#foenkinos

[sublecturas]

"The Martins", de David Foenkinos en la #LíneaD

[liiinde]

Notre route unique n'offre pas le moindre accès aux chemins que nous n'empruntons pas

[susanagonu]

Literatura y géneros literarios

En la historia de la literatura, Aristóteles se ha considerado el primer teórico de los géneros literarios. En su obra Poética, describe las condiciones de producción de un texto literario, determina sus rasgos distintivos y lleva a cabo una clasificación de las obras basada en sus diferencias miméticas.  Todo ello conforma el punto de vista clásico en la teoría de los géneros…

[petit-atelier-de-poesie]

NOTE DE LECTURE : Charlotte. David Foenkinos. 2014

Voilà un livre que je voulais lire depuis si longtemps et je réalise qu'il s'est déjà passé 10 ans depuis sa sortie !  David Foenkinos est un auteur que j'ai peu lu, étant parfois déçue... mais pour ce bouquin le sujet m'attirait : une biographie d'une artiste peintre, et je savais le succès qu'avait eu cet ouvrage.  Bref je l'ai littéralement dévoré, à bout de souffle, comme l'écriture incite à le faire, avec le retour à la ligne à chaque phrase. Ce n'est pas un effet de style poétique comme je le pensais tout d'abord, mais une écriture brève, incisive, lapidaire pour inscrire le passé et l'absence dans la marge blanche à droite de chaque page.  Et puis l'auteur évoque son obsession pour Charlotte Salomon, sans trouver d'explication si ce n'est l'authenticité de sa personnalité, forte et fragile. C'est donc un roman extrêmement touchant de Charlotte, cette jeune femme qui a réussi à survivre jusqu'à nous grâce à sa peinture, grâce à son oeuvre autobiographique malgré son destin fatal, celui de son histoire familiale avec tous ces suicides à répétition, et celui de la grande Histoire avec l'extermination de son sang juif. Oeuvre prolifique et colorée réalisée entre 1940 et 1942, en zone libre dans le sud de la France, à Villefranche-sur-mer et St jean-Cap-Ferrat (près de chez moi) pendant son exil de l''Allemagne nazie.  La raison de la vie et de la mort n'a parfois aucun sens, c'est ce que j'ai ressenti en lisant cette fiction tirée de faits réels. L'art, du roman ou de la peinture, permet pourtant de lui en donner un. Merci alors aux artistes.

Ici un tableau de Charlotte Salomon illustrant cette note.

[haveyouseenthisromcom]

Mod Note: The film's English title is Delicacy.

[1990danieljohnston]

why is it that every time i try to give a male author a chance to Not Suck they end up disappointing me. and it’s always because of the same reason: none of them know how to write women. they write a single female character with some personality and then fuck it all up by making all the other women in the book nymphomaniacs desperate to fuck the -clearly self insert- extremely boring, irrelevant main character

[francescacammisa1]

Non c’era altro da dire. Il nostro orologio corporeo è irrazionale, è esattamente come una sofferenza d’amore: non si sa quando passerà. Nei momenti di dolore acuto si tende a pensare che la ferita rimarrà sempre aperta. Poi, un mattino, ci si stupisce di non sentire più quel peso terribile, si constata con sorpresa che il malessere è sparito.

David Foenkinos - La delicatezza

Ph Roger Rossel 

[tristessetemporaire]

« Les souvenirs sont une espèce de point d’arrivée; et peut-être sont-ils aussi la seule chose qui nous appartient vraiment »

- Les souvenirs, David Foenkinos

[paseodementiras]

Número dos

Primera parte

1

Para entender la envergadura del trauma de Martin Hill, había que remontarse a la raíz del drama.

-David Foenkinos

[cristinaboncea]

David Foenkinos - Lennon | Recenzie

Nu știam nimic despre John Lennon înainte de a citi această carte. Nu am ascultat niciodată intenționat muzica celor de la The Beatles. Cu David Foenkinos am mai avut o singură interacțiune literară și nu a fost una foarte plăcută. Cu toate acestea, mi-a plăcut foarte tare ficțiunea sa biografică despre acest mare personaj cu un sfârșit tragic. Detalii tehniceCe vei descoperi în Lennon – David…

[tinderheartpaperbody]

Très, très, très sympa la ref Kundera 👏🏻

[lesparaversdemillina]

La vie heureuse de David Foenkinos

[citationquotidienne]

"Il perdait pied dans l’incompréhension de ses propres sentiments, dans l’arythmie baroque des battements de son cœur" - David Foenkinos

[irmagallosstuff]

¿A qué sabe el fracaso? David Foenkinos lo sabe

"Imagínense lo que es vivir año con año, con la aparición de libro tras libro y película tras película de la saga, viendo el rostro sonriente de Radcliffe por todos lados": Irma Gallo.

Por Irma Gallo No quiero causar lástima ni que nadie se compadezca de mí, pero creo que estoy deprimida (en mayor o menor grado, con sus altas y sus bajas) desde 2019. Los motivos los conoce la gente que me quiere y así se quedará. Sólo lo escribo aquí porque el tema de la novela de la que me ocuparé es el fracaso, y por consiguiente, el sentido de inadecuación y la depresión que se suceden…

[audreys-diary]

David Foenkinos : la poésie dans le quotidien

Aujourd’hui je vous parle de David Foenkinos, mon écrivain préféré ; on ne peut pas dire que je sois des plus originales, car je l’ai découvert avec son roman phare La Délicatesse, qui m’a bouleversée. Je l’ai dévoré en quelques jours avec l’impression de sentir glisser les mots le long de mes doigts jusqu’à mon coeur, tout était simple, magnifique et pourtant complexe dans l’analyse des comportements humains, ce qui pour moi résume bien son oeuvre. Pas étonnant donc que ce roman soit parmi ses plus célèbres, il détient tous les ingrédients de la poésie quotidienne que nous offrent ses livres.

David Foenkinos, c’est la beauté dans la simplicité, c’est la complexité humaine dans tous ses différents traits, et c’est surtout la métaphore au service des émotions. Ses livres alternent entre le point de vue omniscient et l’écriture à la première personne, deux schémas d’écriture qui, tout en étant différents, se rejoignent car on est toujours immergés dans la tête des personnages. Le point fort de l’écriture de Foenkinos c’est la constante approche sentimentale des choses, on a toujours la perception du/des héros, ce qui nous amène à s’identifier à lui, et par ricochet, à se sentir compris, presque entendu. Les nombreuses métaphores donnent vie aux ressentis, en leur insufflant une humanité ; elles matérialisent la substance.

De la déréliction jusqu’aux questionnements identitaires en passant par les amours agrémentés d’une touche lascive, Foenkinos, à la manière d’un néo-Shakespeare, nous démontre ce que c’est qu’être humain, et complète avec une touche humoristique le tableau de la société d’aujourd’hui, à l’aide de récits présentant des “Monsieur et Madame Tout-le-monde” à qui l’on peut s’identifier et qui nous en disent beaucoup sur la nature humaine. On dévore chaque page, et lorsqu’on referme le livre, on a aussitôt envie de lire le suivant.

Je termine avec quelques citations que j’aime beaucoup, issues de plusieurs de ses romans :

“Le bonheur ne s’enfermait pas quelque part, on le vivait dans un air infini. […] J’ai ressenti que nous étions importants d’amour. J’étais un héros, c’était la mythologie qui avançait vers moi avec un grand sourire”.

Nos Séparations, David Foenkinos, Editions Gallimard

“Cette solitude qui était la mienne, et que je constatais régulièrement, j’en étais responsable. Je faisais partie de mon époque, ce temps où aucune idée n’est plus suffisamment forte pour nous lier les uns aux autres.”

Nos Souvenirs, David Foenkinos, Editions Gallimard

“Je ne savais pas si on allait bien s’entendre en parlant, mais il me semblait que le plus dur dans une relation, c’était de partager du silence.”

Je vais mieux, David Foenkinos, Editions Gallimard

[harm0nianecterepassus]

Has anybody read this? A couple of weeks ago I stumbled upon this title online; originally “Número Deux” (i’m reading it in spanish, which is unfortunate, spanish translations often strip the book from its original tone, they use too many localisms and words that no one in latin-american countries use 🙄. But i digress…)

Anyways, I finally got my hands on it for xmas, i’m already halfway done and wow. This novel dives into what happened to “the boy who almost played Harry Potter”: Martin Hill had it all to become The Boy Who Lived, except for that “thing”, that spark that’s so often talked about in interviews when people would describe how Dan ultimately got the part. It’s so clever the way the author imagined what would be of that “number two”. How small coincidences and turn of events in the lives of people around Martin would have him meet David Heyman, get him into an audition room and how the fallout of not getting the part would shape his entire life afterwards. It’s so heartbreaking and dark, but also entertaining and a quick read. I’m not even done and I already can say I highly recommend it!