#festival du chamanisme
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Terroir, territoire, conscience biodynamique, Genêt à balai
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#Cycle des 8 initiations#Cytise#festival du chamanisme#Genêt à balai#herboristerie initiatique#Mère nature#Plantes des celtes
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POST-SCRIPTUM 827
VARIOUS ARTISTS, OU (2002)
« Bouche, anus. Sphincters. Muscles ronds fermant not’tube. L’ouverture et la fermeture de la parole. » C’est par le rappel de ces vérités essentielles que Valère Novarina commence sa lettre aux acteurs, que l’on pourrait tout aussi bien adresser à ceux qui s’adonnent à l’art de la performance et aux poètes sonores. Car « poumonant » et « musiquant » leurs textes avec conviction, c’est avec la bouche, bien sûr, mais pas que (non plus), que les plus exaltants de ces derniers écrivent pour les oreilles, le corps et l’esprit, se gonflant d’air avant de pousser la gueulante, exhalant parfois jusqu’à l'asphyxie finale, à bout de souffle. Pour les poètes sonores, il est courant de « mâcher » son texte avant de l’avaler et déglutir dans des rites cannibales d’une intense sauvagerie. D’ouvrir les vannes d’orgiaques spasmodies. De « déféquer » gargouillis et borborygmes sans souci d’intelligibilité, tel un chamane à la recherche du rythme de la dépense, de l’usure et de l’expiration. Ainsi de Julien Blaine exultant haut et fort, dans un clin d’œil au Francis Picabia de « Jésus Christ Rastaquouère », qu’il n'est ni peintre, ni musicien, ni cuisinier, ni chorégraphe… Ainsi d’Étant Donnés célébrant une étrange cérémonie du Verbe. Mais aussi d’Henri Chopin explorant de ses claquements labiaux le grain et la tessiture de la voix, ou de Serge Pey improvisant des rituels aux relents d’émeute. Véritable brasier de la poésie faite vie, la poésie sonore cherche à expulser la vieille langue imposée à tous, pour la remplacer par un épatant boucan en prise directe depuis l’endroit où ça parle.
C’est en dehors des chemins balisés par les langues nationales répertoriées qu’il est possible de créer des œuvres originales à partir des phonèmes qui s’offrent à nous. Ainsi, faire du bruit des mots, de la voix et de la parole, de son énonciation et de son flux, est la principale préoccupation des poètes sonores. Autrement dit : contracter, séparer, multiplier, raccourcir, allonger, déformer, façonner et ordonner. Echantillonner, triturer, monter et mixer. Les mots sont explorés ; leurs formes sont fragmentées, puis enchevêtrées ; leurs timbres sont trafiqués (ou pas) par la technologie, testés dans une expérience critique du matériau. Tout texte dont le sens est « perdu » (le résultat d’une lecture dans une langue que l’on connait peu ou pas suffit) peut être considéré comme poésie sonore. On n’en capte plus alors que l’essentiel, l’armature – le phrasé. Exit le sens. Ne compte plus que la forme, support d’une expérience sensorielle nouvelle flirtant avec les limites de la sémantique.
Altérité du langage écrit / parlé, transformation de la langue, performance visant à mettre en contact direct émetteur et récepteur, spatialisation d’un discours vécu et tenant du chamanisme, dimension sonore et visuelle de la lisibilité (dans ces deux derniers cas, le poète, habité, est parcouru par sa poésie) sont quelques-uns des éléments moteurs de la poésie sonore, qui par ailleurs prend sa source en de multiples endroits, tout à la fois chez le futuriste Filippo Tommaso Marinetti et chez les dadaïstes.
Au fil du temps, la poésie sonore s’est également nourrie de John Cage et Allan Kaprow, comme du groupe Gutaï et de certains écrivains de la Beat Generation (William S. Burroughs, Kennth Rexroth, John Giorno, Lawrence Ferlinghetti). Dans le monde entier des associations rendirent compte de son activité (Polyphonix en France, Giomo Poetry Systems à New York, Festival Dei Poeti à Rome, One World Poetry à Amsterdam). Et l’n peut même classer ses adeptes par familles : ceux qui récupèrent et détournent les techniques des traditions orales primitives (Tristan Tzara, Jerome Rothenberg) ; explorent litanie et répétitivité (Jean-Luc Parant, Michèle Metail, Charles Amirkhanian) ; utilisent les ressources de la technologie (Bernard Heidseick, Pierre-André Arcand, Henri Chopin, Sten Hanson) ; ou se limitent à l’action pure et simple de la performance en direct (Julien Blaine, Joël Hubaut, Arnaud Labelle-Rojoux).
Le Soulèvement de la jeunesse et l’ultra-lettrisme marquent les débuts d’Henri Chopin. François Dufrêne improvise des poèmes criés tandis qu’Isidore Isou réalise son film-manifeste Traité de bave et d’éternité. Et Sten Hanson note dans La Poésie Sonore Internationale : « La poésie sonore est née à Paris au début des années 1950. Henri Chopin n’était pas le premier à utiliser le magnétophone comme outil du poète, mais il était assurément le premier à réaliser les possibilités fondamentalement différentes qu’il découvrait en chaque poète oral, et il fut le premier à rendre ce phénomène théoriquement clair. Conséquent avec lui-même, il devint le premier éditeur régulier, et, pendant dix ans, le seul vraiment important de la poésie sonore avec la revue OU. »
Pendant longtemps, Henri Chopin bricole avec des outils technologiques peu performants, préférant privilégier le langage. Chez lui, la poésie est « temps en marche », et non « la tradition, qui n’existe pas ». La poésie ne peut être figée, elle se doit « d’interroger le verbe au-delà des sémantiques connues ». Audio-poète, dactylo-poète, son parcours est marqué par une fidélité obsessionnelle à servir l’expérimentation sur la langue, à faire don, à communiquer par le biais de son alphabet, à en jouir. À la recherche du squelette des mots, ses performances – sans déclamation, ni récitation – célèbrent un théâtre ouvert aux sons, « une fresque de l’impalpable voix » où se mêlent le physique et l’électronique. Henri Chopin travaille sur le grain de la voix et sa tessiture ; sur le souffle et les vibrations ; sur les résonances corporelles ; tout en utilisant microphones et magnétophones préparés, à la manière d’un John Cage, comme un « microscope de la voix et des sons, qui amplifie, les analyse, les décortique ». William S. Burroughs : « L'incohérence est préférable à l’ordre qui réforme. »
( François Dufrêne, par là )
#henri chopin#valère novarina#john cage#william s. burroughs#françois dufrêne#sten hanson#isidore isou#agitation frite 3#agitation frite#lenka lente#philippe robert#allen ginsberg#john giorno#tristan tzara#bernard heidsieck#julien blaine#joël hubaut#arnaud labelle-rojoux#lawrence ferlinghetti#kenneth rexroth#étant donnés#francis picabia#serge pey#post-scriptum#merzbo derek
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J’aurai un stand au #festival #animasia @animasia avec des #fanzine #BD #manga, #cartepostale #poster, le tout avec une grande part de #yokai, #japon, #chamanisme et autre #folklore, quelques #estampejaponaise et une impression des premiers chapitres du manga #seinen et #horreur #lafoliedeslucioles !! https://www.instagram.com/p/CE7YkH0jQfn/?igshid=17w4cycpv4oy6
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https://e3o.org/e3o/gard-un-festival-chamanique-a-saint-julien-de-la-nef-en-cevennes/
Gard : un festival chamanique à Saint-Julien-de-la-Nef en Cévennes
Insolite : du 30 mai au 2 juin un festival « au coeur du néo-chamanisme » avec une vingtaine de chamanes venus de Sibérie, du Mexique, des … Source : www.midilibre.fr/2019/05/… Articles proches ÉCOLE DE SOPHROLOGIE Douleur dans le haut du dos : 5 conseils de l’ostéopathe Yoga, doula, acupuncture: Comment gérer sa grossesse et son accouchement avec sérénité Yoga : Lequel pratiquer en fonction de mon objectif (mincir, me relaxer, m’assouplir…) ? Un premier salon Biocréatif ce dimanche
#Divination, #Méditation, #Relaxation, #Yoga, #YogaDuRire
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Spiritualité, es-tu là ? (3/4) : Le chamanisme, une expérience de l'invisible
durée : 00:58:53 - Spiritualité, es-tu là ? (3/4) : Le chamanisme, une expérience de l'invisible - Le chamane, à l'aide de chants et de rituels, voyage en esprit, et possède deux caractéristiques fondamentales : s'il peut être envahi par une force extérieure, il maîtrise aussi cette dernière. Quel est le rôle de la pensée chamanique et quelles sont les fonctions du chamane ? Guérir ? Prédire ? Première diffusion de cette émission le 30/10/2019, et première diffusion du Journal de la philo de Géraldine Mosna-Savoye, en fin d'émission, le 30/10/2019, à réécouter ici : * L'invité du jour : Charles Stépanoff, ethnologue, spécialiste de la Sibérie, maître de conférences à l'Ecole pratique des hautes études (chaire « Religions de l'Asie septentrionale et de l'Arctique ») et membre du Laboratoire d'anthropologie sociale du Collège de France Origine du terme "chamane" Le mot "chamane" vient d'un groupe de langues sibériennes. Puis, au 17ème siècle, lors de la colonisation par les Russes et leur rencontre avec ces peuples et ces pratiques chamaniques, ils emploient ce terme dans la langue russe et le transmettent aux voyageurs hollandais et allemands scientifiques, qui, eux-mêmes, vont publier des travaux au 18ème siècle traduits dans toutes les langues européennes : c'est à ce moment-là que le terme de "chamane" et la notion de chamanisme se répandent en Europe occidentale. Charles Stépanoff Les trois éléments du chamanisme Dans le chamanisme, il y a une forme de distribution du travail : le chamane est un expert de l'invisible. Les gens reconnaissent en lui un talent supérieur à eux, ils lui délèguent un certain nombre d'opérations de la vie quotidienne, dans les relations des hommes à leur environnement. On a trois éléments dans le chamanisme : un expert (le chamane), des gens non experts reconnaissant l'expert (les profanes) et un tiers, l'invisible, les esprits. Il faut ces trois éléments pour parler de chamanisme. Charles Stépanoff Textes lus par Georges Claisse : Extrait de Voyager dans l'invisible : techniques chamaniques de l'imagination, de Charles Stépanoff, co-éditions Les empêcheurs de penser en rond / La découverte Extrait de la lettre de Rimbaud à Paul Demeny, datée du 15 mai 1871, suivi d'un chant enregistré par Charles Stépanoff lors d'un voyage, Xuurektig algysh, Ibid : dans cet extrait on entend une imitation du cri du loup Sons diffusés : Voix de Georges Claisse suivi d'un chant Korore Khtenteevic Kokore, La flèche bariolée, Chants chamaniques et narratifs de l'arctique Sibérien Extrait d'une conférence TED de Corine Sombrun, documentariste, qui raconte un rituel chamanique en Mongolie, où elle est entrée en transe, Ted-x Paris Salon, 27 novembre 2012 à la Gaîté Lyrique Extrait de la série Game of Thrones, saison 1, épisode 10, série américaine HBO adaptée des romans de George R. R. Martin Chanson de fin : Jimi Hendrix, Voodoo Child (Slight return) (live enregistréau Festival Isle of Wight en 1970) source https://www.franceculture.fr/emissions/les-chemins-de-la-philosophie/
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Festival du Chamanisme https://t.co/aSISpWC0xO
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LE CINÉMA COMME CHAMANISME
Par Léone Metayer
Certains aspects du rôle de réalisateur nous invitent à penser le cinéma comme une forme de chamanisme. Dans une société où l’image, omniprésente, est contaminée par les enjeux commerciaux du capitalisme, ne perdons pas de vue l’essence du processus de fabrication des images animées. Pour l’artiste et réalisateur français Clément Cogitore qui voit les débuts de la peinture religieuse dans les grottes de Lascaux, « à l’origine, fabriquer des images, c’est parler avec les esprits. (…) Aujourd’hui, malgré toutes les révolutions technologiques, très peu de choses ont changé. Entrer dans une salle de cinéma pour s’asseoir devant un écran, c’est aussi un peu entrer dans une caverne pour y voir danser des ombres. »[1]
Nourrir la magie
Le rapprochement le plus évident entre cinéma et chamanisme s’articule autour du sacré. Le chamanisme implique un ensemble de croyances et de pratiques religieuses, en puisant par exemple dans le système de pensée animiste qui considère que les éléments naturels sont animés par un esprit mystique, une âme, une force vitale. Cette dimension magique est présente dans le cinéma. Si l’homme continue, depuis plus d’un siècle, à s’engouffrer joyeusement dans des salles de cinéma, c’est parce qu’il a la volonté de croire. Nous avons bien conscience que les films de fiction sont de pures inventions, pourtant, face à l’écran nous pleurons, nous rions, nous frissonnons, inlassablement. On sort de la salle encore imprégné d’émotions fortes, authentiques, comme lorsque nous confondons, au petit matin, notre rêve et la réalité encore quelques instants. Le coeur vulnérable, toujours happé par le pouvoir de l’image, nous aimons nous faire avoir par l’immense duperie du cinéma. C’est bien là le rôle des cinéastes comme celui des chamans : entretenir la croyance, nourrir la magie. Ils en ont d’ailleurs conscience, Ingmar Bergman écrit en 1997 dans son ouvrage Laterna magica : « Faire un film c’est planifier une illusion dans le moindre détail ». Un réalisateur est, depuis l’origine du cinéma, un magicien, un créateur de mythes. La qualité des trucages et la précision du montage de Georges Méliès font de lui le père des effets spéciaux au cinéma - et peut-être aussi le premier « chaman-cinéaste ». Dans son film Escamotage d’une dame chez Robert Houdin en 1896, il s’appuie sur des procédés d’apparitions, disparitions, transformations, dédoublements, grossissements et rétrécissements pour manipuler le regard de son spectateur. Nos yeux se laissent volontiers trompés, même encore aujourd’hui, bien que les nouvelles technologies aient pris le relais de l’illusion !
Toute croyance a besoin de rites pour durer. Le chaman, selon les cultures et les époques, a recours à plusieurs rituels: les prières, les purifications, les danses. Le cinéma aussi ne pourrait se défaire de certains phénomènes au caractère cérémoniel: les étapes successives qui constituent la création d’un film du scénario à la post-production, les grands événements publics qui reviennent chaque année comme le festival de Cannes, sans oublier la rédaction systématique de critiques par la presse. Notre rapport au cinéma est sans aucun doute teinté d’une dimension sacrée. Nous l’expérimentons d’ailleurs nous-mêmes à travers la douce excitation qui nous anime quand on s’apprête à voir un film. Nos petites habitudes nous rassurent, du choix du film jusqu’à celui de l’emplacement du siège dans la salle. Ces actes répétitifs, presque invariables, sont autant de pratiques religieuses qui font vivre le monde magique du cinéma, autant à l’échelle des créateurs que des spectateurs.
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Maîtriser la technique
Faire ainsi bouillir la magie nécessite l’usage d’une méthode adaptée. Pour communiquer avec le monde des esprits, le chaman fait appel à diverses techniques comme la transe, l’extase, le voyage initiatique. Quant au cinéaste, il a à sa disposition la particularité de l’outil-caméra. Encore faut-il savoir explorer ses possibilités… En 1979, le réalisateur iranien Kianoush Ayari arrive à Téhéran, presque un an après la révolution qui s’est opposée au pouvoir du Shah. Une question s’impose : comment la caméra peut-elle comprendre une telle crise ? Ayari réalise Taze-nafas-ha (Les Arrivants), un film dans lequel il tente de capter la pulsion de vie de la révolution, les traces de son ébullition quelques mois plus tard. Il filme essentiellement l’espace public : le quartier de l’université de Téhéran, les livres et journaux à vendre empilés sur les trottoirs, les corps libres qui marchent, les cheveux et les jambes libérés des femmes, les visages qui s’exclament au coeur des débats, les discours retranscrits par radio attentivement écoutés, les pièces de théâtre qui rejouent la révolution. Ayari saisit une population en train de construire un avenir. Le mouvement, phénomène propre à la caméra, embrasse l’effervescence révolutionnaire, la fluidité d’un élan vers la liberté. Mais l’outil-caméra ne serait rien sans l’imagination. Qu’il s’agisse d’un documentaire ou d’une fiction, elle est l’essence du travail du cinéaste, son carburant. Nous définissons souvent l’imagination comme un mouvement psychique qui vise à former des images, mais au-delà de ça, son enjeu est plutôt de déformer les images fournies par notre perception. Elle défigure, renverse, déstructure le réel.
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Révéler l’invisible
Cette imagination mène donc à un autre monde, un au-delà que le chaman est justement chargé d’explorer. Il est le seul, au sein de son groupe social, à pouvoir s’échapper de la sphère des vivants pour aller là où vivent les forces et les esprits de notre monde. Au cinéma, cette dimension spirituelle se retrouve à travers les notions d’immatériel, autrement dit les mystères, les énergies, les vibrations, les ondes insaisissables qui nous entourent. Chaman et cinéaste ont tous deux le don de créer des ponts entre le visible et l’invisible. Le réalisateur y parvient en manipulant le temps, l’espace, les formes. En 1925, le film Le miracle des fleurs de l’Allemand Max Reichmann - censé promouvoir un engrais - met en oeuvre des vues accélérées de la croissance de plusieurs plantes sur fond noir. Elles semblent étrangement se mouvoir comme un animal, la nature prend vie, et soudain les voies de l’animisme chères au chamanisme s’ouvrent à nous. En faisant apparaître un aspect du monde jusqu’alors imperceptible, le cinéma nous « réapprend à nous étonner devant une réalité dont peut-être rien n’a encore été compris, dont peut-être rien n’est compréhensible ». Ces mots de Jean Epstein résonnent avec la signification originelle du terme chaman en sanskrit : « celui qui sait » ou « celui qui voit ».
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Les réalisateurs, sans aucun doute, transforment notre perception du réel. Il arrive aussi qu’ils nous offrent une vision alternative de l’avenir, pour nous donner espoir ou nous mettre en garde. Le 4 octobre dernier, le film français d’Alexandre Lumbroso et Jonathan Attias Des clics de conscience met en lumière la puissance du pouvoir citoyen en racontant comment une pétition lancée sur Internet a obtenu victoire en faisant voter par le Sénat une loi permettant aux maraîchers d’utiliser librement leurs semences traditionnelles, garantissant leur autonomie. Finalement, le cinéaste s’éloigne ici du chaman car il ne se prétend ni devin ni guérisseur. Il ne décèle pas un futur déjà existant mais fabrique le sien. Les films comme Des clics de conscience - qui ose nous faire espérer une reconquête démocratique - peuvent avoir un réel impact sur l’action des hommes en élargissant les limites de l’impossible.
#Escamotage d’une dame chez Robert Houdin#georges melies#ingmar bergman#laterna magica#Kianoush Ayari#Taze-nafas-ha#Max Reichmann#le miracle des fleurs#Jean Epstein#Des clics de conscience#jonathan attias#alexandre lumbroso#chamanisme#cinéma#réalisateur
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Ateliers et Festivals en Avril, Mai et Juin
Nouveaux ateliers en Dordogne!
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#Ancêtres#art de la tisane#atelier herbaliste#Chamanisme#Cycle des 8 initiations#festival du chamanisme#Fumée#herbal medicine#herboristerie#herboristerie initiatique#infusion#Médecine des plantes#Moulin de la Barde#Myrrophores#offrande#Plantes des celtes#remèdes#rituel#Shibori#tambour de médecine#Tatakizome#Teinture végétale#tisanes
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Ayelen Parolin | Nativos - Festival L'ETE DANSE - CDC d'Avignon © Mirabelwhite par Mirabelwhite toutes les photos : https://flic.kr/s/aHskZnHvca Photo : [email protected] Synopsis CDC d'Avignon - Festival Un été Danse .http://www.hivernales-avignon.com Ayelen Parolin | Nativos D U 9 A U 1 9 J U I L L E T - R E L Â C H E L E 1 3 - 1 7 H 4 5 - 60 mn Création 2016 Argentine vivant à Bruxelles, Ayelen Parolin est une artiste qui compte aujourd’hui dans le paysage chorégraphique. Depuis une dizaine d’années elle impose une danse à l’univers à la fois éclectique, précis et créatif. Nativos réactive l’incroyable matière chorégraphique du trio Hérétiques (présenté aux Hivernales en 2015), une danse abstraite, répétitive et géométrique renvoyant aux impératifs de rentabilité de notre société. Pour Nativos, le Théâtre de Liège et la Compagnie nationale de danse contemporaine coréenne ont proposé à la chorégraphe de reprendre le principe d’Hérétiques en s’inspirant cette fois du chamanisme avec quatre danseurs coréens reconnus pour leur technicité et leur précision. Dans cette pièce radicale où la modernité se frotte à la tradition Ayelen Parolin interroge l’identité, invite à une relecture des rituels chamaniques et bouscule les clichés sur la culture coréenne. Repoussant les limites physiques, les quatre interprètes cherchent à maintenir un certain ordre oscillant entre puissance et épuisement. Rythmé par une composition au piano de Lea Petra et des tonalités plus traditionnelles du percussionniste et chanteur coréen Seong Young Yeo, Nativos fait rejaillir la force essentielle de l’être, explosive et animale.
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Rencontres en Automne
Nos 4 prochaines rencontres en Dordogne Festival international du film des traditions ancestrales et spiritualités chamaniques. Demain jusque dimanche au Cinéma Rex de Sarlat au 6ème Festival du film des traditions ancestrales et spiritualités chamaniques. Ateliers herboristes Vendredi 11 & 18 octobre de 14h à 16h, je vous offre un temps de partage autour des plantes médicinales à l’épicérie…
#atelier herbaliste#chamanisme tradition ancestrale cérémonie guérison#Cycle des 8 initiations#empreintes végétales#ethnobotanique#festival du film chamanique#herboristerie#rituel#Tatakizome#Traditions ancestrales#traditions populaires
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Octobre dans le Périgord, à la Source
A très bientôt! à Sarlat au Festival du film chamanique!
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#agriculture syntropique#écosystémique#chamanisme celte#Cycle des 8 initiations#festival du film chamanique#forêt#herboristerie initiatique#médecine des éléments#plantes sauvages#Retraite chamanique#Roue de médecine
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Les eaux de l'automne
Les eaux de l’automne
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#cercle de sagesse#chamanisme celte#chamanisme tradition ancestrale cérémonie guérison#Cycle des 8 initiations#festival du chamanisme#festival du film chamanique#herbal medicine#herboristerie initiatique#Retraite chamanique#rituel#tatakizome
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Conférence "L’Herboristerie et les plantes sauvages pour régénérer le vivant"
Conférence “L’Herboristerie et les plantes sauvages pour régénérer le vivant”
Le Festival du film chamanique, des traditions et des spiritualités ancestrales est terminé après 3 jours de diffusion très éclectiques, inspirantes et de cérémonies. Le film Plantes et magie d’Aurélie Aimé et Nicolas Beauchamps – Inrees TV- a été très bien accueilli par le public. Voici le lien vers la page du Cercle de sagesse pour découvrir les prix du Jury, du public et le prix de coeur du…
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#chamanisme tradition ancestrale cérémonie guérison#festival du film chamanique#herbal medicine#herboristerie initiatique#rituel
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j’ai creusé une des faces cachées car enterrée sur le #totem du #festival de #chamanisme de #fonroque #crane #fleur #mexique #catrina https://www.instagram.com/p/ByIXmi_CQVh/?igshid=t6zdoryox1q1
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https://e3o.org/e3o/news-chamanisme%e2%80%8e/
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