#faire du vélo dans les montagnes

[detragefietser]

[valavelo]

J31 ~ Au bout du Monde

São Miguel~Sagres (78km)

Hier soir au camping j'ai rencontré Larissa et Julien, un couple de Suisses. Ils sont en vacances pour 2 semaines et descendent la côte avec leur vélo depuis Lisboa. Des vrais aventuriers. Ils aiment partir en week-end dans leurs montagnes (souvent à pied) sans savoir s'ils seront à l'heure au travail le lundi matin. Bref on a discuté itinéraire et il se trouve qu'on a le même objectif pour aujourd'hui. Atteindre le cabo São Vicente, l'extrémité Ouest de toute l'Europe continentale. Julien me prévient que la météo n'est pas bonne. Il est vrai que je ne m'y suis jamais intéressé tant j'ai été chanceux sur ce point là.

Pas de photos avant l'arrivée car l'appareil est resté (à peu près) au sec dans le sac toute le journée. Dès 10h j'aperçois de gros nuages noirs arriver. Je mets au point une tactique : à la première goutte je m'arrête pour m'équiper (protection de sac, k-way, sur-pantalons). La stratégie semblait bonne, malheureusement elle n'a pas marché. A la première goutte j'ai le temps de m'arrêter et puis c'est tout ! En quelque secondes un déluge s'abat sur moi, je ne peux que tourner le dos aux coups de fouet donnés par chaque goutte. Évidemment je suis en plein champ au milieu de nulle part trempé jusqu'à l'os. Rien d'autre à faire qu'attendre et accepter. Averse d'une quinzaine de minutes qui se répète au moins 4 fois dans la journée. J'apprends à anticiper et à repérer les abris.

En fin de journée je retrouve Larissa et Julien. A une intersection ils se posent la même question que moi: Passer par Sagres déposer les sacs au camping avant d'aller au cap (et faire donc un aller-retour du cap à Sagres mais de façon plus légère) ou aller directement au cap avec les vélos chargés. On se décide pour la deuxième option en suivant l'EV1 et on part ensemble pour le cap! Une fois arrivés, la météo nous laisse un peu de répit pour profiter du spectacle. En vérité cela fait 3 jours que je roule avec un vent de face qui s'intensifie chaque fois un peu plus. Je me sens épuisé mais fier d'être arrivé jusqu'ici.

🎶

[une-touille-en-vadrouille]

Buenos días people !

Ce fut une journée douloureuse pour mon fessier ... Puisque j'ai fait du vélo !

Alors oui, je sais, quelle idée, mais il y a la route des cascades à faire à Baños, et c'était très joli !

En plus, ils s'organisent : l'aller étant majoritairement en descente, ça se fait bien, et pour le retour ... Il y a des taxis avec remorque pour remonter les touristes \o/

Du coup, j'ai passé la journée à me balader de cascade en cascade (et descendre / remonter depuis la montagne jusqu'en bas ... Il y a 7 cascades quand même, j'ai plus de jambes) !

A part une petite averse qui m'a surprise pendant une lecture, on a eu beau temps, juste ce qu'il faut pour ne pas crever de chaud dans les montées, ni mourir de froid avec le vent dans les'descentes.

J'ai aussi eu l'occasion de voir une très jolie mante religieuse dont j'ai malheureusement raté la photo, et une chenille très étrange que je n'ai pas eu envie de toucher !

J'avais prévu d'aller aux thermes de la ville pour me détendre, mais finalement mes plans ont été un peu chamboulés : alors que je faisais quelques courses pour la semaine à venir (je pars en volontariat dans une famille), j'ai rencontré Sixto.

Sixto n'ayant rien de particulier à faire cet aprem, il m'a finalement conseillé sur tout un tas de trucs, fait visiter la ville, goûter les spécialités locales ... C'était génial !

Et coup du hasard : il est guide et passe demain par le village où je vais (en chemin pour l'Amazonie avec deux autre touristes), il me déposera au passage \o/

Normalement, j'aurai du wifi dans cette famille, mais ce n'est pas certain. Comme j'y reste une semaine/dix jours, si vous n'avez pas de nouvelles c'est à cause de ça !

Plein de bizouuuuux 😘

[carraways-son]

Dimanche, lundi

Hier, il nous a suffi d’une station de métro pour nous immerger dans le Kyôto moderne, passant des rues silencieuses parcourues de frêles silhouettes âgées aux malls bruyants animés par une foule d’ados et d’enfants électrisés par l’ambiance de Noël. Aujourd’hui, retour au calme. Avant de filer sur son vélo électrique déposer le Mini Kid à la crèche, ma fille nous a confié l’aîné pour toute une belle journée passée à jouer, à faire ses devoirs, à regarder avec moi à la TV japonaise le résumé de la finale de football, et à nous guider pour une balade ensoleillée le long de la Kamo-Gawa, la rivière sauvageonne qui travers la ville. Sur ses rives nous avons observé aigrettes, hérons, mouettes, canards, bergeronnettes et corbeaux. Puis un Mac-Do nous a tendu les bras. Demain, le Kid passera de nouveau la journée avec nous, et nous oublierons la morsure du vent glacé qui tombe des montagnes.

[librairie-voyage]

Commençons la semaine de la plus belle des manières : la petite sélection parmi les nouveautés. Difficile de faire un lien entre tous ces livres, c'est un joyeux fourre-tout photographique, dessiné ou écrit dans lequel s'entremêlent la montagne, la mer, le vélo, le récit de voyage, la marche, la pensée vagabonde. #librairie #voyage #Rennes (à Librairie du Voyage - Ariane) https://www.instagram.com/p/Cj0g6t6sk2U/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[nataventures]

[ LAOS - Champassak ]

Dimanche 30 octobre : Champassak et Wat Phu

Aujourd'hui, on enfourche les vélos et on part visiter les temples Wat Phu, à Champassak. Ce sont des anciens temples khmer en ruines, perdus au milieu des montagnes. Comme depuis notre arrivée dans le sud, il y a très peu de touristes. Nous avons croisé quelques vietnamiens et 4 européens. Être dans ces ruines seuls est assez impressionnant...

L'après-midi, on se balade dans le centre de Champassak et on passe une bonne partie de l'après midi "chez Maman", une boutique tde produits artisanaux, tenue par Michel et sa maman, des français expat depuis 10 ans. Ils travaillent avec les villageois pour vendre leurs produits. On sympathise avec eux et Michel nous propose une super idée pour le lendemain : faire le nord de l'île de Dong Daeng et se prélasser à la Folie, un superbe hôtel de luxe sur le bord du Mékong. Il nous organise tout ça: il appelle le manager de la Folie pour qu'il envoie un bateau a notre hôtel, location de vélo, résa pour le déjeuner et accès à la piscine ! Le luuuuxe !!

[cedricfaitsontourdupilat]

GRIMPEE DE PRALOGNAN-LA-VANOISE

A Pralognan-la-Vanoise, le 27 juillet 2024

A la veille de la Granfondo du Col de la Loze, je participe de nouveau à cette grimpée organisée entre Brides-les-Bains et Pralognan pour une bonne mise en jambes et surtout profiter d’une belle météo et de la montagne !

Arrivée sur place assez tôt, j’ai le temps de me rendre à Pralognan en voiture et de prendre le vélo pour une quinzaine de km et environ 30’ d’échauffement pour redescendre à Bozel en passant par Champagny-en-Vanoise avec une petite montée à la clé. Les départs sont libres, et le chrono est lancé à la sortie de Bozel pour une montée de 18kms à 5% de moyenne jusqu’aux Prioux.

Comme l’an dernier, je n’ambitionne pas la victoire et resterai dans ma zone de confort afin de profiter de cette montée sans trop puiser dans les réserves pour demain et la double ascension du monstrueux col de la Loze ! Les conditions sont bonnes cette année sans vent défavorable et il fait chaud mais sans excès (pour moi en tout cas). Calé aux watts je maintien un effort peu soutenu pour ce type d’effort sur les 2 premiers kms très roulants à tout juste 4,3 w/kg. Passé le Villard, je décide de faire la partie en lacets un peu plus fort, au seuil sur un gros 5w/kg. Ensuite on trouve plusieurs replats : j’alterne un peu plus fort dans les pourcentages et plus « tranquille » sur les replats. Les 6 derniers kms jusqu’aux Prioux sont eux aussi irréguliers et j’applique la même méthode pour finalement me trouver à 320W moyens sur les 45’ d’efforts de la grimpée ce qui est vraiment le max que je m’étais accordé aujourd’hui.

Finalement de très bonnes sensations où j’étais vraiment à l’aise et je pense que j’aurai fais un excellent chrono en me donnant à fonds. C’est Louison Faure-Prost qui signe le meilleur temps en 43’29 devant Loick Dussol en 44’58 et je prends la 3eme marche du podium en 45’45 (accessoirement 1er de la catégorie peu commune des 36-45 ans !). Fin prêt pour demain où se sera une autre histoire sur le Granfondo et 4400m de D+ en seulement 117km !

Classement

Sur le site Eventicom :

Ou directement sur ce lien (NB : le 1er et le 5eme dans ce classement sont en VAE...)

Strava

[stephanedugast]

📌[FEUILLETON] Prenez la bonne échappée chaque jour à 15 heures 🕒 avec la série 🌸 « La Pédale Joyeuse ». Cet été 🌻, je vais en effet vous raconter le vélo 🚲 autrement...

@Le Tour de France 🇫🇷 Vendredi 19 JUILLET ÉTAPE 19 Embrun > Isola 2000 (145 kilomètres). De la haute montagne en condensé. Voilà ce qui attend les coureurs tout au long de ces 145 kilomètres du jour. Au départ d’Embrun, trois cols seront escaladés et pas n’importe lesquels. Puissent messieurs les coureurs ne jamais crever…

🔎 UNE MARQUE 🚲 Accessoire indispensable pour réparer une crevaison, la rustine est à l’origine le nom d’une marque et d’un brevet déposé en 1922 par le dénommé Louis Désiré Auguste Rustin (1880-1954) (…) Les héros du Tour de France que Rustin sponsorise (comme le coureur André Leducq alors très populaire), ainsi que ses réclames s’affichant sur les murs au slogan un brin provocateur (dont le mémorable : « Vous pouvez crever ! »), participent à la renommée de la marque. Pour assurer la promotion de son invention modeste mais si astucieuse, son créateur use de tous les stratagèmes.

Aux 6 jours de Paris, il paye des places à des jeunes de clubs cyclistes et leur promet un casse-croûte. Il installe les uns à un virage et les autres à l’opposé. Quand une crevaison se produit sur la piste en parquet, les volontaires postés à un virage sifflent « pschiiiiiiiiiiiittttt » tandis que les autres répondent en écho : « Rustines ! Rustines ! Rustines ! »

La marque devient vite un produit populaire d’autant qu’elle est même mise en chanson par Bourvil avec La môme Rustines (Cf. chronique précédente).

(…)

Une belle saga 100 % française, commencée dans le monde du cycle, continue donc pour une fois de s’écrire, et sans faire « pschiiiiiiiiiiiittttt ».

Stéphane Dugast

💬 Une histoire à lire dans son intégralité dans mon livre « VÉLO ! sport, ville, nature, culture & aventure » paru aux Éditions Glénat Livres.

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Photographies © Rustine

FFVélo I Radio Cyclo I Le Tour de France I Franck Ferrand I La Bicicleta Ravito I ravito I Vera Cycling I Dans le sillage des écrivains voyageurs - le groupe I Dans la Musette I Bike Café France I BikePacking France I Bourvil I Bourvil

[omagazineparis]

Faites du sport cet hiver, gardez la forme

L’hiver frappe à nos portes, les températures baissent incroyablement, la luminosité s’affaiblit. En somme, un joli combo de démotivation. Qui n’a jamais trouvé l’excuse du froid pour ne pas bouger et rester au chaud ? Et pourtant ! Faire de l'exercice est essentiel en période hivernale. Hiver et sport ne sont pas incompatibles. Non ! Faire du sport en hiver réchauffe le corps et donne une énergie po-si-ti-ve à notre esprit. Oui ! Découvrez, dans cet article, quelques astuces et activités pour garder la forme et la santé cet hiver. La préparation commence par l’alimentation : adaptez votre alimentation en fonction de l’intensité de l’effort. Elle doit être assez riche en énergie. De plus, il est nécessaire d’associer acides gras de bonne qualité et glucides complexes de bonne densité micro-nutritionnelle.Et n'oubliez pas l'hydratation, importante par temps froid. Buvez de l'eau ou des boissons sportives avant, pendant et après votre séance d'entraînement, même si vous n'avez pas vraiment soif.À présent, partez enfiler la super tenue d’hiver ! Comment bien s’équiper pour faire du sport en hiver ? Superposez les couches 1/Première couche technique avec des vêtements appelés « seconde peau »2/Deuxième couche isolante et respirante3/Troisième couche protectrice de la pluie, du vent ou même de la neige La nuit, privilégiez les couleurs réfléchissantes ou « flashy fluo » Prenez des gants, un bonnet et des lunettes de soleil. Vous pouvez également appliquer un écran solaire et un baume à lèvres pour protéger votre peau. Prête à débuter par…L’échauffement ! Évidemment ! Passage obligatoire et essentiel par temps de froid, il prépare aux entraînements. En effet, les échauffements dynamiques augmentent le flux sanguin et la température musculaire. Ainsi, ils aident à réduire le risque de blessures. Découvrez comment s’échauffer avant le sport. L’activité sportive se pratique toute l’année. La coupure hivernale est mauvaise pour la santé et se paie durement. Lors de la reprise, nous avons cette impression de revenir au point zéro/de départ.Vous êtes bien échauffées maintenant ? La séance commence ! Quelques activités de sport à tester cet hiver Le ski, la luge, des sports phares en hiver …..Oui, mais ! Il est difficile de pratiquer ces sports en ville, alors testez : Des sports EXTRA en plein air avec Le grand classique du sport en ville : le running, parfait, mais … Profitez de l’hiver pour courir en groupe, le temps passera plus vite. Inscrivez-vous dans un collectif de running dans votre ville ou renseignez-vous auprès de vos magasins de sport comme Decathlon. La plupart organise des séances collectives en plein air. L’urban training : un mix entre cardio, renforcement musculaire et étirements… Chaque type d’exercice peut être réalisé en profitant de l’environnement urbain : les escaliers, les barrières, les plots ou les bancs publics. Le bootcamp : tout droit débarqué des États-Unis, il s'inspire des sessions sportives de l'armée. Le dépassement de soi et l’esprit d’équipe sont des valeurs qui illustrent ces séances en extérieur et en groupe. Entre exercices de cardio et renforcement musculaire (pompes, squat, burpees, jumping jack….), il y aura de quoi nous faire palpiter le cœur rapidement. Le roller : il développe l’endurance autant que la marche, la course à pied ou même le vélo. Ce sport est parfait pour s’affiner tout en renforçant ses muscles et profiter des beaux jours d’hiver. Des sports en intérieur durant l'hiver La liste est longue, le cyclisme, Squash, Boxe, ping-pong, escalade, piscine. Pourquoi ne pas choisir d’autres disciplines comme : Des plus classiques.... Le patin à glace : si vous n’avez pas la possibilité d'aller en montagne l'hiver, consolez-vous à la patinoire. Le patinage favorise le développement de l'équilibre et la coordination. Le petit plus ? Il tonifie les fesses. Le cross fit : une discipline très complète de haute intensité. Il vous fera travailler chaque muscle de votre corps et brûler beaucoup de calories. De quoi préparer le terrain pour les excès des fêtes de fin d’année. Expirez, inspirez et prenez la direction de la piscine. De ce fait, les amatrices d’eau aimeront l'aquabiking ou l'aquagym ou le hockey subaquatique. Ce dernier se pratique dans une piscine, en apnée avec une mini cross et un palet de plus d’un kilo. Comme pour le hockey sur glace ou sur gazon, chaque équipe doit marquer des points en envoyant le palet dans le camp adverse. BootCamp BootCamp ....au plus fun Avec la tête hors de l’eau et sur des rythmes endiablés (ciseaux, jumping jacks ou équilibre), dansez au rythme du jumping fitness. En effet, il s’agit de la combinaison idéale pour travailler le cardio et brûler les calories tout en s’amusant. Vous êtes intéressées ? N'hésitez à consulter le jumping.fitness.Dans un autre ordre d’idée, optez pour le pole dance. Plus sexy et sans chichi, la discipline se veut artistique, technique mais aussi très sportive. Parfait pour l'hiver non ?Lancez-vous dans les sports de combat (enchaînement des coups, combinaisons, réactions) avec le Krav maga. Ce sport se résume en deux mots : efficacité et simplicité. De plus, il apporte des réponses concrètes pour toutes les femmes en termes de self défense. En définitive, on reprend rapidement la confiance en soi, en améliorant sa condition physique et sa coordination. La séance touche bientôt à sa fin ! Il ne nous reste plus qu’à apprécier les meilleurs moments après l’effort… Les 7 bienfaits de l’effort Faire du sport pendant l'hiver améliore la santé et le bien-être. ❄️Le sport est un véritable vecteur de LIEN SOCIAL. Il permet de partager et de rencontrer d'autres sportifs.❄️Faire de l'exercice en hiver, c’est BRÛLER plus de CALORIES. Votre corps a besoin d'énergie pour garder l’intensité pendant l'exercice et maintenir la température de votre corps par temps froid. ❄️Vous TONIFIEZ votre cœur : vous renforcez vos muscles cardiaques et vous aidez votre corps à mieux gérer les efforts soutenus. Sans parler du stress de la vie de tous les jours ! ❄️Vous êtes moins sensible au froid et vous renforcez VOTRE SYSTÈME IMMUNITAIRE. Votre corps va absorber la lumière du soleil et produire de la vitamine D. A lire également : Pilates, méthode de sport idéale ? ❄️Faire du sport l’hiver rend PLUS HEUREUSE. L’activité physique intense amène votre corps à libérer des endorphines. Nous vous proposons des conseils pour déjouer la déprime hivernale ou garder le moral cet hiver.❄️Et le meilleur élément de motivation : faire du sport l’hiver empêche LA PRISE DE POIDS. Entre les repas des fêtes, les envies de réconforts alimentaires à la suite de l’arrivée du froid et l’envie irrépressible d’hiberner, il y a de quoi cumuler les kilos sur la balance. Et lorsque le printemps arrive, le besoin de perdre du poids avant le début de la saison des maillots de bain, devient obsessionnel.❄️Sans miracle et LA MEILLEURE SOLUTION.Faites de l'exercice pendant les mois les plus froids. Ainsi, vous garderez votre corps en pleine forme. Mieux dans votre peau, vous risquez même d’y prendre goût ! ❄️ Read the full article

[lonesomemao]

IL SE PEUT ...

Panneau publicitaire

Station Carliers Tourcoing

On peut rouler dans la MEL

Sans en faire une Montagne

( en encadré rouge )

Plate et droite

Une route de campagne

Une maman en vélo

Deux enfants un sur son devant

Qu'elle pousse com sur un pousse-pousse

L'autre pédalant devant

Elle symbolise donc Mère Nature

Le vélo ce n'est plus

Le Grand Prix de la Montagne

Richard Virenque Druze Israël

Mais la Chine de Mao avec tous ses vélos

La Femme étant la moitié du ciel

Li en grand-mère m'apparaissant re-belle

Depuis sa Commune Populaire

Et Aujourd'hui

Une Chine classe

C'est elle qui sait ses défauts

Le premier le parti 1984

Phallocrate bureaucrate

Pouvoir à la Verticale

Replaçons-nous sous Mao

Dimanche 12 mai 2024

[sportifdujour]

Les bienfaits des activités en plein air pour la santé mentale et les vêtements confortables

Renouez avec la nature pour une meilleure santé mentale, l'importance des activités en plein air pour le bien-être émotionnel, exploration en toute liberté : les vêtements confortables comme alliés, découvrez les bienfaits thérapeutiques de la marche en pleine nature, pratiquer le sport en plein air : un remède naturel contre le stress, se ressourcer grâce à la méditation en pleine nature, laissez-vous inspirer par la beauté de la nature et stimulez votre créativité. Dans cet article, nous vous invitons à découvrir les multiples bienfaits que la nature peut apporter à notre santé physique et mentale. Des activités en plein air aux vêtements confortables, nous explorerons différentes façons de revitaliser notre esprit et de renforcer notre bien-être grâce à notre connexion avec la nature.

Renouez avec la nature pour une meilleure santé mentale

Renouez avec la nature pour une meilleure santé mentale. Il est indéniable que notre mode de vie moderne et urbain peut parfois être stressant et épuisant. C'est pourquoi il est essentiel de trouver des moyens de se ressourcer et de prendre soin de notre santé mentale. Et quoi de mieux que de se connecter avec la nature pour y parvenir ? La nature a un pouvoir apaisant et revitalisant sur notre esprit. En passant du temps à l'extérieur, entourés de verdure et de paysages magnifiques, nous pouvons retrouver un sentiment de calme intérieur et d'équilibre émotionnel. Les études ont montré que passer du temps dans la nature réduit le stress, l'anxiété et la dépression, tout en améliorant notre humeur et notre bien-être général. De plus, l'exposition à la lumière naturelle du soleil favorise la production de vitamine D dans notre corps, ce qui est essentiel pour maintenir un bon équilibre hormonal et une santé mentale optimale. Alors, prenez le temps de faire une promenade en forêt, d'admirer les paysages montagneux ou simplement de vous asseoir dans un parc verdoyant. Vous constaterez rapidement les bienfaits revigorants que la nature peut apporter à votre santé mentale.

L'importance des activités en plein air pour le bien-être émotionnel

Les activités en plein air jouent un rôle essentiel dans notre bien-être émotionnel. En effet, passer du temps à l'extérieur nous permet de nous reconnecter avec la nature et de nous éloigner du stress quotidien. Que ce soit une simple promenade dans un parc ou une randonnée en montagne, ces activités nous offrent une pause bien méritée et nous aident à retrouver notre équilibre émotionnel. La nature a un effet apaisant sur notre esprit. L'air frais, les paysages magnifiques et les sons relaxants de la nature ont un pouvoir thérapeutique indéniable. Ils nous aident à nous détendre et à libérer notre esprit des pensées négatives. De plus, l'exposition à la lumière naturelle favorise la production de vitamine D, ce qui est bénéfique pour notre santé mentale. Les activités en plein air sont également propices à la pratique d'exercices physiques, ce qui contribue à libérer des endorphines, les hormones du bonheur. Que ce soit la course, le vélo ou le yoga en plein air, ces activités stimulent notre corps et notre esprit, améliorant ainsi notre humeur et notre bien-être émotionnel. Enfin, les activités en plein air nous permettent de sortir de notre routine quotidienne et de découvrir de nouveaux environnements. Cela suscite notre curiosité et nourrit notre esprit d'aventure. Ces expériences enrichissantes stimulent notre créativité et nous inspirent dans tous les aspects de notre vie. Pour toutes ces raisons, il est essentiel d'intégrer des activités en plein air dans notre routine quotidienne. Que ce soit pour une courte escapade ou une longue randonnée, prenons le temps de renouer avec la nature pour cultiver notre bien-être émotionnel et nourrir notre âme.

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Exploration en toute liberté : Les vêtements confortables comme alliés

Les vêtements confortables sont les alliés parfaits pour explorer en toute liberté la nature. Que ce soit pour une randonnée en montagne, une balade en forêt ou une promenade le long de la plage, il est essentiel d'être à l'aise dans ses vêtements pour profiter pleinement de ces expériences. Les vêtements confortables permettent une plus grande liberté de mouvement, ce qui est particulièrement important lorsqu'on explore des terrains accidentés ou lorsqu'on pratique des activités physiques en plein air. En optant pour des matériaux respirants et légers, les vêtements confortables assurent également une régulation optimale de la température corporelle, évitant ainsi les inconforts liés à la transpiration excessive ou au froid. De plus, ils offrent un sentiment de bien-être et de détente, favorisant ainsi une expérience plus agréable et apaisante en pleine nature. En se concentrant sur le confort vestimentaire, on peut se libérer des distractions et se connecter davantage avec son environnement naturel. Les vêtements confortables deviennent alors de véritables alliés qui permettent de profiter pleinement des bienfaits revitalisants de la nature.

Découvrez les bienfaits thérapeutiques de la marche en pleine nature

La marche en pleine nature est bien plus qu'une simple activité physique. Elle offre également de nombreux bienfaits thérapeutiques pour notre corps et notre esprit. Lorsque nous marchons en plein air, nous sommes entourés par la beauté de la nature, ce qui nous permet de nous détendre et de nous reconnecter avec notre environnement. Cette immersion dans la nature peut réduire notre niveau de stress et d'anxiété, et améliorer notre santé mentale globale. En marchant à l'extérieur, nous pouvons également profiter des avantages physiques de cette activité. La marche en plein air sollicite différents muscles de notre corps, améliorant ainsi notre force et notre endurance. De plus, l'exposition au soleil favorise la production de vitamine D, essentielle pour la santé de nos os et notre système immunitaire. Mais les bienfaits de la marche en pleine nature vont au-delà de la simple activité physique. En nous promenant dans des environnements naturels, nous sommes exposés à une multitude de stimuli visuels, sonores et olfactifs qui peuvent stimuler notre créativité et notre imagination. De plus, le contact avec la nature nous permet de nous déconnecter des écrans et des distractions technologiques, favorisant ainsi une pause bienvenue dans notre vie quotidienne souvent effrénée. Alors n'hésitez pas à enfiler vos chaussures de marche et à partir à la découverte de la nature qui vous entoure. Vous pourriez être surpris des bienfaits thérapeutiques que cela apportera à votre corps et votre esprit.

Pratiquer le sport en plein air : Un remède naturel contre le stress

Le sport en plein air est bien plus qu'une simple activité physique. C'est un moyen puissant de soulager le stress et d'améliorer notre bien-être global. Lorsque nous nous engageons dans des activités sportives en plein air, notre corps est stimulé et notre esprit se libère des soucis quotidiens. Que ce soit la course à pied, le vélo, la natation ou la randonnée, l'exercice en plein air permet de se reconnecter avec la nature et de profiter de ses bienfaits thérapeutiques. La pratique du sport en plein air offre une double dose de bienfaits pour notre santé mentale. D'une part, l'activité physique libère des endorphines, les hormones du bonheur, qui agissent comme un antidépresseur naturel et améliorent notre humeur. D'autre part, le contact avec la nature a un effet apaisant sur notre esprit. Respirer l'air frais, sentir le soleil sur notre peau et entendre les sons de la nature nous permet de nous déconnecter du stress quotidien et de nous ressourcer.

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Se ressourcer grâce à la méditation en pleine nature

La méditation en pleine nature offre une opportunité unique de se ressourcer et de trouver la paix intérieure. Loin du tumulte de la vie quotidienne, se connecter avec la nature permet de se déconnecter des distractions et de se concentrer sur le moment présent. En pratiquant la méditation en plein air, on peut profiter des bienfaits de l'air frais, du soleil et des sons apaisants de la nature. Que ce soit assis au pied d'un arbre, sur une plage déserte ou au sommet d'une montagne, ces environnements naturels favorisent un sentiment de calme et de tranquillité. La méditation en plein air peut également améliorer notre santé mentale et émotionnelle. En nous permettant de nous détendre et de libérer notre esprit du stress quotidien, elle favorise un état de bien-être général. Elle peut aider à réduire l'anxiété, à améliorer la concentration et à renforcer notre résilience émotionnelle. De plus, la méditation en pleine nature nous aide à prendre conscience de notre connexion avec l'environnement qui nous entoure, ce qui peut renforcer notre sentiment d'appartenance et d'interconnexion avec le monde naturel. Pour profiter au maximum des bienfaits de la méditation en plein air, il est essentiel de choisir un endroit paisible et isolé où l'on se sent à l'aise. Il est préférable de porter des vêtements confortables qui permettent une grande liberté de mouvement. Laissez-vous guider par les sensations et les sons de la nature pour vous immerger pleinement dans votre pratique méditative. Que vous soyez débutant ou expérimenté dans la méditation, laissez-vous inspirer par la beauté naturelle qui vous entoure et laissez votre esprit se libérer et se revitaliser grâce à cette expérience unique en plein air.

Laissez-vous inspirer par la beauté de la nature et stimulez votre créativité

Laissez-vous inspirer par la beauté de la nature et stimulez votre créativité. La nature regorge de merveilles visuelles qui peuvent éveiller notre imagination et nourrir notre créativité. Les paysages pittoresques, les couleurs vibrantes et les formes uniques de la nature sont une source infinie d'inspiration pour les artistes, les écrivains et les créateurs en général. Se promener dans la nature, observer attentivement les détails, sentir les parfums délicats des fleurs et écouter le chant des oiseaux peut éveiller nos sens et nous aider à voir le monde avec un regard neuf. La beauté de la nature peut également nous aider à trouver des solutions créatives à nos problèmes. Lorsque nous sommes confrontés à un blocage mental ou à une impasse créative, prendre du recul et passer du temps dans la nature peut nous permettre de trouver des idées nouvelles et innovantes. La tranquillité et la sérénité de l'environnement naturel nous aident à apaiser notre esprit, à réduire le stress et à libérer notre imagination. Que ce soit en peignant un paysage inspirant, en écrivant un poème ou en prenant des photos de la nature, exprimer notre créativité en puisant dans la beauté naturelle qui nous entoure peut être une expérience gratifiante et enrichissante. La nature offre un réservoir inépuisable d'inspiration et de possibilités pour exprimer notre individualité artistique. Alors, laissez-vous emporter par la beauté de la nature, laissez vos sens s'émerveiller et votre esprit se libérer. Stimulez votre créativité en vous connectant avec l'environnement naturel qui vous entoure. Vous pourriez être surpris des résultats que cela peut avoir sur votre esprit créatif. Laissez-vous emporter par les bienfaits revitalisants de la nature et découvrez un monde d'opportunités pour améliorer votre santé mentale et émotionnelle. Que ce soit à travers des activités en plein air, des vêtements confortables ou des pratiques de relaxation, la nature offre une multitude de solutions pour se ressourcer et retrouver son équilibre. Alors, pourquoi ne pas profiter de ces bienfaits thérapeutiques ? Prenez le temps d'explorer, de vous connecter avec votre environnement naturel et de vous laisser inspirer par sa beauté. Il est temps de libérer votre créativité et de stimuler votre esprit grâce à l'énergie revitalisante de la nature. Et n'oubliez pas, chaque jour est une nouvelle opportunité pour vous reconnecter avec la nature et découvrir ses bienfaits infinis. Alors, qu'attendez-vous pour commencer votre voyage vers une meilleure santé mentale et émotionnelle grâce à la nature ?

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Les incontournables du dressing sportswear : pantalons, t-shirts de compression et casquettes

Les incontournables du dressing sportswear : pantalons, t-shirts de compression et casquettes. Vous cherchez à adopter un look sportif et tendance ? Ne cherchez plus, car les pantalons, les t-shirts de compression et les casquettes sont les indispensables de votre dressing sportswear ! Les pantalons de sport offrent un confort optimal et une liberté de mouvement pour toutes vos activités physiques. Que ce soit pour la salle de sport, le jogging en plein air ou simplement pour vous détendre à la maison, ces pantalons sont polyvalents et stylés. Les t-shirts de compression, quant à eux, sont conçus pour améliorer la circulation sanguine et réduire la fatigue musculaire pendant l'effort. Ils épousent parfaitement votre corps et vous procurent un maintien optimal tout en favorisant une meilleure récupération après l'exercice. Enfin, les casquettes complètent votre look sportif en ajoutant une touche d'élégance et de protection contre le soleil. Avec leur design moderne et leur fonctionnalité, ces accessoires sont parfaits pour toutes les occasions sportives. Alors n'hésitez plus et ajoutez ces incontournables du dressing sportswear à votre garde-robe dès maintenant !

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J39 ~ En suivant l'autoroute

Castellar de la Frontera~Marbella (81km)

Retour sur la côte aujourd'hui après être monté un peu dans les terres hier soir. La descente est agréable mais j'arrive maintenant dans une zone plus compliquée à rouler. Une autopista et une autovía (grosso modo 2 autoroutes) en parallèle et pas grand chose d'autre pour circuler. L'autovía n'est pas clairement interdites aux vélo et c'est parfois le seul passage possible.

Je fini par atteindre Marbella qui bénéficie d'une digue et d'un sentier littoral bien aménagé. Ironie du sort plusieurs tronçons de ce chemin sont interdit au vélo. J'ai le choix entre une autoroute sur laquelle j'ai apparemment le droit de circuler et un sentier littoral qu'il m'est défendu d'emprunter. Je brave évidemment l'interdit pour plus de sérénité.

La zone est très touristique et je ne manque pas de passer à nouveau par un golf. Je ne les compte plus mais depuis le Portugal je suis passé par une bonne vingtaine de golf. Le comble du luxe c'est le gazon anglais impeccablement tondu et incroyablement vert planté là à quelques mètres de la plage sous un soleil andalou toujours brûlant.

Pas vraiment conquis par la mer. En vérité ce qui m'impressionne le plus de Marbella ce ne sont pas ses plages c'est l'imposante montagne qui la surplombe.

Je fini par me poser dans un camping sans prétentions mais quand même le plus cher depuis le début de mon voyage. 24€ la nuit pour dormir en tente sur des cailloux, sanitaires OK et Internet gratuit les 20 premières minutes... De quoi me faire sérieusement penser au bivouac pour les prochaines fois.

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[une-touille-en-vadrouille]

Avec une petite journée de retard (c'était vraiment l'enfer pour obtenir le wifi, étonnamment ça capte mal au milieu de l'eau...), voici l'histoire de notre journée d'hier ! (Et d'aujourd'hui en même temps, combo)

Le réveil est tôt. Très tôt. 6h du matin tôt. Sur une croisière, ça pique! Surtout qu'on a ensuite une heure de temps libre avant l'activité suivante, sadiques. Nous sommes parties visiter l'île de Cat Ba, la seule île des 3000 de l'archipel qui soit habitée à temps plein : après 5km à vélo, à longer l'eau ou la forêt, on s'arrête dans un tout petit village où on nous fait goûter de l'alcool de riz au serpent et au lézard (c'est pas bon !), dont on peut aussi se tartiner consciencieusement une zone douloureuse après du badminton. (Oui, les exemples étaient précis) Viet Hai a tout à fait des allures de Mai Chau, entouré de montagnes, mais les rizières sont remplacées pour l'instant par des potagers.

Les habitants n'ont pas la vie facile : ils se sont installés ici pour fuir la guerre il y a 50-60 ans, et s'ils ont des grandes zones cultivables, elles sont aussi souvent ravagées par les typhons (une dizaine par ans quand même !). Cela explique que les maisons soient en briques ou béton et pas en bambou traditionnel ; elles n'y résisteraient pas. Du coup, les habitants ont besoin de se relaxer ... Et on en profite aussi !

(bon, d'accord, c'est sans doute 100% pour les touristes). Ça chatouille terriblement ces petits poissons, c'est très marrant !

On reprend ensuite le bateau vers notre lieu de villégiature de l'après midi, après un délicieux déjeuner à base de spécialités locales (un gâteau de poisson, du calamar, des crevettes panées, du curry de poulet,...).

On a le droit à un temps beaucoup plus dégagé qu'hier : si on n'a pas de soleil à proprement parler, on n'a plus de brume ! C'est chouette d'avoir vu les deux facettes de la baie :) On voit même des biquettes perchées sur un pic ! Comment sont-elles arrivées là, et comment survivent elles, c'est un mystère (on est quand même sur des zones très très escarpées avec de la jungle ou des arbres secs, pas vraiment des prairies où pâturer !)...

Après une petite balade en kayak à passer sous des petits ponts/grottes naturels créés par l'érosion, détecter les bernacles accrochées au plafond (et les déchets plastiques qui malheureusement se frayent un passage jusqu'ici), c'est session plongeons depuis le bateau ! (Enfin, pour ceux qui n'ont pas peur de se mouiller les fesses, hein Dr Rathatton restée honteusement à bord ? 😇)

On se balade tout au long de la journée dans la baie, on peut d'ailleurs voir l'érosion impressionnante des roches à cause des marées. Les paysages sont magnifiques, même s'il y a pas mal de déchets plastiques dans certaines zones; selon notre guide, le gouvernement ramasse en moyenne quotidiennement 2T de déchets plastiques sur cet archipel, mais ils ne peuvent pas passer partout tous les jours. On confirme qu'ils reviennent à toute vitesse : en une nuit, on est passées d'une mer très propre à des bidons, sacs ou bacs en polystyrène partout. Certains sont ramenés par la mer, d'autres viennent des villages flottants qui sont installés dans la zone : ils se servent de bidons en plastique pour flotter et de cagettes en plastique pour pêcher, et tout ça va s'échouer joyeusement un peu partout.

De retour au bateau, c'est cours de cuisine : on apprend à faire des jolis nems ! J'avais appris à en faire pendant notre cours de cuisine thaïlandais, mais Clem avait fait une salade de papaye à la place. Qu'importe, elle devient vite maître en la matière.

A mon grand bonheur (et au grand désarroi de Dr Rathatton), c'est ensuite soirée karaoké !! Bon, le micro était absolument terrible, avec un effet écho catastrophique (probablement pour améliorer la performance musicale de certains artiste), mais je me suis bien amusée ! On a même gagné un cocktail hehe... La soirée se termine après un lac du Connemara endiablé avec deux autres françaises (ayant laissé les autres participants tout à fait de marbre, pfff), c'était très chouette.

Ce matin, pas de cours de Thaï Chi comme annoncé, snif. On va par contre faire une balade en bateau dans une petite grotte, propulsées par un monsieur et ses deux longues rames, c'est mignon mais ne tient pas la comparaison avec les grottes inondées de Phong Nha !

Et cet aprem, c'est bus pour la baie d'Halong terrestre, qu'on avait dû quitter à cause du mauvais temps !

[bonjourindiatravel]

Quelles Activités Faire au Ladakh?

Dans le magnifique Ladakh, il y a tant d'activités à faire pour une aventure inoubliable. Vous pouvez faire du trekking le long des sentiers pittoresques, explorer les monastères bouddhistes ancestraux, découvrir la culture locale fascinante, faire du vélo le long des routes panoramiques ou simplement vous imprégner des vues spectaculaires sur les montagnes et les lacs.

Pour une expérience encore plus enrichissante, participez à des séances de méditation ou de yoga dans les paysages sereins. Le Ladakh offre une expérience unique pour les amateurs de voyage et d'aventure. Profitez de votre Voyage au Ladakh pour des souvenirs mémorables.

[completementalest]

Transition Tadjiko-Kirghize

On voyait la vallée de la Bartang comme la dernière difficulté au Tadjikistan mais une fois à Rushan on n’est pas sortis d’affaire. Pour rentrer à Duchanbé, il nous faut de nouveau emprunter 150 km de piste en travaux et donc manger une généreuse dose de poussière pour rejoindre l’asphalte à Qalai-Khum. En fin d’après-midi le premier jour, après avoir déjà parcouru près de 90 km, on se retrouve à poireauter 1h devenue 2h (voire 2h30 ?) devant un tractopelle occupé à labourer la montagne et apparemment décidé à faire des heures sup' ce jour-là. On finit par se frayer un chemin vers 19h, une petite heure avant une longue file de camions et autres 4X4 qui nous aideront sous peu à soulever la poussière. La nuit arrive vite, c’est très pratique pour Simon qui n’a plus de lumière (merci les secousses qui ont endommagé le câble de la dynamo)… On se suit donc de près, concentrés sur les nids de poules et les cailloux, sachant de mémoire qu’on ne pourra pas s’arrêter de sitôt faute de carrés d’herbe hospitaliers pour poser la tente. La route finit par s’élargir et on se pose, voilà qu’après une journée (et 120 km tout de même !) on est déjà sur les genoux. On arrive le lendemain tôt à Qalai-Khum et on ne décolle plus de la guest-house de la journée, avec sous la main l’incontournable trio thé-pain-beurre pour nous accompagner dans la récup.

La suite se passe sur de l’asphalte de qualité supérieure, et en descente, de quoi bien nous ragaillardir. Sauf qu’on perd de l’altitude, c’est donc le retour des grosses chaleurs… Et évidemment ça recommence vite à monter. En arrivant à Kulob, grande ville aux milieu des plaines grillées par le soleil, notre entrain est déjà sérieusement fissuré. Trop de chaleur, trop de fatigue, on décide de faire du stop pour couper les 180 derniers kilomètres qui nous séparent de Duchanbé. Ça marche tellement bien qu’on trouve en quelques minutes un camion (transporteur de clim, un métier porteur) qui nous dépose à l’entrée de la ville avec en prime une pastèque cadeau. On ne regrette pas d’avoir « triché » car ce coup de pouce nous permet de revoir Ophélie et Greg (on serait arrivés trop tard si on avait continué à pédaler, la bonne excuse) et de rencontrer de nouvelles têtes. Pendant qu’Igor le mécano chouchoute nos vélos, nous on socialise, dort, mange... Et Simon n’omet pas de tomber malade, parce que sinon c’est pas rigolo.

Notre prochaine étape est la ville de Tachkent, en Ouzbékistan, à peu près 500 km au nord de Duchanbé. Après avoir parcouru tant de belles pistes, on est apparemment devenus exigeants sur le parcours et on préfère éviter les grands axes sous le cagnard. On repart donc en stop et on expédie le trajet en deux jours, avec un passage de frontière sportif en mode bain de foule et chamailles de files d’attente (un vieux monsieur fait même un malaise dans la cohue, on soupçonne une simulation pour griller tout le monde…). Heureusement, en arrivant à Tachkent, on est hébergés par Vincent (cf. col Ak Baital, Lada bleue et barres de céréales salutaires). Il travaille à l’AFD (Agence Française de Développement) et bénéficie d’un logement de fonction de type palace avec piscine, sauna, billard, lits king size et autres réjouissances modernes. On apprécie le confort après deux mois à dormir sur des mousses raplapla (vous avait t-on parlé du malencontreux décès du matelas de Simon ?). On s’entend très bien avec Vincent, qui en plus d’être extrêmement gentil en connaît un rayon sur la région et se passionne pour la littérature, ça en fait des sujets de conversation ! Simon nous fait une frayeur en déclarant une douleur aiguë dans les côtes et la poitrine (du côté gauche bien sûr). Ça nous permet de faire un tour dans deux hôpitaux publics et une clinique privée histoire d’être certains qu’il ne nous claque pas un infarctus (ce serait bien la peine de faire tant d’exercice tiens !). Après cet épisode qui s’est avéré être une inflammation des nerfs (possiblement provoqué par la clim), on se remet en mouvement pour aller se frotter aux pistes kirghizes. Un train, quelques heures de vélo, une nuit en tente et un passage de frontière plus tard (fastoche celui-ci), on arrive à Och, grande ville du sud du pays, là où les choses sérieuses commencent !

Au revoir le Pamir.

Ted-Talk improvisé.

File d'attente.

Ils sont vraiment en train de casser la montagne.

Les grosses pelleteuses (laissez-nous passer svp).

La fatigue post-poussière.

Dernières vues sur l'Afghanistan.

Asphalte de qualité et sueur abondante.

La chaleur et la sécheresse.

La grosse fatigue dans le caniveau.

Finies les conneries, on fait du stop.

Merci pour le ride monsieur le camionneur (et pour la pastèque).

Reprise de forces et raffinement à Duchanbé.

Trop pratique le haillon.

Attente maximale : 15 minutes.

Bien arrivés chez Vincent à Tachkent.

On a failli rester toute la vie.

Selfie d'au-revoir (et petits yeux du matin).

Le train ouzbek.

C'est reparti.

Frontière ouzbéko-kirghize (foule, sueur et plaisir garantis).

Premier marché Kirghiz à Och.

Leçons de civisme dans les hostels (ça sent le vécu).