#eveil du matin
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Eveil du Matin
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Esaie 50..Parle du VRAI Serviteur de DIEU..Qui Ayant CONNU l'Amour à son Egard .le SERT En VERITE..par AMOUR..
V 4..Le SEIGNEUR m'A DONNE une Langue exercée, Pour que Je Sache SOUTENIR Par la PAROLE... Celui qui Est ABATTU..
Il Eveille chaque matin , il EVEILLE Mon Oreille
Pour que j' ECOUTE...Comme Ecoute des Disciples
Le SEIGNEUR ..l'ETERNEL m'A ..OUVERT l'Oreille
Et Je n'ai Point RESISTE
Je ne me suis Pas RETIRE en Arrière
J'Ai LIVRE Mon Dos à Ceux qui me FRAPPAIENT
Et Mes JOUES à Ceux qui m'ARRACHAIENT la Barbe
Je n'Ai Pas DEROBE Mon Visage.... aux IGNOMINIES et Aux CRACHATS..
Mais le SEIGNEUR , l'ETERNEL m'A SECOURU..
C'est POURQUOI ! Je n'ai Point ..Eté DESHONNORE
C'Est POURQUOI ! J'ai RENDU Mon Visage semblable à un Caillou
SACHANT que Je ne SERAIS Point CONFONDU.....
Celui qui me JUSTIFIE Est PROCHE !!!
QUI Disputera CONTRE Moi ???
Comparaissons ENSEMBLE !
QUI Est Mon ADVERSAIRE ?
Qu'il S'AVANCE Vers MOI !!!!
Voici le SEIGNEUR , l' ETERNEL Me SECOURRA.!
Qui Me CONDAMNERA ?
Voici, Ils TOMBERONT..Tous...Devant MOI..!
QUICONQUE, Parmi VOUS..CRAINT l'ETERNEL.?
Qu'il ECOUTE...la VOIX de Son SERVITEUR
........
Qu'il Se CONFIE ....Dans le NOM..de l ETERNEL.
Et qu'Il s'APPUIE ...Sur...Son..DIEU !!!
Que Celui qui VEUT Me SUIVRE..Qu'il se CHARGE de Sa CROIX par la FOI ! en CONFIANCE En l'ETERNEL qui SERA à ses Cotés devant les EPREUVES..qu'à SUBIT Son SEIGNEUR...
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"Morning Awakening/Eveil Du Matin" by Alphonse Mucha.
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Secrets Sanglants, Coupables Silencieux, chapitre n°1 : Eveil dans la tourmente.
Onze heures du matin, Zooey De Mieville émergea péniblement de son sommeil, la tête résonnant comme un orchestre de tambours en furie. Pourquoi ? Comment ? Elle était incapable de le dire. Tout ce qu’elle savait, c’est que les draps de soie qui l’enveloppaient habituellement avec tant de douceur lui semblaient maintenant étouffants. Elle avait un besoin pressant de s’en libérer, vite. La chambre,…
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C'est pour moi
La rosée du matin
Toute fraiche et dorée
Je souhaite aujourd'hui
Entendre ta voix
Mais même des mots écrits
Je lirais
Le souvenir de toi
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******* INFO-POéTIC ********
******* PHRANCOPHONéC *******
******* V I V *******
---------------- Q U I Q U A N Q U E ---------------
on aprend pas a un coque la notion du temp
Si lui qui ne fait dormir quans il va au someil
s est lui l eclereur qui observe au-delà dedans
notre avant-garde priventif debout centinelle
par-derrière il couvre les derrière des fronc
il se rivel avant l horor pour clocher le soleil
s est lui chaque jour qui annonce le beaut temp
d une mer calme siel decouvert mieux que la veille
et anonce le mauvais temp par ca pluit et sont vent
qui tombe du siel un tamie qui neige des grelle
et annonce la tempête de la mer du siel l oragon
qui sinistre les mauvais par des catastrof naturel
tremblement de terre pour les sur plus les titon
la chisresse qui Desrete par sa soif saller et salle
s est lui qui déchiffre les code de la morse icpion
il saie quesque il va se passer et tire les ficelle
seux qui l ecoute se sont alerter d avance non non des con
seux qui lui discute étudie par ses réponses reelle
et seux qui desput leur repondre par des accent
s est lui le chanteur chaque matin soir et a la belle etoil
s est de lui le solfeg so ri do mi ra fmi nato oton
ni unicef ni unicco ni onu de la mediranee du sahel
ce blasfem non chanter par le coque mais du pon
Meme le corbeau chante comme lui on parallelle
et la sigone l immite copie tout de lui le sultemp
la chouette le chuchote se qui cache la nuit bordel
la mouette le salut a chaque va et vien sont pardent
et l aigle le regard comme lui sur terre eveille
le piégeant est aviser par ses crix de sont canon
et les oiseaux sont avertie d avanse par ses reveille
ses poulle s amus avec des mâles comme des femelle
on les aprend pas affair leur djob a machee les bonbons et les borbon
de sa nature a fait sont métiers de port jartelle
de sont corps à fait un corps à corps conbatent
de sont physic elle nik ta queut et tes couille
le coque et nul consrener responsable de ses accident
il est nul interesser de ses besogne loin d elle et d elle
tret ocuper par le control de se monde ni lien ni liesent
ni vue ni connu par correspondance ou par imail
entre vous prostetuee ou cliente toi sont client
l aisse le coque la ou il est et de quoi il se melle
................................................................... a suivre
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Info-poétic // phrancophonéc // v i v
-------------' Q U I Q U A N Q U E -------------
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******* D A V I N C H I *******
$$$$$$$ LE COQUE NAPPO €€€€€€€
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IDICAS POESIE TRUMBLR PAR DAVINCHI
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Morning Awakening, Daybreak, Evening Rêverie, and Nocturnal Slumber by Alphonse Mucha
1899
courtesy of Kyle Geib on Flickr x x x x
#art history#Art Nouveau#illustration#Alphonse Mucha#Mucha#Czech#art#personification#allegory#Morning Awakening#Daybreak#Evening Reverie#Nocturnal Slumber#Times of the Day#day#turn of the century
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A dive in the park
Vancouver : Mer. 13 Nov. 2019
Humeur musicale : Sting - Englishman in New York
Des posts un peu plus calmes pour cette fin de séjour canadien, je suis agréablement épuisé :)
Eveil à 6h30, ce matin je suis efficace. J’ai décidé de prendre le SkyTrain jusqu’à son terminus. L’idée m’était venue d’un australien avec qui j’ai pris le petit-déj à mon hôtel, qui était dans mon train également. Il m’avait dit avoir fait toute la ligne aller-retour.
Je suis parti assez tôt. J’ai marché jusqu’à la station où des machines vendaient les tickets. J’ai acheté un DayPass pour 10CAD pour faire l’aller-retour sereinement + prendre le bus le soir qui m’emmènerait vers North Vancouver. L’appareil refusait mes deux cartes de paiement : mystère.
Le SkyTrain de Vancouver me rappelle le métro danois, tout automatique, avec la possibilité de s’asseoir à l’avant. J’ai été jusqu’au Terminus de Richmond Brighouse. La ville s’industrialise très rapidement quand on va dans cette direction. J’y suis descendu, j’ai fait un tour de 5min et ai compris qu’il n’y aurait rien à voir, ça ressemblait à un immense complexe comme on en trouve à l’arrière du carrefour de Drogenbos (pour les connaisseurs...). Etonnamment ça parlait uniquement chinois dans les rues, et je dénotais complètement dans le paysage. Je suis remonté jusqu’à King Edward dans l’idée d’aller visiter le parc Queen Elizabeth. Je me suis arrêté prendre un petit-déjeuner dans un “café” étrange et chinois, où j’ai mangé le meilleur sandwich au thon depuis longtemps.
Le parc a été une pause sonore bien méritée, et m’a offert de superbes vues sur la ville, qui ne rendent pas aussi bien en photos. J’ai vu une sculpture métallique invitant les couples à y accrocher leur cadenas amoureux, une serre, un “lawn bowling club”, un terrain de golf à 9 trous où deux amis étaient gentiment en train d’améliorer leur “put” (le mec qui parle de golf et qu’a jamais touché un club).
Peu à dire sur cette promenade, j’ai vaguement attendu que Luc surgisse en hurlant à mon oreille, mais il n’est jamais venu ;)
De retour du parc vers l’arrêt de SkyTrain, j’ai regardé quelques unes des villas en me disant que c’étaient de bien belles habitations pour des logements au bord d’une route tellement bruyante...
Je suis rentré faire une sieste, puis j’ai pris un bus pour North Vancouver où j’avais rendez-vous chez Helen, la mère d’une amie de la petite soeur d’une amie, où j’ai eu le plaisir de partager un dîner familial, et de passer une soirée simple et agréable !
Drôle : dans les bus ici, quand on veut descendre à l’arrêt suivant, on appuie pas sur un bouton, on appuie sur un câble horizontal jaune qui fait penser à une corde à linge. Quelque part c’est plus sympa que la technologie du bouton, les gens sont mignons en l’utilisant !
J’ai eu droit au luxe d’être ramené en voiture, ce qui m’a permis d’apprécier le Lions Gate de nuit.
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Dieu parle si on l’écoute
Amis chrétiens, sommes-nous toujours prêts à entendre Dieu nous parler ? Selon mes dispositions intérieures, je vais percevoir la voix de Dieu plus ou moins bien. Je n’entendrai Dieu me parler que si sa voix est importante pour moi.
Parfois c’est une circonstance de ma vie qui me rendra subitement attentif à la voix de Dieu. Par exemple, j’ai une grande décision à prendre, j’ai donc besoin d’entendre Dieu dans ce cas précis. Le texte du jour insiste pourtant sur l’habitude d’écouter “chaque matin”, et pas uniquement lorsque j’en éprouve le besoin. Dieu veut me sensibiliser à sa voix pour que j’apprenne ce qu’il veut m’enseigner chaque jour.
Lire la suite...https://www.chretiens.com/vie-chretienne/la-bonne-semence/il-eveille-mon-oreille-pour-que-jecoute-comme-ecoutent-des-disciples-esaie-504/2024/07/09/10/01/
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Eveil d'un beau jour - Gérard Bollon-Maso
Eveil d’un beau jour – Gérard Bollon-Maso
Un ciel baigné d’Aurore, épanche au nouveau jour Ses premières lueurs d’un beau rouge incendie. Puis un vent maraudeur tourbillonnant d’Amour, Murmure à l’infini sa douce mélodie. Au velouté des cieux tout nimbé de lumière, Un aigle ailé de bleu, plane majestueux. Sous ce ciel matinal, les ruisseaux et rivières Avant d’étinceler, coulent encor frileux. Puis le clocher du Bourg, tout habillé…
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Dimanche en chemin à St-Quay … Plus de fraternité …
Dimanche 14 février, tout en respectant les gestes « barrière », nous avons pu ouvrir grand nos oreilles, nos cœurs et nos intelligences pour partager autour de l'Évangile du jour, du sens de la messe et du thème de la fraternité. D'abord en ateliers au Petit Stella et à l'église, les enfants, les ados et les adultes se sont retrouvés ensuite pour une belle messe animée et nourrie par les réflexions du matin. Quelle joie de pouvoir vivre cela en Eglise ! Les enfants Les enfants du Primaire étaient répartis en groupes autour de leurs catéchistes :
Eveil à la foi et préparation au baptême
Découverte du Missel Théo (1re année de caté)
Étape vers la 1re communion et remise du nouveau testament (2e année)
Partage sur l'évangile et préparation à la lecture avant la messe (3e année)
Les jeunes A partir du texte de Saint Marc 1, 40-45, les jeunes nous font part de leurs réflexions. « …Si j'avais été là ! »
Jésus nous réserve toujours des surprises
Encore une bien bonne ce dimanche 14 février : il s'approche d'un lépreux et le touche.
On remarque, dans ce passage, l'humilité de Jésus. Il ne fait pas les choses pour être admiré, se mettre en valeur.
On peut faire le lien avec notre vie de tous les jours. Quand il nous arrive quelque chose d'extraordinaire, on n'a pas envie de se taire .On a envie de le dire à tout le monde. Dans quel but ?
Jésus me donne sa Paix, m'invite à faire comme Lui, aller vers les autres, m'approcher, m'intéresser à eux sans juger.
J'ai besoin des personnes qui sont autour de moi pour m'aider à suivre Jésus.
Merci à toutes les personnes qui m'accompagnent, me tendent la main.
Jésus ne regarde pas les apparences. Ça ne devait pas être facile de toucher un lépreux.
Jésus me dit d'aller plus loin si je le désire. Il enlève l'égoïsme, la jalousie, le rejet, le mépris.
Si j'avais été le lépreux, je lui aurais demandé d'abord de me guérir.
Si j'avais été le public, je ne sais pas trop si j'aurais accepté de voir le lépreux s'approcher de nous. Et s'il nous contaminait ?
Jésus veut redonner au lépreux sa dignité d'homme, de citoyen, lui permettre d'être réintégré.
Ce passage d'Evangile va m'aider à regarder les autres sans juger sur les apparences.
Seigneur, que ton regard d'Amour posé sur chacun et chacune de nous, nous aide à donner du bonheur.
Les adultesIls ont été invités à mettre en commun des expériences ou des idées de gestes simples pour mieux vivre la fraternité dans nos quartiers, nos lieux de vie, notre paroisse… Impossible de redonner ici toutes les interventions, mais relevons quelques exemples …
Une équipe accompagne une famille de migrants à Etables. Aidons-les par des visites ou des dons…
En balade, au marché, dans ma rue, les gens ont besoin de parler. Bousculons nos priorités, prenons le temps et mettons-nous à l'écoute.
Pendant le premier confinement, dans mon quartier, une dame a mis un mot dans toutes les boîtes aux lettres proposant de se rendre des services les uns aux autres. C'est encore faisable !
En été, j'ai trop de légumes dans mon jardin. J'aimerais les partager…
Je connais une dame âgée qui s'ennuie, qui aimerait parler, jouer. A qui puis-je demander ?
On pourrait faire une Annonce à la fin des messes : « Si vous êtes nouveaux parmi nous, venez nous rencontrer que nous fassions connaissance ! »Vous avez sans doute beaucoup d'autres idées … Ecoutez votre cœur et osez !
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3bwduzn
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Chaque matin cultive ta #bienveillance en : - marchant pieds nus dans la rosée - prenant 5 min à écouter la nature se réveiller - buvant un verre d'eau fraîche et sentir le liquide couler dans ton corps - te plongeant dans une eau pure et naturelle ou en prenant une douche tiède - lisant un chapitre du livre que tu as mis de côté depuis longtemps - embrassant tes enfants et les couvrir de jolis mots - te remerciant de vivre cette vie que tu as mis tellement de temps à construire - .... Tu peux choisir ce que tu veux dans cette liste, et si tu peux appliquer tout ce qui est précité, bravo, tu vis une belle journée 😁☀️ . #positif #positivevibes #naturopathie #hygienisme #psychologiepositive #hydrologie #nature #reveil #eveil #livre #lecture #life #vie https://www.instagram.com/p/CCpm-6biH8o/?igshid=88oqq8t44efc
#bienveillance#positif#positivevibes#naturopathie#hygienisme#psychologiepositive#hydrologie#nature#reveil#eveil#livre#lecture#life#vie
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C'est quand même pas compliqué...
Moi tout ce que je veux c'est gagner au loto, m'acheter une maison ancienne un peu isolée dans une forêt Mais proche d'un lac, déambuler chez moi avec mes cheveux détachés et mon châle sur les épaules, tirer sur mon collier de perles en lisant dans ma grande bibliothèque, me nourrir des produits de mon jardin, avoir une petite fontaine à oiseaux à laquelle j'irai me rafraîchir les longues après midis caniculaires passés à manger des grains de raisins sur ma chaise longue.
Je ne sors qu'en robe de chambre. Un jour une personne entre sur mon domaine, je m'en offusque mais la personne est en panne et n'a pas de téléphone, elle reste déjeuner avec moi. Marthe la cuisinière se réjouit que j'échange avec quelqu'un d'autre qu'elle: "Madame, c'est bien pour vous de causer à d'autre gens que moi. C'est pas bon de rester enfermée ici" je rétorque que je passe mes journées au jardin ou au bord du lac, je ne finis même pas ma tasse de thé. Je lui dis que nous prendrons un simple bouillon. Pas question de donner l'envie de rester. Elle grommèlera mais obéira.
Finalement au court du déjeuner l'intru(se) eveille quelque chose en moi que je pensais mort depuis longtemps.
Mais la dépanneuse arrive et mon inconnu(e) m'abandonne sur le porche. L'invité/e se retourne, me salue, je lui rends son signe de la main, je souris. Je me retiens comme je le peux à la rambarde en fer forgé. Marthe arrive derrière moi, pose sa main sur mon épaule "Madame?" Je me reprends. Je passerai le reste de l'après midi à marcher furieuse au bord du lac, j'y jetterai violemment quelques galets.
Le lendemain je ne dirai pas un mot. Marthe soupirera et m'apportera des toast grillés à la confiture de poire pour le goûter. Elle me sourira tristement.
Une Fin de matinée une semaine plus tard lorsque je viendrai de me lever je trouverai une lettre sur la table dans la salle où je prends le petit déjeuner, l'horloge sonne 11h, Marthe arrive et me demande ce que je veux ce matin "des œufs brouillés, des mirtilles et un verre de jus d'oranges". Je demande ce que c'est en désignant la lettre du regard: "je ne sais pas Madame, c'était dans le courrier". Mais je ne reçois jamais de courrier. Je me lève ouvrir la fenêtre, j'ai besoin d'air frais, je n'aime pas que mon quotidien diffère. J'attends que Marthe me serve pour venir me rassoir. Elle attend que j'ouvre la missive si mystérieuse, mais elle m'est destinée à moi seule alors je lui fais signe de me laisser, elle bougonne un peu et tire sur son tablier mais retourne à la cuisine.
J'ouvre enfin la lettre. C'est une carte postale de l'inconnu/e: le bord de mer y semble vivant, chaleureux. On me remercie de mon accueil, on me dit que je suis "la femme solitaire dans la grande maison" dont au parlera aux enfants quand on en aura. On me dit que je deviendrai un mythe, que je ne mourrai jamais plus.
Je ne peux m'empêcher de sourire, je porte mes doigts sur mes lèvres pour me confirmer que je suis bien en train de sourire. J'appelle Marthe, elle arrive, précipitée "qu'est ce qu'il y a Madame?!". Je me lève et range la carte dans un tiroir, je regarde Marthe et lui demande de préparer un pique-nique pur ce midi, je lui dis que nous partons en promenade et que nous irons faire les magasins par la suite.
Marthe est enjouée, je n'ai pas quitté la maison depuis deux ans.
Je monte m'habiller, je me trouve plus jolie aujourdhui lorsque je jette un coup d'œil à mon miroir.
Je suis dans la voiture, je klaxonne car Marthe a oublié le vin blanc dans la cuisine et s'attarde. Elle revient essoufflée, s'assoit à toute vitesse dans la voiture "en route Madame!" s'exclame-t-elle et pour une fois c'est moi qui obéis.
Le gravier crisse sous les pneus. Nous voilà parties. Nous passerons une délicieuse journée. Elle en parlera à André le boulanger qui sera soulagé d'entendre ca. Il demande si cette année je passerai moi meme acheter la bûche de Noël, Marthe répond qu'elle ne sait pas de quoi l'avenir est fait Mais qu'elle a bon espoir. Elle dira "on est même allé au cinéma!" André lui rendra sa monnaie et répondra que c'est bien, qu'il faut bien qu'elle revive un peu cette petite. Elle lui rappèlera de noter ce qu'il veut pour Noël, que la petite, justement, y tient. "Samedi prochain".
Et moi je me suis remise à chantonner.
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Liebe Freunde,
bitte entschuldigt, dass ich wg. eines Außentermins mich nicht heute Vormittag an Eurer hochspannenden Debatte von Paris unter deutscher Beglückung 1940 bis Ürsül etc. beteiligen konnte. Aber am rasanteren Teil, sprich: zum Austausch von High Speed-Dirtbike-Selbstmördervideos bei Youtube (krasse Russen stellen da Handyfilmchen ihrer Buddies ein, die bei Frontalcrashs tatsächlich drauf gingen - der Russe hat halt noch Mumm) kann ich als Radfahrer wenig beitragen. Da ich so viel Zeit im Sattel verbringe, komme ich ohnehin nicht dazu, mir irgendwelche Flicks und Clips anzugucken (es reicht mir, den Kram zu produzieren... ;-)).
Trotzdem will ich nach bestem Wissen und Gewissen zur Hebung des Gesamtinformationsstands beitragen:
@ P.: Wenn Du nicht instantanement protestiert, gehen wir davon aus, dass auch Du am 10. Oktober Zeit für uns hast!? Damit ist der Termin für unser nächstes Treffen gesetzt.
- Vielen Dank für den 79 Jahre alten Lagebericht! Besonders gut gefällt mir die Aussage: "Es werden Weissagungen von Heiligen verbreitet, die dem abergläubischen Volk den günstigen Ausgang des Krieges verkünden." Wow: Es ist WWII, die Kombattanten setzen Stalinorgeln und V2-Raketen ein, aber psychologische Kriegsführung wird mit Heiligen-Weissagungen betrieben - und zwar nicht im Wolgagebiet oder unter Karpaten-Schafshirten, sondern in la douce France, patrie de l´eclaircissement! Selige Zeiten waren das...
- Ist diese halsbrecherische Paris-Besichtigung auf Kotflügelhöhe von DEM Claude Lelouch, also dem nicht ganz unbekannten Regisseur, von dem ich leider noch nie einen Film gesehen habe (soweit ich weiß)? Ob ja oder nein - wie hat er die Stadt so leergefegt? Denn "Il est cinq heure du matin, Paris s´eveille...", wie Jacques Dutronc singt - und eigentlich schläft sie vorher auch nicht. Gab es in den 1960ern mal einen Neutronenbombenabwurf, von dem ich nichts weiß?
@ JEAH: In Sachen neuer Almodovár-Film gebe ich Dir völlig Recht: Auch ich finde ihn eine arg betuliche und verzichtbare Selbstbespiegelung: Die körperlichen und seelischen Leiden alternder Kreativ-Schwuler hat weiland unser Klaus Becker selig in wesentlich amüsantere Bonmots verpackt. Aus diesem Anlass hatte ich eine der bislang größten Meinungsverschiedenheiten mit einer meiner Autorinnen, die den Film großartig findet (für mich schwer nachvollziehbar). Da ihre Rezension aber konsistent und schlüssig formuliert war, kam sie um des lieben Binnenpluralismus im Blatt unverändert in selbiges.
- Nun der Tipp vom Küchenchef: Wenn Du eine wirklich brillante Polit-Sozial-Komödie sehen willst, schau Dir "Der unverhoffte Charme des Geldes" vom frankokanadischen Regie-Genie Denys Arcand an (läuft schon zwei Wochen, also nicht lange zaudern). Plot: Paketbote mit Philosophie-Promotion, Luxusnutte und Rockerboss zweigen gemeinsam Millionen Schwarzgeld für einen guten Zweck ab. Klingt haarsträubend, ist grandios ausgefeilt und geistreich - einer der beiden besten Filme, die ich in diesem Jahr sah - war gestern mit drei Freunden nochmal drin, alle waren restlos begeistert. Insofern kann ich Dir unbesorgt eine Geld-zurück-Garantie bei Nichtgefallen anbieten - hier mehr Infos:
https://kunstundfilm.de/2019/07/charme-des-geldes/
@ A.: Lieber Alex, ich weiß nicht, ob Deutschland in Sachen Einkommensungleichheit gut da steht - ich wollte nur darauf hinweisen, dass wir relativ im Vergleich zum Rest der Welt besser als die meisten Länder dastehen. Darf ich Dich noch mit zwei Statistiken behelligen? Sie sind (weil die Sache so schwierig zu messen und diverse Daten schwer zu vergleichen sind, wie ich in meinen Bertelsmann-Jahren leidvoll erfahren musste) kaum zum Nennwert zu nehmen, aber sie geben doch einen ungefähren Eindruck der Verhältnisse, und der ist überraschend kontraintuitiv. Erstens die Liste der Länder nach Einkommensverteilung:
https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_L%C3%A4nder_nach_Einkommensverteilung
Interessanterweise haben den niedrigsten Gini-Koeffizienten osteuropäische Länder wie Slowenien, Ukraine, Tschechien, Moldawien, Kosovo, selbst Kasachstan - d.h. hier sind die Einkommensunterschiede am geringsten (auch wenn die Länder wie Moldawien oder Kosovo sehr arm sind) - vermutlich, weil alte, postkommunistische Produktionsweisen mit nahe beieinander liegenden Löhnen (auf niedrigem Niveau) noch nachwirken. Dann kommen die Skandinavier, Deutschland liegt auf Platz 19 (auf demselben Niveau wie Dänemark und Polen!), die Ungleichheit ist in Italien etwas höher als in UK, Kanada oder Australien, im Iran ist sie höher als in Russland (! - Gruß an Nasrim ;-)), in Israel, USA, Kongo und China ist sie etwa gleich hoch (!?!), in Brasilien liegt sie deutlich noch höher, und die "ungerechteste Verteilung der Welt" findet sich in Namibia, Botswana und Südafrika! Mit anderen Worten: Der ANC hat ökonomisch total versagt - man fragt sich, warum es in Soweto nicht jährlich Brotaufstände gibt... NB: All das bezieht sich auf die laufenden Einkommen!
Wenn wir von "der Spreizung der sozialen Schere" sprechen, meinen wir aber eher die Vermögensverteilung zwischen Arm und Reich - die Liste der Länder nach Vermögensverteilung entspricht eher unseren Vorstellungen, wie das Geld in der Welt verteilt ist (am besten die Liste nach der zweiten Spalte "Gini-Index 2016" sortieren):
https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_L%C3%A4nder_nach_Verm%C3%B6gensverteilung
Diese Liste ist deutlich kürzer (viele Länder fehlen), aber demnach wäre Japan das "egalitärste Land der Welt", gefolgt von mitteleuropäischen Ländern, aber auch Pakistan (während Indien die 'zweitungerechteste' Vermögensverteilung hat; Deutschland und Österreich rangieren überraschend hoch (ungerechter als Mexiko und Kolumbien, und nur wenig unter China), hier liegt Südafrika "nur" auf dem sechstletzten Platz, und die "fünf ungerechtesten Länder der Welt" sind: Indonesien, Thailand, USA, Indien und Russland. Dieses Quintett zeigt allerdings, dass die Statistik nur beschränkt aussagefähig ist: In Indonesien, Thailand und USA muss (kaum) jemand hungern (sie rangieren so weit oben wg. der Vermögenskonzentration ihrer Superreichen); in Indien und Russland schon
Ungerechtigkeit zeigt sich noch plastischer an der Differenz zwischen Durchschnitts- und Median-Vermögen von Erwachsenen (vorletzte und letzte Spalte): Je größer die Differenz, desto ungerechter die Gesellschaft, denn der Durchschnitt ist eine rein statistische Größe, während der Median anzeigt, mit wie wenig jeweils die Hälfte der Bevölkerung auskommen muss. Am krassesten ist Russland: Die Hälfte aller Russen besitzt weniger als 1000 Dollar (v.a. dörfliche Selbstversorger, deren Hütten und Ziegen monetär nichts wert sind) - der Durchschnitt liegt aber bei 10.000 Dollar, was dem Niveau von Indonesien entspricht - wo die Hälfte der Leute bis zu 2000 Dollar besitzt.
Interessanterweise besitzt bereits die Hälfte aller Chinesen (also 600 bis 700 Mio. Leute!) bis zu 5000 Dollar (das Fünffache der Russen) bei einem Durchschnittsvermögen von 22.000 Dollar (Taiwanesen haben aber acht bis zwölf Mal so viel). Die Hälfte aller Deutschen besitzt 43.000 Dollar, der Durchschnitt liegt bei 185.000 Dollar - und damit deutlich unter den Werten für Italien, Frankreich und Großbritannien (ich vermute: weil dort mehr Leute Immobilien besitzen - deren Wertberechnung ist ein ewiger Streitpunkt bei solchen Statistiken, denn einerseits ist ihr Anteil am Gesamtvermögen sehr hoch, andererseits ist es in gewissem Sinne totes Kapital). Letztes Schmankerl aus der Statistik darunter (Vermögensstufen): In 20 afrikanischen Staaten besitzen mehr als 98 Prozent der Leute weniger als 10.000 Dollar - aber 11,6 Prozent der Schweizer sind Dollarmillionäre (USA: 5,5 Prozent, Deutschland: 2,4 Prozent).
Sorry, dass mal wieder der schwatzhafte Oberlehrer mit mir durchgegangen ist - jetzt endlich zurück zur Arbeit! Nur noch ein Wort zu meiner DJV-Einladung von gestern: Will Euch keinesfalls nötigen, hinzugehen, zumal ich keineswegs garantieren kann, dass was Vernünftiges dabei herauskommt - wollte es Euch nur nicht vorenthalten!
Herzliche Grüße, O.
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En apesanteur...
Dim. 3 Nov. 2019
Eveil à 7h47, grasse matinée.
J’ai en général une nuit de retard quant à mes billets, je veux dire que j’écris le matin le billet de la veille, un genre de lendemain de veille. J’ai passé beaucoup de temps sur le précédent à cause des problèmes d’upload d’images. J’ai aussi traîné à lire des biographies sur Wikipédia et à passer de liens en liens. C’était parfait !
Le midi, comme prévu, je suis allé manger au Rasta Pasta.
J’ai commandé un Jerk Chicken, leur “signature”. La commande a été laborieuse parce qu’elle parlait sans me regarder et en articulant particulièrement mal. Mais c’était délicieux, du poulet grillé mariné, avec du riz et des haricots rouges, une salade, et une ginger beer qu’elle n’avait pas décapsulée (et que j’ai donc ouvert grâce au trottoir, à la roots quoi). J’ai mangé dehors dans la fumée du barbecue, à regarder passer les gens, heureux. Deux mecs francophones à l’accent français sont passés deux fois devant moi, l’un des deux à mon avis en descente de quelque chose : marche rigide et hésitante, visage serré, teint moite genre sueurs froides, lunettes de soleil par temps couvert... ...ou alors c’était juste un mec aux yeux clairs qu’avait froid.
Puis je me suis mis en marche, objectif CN Tower, “la” tour de Toronto ! J'y vais à vue, j’arrive au pied, je vois des gens en tout petit (pixels) qui marchent sur le rebord à 356m de haut, accrochés à un harnais (pour 195CAD). Ayant le vertige altruiste, je me sens patraque et me réfugie au Ripley’s Aquarium of Canada où je passe un certain temps. C’est dimanche, et je me demande s’il y a plus d’enfants ou de poissons. C’est en tout cas fabuleux ! 5,7 millions de litres d’eau avec des bassins accueillant des poissons de tous les bassins océaniques. J’ai particulièrement aimé la phase en tapis roulant qui nous fait passer sous des raies et des requins, notamment. C’est majestueux une raie qui nage, vue de 3/4 profil. J’aime beaucoup les méduses, quand on ne partage pas le même bassin. J’ai d’ailleurs appris qu’il existait des méduses vivant la “tête” en bas ! Très spécial !
Près de la sortie, des bassins ouverts exposent des raies. C’est plein de gens (pas spécialement des enfants d’ailleurs) qui touchent les raies. Ils sont accroupis, la main dans l’eau pendant des minutes entières, et attendent des raies. C’est bizarre comme idée, de vouloir toucher des raies, non ? J’aurais pas envie de toucher des raies moi. Même si j’aime bien les raies. C’est beau les raies.
Une famille avec trois générations me demande de les prendre en photo devant un mur gris quand il y a tous ces bassins superbes autour : so be it.
Je sors de l’aquarium, sentant dans le ventre que ça va être le moment d’affronter la tour, et surtout mon vertige... Je revois des gens marcher sur le bord : je pars donc me mettre au chaud dans un Starbucks en me disant que je guetterai le coucher de soleil. À Fukuoka j’ai rencontré un Canadien (Lefong, si tu me lis... :) ) avec qui on avait été au sommet de la tour, il m’a dit qu’il fallait toujours attendre le coucher du soleil pour profiter des sommets, j’ai pensé à lui, ce qui m’a donné une excuse de plus pour procrastiner.
Le soleil tire vers l’orange, il est temps.
À l’entrée de la tour, on se fait contrôler comme à l’aéroport, puis on peut aller s’acheter des billets. Je prends l’option qui permet de se rendre aux deux points de vue principaux, à 342 et 346m, et au SkyPod à 447m pour 15CAD de plus.
Des panneaux dans un hall circulaire font le point sur l’histoire de la construction de la tour. C’est un peu comme lire les BD ou les magazines dans la salle d’attente chez le dentiste.
Une file d’attente devant les ascenseurs, je n’avais pas prévu ça dans le timing “coucher de soleil”, au pire il fera nuit.
Ils font entrer les personnes par 9-10 dans l’ascenseur, le cordon se referme juste devant moi. Derrière moi, un charmant couple patiente. Dans leur grosse vingtaine, j’apprendrai plus tard que Louise et Gavin sont irlandais (c’était ça cet accent...). C’est Louise qui me parle en première : “Je crois que c’est une mauvaise idée de venir ici quand on a le vertige comme moi !”. Je compatis et lui dis que je viens ici en thérapie.
Nous entrons dans l’ascenseur et nous retrouvons comprimés au fond tous les trois. La verrière est transparente, le sol est transparent : échec et mat. Louise me dit en souriant : “Ok I will look at you, you look at me!”.
Donc ça monte vite, j’ai le vertige, on est comprimés à 10 dans une cage d’ascenseur, j’appréhende déjà les deux niveaux d’observation, mon thorax serre et cette magnifique inconnue aux grands yeux ardoise sur fond nacre me dit de la regarder pendant qu’elle me regarde, à côté de son irlandais de copain que je n’avais pas envie d’ennuyer. Ça ne m’aidait pas, c’est qu’elle ignorait peut-être les vertiges qu’elle détenait au fond du regard.
Les portes s’ouvrent (346m), je suis soulagé à plusieurs titres : il y a suffisamment d’espace pour ne pas que je me sente trop mal à la vue du spectacle, et le soleil n’est pas encore tout à fait couché ! Les irlandais et moi nous prenons les uns les autres en photo, puis nous tournons dans des sens opposés.
Nous nous retrouvons au second ascenseur, celui vers le SkyPod. C’est là qu’on s’échange nos prénoms, nos histoires. Louise s’installe pour 1 à 2 ans à Toronto où elle travaillera dans le marketing, Gavin lui est comptable et restera en Irlande.
Dans l’ascenseur, l’accompagnatrice récite un discours qu’elle a l’air d’avoir prononcé 30 à 40 fois dans la journée, ça me fait penser à l’accueil des patients au laboratoire du sommeil...
Le SkyPod (447m) est beaucoup plus restreint, on a le nez quasi collé à la verrière : nouvelles constrictions dans les tripes. Louise est collée au mur, Gavin est serein. On finit par redescendre au point d’observation extérieur (342m), pas de vitre, nous somme dehors, protégés par une grille à maille serrée. Les coups de vent sont impressionnants. On fait un tour complet, courageusement, puis nous marchons sur le plancher de verre qui donne vue sur le sol. Ils ont beau écrire combien d’orques, combien de bisons et autres bestiaux peuvent tenir sur le verre sans le briser, on se sent bizarre dessus, déjà sans regarder, et encore plus en affrontant la vue du sol. Mais c’est une excellente thérapie d’exposition !
T’inquiète, je n’y avais pas songé.
Louise nous prend en photo Gavin et moi sur le plancher en verre qu’elle ne foulera pas cette fois-ci, puis nous descendons au pied, et nos chemins se séparent. Belle rencontre !
Je marche le long de Queen Street et décide d’aller voir du côté de King Street. Quelques bars très sympas, mais j’ai faim ! Je remonte sur Queen et tombe sur un restaurant japonais (Saku) qui m’inspire confiance. Je sais que je serai au Japon dans 14 jours mais j’ai envie de sushis, et je me dis qu’après la tour je mérite bien ça !
La journée se termine (12 200 pas), et je rentre dormir...
...demain je me rase !
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Anti-âge : 3 gestes pour prévenir les signes de vieillesse
Routine soin
> Hydratation
L’hydratation est la clef de la jeunesse. Sur peau nettoyée, appliquez matin et soir votre soin hydratant adapté à la nature et à l’âge de votre peau. Si vous avez la petite vingtaine, les crèmes anti-âges ne sont pas conseillées, par exemple. Elles sont trop riches, mieux vaut utiliser une crème hydratante. Si votre peau est sèche, optez pour une crème à base d’agents hydratant naturels puissants comme la Crème SOS Hydratation Intense Vinosource de Caudalie , qui conquiert particulièrement les peaux sensibles. Si votre peau est grasse, choisissez une crème à hydratation plus modérée.
Pour la zone des yeux, choisissez un soin pensé pour cette zone, où la peau est particulièrement fine et sensible. Chez Lucette, on a testé le Baume Eveil Regard Aqualia Thermal de Vichy . Il hydrate, lisse et décongestionne les paupières et le coin des yeux. Bref, il fait bien tout ce qu’on peut demander à un soin pour le tour de l’œil.
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