#fort des capucins
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philoursmars · 10 months ago
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Troisième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s : Christian en Bretagne, près de Brest, il y a un mois déjà.
Une visite de Brest.
les 3 premières: la colorée plage de Maison-Blanche
Sainte-Anne-du-Portzic et ses belles villas donnant sur la Rade de Brest
de l'autre côté de la rade: sur la Pointe des Espagnols, à Roscanvel, le Fort des Capucins.
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thecharict · 6 months ago
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⠀ ❝ i am not a woman, i am a god. i am not a martyr, i am a problem . ❞
𝐏𝐑𝐄𝐒𝐄𝐍𝐓𝐈𝐍𝐆 𝐍𝐎𝐖 :  BEAUMANOIR, Madeleine   ››   
  rundown.     ⸻     nittaya suwannarat madeleine capucine beaumanoir ; manon para os íntimos. 31 anos, leonina. modelo e colunista de moda. pansexual, solteira. ⸻
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𝐇𝐄𝐀𝐃𝐂𝐀𝐍𝐎𝐍𝐒 ›› Se você quer alguma coisa, você derruba qualquer um para conseguir. Nascida Nittaya Suwannarat, Manon foi adotada aos três anos de idade pelo casal francês, em uma das muitas viagens que o casal fazia pelo mundo. Nenhum dos dois fala muito sobre o processo, resumindo a história a terem se apaixonado pela menina logo à primeira vista. Verdade fosse dita, enquanto adolescente, mais do que em qualquer outra época da vida, Manon tinha muitas suspeitas a respeito de todo o processo de sua adoção, mas não teve tempo de investigar nada, nem ir atrás de nada. Isso porque sua família faliu. Na verdade, a fortuna vinha de fraudes em cima de fraudes da qual Manon e sua mãe nunca tiveram ciência. Seu pai, um homem ambicioso e orgulhoso, decidiu pegar alguns atalhos para o sucesso naquela empresa de seguros e a queda só não foi feia, porque Adaline se recusava a dar o braço a torcer. Levar a vida de fachada que sustentaram pelos anos seguinte foi excruciante. Mentiras e mais mentiras das quais Manon não gostou nada inicialmente. Mas que serviram para criar uma casca grossa na menina e acordá-la para o quão dura a vida podia ser.
Corajosa, você é uma força da natureza. Do tipo que derruba tudo que está pela frente. Manon não sabia o quão forte podia ser até ter de ser. À época da falência da família, ela já tinha dado início a carreira de modelo. Tinha bons contratos, campanhas e desfiles. Mas era diversão de menina bonita. Manon gostava de aparecer, gostava dos holofotes. Nunca tinha sido um sonho e menos ainda o seu plano que aquele fosse o ganha-pão da família. Mas foi o que virou. E a indústria da moda é dura, cruel. O glamour custa caro. Manipular, mentir, puxar tapetes, ir para cama com um figurão. Manon fez tudo o que estava ao seu alcance para manter seu nome em um ponto de destaque até que deixasse de ser questão de sobrevivência e não precisasse mais viver uma vida de fachada, mas de fato esbanjar o dinheiro que conseguira por seus próprios meios.
Afeto e equilíbrio também são pilares importantes para uma vida realmente gloriosa, mas você não quer isso. O glamour custa caro e cobrou seu preço de Manon. Focada em seu trabalho, em sua própria imagem, em suas próprias vontades. Tudo isso incentivado pela maneira como os pais a transformaram em um instrumento para ganhar dinheiro, ela foi deixando de acreditar que amor e afeto eram importantes para sua vida. Fosse dos pais ou de relações românticas. Até amizades foram se tornando relações difíceis de manter. Às vezes a ausência desse tipo de relação pesa, mas nada que uma boa garrafa de champanhe e uma noite de excessos não tire de sua mente.
Não importa quantas rasteiras você leve, é fácil levantar e continuar. Foi por conta de uma dessas noites de excessos que sua carreira foi abalada. Manon sofreu um acidente depois de dirigir alcoolizada. Por sorte, só tinha ela no carro e não aconteceu nada grave. Mas passar raspando pela morte mexe com a mente da pessoa. Do choque trazido pelas críticas que recebeu depois da notícia circular, do julgamento duro e implacável das pessoas próximas e o que se passava em sua mente mesmo, Manon recalculou a rota. Abandonou a carreira de modelo e decidiu estudar. Entrou na faculdade, cursou moda na intenção de continuar trabalhando com a única coisa que ainda lhe dava prazer na vida de um jeito de outro. Apesar de ter trabalhado como design de moda por um tempo, quando sua carreira por fim sobressaiu ao acidente, Manon foi convidada a trabalhar como colunista em uma importante revista de moda e foi nessa nova oportunidade que se fincou com unhas e dentes.
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lespoulesebreizh · 6 months ago
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La pointe des espagnols/ Trez rouz
Après 14km, la reprise n'est pas si facile ... mais les paysages aux milles couleurs nous boostent à avancer avec une vue à couper le souffle et des vestiges du mur de l'atlantique un peu partout:
Fort Robert, fort de cornouaille, fort ses capucins etc...
En arrivant au 2ème km, tu commences à sentir des douleurs que tu n'as jamais eu avant...
J'avoue que c'est en version petits pas qu'on arrive à rejoindre le camping à Trez rouz.
Démarrer par 25km le 1er jour, c est un peu beaucoup trop #mercilasncf#
Pleins de waouh toute la journée, mais des douleurs difficilement supportables en soirée.
Montage de tente efficace, pti plouf pour Karine suivi de notre première galette bretonne!!
Presque je m'endors dans l'assiette: une douche et au lit!
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carreimperial · 1 year ago
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Napoléon & Joséphine : Mariage arrangé
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Le dimanche 21 septembre 2014, lors d'une vente aux enchères à Rueil-Malmaison, le Musée des lettres et des manuscrits de Paris avait acquis pour 350000 euros (437500 euros, taxes comprises) le contrat de mariage liant le général Napoléon Bonaparte à Marie-Josèphe Rose Tascher dite Joséphine. Cet exemplaire est celui de l'Impératrice Joséphine. Les Archives nationales conservent celui de Napoléon. Le 24 mars 2013, la bague de fiançailles était adjugée à 896400 euros à la maison Osenat de Fontainebleau.
Date : 9 mars 1796
Lieu : mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin.
Début février 1796, le général Napoléon Bonaparte et Joséphine (Marie-Josèphe Rose Tascher) décidèrent de se marier - publication du 7 février, 17 ventôse an IV.
A l'époque, l'annonce de ce mariage surprit et dérangea l'entourage à cause de leurs différences : Joséphine, âgée de 32 ans, veuve du général Alexandre de Beauharnais, mère de deux enfants. Napoléon, âgé de 26 ans, sans enfant.
Bien que fort séduit, Napoléon comprit aussi tout l'avantage de s'unir avec l'amie de Paul Barras, l’homme fort du gouvernement de la Première République française. Le 9 mars, après 22h00, le mariage fut prononcé à la mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin. Le 18 mars, le contrat fut enregistré et les copies authentiques destinées aux époux furent envoyées.
Autorités présentes
Collin-Lacombe, commissaire ;
Maurice-Jean Raguideau de La Fosse, notaire ;
Étienne-Gabriel Jousset, notaire.
Témoins des mariés
Paul Barras, membre du directoire exécutif ;
Capitaine Jean Lemarois, aide-de-camp de Napoléon ;
Jean-Lambert Talien, membre du corps législatif ;
Étienne-Jacques-Jérôme Calmelet, homme de loi.
Toutes les modifications et étrangetés
Pour se conformer aux mœurs de l'époque, les âges des mariés ont été modifiés. Joséphine est rajeunie de quatre ans, soit 28 ans, et Napoléon est vieilli d'un an, soit 28 ans, né le 5 février 1768 au lieu du 15 aout 1769 (cette date est antérieure au 15 mai 1768, date du traité de Versailles attestant l'occupation et l'administration de la Corse par le Royaume de France).
L'adresse du domicile de Napoléon n'est pas rue d'Antin, mais rue Neuve des Capucines, aujourd'hui rue des Capucines.
Napoléon est désigné comme général en chef de l’armée de l’Intérieur, alors que le 2 mars, il fut nommé commandant en chef de l’armée d’Italie.
La minute du contrat fut signée le 8 mars devant les notaires Raguideau de La Fosse et Jousset et en présence du capitaine Lemarois.
Charles-Théodore-François Leclercq, officier public de l'état-civil du 2e arrondissement du canton de Paris, est désigné comme autorité du mariage, mais il partit avant et fut remplacé par le commissaire Collin-Lacombe.
L'article 1er du contrat indique que les époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre, mais 3 ans plus tard, le 18 avril 1799, une apostille du tribunal civil de la Seine vint se joindre au contrat, attestant l’inscription d’un acte privé sur un registre public. En effet, pendant que Napoléon était en Orient, Joséphine demanda la séparation des biens avant son achat du château de Malmaison. Elle emprunta pour cela des sommes que son mari rembourserait personnellement à son retour.
Extrait original
Article 1er. Il n'y aura aucune communauté de biens entre les futurs époux… en conséquence les futurs époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre.
"Par devant les notaires à Paris soussignés, furent presens Napolione Buonaparte, général en chef de l’armée de l’Intérieur, demeurant à Paris, rue d’Antin…, originaire d’Ajaccio en Corse, fils de défunt
Charles Buonaparte et de Letizien Ramolini, son épouse, actuellement sa veuve, stipulant pour lui et en son nom, d’une part, et Marie Josephe Rose Tascher, veuve d'Alexandre François Marie Beauharnois, duquel elle a deux enfans, Eugène et Hortense, demeurant à Paris, rue Chantereine…, la dite citoyenne née en l’isle Martinique du mariage de Gaspard Tascher, capitaine de Dragons et Rose Claire Des Vergers, son épouse, stipulant pour elle et en son nom, d’autre part, lesquelles parties, dans la vue du mariage proposé entre elles en ont arrêté les conditions civiles ainsi qu’il suit.
Article 3e. Chacun des futurs époux contribuera pour moitié aux charges du mariage.
Article 2e. Chacun des futurs époux jouira à part et divisément des biens, droits et actions tant meubles qu’immeubles lui appartenant et pouvant lui appartenir par la suite à quelque titre et à quelque cause que ce soit et en quoi qu’ils puissent consister… la future épouse ne restant tenue de recourir à l’autorisation de son mari que pour les actes qui emporteroient aliénation de ses capitaux. Le futur époux autorise d’ailleurs la future épouse à continuer les fonctions de la tutelle qui lui a été déférée des deux enfans mineurs issus de son premier mariage…
Article 4e. Le futur époux constitue à la future épouse un douaire de quinze cens livres de rente annuelle et viagère, valeur ancienne…
Article 6e. La future épouse déclare et le futur époux reconnois que les meubles, linges, l’argenterie, et généralement tous les biens meubles corporels dont la future épouse est maintenant en possession appartiennent à la communauté qui a subsisté entre elle et son premier mari et qui a continué avec ses enfans, faute par elle d’avoir fait faire inventaire dans le délai prescrit par la loi. Que la future épouse fait actuellement procéder à cet inventaire et qu’il est sur le point d’être mis à fin. Qu'elle, future épouse, ne peut déclarer maintenant le montant de sa fortune parce que tout dépend de la question de savoir si elle acceptera la communauté ou si elle y renoncera, ce à quoi elle ne peut se déterminer qu’après la confection dudit inventaire…"
Article 5e. Arrivant la dissolution du mariage, la future épouse et ses héritiers reprendront : 1° les habits, linge, hardes, dentelles, argenterie, bijoux et diamants à l’usage personnel de ladite future épouse, 2° tous les meubles et autres objets mobiliers et quelqu’espèce qu’ils soient que la future épouse ou ses héritiers justifieront avoir été acquis par elle ou autrement lui appartenir.
Apostille du tribunal civil de la Seine datée du 18 avril 1799 : "Insinué à Paris au bureau établi près le tribunal civil du département de la Seine le vingt neuf germinal an sept (18 avril 1799)… et transcrit
tout au long les articles premier et cinq au registre de forme dudit tribunal… à la réquisition du porteur qui a signé sur ledit registre et a été averti de la déclaration à faire dans les six mois du décès du prémourant et de réitérer l’insinuation de l’article premier relatif à la non communauté au greffe du tribunal civil…"
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zolachrome · 6 months ago
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Fort des Capucins, Crozon, Finistère, Brittany, France. A very wild place. The fort is hollowed out of the rock.
Available as a print, poster etc:
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aforcedelire · 1 year ago
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Un monde plus sale que moi, Capucine Delattre
Rentrée littéraire 2023
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En 2017, en plein mouvement #MeToo, Elsa a 17 ans et découvre l’amour. Elle vit sa première histoire (pas d’amour) avec Victor, 20 ans, et découvre la sexualité. Et très vite, elle comprend qu’elle aussi fait partie de cette génération. Victor prend, Victor ne demande pas, Victor n’en a rien à foutre, Victor s’étonne quand le corps d’Elsa crie non, Victor abuse, Victor se débarrasse aussi sec dès que l’année touche à sa fin. Victor, c’est son premier copain, Elsa n’y connaît rien, pour elle c’est normal, elle est censée ressentir du plaisir et du désir, c’est la société et les films qui le disent, finalement c’est peut-être elle qui est construite à l’envers. Elle ne comprend pas que ce n’est pas normal. Que pour s’éclater il faut être deux. Que même si elle ne dit pas non, elle ne dit pas oui non plus, et que c’est aussi grave. Elsa était persuadée que jamais elle ne tomberait sur un porc comme dans les témoignages de #MeToo, et Elsa avait tort. « Pas tous les hommes, mais beaucoup quand-même. »
C’est le deuxième roman de la jeune autrice Capucine Delattre, et un roman fort et saisissant, qui témoigne de notre époque troublante, où les balbutiements d’un changement semblent avoir été tués dans l’œuf (mais l’autrice le montre bien mieux dans son roman). « Avant j’étais libre, désormais je suis déterminée. #MeToo me force à exister comme une femme partout où je vais. Pour la première fois, je remarque des regards d’hommes posés sur mes fesses dans la rue, je relève leurs interpellations. » C’est compliqué à lire, ça fait de la peine et ça me rend triste ce qu’Elsa a vécu. Mais c’est poignant. J’ai eu du mal à rentrer dedans au début, la première partie était difficile, mais après j’ai tout avalé à une vitesse faramineuse, d’un coup, sans pause. Merci Capucine Delattre et les éditions La ville brûle pour ce livre nécessaire qui devrait être lu par le plus grand nombre !
25/08/2023 - 27/08/2023
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arcuda94 · 2 years ago
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Saint-Michel et la Goutte d’Or, même combat
                Des « quartiers d'habitats sociaux de fait ». C'est ainsi que que l'on a pu parfois qualifier Saint-Michel à Bordeaux ou la Goutte d'Or à Paris. « Sociaux » car accueillant des populations modestes voire précaires, souvent immigrées. « De fait », car il est initialement question de logements privés, anciens, insalubres, bien que progressivement rénovés ou remplacés par des logements sociaux conventionnés, « de droit ».
Ces quartiers singuliers se ressemblent, tout d'abord par leur situation géographique au sein de la ville. Relativement centraux, au contact du coeur touristique de leur métropole respective (Saint-Paul pour Bordeaux, Montmartre et le 10ème art pour Paris), bien que celui de la Goutte d'Or soit relativement excentré. Avec des prix de l’immobilier plus abordables que sur le reste du territoire, ils permettent depuis quelques décennies à des populations d'étudiants, de jeunes actifs primo-accédants et à une partie de la classe moyenne de se loger à quelques pas des zones les plus attractives. Un phénomène remarquable est alors la nette séparation avec le quartier voisin aisé, symbolisée par une importante voie de circulation : le Cour Victor Hugo à Bordeaux et le Boulevard Barbès à Paris. Sujets à la gentrification, ces quartiers sont souvent au coeur du débat public et politique sur la mixité sociale, des logements sociaux et la question de la requalification urbaine face à celle de la préservation d'un patrimoine urbain historique.
Des quartiers « bastions » : un rôle social et un symbole politique
Leur forte identité « populaire » et multi-ethnique en fait de plus des lieux de revendications incluant une idée de « défense », comme le prouve l'occupation de l'Eglise Saint-Bernard en 1994 ou les graffitis porteurs de messages forts contre la gentrification à Saint-Michel. Les marqueurs de contestation anti-gentrification sont ainsi visibles dans l'espace public mais aussi dans la presse et sur les réseaux sociaux, où s'expriment des personnes fustigeant les transformations brutales de ces lieux à l'image de la brasserie « Barbès », dont l'installation a été encouragée par la mairie. Depuis les années 1980, on compte de nombreuses manifestations des habitants, associations et habitués du quartier qui se sont mobilisés au moyen de pétitions, lors de concertations publiques ou dans la rue pour préserver au mieux le quartier face aux grands projets d'aménagement proposés. C'est notamment le cas pour le Lavoir Moderne Parisien, unique salle de théâtre de la Goutte d'Or qui a pu être conservée malgré l'intérêt menaçant et récurrent de promoteurs immobiliers, ou pour la deuxième grande opération de rénovation du quartier du côté de la rue Myrha à Château Rouge, où l'on note un effort de cohérence architecturale qui avait manqué à la première opération au sud du faubourg.
Des caractéristiques urbaines propres
Ils sont caractérisés par une morphologie urbaine de type faubourg, avec des rues étroites, des habitations relativement basses - entre deux et cinq étages pour la plupart des immeubles -, des petits appartements et une forte densité de population. Ils sont également voisins d'une grande gare (la Gare du Nord pour Paris, la Gare Saint-Jean pour Bordeaux), permettant à Paris et Bordeaux de faire voyager des millions de personnes chaque année, à l'intérieur et à l'extérieur de la région. C'est la raison historique au fait qu'ils soient avant tout des quartiers d'accueil de populations déracinées : arrivent d'abord des provinciaux au 19ème siècle, après les révolutions industrielles, puis une population espagnole et portugaise le siècle suivant, maghrébine à partir du milieu du 20ème, d'Afrique subsaharienne ou des Antilles françaises à partir des années 70 et plus récemment des populations d'Asie à la Goutte d'Or et d'Europe de l’Est et des Balkans aux Capucins.
Un tel pôle de mobilité implique une importante fréquentation et animation des environs, ainsi que la présence de nombreux commerces modestes. Le commerce ethnique, âme du quartier et frein à la gentrification L'offre commerciale singulière qui y est présente est marquée par les vagues migratoires successives qui ont bâti une part de l'identité et l'image de ces quartiers. Le marché africain de Château Rouge, un des plus importants existants d'Europe, se distingue notamment par la très riche variété de ses produits, constituant une offre unique en France. On retrouve à Bordeaux aux Capucins une proposition comparable, aux abords de la rue Élie Gintrac, petite centralité antillaise, tant pour les produits alimentaires que de cosmétique. En parallèle, le nord du quartier - autour de la Basilique Saint-Michel - est ce que le sud de Barbès représente dans le 18ème arrondissement : une centralité maghrébine.
Le phénomène de concentration de commerces dits « ethniques » est dans les deux cas synonyme de la présence de ceux qui « résident sans habiter » (Marie Chabrol) : des personnes qui habitent la métropole mais pas le quartier, qui en sont des usagers. Cela concerne les commerces mais aussi plus simplement l'espace public et l'atmosphère qui y règne, permettant à des primo-arrivants de trouver des contacts familiaux et professionnels notamment. Ces caractéristiques ont souvent été un premier frein à la gentrification, filtrant les nouveaux arrivants : restent ceux qui peuvent s'adapter à l'atmosphère du quartier, qui peut connaître, outre ses atouts des nuisances comme des problèmes de sécurité, la présence pérenne d'usagers de drogues dans les espaces publics et parties communes des immeubles ou plus simplement des nuisances sonores.
La présence pérenne d'usagers de drogue
Ceux-ci sont très présents depuis de nombreuses décennies sur les deux territoires. Le phénomène a parfois été décrié comme étant un véritable fléau, participant grandement à leur mauvaise réputation. Une particularité qui s'explique avec les points précédents : abritant des populations très précaires, Saint-Michel et la Goutte d'Or sont comme beaucoup de quartiers dits « populaires » concernés par la vente et la consommation de drogues dures et souvent peu chères : le crack, l'héroïne ou les médicaments de substitution aux opiacés comme le Subutex. La vente est particulièrement répandue dans ces lieux très vivants et fréquentés de nuit comme de jour, où se mêlent des activités commerciales diverses de rue, légales et illégales. La consommation elle, y était anciennement facilitée par la présence de nombreux squats, aujourd'hui largement réhabilités.
La cohabitation avec les toxicomanes et les sans-domiciles-fixes - bien que moins présents ces dernières années à Saint-Michel - constitue un enjeu important pour le quartier. Le fait qu'un lieu relativement central puisse abriter autant de personnes démunies, en plus de poches de pauvreté, a favorisé la construction d'une solidarité locale. On trouve en effet plusieurs associations d'information et d'accompagnement aux toxicomanes (CEID à Bordeaux, Aurore à Barbès notamment), d'activités et de soutien scolaire pour les jeunes (EGDO à la Goutte d'Or notamment), des cafés solidaires (Café social Dejean, Wanted Café Bordeaux), des distributions de produits de première nécessité, etc. Pour toutes ces raisons, ces quartiers présentent un caractère « populaire » et une identité attachante, que beaucoup tiennent à préserver face la pression immobilière et ce qui ronge depuis plusieurs décennies la plupart des centres-villes des métropoles européennes : la gentrification. Sujet de controverse, ce type d'évolution spatiale souvent décrié transforme les espaces, redore les façades et la réputation de ces lieux mais fait souvent perdre une partie de ce qui les rendait uniques.
On a souvent annoncé cette prophétie pour la Goutte d'Or et Saint-Michel, surtout à cause de leur proximité avec des zones aisées très, attractives et dynamiques. Toutefois, malgré de nombreuses politiques publiques mises en place localement depuis plus de quarante ans, les changements significatifs ont longtemps peiné à se faire remarquer.
La gentrification à la Goutte d'Or, une utopie médiatique plus qu'un phénomène avéré
Concernant la Goutte d'Or (on considérera comme limites du quartier le rectangle Ordener, voies de la Gare du Nord, Boulevard de la Chapelle et Barbès), il est bon de rappeler qu’il s’agissait d’un des quartiers les plus vétustes de France entre 1980 et 2000, comportant une très large proportion de logements insalubres, délabrés et des squats. Sa rénovation considérable a été accompagnée d’une politique de logements, de commerces d’aménagement de l’espace public parfois perçues comme encourageant le phénomène d’embourgeoisement déjà amorcé.
On peut alors citer la création de logements sociaux intermédiaires, parfois au sein d’immeubles avec PLUS/PLAI et l’implantation de commerces destinés à une clientèle plus aisée, qui cristallisent des débats houleux. Très récemment, des espaces publiques comme le passage Boris Vian ou la place Polonceau ont aussi été requalifiés aussi en ce sens. Bien qu’une partie du processus de gentrification soit clairement observable dans l'espace, il semble être voué à rester en l’état, pour plusieurs raisons. D'abord, la très forte proportion de logements sociaux – encore en légère augmentation car il reste des opérations immobilières programmées ainsi que des logements privés rachetés et conventionnés. On compte en effet près de 30% de logements PLAI/PLUS sur près de 11000 (source : documents APUR) résidences principales, qui ont elles augmenté avec la rénovation urbaine avec une certaine densification du nouveau bâti et la réhabilitation de parcelles d'immeubles alors détruites ou en ruine pendant de nombreuses années. De plus, on compte encore des logements sociaux « de fait », bien que récemment rénovés, car étant petits, sombres et proches de commerces ou rues générant beaucoup de nuisances, et quelques hôtels meublés restants. La situation d'évitement scolaire – radicale à partir du collège – et les appartements petits entraînent par ailleurs une importante mobilité résidentielle avec des « gentrifieurs » qui n'habitent la plupart du temps le quartier que quelques années avant que le ou les enfants n'atteignent un certain âge.
La gentrification partielle qui a déjà lieu à la Goutte d’Or entraîne, parmi ses effets pervers, une conséquence qui va paradoxalement à l’encontre du processus. Il s’agit du surpeuplement des populations précaires dans les logements sociaux de droit et de fait, du fait de la réduction de l’offre de logements dans la capitale qui leur était autrefois accessible. La très forte fréquentation du quartier par les « résidents sans habiter », due à l’extraordinaire offre de commerces constitue en outre une entrave importante à la gentrification, car les effets socio-économiques – en particulier le changement de population - de celle-ci en sont moins visibles dans l’espace public, et les nuisances associées ne cessent pas. Si l’on décompose les catégories de « gentrifieurs », on peut observer les « pionniers », attirés par l’atmosphère du quartier, et les autres, qui ont une sensibilité aux nuisances plus forte. Ainsi, ces derniers vont beaucoup plus difficilement s’installer durablement dans le quartier.
La présence de tels commerces lui assure donc une fonction « d’espace de déambulation populaire » (Dominique Chevalier, François Duchene et Thomas Zanetti, « Palimpsestes mémoriels, gentrification inachevée et voisinages migratoires : l’exemple de commerces de La Guillotière à Lyon ») et le « marché informel et les ventes illicites » associés gênent sa transformation. Le quartier reste donc un haut lieu d’accueil pour les populations primo-arrivantes et défavorisées, avec une très grande offre de logements sociaux, comparable aux plus grands ensembles d’île-de- France comme la cité des 3000 à Aulnay-sous-bois. A titre comparatif, la plus grande de Paris à Curial-Cambrai compte quant à elle 1800 logements sociaux sur un périmètre bien plus vaste. On note par ailleurs la présence notable de foyers de jeunes travailleurs ou des logements pour personnes en réinsertion avec un centre pour toxicomanes, et plus généralement une offre en habitat PLAI pour les plus précaires. Cette forte proportion maintenant en place la plupart des fonctions de la Goutte d’Or est le fruit de combats et de contestation solidaires de la part des habitants au fil des décennies, contre les décisions et expulsions hâtives de la mairie. D’après les documents de l’APUR, si le niveau de vie général a augmenté, les inégalités se sont creusées et les indicateurs numériques de précarité sont aujourd’hui encore très élevés dans ce quartier densément peuplé (d’environ 23500 habitants en 2014 sur le périmètre Ordener, APUR, recensement INSEE) qui a toujours accueilli des populations aux revenus significativement différents. Plus homogène dans les années 80, il accueillait tout de même une importante population d’ouvriers qualifiés, de commerçants et de professions intermédiaires constituant une classe moyenne. C’est celle-ci qui semblerait le plus avoir été renouvelée aujourd’hui, tandis ce que les populations précaires se sont pérennisées dans les nombreux logements qui leur sont demeurés accessibles après la principale phase de la rénovation dans les années 1990-2000.
D’après de nombreux anciens, une des choses les plus regrettables à toutes ces évolutions est la perte d’homogénéité et de cohésion entre les différentes populations qui « se côtoient sans se connaître ». La création de lieux culturels comme le FGO Barbara ou le 360 Paris Music Factory permet certes à toute une population d’avoir un accès aux loisirs et à la culture de proximité mais ne suffit pas à significativement augmenter la fréquentation du quartier par sa classe moyenne supérieure ou les habitants extérieurs. Une partie mène sa vie sociale à l’extérieur, l’autre y reste enclavée. On peut citer de nombreux points communs avec le développement du processus de gentrification à Saint-Michel, ainsi que sa manière de lutter contre. Toutefois, la politique de logements sociaux confiée au bailleur InCité semble être moins large qu’à la Goutte d’Or, à noter qu’elle est particulièrement respectueuse du patrimoine architectural, privilégiant le plus souvent la réhabilitation à la démolition. Il s’agit pourtant du meilleur moyen de lutter contre une arrivée trop soudaine de ses effets et de conserver ses fonctions de quartier populaire et cosmopolite central. Cela laisse supposer que ce territoire en sera plus touché, bien que son avenir soit très dépendant du projet Euratlantique, dont la fin est estimée à l’horizon 2027.
Les bastions populaires centraux européens, héritage des villes anciennes
Parmi les bastions populaires centraux des grandes métropoles européennes, certains montrent de nombreuses similitudes avec Saint-Michel et la Goutte d’Or. On peut noter le quartier de Ballaro à Palerme : la partie sud-ouest du centre historique. Proche de la gare Palermo Centrale, ce quartier très ancien et dégradé voit son quotidien rythmé par son marché abritant du commerce de rue. Il est fréquenté et peuplé par de nombreux immigrés d'Afrique de l'Ouest depuis quelques années. San Berillo à Catane, El Raval à Barcelone, La Guillotière à Lyon, Saint-Jacques à Perpignan, Il Prè à Gènes. Beaucoup de villes semblent disposer d'un quartier proposant de nombreuses fonctions communes et disposant de caractéristiques similaires. On peut également parler de Wazemmes à Lille, des Quartiers espagnols de Naples, ou de Noailles à Marseille. Tous ou presque sont des quartiers historiquement « populaires », qui ont souvent connu une ère de déclin au XXème siècle. Ils sont devenus au fil des décennies multi-ethniques et particulièrement disposés à loger les classes ouvrières. Leur densité, leur position centrale et leur accessibilité au sein de la ville en ont aussi fait des lieux de commerces où se concentrent divers artisans et vendeurs. Celle-ci est également responsable du phénomène de gentrification qui s'y généralise depuis quelques années – initié ou accompagné par des politiques de revalorisation des centres anciens - la frontière avec le quartier aisé voisin devenant de plus en plus floue. Bien que le nombre de villes et la zone géographique étudiées ici sont limitées, il semble que ces villes dites « romaines », ou « européennes » présente le plus souvent un bastion populaire central. Celles-ci peuvent être rassemblées comme étant des villes européennes anciennes, très denses, comprenant souvent un cours d'eau ou la mer et une concentration du patrimoine culturel historique en leur centre. Pour terminer, ces points communs peuvent s'expliquer par la structure des villes, étant construites autour de leur coeur historique qui concentre la plupart des aménités et surtout par leur âge. Leur ancienneté permet de mettre en évidence différente étapes de développement de leur morphologie urbaine. En premier lieu, la ville se résumait à son centre, et ces quartiers n'en étaient que la périphérie, permettant de loger les classes populaires. Vient souvent ensuite une périurbanisation, avec d'un côté les acquéreurs de maisons individuelles et de l'autre le développement des grands ensembles. Enfin, un phénomène de métropolisation et de retour au centre par sa revalorisation. Ainsi, chacun d'entre eux a plus ou moins été atteint par la gentrification, selon l'ampleur de ces facteurs et de celle du phénomène au sein de la ville, avec parfois en réponse des politiques de préservation comme celles de logements sociaux. A noter que tout cela n'est pas un constat homogène, et qu'il s'applique différemment selon chaque territoire : ainsi, l'hyper-centre de Palerme est très longtemps resté et est encore aujourd'hui très populaire, avec une partie importante des classes moyennes en périphérie. Il reste donc à observer les différentes trajectoires de ces bastions, amenés à subir ou résister à la pression immobilière due à l'attractivité des métropoles européennes. L'identité de ceux-ci semble souvent être en mesure de les préserver d'une gentrification totale, que peut connaître le reste du centre historique. Mais si les dynamiques de peuplement de ces villes venaient à se modifier, à l'image des conséquences de la pandémie de la COVID-19 sur les territoires urbains et ruraux, ces lieux centraux pourraient alors être amenés à se paupériser à nouveau.
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spotjardin · 2 years ago
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Vivaces, annuelles ou bisannuelles. Comment s'y retrouver ?
Cultivez des plantes vivaces Les différents végétaux qui composent notre si belle nature se déterminent par plusieurs cycles de développement suivant leurs rusticités, leurs croissances, le climat de telle région ou de telle autre et du feuillage. Les saisons passent et les végétaux changent au fur et à mesure. Certains vont disparaître car ils vont passer à l'état de dormance pendant la saison hivernale pour réapparaître à la saison printanière afin de refleurir. Toutes les plantes sont en fait classées en 3 familles, les vivaces, les annuelles et les bisannuelles. 
PLANTES VIVACES
Elles vivent plus de deux ans parfois beaucoup plus pour la plupart. Certaines ont la capacité de conserver leur feuillage pendant que d'autres disparaissent pour ressortir à la bonne saison afin de refleurir chaque année. Elles sont très robustes et résistent à des températures hivernales qui varient suivant l'espèce de plante. Les plantes vivaces s'adaptent à la plupart des sols de votre jardin et vous pouvez également les cultiver en bac ou en pot sur votre balcon ou encore sur votre terrasse. Elles sont de tons et de formes très différentes des unes aux autres. Elle se divisent en quatre familles. Tout d'abord celles de la saison printanière comme la pivoine, la primevère, la valériane, l'iris ou encore le muguet. Certaines se développent plutôt  pendant la saison estivale comme la marguerite, la rose trémière, l’œillet et le bleuet pendant que d'autres sont là pour embellir la saison automnale comme l'aster et l'anémone du japon. Et pour finir vous avez les plantes hivernales comme par exemple le bergenia ou encore la violette. Les plantes vivaces ne demandent aucun entretien particulier pour se développer. A la saison printanière il vous suffit juste de désherber autour de ces plantes pour éviter une concurrence trop importante. Par la suite en règle générale ce genre de plante prend le dessus sur les herbes qui se développent spontanément.
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Cultivez des plantes annuelles comme la lavatère
PLANTES ANNUELLES
Elles effectuent leur cycle de vie sur une année. Elles germent, se développent, fleurissent et effectuent une production de graines afin de se ressemer pour beaucoup de façon spontanée. L'entretien de ces plantes est très facile. La floraison en règle générale est plutôt précoce à la saison printanière. Certaines plantes annuelles sont rustiques et peuvent donc supporter les gelées pendant que d'autres sont semi-rustiques et doivent être installées à l'abri pour être ressorties dès que les risques de gel sont écartés. Voici quelques plantes annuelles que vous pouvez cultiver dans votre jardin potager ou bien dans celui d'agrément. La belle de nuit qui embellit votre jardin ou encore les abords de votre maison. L’œillet d'Inde qui a la capacité de protéger les cultures de votre jardin potager. Le pétunia qui vous permet de donner une très belle touche à vos massifs ainsi qu'à vos jardinières. La campanule peut éclairer vos massifs, vos plates-bandes et convient parfaitement aux petits jardins. Mais il y en a bien d'autres comme par exemple la tomate, le géranium lierre, le melon, le muflier, la capucine... Etc... Les plantes annuelles qui conviennent le mieux aux jardiniers débutants sont par exemple le cosmos, le tournesol, le soucis, l'ipomée, et le persil. Quant à celles qui se ressèment, cela concerne les rustiques qui vous offrent des semis spontanés à la saison printanière.
PLANTES BISANNUELLES
Le cycle des plantes bisannuelles fonctionne sur deux années. La première année elles commencent à s'installer en se développant pour fleurir ou donner des fruits la deuxième année et meut ensuite. Pendant la saison hivernale la plante bisannuelle est en sommeil et sa croissance est arrêtée. Cette période froide est nécessaire pour sa floraison l'année suivante. Avant de mourir elle se ressème afin de se reproduire de façon spontanée. En cas de fortes gelées, je vous conseille de les protéger. Voici quelques plantes bisannuelles que vous pouvez cultiver. Tout d'abord vous avez le myosotis, la pensée, le crocus, l’œillet de Chine, l'angélique, la centaurée et bien d'autres plantes. Elles sont en principe faciles d'entretien et embellissent vos jardinières, vos massifs et éventuellement vos talus. Et pour terminer je vous propose cette vidéo de la chaine YouTube  Une Fleur Parmi les Fleurs https://youtu.be/b2KXOIkoF0E Si vous avez aimé cet article n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux en utilisant les boutons ci-dessous. Read the full article
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cinquecolonnemagazine · 10 months ago
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I Maestri della Luce: esplorando l'impressionismo russo
L'Impressionismo Russo, seppur meno conosciuto rispetto al suo equivalente francese, ha dato vita a una ricca corrente artistica che ha forgiato l'identità pittorica russa all'alba del XX secolo. Caratterizzato da una tavolozza vivace, pennellate rapide e una forte attenzione alla luce e al colore, questo movimento ha visto fiorire una serie di talenti eccezionali che hanno saputo reinterpretare la tradizione pittorica con uno sguardo nuovo e originale. L'Impressionismo Russo: i grandi dell'arte russa Konstantin Korovin (1861-1939) è considerato uno dei padri dell'Impressionismo Russo. Le sue opere, vibranti di luce e colore, catturano l'essenza della vita quotidiana e paesaggi pittoreschi. Tra i suoi capolavori ricordiamo "Parigi. Boulevard des Capucines" e "La pescatrice". Valentin Serov (1865-1911), noto per la sua abilità nel ritratto, ha saputo infondere nei suoi dipinti una vivacità e un'intensità emotiva senza precedenti. La sua fama è legata a opere come "La ragazza con le pesche" e "La ragazza illuminata dal sole". Isaak Levitan (1860-1900) è considerato il maestro del paesaggio russo. I suoi dipinti, permeati da una malinconia poetica, evocano l'atmosfera silenziosa e contemplativa della natura russa. Tra le sue opere più celebri ricordiamo "Autunno dorato" e "Il lago. Večernjaja". Konstantin Somov (1869-1939) ha sviluppato uno stile più decorativo e simbolista, caratterizzato da colori tenui e atmosfere sognanti. Le sue opere, spesso ispirate alla letteratura e al folklore russo, si distinguono per una bellezza delicata e raffinata. Un esempio emblematico è il dipinto "Le dame in barca". Il'ja Repin (1844-1930), pur non essendo un pittore impressionista in senso stretto, ha avuto un'influenza fondamentale sulla scena artistica russa. Le sue opere, di carattere storico e sociale, si contraddistinguono per la loro forza espressiva e il realismo crudo. Tra i suoi dipinti più noti ricordiamo "I barcaioli del Volga" e "L'arresto di Ivan il Terribile". Altri importanti artisti Oltre a questi maestri, l'Impressionismo Russo ha annoverato altri artisti di rilievo come Stanislav Žukovskij, Nikolaj Bogdanov-Bel'skij, Apollinari Vasnetsov e Sergej Vinogradov. Ciascuno di loro ha contribuito a delineare un'estetica unica, permeata dalla cultura e dalla storia russa, che ha arricchito il panorama pittorico internazionale. L'eredità dell'Impressionismo Russo è ancora viva oggi e continua ad ispirare generazioni di artisti. La capacità di questi pittori di catturare la bellezza effimera della luce e del quotidiano ha lasciato un segno indelebile nella storia dell'arte, aprendo la strada a nuove sperimentazioni e linguaggi espressivi. Foto di Tobias Frick da Pixabay Read the full article
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thegreato1ne · 6 years ago
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New on 500px : The old Fortress by tenchinage by tenchinage Thanks to all for your comments and your likes! from 500px For download Click Here
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caesarlee0911 · 8 years ago
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Le Fort des Capucins... by pablook
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philoursmars · 3 years ago
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Bon mon but est d’essayer de présenter l’ENSEMBLE de mes 50.000 photos (ce n’est pas une exagération, hélas! 52845 à ce jour !!). Evidemment, pas toutes…
1990... Nours descend à Marseille (présentation aux parents !). On dort sur le bateau de mon père et on visite la Provence. Un beau printemps...
- Marseille, la Canebière
- id, Place de la Bourse, rencontre des ours ! (cette statue, “Le Montreur d’Oursons” est maintenant devant Saint-Laurent)
- id
- id, Le Fort Saint-Jean vu du Pharo
- id, sur le “Mélanopode”
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- id, Marché des Capucins
- id, Place Estrangin
- Aix-en-Provence, Cours Mirabeau
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Nous sommes aujourd’hui le 25 janvier 2022, date anniversaire du dernier grand tremblement de terre du Valais. C’était il y a 76 ans, jour pour jour.
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Le 25 janvier 1946, il est 18h30 lorsque soudain un fort séisme ébranle tout le Valais. La magnitude de 5,8 sur l’échelle de Richter est suffisamment forte et violente pour que le tremblement de terre soit ressenti dans toute la Suisse et même à l’étranger, en Haute Savoie et en Italie du Nord.
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Dans la nuit qui suit, 46 répliques ébranlent le Valais et se succèdent jusqu’à 4h32 du matin. D’autres se répéterons de manière plus espacée jusqu’en juin 1946. L’Afrique remonte vers le nord et s’enfonce contre la plaque eurasiatique. Le plissement de l’arc alpin est le résultat de cette formidable poussée. Ce processus continue encore aujourd’hui et explique le caractère sismique du Vieux Pays.
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En 1946, l’épicentre était situé entre Sion et Sierre, en Valais Central, sur le versant droite de la vallée du Rhône où une grande faille passe sous les Alpes bernoises, de Vallorcine à l’ouest, jusqu’à Loèche-les-Bains à l’est, à l’entrée du Haut-Valais.
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En 1946, le séisme cause quelques blessés sans gravité. Il provoque la mort de 4 personnes. Parmi celles-ci, un automobiliste français tué près d’Aix-les-Bains, en Haute-Savoie voisine, qui meurt écrasé sous le poids de sa voiture, alors qu’il changeait une roue, la secousse ayant fait basculer son cric !
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Tout le Valais est fortement secoué, du Léman au Glacier du Rhône. Un peu partout, des maisons se fissurent, des bâtiments s’effondrent en partie, des façades se lézardent, des pans de mur s’écroulent, des tuiles et des cheminées tombent brutalement des toits et s’écrasent dans les rues.
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En tout, près de 3'500 constructions sont endommagées, plus ou moins. Sur les versants et dans les vallées, des forêts sont déchaussées, des glissements de terrain se produisent, dès arbres se couchent, des fissures s’ouvrent dans certaines prairies.
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Les plus gros dégâts sont enregistrés en Valais central, entre Martigny et Loèche, plus particulièrement dans la région comprise entre Sion et Sierre.
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A Sion, la secousse est si brutale qu’une partie de la voûte et de la façade du couvent des Capucins s’écroulent sur la route de Savièse. Les murs de l’église Saint-Théodule et de la cathédrale Notre-Dame-des-Glariers sont lézardés. Sous l’effet du séisme, la flèche de la cathédrale est déplacée de 50 centimètres et nécessitera de grosses réparations entre 1947 et 1949. Des ardoises et des débris de cheminent jonchent les rues de la capitale et les trottoirs. On ne compte plus les cheminées effondrées ou à moitié détruites.
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A Sierre, monsieur de Chastonay voit soudain de violents éclairs illuminer la nuit du côté de la gare CFF : ce sont les fils de la ligne ferroviaire du Simplon qui se touchent et produisent de violentes décharges électriques à chaque fois qu’ils entrent en contact en dansant. A Grimentz, les murs et la voûte de l’église sont si ébranlés qu’on sera forcé de reconstruire entièrement l’église. A Chippis, la secousse a été si violente que la voûte de l’église s’est effondrée d’un coup dans la nef. Par chance, il n’y avait personne dans l’édifice. La nuit du 25 au 26 janvier fut une nuit horrible pour la population valaisanne, effrayée par le séisme et apeurée par les répliques qui ne cessent d’ébranler le sol. Dans les localités et les villages, bon nombre d’habitants, qui avaient couru hors des maisons lors de la catastrophe, préférèrent passer la nuit dehors, plutôt que de regagner leur maison, par peur de mourir ensevelis. A Sierre, la plupart des habitants passent toute la nuit dans les rues, autour de feux improvisés en plein air pour se réchauffer, redoutant à chaque instant un autre tremblement de terre. De tels séismes de magnitude entre 5 et 6, ne sont pas fréquents en Valais, mais ils ne sont pas rares non plus. Il en survient un à peu près chaque siècle, en moyenne, car nous sommes dans une zone de sismicité. Le Diable ne cesse de faratter par en-dessous Les Diaberets, il continue sans cesse à creuser le sous-sol et à ébranler nos montagnes pour étendre son royaume des ténèbres sous le Valais ! Le tremblement de terre de 1946 eut lieu il y a 76 ans, jour pour jour. Certains de nos aînés, qui étaient alors enfants, s’en souviennent encore très bien et n’en gardent pas forcément un bon souvenir ! Quand j’étais enfant, je me rapelle que ma grand maman me montrait une fissure qui avait lézardé le mur de la cuisine en 1946. Et maintenant la question qui préoccupe nos autorités: à quand le prochain séisme ? Personne ne le sait ni ne peut le dire. Mais chacun doit s’y préparer, matériellement et psychologiquement, car il surviendra tôt ou tard, à coup sûr, c’est une certitude. Peut-être dans 100 ans, dans 10 ans ou demain matin… Espérons que ce sera le plus tard possible! De plus, il ne faut pas oublier qu’en 1946, le Valais était beaucoup moins urbanisé, la population bien moins nombreuse et les réseaux et voies de communication bien moins densifiés qu’aujourd’hui. Le prochain �� coup de sac » risque donc de faire des dégâts plus considérables. Nous devons donc en être conscients et nous y préparer tous, pas seulement les autorités….
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ammonworld · 3 years ago
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Fort des Capucins (Rade de Brest)
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fromcherbourgwithlove · 3 years ago
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Parc national Manuel Antonio, Quepos
Temps fort et très attendu de notre voyage, la visite (guidée cette fois çi) du plus petit parc national du pays, mais aussi le plus dense : Manuel Antonio. 
Accompagnée par une guide française installée au C.R depuis 40 ans, nous voici donc embarqués pour 2h30 de visite avec une longue vue de compet’. 
La plupart des photos ci dessus sont issues directement de la lunette de la longue vue. Les autres sont faites avec notre appareil photo numérique qui encore une fois nous surprend par sa belle qualité ! 
Malheureusement, la pluie et l’orage se sont incrustés à cette visite matinale. Nous avons pu apercevoir un paresseux tout mouillé, un crabe rouge et quelques capucins. Un peu déçus de cet imprévu (pourtant prévisible en saison des pluies...), nous avons souhaité prolonger la balade dans le parc en autonomie, ce qui nous a permis de profiter d’une petite éclaircie sur la plage paradisiaque de Manuel Antonio. 
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Les toucans, le rapace et les crocodiles ont été observé au fil de notre séjour dans le coin de Quepos. Je vous invite à aller voir des photos du “Crocodiles Bridge” de Tarcoles, un lieu de passage insolite qui nous a fort impressionné. 
Petite devinette : saurez vous deviner ce que j’ai photographié sous la feuille en macro ? Indice : ce n’est pas de la gelée :) 
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theversesflow · 4 years ago
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Nino dans la nuit (2019)
Je viens vous parler aujourd’hui d’un très beau roman écrit à quatre mains et paru l’année dernière aux Editions Allia : Nino dans la nuit de Capucine et Simon Johannin.
Nino a vingt ans et vit dans la précarité, en banlieue parisienne, sans perspective d’avenir. Réduit à vivre au jour le jour, il s’accroche comme il peut à des petits boulots à droite à gauche, légaux ou non. Il se raccroche à son amour brûlant pour Lale, et la nuit, s’empresse de rejoindre sa bande d’amis pour s’échapper à leurs côtés dans le monde enfiévré des clubs et des paradis artificiels.  
On est happé d’entrée de jeu par le langage cru et familier, piqué d’humour, de la narration et des dialogues. A l’oralité du style viennent s’entremêler des images poétiques, brutes, sensorielles qui transfigurent le regard à la fois naïf et cynique que pose Nino sur le réel et sa misère.  Le tout imprègne le récit d’une dimension cinématographique, laissant des impressions visuelles fortes.
« J’observe le monde par la fenêtre, je t’aime par la fenêtre et partout je vois tomber du ciel, sur moi et tout le quartier, des grosses gouttes de lassitude. J’allume une fraise éteinte et laissée là dans le cendrier depuis que je suis parti, ça fait cramer en moi un peu d’émotion quand la fumée me passe par le cœur. »
Progressivement, on s’attache à Nino et ses amis – il y a Lale, l’amoureuse et l’inspiratrice, dont la figure est omniprésente et pourtant étrangement en retrait, et Malik, ange nocturne follement libre et bonne étoile du narrateur –, on s’indigne des injustices sociales qui semblent leur coller à la peau. Les obstacles contre lesquels Nino ne cesse de se heurter dans sa quête d’argent révèlent toute l’absurdité d’un système déshumanisant et prônant le “toujours plus”. Le récit reflète les luttes sociales au travers des réflexions de Nino, de la présence de personnages LGBTQ+, des discussions entre les personnages.
Le récit m’a plu et déconcertée en même temps ; premièrement, l’écriture, dans son unicité, a quelque chose de très intense. Parfois le sens échappe, parfois on a peur d’étouffer sous l’enchaînement d’images. La juxtaposition dense et la parataxe, qui oralisent le style, donnent également au récit un aspect haché, un rythme particulier et parfois usant. Pourtant, cela fait pour moi partie de l’essence du texte.  
Ensuite, j’ai été confrontée à une réalité sociale tout autre que la mienne ; je me suis souvent sentie comme une observatrice étrangère. Mais c’est là sans doute l’un des objectifs du livre : susciter la rencontre, de plein fouet, entre le lecteur et des personnages qui ne sont pas racontés d’habitude – ou plutôt, qui n’ont pas eux-mêmes la parole. Et cela a très bien réussi aux deux auteurs : j’ai été bouleversée par cette rencontre, au point qu’elle a presque eu l’impact d’une rencontre réelle. J’ai compris le besoin frénétique des personnages de s’évader par les drogues ; ils m’ont fascinée et touchée par leur fougue, leur désir irrépressible de liberté, leur refus de se plier à la société.
« Les loups ont mangé les chiens et ne reste bientôt que la nuit, et moi ça me va puisqu’encore un peu je voudrais rester dans le noir. »
Pour conclure, je dirais que Nino dans la nuit a été une lecture intense, parfois même éprouvante, mais une lecture que je vous conseille mille fois. C’est un roman très riche, dont l’intrigue est maîtrisée du début à la fin, et dont le style unique et novateur vaut le détour.
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