#histoire tissus
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7 août 1834 : mort de l’inventeur du métier à tisser semi-automatique Joseph-Marie Jacquard Heureux continuateur des efforts de Vaucanson, qui comme lui a perfectionné à Lyon les machines à tisser, Jacquard inventa une machine bien simple et peu coûteuse, à la portée de la classe pauvre des tisseurs, qui forma une époque mémorable et une nouvelle ère dans l’art des tissus ➽ http://bit.ly/Joseph-Jacquard
#CeJourLà#7Août#Jacquard#Inventeur#Métier#Tisser#Machine#Tisseurs#Art#Tissus#Inventions#Technologie#Techniques#SavoirFaire#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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(via Minijupeundefined avec l'œuvre « Copie de "Thai Lanna: L'héritage des motifs ancestraux" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
#findyourthing#redbubble#Motif ancien Tissu Thai Lanna Tradition Art textile Culture Histoire Style contemporain Patrimoine culturel Esthétique artistique Artisanat
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Animation doudous chasseurs de cauchemars en collaboration avec l’artiste illustrateur Mathieu Strale.
Création d’un doudou avec des tissus de récupération dans le cadre du projet proximity 2022.
Pour les enfants de 5 à 7 ans de l’enseignement fondamental.
Les enfants se sont d’abord baladés dans une forêt imaginaire, histoire racontée par l’illustrateur Mathieu Strale. Par la suite ils ont imaginé et dessiner leur monstre avant de le réaliser et qu’il puisse prendre forme.
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People around the world are translating Refaat's "If I must die" poem so it'd have a wider reach. Against Israel's wishes, Refaat will never die, his soul will live on in the words he shared and the way he touched people's hearts. Israel did nothing but cement his legacy. Remember Refaat, let his martyrdom be a symbol of hope for a Free Palestine, just like he wanted.
Here are some of the translations, more can be found in the twitter thread
And here is my translation in French :
Si je devais mourir
Vous devez vivre pour raconter mon histoire
Pour vendre mes affaires
Pour acheter un bout de tissu
Et quelques fils
(faites qu'ils soient blanc et long)
Pour qu'un enfant, quelque part à Gaza
En regardant le Paradis dans les yeux
Attendant le retour de son père parti dans une explosion
Sans dire au revoir à personne
Même pas à sa chair
Même pas à lui-même-
Voit le cerf-volant, mon cerf-volant que tu as préparé, volant dans l'au-delà
Pour qu'il pense pour un instant qu'un ange est là
Ramenant avec lui l'amour
Si je devais mourir
Faites que ca insuffle de l'espoir
Faites que ca devienne une histoire
And Arabic, his mother tongue :
إذا كان لا بد لي أن أموت
يجب عليك العيش
لتحكي قصتي
لتبيع أغراضي
لتشتري قطعة من القماش
والقليل من الخيط،
(ليكن أبيضا وذا ذيل طويل)
لطفل في مكان ما بغزة
يرى الجنة امام عينيه
ينتظر أباه الذي ذهب في إنفجار
ولم يودع أحدا
ولا لحمه
ولا نفسه
لكي يرى الطائرة الورقية، طائرتي التي صنعتها، تحلق عاليا
ويظن لوهلة أن ملاكا ما قد أتى
ومعه الحب
إذا كان لا بد لي أن أموت
فليأتي ذلك الأمل
فليصبح ذلك قصة
#free palestine#palestine#free gaza#gaza#genocide#colonialism#stop genocide#stop israel#free west bank
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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Changement
C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue. Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna. L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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Au cirque aujourd'hui y a eu le briefing du spectacle d'halloween, et ce sera génial.
C'est dans un village qui organise chaque année une balade nocturne avec des petits spectacles, du chant, du théâtre, etc à plusieurs endroits, on avait déjà participé l'année dernière, on incarnait un cirque traditionnel sur le déclin.
Cette année, on a enrichi l'histoire : des rumeurs circulent sur ce cirque qui déclinait depuis le décès d'Augusto, le père fondateur. Viviane, sa veuve, la voyante, aurait réussi à devenir immortelle. Elle aurait ensuite tenté de ramener son défunt mari à la vie mais a d'abord voulu s'entraîner sur le personnel du cirque. Tentatives échouées, puisque nous sommes tous devenus un peu morts, un peu vivants, on ne sait pas trop. Notre envie de spectacle toujours aussi vive par contre, et dès que nous voyons le public arriver, nous l'encerclons et nous lui montrons nos talents.
Notre piste fait 100m de long, le public arrive d'un côté, est mis dans l'ambiance par la première scène, une dispute entre Monsieur Loyal et sa femme à barbe. Les garçons de salle distribuent des vieilles gazettes qui titrent que tout le cirque est devenu fantomatique, que les tigres ont mangé nos restes et que nous sommes pourtant bien là, qu'un sort s'est abattu sur nous et que la menace règne toujours derrière ce gros rideau de velours, alors prenez garde à Viviane si vous osez franchir ce rideau.
Quand le rideau s'ouvre, l'obscurité est pesante et nous voyons arriver ce public, sans trop y croire. Est ce qu'ils nous voient vraiment ? On les fait participer un peu, on les approche, on les encercle, on les regarde de près. Puis les lumières de la première partie de la piste s'allument et les tissus, trapèzes, cerceaux et cordes lisses s'activent, accrochés aux arbres. Pendant ce temps, les autres groupes vont se mettre en place. Le spectacle aérien dure quelques minutes et les lumières s'éteignent alors que la suite s'allume pour le spectacle de jonglerie et équilibre. Puis après quelques minutes, les lumières s'éteignent de nouveau et d'autres s'allument pour emmener le public un peu plus loin. Pendant ce temps, des artistes déambulatoires se promènent en échasses, impliquent des gens dans des tours de magie... 4 grosses scènes s'enchaînent, agrémentées des déambulatoires, jusqu'à la fin de la rue et le spectacle de jonglerie feu. C'est là que je serai, avec mon staff, mon ado, ses bâtons enflammés et une amie qui aura ses bolas.
Après ces 4 scènes, les 50 artistes du cirque se retrouvent sur la place pour une chorégraphie dans un chapiteau sans mur, uniquement composé d'une structure et de lumière. A la fin de cette chorégraphie, Viviane nous envoie tous pour de bon chez les morts.
Voilà voilà ^^ moi je joue l'une des filles d'Augusto et de Viviane. J'ai deux soeurs jumelles siamoises qui jonglent et mon frère est l'homme fort, j'ai un tempérament plutôt ténébreux, secret, énigmatique, je sais toutes les histoires de famille, j'ai une oreille partout mais je garde tout pour moi. Je fais des "chuuuuut" aux gens avec des yeux plutôt effrayants. J'écoute leurs conversations et je les regarde avec un air bizarre.
Et du coup ce samedi, c'est la première répétition, JE JONGLE AVEC DU FEU ET UN BATON D'1M50 BORDEL DE MERDE.
#omg omg omg#je vais jongler avec du feu#c'est putain de badass#j'adore#j'ai très peur#mais j'adore#aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh
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Suite : la colère d'Achille maitrisée AVANT que ça tourne à la Tragédie !
Suite de ce billet. Merci à @ladyniniane pour m'avoir parlé de ce passage de l'Iliade et m'avoir donné l'idée !
Comme j'en parlais dans le précédent billet, Kelon aide Briséis à s'enfuir avant qu'Achille ne puisse lui faire quoi que ce soit, mais il provoque la colère du prince d'Egine, même s'il arrive à s'en sortir grâce à ses camarades, en particulier de son amie Hélène, de la cité d'Egine (rien à voir avec Hélène de Troie).
Petit point conception de personnage !
Kelon : J'ai finalement décidé de mettre tout le monde en tunique qui correspondrait plus à l'époque mycénienne, histoire de rappeler qu'on est à une époque plus ancienne que celle de Pyrkaïa où on est vraiment à l'époque de la Grèce classique / fin de l'époque archaïque, et de l'époque de Metaheta où on est au début de l'époque mycénienne et où ses habits se rapprochent plus de ceux représenté sur les fresques du fort de Knossos (et comme on est avec elle, les habits représentés sont bien plus féminins). On est sur la fin de l'époque mycénienne / début époque archaïque alors, il y a des tuniques cousus et des habits plus drapés. J'ai laissé Kelon en psuedo-chiton car, même si on est à une époque où on porte plus de tunique, il a la composante "comment je fais pour m'habiller avec deux ailes énormes dans le dos ?" à prendre en compte alors, il a une sorte de tunique cousu qu'il enfile par les jambes, et tient autour de son cou avec une bande de tissu et deux fibules pour que ça ne tombe pas. Il n'a également aucun motif sur ses habits pour souligner sa pauvreté et sa différence sociale avec les autres personnages, il n'a pas les moyens d'avoir de beaux tissus avec de belles broderies comme les généraux ou les soldats venant d'une famille plus aisée. Il a aussi gardé son bandeau pour retenir ses cheveux quand il vole et rappeler Claude.
Hélène (de la cité d'Etolie) : c'est un vrai personnage d'une version de l'Iliade ! Dans cette histoire, Hélène participe à la guerre de Troie, combat Achille et gagne contre lui au point de le tuer mais, Zeus ressuscite Achille qui la tue en retour. Bon, c'est une histoire qui sert surement à dire aux femmes de ne jamais combattre et de rester bien sagement à la cuisine MAIS, elle a quand même tué Achille le quasi invulnérable ! ça mérite d'être soulignée ! Ici, vu qu'on est à une période de transition entre l'époque mycénienne où les femmes avaient une place plus importante, et l'époque classique grecque où les femmes sont d'éternelles mineures à peine humaines et sans aucun droit ou presque, j'ai décidé d'en faire une engagée volontaire qui est là parce que dans sa cité, on laisse encore de la place aux femmes, même si ça reste exceptionnelle qu'une femme s'engage, et ça reste très dur pour elle et ses camarades car, ce n'est pas le cas dans toutes les cités, en particulier avec les généraux qui sont tous de très grands nobles ou propriétaires terriens où la condition des femmes... voilà, elle s'est dégradée assez vite car, ils n'ont pas vraiment besoin d'elles à part pour gérer la maison (ce qui est déjà une énorme tâche et responsabilité, ne l'oublions pas), là où ça a pris plus de temps côté peuple car, les femmes travaillent autant que les hommes pour subvenir aux besoins de leur famille, même si elles deviendront de plus en plus marginalisées avec le temps
ATTENTION ! Pour le coup, je ne sais pas si c'est comme ça que ça s'est passé dans notre monde ! Surtout que déjà qu'on a du mal à trouver des sources pour les élites, je ne vous parle même pas des gens du peuple ! C'est vraiment pour le fonctionnement de mon monde, ne prenez pas ça au pied de la lettre !
Hélène s'est cependant vite illustré pour être une excellente fantassine qui a un très grand esprit de corps et sait galvaniser ses camarades, tout en étant très apprécié par eux, en particulier les autres femmes. Elle est très amie avec Kelon d'ailleurs, elle le trouve gentil et intéressant, et lui apprend même à lire et écrire vu qu'il est analphabète de base (pas les moyens d'aller à l'école). Faut dire, en dix ans de guerre et de siège, ils ont eu le temps. A la fin, même si elle est là volontairement au début, elle perd de plus en plus patience en voyant la guerre s'éternisée, et pète littéralement un cable quand elle voie les généraux se mettre à se disputer pour une femme alors que leur camp vient d'être ravagée par la peste car, un des leurs s'est comporté comme un connard avec deux prêtres d'Apollon, y a des choses plus urgentes à régler ! Alors, quand Kelon va aider Briséis à s'évader, elle le couvre avec d'autres soldats de leur camp, histoire qu'elle puisse rentrer chez elle et éviter qu'une autre vie soit détruite. C'est un vol mais, c'est un vol pour la bonne cause donc, ça passe. Quand Achille menace de plumer Kelon, elle intervient et s'interpose entre eux, même si elle sait que normalement, Kelon a mérité de se faire punir pour son délit, elle sait qu'Achille ne fait qu'une crise de colère et veut juste massacrer quelqu'un pour se passer les nerfs. Kelon est son ami alors, elle le défendra, comme une phalange qui reste toujours soudés quoi qu'il arrive !
Pour ses habits, elle est d'une famille plus aisée que Kelon alors, elle a quelques motifs sur sa tunique : une chouette (ref + ref) qui est le symbole d'Athéna, et un vautour qui est un des animaux d'Arès, pour représenter qu'elle est une combattante complète, elle a autant l'intelligence d'Athéna que la force brute d'Arès. Elle porte également une tenue d'homme car, c'est bien plus pratique pour se battre. Je ne l'ai pas mis en armure car, c'est un duel qui s'est fait de manière impromptue et pour mieux montrer ses émotions vu que bon, l'armure complète de l'époque, ça ressemble à ça : l'armure de Dendras (reconstitution en dessin et reconstitution physique). Je lui ai juste laissé ses jambières en plus de son bouclier pour finir de la protéger et elle aurait pu encore les avoir. Pour son bouclier, il est basé sur une représentation des boucliers bilobés qu'on a retrouvé à Mycènes avec une grosse arrête centrale et cette forme de huit.
ATTENTION A NOUVEAU !!! JE ME SUIS TROMPE ! C'EST PAS HELENE D'ETOLIE QUI ARRIVE A LE TUER ! C'EST PENTHESILEE QUI ARRIVE A LE TUER ! Hélène, elle ne fait "que" le blesser ! C'est pas mal mais, je me suis emmêlée les pinceaux quand même !!! Je suis vraiment désolé pour ça, j'essayerai de ne pas refaire l'erreur plus tard !
Achille : pour lui, j'ai peut-être pas trop à le présenter mais, étant donné qu'il fait une colère car il ne peut pas avoir la plus jolie esclave du camp, qu'il tue quand même un de ses propres alliés car il s'est moqué de lui (car Achille est tombée amoureux de Penthésilée, reine des amazones, alors qu'elle est en train de mourir car il vient de la tuer, ce type doit revoir sa définition du romantisme !), et qu'il préfère aller mourir jeune couvert de gloire au lieu d'écouter sa mère qui a toujours pris soin de lui et de rester à Egine pour mourir vieux et inconnu, ce qui le fait regretter dans l'Odyssée (vraie anecdote, il dit à Ulysse en enfers qu'il préférerait être un valet de ferme [donc très souvent un esclave à l'époque, soyons clair] que d'être mort, y a fallu attendre qu'il meurt pour qu'il grandisse)... ouais, pour une version moderne du personnage, c'est très facile d'en faire un petit c*n égocentrique ne pensant qu'à lui et à sa gloire. Attention ici aussi, c'est dans les codes de l'époque : les héros grecs le sont car, ils sont à la recherche de gloire, ils ne sont pas là pour aider la veuve et l'orphelin. Si Héraclès fait ses douze travaux, c'est pas pour aider les gens mais, pour payer sa dette suite à son meurtre de sa femme et de ses enfants dans un coup de sang provoqué par Héra. C'est ça un héros grec mais, pour une histoire moderne qui suit des codes moraux et narratifs de notre époque, soit faut assumer à fond qu'on est vraiment sur les codes de la Grèce antique autant qu'on les connait et là, autant lire / écouter l'Iliade directement, soit on assume qu'on change des trucs pour en faire autre chose.
Je suis donc partie sur ça : Achille est un prince très fier de son rang, très fier de sa force, très sur de son droit sur tout, qui a également le comportement d'un sale gamin pourri gâté qui déteste qu'on lui dise non (merci Pélée pour le coup, Thétis est le seul parent compétent dans ce couple) et qui n'a aucun respect pour les personnes en-dessous de lui comme Kelon ou Hélène ou qui ne rentre pas dans l'idéal aristocratique de la force comme Kelon dont il trouve le pouvoir inutile, voir même Odysseus vu qu'il est plus rusé et veut que la guerre s'arrête pour rentrer chez lui retrouver sa femme et son fils, et très sanguin quand il s'énerve. Pour ses habits à lui, je lui a donné plein de motif pour souligner sa richesse, plus dans le style des vases à décors géométriques qui vont avec la période, tout en étant facile à reproduire sur toutes les pages. Le motif sur son bouclier de type tour est un aigle, pour rappeler Zeus (capable de se transformer en aigle et de mémoire, je crois que c'est un animal qui lui ait pas mal associé mais je peux me tromper, je me suis surtout appuyé sur mes souvenirs pour cette BD) qui l'a ressuscité dans la légende originale avec Hélène d'Etolie. Pour la forme de son épée, je me suis appuyé sur les reproduction de cet article (en accès libre) : "Les armes aux premiers temps de la Grèce mycénienne : marqueurs de pouvoir et de hiérarchie sociale". J'ai juste juste exagérée la taille des antennes de sa garde pour la rendre plus unique. La forme de son bouclier demi-cylindrique de type tour vient également de là. Etant donné qu'il est quand même censé être un des plus puissants guerriers achéens, il n'a pas de cicatrice, il n'a jamais été assez blessé pour en avoir une (et l'armure de Dendra aide, essayez de passer une forteresse de métal pareille !)
Odysseus : Ulysse retrouve son nom grec pour marquer que c'est un personnage qui est pas mal modernisé aussi. Si déjà dans l'Iliade, il fait tout pour ne pas aller à la Guerre de Troie en se faisant passer pour fou et c'est lui qui trouve la ruse pour en finir avec de Troie, ici, j'ai poussé le curseur plus loin en en faisant vraiment LE général qui veut en finir au plus vite avec cette guerre en négociant avec les troyens et qui n'est pas dans la course à l'égo qu'est cette guerre. Il veut rentrer chez lui car il a déjà loupé toute la croissance de Télémaque et que sa femme qu'il aime vraiment (dans le futur, Kelon le décrira comme l'homme le plus fidèle à sa femme qu'il a rencontré de toute son existences qui durera quand même mille ans) lui manque terriblement. Il a autre chose à faire que s'enterrer à Troie pour récupérer de la gloire au combat et du butin puis Hélène car c'est l'excuse pratique pour se taper dessus. Il est également un des rares qui arrivent à relativement bien canaliser Achille et qui ne se laisse pas impressionner par ses colères et ses coups de sang : Odysseus est un père, il a l'habitude des enfants capricieux, même si Télémaque est bien plus sage et mature qu'Achille. Il apprécie beaucoup les pouvoirs de Kelon car, il les trouve extrêmement pratique. On est en Grèce / équivalent de la Grèce en Almyra après tout, le climat est plutôt sec et pouvoir faire pleuvoir à volonté est une vraie aubaine pour les cultures, et il trouve ça bien plus pratique que juste augmenter sa force brute, surtout qu'il voie le potentiel futur de Kelon qui maitrise quand même la météo à 40 ans, alors quand il sera bien plus âgé, il risque de devenir extrêmement puissant. Il essaye donc de ne pas se le mettre à dos, histoire qu'il n'est pas de dent particulière contre sa cité.
Pour son design, je lui ai donné une barbe et tenté de lui faire des rides autour des yeux pour marqué qu'il est un homme d'âge mur, là où Achille qui est plus jeune et est donc glabre (Kelon a plus l'âge d'Odysseus, mais il continue à se raser de près car, son visage est encore assez juvénile étant donné qu'il vieillit bien moins vite à cause de sa condition de sorcier), et que le stress et la fatigue de la guerre l'ont fait vieillir bien plus vite (et comme on dirait : les bustes de grecs qu'on a, c'est des copies romaines et pour un romain, un grec, c'est un homme avec une barbe). Pour ses habits, je me suis basée sur cet oenochoé où il a un pétasse et une chlamyde (sorte de grand manteau) de voyageur, même si après coup, le manteau lui fait vraiment de grandes épaules... Pour les motifs, il s'agit de canard pour rappeler Pénélope / Πηνελόπεια dont le nom pourrait venir du mot "sarcelle, oiseau aquatique" en pré-grec, et de chouette étant donné que c'est le favori d'Athéna dans les mythes. Pour sa fibule, c'est un lys stylisée, de nouveau pour rappeler son mariage et sa fidélité à sa femme. Le motif en bas de sa tunique représente des grenades, qui sont un des fruits associés à Héra avec le paon et le coucou.
Ménésthée : roi d'Athènes à l'époque de l'Iliade, vu qu'il a tout petit rôle dans cette histoire, j'ai laissé Achille ne pas le respecter du tout et le prendre de haut comme les autres. Etant donné qu'il est le fils de Thésée, je lui ait donné des motifs de taureau sur son col afin de rappeler les exploits mythologiques de son père (même si dans la version Fodlan / Almyra, il n'a sans doute pas la même origine, c'est surement plutôt un sorcier dont les fiertés lui donne une apparence mi-homme, mi-taureau).
Agamemnon : figure importante de l'Iliade alors, les gens l'écoute mais, ça reste quand même un type très violent (le mec a quand même assassiné le premier mari de Clystemnestre et ses enfants pour pouvoir convoler avec elle et a été à deux doigts de sacrifier sa fille Iphigénie pour partir à la guerre, tu m'étonnes que sa femme veuille sa peau !) qui aime le combat alors, il a zéro souci à laisser deux personnes de son propre camp se battre pour résoudre un problème entre eux, même s'il sait aussi que les troyens ne doivent rien rater depuis leurs remparts. Il a des motifs de sanglier pour rappeler Arès et son caractère violent mais, qui n'est pas adouci par la présence de la chouette d'Athéna comme pour Hélène qui est bien plus pondérée que lui.
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#fe3h oc#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#j'espère que ça vous plait surtout !#deux semaines que j'y suis ! ça fait du bien de finir !#Excusez-moi pour le retard dans les questions j'ai passé mon samedi à noircir tout ça#mon dos m'a maudit mais je suis plutôt contente du résultat !#J'ai fait plein de test partout en plus pour tenter de rendre ça dynamique !#J'espère que ça rend bien...#même s'il y a des défauts c'est sûr -genre les barbes ma mère trouve qu'elles ressemblent plus à des bandeaux ^^' -#mais je trouvais qu'ajouter des poils rompait l'ensemble vu que je fais mes cheveux / poil d'un bloc#Vive les tuniques ! ça permet de dessiner des MUSCLES ! C'est bien les MUSCLES !#je me suis bien amusé avec les motifs pour une fois#c'est rare que j'en mette mais ça permet de donner des infos sur les persos#j'espère que les liens vers mes références marchent bien#Si vous chercher des refs visuels aller sur le musée du louvre ils ont mis les photos de leurs collections c'est super pratique !#On peut pas toujours grossir mais c'est déjà super d'avoir tout en ligne comme ça !
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-STONE TOWN- capitale de Zanzibar, est connue pour posséder le plus vieux quartiers de l’île. Stone Town est située sur la côte Ouest de l’île. Si vous avez envie d’un bouillon de culture et d’histoire sur les rives de l’Océan Indien, il n’y a pas meilleur endroit qu’ici. Non loin des plages paradisiaques de Zanzibar, la vieille ville vous offre un tissu urbain et culturel fascinant marqué par une riche histoire multiculturelle. Stone Town patrimoine mondial de l’UNESCO en 2000 . #tanzania #tanzania🇹🇿 #tanzanie #stonetownzanzibar #stonetown #zanzibar #zanzibarisland #zanzibarbeach #travelphotography #travel #travelgram #travelblogger #traveltheworld #traveladdict #voyage #voyageursdumonde #naturerey #city #cityscapes #nationalgeographic #capital #ville #africa #afrika #isla #island #ocean #oceanlife #beach #goodvibes (à Stone Town, Zanzibar) https://www.instagram.com/p/CpUpwm6M5Te/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#tanzania#tanzania🇹🇿#tanzanie#stonetownzanzibar#stonetown#zanzibar#zanzibarisland#zanzibarbeach#travelphotography#travel#travelgram#travelblogger#traveltheworld#traveladdict#voyage#voyageursdumonde#naturerey#city#cityscapes#nationalgeographic#capital#ville#africa#afrika#isla#island#ocean#oceanlife#beach#goodvibes
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Bonjour, bonsoir, bonne nuit tumblr !
Ici, je vais m'essayer au blog et partager ce qui tourne autour de ma passion pour la couture fantastique spécialisée dans le jeu de rôle grandeur nature ou GN (LARP). Des projets terminés, des idées en cours (parfois même un peu -beaucoup- chaotiques 😅), des essais, et surtout beaucoup d’amour pour le fait-main.
Je suis fasciné•e par les détails, les textures, les couleurs, et ce moment magique où un simple bout de tissu se transforme en quelque chose d’unique. Chaque création a son histoire, et j’aime à penser que les mains qui cousent racontent autant que les pièces elles-mêmes.
Juste partager mon univers, mes petites réussites, mes ratés aussi (parce qu’on ne va pas se mentir, ça arrive 😌). Si toi aussi tu aimes le slow fashion, la récup’, ou simplement l’idée de faire avec ses mains, on va bien s’entendre.
Tu peux aussi me retrouver sur Instagram @lesmainsacoudre pour encore plus d’aventures textiles. Mais ici, j’ai envie de prendre mon temps et d’écrire un peu plus.
Merci d’être là !
À bientôt, – Castiane, Les Mains à Coudre 🪡
Photo par Spiwi
#couture#coutureaddict#larp#fantasy#sewing#high fantasy#live action role play#historical rp#fantasy rp#period rp#craft
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5 juillet 1857 : mort de Barthélemy Thimonnier, inventeur de la machine à coudre ➽ http://bit.ly/Barthelemy-Thimonnier Les broderies au crochet que les fabriques de Tarare, dans les montagnes du Lyonnais, faisaient exécuter dans les montagnes du Lyonnais et du Forez lui suggérèrent l’idée de construire une machine pouvant à la fois broder les étoffes et coudre les vêtements
#CeJourLà#5Juillet#Thimonnier#Inventeur#Machine#Coudre#Couture#Inventions#Broderie#Vêtements#Étoffes#Tissus#Biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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"L’histoire des parapluies François commence à s’écrire le jour du mariage de Pauline Armentine Chaigne avec le Sieur François premier du nom, le 14 janvier 1873, où Pauline se déclare « vendeuse de parapluies ». À cette époque le parapluie est un article de luxe. Entièrement fabriqué à la main avec des matières nobles, il sert à la fois de protection contre les intempéries et le soleil mais aussi de canne. En son coeur, il cache souvent une arme. Une lame ou une fine épée qui se dissimule dans le mât. Leur fils, Pierre-Louis François s’installe, après un apprentissage chez un fabricant de Poitiers très connu : Vallet Déchérat, avec son épouse Angelina, dans leur atelier de Poitiers au n°137. Il donnera un premier coup de jeune aux parapluies, en remplaçant les fanons de baleine par des baleines en métal fabriquées par Peugeot. Les tissus évoluent également. Le nylon et le satin font leur apparition. Puis c’est au tour d’Émile et Léa François de moderniser la fabrication en mécanisant l’atelier familial. Ils laisseront ensuite l’activité à leurs deux fils, les frères Pierre et Louis François, encore à l’œuvre aujourd’hui. Ensemble, ils perpétuent l’héritage et le savoir-faire familial pour la cinquième génération, toujours dans leur atelier de la grande rue au n°137. Ils fabriquent, personnalisent et restaurent les parapluies avec cette même passion qui dure depuis plus d’un siècle. Une belle histoire familiale, dont le savoir-faire a été reconnu par l’obtention du label Entreprise du Patrimoine Vivant. En moyenne, chaque année, 4 000 parapluies sont fabriqués à la main, chacun nécessitant plusieurs heures de travail. Fraisage du mat, pose des ressorts, montage du faisceau à baleine… pas moins de 6 étapes essentielles permettent de réaliser le mécanisme du parapluie et 15 autres étapes sont nécessaires pour la confection de la toile, de la découpe du tissu, aux ourlets… et la couture des aiguillettes, l’assemblage, le repassage, jusqu’à la vérification finale du travail accompli."
Source : https://www.marques-de-france.fr/listing/la-fabrique-de-parapluies-francois-freres/
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"Robe de Jour" griffée Au Printemps en tissu "Flesa" viscose imprimée et ceinture noire en plastique (circa 1948-58) présentée dans le cadre de l'exposition "Made in France. Une Histoire du Textile" aux Archives Nationales, Le Marais, Paris, novembre 2024.
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Toute est dans toute!
Quel est point commun entre un des plus gros succès cinématographique québécois, le Titanic et un défilé de mode à Barcelone?
Aucune idée? Tirez-vous une bûche matante va vous expliquer ça.
En décembre 1997, James Cameron offre au monde entier son oeuvre magistral: Le Titanic. Sur toute la planète le succès est incontestable. Il fracasse tous les records, les salles sont bondées, les fans se multiplient et sont hystériques.
Toute la planète?
Non!
Un petit village résiste à l'envahisseur.
Au Québec, pour sa 2e semaine en salle, le film (culte) "Les boys" reste bien en tête du box-office. Si bien qu'un des producteurs du Titanic a passé un p'tit coup de fil au président de Famous Player (ancienne chaîne de cinémas) afin de demander "WTF Les Boys?". La légende raconte que le président lui aurait répondu "Je pense que c’est votre iceberg au Québec."
Une histoire toute simple: une gang de gars qui se retrouvent pour jouer au hockey dans une ligue de garage (non professionnel). C'est drôle, on se reconnait, c'est l'hiver pis c'est du hockey. Ça ne pouvait pas pas marcher. 4 autres films ont suivi, en plus d'une série télé de 5 ans.
C'est bien beau tout ça, mais on est loin de Barcelone et encore plus loin du catwalk! C'est vrai... ou pas! Il y a quelques jours à Barcelone avait lieu la 34e édition de la 080 Barcelona Fashion qui, pour la 3e année, présentait le 080 Reborn, un défilé présentant des collections 100% avec des tissus recyclés. On est toujours loin des Boys. Vraiment? Sur le catwalk il a pourtant été possible d'admirer... un chandail des Boys!
Comme quoi, toute est dans toute!
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Thisbé de Waterhouse : L'attente tragique d'un amour interdit
John William Waterhouse, Thisbé ou L'auditeur, huile sur toile, 97x59cm, 1909
Pyrame et Thisbé : Le moment suspendu avant la tragédie
Dans cette peinture de Waterhouse, Thisbé est saisie dans un moment d'attente intense, pressant son oreille contre le mur qui la sépare de son bien-aimé, Pyrame. Ce geste d’écoute, à la fois empreint de tendresse et de tension, illustre de manière poignante leur situation tragique : bien qu’ils soient physiquement proches, leur amour est irrémédiablement entravé par des forces extérieures. La fissure dans le mur, par laquelle ils tentent de communiquer, devient ainsi le symbole de cet amour empêché, une passion qui ne peut s’exprimer que dans le secret, loin des regards de leurs familles hostiles.
Ce choix de représentation par Waterhouse, focalisant uniquement sur Thisbé, fait ressortir non seulement la solitude du personnage, mais aussi la séparation inéluctable qui hante leur relation. Ce moment figé semble anticiper le drame imminent qui culminera dans leur mort tragique.
Les couleurs : Une palette de passion et de tension
Waterhouse, figure emblématique du mouvement préraphaélite, utilise des techniques picturales distinctives qui amplifient les émotions véhiculées par ses sujets. Sa maîtrise de la couleur est particulièrement notable dans cette œuvre. Les teintes riches et vibrantes qu'il emploie ne servent pas seulement à embellir la toile, mais aussi à intensifier l'atmosphère émotionnelle. Le rouge de la robe de Thisbé, par exemple, attire immédiatement le regard et évoque des sentiments de passion, mais aussi de danger imminent.
Ce choix de couleur audacieux est accentué par des contrastes subtils avec les tons plus doux du fond. Ce jeu de lumière et d'ombre crée une tension visuelle qui reflète l’angoisse intérieure des personnages et la précarité de leur situation. En utilisant ces techniques, Waterhouse amplifie le poids émotionnel du moment, en invitant le spectateur à ressentir l'intensité de l’attente de Thisbé.
Les émotions : La vulnérabilité face à la séparation
Outre les jeux de couleurs et de lumière, Waterhouse porte une attention minutieuse aux détails qui révèlent la profondeur émotionnelle de ses personnages. La texture des tissus, les plis de la robe, et surtout l'expression du visage de Thisbé, oscillant entre espoir et angoisse, racontent une histoire plus vaste. Son visage tendu, ses yeux écarquillés et son corps incliné vers le mur traduisent non seulement son désir ardent de se connecter à Pyrame, mais aussi sa peur d’un avenir incertain.
L'invisibilité de Pyrame dans la scène est cruciale. Même absent physiquement, il est omniprésent dans l’esprit de Thisbé, ce qui accentue le drame de la séparation. Cette absence suggère une souffrance encore plus grande, car Pyrame, bien que proche, est inaccessible. La fissure dans le mur, petit espace à travers lequel ils communiquent, symbolise à la fois leur lien ténu et la barrière infranchissable qui les sépare.
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Monstres
Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées, le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il r��alisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait. Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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