#florissante-toujours
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histoiresduninstant · 2 months ago
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đ”»đ•šđ•đ•Šđ•” | Sway
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*↷◌ Info:
||Personnage : Diluc ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 3 560 ||Inspiration musicale : Sway de Michael Bubblé ||Synopsis : [T/P] est une chanteuse connu à Mondstadt, et performe réguliÚrement dans la taverne de Diluc. On dit que les deux sont de bon amis, mais n'entretiendraient-ils pas une relation plus intime lorsque les portes sont closes?
⁎↣♡↱⁎
     Ce soir, Ă  Angel's Share, taverne emblĂ©matique de Mondstadt, un Ă©vĂšnement sortant de l'ordinaire allait prendre place Ă  l'intĂ©rieur. Au rez-de-chaussĂ©e, une petite scĂšne avait Ă©tĂ© installĂ©e, oĂč quelques instruments reposaient dessus. Puis Ă  l'avant, au centre, un micro solitaire. Cette petite mise en scĂšne intriguait les nouveaux clients, se questionnant sur la raison de ce dĂ©cor diffĂ©rent de l'habitude. Mais les habituĂ©s de la petite taverne savaient ce qui allait se passer. Un vendredi soir sur deux, une chanteuse Ă  la voix mielleuse venait faire son spectacle, remplissant Ă  l'occasion la taverne de client friand de son chant.
     Pour Diluc, barman et propriĂ©taire de ce repĂšre chaleureux, la venue de cette chanteuse lui permettait de venir gonfler ses recettes si la semaine n'avait pas Ă©tĂ© assez florissante pour lui. Bien Ă©videmment, ce n'Ă©tait pas l'unique raison pour laquelle il apprĂ©ciait particuliĂšrement ces soirĂ©es. Mais Ă©tant fidĂšle Ă  lui-mĂȘme, Diluc n'admettrait jamais l'effet que cette prĂ©sence fĂ©minine avait sur lui, tout du moins, pas en public. PDV [T/P] :
     La taverne commençait petit Ă  petit Ă  se remplir, crĂ©ant un brouhaha joyeux au sein de cette derniĂšre. Diluc, lui, Ă©tait au comptoir, nettoyant des verres ou servait des boissons. Son air sĂ©rieux mĂȘme dans cette ambiance de fĂȘte me fit sourire. Rare sont les moments oĂč j'ai pu le voir sourire, mais je les chĂ©ries comme rien au monde. Mon regard continua son chemin de son visage vers cette chevelure d'un rouge flamboyant, lui donnant un air sauvage et Ă©lĂ©gant en mĂȘme temps. Puis mes yeux descendirent le long de sa nuque pour atteindre son torse musclĂ© et pourtant, regorgeant de finesse. Je ne pouvais dĂ©tacher mes yeux de cette silhouette envoutante. « ArrĂȘte de le fixer comme ça, tu vas baver [T/P]. » dit l'un de mes musiciens en rigolant. Je me retournais en laissant Ă©chapper un lĂ©ger soupir avant de lui rĂ©pondre quelque peu blessĂ©e. « Ce n'est pas de ma faute s'il est bel homme! Comment ne pas vouloir admirer ce profil si charmant? » dis-je, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, jetant un dernier regard sur ce visage de marbre.
- Haha, non mais regardé moi ces yeux langoureux. Est-ce que notre cher [T/P] n'aurait pas un petit béguin pour le barman distant et mystérieux? » renchérit un autre musicien. Je fronçais les sourcils et regardais à l'opposé de Diluc en croisant les bras.
« Je ne vois pas ce qui te fait dire ça. Allez, trĂȘve de bavardage, nous allons bientĂŽt rentrer en scĂšne! »
     La petite troupe s'Ă©changea quelques regards complices avant de rigoler. Un rictus se dessina sur mes lĂšvres avant que je ne prenne la poignĂ©e de la porte de derriĂšre, nous faisant rentrer directement Ă  cĂŽtĂ© de la petite scĂšne. À peine avions-nous passĂ© le pas de la porte que tous les regards de la taverne se dirigĂšrent vers nous, devenant le centre de l'attention. Il faut dire aussi que nous Ă©tions plutĂŽt chics. Chacun des musiciens portaient un costume trois piĂšces blanc crĂšme, le tout accompagnĂ© d'un nƓud papillon rose pastel. De mon cĂŽtĂ©, j'avais optĂ© pour une robe noire en satin avec un col bateau. Cette robe enveloppait mon corps dĂ©licatement, adoucissant les courbes de mon corps. Finalement, je portais des gants en dentelle rose pastel, remontant jusqu'au coude, rappelant le nƓud papillon des musiciens. Le tout Ă©tait assez minimaliste, tout en ayant de l'Ă©lĂ©gance.
     Nous sourĂźmes Ă  toute la salle, ravis de voir qu'il y a toujours autant de monde prĂȘt Ă  venir nous Ă©couter; ça rĂ©chauffe le cƓur. Pendant que les musiciens s'installaient, je pouvais entendre les murmures qui parcourraient la taverne Ă  notre sujet. Des murmures d'excitation, de questionnement, d'apprĂ©hension. C'est alors que je me plaçais en face du micro, testais si le son fonctionnait, et la taverne devint silencieuse, impatience de savoir le dĂ©roulement de la soirĂ©e.
« Bonsoir à tous! Je vois que, ce soir encore, nous sommes nombreux et impatient que la soirée commence, n'est-ce pas? » dis-je dans le micro, le sourire aux lÚvres à cause de l'excitation qui commençait à monter.
- OUAIS! » cria toute la taverne dans un élan de joie et de bonne humeur.
- Haha, bien bien. Je vois que tout le monde est en forme aussi encore ce soir. Eh bien, commençons sans plus tarder avec la premiĂšre chanson qui est dĂ©diĂ©e Ă  la personne qui a su faire tambouriner mon cƓur avec passion, qui a su faire frissonner ma peau de plaisir, et qui d'un simple toucher enflamma tout mon ĂȘtre du grand brasier qu'est l'amour. J'ai choisi la chanson Sway! »
     Suite Ă  cette dĂ©clamation, une vague de sifflement parcourut le public intriguĂ© de savoir qui Ă©tait cet heureux Ă©lu. J'en profitais d'ailleurs pour lancer un regard furtif dans la direction de Diluc. Ce dernier restait impassible devant le comptoir Ă  s'occuper des clients; il ne daignait mĂȘme pas m'adresser un regard. Mais je savais que mes dires ne l'avaient pas laissĂ© si indiffĂ©rent que cela, bien qu'il montrĂąt le contraire. Le bout de ses oreilles ainsi que ses pommettes prirent une teinte lĂ©gĂšrement rosĂ©e, un changement trĂšs discret, mais qui n'Ă©chappait pas Ă  mes yeux. À la vue de cette rĂ©action chez Diluc, je reportais mon attention face Ă  la salle, un sourire satisfait scotcher aux lĂšvres.
« Musiciens! »
     Ils s'échangÚrent un regard, tous souriant et commencÚrent aussitÎt à jouer la mélodie. Je pris une grande inspiration et calmais ma respiration en fermant les yeux quelques secondes, avant de commencer à chanter de plus belle.
« . »
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
« . »
     À la fin de ma performance, j'en profitais pour faire un petit clin d'Ɠil dans la direction de Diluc, espĂ©rant cette fois une rĂ©action plus prononcĂ©e chez le barman. Mais il n'en fut rien, malheureusement.
      AprĂšs seulement une chanson, la taverne Ă©tait dĂ©jĂ  en Ă©bullition et en redemandait. Mes compagnons et moi-mĂȘme ne pouvions nous arrĂȘter de sourire face Ă  l'engouement du public. Je repris mon souffle avant de ne reprendre le micro dans mes mains.
« Vous en revoulez encore ? »
     Un « Oui » unanime Ă©mergea dans toute la taverne, nous faisant comprendre que la soirĂ©e ne s'arrĂȘterait pas en si bon chemin. C'est alors, qu'aprĂšs deux trois gorgĂ©es d'eau, les musiciens se remirent Ă  jouer, moi les accompagnant avec ma voix qui rĂ©sonnait Ă  travers tous les murs de la petite taverne.
PDV Diluc :
     La premiĂšre chanson venait Ă  peine de finir, et pourtant, la salle en redemandait dĂ©jĂ  encore. Du coin de l'Ɠil je l'avais vu m'adresser un clin d'Ɠil, mais je ne rĂ©agis pas. Du moins, je ne le montrais pas, car je savais trĂšs bien qu'au fond de moi, mon cƓur battait lĂ©gĂšrement plus rapidement contre ma cage thoracique simplement Ă  cause de ce clin d'Ɠil.
     Je continuais ainsi de servir les clients qui se faisaient nombreux au comptoir. Evidemment, Venti Ă©tait prĂ©sent, mais je crains que les 10 bouteilles de vin n'aient eu raison de sa conscience. Je soupirais, dĂ©couragĂ©, de le voir ainsi avachi sur une table de ma taverne, encore une bouteille Ă  la main et un sourire d'idiot accrochĂ© Ă  ses lĂšvres. Parfois je me demande s'il est celui qu'il prĂ©tend vraiment ĂȘtre ; l'archon Anemo. Je secouais, dĂ©sespĂ©rĂ©, la tĂȘte de droite Ă  gauche avant de reprendre la tĂąche que j'Ă©tais en train d'effectuer.
     De l'autre cĂŽtĂ© de la salle, [T/P] continuait de chanter de plus belle, sans jamais s'arrĂȘter. Je lançais de temps Ă  autre quelques regards furtifs dans sa direction tout en restant le plus discret possible ne voulant Ă©veiller quelques soupçons. Et pourtant, plus je la regardais, plus il m'Ă©tait difficile de dĂ©tacher mon regard de sa silhouette. Ce corps sublime devenait enivrant, et ce visage, un visage d'ange, qui transpire la tendresse et l'amour. Ses traits fins et dĂ©licats, ses yeux remplis d'un feu ardent de passion, ses lĂšvres lĂ©gĂšrement rosĂ©es dues au rouge Ă  lĂšvres les rendaient encore plus dĂ©licieuses. Et sa voix, comment ne pas en parler. Le timbre de sa voix pouvait ĂȘtre Ă  la fois fort et doux, agressif et tendre, sensuel et dĂ©licat. Sa voix n'Ă©tait comparable Ă  rien en ce monde tellement elle Ă©tait unique et envoutante. Et ce vibrato grave et lent qu'elle pouvait produire en allant chercher un son du plus profond de ses entrailles ; j'en avais des frissons d'excitation. C'est incroyable l'effet que [T/P] a sur moi.
     Je souris tendrement en la regardant prendre plaisir à chanter devant cette foule en effervescence. Plongé dans mes pensées, je l'admirais paisiblement avant qu'une certaine voix un peu trop familiÚre ne me sorte de mes songes.
« Elle est ravissante, tu ne trouves pas ? » dit-il avec un ton enjoué, les yeux rivés sur la silhouette de [T/P].
     Pas besoin de relever la tĂȘte pour savoir Ă  qui appartenait la voix. Je dĂ©cidais simplement de continuer Ă  effectuer mes diffĂ©rentes tĂąches sans lui prĂȘter trop d'attention.
« N'as-tu donc rien d'autre à faire que de venir boire dans ma taverne ? »
« Hahaha, mĂȘme rendre visite Ă  mon frĂšre m'est interdit dĂ©sormais ? » dit-il un verre de liqueur Ă  la main, son air espiĂšgle ne quittant jamais son visage.
     Je relevais la tĂȘte et le fixais du regard. Ne voulant pas envenimer la situation, je dĂ©cidais simplement de le laisser faire, aprĂšs tout, j'avais plus important Ă  faire en ce moment.
« Eh bien reste, si cela te convient, mais tùche de boire raisonnablement dans mon établissement. Je n'ai pas envie de me retrouver à gérer un ivrogne de plus dans ma taverne. »
     Il laissa échapper un petit ricanement avant d'acquiescer et de s'éloigner, son verre à la main.
PDV [T/P] :
     La soirĂ©e commençait Ă  toucher Ă  sa fin et la taverne ne comptait plus que quelques clients en son sein. ÉpuisĂ©e de cette soirĂ©e de fĂȘte, je dĂ©cidais d'aller me poser quelques instants au comptoir pour retrouver mon cher barman. Les musiciens, quant Ă  eux, venaient de rentrer chez eux, tout aussi extĂ©nuĂ©s de la soirĂ©e. Je m'assis sur une des chaises hautes du comptoir, et observais amoureusement le visage sĂ©rieux de Diluc, concentrĂ© sur une tĂąche Ă  la fois. Il releva sa tĂȘte dans ma direction en me demandant ce que je voudrais prendre. A cet instant, mes lĂšvres s'Ă©tirĂšrent dans un sourire affectueux, n'ayant d'yeux que pour lui.
« Je vais vous prendre un verre de wiskey, mon cher. »
     A peine ma commande énoncée qu'il se mit au travail pour finalement me servir mon verre quelques minutes plus tard. Je bus quelques gorgées de ma liqueur avant de reposer le verre sur le comptoir verni de la taverne. Je relevais yeux afin d'avoir son visage dans mon champ de vision.
« Alors, que penses-tu de la performance de ce soir ? » demandais-je intriguée de connaßtre son impression ce soir encore.
- On peut dire encore une fois qu'elle a Ă©tĂ© rĂ©ussie vu le nombre de clients qui se sont attroupĂ©s autour de toi et de la scĂšne. » me rĂ©pondit-il, un air indiffĂ©rent sur le visage. Un soupir s'Ă©chappa de mes lĂšvres, quelque peu déçue de ce manque de rĂ©action. Mais bon, Ă  quoi est-ce que je m'attendais, c'est de Diluc dont on parle. Et pourtant, c'est une des raisons pour lesquelles mon petit cƓur a craquĂ© pour lui.
- Toujours neutre Ă  ce que je vois. Et qu'en est-il de ma premiĂšre chanson ? A-t-elle fait frissonner ton cƓur de passion ? » le questionnais-je Ă  nouveau, cette fois un petit rictus espiĂšgle au coin de la bouche. C'est Ă  ce moment que je pus voir Ă  nouveau le bout de ces oreilles ainsi que trĂšs lĂ©gĂšrement ces pommettes prendre une teinte rosĂ©e. Mon sourire s'Ă©largit, connaissant dĂ©jĂ  la rĂ©ponse Ă  ma question, mais je voulais tout de mĂȘme savoir quel commentaire dĂ©sintĂ©ressĂ© Diluc allait me fournir.
- Je ne vois pas pourquoi une chanson aurait un tel effet sur ma condition cardiaque [T/P]. Toute fois, il se fait tard, tu devrais rentrer pour te reposer. » son sérieux ne quittait jamais son visage.
- Roooohhh la la, toujours aussi pragmatique Ă  ce que je vois. Tu pourrais au moins dire que tu as apprĂ©ciĂ© mon chant au lieu de faire des remarques dĂ©sobligeantes. » Je soufflais avant de ne reprendre une gorgĂ©e de mon whisky, le terminant Ă  la mĂȘme occasion.
- Mais, est-ce que l'impassible barman de la taverne Angel's Share serait en train de s'inquiéter pour moi en me demandant de rentrer tÎt ?
- Pas nécessairement. Je m'inquiÚte plus du fait de devoir faire encore des heures supplémentaires.
- Tu sais, ce n'est pas en restant aussi froid que tu vas rĂ©ussir Ă  gagner mon cƓur. » rĂ©pondis-je dramatiquement, exagĂ©rant la situation.
- Veux-tu donc bien arrĂȘter ta comĂ©die et rentrer Ă  la maison s'il te plaĂźt ? Nous sommes en public ici, dans la taverne. » dit-il doucement en jetant de furtifs regards Ă  droite et Ă  gauche pour savoir si un client n'Ă©coutait pas silencieusement la conversation.
- Haha, aurais-tu peur que quelqu'un se méprenne sur notre relation ? Eh bien soit, je rentre. Je réchaufferais le lit en t'attendant, mon chou ~ »
     Je lui susurrais les derniers mots à son oreille avant de me retourner pour sortir de la taverne. Du coin de l'Ɠil, je le vis rougir me faisant sourire, satisfaite. Seulement, je ne me doutais pas qu'une certaine personne avait tout vu, et entendu qui plus ait.
« ... »
Lendemain matin
     Les quelques rayons qui traversÚrent le rideau de la chambre vinrent effleurer mon visage, me réveillant doucement. Tranquillement, j'ouvris les yeux, ne voulant pas me faire aveugler par la lumiÚre matinale. J'étendis mon bras à cÎté de moi et tùtai le lit, mais rien. Je ne sentis que les résidus de chaleur de son corps, ainsi que les quelques effluves encore présentes de son odeur dans les draps. Je me redressais donc sur le lit avant d'en sortir.
     Alors que je me dirigeais vers la cuisine, une douce odeur de nourriture vint remplir mes narines, me donnant l'eau à la bouche. J'accélérais le pas afin de me retrouver au plus vite dans la cuisine. Lorsque j'arrivais dans la piÚce, je fus accueilli par un Diluc au fourneau, concentré sur chaque mouvement qu'il faisait. Un sourire se dessina sur mes lÚvres et je m'avançais vers lui.
« Bonjour Diluc. Alors, bien dormi ? » lui dis-je en faisant un petit clin d'Ɠil.
     Il releva la tĂȘte et posa son regard dans le mien, cette fois, je pouvais clairement voir la tendresse Ă©pouser les traits de son visage. Comme quoi, dans un endroit Ă  l'abri des regards, mĂȘme le plus dĂ©sintĂ©resser des barmans pouvait se rĂ©vĂ©ler tendre et attentionnĂ© pour sa douce moitiĂ©. Il me sourit tendrement avant de dĂ©poser ce qu'il tenait dans les mains sur le comptoir pour se rapprocher de moi.
« TrÚs bien, et toi mon amour ? »
     Il glissa ses bras le long de ma taille me rapprochant de lui. Un rire étouffé sortit de ma bouche tandis que je le laissai faire.
« Pourquoi ne m'as-tu pas rĂ©veillĂ©e lorsque tu es rentrĂ© ? Je n'ai mĂȘme pas pu te faire un bisou pour te souhaiter bonne nuit.
- Tu dormais si paisiblement. Et puis, tu sais qu'il n'est pas conseiller de réveiller un ange qui dort, surtout lorsque ce dernier s'appelle [T/P]. Mais tu peux toujours me faire un bisou pour me souhaiter une bonne journée. »
     Il déposa un bref bisou sur mon front tout en resserrant l'étreinte. Cette fois, c'était à mon tour de rougir comme une tomate. Il a le don de, avec seulement quelques mots, me faire chavirer et perdre mes repÚres. J'enfouis mon visage dans son torse pour qu'il ne voit pas à quel point l'on pouvait me confondre avec sa chevelure d'un rouge flamboyant. Toutefois, il devait surement avoir remarqué ma timidité car, l'oreille contre son torse, j'entendis sa cage thoracique résonner dans un rire léger avant qu'il n'approche ses lÚvres de mes oreilles pour venir me susurrer ces quelques mots
« Je t'aime, [T/P]. »
     Ce par quoi je rĂ©pondis Ă©videmment par l'affirmative, un sourire enfantin sur le visage. Puis, je relevais la tĂȘte et plongeai mon regard dans le sien. Nous nous observions tous les deux amoureusement, aucun ne voulant briser l'Ă©treinte. Mes yeux descendirent lĂ©gĂšrement pour venir se poser sur ses lĂšvres rosĂ©es et fines ; si dĂ©licieuses qu'on avait envie de croquer dedans. Je plaçais mes mains sur chacune de ses joues, et sur la pointe des pieds, posais mes lĂšvres contre les siennes. Il m'embrassa passionnĂ©ment, comme s'il s'agissait encore de la premiĂšre fois. Ses bras se refermĂšrent davantage autour de ma silhouette ne laissant ainsi quasiment plus d'espace entre nos deux corps, tandis que nos lĂšvres dansaient Ă  l'unisson suivant un rythme rapide. HĂątivement, ce baiser devint passionnel et remplit d'amour pour l'autre, tout en y gardant une forme de tendresse. Je profitais de cette intimitĂ© pour venir glisser ma main le long de son dos avant d'atteindre son fessier. Ma main le caressa avant de le prendre fermement, nous collant davantage. Face Ă  cette initiative, Diluc eut le souffle coupĂ©, visiblement surpris de cette action. Je pus mĂȘme voir un Diluc rougissant, presque timide et embarrassĂ©. Mais je dois le reconnaitre, le fait de voir Diluc dans cet Ă©tat pour la premiĂšre fois le rendait si mignon et sexy Ă  la fois, me fit encore une fois tomber sous son charme.
« Diluc, je te cherchais justement pour te dire que- »
     Soudain, on entendit une voix masculine rĂ©sonner dans la piĂšce. Nous nous arrĂȘtĂąmes net avant de tourner nos visages vers ladite voix. C'est alors qu'on vit un Kaeya, droit comme un i, trop choquĂ© pour dire ou faire quoi que se soit. Un silence s'installa dans la cuisine, un long silence lourd de sens. Personne ne disait rien, mais tout le monde comprenait la situation.
« JE SAVAIS QUE TU AVAIS UNE AFFAIRE AVEC [T/P] ! »
     Kaeya s'Ă©cria soudainement, nous faisant sursauter Diluc et moi. Puis, un autre silence avant que je n'Ă©clate de rire. Seulement, Diluc, lui, ne trouvait pas la situation aussi drĂŽle que moi. En un clin d'Ɠil il avait repris son air sĂ©rieux et sĂ©vĂšre en regardant son frĂšre. Pour ma part, je ne pouvais m'arrĂȘter de rire, tellement le comique de situation Ă©tait parfait. Visiblement, mĂȘme son propre frĂšre n'Ă©tait pas au courant de tout.
« Tu n'as mĂȘme pas prĂ©venu ton frĂšre ? Hahaha, tu es vraiment sans cƓur mon cher Diluc. »
     Je me retournais dans la direction de Kaeya, un air perplexe au visage. J'essuyais quelques larmes de joie avant de reprendre.
« Nous sommes bien plus qu'une simple affaire, Kaeya. »
     En disant cela, je lui montrais mon annulaire gauche ainsi que celui de Diluc, mettant Ă  prĂ©sent bien en Ă©vidence nos alliances. La rĂ©action de Kaeya fut des plus divertissante. Ce dernier s'attendait Ă  tout sauf Ă  cette fin, je pense. Rien qu'Ă  voir sa tĂȘte de six pieds de long sous l'effet du choc, il s'agissait de la derniĂšre possibilitĂ©. Diluc, lui, ne paraissait pas trĂšs ravi que son frĂšre apprenne la nouvelle. Je souris et embrassais briĂšvement Diluc avant de sortir de la cuisine pour leur laisser un petit moment d'explication.
« Bon, je pense que des explications doivent se faire, en attendant, je vais aller prendre une douche. »
-T'as intĂ©rĂȘt Ă  m'expliquer pourquoi je n'Ă©tais pas au courant Diluc. »
     Alors que je m'Ă©loignais tranquillement de la cuisine, je m'arrĂȘtais avant d'intervenir une derniĂšre fois.
« Ah, et pas de duel entre frÚres, hein, je compte sur toi mon chou ~ »
     Je quittais finalement la salle, un air satisfait sur le visage.
Ne pas prĂ©venir son frĂšre d'un tel changement, il faut le faire quand mĂȘme.
⁎↣♡↱⁎
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koala-ronchon · 7 months ago
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Goodbye Neverland présente sa deuxiÚme version
"TrÚs cher-e Dubhe, président-e de nos nobles étoiles, qu'est ce que vous, Schicksal et la famille royale n'aimeriez pas que la population apprenne ? Trouvez en premier notre boßte à surprises, avant que d'autres ne puissent mettre le nez dans vos vilains petits secrets... Mais attention aux piÚges en chemin, on dit que les rats de nos jours sont trÚs hargneux."
Mai 2204 : la ville de Sainte-Fontaine est secouĂ©e par une suite d'Ă©vĂšnements inquiĂ©tants. L'organisation rĂ©volutionnaire Black Mamba, sommeillant jusque lĂ  dans l'ombre des quartiers les plus dĂ©laissĂ©s, rĂ©vĂšle l'Ă©tendue de son pouvoir grĂące Ă  une sĂ©rie de hackings massifs des organisations les plus puissantes de la sociĂ©tĂ©. Les habitant-e-s se retrouvent mĂȘlĂ©s au conflit quand, au milieu du chaos, Black Mamba leur propose de trouver avant les autres une curieuse boĂźte Ă  mystĂšres... Quel est son contenu, et quel groupe mettra la main dessus avant les autres ? (DĂ©couvrir l'entiĂšretĂ© de l'intrigue)
Le forum Goodbye Neverland vous propose sa premiÚre mise à jour ! Inspiré de l'univers de l'Honkaiverse (Honkai Impact 3rd, Genshin Impact & Honkai Star Rail), c'est un petit forum de RP city science-fantasy, vous proposant de faire évoluer vos personnages dans une ville florissante deux siÚcles aprÚs une terrible apocalypse ayant presque ravagé le monde. Du fait de ses inspirations, le forum propose d'incarner des créatures atypiques, et un large éventail de customisation de vos personnages avec des choix qui compteront vraiment par la suite.
Pour cette mise Ă  jour, le design a Ă©tĂ© refait, le code Ă©tant toujours celui de PoĂ©siescendrĂ©es (merci beaucoup encore pour ce code laissĂ© en libre-service pour la communautĂ©), avec ajouts et modifications par MyulMang, et une partie graphique rĂ©alisĂ©e par Koala. Nous vous proposons Ă©galement de participer Ă  la toute premiĂšre vraie intrigue du forum, ainsi qu'Ă  un event de groupe plus lĂ©ger prenant pour thĂšme une FĂȘte des Fleurs, symbole d'une ancienne rĂ©conciliation entre sorciĂšres et dragons.
Grùce au retour de nos membres, nous avons aussi pu retoucher notre systÚme de combats tour par tour pour le rendre plus efficace et accessible. Merci beaucoup aux personnes ayant accepté de participer à notre petit event test pour nous permettre de vous offrir ensuite de meilleures expériences ! Nous avons également ajusté des prix en boutique, facilité les gains monétaires en ajoutant des défis qui encouragent notamment l'intégration des nouvelles et nouveaux, et amélioré la compétence des personnages sur la Voie de l'Erudition, afin que choisir cette Voie soit aussi profitable que prendre une autre Voie.
Vous pouvez dĂšs maintenant nous rejoindre et participer Ă  l'intrigue, en venant poser vos pattes sur Goodbye Neverland.
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unarbreenflandres · 1 year ago
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Un cousin DENAES, pensionnaire à l’hîtel des Invalides
Pierre Joseph DENAES est un petit-cousin de mon arriÚre-arriÚre-arriÚre-grand-pÚre Jean François DENAES.
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Il a vu le jour le 13 mai 1776 Ă  Hazebrouck.
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Son pĂšre Jacques DENAES Ă©tait marchand. Beaucoup de ses frĂšres et sƓurs sont dĂ©cĂ©dĂ©s en bas-Ăąge. Du premier mariage de son pĂšre avec Rose ELIAS, en plus de Pierre Joseph, ont vĂ©cu jusqu’à l’ñge adulte : Marie AngĂ©lique qui a Ă©pousĂ© sur le tard, un veuf qui Ă©tait tisserand Ă  Zermezeele, Marie Françoise qui s’est mariĂ©e Ă  un boucher de Cassel, Jacques WYON et Pierre Jean Baptiste qui Ă©tait journalier Ă  Hondeghem et qui a eu beaucoup d’enfants.
Pierre Joseph DENAES s’est probablement engagĂ© dans l’armĂ©e vers l’ñge de vingt ans. Il Ă©tait fusilier dans la treiziĂšme demi-brigade. Il a vraisemblablement combattu en Italie puis en Egypte.
La vie de Pierre Joseph DENAES
A son retour de l’armĂ©e, Pierre Joseph DENAES qui avait perdu l’usage du bras droit a repris les activitĂ©s de marchand de son pĂšre. Son pĂšre est mort le 29 mai 1802 et la deuxiĂšme Ă©pouse de son pĂšre, Marie Françoise PLOCKYN, le 4 novembre de la mĂȘme annĂ©e.
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Pierre Joseph DENAES a Ă©pousĂ© le 12 vendĂ©miaire an XII (5 octobre 1803) une jeune-fille de son Ăąge qu’il avait mis enceinte. Il connaissait bien Marie Jeanne CĂ©cile CLEP car le pĂšre de celle-ci, Guillaume CLEP (1716-1800) avait Ă©pousĂ© en premiĂšres noces Marie Joseph CLEP (1719-1765) dont la niĂšce Ă©tait Marie Françoise PLOCKYN (1748-1802), la deuxiĂšme Ă©pouse de Jacques DENAES.
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Caroline Sophie DENAES, la fille de Pierre Joseph et de Marie CĂ©cile CLEP est nĂ©e le 3 ventĂŽse an XII (23 fĂ©vrier 1804) Ă  Hazebrouck. Il est Ă  noter que son pĂšre Ă©tait absent Ă  sa naissance, sans doute pris par ses activitĂ©s de marchand. Caroline n’a vĂ©cu que dix-neuf jours. Elle est dĂ©cĂ©dĂ©e le 22 ventĂŽse an XII (14 mars 1804) Ă  Hazebrouck.
L’activitĂ© de marchand n’était sans doute pas assez florissante ou trop fatigante pour un homme handicapĂ© ou encore l’épouse de Pierre Joseph DENAES aspirait-elle Ă  ce que son mari ait une vie plus sĂ©dentaire comme l’un de leurs beaux-frĂšres ? Toujours est-il qu’on retrouve Pierre Joseph DENAES, cabaretier Ă  Morbecque, Ă  la naissance de son fils Louis Alexandre Joseph, le 26 mars 1806.
Dans l’acte de mariage de ce fils, le 2 avril 1834, Ă  Lille, celui-ci affirme qu’il rĂ©side Ă  Lille, rue du Sec Arembault, depuis seize ans, soit depuis 1818. Des problĂšmes financiers ont sans doute conduit Pierre Joseph DENAES et sa famille Ă  prendre le large Ă  Lille.
Mais, dans une grande ville, la misĂšre Ă©tait encore plus rude, au XIX° siĂšcle. Marie CĂ©cile CLEP est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  l’ñge de cinquante et un ans mais il est indiquĂ© dans son acte de dĂ©cĂšs qu’elle en avait cinquante-cinq. Elle est morte le 29 aoĂ»t 1828, Ă  l’hĂŽpital Saint Sauveur de Lille. Ce sont deux infirmiers de l’hĂŽpital qui ne savaient ni lire ni Ă©crire qui ont dĂ©clarĂ© son dĂ©cĂšs ! Le secrĂ©taire de mairie a Ă©crit le nom DENAES comme ça se prononçait, c’est-Ă -dire DENASSE et il a mĂȘme dĂ©clarĂ© que l’époux de Marie CĂ©cile portait les prĂ©noms d’Alexandre Joseph (ce sont ceux de son fils) au lieu de Pierre Joseph. Il y a fort Ă  parier que son corps a Ă©tĂ© jetĂ© dans la fosse commune.
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Un an avant la mort de son Ă©pouse, le 1° juin 1827, Pierre Joseph DENAES qui ne devait pas ĂȘtre bien vaillant non plus, Ă©tait admis Ă  l’HĂŽtel des Invalides. Il avait alors cinquante et un ans. Le registre d’entrĂ©e, consultĂ© au Service Historique de la DĂ©fense, Ă  Vincennes, nous indique que Pierre Joseph DENAES a Ă©tĂ© pensionnĂ© Ă  partir du 6 fĂ©vrier 1830 mais le montant de la pension n’est pas indiquĂ©. Il est Ă©galement fait mention d’une rĂ©admission Ă  l’hĂŽtel des Invalides, le 22 aoĂ»t 1832. On peut donc penser que Pierre Joseph DENAES est retournĂ© vivre Ă  Lille pendant quelques temps ou qu’il s’est trouvĂ© un petit logement Ă  louer Ă  Paris.
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source: SHD/GR/2XY272
Pierre Joseph DENAES est dĂ©cĂ©dĂ© le 9 fĂ©vrier 1833 Ă  l’hĂŽtel des Invalides. Il avait cinquante-sept ans. Il a Ă©tĂ© inhumĂ© le 12 fĂ©vrier suivant, au cimetiĂšre du Montparnasse, dans la fosse commune.
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information donnée par Filae
A cette Ă©poque, de trĂšs nombreux soldats Ă©taient admis Ă  entrer Ă  l’hĂŽtel des Invalides. J’ai dĂ©nombrĂ© deux cent soixante-six entrĂ©es pour l’annĂ©e 1827. La moyenne d’ñge des entrants Ă©tait d’un peu plus de cinquante ans, certains n’avaient qu’une vingtaine d’annĂ©es et d’autres plus de soixante-dix ans.
La descendance de Pierre Joseph DENAES
Le fils de Pierre Joseph DENAES, Louis Alexandre Joseph qui était fileur de coton a donc épousé, en 1834, Florimonde Sophie Joseph BERNARD, couturiÚre et de six ans sa cadette. Ce jeune-homme qui avait perdu ses deux parents allait donc se créer une nouvelle famille.
Ils ont eu un fils, Louis Romain DENAES, né le 23 mars 1836 à Lille mais la vie de ce pauvre enfant fut brÚve. Il est décédé à Lille, le 22 juin 1838.
J’ai remarquĂ© que Louis Alexandre Joseph DENAES changeait souvent d’adresse. En 1828, il demeurait avec sa mĂšre, 27 rue du Priez, en 1834, son adresse Ă©tait rue du Sec Arembault, en 1836, il partageait avec sa femme un domicile au 23 rue Saint Nicaise et en 1838, ils Ă©taient au 18 rue du Priez. Il est probable que lorsqu’ils ne pouvaient plus payer le loyer, ils Ă©taient expulsĂ©s de leur modeste masure ou ils partaient Ă  la cloche de bois et allaient s’installer un peu plus loin.
Je me demande si Louis Alexandre Joseph DENAES Ă©tait encore Ă  Lille, Ă  la mort de son fils car ce sont deux voisins qui ont dĂ©clarĂ© le dĂ©cĂšs. Louis Alexandre Joseph est mort le 30 juillet 1842 Ă  l’asile d’aliĂ©nĂ©s d’ArmentiĂšres, Ă  seulement trente-quatre ans. Etait-il un trouble Ă  l’ordre public, Ă©tait-il trop souvent pris de boisson qu’il a dĂ» ĂȘtre enfermé ?
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Ainsi s’éteint la descendance de Pierre Joseph DENAES.
Du cÎté de Marie Cécile CLEP
Alexandrine Bonaventure CLEP, une sƓur de Marie CĂ©cile CLEP avait Ă©pousĂ©, en 1797, le chef du bureau des impositions Ă  Hazebrouck, Pierre MERVAILLIE dont elle a eu un fils, Louis MERVAILLIE qui fut marchand d’épices. Celui-ci n’avait pas encore un an et demi lorsque son pĂšre est mort. Sa mĂšre Ă©pousa, ensuite, en 1802, un cabaretier de Morbecque, Dominique HUBERT.
Il se trouve que l’un des arriĂšre-petits-fils de Louis MERVAILLIE Ă©tait un ami de mon pĂšre. Pierre MERVAILLIE Ă©tait nĂ© le mĂȘme jour que lui, le 5 mai 1914, mais Ă  Hazebrouck. Ils se sont peut-ĂȘtre connus au collĂšge Saint Jacques Ă  Hazebrouck ou plus tard, lors de leur service militaire, au 91Ăšme rĂ©giment d’infanterie. Avec un autre ami, AndrĂ© VANNOBEL, nĂ© aussi le mĂȘme jour mais Ă  Wormhout comme mon pĂšre, ils formaient un trio. AndrĂ© VANNOBEL organisait des excursions d’une dizaine de jours, chaque annĂ©e au mois de juin, dans les annĂ©es 70 et 80. J’ai eu l’occasion de les rencontrer, Ă  Paris, place des Ternes, en 1991, et je peux dire que l’ambiance Ă©tait joyeuse.
PS: Je remercie vivement mon cousin Arnaud DENAES qui m'a permis de finaliser cet article en me fournissant l'acte du mariage Ă  Lille du fils de Pierre Joseph DENAES.
Je remercie également les bénévoles de la base de données HOTEL DES INVALIDES (https://www.hoteldesinvalides.org/) et tout particuliÚrement Denise RAY qui m'a bien guidée dans mes recherches au SHD.
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eamjournal · 2 years ago
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Lettre d'Avril II nÂș66
Cher Hugo,
Ce mois est riche en Ă©motions de toutes sortes, je me suis parfois sentie dĂ©boussolĂ©e. Alors que les vacances touchaient Ă  leur fin et que les partiels arrivaient, je ne me concentrais que sur Thibault. Notre relation prenait un tournant plus qu'Ă©volutif quand nous Ă©tions impatients que je rentre pour nous retrouver. Et mĂȘme si ca n'Ă©tait pas dit de cette maniĂšre la, tout le laissait sous entendre. C'est pour cette raison que je suis passĂ©e le chercher Ă  Caen le jour oĂč je suis rentrĂ©e. Tout ce week-end a Ă©tĂ© le notre, intensĂ©ment vĂ©cu Ă  deux entre les soirĂ©es, le bar, le festival, les afters et les balades nocturnes en voiture. J'ai passĂ© le week-end le le plus doux que j'ai jamais eu depuis Janvier. Notre bulle n'a jamais cessĂ© et nous prolongions sans arrĂȘt notre temps ensemble tant il Ă©tait agrĂ©able.
J'ai aussi vĂ©cu mon premier festival en compagnie des faluchards et de leurs amis, tout cela grĂące Ă  Thibault. Tu le sais, mĂȘme si je n'Ă©coute pas du tout de Techno, j'ai absolument adorĂ© le moment. L'ambiance Ă©tait incroyable, accompagnĂ©e de gens adorables que je venais Ă  peine de rencontrer pour la plupart. Jamais bien loin de Thibault, il y a eu de nombreux moments de complicitĂ© affectueuse. Une journĂ©e qui s'est prolongĂ©e par une discussion rien qu'a nous, seuls, chez moi, aprĂšs toute cette Ă©motion. Suivie d'un super after avec les copains et d'une balade sur les falaises, rien que lui et moi. De plus en plus tactiles, des idĂ©es nous traversent l'esprit. Nous avons une forte envie de nous rapprocher mĂȘme si nous sommes bridĂ©s par sa situation. Sache qu'il compte vraiment beaucoup pour moi. Je ne sais toujours pas ce que je ressens pour lui, mais je sais que je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'il reste auprĂšs de moi. Je suis moi-mĂȘme quand il est lĂ . Je me sens lĂ©gĂšre, encore plus pleine d'ambitions et de bonnes Ă©nergies. J'ai envie que le temps s'arrete..
Cependant, comme la tradition le veut, il y a toujours une ombre au tableau. Un Ă©vĂ©nement un peu dramatique est venu perturber notre relation florissante alors que tout se passait pour le mieux. Peha, mon parrain, a rompu ma confiance en envoyant une de nos conversations Ă  propos de Thibault aux autres. Cette histoire Ă  fait le tour du groupe d'amis et tout le monde a pensĂ© que je m'Ă©tais moquĂ© de lui. Thibault avait dĂ©cidĂ© de nous abandonner quand il a pensĂ© que je l'avais pris pour un trophĂ©e. Je crois que ca faisait longtemps que je n'avais pas autant paniquĂ© pour une histoire de coeur. ÉtouffĂ©e, dĂ©sespĂ©rĂ©e et au bord du craquage, j'avais l'impression que notre chateau de carte s'Ă©croulait sans que je ne puisse rien y faire. A ce moment prĂ©cis, j'ai compris combien je l'aimais et combien il comptait pour moi, dans ma vie et mon quotidien en gĂ©nĂ©ral. Cet homme Ă©tait important et je ne voulais pas le perdre. Alors mĂȘme si tout s'est arrangĂ© depuis, cela reste encore un poids au fond de moi. Parce que vois-tu, les gens ne veulent pas nous voir ensemble et refusent catĂ©goriquement ce que l'on forme Ă  deux. Ils se tuent Ă  la tache pour nous sĂ©parer et apparemment tous les moyens sont bons. Aujourd'hui, je sais que j'ai peur de le perdre. Constamment. MĂȘme si ca ne m'empĂȘche pas de vivre. J'ai peur de le perdre comme on a peur d'ĂȘtre sĂ©parĂ© de quelqu'un que l'on aime.
Autre ombre au tableau : toi. C'est vrai que mĂȘme depuis l'autre cĂŽtĂ© de la planĂšte, ton souvenir persiste. Tu restes important malgrĂ© tout et je te voue un amour universel constamment. Tout comme la flamme continue de brĂ»ler pendant que la cire fond, je continue de t'aimer malgrĂ© le temps qui nous efface doucement. J'ai eu de grosses conversations avec Paulo et Liam Ă  propos de ton comportement plus qu'Ă©trange sur les rĂ©seaux sociaux. Tu disparais et rĂ©apparais. Je me demandais si tout allait bien mais je me voyais trĂšs mal t'envoyer un message. Alors Ă©coutes, si jamais tu me lis, je sais que ca ne va pas. Je sais que tu penses Ă  nous, que tu penses Ă  moi et que tu es tiraillĂ© entre tes Ă©motions en bazar et ce qui est socialement acceptable. Ce que je vais Ă©crire ici n'est basĂ© sur aucun Ă©goĂŻsme : revenir vers un ex, changer d'avis et admettre que l'on a pu se tromper n'a rien d'enfantin. N'a rien de "revenir en arriĂšre". Parfois revenir vers un ex, c'est simplement aller de l'avant et revenir vers une personne que "l'on aime". Un adulte se trompe toujours, c'est le propre de l'humain, pas celui de l'enfant. L'adulte peut revenir sur des dĂ©cisions, il le fait constamment dans la journĂ©e. L'adulte peut faire son meaculpa, il est capable de reconnaĂźtre des erreurs ou des changements de trajectoires intempestifs. Tout cela arrive et fait partie de la vie. Et surtout, l'adulte essaie d'ĂȘtre heureux. Nous ne sommes heureux que quand nous nous Ă©coutons et non quand nous nous bridons, quand nous allons Ă  contre courant de ce qui vient naturellement. Alors par pitiĂ©, Ă©volue, tu en es capable. Écoutes toi et ne restes pas dans une situation inconfortable. Si tu veux me parler, fais le. N'attends pas que je recommences ma vie, n'attends pas que je ne veuille plus t'Ă©couter, n'attends pas que le temps se soit Ă©coulĂ©. Car il y a un temps pour tout. Fais le pour toi, fais le pour nous. Une part de moi y croit toujours.
C'est ainsi que ma derniÚre lettre d'Avril s'achÚve. J'espÚre que tu vas aller mieux et te relever, réfléchir à ta discussion avec Paulo. Te remettre en question. Car ce qui est socialement acceptable n'existe pas, ce qui est important c'est ce qui est acceptable pour ton bonheur. Et chacun de tes amis/proches se plieront aux choix qui te rendront heureux car c'est ce qu'ils souhaitent pour toi.
Bonne nuit Hugo. Peut-ĂȘtre Ă  bientĂŽt si tu te reveilles. Profites de ta fin d'erasmus. Je t'aime dĂ©bilos.
M.
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blogdimanche · 13 days ago
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Évangile de JĂ©sus-Christ selon Saint Marc 13,24-32
 
En ce temps-là, Jésus parlait à ses disciples de sa venue :
24 « En ces jours-lĂ , aprĂšs une pareille dĂ©tresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ;
25 les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.
26 Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuĂ©es avec grande puissance et avec gloire.
27 Il enverra les anges pour rassembler les Ă©lus des quatre coins du monde, depuis l’extrĂ©mitĂ© de la terre jusqu’à l’extrĂ©mitĂ© du ciel.
28 Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier : dĂšs que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l’étĂ© est proche.
29 De mĂȘme, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, Ă  votre porte.
30 Amen, je vous le dis : cette gĂ©nĂ©ration ne passera pas avant que tout cela n’arrive.
31 Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.
32 Quant Ă  ce jour et Ă  cette heure-lĂ , nul ne les connaĂźt, pas mĂȘme les anges dans le ciel, pas mĂȘme le Fils, mais seulement le PĂšre. »
Texte biblique tirĂ© de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous Ă  prier)
Commentaire Mc 13,26
« On verra le Fils de l'homme venir dans les nuĂ©es avec grande puissance et avec gloire. » (Mc 13,26) JĂ©sus ne nous avait guĂšre habituĂ©s Ă  ce genre de discours ! Tout d'un coup son style se met Ă  ressembler Ă  toute une littĂ©rature trĂšs florissante Ă  son Ă©poque, mais bien Ă©trangĂšre Ă  nos mentalitĂ©s actuelles. Il faut se rappeler que les derniers siĂšcles avant l'Ăšre chrĂ©tienne ont Ă©tĂ© le thĂ©Ăątre d'une grande effervescence intellectuelle, pas seulement en IsraĂ«l, mais en Égypte, en GrĂšce, en MĂ©sopotamie. La littĂ©rature de divination faisait fortune ; dans toutes les civilisations, dans toutes les religions, les questions sont partout et toujours les mĂȘmes : qui aura le dernier mot ? L'humanitĂ© va-t-elle irrĂ©mĂ©diablement Ă  sa perte ? Ou alors le Bien triomphera-t-il ? Que sera la fin du monde ? Peu Ă  peu un style Ă©tait nĂ© dans tout le Proche-Orient pour aborder ces sujets : partout on retrouve les mĂȘmes images : des bouleversements cosmiques, Ă©clipses de soleil ou de lune, des personnages cĂ©lestes, anges ou dĂ©mons ; ce qui est intĂ©ressant pour nous, c'est de voir comment des croyants, Juifs puis ChrĂ©tiens ont empruntĂ© les formes de ce style de leur temps mais en y coulant leur propre message, la rĂ©vĂ©lation divine. C'est pour cela que, dans la Bible, ce style littĂ©raire est appelĂ© « apocalyptique » parce qu’il apporte une « rĂ©vĂ©lation » de la part de Dieu (littĂ©ralement le verbe grec « apocaluptΠ» veut dire « lever un coin du voile », « rĂ©vĂ©ler »). Au sens de « lever le voile qui recouvre l’histoire des hommes ». C'Ă©tait du langage codĂ© : en surface, il est question du soleil, des Ă©toiles, de la lune et tout cela va ĂȘtre bouleversĂ©. Mais en rĂ©alitĂ© il s'agit de tout autre chose ! Il s'agit de la victoire de Dieu et de ses enfants dans le grand combat qu'ils livrent contre le mal depuis l'origine du monde. Elle est lĂ  la spĂ©cificitĂ© de la foi judĂ©o-chrĂ©tienne. C'est donc un contresens d'employer le mot « Apocalypse » Ă  propos d'Ă©vĂ©nements terrifiants : dans le langage croyant, juif ou chrĂ©tien, c'est juste le contraire. La rĂ©vĂ©lation du mystĂšre de Dieu ne vise jamais Ă  terrifier les hommes, mais au contraire Ă  leur permettre d'aborder tous les bouleversements de l'histoire en soulevant le coin du voile pour garder l'espĂ©rance. Chaque fois que les prophĂštes de l'Ancien Testament veulent annoncer le Grand jour de Dieu, sa victoire dĂ©finitive contre toutes les forces du mal, on retrouve ce mĂȘme langage, ces mĂȘmes images. Par exemple, le prophĂšte JoĂ«l : « Le soleil et la lune s’obscurcissent, les Ă©toiles retirent leur clartĂ©... » (Jl 4,15-16). Le chamboulement cosmique que ces textes dĂ©crivent n'est qu'une image du renversement complet de la situation ; le message, c'est « Dieu aura le dernier mot ». Le mal sera dĂ©finitivement dĂ©truit ; par exemple IsaĂŻe emploie les mĂȘmes images pour annoncer le jugement de Dieu : « Les Ă©toiles du ciel et leurs constellations ne feront plus briller leur lumiĂšre. » (Is 13,10). Dans le style apocalyptique, tout-Ă -fait conventionnel, l’annonce de la foi, c’est ‘Dieu est le maĂźtre de l’histoire et le jour vient oĂč le mal disparaĂźtra’. Il ne faut donc pas parler de « fin du monde » mais de « transformation du monde », de « renouvellement du monde ». Dans le Nouveau Testament, qui utilise, lui aussi parfois le style apocalyptique, par exemple dans l'Ă©vangile de Marc de ce dimanche, le message de la foi reste fondamentalement le mĂȘme, avec cette prĂ©cision toutefois : le dernier mot, la victoire dĂ©finitive de Dieu contre le Mal, c'est pour tout de suite, en JĂ©sus-Christ. Il n'est donc pas Ă©tonnant qu'Ă  quelques jours de sa derniĂšre PĂąque Ă  JĂ©rusalem, JĂ©sus recoure Ă  ce langage, Ă  ces images : le combat entre le Christ et les forces du mal est Ă  son paroxysme et dans ce texte, si nous savons lire entre les lignes, nous avons un message Ă©quivalent Ă  la phrase de JĂ©sus dans l'Ă©vangile de Jean : « Courage, j'ai vaincu le monde » (Jn 16,33). (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie NoĂ«lle Thabut)
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savoir-entreprendre · 1 month ago
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De Zéro en Maths à la Réussite en Médecine et en Ingénierie : Des Histoires Inspirantes de Défis Surmontés
Il est courant d'entendre des histoires de succĂšs de personnes qui ont surmontĂ© d'Ă©normes obstacles pour devenir mĂ©decins, ingĂ©nieurs, ou d'autres professionnels renommĂ©s. Parmi ces rĂ©cits inspirants, il y a ceux qui Ă©taient autrefois "nuls" en mathĂ©matiques, mais qui ont persĂ©vĂ©rĂ© pour atteindre des sommets dans leurs carriĂšres. Ces histoires montrent que mĂȘme si les mathĂ©matiques peuvent sembler intimidantes, elles ne doivent pas ĂȘtre un obstacle insurmontable pour rĂ©aliser ses rĂȘves. Voici quelques exemples inspirants de personnes qui Ă©taient nulles en maths, mais qui sont devenues des mĂ©decins et des ingĂ©nieurs accomplis. Le Cas du Dr. Sarah Johnson Sarah Johnson, aujourd'hui une brillante mĂ©decin spĂ©cialisĂ©e en oncologie, se souvient avec horreur de ses notes de mathĂ©matiques au lycĂ©e. Elle a toujours eu du mal avec les chiffres et a eu du mal Ă  comprendre les concepts mathĂ©matiques les plus simples. MalgrĂ© cela, sa passion pour la mĂ©decine l'a motivĂ©e Ă  poursuivre son rĂȘve de devenir mĂ©decin. Sarah a trouvĂ© des moyens de compenser ses faiblesses en mathĂ©matiques. Elle a travaillĂ© dur pour amĂ©liorer ses compĂ©tences en sciences et en biologie. Elle a Ă©galement fait preuve de persĂ©vĂ©rance en consultant des tuteurs en mathĂ©matiques et en utilisant des ressources en ligne pour combler ses lacunes. Finalement, elle a Ă©tĂ© acceptĂ©e Ă  l'Ă©cole de mĂ©decine et a maintenant une carriĂšre florissante dans le domaine de l'oncologie, oĂč ses compĂ©tences en empathie et en communication sont tout aussi importantes que ses compĂ©tences mĂ©dicales. L'Évolution d'Alexandre Dupont : De la MĂ©diocritĂ© en MathĂ©matiques Ă  l'IngĂ©nierie de Pointe Alexandre Dupont, un ingĂ©nieur talentueux dans le domaine de l'aĂ©rospatiale, n'a jamais Ă©tĂ© un as des mathĂ©matiques Ă  l'Ă©cole. Il se souvient avoir passĂ© de longues heures Ă  essayer de comprendre des Ă©quations et des concepts mathĂ©matiques complexes. Cependant, il avait une passion pour l'aĂ©ronautique depuis son enfance, et il Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă  travailler dans ce domaine coĂ»te que coĂ»te. Alexandre a suivi un parcours difficile pour atteindre son objectif. Il a travaillĂ© dur, a assistĂ© Ă  des cours supplĂ©mentaires de mathĂ©matiques et a mĂȘme trouvĂ© un mentor en mathĂ©matiques qui l'a guidĂ© dans son apprentissage. Sa persĂ©vĂ©rance a fini par payer, et il a Ă©tĂ© acceptĂ© dans une Ă©cole d'ingĂ©nierie de renom. Aujourd'hui, il travaille sur des projets d'aĂ©rospatiale de pointe, oĂč sa passion et sa dĂ©termination ont Ă©tĂ© les clĂ©s de son succĂšs. Le Triomphe de Maria Lopez en MĂ©decine Maria Lopez, mĂ©decin de famille respectĂ©e, a toujours eu une phobie des mathĂ©matiques. Elle se souvient avoir passĂ© des heures Ă  lutter avec des problĂšmes mathĂ©matiques, et ses notes en mathĂ©matiques Ă  l'Ă©cole Ă©taient loin d'ĂȘtre impressionnantes. Cependant, son dĂ©sir de soigner les autres a Ă©tĂ© une source de motivation inĂ©puisable. Maria a suivi un chemin sinueux pour devenir mĂ©decin. Elle a commencĂ© par Ă©tudier la biologie, oĂč elle excellait, et a ensuite travaillĂ© dur pour rĂ©ussir les cours de mathĂ©matiques prĂ©alables Ă  l'admission en mĂ©decine. Son dĂ©sir d'aider les patients et sa capacitĂ© Ă  communiquer avec empathie ont fait d'elle une mĂ©decin de famille exceptionnelle, mĂȘme si elle n'Ă©tait pas une "pro" en mathĂ©matiques. Ces histoires inspirantes montrent que le succĂšs en mĂ©decine, en ingĂ©nierie et dans d'autres domaines peut ĂȘtre atteint mĂȘme si l'on a Ă©tĂ© "nul" en mathĂ©matiques. La persĂ©vĂ©rance, la passion et le dĂ©sir de surmonter ses lacunes peuvent jouer un rĂŽle dĂ©terminant dans la rĂ©alisation de ses rĂȘves. Il est important de se rappeler que les compĂ©tences en mathĂ©matiques ne sont pas le seul facteur de rĂ©ussite, et que chaque individu a des talents uniques Ă  offrir Ă  sa profession. En fin de compte, ce qui compte le plus, c'est la dĂ©termination et l'engagement envers ses objectifs.
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bhb-equanimitimmarcescible · 6 months ago
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Si nous voulons comprendre l’influence profonde exercĂ©e par le socialisme moderne, il ne faut pas examiner ses dogmes. Quand on recherche les causes de son succĂšs, on constate que ce succĂšs est tout Ă  fait Ă©tranger aux thĂ©ories que ces dogmes proposent ou aux nĂ©gations qu’ils imposent. Comme les religions, dont il tend de plus en plus Ă  prendre les allures, le socialisme se propage tout autrement que par des raisons. TrĂšs faible quand il essaie de discuter et de s’appuyer sur des arguments Ă©conomiques, il devient au contraire trĂšs fort quand il reste dans le domaine des affirmations, des rĂȘveries et des promesses chimĂ©riques. Il serait mĂȘme plus redoutable encore s’il n’en sortait pas. GrĂące Ă  ses promesses de rĂ©gĂ©nĂ©ration, grĂące Ă  l’espoir qu’il fait luire devant tous les dĂ©shĂ©ritĂ©s de la vie, le socialisme arrive Ă  constituer une croyance Ă  forme religieuse beaucoup plus qu’une doctrine. Or la grande force des croyances, quand elles tendent Ă  revĂȘtir cette forme religieuse dont nous avons Ă©tudiĂ© le mĂ©canisme ailleurs, c’est que leur propagation est indĂ©pendante de la part de vĂ©ritĂ© ou d’erreur qu’elles peuvent contenir. DĂšs qu’une croyance est fixĂ©e dans les Ăąmes, son absurditĂ© n’apparaĂźt plus, la raison ne Fatteint plus. Le temps seul peut l’user. Les plus puissants penseurs de l’humanitĂ©, un Leibniz, un Descartes, un Newton, se sont inclinĂ©s sans murmure devant des dogmes religieux dont la raison leur eĂ»t vite montrĂ© la faiblesse s’ils avaient pu les soumettre au contrĂŽle de la critique. Mais ce qui est entrĂ© dans le domaine du sentiment ne peut plus ĂȘtre touchĂ© par la discussion. Les religions, n’agissant que sur les sentiments, ne sauraient ĂȘtre Ă©branlĂ©es par des arguments, et c’est pourquoi leur pouvoir sur les Ăąmes a toujours Ă©tĂ© si absolu. Gustave Le Bon L’ñge moderne reprĂ©sente une de ces pĂ©riodes de transition oĂč les vieilles croyances ont perdu leur empire et oĂč celles qui doivent les remplacer ne sont pas Ă©tablies. L’homme n’a pu rĂ©ussir encore Ă  vivre sans divinitĂ©s. Elles tombent parfois de leur trĂŽne, mais ce trĂŽne n’est jamais restĂ© vide. Des fantĂŽmes nouveaux surgissent bientĂŽt de la poussiĂšre des dieux morts. La science qui a combattu les dieux, ne saurait contester leur prodigieux empire. Aucune civilisation n’a pu rĂ©ussir encore Ă  se fonder et Ă  grandir sans eux. Les civilisations les plus florissantes se sont toujours appuyĂ©es sur des dogmes religieux qui, au point de vue delĂ  raison, ne possĂ©daient aucune parcelle de logique, de vĂ©ritĂ© ou mĂȘme de simple bon sens. La logique et la raison n’ont jamais Ă©tĂ© les vrais guides des peuples. L’irrationnel a toujours constituĂ© un des plus puissants mobiles d’action que l’humanitĂ© ait connus. Ce n’est pas aux lueurs de la raison qu’a Ă©tĂ© transformĂ© le monde. Alors que les religions, fondĂ©es sur des chimĂšres, ont marquĂ© leur indestructible empreinte sur tous les Ă©lĂ©ments des civilisations et continuent Ă  maintenir l’immense majoritĂ© des hommes sous leurs lois, les systĂšmes philosophiques, bĂątis sur des raisonnements, n’ont jouĂ© qu’un rĂŽle insignifiant dans la vie des peuples et n’ont eu au’une existence Ă©phĂ©mĂšre. Ils ne proposent en efi’et aux foules que des arguments, alors que l’ñme humaine ne demande que des espĂ©rances. Ce sont ces espĂ©rances que les religions ont toujours donnĂ©es, et elles ont donnĂ© aussi un idĂ©al capable de sĂ©duire et de soulever les Ăąmes. C’est avec leur baguette magique qu’ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s les plus puissants empires, qu’ont surgi du nĂ©ant les merveilles de la littĂ©rature et des arts qui forment le trĂ©sor commun de la civilisation. Ce sont Ă©galement des espĂ©rances que le socialisme propose et c’est ce qui fait sa force. Les croyances qu’il enseigne sont trĂšs chimĂ©riques et semblent n’avoir que bien peu de chances de se propager. Elles se propagent pourtant. L’homme possĂšde la merveilleuse facultĂ© de transformer les choses au...
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wacknotes · 7 months ago
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Remerciements et Souvenirs Ă  l'Occasion de la FĂȘte du Travail chez SĂ©nĂ©gal NumĂ©rique S.A.
Ce 30 Avril 2024, au sein de notre entreprise bien-aimĂ©e, SĂ©nĂ©gal NumĂ©rique S.A., nous avons par anticipation cĂ©lĂ©brĂ© avec joie et gratitude la FĂȘte du Travail. C'Ă©tait une journĂ©e spĂ©ciale, empreinte de camaraderie et de reconnaissance pour le travail acharnĂ© de chacun d'entre nous.
En tant que coordonnateur technique, j'ai eu l'honneur et le privilÚge de prendre la parole devant tous les collaborateurs Meir accueil chaleureux et leurs applaudissements sincÚres resteront gravés dans ma mémoire pour toujours. C'est avec émotion que je leur adresse aujourd'hui mes plus sincÚres remerciements. Leur soutien et leur engagement sont le moteur qui propulse notre entreprise vers de nouveaux sommets.
En cette journĂ©e de cĂ©lĂ©bration, il Ă©tait Ă©galement important de rendre hommage Ă  nouveau Ă  ceux qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©s, Ă  ceux qui ont contribuĂ© Ă  bĂątir les fondations sur lesquelles nous marchons aujourd’hui. A nos chers disparus, qui auraient dĂ» ĂȘtre parmi nous, nous leur adressons nos pensĂ©es les plus affectueuses. Leur hĂ©ritage continue de nous inspirer et de nous guider dans notre parcours professionnel.
Chers Collaborateurs,
Ensemble, continuons Ă  travailler main dans la main, Ă  poursuivre nos rĂȘves avec dĂ©termination et Ă  honorer la mĂ©moire de ceux qui ont contribuĂ© Ă  notre succĂšs. Merci Ă  chacun d'entre vous pour votre dĂ©vouement et votre passion. Ensemble, nous sommes plus forts.
Joyeuse FĂȘte du Travail Ă  toute la famille de SĂ©nĂ©gal NumĂ©rique S.A. Que cette journĂ©e soit le reflet de notre solidaritĂ© et de notre engagement envers un avenir prospĂšre et harmonieux pour tous.
Dans cet esprit de solidarité et de fraternité, je voudrais adresser aussi un appel vibrant à tous les travailleurs sénégalais et africains.
Ensemble, nous portons le flambeau d'une Afrique prospĂšre et florissante, oĂč chaque individu peut rĂ©aliser son plein potentiel et vivre dans la dignitĂ©. Que notre travail acharnĂ© et notre dĂ©termination servent de catalyseurs pour un changement positif dans nos communautĂ©s et nos nations.
Engageons-nous Ă  Ɠuvrer sans relĂąche pour un avenir oĂč l'Ă©galitĂ©, la justice et le bien-ĂȘtre de tous sont des rĂ©alitĂ©s tangibles. En unissant nos forces et en partageant nos talents, nous pouvons bĂątir ensemble un continent oĂč chacun peut s'Ă©panouir et prospĂ©rer.
Enfin, dans ce périple vers un avenir meilleur, gardons en mémoire la bénédiction et la guidance du Tout-Puissant.
Que Sa miséricorde enveloppe nos entreprises et que Sa providence nous accompagne à chaque pas. Avec la grùce divine comme guide, nous pouvons avancer avec confiance vers un avenir de prospérité et d'harmonie pour tous. Amen.
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sportifdujour · 8 months ago
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5 méthodes explosives pour bùtir une communauté de fer dans la gym!
Les ĂȘtres humains sont des animaux sociaux, c'est un fait indĂ©niable. Nous avons besoin de nos comparses pour nous dĂ©tendre, nous amuser et, pour certains, pour rivaliser dans des sports d'Ă©quipe. MĂȘme les Ă©preuves sportives individuelles comme le CrossFit crĂ©ent un sentiment de communautĂ©, montrant l'importance de construire une telle communautĂ© dans une salle de gym. On dit souvent que l'union fait la force, et cela s'applique parfaitement Ă  ceux d'entre nous qui cherchent Ă  se mettre en forme. Combien de fois avez-vous Ă©tĂ© poussĂ© Ă  faire quelques rĂ©pĂ©titions supplĂ©mentaires par un autre athlĂšte ? Combien de fois avez-vous cherchĂ© Ă  dĂ©passer le coureur sur le tapis roulant Ă  cĂŽtĂ© de vous ? Nous sommes prĂȘts Ă  parier que cela vous est arrivĂ© souvent. En plus d'amĂ©liorer votre force physique et votre confiance en vous, la salle de gym peut Ă©galement ĂȘtre une plate-forme fantastique pour construire une communautĂ© solide, alignĂ©e sur vos valeurs et qui vous pousse Ă  aller toujours plus loin. Avec tous ces avantages, pourquoi ne pas lancer dĂšs maintenant une campagne pour construire une communautĂ© forte dans votre salle de sport ? Allez, on y va ! Le chemin pour atteindre vos objectifs de mise en forme peut ĂȘtre Ă©prouvant physiquement et mentalement, mais imaginez le faire au sein d'une communautĂ© florissante de passionnĂ©s de la salle de sport. Rejoindre un rĂ©seau de salles de sport partageant les mĂȘmes valeurs vous permettra d'ĂȘtre plus confiant et motivĂ©, avec le mĂȘme objectif que le gagnant du titre de M. Olympia huit fois, Arnold Schwarzenegger, a atteint dans sa gloire. Voici quelques-uns des avantages qui rĂ©sultent de la construction et de la participation Ă  une communautĂ© de fitness dynamique : - La responsabilitĂ© - Des occasions de croissance et de dĂ©veloppement - De la compĂ©tition - Des conversations franches et honnĂȘtes La responsabilitĂ© est un facteur clĂ© pour rester motivĂ©. Si vous avez quelqu'un qui vous attend dans la salle de sport, vous ĂȘtes plus susceptible de rester sur la bonne voie et de conserver une discipline dans vos entraĂźnements. L'amitiĂ© dans la salle de sport ne se limite pas Ă  des conversations lĂ©gĂšres lors des pauses entre les sĂ©ries, mais peut aussi vous offrir des conseils, des astuces et des critiques constructives pour amĂ©liorer les rĂ©sultats de vos sĂ©ances d'entraĂźnement. Rejoindre une communautĂ© de fitness positive vous offrira une inspiration sans pareille. Alors, n'hĂ©sitez plus Ă  faire partie de la famille de fitness dynamique qui vous aidera Ă  atteindre vos objectifs de remise en forme !
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En matiĂšre de fitness, ĂȘtre entourĂ© de gens inspirants et motivants peut faire toute la diffĂ©rence. Que vous soyez fan de The Rock, Tom Daley, Ronda Rousey ou Stretch Armstrong, ou simplement d'autres membres de votre gym, ces personnes peuvent vous donner la force de persĂ©vĂ©rer dans votre routine et de vous dĂ©passer. Mais pourquoi se limiter Ă  l'enthousiasme amical ? En travaillant avec des personnes plus avancĂ©es dans leur parcours de remise en forme, vous pourrez repousser vos limites et vous surpasser - des chercheurs de l'UniversitĂ© d'État du Kansas ont mĂȘme constatĂ© que vous pourriez travailler jusqu'Ă  200 % plus dur ! Et puisque nous parlons de dĂ©fis, parlons Ă©galement de santĂ© mentale. S'il est souvent difficile de parler de ses sentiments, la salle de sport peut ĂȘtre l'endroit idĂ©al pour trouver une communautĂ© positive et encourageante qui vous permettra de vous exprimer librement et de vous rappeler que vous n'ĂȘtes jamais seul dans votre combat. Selon une Ă©tude rĂ©cente, les personnes qui se lancent dans un voyage de perte de poids avec un partenaire ont 40 % de chances de plus d'atteindre leurs objectifs que celles qui travaillent seules. Alors n'attendez plus, trouvez votre Ă©quipe et donnez le meilleur de vous-mĂȘme ! Si vous cherchez un soutien supplĂ©mentaire pour votre santĂ© mentale, ne cherchez pas plus loin que notre centre de ressources. Comment se faire des amis Ă  la salle de gym ? C'est une question qui peut hanter l'esprit de beaucoup de gens. Mais nous avons des conseils judicieux pour vous aider Ă  embrasser la communautĂ© de la gym et Ă  construire des amitiĂ©s Ă  travers votre passion commune pour la forme physique. Tout d'abord, ne vous forcez pas Ă  devenir le meilleur ami de tout le monde. Mais n'ayez pas peur d'ĂȘtre social. Commencez par un sourire amical et un bonjour. Avec le temps, cela peut Ă©voluer en de vĂ©ritables conversations. Cependant, pour rĂ©ussir Ă  vous intĂ©grer Ă  la communautĂ© de la gym, il y a certaines formalitĂ©s Ă  respecter. Vous devez vous prĂ©senter et montrer votre intĂ©rĂȘt pour la communautĂ©. Ne soyez pas timide, soyez audacieux ! Si vous repĂ©rez un habituĂ© de la salle de gym, n'ayez pas peur d'aller vers lui et d'Ă©changer sur ses performances sportives. Qui sait ? Votre parcours pourrait ĂȘtre similaire et vous pourriez travailler ensemble en vous soutenant mutuellement. Mais gardez Ă  l'esprit que quand vous ĂȘtes dans cet espace, vous devez ĂȘtre respectueux envers les autres. Certains ne seront pas lĂ  pour papoter ou sortir de leur bulle. Interrompre quelqu'un pendant un set, monopoliser une machine ou trop suer sur les Ă©quipements n'est pas correct. Et, pour l'amour de tout ce qui est saint, ne fixez personne ou ne faites de commentaires inappropriĂ©s ! Savoir ĂȘtre utile est aussi une qualitĂ© Ă  avoir dans ce lieu. Si jamais tu vois un.e autre gym-goer en difficultĂ©, n'hĂ©site pas Ă  proposer ton aide. Que ce soit pour repĂ©rer un squat ou ajuster une machine, tes deux cents peuvent faire toute la diffĂ©rence. Attention toutefois, pas question de se montrer arrogant ou de vouloir donner des leçons de fitness. Demande toujours leur permission et offre-leur des conseils constructifs s'ils en manifestent l'envie. Qui sait, tu pourrais mĂȘme apprendre un ou deux trucs de leur part !
On le sait, la salle de gym n'est pas forcĂ©ment le lieu idĂ©al pour engager la conversation. Mais si tu te sens l'Ăąme d'un.e socializer, il existe des options pour te rapprocher des autres membres. Pourquoi ne pas rĂ©server une classe oĂč la camaraderie et l'esprit d'Ă©quipe rĂšgnent en maĂźtres ? Ou alors, renseigne-toi auprĂšs de la rĂ©ception sur les diffĂ©rentes possibilitĂ©s de rejoindre un groupe de discussion au sein de la salle de gym. Alors, prĂȘt.e Ă  sortir de ta zone de confort ? C'est toi qui vois ! Pour bĂątir une communautĂ© solide de gymnastique, il faut trouver un partenaire motivĂ© et dĂ©terminĂ© Ă  atteindre ses objectifs. Trouver un ami avec des intĂ©rĂȘts similaires peut rendre l'entraĂźnement plus amusant et stimulant. Vous pouvez vous soutenir mutuellement pour repousser vos limites, dĂ©velopper davantage vos muscles et Ă©conomiser sur les trajets en partageant les frais d'essence. Si vous ne connaissez personne dans votre entourage qui partage votre passion, n'hĂ©sitez pas Ă  demander Ă  un membre de votre salle de gym. Asseyez-vous Ă  cĂŽtĂ© de lui pendant les pauses entre les sĂ©ries et demandez-lui s'il pourrait vous rejoindre pour une session un jour. Ou mieux encore, demandez-lui de vous donner un spot pendant vos sĂ©ries et profitez-en pour discuter de votre passion commune pour le sport. Soyez audacieux et proactif dans la recherche d'un partenaire d'entraĂźnement. Vous pourriez ĂȘtre surpris de voir Ă  quel point les gens sont disposĂ©s Ă  partager leur expĂ©rience et Ă  vous aider Ă  atteindre vos objectifs. Alors, n'hĂ©sitez pas Ă  sortir de votre zone de confort et Ă  vous lancer dans cette aventure collective excitante. Demander un endroit est un geste courageux, qui dĂ©montre votre dĂ©termination Ă  crĂ©er une communautĂ© de gymnastique soudĂ©e. C'est une façon de bĂątir sur des fondations solides, tout en vous assurant que votre pratique ne finit pas aux urgences. Nous aimons tous nous sentir en sĂ©curitĂ©, mais il est Ă©galement important de se connecter avec les autres membres de la communautĂ©, d'Ă©changer sur les plans du week-end ou simplement de discuter de la forme. En trouvant un influenceur de fitness, vous pouvez ajouter une dimension supplĂ©mentaire Ă  votre expĂ©rience de gymnastique. Ces experts peuvent apporter de la valeur Ă  votre pratique Ă  travers des conversations inspirantes en personne ou sur les rĂ©seaux sociaux. N'hĂ©sitez pas Ă  les approcher et Ă  discuter avec eux pour en savoir plus sur leur parcours et leur vision de la remise en forme. Avec un peu de courage, vous pouvez atteindre de nouveaux sommets et bĂątir une communautĂ© forte et unie. Les influenceurs du fitness sont des leaders inspirants qui dĂ©bordent de sagesse et de conseils inestimables pour vous aider Ă  atteindre vos objectifs de santĂ© et de forme physique. Ils sont un modĂšle accessible au sein de votre communautĂ© de gym, prĂȘts Ă  vous accueillir Ă  bras ouverts et Ă  vous guider vers votre meilleure version. Et si vous cherchez Ă  Ă©largir votre cercle d'amis de gym, ne cherchez pas plus loin que les activitĂ©s extrascolaires proposĂ©es par votre centre de remise en forme. Du yoga apaisant Ă  la randonnĂ©e exaltante, en passant par les compĂ©titions de lancer de hache, ces activitĂ©s sont l'occasion idĂ©ale de renforcer les liens avec vos camarades d'entraĂźnement et de poursuivre votre amitiĂ© en dehors de la salle de gym. Car dans le monde du fitness, les bonnes tribus apportent de bonnes vis-Ă -vis. Rejoignez une communautĂ© vouĂ©e Ă  la santĂ© et Ă  la force mentale, et laissez-les vous motiver et vous soutenir tout au long de votre parcours. Rappelez-vous que la salle de gym est bien plus qu'un simple lieu d'entraĂźnement - c'est une communautĂ© florissante de personnes partageant les mĂȘmes objectifs. Alors, allons-y !
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Des accessoires incontournables : casquettes, chaussettes et survĂȘtements certifiĂ©s
Des accessoires incontournables : casquettes, chaussettes et survĂȘtements certifiĂ©s. Dans le monde du sportswear, les accessoires jouent un rĂŽle essentiel pour complĂ©ter votre tenue et ajouter une touche de style. Parmi les incontournables, on retrouve les casquettes, les chaussettes et les survĂȘtements certifiĂ©s. Les casquettes sont Ă  la fois pratiques et tendance, offrant une protection contre le soleil tout en ajoutant une note dĂ©contractĂ©e Ă  votre look. Optez pour des modĂšles avec des logos ou des motifs originaux pour afficher votre personnalitĂ©. Les chaussettes, souvent nĂ©gligĂ©es, sont pourtant indispensables pour assurer votre confort lors de vos sĂ©ances d'entraĂźnement. Choisissez des chaussettes de qualitĂ©, conçues spĂ©cialement pour le sport, afin d'Ă©viter les frottements et les ampoules. De plus, optez pour des chaussettes certifiĂ©es, garantissant des conditions de production respectueuses de l'environnement et des droits des travailleurs. Enfin, les survĂȘtements certifiĂ©s sont une option idĂ©ale pour ceux qui souhaitent allier confort et responsabilitĂ© environnementale. Ces survĂȘtements sont fabriquĂ©s Ă  partir de matĂ©riaux durables et respectueux de l'environnement, tels que le coton bio ou recyclĂ©. En choisissant des vĂȘtements certifiĂ©s, vous soutenez Ă©galement des pratiques Ă©thiques et responsables dans l'industrie de la mode. En conclusion, ne sous-estimez pas l'importance des accessoires dans votre dressing sportswear. Les casquettes, les chaussettes et les survĂȘtements certifiĂ©s sont des piĂšces indispensables pour complĂ©ter votre tenue avec style tout en privilĂ©giant le confort et la durabilitĂ©. Faites le choix de produits certifiĂ©s pour soutenir une consommation responsable et contribuer Ă  la prĂ©servation de l'environnement.
Optez pour le coton bio : la consommation d'eau responsable dans la mode sportswear
Lorsque vous choisissez vos vĂȘtements de sport, il est essentiel de prendre en compte leur impact sur l'environnement. Opter pour des articles en coton biologique est une excellente façon de rĂ©duire votre empreinte Ă©cologique, en particulier en ce qui concerne la consommation d'eau. Contrairement au coton conventionnel, la culture du coton biologique n'utilise pas de pesticides ou d'engrais chimiques nocifs pour l'environnement. La production de coton conventionnel est connue pour ĂȘtre extrĂȘmement gourmande en eau. En revanche, le coton biologique nĂ©cessite beaucoup moins d'eau pour pousser. En fait, selon certaines estimations, la culture du coton biologique peut rĂ©duire la consommation d'eau jusqu'Ă  91% par rapport au coton conventionnel. En optant pour des vĂȘtements de sport en coton bio, vous contribuez Ă  prĂ©server les ressources en eau prĂ©cieuses de notre planĂšte. De plus, le coton biologique est gĂ©nĂ©ralement cultivĂ© de maniĂšre durable, ce qui signifie qu'il est cultivĂ© dans des conditions respectueuses de l'environnement et sans Ă©puiser les sols. De nombreuses marques de sportswear ont Ă©galement pris conscience de l'importance du coton biologique et proposent dĂ©sormais des collections fabriquĂ©es Ă  partir de ce matĂ©riau respectueux de l'environnement. En choisissant ces marques, vous soutenez non seulement une mode plus durable, mais vous pouvez Ă©galement profiter de vĂȘtements confortables et de haute qualitĂ©. En conclusion, lorsque vous renouvelez votre garde-robe sportswear, pensez Ă  opter pour des vĂȘtements en coton biologique. Non seulement vous faites un choix responsable pour l'environnement, mais vous pouvez Ă©galement profiter d'une mode confortable et durable. Faites un geste pour la planĂšte tout en restant stylĂ© !
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lefeusacre-editions · 8 months ago
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HUIT PROPOS SUR "BASIC", par Steven Lambert
Hier a débuté (et jusqu'au 1er mai) le crowdfunding des préventes du livre John McTiernan : Cinéma Total. On y retrouve les plumes de Yal Sadat, Julien Abadie, Nicolas Tellop, Antoine Mocquet, Arthur-Louis Cingualte, Aurélien Lemant et Steven Lambert, qui en a aussi assuré la direction éditoriale. C'est à lui que nous devons ce texte écrit il y a bien longtemps pour une lointaine revue de cinéma, et qui lui a inspiré "Héroïne", le titre de sa contribution à cet ouvrage collectif à paraßtre au Feu Sacré dans la toute nouvelle collection La Forge dédiée au cinéma. Parlons donc ici de "Basic", un des tout derniers films de McT, parlons des femmes dans son cinéma, et par elles du secret sans mystÚre des hommes.
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“Fingebant simul credebantque” [1]
Tacite, Annales, V, 10
I.
Imaginez devoir raconter l’histoire de ce film, trĂšs simplement, Ă  quelqu’un qui ne le connaĂźt pas encore. La question est de savoir choisir votre point de dĂ©part et oĂč vous arrĂȘter. La vraie question, cela dit, est de savoir ce que vous allez cacher.
II.
De toutes les histoires qui traversent, bifurquent, s’évanouissent, se ramifient ou encore s’emmĂȘlent au sein de ce film, celle qui nous est livrĂ©e dĂšs les premiers plans y tient une place discrĂštement centrale. Le BolĂ©ro de Ravel lance ses premiĂšres notes, d’imposants navires traversent dans un sens puis dans l’autre le Canal de Panama, et une voix de femme nous raconte l’histoire de ces cadavres d’ouvriers, sacrifiĂ©s Ă  la construction du Canal, que l’on dissimulait dans des tonneaux remplis de vinaigre pour servir aux apprentis chirurgiens en Europe. « Cet endroit a toujours eu une façon particuliĂšre de traiter avec le profit et la mort », conclĂ»t-elle. Or ce ne sont pas des bateaux Ă  vapeur qui dĂ©filent devant nous mais bien des cargos modernes : le profit et la mort sont lĂ , hier comme aujourd’hui, et la dissimulation toujours Ă  leurs cĂŽtĂ©s. Cette dissimulation opĂšre non seulement au sein de l’Histoire mais concrĂštement dans ces quelques plans qui emboutissent passĂ© et prĂ©sent : derriĂšre les navires les bateaux Ă  vapeur, derriĂšre les bateaux Ă  vapeur les tonneaux et derriĂšre ces tonneaux les cadavres qui allaient rejoindre la florissante Ă©conomie de la mort. Selon le principe bien connu des poupĂ©es gigognes, chaque image sĂ©crĂšte ou est le signe d’une autre image. Ce sont ces images-signes anecdotiques qui nous indiquent, comme en passant, que le film tout entier se place sous le sceau de la dissimulation : l’image est toujours un creuset d’autres images, d’autres histoires qu’elle ne livre pas d’emblĂ©e, mais plus fondamentalement : l’image ment.
Ce premier montage (image, son et musique) permet de voir dans cette « ouverture » une allĂ©gorie du film lui-mĂȘme [2]. C’est effectivement Ă  la maniĂšre d’un palimpseste avec ses redites, ses ratures, ses ajouts que se prĂ©senteront tout au long du film les diffĂ©rents flashbacks. Ces images ne forment pas la matiĂšre continue d’un film (dans le film) que l’on reconstituerait patiemment pour arriver, enfin, Ă  une rĂ©vĂ©lation finale mais s’entassent les unes sur les autres Ă  la maniĂšre d’un imagier offert Ă  notre distraction : c’est-Ă -dire autant pour notre bon plaisir que pour nous Ă©carter de l’essentiel. À cet Ă©gard le fait que la voix de celle qui sera notre double dans le film soit sĂ©parĂ©e de son visage pointe vers lui. De la mĂȘme maniĂšre que la voix jetait le doute sur les images et les transformaient en signes trompeurs, le fait qu’elle soit dĂ©saccordĂ© du visage qui est le sien nous fournit un indice prĂ©cieux dans un film qui multipliera les fausses routes et mensonges. Cet indice vient avec le visage de cette femme sortant thĂ©Ăątralement de l’ombre au rythme des Ă©clairs et sur lequel on peut sentir ce mĂ©lange instable entre doute et certitude propre Ă  toute rĂ©vĂ©lation.
C’est Ă  cette rĂ©vĂ©lation qu’il nous faudra arriver. Pour qu’il y ait rĂ©vĂ©lation il faut qu’il y ait eu dessaisissement et c’est l’écart entre la voix qui faisait la leçon et le visage dĂ©sormais dĂ©fait qui en est la preuve. Ce visage, cette femme, c’est nous : autrement dit quelqu’un qui pensait savoir et qui s’est trompĂ© ou que l’on a trompĂ©. Quelqu’un qui apprend.
III.
La dĂ©ception de cette femme fait en ce sens Ă©cho Ă  notre propre dĂ©ception une fois le dernier twist advenu avec la fin du film. Elle l’anticipe. Nous avons revu ce visage dans la nuit, son expression particuliĂšre laissĂ©e en suspens au dĂ©but du film et trĂšs vite retournĂ©e Ă  l’oubli par force de retournements. Nous avons, comme elle et avec elle, compris, ayant suivi le mĂȘme chemin. On nous aura Ă©galement trompĂ©. La dĂ©ception du Capitaine Osborne (Connie Nielsen) est une dĂ©ception amoureuse qui ne dit pas (trop fort) son nom : elle ne concerne qu’un seul homme et moins l’aboutissement de l’enquĂȘte ou une faute logique de raisonnement. La nĂŽtre concerne le film lui-mĂȘme ; bien que les deux soient liĂ©es. La raison tient Ă  ce que Basic est une romance dissimulĂ©e dans un film qui prĂ©sente tous les signes d’un thriller : l’exercice qui tourne mal, les fusillades [3], la jungle, la nuit noire et la pluie battante : tout le dĂ©cor est bien en place, jusqu’aux acteurs connus, mais lĂ©gĂšrement dĂ©calĂ©. Et ce dĂ©calage, qui donne l’impression de voir un film d’action oĂč il ne se passe rien (ou bien trop), tient au fait que l’action est subordonnĂ©e Ă  la parole, et plus prĂ©cisĂ©ment au mensonge, comme moteur de l’histoire.
Tous les personnages masculins du film mentent et ce sont leurs mensonges qui dictent Ă  la fois le prochain mensonge du voisin et les mouvements des enquĂȘteurs dans l’enceinte de la base, autrement dit l’histoire du film. Seule Osborne ne ment pas parce qu’elle est celle qui d’entrĂ©e de jeu voit ses capacitĂ©s mises en doute par son supĂ©rieur hiĂ©rarchique : elle est celle qui en silence assiste, observe, rapporte, apprend. Notre semblable, notre image. Elle est hors-jeu mĂȘme lorsqu’on lui demande de participer, Ă  l’exemple de cette premiĂšre trahison que lui inflige Hardy (John Travolta) en lui demandant de jouer au good cop/bad cop pour mieux Ă©venter devant le suspect la grossiĂšretĂ© d’un tel subterfuge. À la fin de l’interrogatoire le Colonel Styles (Tim Daly) leur demandera s’il est coupable : Hardy rĂ©pond oui et ment, Osborne non mais n’est pas Ă©coutĂ©e. Il ment parce que l’objet de l’enquĂȘte n’a jamais Ă©tĂ© de savoir ce qui s’est passĂ© mais de faire tomber un trafic de drogue et rĂ©cupĂ©rer un des siens infiltrĂ© dans la base : c’est un whodunit oĂč les morts ne sont que simulĂ©es, fantasmĂ©es et qui porte sur un trafic dont nous n’apprenons que trĂšs tardivement l’existence. Faire d’une femme, isolĂ©e dans un monde d’hommes qui tous (lui) mentent et qu’on nous prĂ©sente comme inexpĂ©rimentĂ©e, le hĂ©ros cachĂ© d’un film n’est qu’une des voies qu’a trouvĂ© McTiernan pour renverser la logique du film d’action qu’il a su lui-mĂȘme imposer.
Cette logique repose sur trois grands principes oĂč action et parole sont insĂ©parables. Principe dĂ©mocratique : il n’y a pas de distinction quant Ă  la provenance de la parole, personnages principaux et secondaires sont sur un mĂȘme pied d’égalitĂ©. Principe de confiance : la parole est intĂ©gralement acceptĂ©e quant Ă  sa valeur de vĂ©ritĂ© ou son savoir, surtout dans l’urgence ou en cas de crises Ă  rĂ©soudre. Et enfin, principe dynamique : la parole que l’on reçoit relance l’action, qui s’y accorde, dans l’espace. Ce sont les vestiges de cette logique que l’on trouve dans Basic oĂč l’on navigue entre les mĂȘmes lieux (bureaux, chambre d’hĂŽpital, salle vide, cabane dans la jungle), oĂč un mensonge chasse l’autre jusqu’au vertige, et oĂč le mĂȘme petit nombre d’hommes Ă  droit Ă  la parole.
IV.
Le chemin qu’emprunte l’histoire est dĂ©sormais dĂ©terminĂ© par la vitesse propre de la parole, par la vitesse Ă  laquelle le mensonge d’un homme biffure et se surajoute Ă  celui d’un autre. Basic est certes un film trĂšs bavard mais c’est un film oĂč les paroles prononcĂ©es s’enroulent autour d’un mĂȘme vide (le prĂ©texte de savoir ce qui s’est passĂ©), menaçant sans cesse de le faire s’effondrer sur lui-mĂȘme. De cette spirale infernale ne rĂ©siste, rĂ©trospectivement, que la romance entre Osborne et Hardy. Autrement dit, dans ce monde peuplĂ© par le mensonge et le mensonge des hommes envers d’autres hommes, les seuls qui affectent rĂ©ellement Osborne sont ceux prononcĂ©s par Vilmer (Harry Connick Jr.), le mĂ©decin chef de la base et ancien amant, et par Hardy. Ce sont les deux seuls moments du film oĂč l’on peut la voir sortir violemment de la place qui lui a Ă©tĂ© assignĂ© : en envoyant Ă  terre Vilmer Ă  coup de bottin et dans un dĂ©but de corps Ă  corps avec Hardy suggĂ©rant une parade amoureuse dĂ©guisĂ©e en combat.
Parmi tous les mensonges qu’elle peut entendre, Osborne n’en retient que deux. Elle n’en choisit que deux, plus prĂ©cisĂ©ment. Et dans les deux cas, il s’agit pour elle de voir vraiment l’homme qu’elle aime, d’essayer de le lever le voile sur son secret. Pour Vilmer, les choses sont claires : c’est un opportuniste, un trafiquant et un salaud. Pour Hardy, les choses sont plus complexes. La premiĂšre image qu’elle a de lui est fausse bien entendu, c’est celle qu’Hardy choisit de lui donner, Ă  elle dont il ignore encore si elle est Ă  la hauteur, et au Colonel Styles pour lui faire baisser sa garde : Hardy trempĂ© au milieu de la base se grattant l’entre-jambes le temps qu’un camion passe devant lui. Le secret d’Hardy est en fait liĂ© Ă  un signe que seuls Hardy (parce qu’il en fait partie) et Styles (de par son grade) peuvent comprendre : le « 8 » que l’on voit inscrit en bas du papier rendu par Pike (Brian Van Holt) et demandant Ă  ne parler qu’à un ranger. Avant de pouvoir le comprendre, mais seulement Ă  la toute fin du film, Osborne ne sait pas vraiment qui est Hardy et quelle est son histoire. DĂ©ception lĂ  encore : le secret de ce « 8 » est simplement de dĂ©signer une unitĂ© opĂ©rant dans le secret au sein de l’armĂ©e : le secret dĂ©bouche sur le secret. Cette « 8Ăšme section » (ce nom, signe et sigle) est juste un Ă©pouvantail [4] que ses membres n’ont pas jugĂ© bon de contester, l’acceptant sans qu’il ne renvoie Ă  rien (hiĂ©rarchie ou nombre de membres).
Osborne choisit pourtant Hardy ; assez pour le suivre, l’espionner et lui sauver la vie face Ă  Styles. Elle retient son mensonge Ă  lui, le poursuit, parmi tous les autres mensonges que le film peut offrir. Aimer quelqu’un, aimer un homme, c’est d’abord aimer son mensonge et aller jusqu’au bout de l’arc-en-ciel avec lui : c’est vouloir percer le secret sans mystĂšre d’un homme. C’était dĂ©jĂ  le cas pour Catherine Banning (Rene Russo) et Thomas Crown (Pierce Brosnan) dans le film prĂ©cĂ©dent de McTiernan. Deux romances dissimulĂ©es sous le manteau du thriller et comme passĂ©es en contrebande [5] : deux films d’initiation Ă  une romance secrĂšte comme au secret d’un homme. Et par deux fois les femmes sauvent les hommes de leur mensonge, pour leur mensonge.
V.
Le fait massif du mensonge des hommes et la nature trompeuse des images sont intimement liĂ©s dĂšs que l’on replace la romance au cƓur du film. Ils Ă©clairent le sens Ă  donner aux diffĂ©rents flashbacks. C’est en effet peine perdue que de vouloir monter ensemble ces diffĂ©rentes versions d’une mĂȘme sĂ©rie d’évĂ©nements dans l’espoir de combler un angle mort du film, de reconstituer la chronologie enfin irrĂ©futable des faits. La raison en est toute simple : ce sont des « visions » d’avantage que des flashbacks : les visions d’Osborne tirĂ©es de ce qu’elle recueille auprĂšs des hommes et comme issues de cette nuit Ă©paisse, onirique dans laquelle baigne le film. Le flashback est un procĂ©dĂ© stylistique qui dĂ©voile tout ou partie d’une vĂ©ritĂ© factuelle (ce qui s’est passĂ©) mais en retard pour en renforcer la puissance de rĂ©vĂ©lation. Or, on le sait, rien de ce qui nous est montrĂ© dans la jungle ne peut prĂ©tendre Ă  cette dĂ©finition car l’objet avouĂ© de l’enquĂȘte n’est qu’un prĂ©texte et la rĂ©vĂ©lation une affaire de sentiments.
Encore une fois c’est par un indice noyĂ© dans la masse mais situĂ© Ă  la toute fin du film que la preuve nous est donnĂ©e de cette lecture. C’est cette derniĂšre vision fantasmatique qu’a Osborne d’Hardy poignardant West (Samuel L. Jackson) dans la jungle qui autorise Ă  lui attribuer la paternitĂ© de l’ensemble des visions : derniĂšre vision qui vient couronner une longue sĂ©rie de retournements imaginaires et marquer son caractĂšre subjectif par la violence, le dĂ©sarroi de la trahison qu’elle suggĂšre. Elle en est Ă  la fois l’unique sujet, l’origine et l’objet, dans la mesure oĂč celles-ci sont dĂ©terminĂ©es par les mensonges des hommes. Ces visions n’adviennent d’ailleurs qu’aux moments oĂč Osborne est physiquement prĂ©sente pour projeter ce qu’elle entend : ainsi ne saura-t-on jamais ce que Pike et Hardy se disent sur le tarmac, couverts par le bruit du rotor [6]. Elle essaie de mettre de l’ordre dans tout cela, comme nous, mais il est impossible de bien voir ce que l’on ne comprend pas (la toute puissance du mensonge et des hommes entre eux).
C’est qu’Osborne n’a pas encore choisi parmi tout ce qu’elle enregistre. Elle n’a pas encore choisi quelle image et quel secret poursuivre, trop attachĂ©e qu’elle est encore aux signes de l’enquĂȘte et Ă  l’histoire. En attendant les visions continuent d’arriver comme autant de symptĂŽmes dont la crise (ce trop plein, pour elle comme pour nous) sera marquĂ©e par cette image furtive d’Hardy magiquement projetĂ© dans la jungle : image dĂ©sormais au-delĂ  de toute vraisemblance et absolument sĂ©parĂ©e du reste du film : pure transposition Ă  l’écran d’un Ă©tat d’ñme. Le mensonge des hommes, les visions et l’histoire (le scĂ©nario, l’enquĂȘte) ne font qu’un.
C’est ensemble et d’un mĂȘme mouvement qu’Osborne doit apprendre Ă  s’en sĂ©parer : telle est, en fin de compte, sa trajectoire dans le film. Refuser enfin le rĂŽle qu’on lui a donnĂ© et qu’elle n’a pas choisi (quitte Ă  en choisir un autre [7]). Le temps d’un film pour ne plus ĂȘtre ce tĂ©moin ou cette spectatrice passive, le temps d’un film pour se rendre compte qu’on est amoureuse.
VI.
Cette dimension initiatique de la romance a un prix qui passe par le renoncement Ă  un monde de mensonges pour l’élection d’un seul, mais ce prix ne s’arrĂȘte pas lĂ . Suivre jusqu’au bout le mensonge d’un seul homme, c’est accepter de disparaĂźtre avec lui pour pouvoir partager ce mensonge. Mentir est aussi vital que ludique pour eux. Tomber amoureuse c’est traquer un homme pris dans un jeu auquel il ne renoncera pas, le sauver des consĂ©quences de son jeu, et savoir qu’il n’y a rien derriĂšre son secret. Un jeu du chat et de la souris forcĂ©ment dĂ©ceptif auquel on choisit de croire malgrĂ© tout. L’autre nom de cette croyance, c’est la confiance : celle que l’on attend sans cesse de l’autre et celle qu’il nous accorde ou nous retire sans cesse. La confiance tant attendue entre deux personnes qui s’aiment et, dans le cas d’Osborne et Hardy, entre deux personnes travaillant en Ă©quipe. Cette promesse autour de laquelle l’histoire de Banning et Crown s’enroulait dĂ©jĂ  : la nĂ©cessitĂ© et, dans le mĂȘme temps, l’impossibilitĂ© de se faire durablement confiance.
Ce double bind de la confiance est le cƓur secret de la romance et lui dicte son mouvement. De tous les dĂ©sarrois qu’il occasionne, la dĂ©ception fait toujours figure de derniĂšre Ă©preuve et offre aux personnages fĂ©minins l’occasion d’opĂ©rer une transformation du regard. Ce moment particulier oĂč toute la trajectoire du personnage et l’histoire du film avec elle menacent d’ĂȘtre frappĂ©s d’absurditĂ©. Le non-sens d’un jeu que l’on n’a pas compris (ou trop tard) faute d’en ĂȘtre rĂ©ellement partie prenante, d’avoir Ă©tĂ© manipulĂ©e dĂšs le dĂ©but pour finalement revenir Ă  notre point de dĂ©part : avec toute la confusion et la solitude qui lui sont propres. C’est le sens des larmes de Banning Ă  bord de l’avion oĂč elle pense embarquer seule vers une nouvelle et dĂ©jĂ  insipide enquĂȘte pour assureurs ; c’est le sens de cette derniĂšre image d’Hardy dans la jungle pour Osborne, en proie au dĂ©sarroi et Ă  la colĂšre, tandis qu’elle le file au sein d’un carnaval de rue aussi envahissant qu’effrayant. Tout ce que les hommes ont Ă  offrir pour racheter cette tristesse et cette dĂ©ception c’est une place dans cette vie qui s’accorde Ă  leur mensonge, Ă  leur rĂȘve. Que les hommes fassent enfin confiance pour que les femmes partagent leurs vies ; que les femmes reconnaissent le jeu des hommes pour ce qu’il est et acceptent l’espĂšce de poids qu’ils lui confĂšrent. Partager le secret, l’illĂ©galitĂ© ou une aventure : partager une « vie de cinĂ©ma » en somme, quitte Ă  faire un pas de cĂŽtĂ© hors de ce monde pour cela [8].
Le signe de ce passage Ă  l’ombre du secret, de cette transformation du regard d’Osborne, est Ă  la fois (encore une fois) anecdotique et paradoxale : c’est cet aveugle assis dans un escalier et qu’elle croise en s’engouffrant dans un bĂątiment signalĂ© par une boule de billard noire (« 8 »). Cet aveugle qui marque autant par son immobilitĂ© la fin de l’agitation qui rĂ©gnait encore dans la rue qu’un seuil vers un endroit gardĂ© oĂč la lecture des signes (les visions) n’est plus d’aucune aide, si elle l’a jamais Ă©tĂ©. C’est aveugle qu’Osborne pĂ©nĂštre dans ce bĂątiment : aveuglĂ©e par toutes ces visions absurdes qui Ă©taient liĂ©es Ă  la nuit, autant qu’immunisĂ©e contre elles dĂ©sormais. PrĂȘte Ă  dĂ©laisser d’un mĂȘme mouvement le double-jeu des signes, les luttes pour le profit et le pouvoir, le monde des vivants enfin.
VII.
Passer de l’autre cĂŽtĂ© et rejoindre les fantĂŽmes. Prendre place Ă  cĂŽtĂ© d’eux par amour : tel est le dernier sens de la trajectoire d’Osborne et du film avec elle. C’est par la dĂ©ception (ce revers de la confiance) que mensonge et amour sont liĂ©s, mais il faudra une forme de sacrifice pour enfin sortir de ce cercle infernal et que soient liĂ©s amour et mort. Ce sacrifice est avant tout celui du monde des apparences dont il convient de s’écarter en le redoublant : assumer le faux-semblant comme ce qui ne cache rien ; Ă  l’image des hommes pour qui le masque (le secret) ne dissimule jamais qu’un autre masque (l’absence de mystĂšre).
La « 8Ăšme section » est en ce sens pleine de fantĂŽmes : de ces individus qui ne sont dĂ©finis ni par leur place au sein de l’armĂ©e ni par leurs noms « propres » ou celui de leur confrĂ©rie secrĂšte. Dunbar, Pike, Nunez, Castro sont tous des noms d’emprunts ; de la mĂȘme maniĂšre qu’ils ont empruntĂ© Ă  leurs ennemis ce nom censĂ© les regrouper et les « identifier ». Autant de masques ou d’épouvantails interchangeables et vides qui peuplent le film, Ă  l’image de ce carnaval de rue cĂ©lĂ©brant le Jour des Morts. Cette fĂȘte qui est aussi bien celle qu’Osborne interrompt lorsqu’elle retrouve Hardy et ses coĂ©quipiers, sirotant des biĂšres et se prĂ©parant Ă  petit-dĂ©jeuner comme si rien ne s’était passĂ©. Leur derniĂšre et pour certains premiĂšre apparition hors de tout flashback. Des morts revenus une derniĂšre fois saluer Osborne et nous saluer avant de disparaĂźtre Ă  nouveau ; ne serait-ce qu’avec la fin du film.
Leur dimension spectrale est directement liĂ©e et anticipĂ©e par leurs apparitions au sein des visions d’Osborne : ces fantassins oniriques que l’on assassine Ă  plusieurs reprises et de plusieurs maniĂšres mais qui reviennent, encore et encore, comme assoiffĂ©s, sans mĂ©moire.
VIII.
Fiers d’avoir su s’en sortir encore une fois, remerciant le hasard ou la chance autant que leur sens de la dĂ©brouille, ils rient. Ils rient et Osborne se tient devant eux. Elle les regarde et leur dit calmement : « Vous n’existez pas. Vous ĂȘtes tous morts ».
───────────────────── [1] "Ils fictionnaient et au mĂȘme moment ils croyaient Ă  leurs fictions." [2] Et, Ă  des degrĂ©s divers, c’est le cas de bon nombre d’ « ouvertures » (ni scĂšne d’exposition, ni prologue au sens strict) chez McTiernan ; citons Last Action Hero (1993), Die Hard with a Vengeance (1995) ou encore The Thomas Crown Affair (1999). La malice – ce mĂ©lange d’ironie et de ruse – est une des clĂ©s de l’Ɠuvre de McTiernan comme de ses personnages. [3] DĂ©jĂ  dans Predator (1987), des militaires vidaient des chargeurs entiers sur un ennemi invisible au cƓur de la jungle. [4] De la mĂȘme maniĂšre que Samuel L. Jackson portant habits, cape et lunettes noirs joue ce rĂŽle d’épouvantail dans le film, dont la rĂ©putation bricolĂ©e est censĂ©e ĂȘtre lĂ©gendaire et source de terreur chez les cadets. [5] L’ouverture du film trahissait dĂ©jĂ  cette idĂ©e que Thomas Crown n’a rien Ă  cacher, avec cette vertigineuse descente depuis une vue satellite jusqu’au tissu de la manche de son veston (pure surface), entrecoupĂ©e de son entretien avec sa psychanalyste oĂč il ne dĂ©voile rien. On sait d’ailleurs trĂšs vite que c’est bien Thomas Crown qui a subtilisĂ© le tableau (et l’a remis en place, dissimulĂ© aux yeux de tous). L’enquĂȘte de Banning, lĂ  encore, n’est qu’un prĂ©texte. [6] Une autre vision arrive une fois qu’ils sont tous revenus en salle d’interrogatoire mais Pike ne rĂ©pĂšte pas ce qu’il a dit Ă  Hardy (pourquoi lui mentir puisqu’ils sont de mĂšche ?), il raconte une histoire pour Osborne. [7] Hardy reconnaĂźt dans les derniĂšres minutes les capacitĂ©s d’Osborne, mĂȘme si le compliment Ă  son Ă©gard est rapportĂ© par West. Hardy lui propose une place parmi eux mais la rĂ©ponse d’Osborne ne viendra pas. Ce n’est pas, aprĂšs tout, pour cette raison qu’elle l’a suivi jusqu’ici. [8] La premiĂšre et plus radicale occurrence de ce "disparaĂźtre ensemble" chez McTiernan se trouve dans Medicine Man (1992) oĂč le Dr Crane (Lorraine Bracco) se retirait dans la jungle avec le Dr Campbell (Sean Connery) ; autant par amour pour l’homme que pour l’assister (croire avec lui) dans sa recherche d’un traitement contre le cancer, Ă  la limite entre science et magie.
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sarahc351 · 9 months ago
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christophe76460 · 11 months ago
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C’est par la sagesse qu’on construit une maison, et par l’intelligence qu’on la rend solide. C’est grĂące au savoir que les chambres se remplissent de toutes sortes de biens prĂ©cieux et agrĂ©ables (Proverbes 24:3-4).
(Proverbes 3:9-10; 8:20-21; 14:1)
(20e maxime)
VoilĂ  une belle image. Quelqu’un bĂątit une splendide villa, la meuble avec beaucoup de goĂ»t, y met des tableaux de maĂźtres et des tapis magnifiques puis plante des arbres et des parterres de fleurs. C’est un plaisir Ă  voir. Quel contraste saisissant avec la misĂšre noire qui sĂ©vit dans bien des pays du tiers monde oĂč les gens vivotent dans des taudis en tĂŽle ondulĂ©e et en carton ! J’ai mĂȘme vu un endroit oĂč on avait murĂ© un bidonville pour qu’il soit hors de la vue des touristes.
À l’intĂ©rieur de ces masures, il n’y a que des rebuts et une multitude d’insectes. Une fois, j’ai passĂ© quelques jours dans un de ces taudis. Eh bien, une nuit, j’ai dĂ©rangĂ© les blattes de service qui se sont enfuies sauf une qui contrairement Ă  ce que disent les livres, faisait plus de 5 cm de long et qui visiblement fĂąchĂ©e et menaçante s’est avancĂ©e vers moi. J’ai dĂ» reculer d’un pas et utiliser un bĂąton pour la chasser.
En France, nous pouvons acquĂ©rir une vraie maison en dur et il serait vraiment stupide de se contenter d’un taudis quand on peut habiter un palais. Mais pour rĂ©ussir dans ma vie familiale et professionnelle, je dois acquĂ©rir un bon capital de sagesse avec la connaissance des valeurs divines qui transcendent le temps et l’éternitĂ©. Elles me seront bien plus utiles que des propriĂ©tĂ©s florissantes. Mais pour ce faire, je dois Ă©tudier les Textes sacrĂ©s ; c’est la seule recette qui marche et fera de moi, insensĂ© par nature, quelqu’un de sage selon Dieu. En m’imprĂ©gnant des Écritures, je m’ancrerai dans la vĂ©ritĂ©. L’apĂŽtre Pierre Ă©crit :
Recherchez donc avidement le pur lait spirituel de la Parole, afin qu’il vous fasse grandir dans la vie nouvelle (1Pierre 2:2).
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Un homme sage est un homme fort, et celui qui a de la connaissance augmente sa force. En effet, c’est par une bonne stratĂ©gie que tu gagneras la bataille, et la victoire s’acquiert grĂące Ă  un grand nombre de conseillers (Proverbes 24:5-6).
(21e maxime)
La sagesse procure non seulement la sĂ©curitĂ© et la prospĂ©ritĂ©, mais aussi la force et l’intelligence (Proverbes 21:22). Une personne avisĂ©e connaĂźt ses limitations et cherche Ă  profiter du bon sens des autres (Proverbes 11:14; 15:22; 20:18).
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Pour l’insensĂ© stupide, la sagesse est trop Ă©levĂ©e ; c’est pourquoi, il n’ouvre pas la bouche dans l’assemblĂ©e aux portes de la ville (Proverbes 24:7).
(22e maxime)
C’est lĂ  que les dignitaires rendaient la justice et prenaient les dĂ©cisions pour l’intĂ©rĂȘt de la ville. Tout le monde pouvait assister aux dĂ©libĂ©rations et donner son avis. Mais ce sot a quand mĂȘme assez de jugeote pour se rendre compte qu’il n’est pas capable de se faire ou de dĂ©fendre une opinion, alors il garde un silence prudent. Cette attitude intelligente lui procure une apparence de sagesse (Proverbes 17:28).
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Celui qui projette de faire le mal aura la rĂ©putation d’ĂȘtre une personne malfaisante. Les machinations d’un sot sont toujours coupables, et celui qui se moque de tout se rend odieux (Proverbes 24:8-9).
(Proverbes 12:2; 14:17)
(23e maxime)
Quelqu’un de malfaisant a beau rĂ©flĂ©chir et bien calculer son coup, tĂŽt ou tard il devra reconnaĂźtre que le vice ne profite pas. Et l’insolent fourbe et mĂ©chant qui mĂ©prise la piĂ©tĂ© et la vertu finira par s’attirer le dĂ©dain de tous ceux qui le connaissent.
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omagazineparis · 11 months ago
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L'obsession des hommes pour les montres de luxe
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Les montres de luxe ont toujours Ă©tĂ© une piĂšce incontournable dans la garde-robe masculine, avec leurs designs emblĂ©matiques et leur attrait intemporel. Du classique gousset Ă  la montre connectĂ©e moderne, les hommes ont Ă©tĂ© captivĂ©s par la beautĂ©, l'artisanat et l'histoire de ces accessoires. Mais qu'est-ce qui attire vraiment les hommes vers ces montres ? Pourquoi dĂ©sirent-ils une piĂšce horlogĂšre qui vaut littĂ©ralement son poids en or ? Tout se rĂ©sume au mystĂšre qui entoure l'obsession masculine pour les montres de luxe. Des mĂ©canismes complexes aux matĂ©riaux somptueux, il y a quelque chose de mystĂ©rieux et de sĂ©duisant dans ces montres qui pousse les hommes Ă  en vouloir toujours plus. Plongeons-nous dans l'histoire, la culture et la psychologie des montres de luxe, et nous commencerons Ă  dĂ©voiler le mystĂšre qui se cache derriĂšre cette passion masculine pour ces piĂšces intemporelles. Aperçu de l'histoire des montres de luxe PortĂ©e pour la premiĂšre fois Ă  la fin du XVIIe siĂšcle, la montre de luxe est devenue l'un des symboles les plus reconnaissables de la rĂ©ussite. Les premiĂšres montres de luxe Ă©taient conçues dans le but d'augmenter le statut social de leur propriĂ©taire. À l'Ă©poque, elles Ă©taient plus fonctionnelles que dĂ©coratives, avec l'ajout de mĂ©canismes de rĂ©pĂ©tition des minutes qui les rendaient plus prĂ©cises qu'un simple cadran solaire. Leur conception les rendait Ă©galement plus difficiles Ă  voler, car le mĂ©canisme Ă©tait dissimulĂ© derriĂšre le cadran de la montre, et non sous les aiguilles. Avec l'avĂšnement du chemin de fer Ă  la fin du XIXe siĂšcle, la montre de luxe a commencĂ© Ă  ĂȘtre utilisĂ©e Ă  des fins plus pratiques, telles que le chronomĂ©trage des passages Ă  niveau, des moteurs de locomotives et des fuseaux horaires. Au dĂ©but du XXe siĂšcle, les montres de luxe ont commencĂ© Ă  ĂȘtre portĂ©es pour des raisons plus personnelles, les hommes les arborant au poignet pour suivre leurs activitĂ©s quotidiennes. Influences culturelles et psychosociales sur l'obsession masculine pour les montres de luxe Il n'est un secret pour personne que les hommes sont attirĂ©s par les montres de luxe. En fait, il existe une industrie florissante dĂ©diĂ©e aux accessoires masculins, avec des entreprises telles que Patek Philippe, Audemus et mĂȘme Dollar Shave Club vendant des rasoirs, des lames et d'autres produits de soin avec des montres de luxe de marque. Qu'est-ce qui rend ces montres si attrayantes pour les hommes ? Et pourquoi continuent-ils Ă  dĂ©sirer de nouveaux modĂšles avec une technologie plus avancĂ©e, des designs plus complexes et des prix plus Ă©levĂ©s ? Une rĂ©ponse rĂ©side dans l'idĂ©e que le temps est un facteur dĂ©terminant dans les relations. De la phase de sĂ©duction Ă  la phase d'engagement, les hommes utilisent le temps pour Ă©valuer la santĂ© de leurs relations. Le port d'une montre de luxe peut ĂȘtre un moyen pour les hommes de montrer leur richesse, tout en leur procurant un sentiment d'appartenance. Cela est particuliĂšrement vrai pour les hommes qui ont l'impression de ne pas correspondre aux normes sociales, car les montres de luxe sont l'un des rares moyens pour eux de se distinguer de maniĂšre positive. Aperçu des mĂ©canismes et des matĂ©riaux des montres de luxe L'objectif de chaque montre de luxe est d'incorporer un certain niveau de prestige dans un produit qui coĂ»te aussi peu que possible. Pour ce faire, les fabricants doivent utiliser des matĂ©riaux de haute qualitĂ©. Cependant, l'utilisation de matĂ©riaux haut de gamme a un coĂ»t et peut faire grimper l'Ă©tiquette de prix d'une montre de luxe. Les matĂ©riaux utilisĂ©s dans les montres de luxe varient considĂ©rablement, avec des modĂšles haut de gamme fabriquĂ©s en mĂ©taux prĂ©cieux tels que l'or 18 carats, le platine et les diamants. D'autres montres de luxe, comme la Hublot Big Bang, prĂ©sentent un mĂ©lange de titane et de cĂ©ramique, tandis que d'autres, comme la Tag Heuer Connected, intĂšgrent une technologie qui leur permet de communiquer avec les smartphones. Les matĂ©riaux utilisĂ©s dĂ©pendent Ă©galement de la conception de la montre, certains modĂšles Ă©tant conçus pour mettre en valeur leurs matĂ©riaux ou offrir un look plus Ă©lĂ©gant. DĂ©voiler le mystĂšre du marchĂ© des montres de luxe Si l'on examine l'industrie de la mode, on constate que de nombreux articles de mode masculins deviennent populaires aprĂšs un certain temps. Par exemple, le sac pour homme a peut-ĂȘtre Ă©tĂ© une tendance dans les annĂ©es 80, mais il est devenu un incontournable de la garde-robe de chaque homme au cours de la derniĂšre dĂ©cennie. De maniĂšre similaire, les montres de luxe Ă©voluent constamment et changent. Alors que certains designs restent les mĂȘmes pendant des dĂ©cennies, d'autres rĂ©volutionnent complĂštement l'industrie et sĂ©duisent une nouvelle gĂ©nĂ©ration d'hommes. Pour suivre les goĂ»ts changeants des hommes, les marques de montres de luxe doivent innover. En fait, les marques de montres de luxe mĂšnent souvent des recherches approfondies sur les mĂ©canismes, les matĂ©riaux et les designs des montres qu'elles crĂ©ent. Dans certains cas, cette recherche va mĂȘme jusqu'Ă  la science du temps, avec des marques comme Hublot crĂ©ant des garde-temps qui suivent le mouvement des atomes. Symbolisme de la statut social des montres de luxe Les montres de luxe ont longtemps Ă©tĂ© associĂ©es Ă  la richesse et au statut social. Et bien que cela soit toujours vrai aujourd'hui, il est important de noter que le marchĂ© des montres de luxe est bien plus diversifiĂ© qu'auparavant. Internet a ouvert ce marchĂ© Ă  des personnes de tous horizons, et avec la popularitĂ© croissante des montres de luxe abordables, des personnes de tous niveaux socio-Ă©conomiques peuvent se permettre de porter un objet de luxe. Les montres de luxe peuvent ĂȘtre utilisĂ©es comme un moyen pour les hommes de montrer leur richesse, tout en leur procurant un sentiment de statut social. Les montres de luxe sont l'un des rares moyens pour les hommes de se dĂ©marquer de maniĂšre positive, car beaucoup d'entre eux ont l'impression de ne pas correspondre aux normes sociales. Cela est particuliĂšrement vrai pour les hommes qui estiment ne pas avoir les ressources financiĂšres pour acheter un article de luxe plus coĂ»teux, comme une voiture ou une maison. A lire Ă©galement : Quels sont les 9 types d’art ? DiffĂ©rents Types de Montres de Luxe et Leurs CaractĂ©ristiques Uniques L'un des plus grands mystĂšres derriĂšre l'obsession masculine pour les montres de luxe rĂ©side dans la diffĂ©rence entre les types de montres et leurs caractĂ©ristiques uniques. Et bien que les marques puissent avoir des designs similaires, les mĂ©canismes, les matĂ©riaux et les prix varient considĂ©rablement sur le marchĂ© des montres de luxe. Montres classiques Pour ĂȘtre classĂ©e comme une montre classique, une montre doit avoir Ă©tĂ© conçue avant l'avĂšnement de la montre Ă  quartz. Les montres classiques sont gĂ©nĂ©ralement fabriquĂ©es en mĂ©taux prĂ©cieux comme l'or 18 carats, le platine ou l'argent et sont alimentĂ©es par des mouvements mĂ©caniques. Si vous recherchez une montre sophistiquĂ©e pour le passionnĂ© de montres classiques dans votre vie, ne cherchez pas plus loin que les montres Invicta en vente. Montres exotiques Certaines marques de montres de luxe poussent l'expĂ©rience de la montre exotique Ă  un niveau supĂ©rieur, avec des modĂšles fabriquĂ©s en marbre incrustĂ© de strass, en titane et en cĂ©ramique. Les montres exotiques sont Ă©galement alimentĂ©es par des mouvements mĂ©caniques, mais d'autres caractĂ©ristiques, comme la rĂ©sistance Ă  l'eau ou la capacitĂ© Ă  suivre le mouvement des atomes, les rendent uniques en leur genre. Montres connectĂ©es Les montres connectĂ©es sont des dispositifs Ă©lectroniques qui fonctionnent comme une montre, avec la capacitĂ© supplĂ©mentaire de suivre l'activitĂ©, d'envoyer des notifications et d'interagir avec Internet. En fait, les smartphones Apple et Android ont tellement popularisĂ© les montres connectĂ©es que de nombreuses marques de montres de luxe proposent dĂ©sormais des modĂšles de montres connectĂ©es. Dans le monde des montres de luxe, le mystĂšre et l'attrait perdurent, avec une histoire riche, des influences culturelles profondes et des choix infinis pour chaque passionnĂ© d'horlogerie. Que ce soit pour marquer un moment important de la vie, afficher un statut social ou simplement apprĂ©cier la beautĂ© de l'artisanat horloger, les montres de luxe continueront Ă  fasciner et Ă  inspirer les hommes du monde entier. Read the full article
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phylax999 · 11 months ago
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La RĂ©volte de l’an 2024
Nous ne sommes pas des objets, car nous sommes des personnes ; nous, ĂȘtres humains de toutes les contrĂ©es, vivants en communion avec la Terre, nous dĂ©clarons l’Amour pour la Nature, pour le vivant et pour l’humanitĂ©, c’est pourquoi, nous dĂ©nonçons le systĂšme actuel basĂ© sur la compĂ©tition gĂ©nĂ©rale et basĂ© sur l’oppression du plus fort sur le plus faible et du plus riche sur le plus pauvre.
SystĂšme qui pille les ressources primaires et qui dĂ©nigre une grande partie de sa population en affichant l’abondance sur les Ă©tals des magasins, alors que les personnes les plus dĂ©munis n’ont pas de quoi se nourrir dignement, que les personnes sans logement sont toujours plus nombreuses, et que la misĂšre s’accroĂźt

Mais ils profĂšrent les plus odieux mensonges par le biais des mĂ©dias et ils usent des mĂ©thodes dites « de la mafia » dans un agglomĂ©rat de l’industrie pharmaco-politico-financiĂšre ou tout autre nom qui conviendra

Quoiqu’il en soit, nous dĂ©cidons de rester libre ! Ce qui ne nous empĂȘche pas de nous entraider les uns les autres, et de nous associer pour aller vers un but commun lorsque cela est nĂ©cessaire.
Et quoi de plus important que de défendre la dignité humaine, la liberté, et le droit de vivre ?
Avant que de donner le droit de mourir dans la dignitĂ©, il aurait fallu Ă©tudier les conditions d’accĂšs au droit de vivre dignement au sein d’une sociĂ©tĂ© vorace en Ă©nergie. Car en effet, nous avons essentiellement besoin d’énergie : Ă©nergie en nourriture, Ă©nergie en chauffage, Ă©nergie en Ă©lectricitĂ©, Ă©nergie en essence (pour les plus polluants)

Ce qui signifie que la dignitĂ© humaine se situe d’abord dans un approvisionnement Ă©nergĂ©tique minimum afin de permettre la subsistance de la personne humaine.
Nous affirmons donc que le but d’une sociĂ©tĂ© humaine est de donner Ă  chacun de ses membres les moyens de vivre dignement et ce, afin de permettre le meilleur Ă©panouissement personnel et collectif au sein de la sociĂ©tĂ©. C’est pour cela que nous souhaitons mettre nos moyens en commun, et non pas, pour financer des guerres, ni pour financer des traitements mĂ©dicamenteux expĂ©rimentaux, ni pour promouvoir la naissance d’entitĂ©s artificielles

Nous souhaitons voir le ministre pour la promotion de l’humanitĂ© afin de lui faire comprendre son limogeage imminent

Car en effet, nous souhaitons voir de l’humanitĂ© au sein d’une sociĂ©tĂ© florissante, et non pas, de la cruautĂ© au sein d’une sociĂ©tĂ© dirigĂ©e par le biais de la peur par quelques milliardaires malintentionnĂ©s qui promettent bien des merveilles mais qui construisent des murs, des barriĂšres, et des villes intelligentes
 et qui font la promotion pour un espacement minimum entre les ĂȘtres humains, tandis que l’on finance des armes pour la guerre.
Notre dĂ©sir d’humanitĂ© est incompatible avec le fait de devoir maintenir une distance avec nos frĂšres humains. Les relations humaines sont des relations sensorielles qui demandent l’utilisation de ses cinq sens, le toucher, y compris.
Nul véritable épanouissement ne se voit sans cùlin et sans embrassade.
Nous avons besoin de personnes intelligentes pour ordonner nos contrĂ©es mais nous n’avons pas besoin de villes qui nous disent comment nous devons nous comporter. C’est pourquoi, nous nions les nĂ©cessitĂ©s en matiĂšre d’intelligence artificielle et nous nions les nĂ©cessitĂ©s en matiĂšre de gestion des mesures de santĂ© par les gouvernements.
Chacun Ă©tant libre d’utiliser sa propre intelligence et chacun Ă©tant libre de choisir les moyens pour prĂ©server sa santĂ© et celle de sa famille, de ses enfants.
Étant donnĂ© ce que nous voulons et ce que nous prĂŽnons, il est Ă©vident que nous ne sommes pas en accord avec les politiques publiques menĂ©es dans tel ou tel pays, donc nous n’avons pas de raison de dĂ©fendre ou de plĂ©biscitĂ© quelque gouvernement que ce soit. Nous sommes mĂȘme d’avis que tous travaillent pour le mĂȘme maĂźtre : l’argent.
De plus, nous ne voyons qu’un moyen pour diviser les personnes et pour contrĂŽler les libertĂ©s individuelles dans la persistance de l’existence des lignes imaginaires que l’on appelle frontiĂšres. À ce propos, nous rappelons que la Terre n’appartient Ă  personne car de toute Ă©vidence, les premiĂšres possessions de terrains sont issues des pillages et de la guerre. Nous ne pouvons donner du crĂ©dit Ă  celui qui prĂ©tend avoir achetĂ© son territoire en brandissant un acte notariĂ©, car le premier qui a vendu ce territoire l’a en premier lieu volĂ©. Tenter de prouver sur la foi d’un papier que l’on possĂšde un terrain, c’est apporter la preuve d’un recel de vol.
Nous n’avons rien à demander aux gouvernements, nous exigeons simplement qu’ils nous laissent vivre en paix et comme nous l’entendons.
Nous signalerons seulement ceci : nous ne votons pas, et la plupart d’entre nous n’a jamais votĂ©. Et ce n’est pas que nous sommes ignorants en la matiĂšre, c’est parce que nous savons qu’il s’agit d’une escroquerie bien ficelĂ©e et que le fait de choisir un maĂźtre au-dessus de soi n’a jamais permit l’émancipation de qui que ce soit.
D’un point de vue technique, nous sommes ouverts Ă  l’association libre entre les personnes ayant des objectifs communs. Et nos objectifs sont de remettre de l’humanitĂ© dans les relations humaines, de prĂ©parer les changements Ă  venir, et de proposer un autre modĂšle de sociĂ©tĂ© afin que s’épanouisse le plus grand nombre.
En effet, tout ceci est trĂšs beau, et tout ceci se fera ! Cependant, il est vrai que certaines personnes vont chercher Ă  nous empĂȘcher d’agir Ă  notre guise mais ce n’est pas si important que cela, car le seul autre choix disponible est de faire ce qu’ils veulent : une sociĂ©tĂ© transhumaniste, c’est-Ă -dire une sociĂ©tĂ© oĂč les plus riches auront des superpouvoirs en s’implantant des gadgets dans le corps, et vivront dans des villes futuristes ultra-contrĂŽlĂ©es, tandis que les plus pauvres seront toujours plus mis Ă  l’écart, voire chassĂ©s et exterminĂ©s, car considĂ©rĂ©s comme inutiles et nuisibles

Heureusement, nous avons toujours le choix de dĂ©cider collectivement que nous voulons d’abord une sociĂ©tĂ© humaine avant que de n’envisager de fonder une sociĂ©tĂ© technologique.
Il y aurait tellement Ă  Ă©crire si nous cherchions Ă  Ă©tablir un vĂ©ritable constat, ne serait qu’en matiĂšre de pollution environnementale que cela produirait une digression. Rappelons cependant que nous n’avons pas jetĂ© des tonnes de barils radioactifs dans les mers et ocĂ©ans de la planĂšte Terre, mais eux, ils l’ont fait ! Que nous n’avons pas testĂ© des bombes nuclĂ©aires sur notre propre environnement, mais que eux, ils l’ont fait !
Rappelons que toutes les politiques des 50 derniĂšres annĂ©es n’ont eu que pour seul but de prĂ©server le capitalisme au dĂ©triment de la prĂ©servation de l’environnement, et au dĂ©triment de la prĂ©servation des droits humains, alors que l’on ne vienne pas prĂ©tendre maintenant qu’il s’agit d’une question de tri des dĂ©chets, ou de rĂ©forme des retraites car c’est faux ! La vĂ©ritĂ©, c’est que l’on sait fabriquer du plastique d’origine vĂ©gĂ©tale mais que l’on fabrique majoritairement en plastique issu du pĂ©trole, et la vĂ©ritĂ©, c’est que l’on sait fabriquer des vĂ©hicules peu polluants, mais il n’y a jamais eu, sur la Terre, autant de vĂ©hicules fonctionnant aux hydrocarbures. Il suffit de regarder le nombre d’avions qui dĂ©collent chaque jour dans le monde, pour comprendre que ce ne sont pas avec nos petits gestes que nous allons rĂ©soudre le problĂšme des gaz Ă  effet de serre. Cela pour faire comprendre qu’ils prĂ©tendrons que c’est de notre faute si le monde va mal, tandis que nous affirmons que c’est de leurs fautes, mais en dĂ©finitive, peu importe qui a tort et qui a raison car le plus important est de travailler Ă  rendre le monde meilleur.
Et lĂ , encore une fois, il prĂ©tendrons qu’ils dĂ©tiennent la solution et ils voudront l’appliquer de grĂ© ou de force, tandis que nous, nous proposons l’alternative qui consiste surtout Ă  revenir Ă  l’essentiel : au contact avec la Terre et aux valeurs humaines, et nous proposons Ă  tout un chacun de nous s’associer librement Ă  ces idĂ©es.
Certaines questions mĂ©ritent que l’on s’y intĂ©resse de prĂšs, et cette fois, il s’agit de notre avenir, Ă  nous, Ă  nos enfants et Ă  la postĂ©ritĂ©.
Que voulons-nous vraiment ?
Romain Borlet
Vive la RĂ©volution !
#larevolte2024
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healer-777-blog · 1 year ago
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Si tu veux la paix...
LÂŽĂȘtre humain et la guerre, une histoire Ă  rĂ©pĂ©tition. On se souvient de ces phrases aprĂšs la premiĂšre guerre mondiale
« cÂŽĂ©tait la der des der » et du « plus jamais ça ». Depuis la guerre est passĂ©e de nouveau bien des fois et on assiste toujours aux mĂȘmes scĂ©narios avec de lÂŽincertitude, de la colĂšre, de lÂŽagressivitĂ© qui montent de toutes parts et amĂšne encore plus de violence et donc plus de possibilitĂ© de guerres.
À la racine de toutes ces guerres se trouve le dialogue intĂ©rieur incessant, lÂŽĂȘtre humain nÂŽest pas silencieux. Et pourtant, cÂŽest le moment oĂč beaucoup de paix de lÂŽesprit est nĂ©cessaire. Ce qui se passe est comme un cancer avec des mĂ©tastases Ă  l’intĂ©rieur de la conscience humaine. La possibilitĂ© de guĂ©rir existe si la cause premiĂšre est supprimĂ©e. Cela nĂ©cessite pour chacun qu’il entreprenne un changement de direction de son attention, c’est-Ă -dire de focaliser sur ce qui se passe dans sa conscience, au lieu de se perdre Ă©motionnellement dans les Ă©vĂšnements extĂ©rieurs, sinon Ă  partir du point de vue oĂč tout commence dans la conscience, on crĂ©e de cette maniĂšre notre rĂ©alitĂ© en fonction de ce que rapportent les mĂ©dias.
Les personnes qui ne sont pas directement impliquĂ©es dans la guerre continuent de lÂŽalimenter par leurs perceptions, leurs pensĂ©es, leurs mots. Si on soutient un cĂŽtĂ© par rapport Ă  lÂŽautre, on entretient la sĂ©paration, si on se bat pour la paix, si on est contre la guerre, on fait de mĂȘme, on recrĂ©e une autre guerre. Une protestation de pacifistes montre souvent des gens prĂȘts Ă  se battre pour la paix. La cause change, la guerre continue.
Chaque jugement sur les autres – pensĂ©e ou parole – est une forme de sĂ©paration et amĂšne la division.
Depuis longtemps, des ĂȘtres nous montrent quÂŽun autre chemin est possible. Mais peu de personnes sont jusquÂŽĂ  maintenant prĂȘtes Ă  sÂŽinvestir individuellement sur leur paix intĂ©rieure. Pourtant seulement des ĂȘtres qui sont des oasis de silence peuvent annuler lÂŽattraction compulsive vers la violence. Nous possĂ©dons chacun cette facultĂ© Ă  l’intĂ©rieur de nous, de trouver cet endroit oĂč il est possible de crĂ©er une nouvelle vibration, de transformer sa conscience et Ă  partir de cet endroit faire que la guerre disparaisse, que cette Ă©nergie que l’ĂȘtre humain utilise Ă  dĂ©truire se transforme en une Ă©nergie constructive et qui se meut grĂące Ă  lÂŽamour.
Certaines personnes dĂ©cident que le mieux, cÂŽest de se retirer du monde, un endroit reculĂ© quel quÂŽil soit, pour obtenir une forme de paix, mais si la personne ne change pas Ă  lÂŽintĂ©rieur et que les circonstances se produisent, la colĂšre se manifestera et la mĂȘme situation se reproduira. 
Le vrai test est d’ĂȘtre dans le monde, dans la vie et si tu es en paix, tu peux te trouver n’importe oĂč dans la foule, ĂȘtre paisible lĂ .
Trouve les moyens de vivre ta vie en paix, plus mĂ©ditatif, au milieu de la vie elle-mĂȘme et cette paix commence Ă  l’intĂ©rieur, il nÂŽy aura pas de paix sur cette planĂšte tant que l’ĂȘtre humain sera dispersĂ© Ă  lÂŽintĂ©rieur.
LŽamour a besoin de grandir. Toute cette énergie qui va dans la violence, le combat, la guerre a besoin de se transformer en amour et la paix qui en résultera sera le moyen dŽamener une vie plus florissante. 
CÂŽest une dĂ©cision de porter notre attention sur lÂŽamour, de le ressentir et cela vient de l’intĂ©rieur. Le scĂ©nario actuel est le rĂ©sultat de siĂšcles de perceptions reliĂ©es au chakra du plexus solaire, perceptions de jugements et dÂŽattentes et de conditions Ă  lÂŽamour. C’est une dĂ©cision consciente de porter notre attention sur l’amour. 
Le moment est maintenant.
« Si tu veux la paix, tu as besoin dÂŽĂȘtre la paix. La paix est une pratique et non un espoir. » Thich Nhat Hanh
Lire ou relire l’article de Martin Brofman sur l’amour inconditionnel : 
Philippe
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ecologieeteconomie · 1 year ago
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La fin d’un monde, la chute du Mur,
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Il est des Ă©vĂšnements historiques qui bouleversent le cours des choses. Des situations qui changent radicalement les destinĂ©s et l’avenir. La chute du Mur de Berlin est un Ă©vĂšnement de cette nature.
Un anniversaire et une date historique
- Tu imagines Karl que je suis née le 09 novembre 1989.
- Ah ouais, ça ne m'avait jamais fait tilt. Ma copine, c'est un événement historique à elle toute seule !
- Mais ça a ses avantages et ses inconvĂ©nients. C’est sĂ»r que c’est une trĂšs chose ce qui s’est passĂ© ce jour-lĂ , mais entendre tous les ans. C’est grĂące Ă  toi que le mur est tombĂ© ou tu es nĂ©e et la libertĂ© est ressuscitĂ©e. C’est un peu lourd Ă  force.
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- C’est vrai qu’ĂȘtre nĂ© le jour de la fĂȘte nationale, ce n’est pas vraiment marrant, reprend Karl.
- AprĂšs, c'est sĂ»r aussi que j’ai l’habitude que toute l’attention ne soit pas focalisĂ©e sur moi. Et puis quand mĂȘme la chute du Mur, ce n’est pas rien.
La rĂ©unification de l’Allemagne est une bonne chose
- Réunifier les deux Allemagnes était une nécessité. Une nécessité sociale et politique, mais pas vraiment économique, renchérit Karl.
- Je ne suis pas d’accord avec toi, dit Magda. Sur le moment, ça n’a pas Ă©tĂ© une super opĂ©ration pour l’Allemagne de l’Ouest, mais le niveau de vie des Allemands de l’Est, lui a bien progressĂ©. Et aujourd’hui, l’Allemagne est un pays Ă  l’économie florissante. C’est un des pays europĂ©en les plus dynamiques et notre modĂšle social nous permet de rĂ©agir mieux que d’autres face aux diffĂ©rentes crises.
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- De tout de façon Magda, je suis ravi de cette rĂ©unification qui a permis Ă  des familles de se retrouver et qui efface un peu la honte de toutes ses annĂ©es noires pour l’Allemagne. Je tremble quand je vois certaines choses qui se passent dans notre pays et Ă  l’étranger. Mais j’essaie de garder l’espoir de la jeunesse et le rĂȘve qu’a fait naĂźtre pour beaucoup la rĂ©unification de l’Allemagne. Le mur de Berlin Ă©tait le signe visible de la fracture entre l’Est et l’Ouest. Une manifestation organique de la guerre froide. Il Ă©tait placĂ© dans un pays qui Ă©tait une des victimes de ce combat sans arme (utilisĂ©e).
La chute du Mur est aussi la fin du communisme
- Oui, reprend Magda, le mur est un symbole extrĂȘmement fort et sa chute est le fondement historique de la fin de la guerre froide et le symbole de l’échec de l’URSS. Si le communisme reste encore une idĂ©ologie politique qui gouverne dans quelques rares pays. L’aventure russe a marquĂ© durablement la crĂ©dibilitĂ© de cette idĂ©ologie et il est peu probable qu’elle s’en relĂšve un jour. 
- Ce que tu dis est assez triste Magda, ça me rend presque nostalgique alors que je n’ai pas particuliĂšrement de sympathie pour la politique en gĂ©nĂ©ral et cette idĂ©ologie en particulier.
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- La lutte communiste a toujours eu quelque chose de mĂ©lancolique, mais elle a toujours Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e comme une lutte positive dans les films et Ɠuvres fictionnelles et c’est en partie mĂ©ritĂ©e puisqu’à l’instar d’un Robin des Bois, c’est la lutte des pauvres pour l’ĂȘtre un peu moins. La vision Ă©galitaire que promeut cette idĂ©ologie est romanesque et des figures comme Che Guevara l’ont rendu attirante. L’application dans la rĂ©alitĂ© semble poser des difficultĂ©s insoupçonnĂ©es.
- Eh bien, il ne me reste plus qu’à te souhaiter Joyeux Anniversaire Magda ! 
FĂȘtes-tu la chute du mur et si oui comment ? RĂ©ponse souhaitĂ©e en commentaire. Merci.
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