) discute une bonne demi-heure avec moi pour savoir mes motivations (ça je brode un peu) et si j'ai une pratique des sports de combat. Quand j'aligne, karaté (appris auprès de PH), Krav Maga (auprès de Jona), close combat militaire et quelques notions de boxe française (avec Côme et Ludovic), il me demande franchement ce que je fais chez lui.
Je lui souris et lui dis que j'étends mes connaissances. Il me dit que le plus dur sera de tout oublier de ces dernières pratiques pendant les cours.
On visite son club. Vestiaires classiques, placard à cadenas, sanitaires avec douces communes, là un " sympa vos installations " m'échappe, puis la salle proprement dite. Elle est suffisamment grande pour que le cours que donne mon Brésilien s'y passe et que deux autres groupes travaillent aussi.
Il me pousse vers le vestiaire et je me change tout en continuant à discuter avec lui. Quand je suis à poil, il mate ma cicatrice et me demande ce que c'est. Toujours nu, je me tourne et avance la jambe. Accident de moto l'année dernière ! Il siffle et me dit que je ne m'étais pas loupé. Il me passe un pantalon et me dit que je peux rester nu dessous si je préfère. Lui opte plus pour un jock, ça évite de les avoir ballotant entre les cuisses. J'avais prévu le coup et de toute manière tout le sport se fait en jock chez moi ! Il tourne autour de moi et me trouve très large d'épaules. Je lui dis que c'est la conséquence de 6 mois sans les jambes !
Torse nu, je le suis dans la salle. J'ai la chance qu'il m'emmène à côté de mon futur escort. Il me montre les mouvements de base et me dit que contrairement aux sports de combat que je pratique déjà, là, c'est l'évitement du corps du partenaire qui est recherché. Evidement ça change !!
J'ai beau faire attention, une ou deux fois je suis en contact avec mon prof. A la fin de l'initiation, il sourit des réflexes que j'ai eus. Il y voit un troublant mélange des techniques que je lui avais cité. Comme le cours des juniors venait de finir, nous sommes rejoint par mon brésilien. Il vient voir qui est l'hurluberlu qui attaque la capoeira d'une façon un peu asiatique et un peu autre chose. Gagné !
Le gérant me laisse entre ses mains ce qui me va encore plus. Alors que nous rejoignons les vestiaires, João me questionne sur mon parcours en sport de combat. Il est impressionné par la liste. Cela me permet de glisser que j'ai acquis ces compétences auprès de divers amis avec lesquels je continu à m'entrainer. Tout en marchant, je le mate sérieusement. Il a une peau cuivré, il y a surement de l'indien local dans sa génétique en plus du blanc et du noir. Le fait que j'ai l'impression qu'il soit imberbe naturellement appui cette idée, ses cheveux noir et lisse me le confirme. Question masse musculaire, il est très bien foutu même si moins large que moi. Il est aussi plus petit dans les 1,80 maximums.
Pendant que je le scrute, il me donne les infos sur le club, je le félicite pour sa patience. Il me retourne un sourire à se damner illico. Son accent de là-bas est enchanteur.
Très naturellement on se retrouve coté à cote sous les douches. Ça me permet de voir que sa peau est colorée uniformément, qu'il n'a pas de poils sur les jambes et seulement au-dessus du sexe. Il se rase déjà les couilles ! Le sexe, lui, est généreux bien qu'au repos, dans les 12cm. Le frein cassé laisse son gros gland découvert et un bourrelet de peau à sa base.
Je sens son regard sur mon dos. Je me retourne pour qu'il puisse mater la bête.
Il capte ma cicatrice et me demande lui aussi comment ça m'est arrivé. Je lui raconte en deux mots et quand j'ajoute que ça aurait été pire si mon ami n'avait pas été derrière moi et s'il n'avait mis sa voiture en travers de la rue pour me protéger, il laisse échapper un " un ami !? ". À mon tour de lui envoyer un grand sourire et de confirmer " " oui, l'homme que j'aime ".
Il est sensible car il se met déjà à bander rien qu'à l'évocation que je sois gay.
Comme il se tourne pour le cacher, et que nous sommes seuls, je m'approche et par les épaules le fait pivoter. Les yeux dans les yeux, je lui dis de ne pas me cacher l'effet que je lui fais. Il bande carrément et c'est impressionnant !
Je prends les choses en main, non pas son service trois pièces bande d'obsédés, et lui dis qu'on prend un verre après. Il bande encore quand on se rhabille. On sort du club et il me propose un bar pas trop loin car sans véhicule, il fait en fonction des lignes de tram et de bus.
Je lui montre ma voiture et lui dis de grimper. Impressionné par la Mercédès, il grimpe dedans en me disant que c'est la première fois qu'il voit en réel une telle voiture. Je l'emmène au Blockhaus autant y aller direct. Comme il s'inquiète de son retour à sa cité U, je lui dis que je le reconduirais après.
On grimpe au 4ème. Il a des yeux comme des soucoupes. Il en reste muet bien 5mn !! De la cuisine je lui demande ce qu'il veut bière, alcool, jus de fruit... Il choisit un jus d'orange, je l'accompagne.
Je le fais s'assoir de façon à ce qu'il soit en face des projections du " déjeuner sur l'herbe ". Du coup il a du mal à se concentrer sur mes questions ! J'apprends qu'il est en France suite à une sélection d'une organisation charitable qui l'a tiré de sa favela, qu'à part les dirigeants de l'association et quelques collègues de sa Fac, il ne connait que les pratiquants du club.
L'enquête disait qu'il était seul mais c'est plutôt " ermite " qui aurait dû être inscrit !
PH choisit ce moment-là pour rentrer. Il salut notre invité et se penche sur moi pour me rouler une bonne grosse pelle qui nous laisses les lèvres brillantes avant d'aller se chercher un rafraichissement au frigo.
Il nous rejoint et après les présentations, discute avec nous. Questions sur son déracinement, sur ses conditions de vie, et de vie gay aussi. João essaye mollement de se défendre d'en être. Mais PH le coupe et lui dit que vu comme il bande alors qu'il n'y a pas l'ombre d'une meuf chez nous, sa défense est un peu désespérée.
Là-dessus c'est au tour de Ludovic d'arriver. Comme il le salut aussi avant de nous rouler un patin, c'est l'incompréhension que je vois paraitre sur son visage.
Je m'excuse et présente Ludovic comme mon " ami " aussi. Quand Ludovic entend que João pratique la capoeira, il s'exclame qu'avec le karaté, le krav maga, le close combat et la boxe française, c'est en véritable dojo que je vais transformer le second étage !
Je lui dis qu'il va un peu trop vite en besogne et que João n'est pas encore au courant. Ce dernier me demande " au courant de quoi ? ".
OK je me lance. Je lui dis que je l'avais repéré pour faire partie de ma société d'escort. Que je savais pertinemment qui il était et qu'il était comme nous, homosexuel et qu'il tirait le diable par la queue. Là sa compréhension du français a fait que j'ai dû reformuler, que tout ce que j'avais appris en le rencontrant physiquement me l'avait confirmé et que oui, je serais très heureux qu'il accepte : notre amitié et le taf que je lui proposais. J'ajoute que s'il refusait le travail, très bien rémunéré au passage, il pourrait quand même être notre ami.
Il est scié mais ne se sauve pas en courant, c'est déjà ça !
Nous le laissons réfléchir. Il boit son verre à petites gorgées pour se donner une contenance.
Quand il prend la parole, c'est pour me demander s'il a bien compris quand je lui ai parlé d'Escort. Je lui dis que par " Escort " j'entendais accompagnement d'hommes influents et relations sexuelles avec le plus souvent. Je précise le salaire mensuel moyen pour quelques prestations et là, heureusement qu'il était assis sinon il serait tombé.
Il réfléchit de nouveau et me demande s'il pourra continuer ses cours au club, il n'en donne qu'une fois par semaine. Je l'assure que ce ne sera pas incompatible. Il aura même de nouveaux élèves, adultes cette fois ci, et de lui expliquer notre " club sportif privé ". PH complète en lui disant qu'il n'est pas que sportif ce " club ", c'est aussi une " famille " dans le sens où chacun est solidaire de l'autre et l'aide en cas de besoin.
C'est la première fois que je l'entends en parler comme ça de notre petit groupe, et c'est pas faux. Ludovic confirme qu'on est tous là pour les uns pour les autres et que lui c'est ses 5 ans de boxe française qu'il met à disposition. Il ajoute qu'il est intéressé par une initiation à la capoeira et qu'il ne sera sûrement pas le seul.
En attendant Ludovic le fait se lever et sans que personne ne s'y attende, il roule un gros, très gros patin à notre invité. Il le laisse à bout de souffle et nous dit de ne pas être hypocrite, nous en mourrions tous d'envie !
Pas faux ça non plus !!
Comme il y retourne, je vois le sexe de João reprendre du volume. Le mien comme celui de PH n'avait pas débandé depuis un moment. Ça part en baise torride.
Les vêtements volent, les sous-vêtements les rejoignent et mes deux acolytes restent baba devant le corps de João. Enfin pas longtemps avant de lui sauter dessus.
Notre invité n'est pas en reste. La souplesse acquise dans son sport est mise à profit pour le bien de tous. J'ai le plaisir de tester sa bouche. J'aime ses lèvres légèrement épaisses, elles font merveilles autour de ma bite. Je n'ai pas connaissance de son expérience sexuelle (hors l'enquête) mais il avale mes 20cm sans sourciller. Son jeu de langue sur mon gland dénote une pratique de la fellation qui ne date pas d'hier non plus. Par contre mes doigts rencontrent une bonne résistance de la part de sa rondelle. Un actif seulement où un manque de pratique ? Quand il sent que j'insiste, il me dit d'y aller doucement, il ne s'était pas fait enculer depuis qu'il était en France.
Avec l'aide de mes deux amours, je le prépare bien pour son nouveau dépucelage (après 5 ans sans utilisation c'est quasiment le cas !). Lorsque je le pénètre PH lui roule une pelle et Ludovic le suce. La progression est difficile il est bien serré à l'intérieur aussi. Chacun de mes cm est pressé par sa rondelle. J'ai conscience comme jamais de l'excitation due aux frottements de nos surfaces en contact. Quand mes hanches touchent ses fesses, il revient dans le monde du sexe complet. Il repousse PH le temps de me dire que c'est trop bon et que ça lui manquait grave. Avec mes amis, nous prenons un soin extrême à faire monter son plaisir et à le maintenir au bord de l'explosion le plus de temps possible. Dès que ses couilles remontent, nous cessons nos sollicitations et le reprenons dès qu'elles redescendent. Je reste dans son cul alors que mes deux amours s'échangent leurs places. Ils sont d'accord avec moi et trouve sa bouche et sa gorge d'une douceur parfaite. Sa mâchoire assez large laisse ses dents en dehors du trajet de nos bites. Il fera merveille sur les bites TTBM de mes clients. On arrive à le maitriser 3 à 4 fois avant qu'il ne bascule et qu'il jute.
Ludovic s'écarte juste avant et João se couvre le ventre de sperme. PH qui à ce moment-là, n'avait pas quitté ses lèvres en reçoit même sur la joue. João nous surprend en lui attrapant la tête et en léchant sa joue couverte de son sperme. A mon tour j'explose dans un dernier coup de rein qui m'enfonce au plus profond de son intimité (sous kpote bien sûr).
João sort de notre petite partie enthousiasmé. Nous sommes encore avachis sur les canapés du salon qu'arrivent Samir et Ammed pour le service du soir. Légère surprise pas plus de notre invité. Quand Ludovic s'en étonne, lui qui en était tombé sur le cul, João lui répond qu'après la dernière heure qu'il vient de passer, plus rien ne peut l'étonner venant de ma part.
Pas mal vu pour un mec qui ne me connais que depuis quelques heures !
Je le retiens pour diner. Il apprécie la cuisine et nous dit qu'habitué au Restaurant Universitaire WE et jours fériés compris, ça faisait longtemps qu'il n'avait aussi bien mangé.
Je le raccompagne à sa Cité U. En chemin je lui propose au cas où il intégrerait mon équipe (analyses à faire avec résultats négatifs obligatoires), il pourrait déménager pour une colocation avec d'autres 1ères années qui bossent aussi pour moi. Mais j'ajoute qu'il n'est pas question quand même de louper ses études pour autant.
Il me dit qu'à ce propos, la femme de son directeur de club l'aide en Français. Je lui dis que ce sera à lui de voir mais qu'il trouvera aussi ce type d'aide dans notre équipe, ce sera à lui de voir. Si sa réponse est positive !
Jardinier
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SolarTale Arc 1 - Chapitre 5 : Entraînement avec Papyrus
Chara se réveille très tôt pour une fois, voulant en savoir plus sur sa magie avec impatience, celle qui lui a permis de se défendre face aux créatures de la veille. Elle sort de la maison de Papyrus pour traverser le village de Snowdin encore endormi pour se diriger vers la forêt enneigée.
Après un petit moment à marcher sur la neige, elle arrive au cœur de la forêt, dans un endroit tranquille et elle commence son entraînement. Au début, aucune magie ne faisait son apparition mais au fil du temps, elle se faisait remarquer de plus en plus tandis que le soleil se levait, il n'y a pour l'instant qu'une infime lueur.
Soudain, un tremblement dans la forêt se fait entendre et Chara stoppe son entraînement immédiatement pour se mettre en garde, le même tremblement qu'hier. Des créatures apparaissent en une flaque puis se forme en slime noirâtre s'approchant de Chara.
Elle se défend en faisant apparaître des couteaux qui s'abattent sur les créatures pour les détruire mais il y en a trop. Les créatures l'encercle, la privant d'un moyen d'échappatoire. C’est alors qu’une idée traverse l’esprit de Chara qui n’avait presque plus de solution.
Chara : Et si je concentre ma magie pour la faire sortir d'un seul coup autour de moi ?
Effectivement, Chara eu une idée et l'applique, elle concentre sa magie puis la fait ressortir d'un coup laissant un souffle d'explosion rougeâtre qui détruit les créatures se trouvant autour d'elle. Elle s'échappe ensuite par le chemin auquel elle était arrivée pour retourner au village et semer les créatures qui la suivaient mais qui ne sont pas assez rapides pour ne serait-ce la suivre.
Chara court dans la forêt pour ensuite enfin arriver au village et rentre dans la maison de Papyrus pour remarquer qu'il était éveillé et debout mais toujours un peu endormi.
Papyrus : Chara ? Tu es partie quelque part ?
Chara : Ho Heu Paps.. Et bien je suis allée faire un petit tour hehe..
Papyrus ne doute pas de la parole de Chara et la croit même si ses paroles étaient un peu suspicieuses.
Papyrus : On ira s'entraîner comme tu le voulait dans la forêt pas loin du village
Chara : Dakodak, je te suis !
Les deux partirent à la forêt enneigée, là où Chara s’était déjà battue juste avant. Arrivées là-bas, les créatures n’y étaient plus ce qui soulage Chara. Papyrus s‘éloigne un peu d’elle et invoque un os qu’il prend dans sa main.
Papyrus : Tu es prête ?
Chara se met alors en garde elle aussi en faisant apparaître un couteau dans sa main.
Chara : Oui !
Chara fait apparaître d’autres couteaux rougeâtres en l’air qui foncent sur Papyrus mais celui-ci les détruit tous avec l’os qu’il a dans sa main, Chara bondit sur lui pour lui porter des coups avec le couteau qui est dans sa main. Papyrus les pare tous avec son os et donne un violent coup dans le couteau de Chara pour la désarmer et lui faire perdre l’équilibre tandis qu’il fait apparaître de nombreux os qui sortent du sol.
Chara saute haut dans les airs pour les esquiver et envoie depuis la paume de sa main, un rayon d’énergie rouge. Papyrus fait sortir du sol de nombreux os pour intercepter le rayon et l’arrêter, les os se détruisent ensuite et Papyrus fait sortir un grand os du sol devant Chara qui la percute brusquement et la propulse contre un arbre.
Papyrus arrête donc le combat, voyant Chara blessée et lui tend sa main pour l’aider à se relever.
Papyrus : Tu es déjà forte ! Continue tes efforts et tu intégrera vite la garde royale !
Chara prend la main de Papyrus et se relève, ses blessures guérissent petit à petit grâce à sa magie.
Chara : Super, je travaillerais dur pour pouvoir atteindre ton niveau !
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#solartale#univers alternatif#undertale au#solar!chara#solartale story#solartale arc 1#undertale multiverse#solar!papyrus
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Tout Ira Bien - Emily Prentiss [1/2]
Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Quand Emily apprend que Ian Doyle s'est échappé, elle sait qu'elle doit tout faire pour te protéger, même si ça veut dire briser ton coeur.
Warnings : commence pendant le 6x13 et se finit pendant le 6x18, mort de personnage (pas la reader), angst, rupture, fin triste, funérailles, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.9k
Chanson qui m'a inspiré : Last Kiss (Taylor's Version) par Taylor Swift
-Ian Doyle s’est évadé de prison. Interpol n’arrive pas à le retrouver.
La phrase de Sean retentit dans les oreilles d’Emily. Elle n’arrive pas y croire. Ian Doyle devait faire partie de son passé. Son nom ne devait plus qu’être un souvenir.
-Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne sait pas où il est, Emily.
-Est-ce que tu crois qu’il va venir ici ? demande Emily avant de marquer une pause. Je suis en danger ?
-On l’est tous.
L’inquiétude prend place sur le visage d’Emily, comprenant la gravité de la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que tout tourne mal, elle en a conscience. Elle doit réfléchir à la façon dont elle doit agir pour se protéger.
Ses pensées sont interrompues par la sonnerie de son téléphone. Elle détache les yeux de Sean et sort son portable. En voyant ton prénom et ta photo sur son écran, elle est d’abord attendrie avant d’avoir une prise de conscience. Elle doit aussi te protéger. Ian Doyle pourrait s’en prendre à toi pour se venger. Elle s'éclaircit la gorge puis répond en prenant un ton naturel.
-Allô, Y/N, tout va bien ?
-Hey, Em’, je t’appelle pour savoir si je t’attends ou si tu vas rentrer tard, expliques-tu et Emily peut entendre que tu es en train de rentrer dans ta voiture.
-J’ai encore de la paperasse à faire. Je ne pense même pas que je dormirai à la maison. Je dois régler quelques détails avec l’équipe.
-Oh, d’accord, dis-tu en essayant de cacher ta déception. Tiens moi au courant. Tu me manques.
-Toi aussi.
Sur ces mots, tu raccroches. Emily regarde pendant quelques secondes son écran avant de discuter avec Sean des informations qu’Interpol possède sur l’évasion de Doyle. En l’écoutant, son cerveau fuse à mille à l’heure, cherchant tous les plans pour arrêter Doyle et protéger ceux qu’elle aime.
En quittant son ancien collègue, Emily passe la nuit dans un hôtel. Elle a besoin d’être seule pour réfléchir. Elle doit réfléchir à une solution pour que tu sois saine et sauve. Le problème, c’est qu’elle ne peut pas te parler de Doyle. Elle doit t’éloigner sans que tu saches la réelle raison. Emily en vient à la triste conclusion qu’elle doit te briser le cœur - et le sien par la même occasion. Elle préfère vivre une peine de cœur et te voir respirer plutôt que te garder près d’elle et te voir mourir sous la main de Doyle. Elle ne peut pas prendre ce risque. Elle doit rompre avec toi.
Le lendemain, Emily se réveille avec difficulté. Son sommeil n’a pas été reposant. Elle n’a pas cessé de réfléchir à ce qu’elle pourrait te dire.
Elle va dans votre appartement quand elle sait que tu es partie au travail, voulant t’éviter jusqu’à ce que tu rentres le soir. En t’attendant, Emily prépare quelques affaires.
Quand tu passes le pas de la porte de votre appartement, le visage d’Emily prend une expression neutre. Elle ne doit montrer aucune émotion. Elle ne doit surtout pas laisser ces mêmes émotions parler. Elle sait ce qu’elle doit faire. Avec un grand sourire aux lèvres, tu te diriges vers Emily, prête à la prendre dans tes bras. Toutefois, quand tu vois son visage impassible, tu fronces les sourcils.
-Em’, tout va bien ? questionnes-tu en posant ton sac.
-On doit parler, Y/N.
-De quoi ?
-Je pense qu’on devrait s’arrêter là, annonce Emily de but en blanc et il te faut quelques secondes pour répondre.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ça ne sert à rien de continuer. Ces derniers temps, j’ai été pas mal occupée avec mon travail. Et puis, je ne serai jamais capable de te donner la vie que tu mérites. C’est mieux pour tout le monde.
-Qu-quoi ? Tu n’es pas sérieuse ? Emily, ça sort d’où ça ?
-Je cite juste un fait. Je suis presque tout le temps en déplacement, ça ne sert à rien de perdre notre temps.
-D’accord, tu es souvent ailleurs, mais on ne perd pas notre temps. Notre relation fonctionne. On a un équilibre. Pourquoi tu veux tout abandonner maintenant ? demandes-tu, perdue et avec les larmes aux yeux.
-J’y pense depuis un moment.
-Mais, tout allait bien entre nous. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait quelque chose ?
-Ce n’est la faute de personne, c’est juste ce qu’il y a faire de mieux, affirme-t-elle en te regardant droit dans les yeux.
-Selon qui ?
-Y/N, on savait toutes les deux que cette relation était vouée à l’échec. Elle n’était pas faite pour être durable. Pas quand on fait mon métier.
-JJ y arrive très bien pourtant.
-Ce n’est pas pareil. De toute façon, ma décision est prise.
-Donc, tu veux même pas essayer d’en parler ? De régler le problème ? Tu baisses les bras aussi vite ?
Emily sait que tu n’abandonneras pas. Tu as un air déterminé sur ton visage, malgré tes yeux larmoyants. Emily prend une grande inspiration avant de dire la phrase la plus compliquée qu’elle ait eu à dire :
-Je ne t’aime plus, Y/N. Tu es quelqu’un de bien, mais je n’ai plus de sentiments pour toi.
-Ce n’était pas l’impression que tu donnais il y a encore quelques semaines, contredis-tu, incrédule.
-J’ai essayé de retrouver mes sentiments pour toi, mais c’est impossible.
Tes yeux analysent Emily, cherchant une preuve que les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas la réalité. Toutefois, Emily a sorti son plus beau jeu d’acteur ; tu dois croire à ces mots tranchants. Comprenant que tu as bien entendu ce que t’a dit Emily, tes larmes commencent à couler sur tes joues. Tu n’y prêtes pas attention, essayant encore de trouver une solution pour rester auprès d’Emily. En voyant ton cœur se briser sous ses yeux, à cause d’elle, Emily se retient de t’avouer la vérité. Cependant, elle se répète que c’est la chose à faire.
-Je… J’irai dans un hôtel pour les prochains jours. Je vais sûrement devoir repartir dans ce laps de temps, ça te donnera largement le temps de reprendre tes affaires, informe doucement Emily en prenant deux sacs.
Tu ouvres un peu plus grand les yeux à sa dernière phrase. Bien évidemment, tu ne pouvais pas t’attendre à vivre encore avec elle si vous êtes séparées, mais tu pensais que vous alliez en parler, savoir si vous vendiez l’appartement ou qui le garderait.
Emily se sent mal en te virant de votre chez vous, mais elle sait qu’elle ne peut pas te le laisser. Doyle le trouverait en une recherche sur Emily et elle ne peut pas risquer qu’il vienne chez vous alors que tu y habites encore. Elle doit te garder loin d’elle et loin de votre appartement.
-Em’, je t’en prie.
Emily lutte pour te prendre dans ses bras en t’entendant la supplier. Elle ne te répond pas avant de te dépasser pour passer la porte de votre appartement. Elle retient un sanglot jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa voiture.
De ton côté, tu restes debout, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la porte d’entrée. Tu n’arrives pas à croire que ta relation avec Emily est réellement finie après cinq ans. Tu n’aurais jamais cru entendre ces mots. Tu n’avais pas prévu qu’Emily change d’avis sur vous. Pour toi, elle est - elle était celle avec qui tu allais finir ta vie. Il faut croire que ça ne sera pas le cas.
Un mois s’est écoulé depuis votre rupture. Dans une tentative désespérée, tu as essayé de la contacter pendant les premières semaines de votre séparation, sans aucune réponse de sa part. Tu n’as pas l’air de lui manquer autant que toi, elle te manque. Tu ne sais pas quoi faire pour que tu lui manques. Alors, à contrecœur, tu as fini par abandonner. Tu n’arrives toujours pas à t’en remettre. Tu n’arrêtes pas de repenser à votre relation, cherchant ce que tu aurais pu faire de différent pour éviter cette fin.
Tu n’aurais jamais pensé que vous finiriez de cette façon. Tu n’aurais jamais imaginé que tu ne saurais plus sa routine, où elle est, quelle enquête elle fait. Tu n’aurais jamais cru que tu ne la serrerais plus contre toi. Tu n’aurais jamais cru que vous auriez un dernier baiser.
Tu essayes de faire bonne figure, même si au fond de toi, tu restes dans cet état d’engourdissement. Mais ça doit changer, tu dois apprendre à avancer. Pour cela, rien de mieux que de sortir avec des amis.
Tu retrouves Penelope dans un café non loin de ton lieu de travail. Penelope est celle dont tu es le plus proche de son équipe avec Rossi. Tu la considères comme une sœur et c’est réciproque de son côté. Penelope était choquée en apprenant votre séparation et elle a essayé de faire changer d’avis Emily, sans succès.
En arrivant dans le café, tu prends Penelope dans tes bras. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement en la serrant contre toi. Ces câlins ont un pouvoir, tu en es sûre. Vous vous installez après avoir passé commande. Au début, votre discussion évoque des sujets banals - vous ne vous étiez pas vues depuis un petit moment alors vous rattrapez le temps perdu. Puis vient un moment où Penelope raconte une anecdote drôle sur l’équipe où elle mentionne Emily. À la mention du prénom de ton ex, tu baisses le regard, ignorant le pincement dans ton cœur. Penelope s’arrête de rire quand elle voit ta réaction.
-Oh, mon Dieu ! Désolée ! Je… Je n’ai pas réfléchi. Je n’aurai pas��� Je suis désolée, s’exclame Penelope, embarrassée.
-Ce n’est pas grave. Ça fait un mois, après tout, la rassures-tu avec un faux sourire.
-Mais quand même. Vous êtes restées longtemps ensemble. C’est normal si ça te fait encore mal.
-Je sais. Comment elle va, Emily ?
C’est plus fort que toi, tu avais besoin de poser cette question, elle te brûlait les lèvres depuis un mois. Tu as besoin de savoir si ton impression est une réalité. Penelope prend une grande inspiration avant de te répondre.
-Elle ne montre rien, mais je suis sûre qu’elle souffre tout autant. Parfois, elle est un peu plus discrète. Elle semble être plus souvent perdue dans ses pensées, ce qui est compréhensible au vu de la situation.
-C’est elle qui a dit qu’elle ne m’aimait plus, rétorques-tu séchement. Désolée, je n’ai pas dit ça pour que tu prennes mon parti ou autre, te reprends-tu avec un air coupable. Je suis juste encore surprise par comment tout a basculé du jour au lendemain.
-Vous vous retrouvez. C’est une certitude, affirme-t-elle en serrant ta main.
-Je n’y crois pas trop. Elle avait l’air déterminée à rester loin de moi.
-Y/N, l’amour que vous aviez ne peut pas se perdre. Quand ça sera le bon moment, vous serez de nouveau ensemble et tout ira bien.
Tu vois au visage de Penelope qu’elle croit dur comme fer à ses mots. Elle ne les dit pas juste pour te faire te sentir mieux, elle est persuadée d’avoir raison. Penelope a tendance à tout voir en rose, c’est vrai, mais tu as besoin de ce petit espoir.
En rentrant chez toi, tu poses ton sac à côté de ton entrée puis, tu t’installes sur ton canapé. Tu balayes ton appartement du regard, indifférente. Malgré tous tes efforts, tu n’arrives pas à te sentir chez toi. Chez toi, c’était ton appartement avec Emily. Chez toi, c’était Emily. Mais tu n’as plus Emily et tu ne l’auras plus.
Tu te lèves de ton canapé avant de te diriger dans le placard de ta chambre. Tu l’ouvres et prends un carton qui est placé en haut. Tu le saisis et t’assois par terre puis, tu cherches au fond du carton, à la recherche de quelque chose de précis. En tombant sur le cadre, tu le retournes afin de pouvoir regarder la photo à l’intérieur.
Cette image date d’il y a deux ans, c’était au début du mois de juillet, vous êtes en train de vous embrasser devant la Tour Eiffel.
Vous étiez partis à Paris pour vos vacances - par miracle, Emily avait réussi à avoir deux semaines de repos. Vous aviez passé un séjour inoubliable. Le fait le plus marquant de ce voyage, selon toi, est Emily parlant en français. Tu sais qu’elle parle un nombre incalculable de langues et tu fonds à chaque fois qu’elle parle l’une d’entre elles. Cependant, ce n’est pas souvent alors quand tu as pu l’entendre parler français pendant deux semaines complètes, tu étais aux anges.
Un soir, vers la fin de vos vacances, vous étiez restées dans votre chambre d’hôtel. En temps normal, vous profitiez aussi de la soirée pour visiter un peu plus Paris, mais ce soir-là, vous étiez trop fatiguées pour marcher dix pas de plus.
Vous vous étiez assises sur votre balcon, admirant la vue, la Tour Eiffel illuminée au loin, et vous étiez en train de parler de l’avenir. Vous faisiez des projets en tout genre, imaginant à quoi ressemblerait votre vie dans un an, cinq ans, dix ans, même dans trente ans.
-J’ai si hâte de vieillir avec toi, avait déclaré Emily avec un sourire.
-Moi aussi. Tu serais magnifique avec les cheveux grisonnants, avais-tu dit en caressant ses cheveux.
-Je ne sais pas.
-Crois-moi, tu le seras.
-Et toi, tu serais magnifique dans une robe blanche, avait-elle affirmé en plongeant ses yeux dans les tiens.
-Quoi ?
-On en a jamais vraiment parlé, mais j’adorerais qu’on se marie. Pas maintenant, sois rassurée ! avait précisé Emily en voyant tes yeux grand ouverts. Je n’ai pas de bague et ça, ça n’est sûrement pas ma demande en mariage, mais je peux nous y voir, en train d’échanger nos vœux et de nous embrasser devant nos proches.
-Je peux nous y voir aussi. J’adorerais t’épouser un jour, avais-tu avoué, prenant sa main dans la tienne.
-Tant mieux, comme ça, je serai sûre que tu ne pourras pas te débarrasser de moi.
-C’est toi qui en auras marre de moi avant, avais-tu rigolé et Emily avait secoué la tête.
-Jamais. Je t’aime trop pour me lasser de toi.
Et sur ces mots, vous aviez partagé un baisé langoureux rempli d’amour. Tu n’avais jamais été aussi sûre de votre relation que ce soir-là. Tu savais que c’était fait pour durer et tu n’avais qu’un hâte, créer de nouveaux moments aussi romantiques que celui-ci. Malheureusement, tout comme vous avez eu un dernier baiser, vous avez eu un dernier moment romantique. Ces instants ne sont plus que des souvenirs placés dans un cadre.
Quelques semaines plus tard, alors que tu es plongée dans ton travail, tu reçois un appel. Tu prends ton téléphone en te demandant qui peut bien t’appeler aussi tard. En découvrant le nom de JJ, ton estomac se tord. Elle ne t’a presque jamais appelé. Si elle le fait, c’est qu’il y a quelque chose de grave. Avec appréhension, tu réponds.
-JJ, qu’est-ce qui se passe ? Emily va bien ?
-Tu dois venir à l’hôpital tout de suite. Emily est en train de se faire opérer, informe JJ d’une voix tremblante.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demandes-tu en te levant de ta chaise.
-Je t’expliquerai à l’hôpital, c’est trop long par téléphone. Je te rappellerai si les médecins donnent des informations avant que tu n’arrives.
-Je serai là dans vingt minutes grand maximum.
Tu raccroches et te dépêches de te préparer avant de courir jusqu’à ta voiture. Pendant le trajet, tu es contrôlée par ton anxiété. Tu n’as jamais roulé aussi vite de ta vie. Dans ta tête, tous les scénarios défilent, te faisant monter les larmes aux yeux. Le manque d’informations de la part de JJ n’aide pas à te calmer.
Tu cours à travers de l’hôpital, à la recherche de l’équipe d’Emily. Tu les trouves assis, une expression inquiète sur leur visage. Hotch te voit arriver en premier et vient à ta rencontre, JJ sur ses talons. Hotch garde la tête froide même s’il peut ressentir ton stress au plus profond de son être. Il t’invite à le suivre dans un endroit plus discret de l’hôpital alors que JJ va te chercher un verre d’eau. Quand elle te le donne, Hotch est en train de te raconter l’évasion de Ian Doyle. Au fil de son récit, tout prend du sens dans ta tête.
Tu comprends enfin pourquoi Emily s’est éloignée si soudainement, pourquoi elle a été si dure dans ses mots. Elle pensait te protéger de Doyle en restant loin de toi, mais en le faisant, elle n’a pas pensé à se protéger, elle. Emily est dans un état critique et tu ignores si tu auras jamais l’occasion de lui reparler, de la sentir contre toi à nouveau.
Quand tu es au courant de toute l’histoire, tu retrouves le reste de l’équipe. Rossi t’informe qu’aucune nouvelle n’est encore arrivée. Tu t’assois à ses côtés et commences à te ronger les ongles. Tu attends avec agonie un médecin qui va très probablement t’annoncer une mauvaise nouvelle.
Tu aimerais être nulle part qu’ici. Tu aimerais que tout soit un mauvais rêve. Tu aimerais être dans votre appartement, à toi et Emily, enlacées dans votre lit alors que le soleil se lève comme vous aviez l’habitude de le faire.
Un matin, environ un an après votre voyage à Paris, Emily avait eu un jour de repos, vous permettant ainsi de rester au lit jusqu’à tard. Tu t’étais réveillée en premier - chose assez rare - et tu t’étais mise à la regarder. Son visage était complètement relaxé alors que sa main droite était posée sur ta hanche. Tu ne sais pas combien de temps tu étais restée ainsi, tu voulais juste profiter de la présence d’Emily. À un moment, Emily avait commencé à se réveiller et avait souri en remarquant que tu avais passé ton temps à la regarder.
-Tu me regardes depuis longtemps ?
-J’en sais rien.
-Pas du tout flippant, avait-elle blagué en te rapprochant de son corps.
-C’est pas un crime d’admirer ma petite amie quand même !
-On a arrêté des stalkers pour moins que ça.
-Tu vas finir par dormir sur le canapé, avais-tu rétorqué avec un faux air énervé.
-Tu n’oserais pas.
-Ne me tente pas.
-Tu m’as manqué, avait soudainement déclaré Emily.
-Toi aussi.
-J’espère qu’on aura encore l’occasion de se réveiller ainsi pendant longtemps.
-Je veillerai personnellement à ce que ça soit le cas, avais-tu affirmé avant de te blottir contre Emily.
Tu avais relevé la tête vers Emily avant de l’embrasser tendrement. Elle t’avait répondu avec passion et vous aviez fini par passer la majorité de votre journée au lit.
Maintenant, tu passes la majorité de ta soirée sur une chaise inconfortable d’hôpital. Tu as le regard perdu sur le sol alors que tu continues à penser à des moments heureux avec Emily tout en te disant que tu n’en auras sûrement plus jamais.
JJ apparaît dans la pièce, une expression grave sur son visage, les yeux rougis. Vous n’avez pas besoin qu’elle prononce un mot pour comprendre ce qu’elle va vous annoncer. Toutefois, tu ne veux pas y croire. Certes, tu n’étais pas optimiste sur l’état d’Emily, mais une partie de toi espérait, priait, pour que tout aille bien et que vous laissiez cette histoire derrière vous. Penelope murmure un “non” désespérée pendant que tu continues à fixer JJ. Elle n’ose pas te regarder quand elle prononce la phrase que tu redoutes :
-Elle est morte pendant l’opération.
Immédiatement, les larmes coulent sur ta joue. Tu sanglotes fortement, sous le choc alors que Rossi se penche vers toi pour te serrer contre lui. Tu acceptes son étreinte, versant toute ta douleur. Tu entends Spencer se lever, mais tu n’y prêtes pas attention, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer.
Tu pensais que ton cœur s’était brisé quand Emily avait rompu, mais tu avais tort. Cette fois, la douleur est pire dans ta poitrine. Tu n’as même pas l’impression que ton cœur se brise. Ton cœur ne bat plus et il ne battra plus jamais. Comment pourrait-il ? Tu ne pourras plus jamais voir le sourire d’Emily, entendre son rire, toucher sa main. Elle est morte et ton cœur est parti avec elle.
L’enterrement d’Emily est quelques jours plus tard. Pour la première fois depuis l’annonce de sa mort, tu te prépares. Contrairement au moment de la rupture où tu semblais insensible à tout ce que tu faisais, tu ressens chacun de tes gestes. Ta douleur n’est pas qu’émotionnelle, tous tes membres sont lourds et te font souffrir.
Rossi est celui qui vient te chercher. Depuis la mort d’Emily, il fait attention à toi. Rossi a toujours considéré Emily comme sa fille et il t’a tout de suite adopté quand vous vous êtes mises ensemble. Il déteste te voir aussi misérable, il aimerait pouvoir prendre ta douleur et l’ajouter à la sienne.
En voyant l’équipe porter le cercueil d’Emily, ta douleur se décuple un peu plus. Tu ne peux pas croire que la femme que tu aimes soit enfermée dans cette boite. Tu n’arrives pas à comprendre comment votre histoire ait pu se finir ainsi.
Tu n’écoutes pas le sermon du prêtre, tu gardes tes yeux fixés sur les fleurs blanches posées sur le cercueil. Si Emily avait pu voir ce moment, elle aurait dit que tout est trop solennel à son goût, tu souris doucement à cette pensée. Penelope te tient la main jusqu’à ce que tu ailles poser une rose rouge en premier sur son cercueil, les joues baignées de larmes. Tu restes à côté d’Emily alors que l’équipe imite ton geste. Rossi place une main sur ton dos pour te réconforter et tu fais tout pour ne pas fondre en larmes dans ses bras. Par tu ne sais quel miracle, tu arrives à rester debout alors qu’Emily s’enfonce dans la terre.
En rentrant chez toi, tu n’as pas le courage de t’allonger dans ton lit. Tu t’assois sur le sol de ta chambre après avoir mis un tee-shirt d’Emily. Tu l’avais mis dans tes cartons sans faire exprès et comme Emily ne l’a jamais réclamé, tu l’as gardé. Tu apportes le tissu à ton nez, espérant sentir l’odeur familière d’Emily, mais elle a déjà disparu. De nouvelles larmes coulent sur tes joues réalisant que bientôt, toute trace d’Emily aura à jamais disparu. Elle ne sera plus qu’une partie de ton passé.
Tout le reste de la journée, ton esprit est tourmenté par les souvenirs avec Emily. Tu repenses surtout à la fin de votre relation. Tu repenses à tous ces derniers moments que tu as vécus avec elle sans savoir qu’il n’y en aura pas d’autres. Si tu avais su ce qui allait se passer, tu les aurais appréciés un maximum et si tu le pouvais, tu aimerais pouvoir en changer certains comme votre dernier baiser.
C’était un matin, très tôt - trop tôt pour toi -, tu t’étais réveillée après Emily. Tes yeux se fermaient tout seul alors que tu te rendais dans votre cuisine. Tu préparais ton café quand Emily avait fait son apparition. Tu lui avais fait un rapide sourire alors qu’elle t’annonçait qu’elle devait vite partir au boulot. Elle t’avait embrassé chastement et tu avais à peine pris le temps de lui répondre, encore trop endormie. Elle t’avait lancé un “je t’aime” avant de prendre son sac et de quitter son appartement. Tu lui avais seulement marmonné une réponse, ayant besoin de ton café pour parler.
Tu aurais aimé que votre dernier baiser soit différent. Tu aurais aimé pouvoir l’embrasser avec passion, apprécier le mouvement de ses lèvres contre les tiennes et lui dire clairement “je t’aime”. Malheureusement, tu ne peux pas changer le passé et tu n’auras plus jamais de nouvelles chances. Ce baiser est condamné à être votre dernier tout comme tu es condamnée à vivre sans Emily pour le restant de tes jours. Et tu es condamnée à avoir son nom à jamais sur tes lèvres tout comme votre dernier baiser. Finalement, Penelope avait tort, rien n’ira bien.
Partie deux
Masterlist
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tâches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son téléphone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. Côté fenêtre. Juste derrière lui. Ma mère m'a retiré mon téléphone à moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon père. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les sièges je regarde le téléphone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxième semaine de chaque vacances scolaires. L'année prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais là, c'est encore ma mère qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nécessaire, elle m'agace parfois et je préfèrerais être seul. Mais peut-être qu'en fait elle a raison. Peut-être que ça me fait du bien quand même. Aux vacances de Noël, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-être à celles de février.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientôt à Lyon. Il ferme ses applis les unes après les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son téléphone dans sa poche. Ma mère me demande de préparer mes affaires. J'aurais bien aimé une petite sœur, mais c'est mort maintenant.
Donc, là, je passe la deuxième semaine de vacances scolaires avec mon père. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traîner à la maison. Mais il prend quand même des congés quelques jours et on va au ciné, à la Vogue des Marrons, au KFC, à la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville où je connais personne. J'ai pas à faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mère vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mère est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répète des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac près de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais côté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà.
Et c'est là que je le vois. Le mec de la dernière fois. Dans le carré famille. Il a un peu changé de tête. Je le reconnais à son téléphone posé sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La même photo que la dernière fois. La même photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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Réveillé 2h du mat par gamin qui vient chopper la cartouche mario, ne pas percuter et se rendormir mais avec un doute.
Réveillé 4h du mat par gamin qui rode autour du frigo. "J'peux avoir un yogurt?" "oui mais UN" se rendormir avec un doute. Réveillé à 6h du mat par gamin qui quiche au pied du lit (et sur le lit aussi évidemment).
Le mec a butté 6 yogurts et tout un carton de lait et bien sûr était debout tout ce temps.
Il a fichu notre journée par terre.
J'arrive à 11h00 au taf (la honte), la tête dans le luc. Je me traine et doit me battre contre l'endormissement intempestif. Je marche 30 minutes dans l'air frais à 13h00 pour la pause midi.
Je pars plus tôt parce que faut chopper la petite à la garderie, vu que monsieur est à la maison, personne pour récupérer la cadette.
J'arrive à l'école, tous les mouflets jouent dehors. Fille est contente et s'est bien amusée. Il y a eu un spectacle sur les chevaliers, elle s'empresse de me raconter avec le peu de mots qu'elle manie. J'ai compris qu'il y avait une princesse et que des chevaliers s'étaient battus. On rentre, tout le monde est de bonne humeur.
Je fais 30 minutes de marche forcée sur le tapis. L'eau chaude a été réparée. Je prends donc une douche brûlante.
Il est 21h21 et je suis le dernier éveillé dans ce petit cirque.
Viceky-miel-coca? Viceky-miel-coca.
On the rocks.
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Peux-tu faire Hanma qui remarque que tu t'es mise à fumer à cause du stresse et qu'il refuse ça ?
Sinon j'adore !
• Tu as commencer la cigarette •
hanma shuji
Mention : Couple - Drogue - Language vulgaire
Personnage : Hanma Shuji
Avertissement : Fumer tue ! Garder une bonne santé ! Ne toucher pas à ça, ce n'est pas un jouet ou quelque chose pour vous donnez un style c'est très dangereux !
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Comme à ton habitude tu attendis ton petit ami Hanma Shuji chez toi assise sur le lit après avoir eu une longue et épuisante journée de cours tu t'affale dans ton lit attendant ton copain.
Les heures ou ils arrivent sont souvent varié en fonction de ses activités de gang, ce qui t'énervais beaucoup en sois mais bon... A quoi servirait t-il de lui en parler ? Changerais t-il ? Non la réponse est vite répondu.
En attendant sa venu tu décide de sortir ton paquet de cigarette du tiroir de ta table de nuit. Tu t'était mis récemment a fumer a cause du stress que tu endure a cause des examens de fin d'année, fumer te relaxe et t'aide à passer à autre chose pendant quelques minutes.
Tu commence à fumer lorsque Hanma rentre dans ta maison, tu l'entend et lui dit que tu es a l'étage comme à votre habitude.
Il s'approche de toi puis remarque de la fumer sortir de ta bouche, en une seconde il balance la cigarette par la fenêtre. Tu le regarde avec un air choqué mais sens plus.
"Mais qu'est ce qui te prend gros malade ?" dis-tu simplement d'une voix calme mais essayant de comprendre son geste.
"Je ne veux pas que tu fume" dit-il ce plaçant en face de toi avec ça grande taille.
" Dit-il alors qu'il est fumeur lui même" Répond-tu, tu retourne vers ta table de nuit en prendre une autre.
Une mains tatoué viens ce placer sur ta tête pour te tirer en arrière vers lui, avec ta petite taille il était facile pour lui de te ramener prêt de lui sans effort.
Ils entourent ses bras autour de ta taille afin qu'il puisse t'immobiliser pour t'empêcher d'aller chercher ton anti-dépresseur.
"T'es sérieux la Hanma ?" dis-tu le regardant levant un sourcil.
"Je suis stresser la, laisse moi prendre mon anti-dépresseur !" dis-tu plantant t'es ongles fraichement fait dans les mains de ton petit ce qui lui donne absolument zéro effet.
"Si tu veux j'ai une technique naturel qui aide contre les angoisse." dit-il te le chuchotant à l'oreille, Tu as malheureusement vite compris ses paroles devenant rouge.
"C'est ce que je crois ?" Demandes-tu avec une légère grimace
Le sourire de ton copain s'élargie comprenant que "oui" c'était le qu'a... Ni une ni deux il me porte pour me balancer sans aucune délicatesse sur le lit ce plaçant au dessus de moi
"Tu verras ça va vite être du passer." dit-il m'embrassant fougueusement
*************************************
Quelques jours passèrent et la cigarette n'est plus mon anti-dépresseur maintenant... C'est Hanma et ça fameuse technique qui marche a 100%
Cependant attendez vous a des douleurs monstre partout, car a défaut d'enlever le stress il faut aussi canalisé la bête qui l'enlève...
#tokyo rev scenarios#tokyo rev x you#tokyo revengers#tokyo rev x reader#scenarios#hanma x y/n#tokrev hanma#hanma x you#avertissement#cigarette#smoke
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Tu va te refaire berner berni et
Penser que dans l’obscurité
On y vois tous
Mais pour toi c’est tous flou
C’est pas comme si on t’avais prévenue
Depuis tous petit toi perdu
Maintenant t’es devenu son détenu
C’est comme ça que tu ma perdu de vue
Alors on continue plus fort
On veux te faire monter la pente
Tu fait pas autant d’effort
Que ce que toi tu nous fait penser
On te vois ta perdu pied
Même plus envie de faire vrai métier
Arrêter dire que ta échoué
Ta vie n’est pas un échec
Me dit pas que ta chialer
J’aurai du mal à y croire
C’est pas moi qui ai achevé
Cette nouvelle histoire
Et tu me disais mon chat
Mais maintenant j’ai plus de charme
Encore un jouet pour toi
C’est mes larmes ma nouvelle arme
Je suis en full inspi
J’ai pas besoin du splif
Encore une fois je spleen
Et mon âme se split
Arriver par erreur et pas voir son ampleur
Et pas voir son âme pleurer
Et pas voir son arme puérile
Trop de temps à etre un imbecile
Cracher ça haine s’dire qu’ c’est utile
pas prendre l’air rester dans le lit
Ça fera pas de toi un nouvel ami
Mais un nouvel arrivage de sentiment
Quand je regarde le passé mon sang il monte
Pourquoi je le voit et tous le temps il ment
J’espère pouvoir lui montrer ma ville immense
Cette petite bourgade pleine de bonne choses
On y va on y est comme à la maison
Regarde où je t’emmène c’est la ville rose
ici tous le monde peut avoir raison
Les pensés change et les nurses aussi
Tu veux me protéger mais reste tranquille
Maintenant que c’est fait je serai pas ton ami
Mes pensées se fanent elles ont trop subi
Comme le phœnix je renaît de mes cendre
Présent tous les jours de janvier à décembre
31200 c’est la bas qu’y a le centre
Mais ta pas voulue rentre mon antre
(Alors encore je prend l’encre
L’inspiration de Pandore
Encore une fois je jette l’ancre
Sur le navire je radote ) x3
Et je continuerai quand même
Même si c’est pas la vie de rêve
Et le montre toutes ses facette
Et c’est pour ça peut être que je l’aime
Mais j’ai mis ce putain gilet pare-balles
Deux trois chargeur j’commence a avoir mal
Quand je dois y aller Ouai j’ai le trac
Mais c’est la vie a un moment ça fait mal
Trop bon trop con tu connaît le proverbe
Putain maintenant je me remet à l’herbe
Faudrai vraiment que j’arrête
Mais le cœur a besoin de ça pour renaître
Ta besoin qu’on ton vienne en aide
Mais tu refuse qu’on te tente la main
Putain mais c’était pas clair
En fait ton passé te fait trop de chagrin
Tensey drill 1 sur l’infini mon pote
Pensée aux gens qui se reconnaîtrons
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 1
18+ content, minors dni
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
synopsis : Suite à un bal de promo plus que désastreux, tu va passer tes vacances avec tes amies dans un hôtel luxueux réservé qu’à l’élite de la jeunesse de Los Angeles, vous croyez que les vacances allaient être de tout repos ? vous vous trompez.
FR FANFIC
Mentions de Jang Wonyoung (IVE), Woonggi (Boys Planet), Jay (Enhypen), Ningning (Aespa), Rosé (Blackpink), Intak (P1H), Jake (Enhypen), Zhang Hao (ZB1), Natty (Kiss of life), Chaewon (Le Sserafim), Kazuha (Le Sserafim), Mingi (Ateez)
EPISODE 2 - CAMP - FIRST DAY IN PARADISE
Les premières lueurs de l’aube glissaient doucement à travers les rideaux, caressant ta peau.
Tu te réveilles doucement, ton téléphone indique 07:30 et 43 messages non lus.
Tu jettes un coup d’oeil sur le lit situé en face du tiens; Woonggi dort encore.
Au vu de la soirée dernière, un peu plus de repos ne t’aurais pas fait de mal.
Tu décides de te lever enfiler un peignoir en satin avant de te diriger dans le hall afin de faire le petit déjeuner.
En marchant dans les couloirs de l’hôtel Paradise tu check tes notifications de la nuit dernière, c’est sûr que cette dernière soirée de lycée a été inoubliable…
Natty est venue vous chercher Woonggi et toi vers 01:30 du matin à la maison de tes parents avec vos valises, vous êtes arrivés à Paradise et vous vous êtes couchés après toute cette agitation au bal de promo, tu as complètent ghosté Jang après l’incident avec Intak… prépare toi aux foudres de la princesse présidentielle aujourd’hui.
En rentrant dans l’ascenseur tu croises Mingi qui te regarde avec un air assez curieux.
« Je ne souhaite pas parler d’hier soir si tu voulais commencer à discuter de ça » tu lui dis sans même qu’il ne prononce un mot.
Il répond en rigolant « Ne t’en fais pas, je ne m’aventure pas sur ce terrain, je suis juste surpris de te voir aussi tôt à Paradise, tout le monde arrive pour 10h normalement, Kazuha devait passer te chercher. »
Kazuha est l’une de tes meilleures amies, c’est vraiment la bonne copine, tu sais que tu peux tout lui dire, rien ne sortira d’entre vous, elle donne de bons conseils, est toujours à l’écoute et elle prend vraiment soin de son corps. Elle donne des cours de fitness à la salle FitLife Gym tous les mercredis et elle fait également du yoga.
Mingi est son grand frère, ils n’ont qu’un an d’écart mais sont très différents, Kazuha est plutôt douce et bienveillante tout en étant modeste, alors que Mingi RESPIRE l’aisance financière, toujours à porter des vêtements et des lunettes de soleil de créateur, il est également très mystérieux et ne se fait que peu d’amis; ce qui ne l’empêche pas d’aimer faire la fête et vider le stock de champagne d’une boite de nuit en une seule soirée. Mingi est l’hériter principal de la fortune de leur père, il possède TOUS les Yachts de Los Angeles.
Est-il utile de préciser que tu as déjà eu un crush sur Mingi il y a deux ans ? Évidemment tu n’as rien dit car Kazuha pourrait tuer n’importe quelle fille s’approchant trop près de Mingi…
Kazuha et Mingi ont également un petit frère que leur père a eu avec une autre femme, Heeseung, lui refuse catégoriquement d’entendre parler du business de son père et préfère passer ses journées à surfer sur les vagues de L.A.
Tu t’empresses d’envoyer un message à Kazuha en indiquant que tu es déjà à Paradise et qu’elle n’aura pas besoin de venir te chercher, avant de répondre à Mingi « mais qu’est ce que TOI tu fais ici alors ? »
Il te montre la serviette qu’il à autour du cou en disant « Je viens profiter du sauna avant que tout le monde n’arrive, je n’aime pas partager le Spa.. sauf si c’est avec toi » en lachant un petit sourire en coin.
Tu lèves les yeux au ciel en disant « plus aucun homme ne rentre dans ma vie Mingi » avant que les portes de l’ascenseur ne s’ouvrent sur le rez de chaussée.
Il répond en rigolant avant que les portes ne se ferment « Et pour ceux qui y sont déjà ? ».
Tu souffles bruyamment pour qu’il puisse entendre et va en direction de la salle du petit déjeuner.
Tu ouvres les doubles portes et découvre un vaste espace baigné de lumière naturelle, les larges fenêtres laissant filtrer les premiers rayons du soleil. Les murs sont habillés d’un riche lambris en bois sombre, donnant une impression d’élégance intemporelle.
Au centre de cette salle, une longue table en marbre poli, ornée de délicates nappes en lin, invitent à savourer le petit déjeuner dans un cadre somptueux : croissants au beurre de noisettes, jus de plusieurs fruits exotiques, ces mêmes fruits étant sur un plateau offrant une symphonie de couleurs et de saveurs évoquant les contrées lointaines et envoutantes, le tout, reposant sur un socle en marbre finement sculpté.
Quant aux chaises, elles sont rembourrées en velours d’une nuance douce et opulente et entourent la table, offrant un confort luxueux que tu apprécies tant après cette soirée exténuante.
Tu t’assois à cette table, dégustant un croissant et scrollant tes notifications, n’osant pas ouvrir les messages de Jang.
Tu ouvres les messages de Ning : ‘’MA BELLE CA VA ???? ATTENDS QUE MON AVION SE POSE ET JE LE TUE’’
Ning, de son vrai nom NingNing est l’héritière d’un constructeur automobile de luxe très populaire, elle fait partie de tes meilleures amies. Ning est très bavarde, souriante, très (trop) curieuse, coquette, elle parle très fort et possède un compte twitter comptant 10M d’abonnés, postant des ragots et infos croustillantes sur tout Los Angeles (même sur ses propres amies).
Ning est en déplacement en Corée du sud pour accompagner Rosé dans le cadre de son diplôme a l’étranger.
Son message t’as fait sourire, tu lui réponds ‘’Ça va Ning, ne tue personne, j’ai hâte de te voir tout à l’heure’’.
Elle répondit dans l’instanté ‘’ TU RÉPONDS ENFIN, JANG EST FURIEUSE ET MON AVION EST RETARDÉ D’UNE JOURNÉE C’EST UNE CATASTROPHE ALERTE ROUUUUGE’’
Suite à cette annonce tu te rappelles que tu n’as toujours pas répondu à Jang ni checké les réseaux sociaux, être la bête de la foire ne t’intéresse pas tant que ça, donc pas de réseaux ce matin.
Tu finis de boire ton verre de jus avant de quitter la pièce de petit déjeuner toujours vide, tu prends un croissant pour Woonggi.
Tu prends l’ascenseur et reviens à ta chambre, où Woonggi dors toujours, tu ouvres les volets avec la télécommande centralisée et tu entend Woonggi gémir en disant ‘’Mais il est 09h laisse moi dormir’’
Tu lui réponds « je t’ai ramené un croissant au beurre de noisette et les autres arrivent dans une heure wookie » avant de déposer le croissant sur sa table de chevet.
Woonggi s’assoit sur le rebord de son lit avant de croquer dans le croissant.
Il continue « Tu as choisis quelles activités pour aujourd’hui ? »
Tu réponds « Je n’ai pas encore regardé ce que Paradise proposent cette année, tu as une idée toi ? »
« Le jet ski me tente bien pour ce matin » il répondit la bouche pleine.
Adjugé, la première activité à Paradise sera donc le jet ski.
Vous vous préparez, tu enfiles le plus petit bikini que tu possède car hors de question d’avoir des traces de bronzages disgracieuses, et de toutes façons, tu n’es qu’avec Woonggi.
C’est ce que tu croyais.
Woonggi viens vers toi avec un petit sourire que tu ne connais que trop bien maintenant.
« J’ai proposé à Hao de venir faire du Jet Ski avec nous.. ça te dérange pas hein ? »
« Non non ne t’inquiète pas Wookie mais si Jang viens faire du Jet Ski avec une tronçonneuse parce que tu colles trop son frère, je ne ferais pas le bouclier humain »
Il rigole avant d’aller se mettre de la crème solaire.
09:45, tu as encore un peu de chance d’éviter de croiser Jang avant qu’elle n’arrive.
Tu arrives au point indiqué pour l’activité et vois Hao sur le Jet Ski attendant Woonggi en lui faisant signe.
Tu te diriges vers le deuxième Jet Ski, mais quelqu’un a été plus rapide que toi et à sauté sur le Jet Ski.
« Mingi descends immédiatement, c’était le miens ! » tu lui dis en fronçant les sourcils.
Il baisse ses lunettes, te regarde et te dit « Le tiens ? Ces Jet Ski appartiennent à mon père, donc ils sont plutôt à moi qu’à toi poupée »
Il marquait un point.
Il continue « Si tu veux faire du Jet Ski tu va devoir monter avec moi » en te faisant un clin d’oeil.
Tu réfléchis, tu décides de monter avec lui, après tout, tu es la pour t’amuser (mais tu pries pour que Kazuha ne voit pas ça).
Tu t’approches doucement, une lueur d’excitation dans le regard, ta main frôlant le dos de Mingi avec une légèreté à peine perceptible. Tes doigts suivent les lignes de sa colonne vertébrale, découvrant chaque muscle puissant sous sa peau hâlée, une symphonie de force et de grâce. Tu ressens la puissance du Jet Ski résonner à travers lui, comme si chaque virage et chaque saut étaient une extension de son être. Tes mains se glissent jusqu’a ses épaules, captant la tension de ses muscles dans le mouvement fluide du sport nautique. Un sourire joueur danse sur les lèvres de Mingi, une complicité naissante qui transcende les mots.
Tu ressens la fraicheur des éclaboussures d’eau salée qui caressent ta peau. Tu sers Mingi contre toi. Il est tel un cavalier des vagues, ses doigts agiles et délicats manient le jet ski avec une habileté remarquable.
Tu te perds tel une spectatrice émerveillée devant la magie de ce tableau vivant, une fusion sensuelle de l’homme, de la mer et de son propre désir de liberté. Mingi était fait pour ça.
« Ca te plait ? » dit-il en ralentissant.
Tu admires la vue avant de répondre « Je ne te pensais pas si doué avec les Jet Skis »
Il rigole et rétorque « J’excelle dans tous les domaines tu sais »
Woonggi et toi decident de passer la journée avec Hao et Mingi.
20:00, le crépuscule s’installe doucement, peignant le ciel d’une palette enflammée de teintes rosées, orangées et pourpres. Les derniers rayons du soleil, chauds et caressant, embrasent la mer dans une étreinte passionnée.
Tu fais signe à Mingi et Hao pendant que tu te tournes vers le bâtiment principal afin de vous préparer pour la soirée d’ouverture de l’été de ce soir.
Tu va faire un tour dans le dressing de ta chambre avant que quelqu’un ne toque à la porte de ta chambre.
Tu décides d’aller ouvrir et trouve Natty derrière la porte avec une robe sous un plastique.
« Coucou ma beauté, je ne t’ai pas vue de la journée, je t’ai envoyé un texto cet après midi pour te dire qu’Intak t’as fait livrer cette robe mais je n’ai pas eu de réponse donc je te l’emmène directement » dit-elle en te tendant la robe.
« I-Intak ? Hwang Intak ? » tu repondis en prenant la robe.
Natty te regarde en levant un sourcil « Ah parce que tu connais plusieurs Intak toi ? »
Non, c’est vrai que c’était le seul que vous connaissiez.
Tu trouves ça bizarre après son comportement de la veille, cependant tu remercies Natty.
« J’ai ouvert le plastique pour jeter un coup d’oeil, portes la ce soir tu seras sublime » dit-elle avant de fermer la porte.
Tu sors la robe du plastique, l’enfile et va devant le miroir du dressing.
La robe choisie par Intak, courte et légère semble être une caresse de soie et de dentelle contre la peau, sa jupe délicate effleure le milieu de tes cuisses, révélant tes jambes dans un mouvement fluide et aérien.
Cette robe de soirée évoque parfaitement l’effervescence d’une soirée d’été, la légèreté d’un baiser sur la brise. Elle incarne grâce et féminité dans une harmonie parfaite entre tissu et forme. C’est une invitation à danser, briller et à être l’étoile lumineuse de toute soirée.
Tu te retournes et voit Woonggi bouche bée te regardant dans la robe.
« Ok j’allais te dire de brûler cette robe quand j’ai entendu que ça venait d’Intak mais tu la portes si bien.. je suis entièrement d’accord avec Natty, mets lace soir » dit-il les yeux encore écarquillés.
Tu hésites, mais si ça vient d’Intak, pourquoi ne pas le rendre jaloux tout en portant la robe qu’il t’a offert ?
Ton téléphone vibre : *JANG YUANYING - APPEL ENTRANT*
N’étant toujours pas prête pour cette conversation, tu éteins ton téléphone avant de le ranger dans ton sac a main.
Woonggi et toi sortent de ta chambre, en discutant vous croisez Jake, Woonggi te dis qu’il t’attend en bas (histoire de te laisser 5 mins avec Jake).
« Tu-tu es encore plus belle qu’hier » dit-il sans te lâcher du regard.
Tu ris et fais glisser une mèche derrière ton oreille en le remerciant.
« Je m’inquiétais hier soir je suis passé te voir en revenant de la soirée mais Woonggi m’a dit que ce n’était pas le moment, tu vas mieux ? »
« Je pense que ces vacances à Paradise vont me faire le plus grand bien » tu répondis
« Si jamais tu ressens le besoin de parler de quoi que ce soit tu as mon numéro » dit-il en souriant.
« Merci Jake, ça m’a fait plaisir de te voir » tu conclues en enlacant Jake avant d’emprunter la même direction que Woonggi.
Tu as cru ressentir le battement du coeur de Jake contre ta poitrine, à moins que ce n’était le tiens ?
L’ascenseur dans lequel tu es se dirige vers le bar/nightclub de Paradise, cependant une autre personne entre dans l’ascenseur, Chaewon.
« Tiens tiens, ce ne serait pas notre Cendrillon qui s’est échappée du bal hier soir ? » dit-elle avec un sourire narquois en se remettant du gloss.
Décidant de ne pas rentrer dans son jeu tu ne réponds pas.
« Donc ce n’est pas la chaussure que Cendrillon a perdu hier soir mais sa langue ? » rétorqua t’elle, en s’appliquant une 36ème couche de gloss.
Tu attends qu’elle approche son gloss pres de son visage pour donner un léger coup de coude dans son bras.
Elle décolle l’applicateur avant de dépasser ses lèvres.
« Raté, tu te crois maligne ? je t’ai vu arriver à 10 kilomètres, j’aurai toujours une longueur d’avance sur toi ma belle » dit-elle avant de sortir de l’ascenseur.
Tu essaie d’oublier ce qu’il vient de se passer et te diriges vers le nighctlub.
L’atmosphère est imprégnée d’une musique envoûtante, une symphonie de rythmes vibrants qui pulsent dans l’air. Les murs habillés de panneaux de miroirs et de motifs artistiques amplifient la sensation d’espace, créant un jeu fascinant de reflets et de perspectives.
Des lustres majestueux pendent au plafond voûté, jetant une lueur dorée qui baigne la piste de danse. Les sièges et les banquettes sont drapés de velours somptueux, invitant la jeunesse dorée de Los Angeles à se détendre dans un confort luxueux tout en observant l’effervescence de la foule.
Le bar, un écrin de verre et de chrome, brille de mille feux derrière des barmans habiles qui jonglent avec les bouteilles et les shakers, créant des cocktails exquis capturant l’essence de la fête.
Chaque détail, de l’éclairage sophistiqué à la sélection musicale soigneusement élaborée, crée une expérience sensorielle immersive.
Tu t’avances en direction du bar pour aller prendre un verre, tu commences a demander au barman ton cocktail favori avant qu’une voix que tu reconnaitrais entre mille ne le fasse avant toi.
« Un martini pour la sublime jeune femme à ma droite chef »
Tu te tournes et réponds « Mingi ? Depuis quand tu connais mon cocktail favori ? »
« Je sais beaucoup de choses… jolie robe au fait » dit-il en bloquant sur la vue de tes cuisses.
Tu lui releves le menton avec le bout de tes doigts, prends le cocktail et t’enfuis vers la piste de danse en disant « Merci pour le verre Mingi » en lui envoyant un bisou.
Tu te faufiles entre les corps dansants au rythme de la musique, tu aperçois Intak au fond du nightclub, les yeux rivés sur toi depuis peut être 10 minutes.
Tu laisses la musique t’emporter, tu bois ton verre, en récupère un autre, et ainsi de suite.
Tes sens sont éveillés, amplifiés par l’euphorie de l’alcool. Chaque contact, chaque effleurement de tissu contre ta peau semble se transformer en une caresse électrique qui éveille une sensibilité accrue.
Dans un élan de confiance tu balances tes bras dans les airs et renverse un cocktail sur un homme étant avec son groupe d’amis.
Jay se retourne, t’attrapes la gorge et te dis « Tu sais combien coûte la chemise que tu viens de me tâcher ? »
« On peut aller le demander ensemble à ton père si tu veux, tout le monde ici sait que c’est l’argent de papa que tu dépenses » tu lui réponds avec un air malicieux.
Furieux, il commence à serrer ta gorge de plus en plus fort, serrant sa mâchoire tout autant.
Heeseung s’interpose entre vous deux et pousse Jay.
« Ça va pas Jay ? Tu comptais faire quoi là » dit-il
Jay grogne en ré-ajustant sa chemise.
Tu sens qu’on t’attrape le bras en te tirant hors du nightclub, c’est Woonggi.
« Qu’est ce que tu nous fais là ? prends ça et remonte dans la chambre, t’as pas l’air super sobre » dit-il en te tendant une bouteille d’eau.
Tu le remercies et prends l’ascenseur.
Tu déambules dans les couloirs, tu sens l’alcool redescendre, en prenant le couloir en direction de ta chambre tu entends une voix crier et frapper une porte.
« OUVRE CETTE PORTE AVANT QUE JE TE TUE DE TOUTES LES MANIÈRES POSSIBLES »
Tu t’avances doucement et distingue une silhouette élancée, portant une petite robe rose moulante, le petit diadème sur la tête t’as tout de suite indiqué qui était la folle qui tapait à la porte : Princesse Jang.
Tu essaies de reculer lentement sans aucun bruit.
Jang arrête de taper à la porte, tourne la tête dans ta direction et marmonne « Alors toi »
Tu ressens un frisson traverser tout ton corps, une sensation de peur mélangée à tout le reste, tu étais bien trop sobre pour ce qui allait se passer.
Jang ne prend même pas la peine de retirer ses talons et se mets à courir dans ta direction telle une furie.
Tu essaies de reculer plus vite mais elle à été beaucoup trop rapide, le pire arrive.
Jang saute et te plaque au sol tel un rugbyman.
Elle se met à hurler pleins de choses totalement incompréhensibles tellement la rage parle sa place, tu ne l’a jamais vue dans un état pareil.
Tu lui dis « Jang parle moins vite et moins fort je comprends absolument rien »
Elle répond toujours en hurlant « TU NE RÉPONDS PAS À MES MESSAGES DEPUIS 2 JOURS, NI LES APPELS, TU LAISSES WOONGGI SORTIR AVEC MON FRÈRE, CHAEWON EST COURONNÉE ET EN PLUS TU TE BATS AVEC JAY ? TU AS PERDU LA TÊTE ? »
Elle marquait un point pour les messages, les appels, et Jay.
« Je suis désolée Jang, j’étais pas dans mon assiette à cause du bal.. »
Jang se relève et réajuste son diadème « J’aime bien ta robe tu l’as achetée où ? »
Effarée par son changement d’humeur soudain tu lui réponds « C’est Intak qui me l’a offerte »
« brûle la » répond t-elle sans une once d’empathie.
Tu te relèves, Jang te fait un câlin immédiatement.
« Tu m’as manquée, je m’inquiétais, désolée de m’être énervée mais ne me ghoste plus aussi longtemps, promis ? » demande t-elle
« Promis » tu réponds.
Jang remets ses talons avant de continuer « on a beaucoup de choses à se dire toi et moi, monte au penthouse avec moi ».
Tu suis Jang jusqu’a l’ascenseur.
Vous arrivez à l’aile « présidentielle » comme elle l’appelle.
L’appartement de Jang, perché au sommet du gratte ciel majestueux qu’est le Paradise, offre une vue imprenable sur la ville scintillante. Les portes d’entrée, ornées d’un laiton poli, s’ouvrent sur un vestibule élégant ou des vigiles impeccables en costume sombre et cravate veillent avec une présence assurée.
Une fois entrée, tu es transportée dans un univers de luxe et d’opulence, le sol en bois exotique est doucement éclaire par des luminaires en cristal, créant une ambiance tamisée et raffinée.
Au centre de l’espace, un bar élégant s’étend, paré de marbre veiné et de détails en or finement ouvragés.
La terrasse s’ouvre sur un panorama à couper le souffle, ou des canapés en rotin confortables sont disposés pour profiter de la brise légère et du spectacle nocturne de Los Angeles qui s’anime.
Une piscine à débordement épouse les contours de la terrasse avec une élégance incomparable. Entourée de chaises longues recouvertes de coussins moelleux, elle offre une vue panoramique saisissante sur la ville.
Des palmiers en pots, majestueux, encadrent la piscine, ajoutant une touche de verdure exotique à l’environnement.
Dans cet espace, le luxe se mêle a l’intimité, la sécurité à la sophistication.
C’est un refuge exclusif, un sanctuaire où Jang peut s’immerger dans une atmosphère d’élégance et de détente, tout en profitant d’une vue à couper le souffle sur la cité scintillante.
« fais comme chez toi » t’indique t’elle.
Tu t’assoies sur une chaise longue de la terrasse et commence a lui expliquer la soirée d’hier.
00:10, « Un spa ça te dit ? va prendre un peignoir dans l’une de mes salles de bain, j’arrive » te dit Jang avant de se lever de la chaise longue après avoir été informée de toute la situation.
Tu te lèves et va trouver un peignoir ainsi que des chaussons avant de descendre au spa.
Arrivée au sauna, tu entres et vois Intak déjà assis a l’intérieur.
« Bonsoir Princesse, j’espère que la robe t’a plu » dit-il en te voyant
tu réponds « Je ne pensais pas que le sauna était déjà occupé, je te le laisse » et commence à partir.
« Reste . » dit-il d’un ton autoritaire et assuré, il tapote le banc à côté de lui, te faisant signe de venir t’assoir.
Tu t’assoies donc à côté d’Intak.
« Merci pour la robe, elle était parfaite. » tu murmures en regardant face a toi.
Il répondit « tout le plaisir était pour moi, j’ai pu voir tes jolies jambes toute la soirée, et tu viens me remercier dans le sauna, que demander de plus ? »
Tu le regardes en haussant les sourcils et réponds « Tu as déjà oublié ce que tu as fait avec Chaewon hier soir ou tu vis sur une autre planète ? »
« on est quite, je t’ai vu avec le petit blond pétrolier » te réponds t-il en parlant de Jake.
Sur le point de rétorquer, la porte du sauna s’ouvre à nouveau : Mingi rentre torse nu avec une serviette autour de la taille.
« Le spa était réservé ? je n’ai pas vu de panneau le précisant » demanda Mingi, surpris de te voir avec Intak
« Oui il est réservé pour elle et moi » rétorque Intak en posant la main sur ta cuisse.
« Non, tu peux rester si tu veux Mingi » tu réponds avec un grand sourire.
Tu sens la main d’Intak resserrer de plus en plus ta cuisse.
« Ta petite robe t’allait comme un gant » dit Mingi en s’asseyant
« C’est moi qui lui ait offert, je connais son corps par coeur » réponds Intak prenant un air supérieur.
Tu lèves les yeux au ciel et essaie de retirer la main d’Intak de ta cuisse mais impossible, ses doigts étant enfoncés dans la chaire de ta cuisse.
Mingi regarde la main d’Intak posée sur ta cuisse et te dit « Je ne pensais pas que tu étais du genre à partager ton partenaire »
Intak réponds avec un sourire « Les femmes savent faire un effort lorsqu’elles voient l’argent »
Ton sang ne fait qu’un tour et tu gifles Intak.
Il retire sa main, tu te lèves et pars en direction de l’ascenseur, Intak se lève pour te suivre mais Mingi se lève avant lui et lui dit « Toi restes à ta place, fais lui du mal et t’auras à faire à moi »
Intak ris en touchant la joue sur laquelle tu l’as giflé.
Les portes de l’ascenseur commencent à se refermer lorsque Mingi mets sa main de sorte à arrêter la fermeture et monter avec toi dans l’ascenseur.
Tu soupires et regardes Mingi.
Il te tend les bras, tu l’enlaces.
« Si cet enfoiré te fait le moindre mal, viens me voir, je lui ferais regretter chacune de ses actions. » dit-il en touchant l’arrière de tes cheveux.
Tu ne réponds pas.
« D’accord ? » enchéris t-il
« D’accord Mingi » tu réponds, le visage dans son torse.
« Bien » conclue t-il.
Tu retournes en direction de ta chambre, pensant à a soirée que tu viens de passer encore une fois.
Avant que tu ne rentres dans le couloir menant à ta chambre tu aperçois Jay caresser et embrasser quelqu’un avant de rentrer dans l’une des chambres du couloir.
Cette personne n’était définitivement pas Jang.
Tu te faufiles dans ta chambre sans faire de bruit et fait comme si tu n’avais rien vu.
La chambre est vide, Woonggi n’est pas encore rentré de la soirée.
Exténuée de ta soirée encore plus fatiguante que la précédente tu tombes sur ton lit avant que le sommeil ne prenne ton corps.
Tu ne pensais pas que ces vacances allaient être aussi mouvementées.
FIN DE L’EPISODE 2
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24 août, partie 2
Et nous voilà à Dion, chez nous. Il pleut mais qu’à cela ne tienne, vive la piscine. Toinette et Pierrot ont même eu un étrange dialogue qui a débouché sur une phrase « c’est bizarre,l’eau est moins épaisse que dans une piscine de rivière… » voilà voilà… Seb va chez le médecin, il a du pu dans l’oreille, l’otite du baigneur, une bactérie des lacs dont les antibios auront raison. Le pauvre aura dégusté sur cette fin de trajet ! Il pleut… c’est pas grave mais il pleut quoi… Tom est parti prendre un bain chaud et Seb une douche pour aller chez le médecin. Je sais pas si je suis jalouse ou triste mais j’annonce à tous : « bon, les gars soit on prend tous une douche et des habits propres et alors on rentre à la maison ce soir, soit on reste ici mais tous en mode camion ! Mais je veux pas être la seule dans mon jus et dans l’humidité ! » Ils ont tous bondis « Le K-mion le K-mion ! » même Tom a voulu faire sa dernière nuit avec nous ! K-mioneurs jusqu’au bout !
Ici c’est notre paradis du quotidien quoi… Mamita, Dadef, Jeanne, Charles… un bon repas, du bon vin, les papotes, les rires, la piscine… on y est tous bien, on y est tous purement et simplement heureux… et la soirée est délicieuse et sèche… petit moment suspendu… merci pour ce retour doux et plein d’amour !
Demain c’est la vraie vie, le vrai retour ! Et j’avoue, j’ai un peu envie !
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Aujourd'hui, nous sommes allées à Phu Rua, cet endroit magique :
C'est beau hein ? Dommage que nous, on ait eu cette version :
Dans notre innocente choupitude, il ne nous était pas venu à l'idée qu'il puisse pleuvoir ! (Eh oui, trois semaines sous les tropiques, ça enlève des automatismes Normands bien rapidement)
Bon, si on est honnêtes, on a heureusement pu monter un peu sous le soleil pas sous la pluie (22° ressentis 35° selon internet, non non, il ne faisait pas lourd du tout)!
On a même pu voir cette magnifique cascade (Sisi, yavait un filet d'eau), et se perdre pendant trente minutes pour essayer de trouver la suite du chemin \o/ Les parcs nationaux ont un talent bien à eux pour baliser les 500 premiers mètres (ceux où tu ne peux pas te perdre parceque c'est une jolie ligne droite), puis abandonner les touristes à leur sort. Seuls les plus forts triomphent.
(des jolies lianes, pour faire plaisir à Viviane !)
Sur le chemin du retour, un peu dépitées certes, mais finalement contentes de la balade (une dizaine de kilomètres dans la jungle, c'est sympa), je filme le paysage qui est franchement plutôt pas mal (vous savez, le paysage qu'on aurait dû voir depuis en haut!) ...
... quand soudain SHPAF on crève un pneu. Bon, vous voyez l'état de la route, on faisait pas du motocross non plus hein, ça en dit long sur l'état de notre scooter !
Nous voilà bien piteuses, arrêtées sur un bord de route au milieu de nulle part, à se demander ce qu'on va bien pouvoir faire. En face de nous, des maisons, et une famille (?) qui lézarde devant la porte. Nous arrivons donc toutes penaudes, et découvrons un premier visage de la Thaïlande : le monsieur monte la moto dans le coffre, et nous emmène à notre destination finale (on lui paye l'essence), en nous déposant au seul garage encore ouvert de la ville /o/ (il est maintenant 17h30, et tous les garages ferment à 17h). Un grand hourra à ce très gentil Mr Chalor 🥰
Le garage répare notre roue, à grands renforts de sourires et de phrases en thaï (ils rigolent bien devant nos mines perdues), et la réparation nous coûte le gros montant de ... 200Bahts (soit 6€). On a en attendant appelé la patronne de l'agence de location pour la prévenir, elle a essayé de nous faire partir à l'autre bout de la route, en nous disant de nous débrouiller pour faire réparer car si elle venait elle même ce serait 5000Bahts ! En rendant la moto, nous découvrons donc le deuxième visage de la Thaïlande : nous seulement elle nous fait payer une prime de retard car on ramène la moto avec une petite heure de décalage par rapport à ce qui était prévu, mais elle décide en plus que la jante est abîmée et qu'il nous faut donc payer 500Bahts de pénalité. On avait pris une vidéo de la moto au départ, où on voit CLAIREMENT les dégâts déjà présents, mais elle nous ignore et nous rend la caution sans ce montant. Aucune discussion possible, elle finit par se cacher au fond de la boutique pour ne plus nous parler et laisse le petit jeune qui ne parle pas anglais pour discuter avec nous ...
C'est un peu amères qu'on rentre à l'hôtel, mais on va choisir de se souvenir surtout du monsieur ! (Boycott du saloon Loei si vous y passez !!)
Et pour couronner le tout (oui, on rumine encore un peu), Clémentine se prend les pieds dans le trottoir et se casse la figure (rien de grave du tout, mais quand on a passé la journée dans la jungle mouillée et glissante sans qu'il ne se passe rien, c'est frustrant !), et je casse mon peigne dans mes cheveux sous la douche. RAAAARGHEUUUUUUUH.
(Sisi, on est sereines).
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P.
PDG - 25 ans - français - capricorne
Cette histoire est cocasse. Assez cocasse même !
Bon, tout commença un dimanche, vers 22 heures. Je lisais tranquillement à la terrasse de mon café habituel à la lueur des lanternes. J'ai cette habitude le dimanche soir lorsque je suis seule. Je lis et je bois jusqu'à a ce que l'alcool me couche. En théorie, c'est efficace, en pratique, je dois traverser la rue et ouvrir la porte de mon immeuble. Enfin ! Ne digressons pas ! Nous sommes dimanche. Je me souviens avoir vu A. ce jour la (j'ai des sentiments pour A., ca fait longtemps que je n'ai pas eu ce genre de sentiments - je me ronge de l'intérieur - à ce moment je n'en ai pas encore. c'est au moment ou j'écris - tout de suite maintenant que je le ressens). Je lis tranquillement lorsqu'une présence s'approche de moi. C'est P. Il est chargé de chemises qu'il porte sur des cintres et me dis venir du lavomatique au bout de la rue. "Je suis passé il y a deux heures, tu lisais déjà, j'espérais te revoir en revenant, et tu es toujours la !" Nous avons échangé, peut être 15 minutes : moi sur ma chaise, les jambes étalées sur la chaise d'en face, ma casquette sur la tête, mon verre de vin dans la main gauche et mon livre dans la main droite - lui, sur le trottoir à porter ce qui vraisemblablement pesait lourd - une dizaine de chemises à bout de bras. Avant de partir, je lui demanda son prénom et lui me demanda mes coordonnées. Nous échangeâmes très peu, mais très régulièrement ! Pas une journée sans un message - jamais plus de 5 messages ! Après notre rencontre, nous ne nous sommes pas vu aussitôt. Il repartais en province. Quelques jours plus tard, de retour à Paris il m'invita à boire un verre. (a ce moment j'étais avec A. et déclina cette proposition.) Je crois que je plais beaucoup à P. J'aime l'appeler mon voisin. Nous échangeames encore un peu et décidâmes de se revoir pour boire un verre un soir de semaine, peut être un lundi. J'étais assise à la même place que notre première rencontre. Il me rejoignit et nous passâmes la soirée à refaire le monde. A ce moment la je culpabilisais presque pour A. en qui j'avais développé une forte attache. Suite à cette entrevue, nous ne nous sommes pas vu pendant une dizaine de jour, jusqu' à hier soir.
Ce dernier m'a invité chez lui, soit : à côté de chez moi ! Comme vous l'imaginez, nous avons couché ensemble. Ici je n'ai pas envie de raconter comme c'était, ce qu'il s'est passé, si c'était beau, laid, romantique, fort ou sensuel. Sachez que c'était bien. Juste bien.
Avant d'arriver chez P., je pensais à A. - quand je suis rentrée chez moi, j'ai pensé à A. Cet homme m'obsède. J'ai désiré P. le temps d'une soirée. Peut être le désirerai-je encore à d'autres occasion. Mais c'est avec A. que je souhaite être. C'est avec A. que je souhaitais être à ce moment la. Je voulais son souffle sur moi, son odeur, sa peau, tout. Je le voulais lui. Et pourtant je crois que pour la deuxième fois de ma vie, un homme ne me veut pas. A. ne me veut pas. (je raconte quelques histoires ça et la à C. à S. à J. avec qui j'ai passé la journée d'hier avant de retrouver P. ou encore à ma directrice - oui - vous avez bien lu. C'est léger et frivole. je lui raconte la situation. Elle me réconforte. "C. tu ne mérites pas quelqu'un de plus faible que toi. Tu vas avoir du mal à trouver et je le sais, je suis passée par la" - je quitte la voiture, prends un verre de vin rosé en face de chez moi - relis mon brief - supprime l'intégralité de mes échanges avec A. et rentre à la maison.)
Il me rend folle. quel connard !
05-23
C.
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J'ai 50 ans. J'ai l'impression que dans ma générations, là place des hommes et des pères à change. Suis-je entouré de la presque totalité des hommes bien avec participation active au menage, devoirs, cuisine...ou la génération suivante repars en arrière ? Je me pose sincèrement question.
Je pense qu'il faut que tu regardes en détails. Les hommes participent plus qu'avant mais peu. L'organisation familiale en général c'est la mère qui s'en occupe. C'est à dire que le père va faire certaines chose que la mère lui a dit de faire, comme à un enfant supplémentaire. On lui a dit de passer un coup d'aspirateur il le fait, de faire une lessive, il la fait... Mais est-ce qu'il prend l'initiative ? Est-ce qu'il s'occupe de l'organisation des anniversaires des enfants, d'inviter les petits copains à la maison, d'être en contact avec les parents d'élèves, des activités, des rendez-vous médicaux, des rendez-vous avec les profs, de l'achat des vêtements, fournitures scolaires? Est-ce qu'il planifie les vacances, s'occupe des bagages, des activités des enfants pendant les vacances? Est-ce qu'il s'occupe des fêtes familiales, d'appeler les grands-parents etc, d'organiser des repas de famille, de faire appeler les enfants, d'envoyer des cartes de voeux, des cadeaux aux cousins? Est-ce qu'il organise sa vie professionnelle en fonction de la famille, rentre à la maison quand un enfant est malade, part plus tôt? Est-ce qu'il planifie les repas, les cuisine, pense à faire des stocks, est-ce qu'il connaît ce que ses enfants aiment et pense à en racheter?
Et j'ai pas tout listé !
Sans parler du fait que les hommes comptent souvent sur leur femme pour les materner : s'occuper de leur linge, de leurs repas, de leurs rendez-vous médicaux, de leurs loisirs, d'appeler LEUR parents pour prendre des nouvelles, etc.
Les pères vont souvent se congratuler d'avoir effectué 3-4 tâches (et souvent les plus valorisantes) mais ne prennent pas part à l'organisation de la vie de famille. Leur femme est en position de gouvernante qui doit donner des ordres. Et quand ensuite ça a un impact sur la vie de couple - la femme se voit mise dans la position d'être la "mère" symbolique d'un grand ado à qui il faut *tout* dire - c'est pas très étonnant.
Observe autour de toi la répartition des tâches et tu verras que bien souvent c'est comme ça.
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Pâtisserie Thérapie - Emily Prentiss
Masterlist
Résumé : Emily a beaucoup de choses en tête mais elle sait qu'elle peut compter sur toi pour le remarquer et l'aider à se sentir mieux.
Warnings : se passe pendant la saison 12 donc mention de Reid en prison, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Sweet Nothing par Taylor Swift
Encore dans son bureau au BAU, Emily finit son dossier sur l’enquête que l’équipe vient de résoudre, les yeux fatigués. Elle lutte du mieux qu’elle peut pour avoir la force de reprendre le dossier de Reid quand elle aura fini. Cependant la fatigue continue à prendre le dessus quand elle se met à bailler fortement. Emily arrête d’écrire et ferme les yeux tout en s’étirant, espérant faire partir l’épuisement. Quand elle pense avoir récupéré assez de force, Emily reprend son stylo et continue sa phrase. Quand elle la termine, quelqu’un frappe à son bureau. Sans relever la tête, elle invite la personne à entrer. En entendant la voix de Rossi, elle porte son attention sur son collègue.
-Tu as bientôt fini ?
-Presque. Je dois finaliser quelques passages, informe-t-elle en pointant le dossier.
-Tu pourras vite rentrer te reposer, alors.
-Non, je veux regarder le dossier de Reid.
En entendant l’information d’Emily, Rossi soupire avant de se rapprocher de son bureau.
-Emily il est vingt-et-une heure passée. Je croyais que tu devais passer la soirée avec Y/N.
-Je lui ai dit que je rentrerais plus tard, précise Emily et Rossi lui lance un regard appuyé. Quoi ?
-Tu devrais rentrer.
-Et je vais le faire. Je veux essayer de trouver une piste pour aider Reid.
-Ecoute, je veux Reid en dehors de cette prison autant que toi, mais tu ne lui seras d’aucune aide si tu t’endors sur son dossier. Va retrouver ta femme chez toi et repose toi. Ainsi, tu pourras mieux travailler, ordonne David en posant sa main sur son épaule.
-Certes mais…
-Pas de “mais”. Crois-en mon expérience. Finis ce dossier et rentre, insiste-t-il.
-Je le ferai, finit par céder Emily en soupirant.
-Passe une bonne nuit, Prentiss.
-Toi aussi, Rossi.
Quand Rossi est parti, Emily ne perd pas une seconde et reprend son rapport. Le point final posé sur le papier, elle jette un coup d'œil au dossier de Reid sur son bureau puis à la photo de vous deux. Elle veut écouter le conseil de Rossi, mais elle veut profiter de chaque seconde pour aider son ami. Toutefois, quand elle baille à s’en décrocher la machoire, elle doit admettre qu’elle a besoin de se reposer. À contrecoeur, elle éteint sa lampe de bureau, prend ses sacs et quitte le bâtiment.
Sur le chemin, elle fait attention en conduisant, consciente de son niveau de fatigue. En arrivant enfin chez vous, Emily soupire de soulagement. Dans l’ascenseur, elle s’étire la nuque tout en regardant son téléphone. Quand elle ouvre la porte de votre appartement, un sourire prend place sur son visage pendant qu’Emily pose ses sacs au sol. Tu es dans la cuisine fredonnant le refrain de Eternal Flame par The Bangles, Emily te rejoint et en se rapprochant de toi, elle te trouve en train de finir de préparer des pâtes fraîches. Emily passe ses mains autour de ta taille et pose son menton sur ton épaule. En la sentant, tu sursautes légèrement avant de tourner la tête vers elle. Tu l’embrasses chastement et te concentres à nouveau sur tes pâtes.
-Tu es à la maison plus tôt que prévu.
-Rossi m’a convaincu de quitter le bureau.
-Rappelle-moi de lui envoyer un message pour le remercier et en même temps le réprimander. Je voulais que tout soit prêt quand tu arrives, expliques-tu en souriant.
-Ce n’est pas grave. Qu'est-ce que tu cuisines de bon ?
-Pasta alla carbonara alla Rossi, t'exclames-tu en tentant un accent italien. Je sais, j'ai mal prononcé, ajoutes-tu alors qu'Emily se retient de rire.
-C'était adorable, affirme-t-elle en t'embrassant la joue. Tu as besoin d'aide ?
-Non, je tiens trop à ma cuisine pour ça.
-Hey, je suis pas si mauvaise que ça ! s’offusque Emily en te chatouillant.
-Tu t’es améliorée, je dois l’admettre, dis-tu en continuant à couper les pâtes. Tu as le temps d’aller prendre un bain et de te mettre dans des vêtements plus confortables. Allez, va ! ordonnes-tu en la poussant dans la direction de la salle de bain.
Quand elle réapparaît dans la cuisine, tu viens juste de finir de cuisiner. Les cheveux d’Emily sont mis dans un chignon et elle est vêtue d’un legging avec un de tes tee-shirts. Elle s’installe à table pendant que tu mets les pâtes à la carbonara dans les assiettes. Au même moment où tu poses le plat sur la table, Emily te sert un verre de vin avant de s’en servir un également.
Pendant votre repas, Emily te pose des questions sur ta journée. Tu lui parles de ta classe et des phrases que tes élèves de six ans ont pu te dire, Emily rigole à certaines d’entre elles. En continuant de discuter, tu remarques qu’elle fait tout pour éviter de parler de sa journée, mais tu ne dis rien. Tu sais qu’Emily a besoin d’un peu de temps avant d’expliquer les horreurs dont elle a été témoin sur le terrain. Imaginant que cette affaire n’a pas été facile, tu la distrais jusqu’à la fin de votre repas.
Quand vous avez débarrassé la table, tu devines au visage d’Emily qu’elle n’est pas près de s’endormir, malgré sa fatigue. Son cerveau est trop actif pour lui permettre de se reposer. Tu lui fais un sourire compatissant avant de prendre sa main dans la tienne. Emily sourit à ce contact.
-Tu veux qu’on fasse des muffins ?
Avec ta phrase, Emily comprend ce que tu sous-entends : “tu veux qu’on patisse pendant que tu dis ce que tu as en tête ?”
C’est une habitude que vous avez naturellement mise en place. La première fois que vous avez fait de la “pâtisserie-thérapie”, comme dit Emily, c’était au début de votre relation. Cela faisait un mois que vous étiez ensemble et comme ce soir, l’affaire avait été dure émotionnellement. En rentrant, elle t’avait retrouvée en train de faire une charlotte aux fraises. Elle t’avait aidé avec le peu de connaissance en pâtisserie qu’elle avait tout en te disant ce qu’elle ressentait. La séance de pâtisserie avait fini dans les larmes, mais Emily s’était sentie mieux. Par conséquent, c’est vite devenu votre tradition et actuellement, Emily a besoin de beaucoup de “pâtisserie-thérapie”.
Après avoir sorti les ingrédients, tu commences à préparer les muffins alors qu’Emily commence à peser les ingrédients avant de te les tendre quand tu en as besoin. Au début, Emily reste silencieuse, elle est perdue dans ses pensées. Tu le remarques tout de suite, car elle ne t’entend pas la première fois que tu lui demandes de te passer la farine. Tu lui laisses encore quelques minutes avant de poser la question fatidique.
-Tu veux parler de ce que tu as en tête ?
-Il faudrait plus que quelques muffins pour déballer tout ce qui me tracasse.
-Heureusement qu’on a une journée de repos en commun demain. Pour une fois. C’est ta dernière affaire c’est ça ?
-Elle a été dure, oui. À chaque fois que je pense avoir tout vu, un nouvel UnSub me prouve le contraire. On pourrait croire que je suis habituée maintenant, mais ce n’est pas le cas. J’ai beau tout faire pour garder une distance émotionnelle, parfois, c’est vraiment compliqué, avoue-t-elle, le regard triste en te tendant le sucre et la levure.
-Il n’y pas que ça, ajoutes-tu et Emily évite ton regard pendant une seconde.
-Je n’arrête pas de penser à Reid. On a beau chercher, on n’arrive pas à trouver une piste qui pourrait prouver que c’est l'œuvre de Scratch. Si Spencer arrivait à se rappeler ce qui s’était passé dans ce motel, ça pourrait sûrement nous aider. Et puis, j’imagine Spencer en prison et à quel point ça doit être compliqué et ça me fend le cœur. Il doit sortir de cette prison et je dois t’avouer que je me demande si on arrivera à le faire sortir cette année.
-Vous trouverez ce dont vous avez besoin pour l’aider, Emily, affirmes-tu en posant ta main sur la sienne.
-Je l’espère. En tout cas, je ne vais pas me reposer jusqu’à ce qu’il soit parmi nous à nouveau.
-Em’, n’oublie pas de te ménager.
-Il a besoin de mon aide, contredit-elle fermement. Je devrais faire plus pour l’aider, j’ai l’impression de ne pas faire assez.
-Ce n’est pas le cas et au fond de toi, tu le sais. Tu as fait tout ce que tu as pu et toi et ton équipe continuez à l’aider. Mais Emily, tu dois te reposer. Tu ne pourras pas l'aider efficacement si tu es morte de fatigue. Je sais que durant la nuit, tu ressors son dossier quand tu n’arrives pas à dormir, confesses-tu et elle te regarde avec les sourcils froncés. Le parquet grince quand tu quittes le lit, ajoutes-tu en rigolant légèrement avant de mélanger ta préparation. Emily, je suis sûre que vous trouverez une solution pour Spencer. Vous êtes la meilleure équipe du BAU, peu importe si je suis objective ou non en disant ça, le fait est que vous allez réussir à prouver son innocence. J’ai confiance en vous. J’ai confiance en toi. Et ne doute pas de tes compétences, tu es une bonne chef de l’unité, déclares-tu en la regardant droit dans les yeux.
-Tu me connais depuis trop longtemps, se plaint Emily faussement alors que tu bats les blancs en neige.
-Et côtoyer autant de Profilers est aussi très utile. Mais je suis sérieuse, Em’. C’est vrai que tu dois gérer pas mal de choses, les enquêtes, les nouvelles responsabilités en tant que chef, le dossier de Reid avec Scratch, c’est beaucoup de pression et c’est normal de se sentir submergée, mais ne pense pas que tu n’as pas les compétences pour gérer tout ça. Je te connais et s’il y a bien une personne qui peut s’en occuper, c’est bien toi.
-Tu as toujours les bons mots. Heureusement que tu es là, sourit-elle en te tendant le chocolat en petits morceaux. Sans toi, je ne pourrais pas me nourrir comme il faut.
-Je sers qu’à ça ? questionnes-tu, faussement outrée en mélangeant à nouveau.
-Non, je n’aurais jamais pu rêver meilleure femme. Avec toi, j’arrive à être vulnérable sans me sentir mal donc merci, dit-elle doucement en t’embrassant.
Emily beurre les moules puis tu les remplis avec ta préparation. Tu mets les muffins dans le four pendant qu’Emily met le minuteur, non sans voler le fond de pâte qu’il reste dans le bol. Vous mettez les affaires dans le lave-vaisselle avant de vous asseoir sur le canapé. Le dos d’Emily se retrouve contre ta poitrine et tes bras sont autour de son corps. Vous restez dans le calme et profitez de la présence de l’autre. Parfois, tu lui murmures des mots doux, tu veux t’assurer que son esprit est libre de tout ce stress avant de s’endormir.
Quand le minuteur sonne, tu invites Emily à aller se coucher dans le lit pendant que tu sors les muffins du four. Tu les laisses refroidir et tu vas te mettre en pyjama. Quand tu es prête, tu vas dans votre chambre pour demander à Emily si elle souhaite un ou deux muffins et quand tu la vois profondément endormie, tu souris. Tu t’assures que toutes les lumières sont éteintes et que la porte est bien fermée avant de faire un détour dans la cuisine. Tu prends une petite assiette et tu y places un muffin puis tu vas retrouver ta femme dans votre lit. Tu poses l’assiette sur sa table de nuit et tu t’allonges de ton côté. A peine installée, les bras d’Emily trouvent le chemin autour de ta taille. Tu la rapproches de toi, embrasses le sommet de son crâne avant de fermer les yeux, la respiration régulière d’Emily t’endormant.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Quand il s’agit de ce que je ressens, j’ai l’impression de ne plus arriver à faire la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.
Des semaines que j’ai de légers acouphènes en continu. Parfois, je sais que c’est ça, mais à d’autres moments, je ne sais pas si c’est moi ou un bruit discret mais réel que j’entends.
Au niveau émotionnel, c’est encore pire. Hier par exemple. Tout allait bien, enfin, je croyais. Je venais de passer une nuit sans interruption (très rare pour moi, la dernière date de début février, les précédentes de novembre…) et une copine venait manger le midi, j’étais plutôt contente.
En discutant avec la copine de mon dernier rendez vous chez le médecin, elle m’a dit que j’étais en colère et m’a demandé pourquoi, ce qui m’a beaucoup décontenancée parce que je n’avais pas remarqué que j’étais en colère. J’ai essayé de lui expliquer, la fatigue de devoir toujours tout réexpliquer, mon manque de confiance en les professionnels de santé (suite à de nombreuses fois où je n’ai pas été prise au sérieux, où on m’a prescrit des médicaments dont je n’avais pas besoin et/ou qui ont considérablement empiré les choses), mon agacement à ce que cette médecin qui n’est pas ma médecin traitante me demande systématiquement si je suis à jour de mes frottis alors que je n’ai pas de vie sexuelles et que je viens la voir pour un arrêt de travail pour me reposer une semaine avant de me refaire happer par les idées suicidaires contre lesquelles je peine de plus en plus à lutter. Bien sûr que dans ces moments-là j’ai pas envie en plus de devoir me justifier auprès d’une inconnue de ne pas avoir besoin de frottis parce que j’ai autre chose à foutre que d’avoir une vie amoureuse et sexuelle. Que j’en ai marre de devoir toujours justifier mon diagnostic parce que je masque tellement bien que je n’ai pas du tout « l’air autiste », whatever that means, et que parce que ça ne se voit pas ça ne veut pas dire que les difficultés ne sont pas là et qu’il faut me traiter comme une neurotypique. Que j’en ai marre de passer mon temps à renoncer à avoir une vie personnelle pour être tout juste capable de fonctionner en pilote automatique au travail. Que en fait j’ai envie de voir ma famille et mes amis (mais j’ai pas eu le temps d’expliquer que c’est pas si simple parce qu’il faut que ce soit à petites doses parce que ça me demande du repos, et que le repos c’est du temps seule. Toute seule. Dans le calme, chez moi, sans personne d’autre autour). Que ça me fait du mal de ne pas pouvoir avoir accès à tout ça. Parce que c’est quand même des besoins que j’ai. Et la seule réponse que j’ai c’est « mais une vie de famille c’est fatiguant aussi tu sais », alors que en fait ce qui me fait mal c’est ce renoncement sans fin. Toujours.
C’est un peu comme mes crises d’angoisse, que j’ai mis très longtemps à identifier comme telles, parce que je n’hyperventile pas (comme apparemment la plupart des gens). Et je n’ai pas non plus l’impression que j’ai un poids sur la poitrine. Non, il y a deux possibilités : soit j’ai mal au ventre à en avoir du mal à rester debout. Mais je vais quand même attendre d’être seule pour me mettre dans un position plus confortable, soit j’ai mal au cœur. Je crois. Quelque part par là en tout cas. Que ce qui est entre la cage thoracique et le diaphragme se rétrécit. Si je prends de plus grandes respirations, c’est bien pire. Les premières fois, je croyais que j’allais mourrir. Puis vers 14 ans j’ai pris l’habitude. Il faut attendre que ça passe. En général quelques heures. Parfois plusieurs jours, voire un peu plus d’une semaine.
C’est aussi me rendre compte que quand mes proches sont au bout du rouleau, la pire pensée qu’ils ont c’est « ce serait bien que ma fille soit malade comme ça j’aurais une excuse pour rester à la maison ». Moi les 3/4 du temps c’est « quand tu rentres du boulot tu es trop crevée tu n’arrives même pas à t’occuper de toi, tu n’as plus envie de rien du tout, tu sers à rien, tu ne vas jamais mieux, ça n’ira jamais mieux, tu emmerdes tout le monde avec tes problèmes qui n’en sont pas, arrête tout ça. Mais bois pas de l’eau de javel, tu te raterais. Si tu te jettes par la fenêtre c’est pas assez haut tu te raterais aussi. Il faut prendre le reste de neuroleptiques que ce débile de psychiatre t’avait fait prendre ». Pour moi c’est quasi quotidien, depuis l’adolescence. Mais quand les autres sont dans un état inquiétant, c’est bien éloigné de ça. Et on s’occupe d’eux. Moi la première. Mais quand moi je suis comme ça tout le monde s’en fout. Je n’ai pas le droit à cette attention. Quand j’essaye de l’exprimer, soit on change très vite de sujet, soit on me dit qu’on est triste pour moi mais qu’il faut que je vois un professionnel. Comme si j’en avais pas vu assez, qui soit ne m’aident pas, soit me sédatent au point que je ne suis plus moi. Vraiment, dans ma tête il n’y a plus rien. Aucune envie. Aucune attention. Je ne peux même pas lire. Alors me ressourcer, n’en parlons même pas. Je ne suis plus en capacité de m’engager dans les activités qui me font du bien.
Alors oui, j’étais en colère, merci de me l’avoir fait remarquer. Je n’avais même pas haussé la voix. Après ca je me suis mise à pleurer. Mais j’en fais quoi de cette colère ? Quand je la garde en moi, elle ne disparaît pas, elle grandit jusqu’au moment où elle explose. Quand je l’exprime, je vois bien que je gêne. Que je peine celles à qui j’essaie d’en parler. Personne ne me répond jamais qu’elle est légitime. C’est qu’elle est donc irrationnelle je suppose. Mais qu’est-ce que je fais avec ?
La copine en question (qui donc ne va pas bien en ce moment), elle arrive à exprimer ses besoins à son conjoint. Moi, ça me met très longtemps pour les identifier. Puis après, je ne sais pas trop à qui en parler… Quand il s’agit de besoins/limites sensorielles, à chaque fois que je les ai exprimés à ma famille, on s’en foutait, j’exagérais. Mes besoins humains (d’attention, d’être rassurée, de connexion), j’ai honte de le exprimer. Parce que ce serait réclamer l’attention de l’autre, être needy. Alors je n’ose pas. On m’a tellement dit que j’étais comme ça, et que c’est pas bien, que ce n’est que quand j’arrive au fond du fond du trou que je vais lever ma main. En espérant qu’on la voit et qu’on l’attrape. Mais sans être capable de demander clairement.
#actually autistic#tw: sucidal thoughts#tw: depression#tw suicidal thoughts#tw depression#tw suicide#tw: suidice
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◀ 18 DÉCEMBRE ▶ La Bonne Semence
N’oubliez pas la bienfaisance, et de faire part de vos biens, car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices. Hébreux 13 : 16
Qui use de grâce envers le pauvre prête à l’Éternel, et il lui rendra son bienfait. Proverbes 19 : 17
Combien ou comment ? Jésus est assis près du Trésor du temple, c’est-à-dire du tronc où chacun met son offrande. De ce regard pénétrant qu’il porte sur tout et sur tous, il observe non pas combien, mais comment chacun donne. Et voici une veuve à bout de ressources qui s’approche avec ce qu’elle a préparé : les deux petites pièces qui lui restent pour vivre. Ému, le Seigneur appelle ses disciples et commente ce qu’il vient de voir. Ah ! cette offrande extraordinaire, « tout ce qu’elle avait », prouve non seulement les affections de cette femme pour l’Éternel et sa maison, mais aussi la totale confiance qu’elle a mise en Dieu pour subvenir à ses besoins (lire aussi 1 Rois 17 : 7-16). En jetant au Trésor tout ce qui lui reste, elle ne dépend plus que de lui seul. Le Seigneur considère moins ce que chacun donne que ce que chacun garde pour lui. Il n’a pas la même façon de compter que nous, et c’est un encouragement pour tous ceux qui ne peuvent pas donner beaucoup (2 Corinthiens 8 : 12). Combien de petites pièces auront plus de prix que des fortunes, pour Dieu qui est attentif à la vraie valeur de nos offrandes. Faisons donc confiance à Dieu. Il saura récompenser au-delà de toute mesure, peut-être même déjà dans ce monde et certainement dans l’autre, les moindres sacrifices faits pour lui avec foi et avec amour. - Lire plus ici :
1 Rois 17:7-16
7 Mais au bout d'un certain temps le torrent fut à sec, car il n'était point tombé de pluie dans le pays.
8 Alors la parole de l'Éternel lui fut adressée en ces mots:
9 Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.
10 Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l'entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l'appela, et dit: Va me chercher, je te prie, un peu d'eau dans un vase, afin que je boive.
11 Et elle alla en chercher. Il l'appela de nouveau, et dit: Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main.
12 Et elle répondit: L'Éternel, ton Dieu, est vivant! je n'ai rien de cuit, je n'ai qu'une poignée de farine dans un pot et un peu d'huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons.
13 Élie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
14 Car ainsi parle l'Éternel, le Dieu d'Israël: La farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu'au jour où l'Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol.
15 Elle alla, et elle fit selon la parole d'Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Élie.
16 La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l'huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l'Éternel avait prononcée par Élie.
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