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#et les autres le suivaient
maviedeneuneu · 2 years
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Moi hier en fin de soirée.
Alors l'escape game était hyper cool, c'était top et après mes collègues m'ont invitée à manger avec une amie qu'on a rencontré cet été. J'avais plein de choses à leur raconter sur tout ce qu'il se passe en ce moment dans ma vie et les changements qui vont avoir lieu, j'avais trop hâte de leur faire part de tout ça mais un de mes collègues a monopolisé la parole pendant absolument toute la soirée du coup ben j'ai pas pu en placer une... Je suis rentrée chez moi hyper frustrée et déçue du coup :(
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ltalaynareor · 8 days
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Le bar de Volterra
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Avertissement : La OC humaine à des problèmes de drogues et d'alcool.
La lueur trouble des néons éclairait le visage impassible de Marcus Volturi alors qu'il pénétrait dans le bar sombre de Volterra. Son lien avec sa compagne humaine criant la détresse. Il repéra rapidement la silhouette de la jeune femme, son regard perçant captant son corps fragile qui dansait d'une manière envoûtante avec un inconnu.
Le vampire noble s'approcha lentement, sa présence silencieuse n'alertant pas les autres clients. Il observa avec une intensité glaciale la scène qui se déroulait devant lui. Sa compagne semblait perdue dans une transe sans fin, la folie des drogues s'emparant d'elle.
Sans dire un mot, Marcus se fraya un chemin à travers la foule enivrée, écartant l'homme qui s'accrochait à sa bien-aimée. Son regard rougeoyant brûlait d'une fureur contenue alors qu'il se tenait face à elle. "Viens avec moi," ordonna-t-il d'une voix impérieuse, son aura dominante imposant le respect.
Les yeux écarquillés, la jeune femme réalisa soudain la présence qu'elle reconnaissait trop bien. Un mélange de confusion et de peur déforma ses traits alors qu'elle tentait vainement de résister à la volonté implacable de Marcus. Mais son regard impitoyable était une force à laquelle elle ne pouvait pas échapper.
Marcus l'enlaça avec fermeté, la soulevant de ses pieds pour la sortir du chaos oppressant du bar. Les yeux des autres clients suivaient leur départ, marqués par une curiosité mêlée de crainte.
Dans les rues sombres de Volterra, Marcus transporta sa compagne dans ses bras solides, la protégeant de la folie et de la noirceur qui menaçaient de l'engloutir. Arrivés chez eux, le vampire la déposa sur le lit avec précaution, son regard brûlant d'une passion inextinguible.
Alors qu'elle reprenait lentement conscience de la réalité qui l'entourait, Marcus s'inclina vers elle, son souffle chaud caressant sa peau pâle. "Je t'aime, ma chérie," murmura-t-il doucement, ses yeux flamboyants exprimant une dévotion sans faille.
Et dans le silence de la nuit, alors que les ombres s'étiraient et que le jour pointait à l'horizon, Marcus tint sa compagne dans ses bras, la protégeant de tous les dangers qui pourraient menacer leur amour éternel.
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recapqsmp · 1 year
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Mercredi 23/08 - La maison dans les bois
Baghera a reçu la visite de Cucurucho. Elle a reçu la mission de faire un emplacement de camping. Elle a hésité a l'accomplir, pour ne pas satisfaire la fédération, mais elle a fini par accepter. Elle a demandé à BadBoy et Dapper de l'aider dans cette tâche.
Maximus est sorti de son coma ! Il est guéri, son parasite a été retiré ! Néanmoins, alors qu'il pensait pouvoir enfin vivre une vie normale à nouveau, il a remarqué que sa jambe était devenue verte. Il a décidé de n'en parler à personne.
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https://clips.twitch.tv/AltruisticOnerousLobsterTTours-3Vq9wgKEV8YMTOAA
Quackity est de retour pour effectuer son speedrun. Il a été rejoint par Roier, et quand Quackity a expliqué vouloir construire une maison, celui-ci lui a proposé d'aller aux favelas. Quackity a noté des coordonnées aux hasard en pensant que c'était l'emplacement des Favelas. Ils y sont allés, pendant que Baghera, BadBoy, Foolish et Maximus les suivaient.
Une fois que tout le groupe a rejoint les deux dans un donjon, Quackity a réussi a s'enfuir pour rejoindre le point marqué. Il a commencé a construire sa maison en bois avant d'être rejoint à nouveau par les autres. Maximus lui a demandé si Quackity savait qu'il avait disparu depuis 2 mois, il lui a répondu "…non ?". Même chose quand il l'a interrogé à propos de Tilin.
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https://clips.twitch.tv/PunchyArtisticBearSwiftRage-V_hRSrxbps4MhklU
Quackity a enfin construit une petite maison dans les bois. Il a été rejoint par tout le monde, a posé quelques lits, et sous la pression des questions de tout le monde, a fini par se déconnecter, en disant qu'il irait chercher du fer demain.
Maximus et Forever ont discuté des évènements qui se sont produits, avec son opération, et le retour de Quackity. Maximus a redemandé à Forever des moteurs créatifs, Forever a répondu qu'il allait voir s'il pouvait en récupérer un pour vendredi. Forever lui a aussi demandé quelque chose : s'il pouvait créer un super ordinateur.
Maximus a demandé à Cucurucho de venir l'aider chez lui. Il l'a invité dans son sous-sol, et lui a dit qu'il souhaitait faire la paix avec lui. Cucurucho a accepté. Maximus lui a ensuite demandé s'il pouvait lui donner un super ordinateur pour combler le vide de la perte de Sofia, vu que la fédération est censé tout faire pour le bonheur des habitants de l'île. Après s'être moqué de lui en lui donnant des télés et des écrans, il lui a dit ne pas être en possession d'un tel objet, et s'est enfuit. Maximus a alors posé un schéma dans sa salle d'enquête correspondant à un plan d'arme atomique.
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Quackity a annoncé 2 nouvelles personnes rejoignant QSMP : RiversGG et Nihachu ! D'autres annonces seront postés demain.
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alexar60 · 1 year
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Marécage
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Des marais à perte de vue !
Moins connu que Gauvain, Tugdual venait aussi du pays de Galles. Il avait traversé les mers pour trouver ce que les chevaliers de la table ronde cherchent depuis toujours, le Saint Graal. Dans le nord, il avait combattu des hommes des glaces. A l’ouest, il s’est opposé au terrible serpent de mer, A l’est, c’était la fameuse horde sauvage qu’il défia pour sauver un petit village sans richesse. Quant au sud, il affronta le géant des sables. Mais de tous ses défis, il ne pensait pas que celui-ci serait le plus compliqué.
Des marais à perte de vue !
Voilà comment les paysans de la région décrivirent l’endroit. La piste donnée par un marchant local obligeait de s’enfoncer dans les terres de Nimué. Mais, à l’approche, il comprit qu’il ne serait pas facile d’entrer dans ces terres. C’était une immense étendue d’eau et de bois où personne n’allait par peur des superstitions. On disait qu’il était hanté, qu’un monstre habitait la zone et dévorait tout être vivant pénétrant dans le marécage. D’ailleurs, Tugdual n’entendit aucun chant d’oiseau, preuve que même ceux qui sont censés être à l’abri, ne se sentent pas protégés.
Le chevalier suivit son instinct. « Si le Graal est au centre de cet enfer », j’irai le chercher, pensa-t-il. Personne ne voulut l’aider. Ainsi, il acheta une barque et s’enfonça sous le regard médusé et désolé des villageois. Au début, tout se passait bien. Mais après avoir traversé le lac, ou plutôt la grande étendue d’eau, sa barque pénétra le sanctuaire interdit.
Puis, il fut confronté à différents problèmes. La chaleur étouffante du jour laissait sa place à au froid glacial de la nuit. L’humidité fut si importante et l’air si vicié qu’il vit, de ses propres yeux, son épée commencer à rouiller. Son bateau n’avançait que rarement dans l’eau croupie, l’obligeant à ramer et à se jeter dans le marais pour couper les racines des arbres ou des plantes qui, l’empêchaient de continuer sa route. Et le brouillard toujours présent, devenait de plus en plus dense quand il s’enfonçait dans ce marais infect. Dès lors, il réalisait que sa quête devenait absurde.
Des marais à perte de vue !
Après quelques jours, Tugdual pensait avoir fait le plus dur. Mais quelque-chose ne lui convenait pas. En effet, plus il avançait, plus il avait la sensation de déjà-vu. « Cet arbre, je l’ai aperçu. Et cette broussaille qui ressemble à un cheval, je le reconnais.» se disait le chevalier. De même, les arbres ressemblaient énormément à des formes humaines. Il crut même qu’ils gesticulaient des bras en voyant le vent bouger les branches.
Des marais à perte de vue !
Il avait fini ses provisions. Dès lors, il se mit à pêcher et récupérer quelques poissons. Tous avaient une terrible odeur de vase. Il vomit, sentant la maladie l’envahir. Et les moustiques qui s’amusaient à sucer son sang. Sa tête était chaude, il regrettait cette quête.
Des marais à perte de vue !
Dans son rêve, Tugdual vit une jeune femme aux cheveux d’or et à la peau blanche. Elle sortait de l’eau et l’invitait à le rejoindre. Il tendit le bras pour attraper sa main et se laissa glisser hors du bateau. Lorsqu’il se réveilla en avalant une gorgée d’eau putride, il se rendit compte qu’il était au milieu de rien. Sa barque avançait lentement. Lui qui ne savait pas nager, dut faire un effort surhumain pour la rejoindre, Enfin sur les planches, il souffla et s’endormit de nouveau. Le brouillard se faisait de plus en plus épais.
Il regrettait l’absence de son écuyer ou d’un compagnon. Son homme de main tomba malade quelques jours avant d’arriver dans ce village maudit. Il aurait pu attendre qu’il se rétablisse mais son esprit contenait trop d’impatience. Alors, il laissa son fidèle serviteur pensant le revoir dans quelques jours au plus. Et les autres chevaliers suivaient une autre piste à l’autre bout du pays ou en Calédonie. Dieu qu’il se sentait seul dans ce monde perdu. Même les oiseaux ne chantaient pas pour lui.
Soudain un craquement puis un cri. C’était le hurlement d’un animal. Devant son embarcation, l’eau se mit à bouillir. Il serra son épée à moitié tachée de rouille et observa cette eau remuer dans tous les sens. Le bateau continua d’avancer avec une lenteur insupportable. Il se mit à prier n’importe quel dieu. Malgré son baptême, il demeurait encore païen et louait toujours quelques dieux celtes. La rivière se calma brusquement. Tugdual observa les semblants de rives touffues et inaccessibles. Il jeta un œil sur un morceau de bois flottant. C’était les restes d’un cor de cerf. La tête arrachée regardait Tugdual en tirant la langue. L’intrépide semblait lire dans ce regard vide un danger.
Des marais à perte de vue !
A peine remis de cette vision d’horreur, le chevalier sentit quelque-chose frapper son épaule. C’était un tentacule. L’homme se releva immédiatement l’épée à la main. Face à lui, un monstre se dressait, des yeux globuleux le dévisageaient. Un second tentacule sortit de l’eau puis un troisième. Dès lors, le poulpe s’amusa avec la barque en la bousculant. Tugdual tomba, mais réussit à se maintenir dedans. Le monstre jouait, le bateau, collé aux  bras de la pieuvre, ne touchait plus l’eau. Un tentacule enroula la barque avant de l’écraser comme un vulgaire insecte. Le jeune héros plongea, malgré lui, dans une eau noire et dangereuse.
Il se débattait aussi bien pour ne pas se noyer que pour se défendre du poulpe. Son poignard frappait l’eau sans toucher le monstre. Il frappait et essayait en même temps de rejoindre la rive. Enfin il arriva à avoir pieds et put courir jusqu’au bord. Il regarda l’étendue d’eau. Tout était calme. La pieuvre avait disparu. Jamais il n’aurait pensé rencontrer un pareil animal en cet endroit.
Des marais à perte de vue !
Tugdual avait tout perdu. Il ne lui restait qu’un couteau accroché à sa ceinture. Il avançait à travers les ronces et les feuillages denses. Le brouillard n’aidait pas. Il essaya de chercher de la nourriture. Mais c’était le rôle de son écuyer que de chasser les petits animaux. Lui était habitué aux sangliers, aux cerfs et autres gibiers de grande envergure. Il marchait cherchant à longer la rivière.
Des marais à perte de vue !
La traversé devint encore plus longue et périlleuse. Il risqua de s’effondrer d’épuisement dans la boue et les flaques. Ses vêtements se déchirèrent au contact des ronces et autre plantes à aiguilles. Il sentait la verdure blesser sa chair. Il avait mal. Mais il ne voulait pas mourir en cet endroit. Savoir que son corps finirait ici, imaginer ses ossements pourrir dans ce marécage, le révulsait. Alors, il trouva la force de continuer.
Des marais à perte de vue !
A cause de la soif, de la faim et de la fatigue, son imagination joua des tours. Il entendit une étrange mélodie. C’était un chant doux, une voix féminine harmonieuse. Il s’arrêta, chercha à regarder le ciel à travers la brume. Celle-ci parut moins épaisse. Et si ce n’était pas un mirage ? S’il entendait bien une femme chanter ? Aussitôt il s’engouffra au milieu des buissons en direction de ce chant. Il trébucha sur les racines, s’arracha la peau des bras et des jambes. Il faillit se crever un œil avec une branche tendue. Enfin, le brouillard avait disparu ainsi que la forêt et les marécages.
Tugdual avait réussi. Un château de pierre se dressait devant lui. Il marcha difficilement, ses jambes tremblantes avaient de plus en plus de mal à avancer. Il s’agenouilla, se mit à ramper vers ce château fantastique. Puis il s’endormit. Pendant ce temps, une jeune femme chantait à côté d’une fenêtre. A ses côté, un homme sourire aux lèvres, tenait une coupe de vin. Ses habits étaient des plus éclatants. Il était envouté par la beauté de la chanteuse… A moins que ce soit par sa magie, parce qu’il ressemblait trait pour trait à Tugdual.
Alex@r60 – août 2023
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 10 "Une femme mure sur la plage"
La mer était basse, des petites vaguelettes se suivaient en cascade, formant des lignes d’écume leur course pour se fondre sur le sable. Julie rompait cette communion silencieuse
- Que c’est reposant Titouan ! C’est parfait, j’adore ce paysage sauvage, loin de tout, tu es un ange de m’avoir amené ici ! Elle se tourna vers moi pour m’embrasser la joue en remerciement
Je sentais la pression de ses doigts sur ma hanche, comme pour se lover contre moi pour profiter de la magie de l’instant
- J’adore ce coin aussi Julie, je suis heureux de vous y amener, c’est un moment inoubliable pour moi, que d’y revenir avec vous « la femme mure de la plage » ! J’étais dans mes songes en sa compagnie, ému, laissant aller mes pensées, mais aussitôt je réalisais l’indélicatesse de mon propos
Je ne savais plus quoi ajouter quand elle tourna la tête vers moi avec une expression de surprise. Sans autre commentaire elle ajouta
- On va s’installer plus bas Titouan ! Elle prit mon bras pour descendre la dune qui menait sur la plage
En approchant du bord, elle me montra du doigts un endroit qui lui convenait pour s’installer en tournant la tête vers moi elle me demanda 
- C’est moi que tu évoquais Titouan, en disant « la femme mure de la plage » ? 
J’étais gêné, je m’en voulais de l’avoir appelé ainsi et surtout très embarrassé. Comment justifier cette dénomination impersonnelle qui me trottait dans la tête depuis ce premier jour. Je m’empêtrais dans des explications sans savoir comment m’en sortir. Elle se mit à rire devant mes tentatives incohérentes mais insista pour savoir ce que j’avais voulu dire
Je me sentais coincé mais je lui devais une explication et que la meilleure était de lui dire les choses avec franchise. Elle s’arrêta en posant son parasol 
- On peut s’installer ici, ça te va Titouan ? 
- Oui bien sur Julie, on sera très bien, on a le temps avant que la mer remonte, on se mettra un peu plus haut s’il faut ! Répondais-je en posant à mon tour son panier et mon sac à dos
Elle restait debout face à moi, comme si elle attendait une réponse à sa question. Je baissais les yeux en lui avouant ce que j’avais ressenti le premier jour où je l’avais vu sur la plage et les autres matins jusqu’au jour où nous avions parlé avant de se baigner ensemble. Elle m’écoutait sans rien dire, curieuse, silencieuse jusqu’au moment où mon embarras devenait si gênant qu’elle reprit
- Tu sais Titouan, j’avais remarqué tes regards indiscrets par moment, mais je n’imaginais pas que tu pensais à moi au point de m’appeler ainsi, ça me donne la sensation d’être une proie que tu convoitais ! Résumait-elle d’une voix calme et ferme
Une fois encore je me sentais morveux comme un gamin surprit essayant de cacher des pensées inavouables
- Excusez-moi Julie, il n’y a rien de méchant dans ce propos mais pour tout vous dire, dès que je vous ai vu, j’ai ressenti une attirance, je vous ai trouvé belle, fascinante ... inaccessible, alors dans mon esprit vous étiez « la femme mure de la plage ». Je n’ai jamais pensé être indélicat j’ai beaucoup de respect pour vous mais vous occpuez mes pensées depuis ce jour
Elle m’écoutait attentive, on était debout l’un en face de l’autre, elle avait lâché mon bras depuis qu’on s’était arrêté. Elle semblait surprise, hésitante ne sachant comment interpréter ce que je lui avouais malgré un sourire retenu, son expression était un mélange de tendresse et d’étonnement, je la sentais émue tout comme je l’étais en maintenant son regard
Elle caressa ma joue sans rien ajouter et ouvrit ses bras en disant
- Viens dans mes bras Titouan, tu es trop touchant !
Je fis un pas en avant pour me serrer contre elle, ses bras se refermant sur moi, hésitant un instant j’entourais sa taille pour me serrer contre elle. Je sentais sa poitrine s’écraser sur mon torse et la chaleur de son corps m’envahissait d’un frisson. Je sentais mon coeur battre contre sa poitrine. Elle redressa sa tête vers moi et me couvrit de petits bécots sur le visage, pour finir par poser ses lèvres sur les miennes en m’entrainant dans un long baiser d’amour. 
Ses lèvres s’entrouvraient sur les miennes, posant sa main sur l’arrière de mon crâne comme pour m’inviter dans un baiser d’une douceur enivrante. Je ne pouvais retenir l’effet qui venait durcir contre son ventre. Ce moment dura une éternité, je savais qu’il me resterait à jamais
Quand elle recula ses lèvres des miennes, elle garda un moment ma tête dans son cou en m’avouant qu’elle n’avait jamais eu un anniversaire aussi surprenant, aussi troublant, que c’était son anniversaire le plus agréable depuis bien des années. Elle chuchotait à mon oreille, j’étais aux anges et terriblement excité d’un désir interdit jusqu’alors. 
Mes bras se pressaient autour de sa taille, je pouvais ressentir l’épaisseur de ses hanches, de son corps mature dont les formes se « lovaient » contre moi, épousant mon torse. Je découvrais la douceur confortable de son ventre contre mon sexe qui réagissait malgré moi dans mon bermuda. Mes doigts commençaient à se hasarder sur ses reins à travers sa tunique, révélant la texture élastique de son maillot, ma main remontait sur son dos cherchant sa peau nue, ma paume s’ouvrit pour rester entre ses omoplates en exerçant une pression que je maintenais, comme pour laisser son buste et sa poitrine m’envelopper de leur douceur
On restait un long moment, sans bouger, sans rien dire, je pouvais sentir l’odeur de sa peau d’où émanait un parfum discret, mes narines prenaient comme des bouffées de son parfum naturel, mes lèvres pouvaient caresser la douceur de sa peau
- Tu es bien comme ça Titouan ? Chuchotait-elle, rompant ce moment de communion inattendu mais tellement rêvé
Je n’osais plus bouger, mes yeux embrumés de bien-être s’ouvraient, mes lèvres contre sa nuque lui volaient un baiser presque indicible
- Oh Julie, je n’ai jamais ressenti un moment aussi troublant, aussi doux, aussi … ! Je m’arrêtais avant de lui faire comprendre le désir et l’excitation que je ressentais
- Je le ressens aussi Titouan, même si ça ne se voit pas ! Enchainait-elle pour m’éviter une nouvelle maladresse, je compris qu’elle avait senti mon excitation et ne s’en offusquait pas
- Pardon Julie, je ne veux pas vous choquer mais je vis un rêve éveillé ! J’étais sincère et redressait ma tête pour la regarder comme pour m’assurer que je ne rêvais pas
Elle me souriait tendrement, ses yeux étaient luisants, elle s’approcha en déposant un baiser sur mes lèvres puis passa sa main dans mes cheveux en disant
- Et si on s’installait mon prince, j’ai envie de me baigner, pas toi ? Reprenait-elle de sa voix qui me devenait familière, douce et sure comme pour me sortir de ce moment onirique
Je me sentais gêné en m’écartant d’elle, je me baissais lui rapprochant son panier et m’occuper de mes affaires. Je sortais ma serviette en l’étalant sur le sable tout en restant accroupi. Je gagnais du temps en espérant que mon ardeur allait se calmer avant de retirer mon bermuda
Julie était debout, elle regardait les alentours 
- Finalement j’ai choisi mon maillot bleu marines avec les brettelles blanches ! Lançait-elle en attrapant sa tunique pour la retirer d’un coup par dessus sa tête
Je levais les yeux alors qu’elle dévoilait ses cuisses en même temps que son maillot m’apparaissait, je l’avais imaginé noir mais au soleil il était d’un bleu pétrole très sombre proche du noir. Son visage était masqué un court instant par sa tunique qu’elle tirait par dessus sa tête, ce bref moment me dévoila son entrecuisse qui laissa apparaitre quelques poils pubiens, confirmant comme je l’avais rêvé, une toison naturelle et visiblement dense. A cette vision, mon érection n’allait pas se calmer j’essayais de rester le plus naturel possible quand son visage réapparu, elle me regardait comme si elle attendait une réaction sur le choix de son maillot
- Il est très beau ce maillot Julie, j’étais bien embarrassé pour vous conseiller lequel porter !
- Je pensais que tu aurais choisis celui là en dernier Titouan, c’est le plus sobre, plus discret, celui qui correspond le plus à mon âge ! Répondait-elle en rajustant machinalement son maillot comme le font les femmes qui viennent de se dévetir sur la plage. Ses mains tiraient l’élastique au niveau des cuisses, comme pour remettre en ordre tout ce qui pouvait dépasser
- Il est très élégant je trouve, il vous va bien même si je vous ai pas vu avec les … autres ! J’étais en contrebas à genoux sur ma serviette alors qu’elle était à peine à 2 mètres de moi. Je m’arrêtais net avant de finir ma phrase en la regardant tirer son maillot pour ranger pudiquement les quelques poils anarchiques qui dépassaient 
En me voyant, elle baissa la tête comme pour vérifier que plus rien ne dépassait, ajoutant :
- Tu vois je suis pas vraiment prête ni à la mode pour faire du naturisme Titouan ! Et elle se mit à rire en me voyant ravaler ma salive avec un sourire troublé. Tout ce qui se passait et cette délicieuse surprise que j’imaginais et espérais dans mes pensées solitaires, me mettait dans tout mes états
- Sans vouloir vous choquer Julie, je ne sais pas s’il y a une mode pour le naturisme et puis c’est naturel, je trouve que c’est plus féminin une femme naturelle
- Ah oui vraiment ! Je pensais que les jeunes préféraient les femmes rasées ou entretenues au moins ? Elle parlait de ce sujet avec spontanéité, comme si elle évoquait avec naturel une partie de son anatomie
- Pas moi Julie, je n’ai jamais aimé cette mode anti-poils ! Ajoutais-je comme pour la rassurer et tenter de me mettre au diapason. Elle avait une certaine pudeur pourtant elle parlait sans détour, elle était médecin et devait être confrontée à la nudité quotidiennement en tant que dermatologue
- Tu ne te met pas en maillot Titouan, à moins que tu aies décidé de faire du naturisme ? Reprenait-elle en sortant sa serviette de son panier 
- Si, si Julie je vais aller me baigner aussi et si vous gardez votre maillot je garde le mien ! Pourtant j’étais très gêné, mon sexe était dur et en maillot je ne pouvais pas lui cacher mon érection
J’enlevais mon tee-shirt en le passant par dessus ma tête, elle sortait des affaires de son panier, j’en profitais pour retirer mon bermuda en restant le plus recroquevillé possible, espérant une baisse rapide de mon désir. Je me sentais honteux comme un gamin qui bande pour un rien, y compris quelques poils qui dépassent mais tout ce qui m’arrivait ce matin et ces aveux de la veille, me rendait plus que sensible au moindre détail intime
Une fois sortie ses affaires, elle pris sa crème solaire et m’en proposa en jouant son rôle de spécialiste de la peau, me rappelant les méfaits d’une exposition prolongée au soleil. En tendant son tube de crème, elle s’enduisait les bras en ajoutant :
- Elle résiste à l’eau et même si ta peau est encore jeune et déjà bien bronzée, c’est plus prudent avec ce soleil
J’avais même droit à de la prévention, je l’écoutais attentivement quand elle me mettait en garde sur le vieillissement prématuré de la peau à cause d’exposition trop longues et répétées, sans parler des risques de cancer, elle utilisait le terme « mélanome malin » et parlait de ses patientes obsédées par leur bronzage qui avaient l’épiderme fripé alors qu’elles avaient à peine plus de 40 ans
Je n’aimais pas trop m’enduire de ces crèmes grasses mais je me laissais convaincre par ses conseils avisés, je voulais lui faire plaisir et ça me permettait de gagner un peu de temps. Je tendais ma main pendant qu’elle pressait le tube pour me donner de la crème, la laissant décider sur la quantité. Je l’étalais sur mon bras, mes épaules, passait rapidement sur mon torse et un peu le visage. Elle me tendait le tube à nouveau en souriant pour que je n’oublie pas l’autre bras et les jambes m’ordonnait-elle en me taquinant
De son côté elle s’enduisait en massant toutes les parties dénudées de son corps, rajoutant de petites quantités sans oublier l’arrière de ses cuisses et ses mollets, pour terminer par son buste où son maillot laissait apparaitre le délicieux sillon de sa poitrine. J’étais toujours à genoux, je la regardais faire tout en continuant à faire pénétrer la crème sur mes cuisses en mimant ses gestes. Elle me tendit le tube à nouveau en me demandant :
- Tu veux bien m’en mettre dans le dos mon prince ! Je t’en mettrai après !  Elle souriait en me tendant à nouveau sa crème, l’odeur parfumée planait autour de nous, c’était un moment très agréable que le cerveau enregistrait par association, ces odeurs qu’on associe à des souvenirs de plage
Je reconnaissais cette odeur, celle que j’avais senti lors de nos précédentes entrevues. Elle se tourna pour m’offrir son dos, je me relevais et posait une noix de crème entre ses omoplates, une autre un peu plus bas où son maillot le permettait et au niveau de sa nuque. Mon érection qui commençait à dégonfler, se réveilla à nouveau en voyant son dos et son fessier si proche, proche de son dos, elle se réveillait encore plus quand mes doigts rentraient en contact avec sa peau chaude. Elle avait une superbe peau, hâlée sans être brulée, sa texture était douce et soignée, avec le soleil je découvrais un léger duvet blond répartis sur ses bras
Elle restait silencieuse, mes mains étalaient délicatement la crème en suivant la frontière de son maillot bleu sombre, mes doigts imprégnaient les endroits encore lisse. Je caressais sa peau pour la première fois, mes doigts étaient caressant et s’attardaient pour faire pénétrer le surplus de crème
- C’est très agréable Titouan mais vas-y plus fort si tu veux qu’elle pénètre ! Disait-elle en soulevant d’une main ses cheveux attachés en queue de cheval, m’invitant à masser sa nuque et son dos
- D’accord Julie, mais je crois que j’ai du en mettre un peu trop ! Rétorquais-je insistant plus fortement sur sa nuque, je sentais sa nuque se raidir pour maintenir sa tête
Elle se tût, je massais assez fermement sa nuque en glissant jusqu’à son cou, après quelques passages répétés je percevais un « hum !!! ». Elle profitait d’un soin du corps administré debout sur cette plage déserte. Quand mes mains descendaient sur son dos en étalant la crème sur les côtés, mes doigts rencontraient les plis de sa peau, ses petits bourrelets que je trouvais émouvants, signe de son âge mure où la peau s’enrobe avec l’âge. Arrivés en bas de son dos, mes paumes remontaient, je voyais sa peau rouler formant de petits monticules au bout de mes doigts
Sans rien dire, elle dégagea ses épaules en faisant glisser ses bretelles l’une après l’autre sur ses bras, pour m’inviter à rajouter un peu de crème. Je remettais de la crème sur chacune de ses épaules, mes mains se faisaient plus fermes sur ses épaules, elle bougeait au rythme de mes passages. Ces épaules avaient une rondeur délicieuse, ses bras marquaient un pli charnu, mes doigts se faufilaient presque dans ses plis y compris ceux formés par sa poitrine qu’elle retenait de ses bras repliés. Son silence semblait me dire qu’elle appréciait mes mains et ce massage que je prodiguais avec concentration et un désir retenu
- Merci mon prince, tu es merveilleux de douceur, ma peau sera bien protégée. A ton tour maintenant ! Elle se retournait vers moi en replaçant ses bretelles, aussitôt je me tournais pour lui offrir mon dos et lui cacher cette bosse qui n’avait cessé de gonfler durant cette séance de crémage
Je laissais mes bras tendu et replié devant moi comme si j’étais à la messe. Je sentais la fraicheur de la crème sur ma peau, elle en posait à différents endroits de mon dos
- Tu es noir déjà, ça te du bien ça va nourrir ta peau ! Je sentais sa main ferme et experte, elle me massait le dos presque avec vigueur comme le ferait un professionnel, j’étais surpris par sa fermeté et son efficacité. A peine 1 minute plus tard elle disait 
- Voilà tu es paré mon beau prince charmant ! Et elle laissa sa main glisser sur mon dos d’une caresse plus douce avant que je sente sa joue se frotter contre mon dos pour terminer par une touche de douceur qui m’était dédiée
- Merci Julie ! Merci pour tout, pour votre douceur ! Évidemment je ne pouvais pas faire autrement que de me retourner l’air un peu gêné. 
Elle ne mit pas longtemps à être attiré par ma protubérance qui déformait mon short. Elle échappa un « oh !!! » de surprise en découvrant cette érection qui m’encombrait depuis qu’on s’était embrassé, évidemment cette séance de crème solaire n’avait fait que l’amplifier
- Eh bien dis donc Titouan ! Quelle sensibilité ! tu as apprécié on dirait ? Elle prenait un ton léger et chantonnant, elle me taquinait en regardant mon short qui se tendait en formant une bosse difficile à cacher. Sa réaction avec sa main devant sa bouche en lâchant ce « Oh ! » semblait presque flatteur malgré tout j’étais vraiment gêné
- Désolé Julie mais je … enfin vous savez … c’est malgré moi je ne veux pas vous paraitre grossier mais vous me … ! Je m’empêtrais encore, essayant de retrouver mes moyens et finissais par me raisonner en me rappelant mes intentions, de rester moi-même. Je savais qu’avec une femme de cet âge, c’était peine perdue de tenter de la duper en essayant d’être beau parleur
- Pardon mais je suis comme dans un rêve Julie ! je passe un moment agréable, merveilleusement agréable. Je sais que je n’oublierai jamais ce que je vis en ce moment, c’est tellement inattendu ce qui nous arrive, m’arrive pardon ! Je me reprenais ne voulant pas décider pour elle ce qui pouvait être agréable et inattendu
- Je ressens aussi des choses Titouan, comme des papillons dans le ventre. Pour moi aussi c’est plus que particulier ce qui m’arrive, inattendu comme tu dis mais si agréable et flatteur alors profitons de ce moment, et cette journée rien qu’à nous ! Sa voix était posée, sure, douce, tendre, encore plus quand elle parlait de notre désir. Elle prit ma main en m’entrainant :
- Viens mon prince, on va se baigner ça nous fera du bien. La mer est à nous alors profitons en ! Je sentais la sagesse dans ses comportements et la patience de la maturité comme si elle me disait qu’on avait le temps et que le moment venu on profiterai de cette envie encore interdite il y a quelques jours
Je ressentais un moment de pur bonheur ce jour là ! Nous chahutions en nous baignant, comme 2 gamins qui s’amusent et se cherchent. Je lui apprenais à surfer sur le ventre en se laissant pousser par les vaguelettes qui nous ramenaient vers le bord. Elle était d’humeur joyeuse, légère, tactile par moment en me volant des baisers avant de me plonger la tête sous l’eau, comme le ferait une fille qui se laisse flirter par un jeune coq
En rejoignant nos serviettes, je posais ma main sur sa taille, elle ne disait rien je sentais ses hanches qui roulaient en marchant. Je prenais un peu plus d’assurance après cette baignade mouvementée en lui disant :
- La prochaine fois je me baigne tout nu Julie ! Je lui annonçais ma décision comme pour la prévenir, on savait qu’on se baignerai à nouveau, le soleil brillait, c’était une journée à rester à l’ombre ou sinon se baigner toutes les heures. La fin de matinée approchait sans avoir aperçu la moindre âme qui vive mis à part des mouettes qui survolaient la mer et des bateaux qui passaient au large
Elle me regarda, moitié amusée moitié surprise par ma décision qui sonnait comme un avertissement 
- Tu préfères me prévenir Titouan ? Elle baissa les yeux vers mon short, elle évita de se prononcer en ajoutant
- Ca va mieux on dirait ! La fraicheur de l’eau t’a fait du bien tu vois ! Son intonation était taquine à nouveau mais je devinais dans ses attitudes sa voix enjouée, qu’elle passait un moment agréable. Elle me remerciait encore pour ce moment de détente
On allait rejoindre nos serviettes, avant de s’allonger elle voulu installer le parasol. Je la devançais pendant qu’elle s’allongeait sur sa serviette, le dos au soleil. J’orientais le parasol pour la protéger, pendant qu’elle me guidait, préférant garder le haut de son corps à l’ombre. Malgré le parasol qui abritait son visage, elle se coiffait d’un chapeau large. Je la regardais avant de m’installer à mon tour à côté d’elle
Allongée sur le ventre, redressée sur ses coudes dans son maillot bleu pétrole à bretelles blanches, son chapeau et ses lunettes de soleil sur le nez, elle avait une allure bourgeoise, une dame, une allure de star !
- Tu veux une petite place à l’ombre aussi Titouan ? Me demandait-elle avec générosité comme si elle me conseillait vivement de me protéger à côté d’elle
J’acceptais avec plaisir, plus pour rester proche d’elle que pour me protéger. Nos serviettes se mêlaient en une grande serviette qu’on partageait comme un couple. Elle, allongée sur le ventre tandis que j’étais sur le côté, tourné sur sa gauche, un bras replié soutenant ma tête. 
Nous échangions de choses et d’autres, sur cette plage et ce lieu, sur les vacances et sur nous, y compris le souvenir de notre rencontre les matins précédents, notre premier bain, son séjour qu’elle ressentait si particulier. Par moment je replaçais une de ses mèches en caressant sa tête. 
Elle posa sa tête dans ses bras repliés comme un abandon, je ressentais son désir de savourer l’instant. Voyant ces jambes au soleil, je lui proposais de lui mettre de la crème. Elle se retourna en disant que ses cuisses commençaient à chauffer. Elle accepta en me remerciant et se redressa pour me donner sa crème rangée dans son panier
Je m’agenouillais au niveau de ses jambes avant de presser le tube sur sa peau qui était déjà chauffée par le soleil. Elle en profita pour baisser ses bretelles et dégager ses bras avant de reposer sa tête sur son avant-bras. A part sa poitrine, plus rien ne retenait le haut de son maillot, je découvrais le galbe de son sein gauche et le pli arrondi qui se formait de son aisselle jusque sous son sein aplati sur la serviette. 
J’étais admiratif et fier d’être là avec elle, je planais tout en éparpillant des échantillons de crème sur ses cuisses et m’installait a califourchon sur ses chevilles. Je commençais à masser ses chevilles, ses mollets en remontant sur ses jambes, faisant pénétrer la crème. Elle tourna se tête dans le creux de son bras, lâchant quelques « hum ! » de contentement comme lorsqu’on savoure un moment de bien-être.
Petit à petit je remontais jusqu’à m’installer plus haut sur ses jambes, au creux de ses mollets, sans pour autant m’assoir dessus. Je massais l’arrière de ses cuisses sensuellement. Des cuisses épaisses et charnues sans être grosses, joliment galbées malgré quelques marques de maturité. Sa peau fléchissait en s’enfonçant sous la pression de mes mains, mes doigts glissaient dans le sillonnée formaient ses cuisses serrées, osant venir enduire avec mes pouces, le pli que marquaient ses globes de fesses en enfonçant légèrement jusque sur les côtés
Je me justifiais en évoquant la douleur des coups de soleil à ces endroits fragiles et oubliés qui laissaient souvent des marques blanches chez les femmes. Elle en rigolait en acquiesçant dans son bras et répondant par des « hum !!! ». Pendant que je remettais de la crème, elle resta la tête dans son bras et me demanda
- Tu as raison Titouan la peau est fragile à cet endroit ! Tu peux remonter mon maillot un peu, il reste pas toujours en place sur mes fesses, enfin raisonnablement tout de même ! Ajoutait-elle en murmurant dans son bras pour justifier ce « un peu »
Je n’en revenais pas, elle me demandait de dégager « un peu » ses fesses pour les masser de crème. Je ravalais ma salive en répondant
- Bien sur Julie ! Avec plaisir ! mon sang ne faisait qu’un tour, il s’arrêtait net dans mon short, provocant immédiatement un effet sur mon sexe, je remontais sur ses cuisses pour accéder librement à son maillot qui enveloppait son fessier qui m’avait fait tant d’effet depuis ce premier jour
Mes doigts attrapaient délicatement l’élastique, dégageant raisonnablement ses fesses charnues, pour ne pas dire plus en les voyant de si prêt, j’avais tout le loisir de les admirer avec cette séance de crème solaire qui durait déjà depuis quelques minutes et devenait au massage
Je découvrais en partie ses fesses laissant apparaitre une peau d’un blanc laiteux, ce fessier qui me faisait tant fantasmer. Je posais une noix de crème sur ses 2 globes rebondis et glissait mes mains en remontant de ses cuisses pour terminer en massant ses fesses, allant de bas en haut, m’attardant sur les côtés avec mes pouces qui inévitablement les écartaient avec la délicatesse que cette femme m’inspirait. 
Mes pouces s’enfonçaient tandis mes autres doigts glissaient plus haut sur ses fesses, au début par dessus le maillot, petit à petit en dessous, elle ne s’en offusquait pas. Mes doigts disparaissant de plus en plus profondément sous son maillot, goutaient la délicieuse intimité de ses fesses rebondies. Je ne résistais pas à l’envie de rajouter de la crème, l’envie me rendait entreprenant, je m’étais juré de rester moi-même mais je sentais mon désir prendre le dessus, désir presque anodin après l’intimité déjà partagée mais cette fois mes mains caressaient une partie intime de son corps. Je ne quittais des yeux son postérieur, mes doigts s’écartaient sous son maillot, réalisant que main entière ne pouvait même pas couvrir sa fesse. Je bandais comme un gamin qui découvre son graal, l’émotion retenait mon souffle. Julie ne bougeait pas, ne bronchait pas, elle semblait savourer l’instant qui devenait de plus en plus intime au point de voir glisser son maillot dans sa raie profonde, comme un string
Son silence entrecoupée par moment de « hummm !!! » plus soutenus, étaient comme un encouragement à continuer au point de m’attarder uniquement ses fesses dévoilées, le « un peu » était largement dépassé mais elle semblait apprécier.
Son maillot ne formait plus qu’un mince triangle, ses fesses blanches se démarquaient nettement laissant imaginer qu’elles n’étaient jamais exposées au soleil, sa peau était d’une blancheur troublante. Elle se laissait faire, elle ne disait rien, elle savourait ce massage qui se transformait en caresses appuyées. Des caresses intimes au point de remonter délicatement son maillot sur ses hanches, les dégageant largement, dévoilant la totalité de son fessier. Ce fessier large, proéminent une fois dénudé, qui bougeait en ondulant sous mes doigts. Sans oser écarter ses globes, je devinais la pilosité dans la raie des fesses
Mon coeur battait la chamade, mon sexe se tordait pour trouver une place dans mon short devenant trop petit. Je la sentais présente sous mes caresses, la devinait excitée tout en se retenant pour ne pas craquer, comme si elle voulait préserver l’inévitable pour un autre moment, un autre lieu ...
A suivre ... (Scène 11 le 30 mars 2024 à 6h00)
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journaldunanonyme · 2 years
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Comme je vous disais, le mot merci serait trop petit alors une présentation s'impose.
J'ai commencé à écrire le 22 août 2012, eh oui dix ans, plus de dix années, quand je me dis ça, je pense des fois qu'il est temps que j'arrête, puis ça me rattrape, je laisse tous ces mots dans ma tête se glisser dans quelques notes, je les laissent tapisser quelques billets sur Tumblr, mais c'est toujours un bien, de laisser ces mots, son ressenti et parfois sa vie sur un bout de papier, sur quelques notes ou alors sur ces fameux billets.
Il y a dix ans de cela, je n'avais que seize ans, en pleine adolescence, mes premiers mots ont été à l'attention d'une fille qui me plaisait, cette fille es devenue rapidement un premier amour. Pour cela, j'avais créé une page sur Facebook, je ne sais pas si des personnes ici présentent ont connu ça. Mais il y a dix ans, Facebook avait un énorme rassemblement de personnes qui avaient des pages et qui écrivaient, on formait tous un groupe qui s'appelait les Facebook Writers. Donc j'arrive là avec ma page qui se nommait "L'encre de ma plume" et c'est ce jour-là que tout a changé. J'ai commencé à poster ce que j'écrivais avec des images, d'où ma petite référence à ça, sur mon tout premier post ici, si vous descendez vous la verrez.
Petit à petit, les jours passent, je commence à me faire des amis, les mois passent et j'écris toujours parmi toute cette communauté vraiment magnifique, même avec une première rupture au compteur, je continuais d'écrire, surtout après ça, j'ai peut-être les mots trop grand, mais tout était si bien que parfois, il m'arrive de regretter ce moment-là, ou alors de vouloir y retourner. J'ai écrit, j'ai ri, parler, je me suis attaché, je me suis fait des amis et des meilleurs amis, j'ai aidé, réconforter, je pense qu'on s'aidait un peu tous entre nous. J'ai aimé être là-bas jusqu'en janvier 2016. Presque quatre ans plus tard. Avec 18 655 personnes qui me suivaient et qui lisaient ce que j'écrivais. C'était incroyable en seulement quatre ans. Mais comme on dit, tout a une fin, ça l'a été de mon temps là-bas. Puis ça commençait à se dégrader, alors j'ai pris quelques mots pour dire un au revoir et j'y suis parti. Tout était fini, tout s'était envolé, il ne me reste que des bribes de tout ça en mots, mais en souvenirs pour le raconter ça se compterait en jours. C'est dur de partir comme ça d'une chose dont on y a passé du temps, dont on y as beaucoup de souvenirs. Le 22 janvier 2016, je supprime ma page, en retenant quelques mots sur des notes.
Je continue d'écrire durant le reste du temps, mais il me manque quelque chose, alors le 12 octobre 2016, j'atterris ici, sur Tumblr par quelques échos que j'avais eu. Je nomme ce Tumblr "journaldunanonyme". Après un peu de temps à trier mes mots, mon premier post sort et il date du 4 novembre 2016. Et là, je me laisse aller, et je commence à écrire, tout en découvrant d'autre Tumblr tout aussi merveilleux et tout aussi plaisant les uns que les autres. Je poste ce que j'avais écrit entre temps, je me suis fixée qu'une seule idée, qui est celle d'écrire sur ma vie amoureuse, donc que sur l'amour. Après quelque temps, j'ai commencé à me faire des amis ici aussi, c'était comme une communauté et j'ai presque retrouvé une ressemblance à ce fameux groupe sur Facebook. Durant tout ce temps je n'ai écris que sur l'amour, j'ai fait en fonction de mon coeur et aujourd'hui je pense qu'il se sent bien. J'ai ri ici aussi, j'ai appris à côtoyer de nouvelles personnes, j'ai pleuré, je me suis reconstruit, des personnes ont réussi à me faire ressentir plein de sensations avec leurs mots. D'autres personnes ont réussi à me faire du bien, d'autres m'ont fait ressentir de l'attachement, de l'amour, des choses qui vous restent en tête. Je ne regrette en rien d'être venu ici pour écrire et pour me délivrer, cela reste et restera toujours mon journal.
  Il y a quelques jours, le 12 octobre, j'ai eu 27 ans et le 13 octobre 2022 mon Tumblr as atteint les 10 000 personnes six années après. Je pense que tout cela m'a fait réfléchir, mes mots sont et seront toujours présents ici, pour rien au monde, je les ferais disparaître, ils seront toujours dans ce journal. Quant à moi, vous l'avez remarqué peut-être, j'écris beaucoup moins, je ne manque pas d'inspiration, mais je pense que petit à petit mon envie d'écrire se fait moins sentir. Elle disparaîtra un jour. Je vais de moins en moins poster au fil du temps, c'est sûr, mais je viendrais toujours ici pour vous lire. Ces mots et cette présentation, c'est seulement pour vous dire merci. Merci de m'avoir lu, mais aussi de me lire encore. Merci de m'avoir permis avec vos mots ou votre présence de grandir. Merci pour m'avoir fait autant de bien et j'espère vous en avoir fait. Merci pour les moments passés et merci pour ces souvenirs qui je pense sont immémorables, même s'ils sont simples. Mes mots ont toujours eu pour but de respirer, d'apaiser, j'écris sans attentes mais si ça vous as permis de ressentir la même chose, alors j'en suis ravis. C'est ici que s'achève cette histoire.
Votre écrivain, journal d'un anonyme. ☺️
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chicinsilk · 10 months
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Let's go back in time:
Remontons le temps :
About ten years ago, I created an unpretentious blog, entitled; “Lisa day after day”. I presented my looks, shopping favorites, inspirations, dedicated to women aged 40 and over. It goes without saying that I never mentioned my past. To all the people who followed me, I was Lisa, a 40-year-old woman like any other. I have kept almost all the photos from my blog, and I intend to show them to you in a daily section, entitled; let's go back in time.
Il y a une dizaine d'années, j'avais créé un blog sans prétention, intitulé; "Lisa jour après jour". J'y présentais mes looks, coups de coeur shopping, inspirations, consacré à la femme de 40 ans et plus. Il va s'en dire que n'y ai jamais fait mention de mon passé. Pour toutes les personnes qui me suivaient, j'étais Lisa une femme de 40 ans comme une autre. J'ai conservé presque toutes les photos de mon blog, et je me propose de vous les montrer dans une rubrique quotidienne, intitulée; remontons le temps.
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chifourmi · 2 years
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J'avais déjà parlé d'une de mes potes d'enfance qui était très rebelle, à fond dans des causes, un peu en marge de la société etc. Ce que j'ai pas dit c'est qu'au final on s'est éloignées parce que des schémas qu'on avait installé étant enfants nous suivaient toujours étant adultes. En très gros, elle me traitait comme de la merde et je me laissais faire. Sauf que c'était super inconscient parce que cette meuf est incroyable avec tout le monde, très ouverte, etc. C'est juste ce schéma malsain de notre enfance qui fait que je ne sais pas m'affirmer en sa présence et elle a besoin de me dominer. Et ce qui est fou là dedans c'est qu'à côté de ça, on dirait qu'on est des âmes sœur. Genre caractériellement on se ressemble beaucoup trop. Et j'arrête pas de me dire que dans une autre vie on aurait pu être les meilleures amies du monde. C'est pas un amour impossible mais une amitié impossible genre. Quand j'y pense ça me rend un peu triste parce que j'ai l'impression qu'on rate des choses folles.
(01/12/2022)
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aelnaute · 2 years
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Mise à jour pour ceux qui me suivaient ici mais pas ailleurs
J'ai 4 comptes Instagram (en vrai ça étonne qui, j'ai toujours eu 36000 comptes ici aussi)
@aelnaute (compte art)
@lesmainsfroides (compte perso)
@sauvez_toki (meilleur compte insta: celui de mon chat)
@aelifairy (compte Disney)
Mon prénom c'est Aël, et je vais changer mon ancien prénom sur mes papiers d'identité bientôt.
J'ai toujours aucun contact avec ma mère et tant mieux, qu'elle crève (coucou maman si tu passes par là)
Je suis toujours avec l'amoureux @main-libre ça fera 5 ans en avril, on en a vécu des choses ensemble, des rêves et des choses un peu moins drôles, mais nous sommes bien ensemble.
Je sais pas si je vais revenir définitivement ici mais au moins même si je reviens pas, certains auront les chapitres manquant de cette potentielle fin de blog
Je vis complètement depuis deux ans de ma boutique en ligne, de mes créations et de mon art, et ça c'est grâce à toi Tumblr, parce que je n'oublie pas où j'ai commencé 💙 actuellement, 5349 commandes ont été passées sur mon site aelnaute.com
J'aimais bien cet aspect de Twitter ou je pouvais tout dire, ce qui me passait dans la tête, en privé, sans être stalké par certaines personnes, dont ma mère ou autres... J'avais mon petit noyau là-bas et c'était bien mais tout le monde dit que Twitter c'est fini. Alors je sais pas, j'essaie de trouver ou retrouver un carnet de bord quelque part
Par rapport à Disney, j'ai un compte qui marche bien, j'ai été approuvée l'année dernière par Disneyland Paris et je fais partie de leurs membres insidears (blogueurs, presse etc...) J'ai pu assister à une soirée unique en avril, et à une journée presse pour le Land Avengers en juillet ! C'était assez chouette comme expérience en tant que passionnée Disney !
J'ai Twitch, je faisais des streams de temps en temps en 2021 ! Entre temps j'ai perdu l'énergie, j'avais eu un traitement pour mon trouble borderline qui était assez intense, puis j'ai arrêté le traitement et depuis l'énergie ça dépend beaucoup... C'est par vague, par cycle. Et bref c'était trop cool Twitch et j'ai déménagé là donc j'ai un bureau, une vraie pièce pour ma boutique, sans avoir peur que mon chat mange les câbles (oui, les câbles, j'en peux plus), donc faut que j'achète un écran et ensuite on reprend les streams !
D'ailleurs niveau déménagement, je suis de retour sur Lyon. Je suis restée 9 mois en Ecosse (dont la moitié en confinement cxvid). Et 2 ans en région parisienne dans le 93. Et fin septembre nous sommes revenus à Lyon 💙
Je crois que c'est le principal niveau news mais les questions sont activées alors n'hésitez pas si vous avez une quelconque question 💙
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culturefrancaise · 2 years
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“A force d'aller en avant, il parvint au point où le brouillard de la fusillade devenait  transparent. Si bien que les tirailleurs de la ligne rangés et à l'affût derrière leur levée de pavés, et les tirailleurs de la banlieue massés à l'angle de la rue, se montrèrent soudainement  quelque chose qui remuait dans la fumée.
Au moment où Gavroche débarrassait de ses cartouches un sergent gisant près d'une borne, une balle frappa le cadavre.
- Fichtre ! dit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts. Une deuxième balle fit étinceler le pavé à côté de lui. Une troisième renversa son panier. Gavroche regarda, et vit que cela venait de la banlieue. Il se dressa tout droit, debout, les cheveux au vent, les mains sur les hanches, l'œil fixé sur les gardes nationaux qui tiraient, et il chanta :
On est laid à Nanterre,
C'est la faute à Voltaire,
Et bête à Palaiseau,
C'est la faute à Rousseau.
Puis il ramassa son panier, y remit, sans en perdre une seule, les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne. Là quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta :
Je ne suis pas notaire,
C'est la faute à Voltaire,
Je suis petit oiseau,
C'est la faute à Rousseau.
Une cinquième balle ne réussit qu'à tirer de lui un troisième  me couplet :
Joie est mon caractère,
C'est la faute à Voltaire,
Misère est mon trousseau,
C'est la faute à Rousseau.
Cela continua ainsi quelque temps.
Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l'air de s'amuser beaucoup. C'était le moineau becquetant les chasseurs. Il répondait à chaque décharge par un couplet. On le visait sans cesse, on le manquait toujours. Les gardes nationaux et les soldats riaient en l'ajustant. Il se couchait, puis se redressait, s'effaçait dans un coin de porte, puis bondissait, disparaissait,  reparaissait, se sauvait, revenait, ripostait à la mitraille par des pieds de nez, et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes et remplissait son panier. Les insurgés, haletants d'anxiété, le suivaient des yeux. La barricade tremblait ; lui, il chantait. Ce n'était pas un enfant, ce n'était pas un homme ; c'était un étrange gamin fée. On eût dit le nain invulnérable de la mêlée. Les balles couraient après lui, lui, il était plus leste qu'elles. Il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort ; chaque fois que la face camarde du spectre s'approchait, le gamin lui donnait une pichenette.
Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu follet. On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l'Antée dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c'est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n'était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant, un long filet de sang rayait son visage, il éleva ses deux bras en l'air, regarda du côté d'où était venu le coup, et se mit à chanter :
Je suis tombé par terre,
C'est la faute à Voltaire,
Le nez dans le ruisseau,
C'est la faute à...
Il n'acheva point. Une seconde balle du même tireur l'arrêta court. Cette fois il s'abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s'envoler.”
Les Misérables, Victor Hugo
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akraphe · 2 years
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Devenir avion de chasse
Quand j’étais petite j’avais un rêve récurrent : je lévitais. Au palier des escaliers ou à l’entrée de la cour de récréation, soudain, pendant deux ou trois secondes, je flotillais quelques centimètres au-dessus du sol. Ce n’était pas un saut ; nul mouvement des jambes ni recroquevillement subite ; sans explication, comme soulevée par un étrange magnétisme, je volais, je rêvais. Des regards incrédules me suivaient à travers les airs, et moi-même je restai émerveillée en voyant mon nouveau petit pouvoir et mes camarades qui, pour la première fois, venaient me parler.
Un peu plus tard, vers la fin du primaire et le début du collège, le rêve revint. J’étais plus grande et mes envols aussi : si je prenais de l’élan, je montais un ou deux étages, assez pour apercevoir, à travers une fenêtre, le sourire de la fille qui me plaisait. Je crois qu’une partie de moi saisissait déjà le plaisir de scruter les toits blancs et d’observer les enfants sur la cour comme des minuscules points noirs. J’aimais déjà, secrètement, la liberté absolue.
Décoller c’était facile mais je n’avais aucune maîtrise du reste, la direction ou la chute. Alors je m’entraînai. Utilisant toujours le carré de la cour comme piste, année après année mon pouvoir s’affirmait, chaque fois un peu plus haut et un peu plus loin. Au collège je dépassai les bâtiments de quatre, cinq, six étages. Il vint un jour où, décidée à tout, je pris position à l’endroit le plus reculé du patio et je courus de toutes mes forces jusqu’à ce que je fis mon premier vrai décollage et je dépassai rapidement tous les toits de mon collège et je vis bientôt ceux de la ville en traçant au-dessus des voitures et des platanes et même des parcs et des rivières touchant le ciel extatique jusqu’à redescendre et devoir atterrir dans une autre cour où, manœuvrant brusquement, je me posai pas trop mal parmi les petits qui se ruaient déjà vers moi à bras ouverts. C’était une fierté intime : je pouvais dire enfin que j’avais v o l é . À un moment où les violences intrafamiliales battaient de plein fouet, après pleurer dans mon lit, quelle joie de me sentir puissante et libre dans les airs.
Cela continua jusqu’au lycée, qui ne fut qu’un entraînement acharné pour dépasser mes limites. Le jour j’apprenais des mots compliqués en plusieurs langues et accumulais les connaissances sur la guerre, les salaires, les quanta ; la nuit, rêve à rêve, l’envol atteignait les nuages, une à une les différentes strates de l’atmosphère. Élancée comme Superwoman, en quelques secondes je survolais les gratte-ciels et les champs, et sans comprendre comment, je posais les pieds sur un autre continent aussi légèrement qu’un avion de papier. Finalement j’arrivai au bord de l’espace ; atteindre cette limite ultime n’était pour moi qu’une confirmation de ma puissance.
Après le bac je quittai la maison familiale et la cour de récréation, et déménageai dans une grande ville. Enfin véritablement, commença alors une longue traînée de fantôme. Le rêve disparut ou presque ; seules quelques rares fois, la nuit, je me retrouvais dans les airs à errer à entre les bâtiments par un rythme lent d’élèvements et de dépressions. Toujours aucun contrôle ; pire encore, parfois je descendais vers le sommet d'une tour ; en m’élevant je me retrouvais dans un parking souterrain. J’aimais toujours voler, mais si par malheur j’essayais de battre les bras comme un oiseau pour rester à flot, je me faisais infiniment ridiculiser par mes camarades hyper-compétitifs de classe préparatoire.
La terre continua de tourner. Je découvris certains endroits et abandonnai d’autres ; pareil avec les gens. Les choses faisaient semblant de s’améliorer mais le rêve restait le même, toujours à traîner sans but parmi des lignes et des lignes de bâtiments, de maisons, de fenêtres, en essayant vainement de me maîtriser. Je me rendis à peine compte quand il disparut. Rien de surprenant ; ce n’était pas un de ces rêves par lesquels une vie se fait diriger, mais un de ceux qui l'accompagnent comme un miracle secret. Aussi, je n’arrivais plus à me souvenir de ce qui se passait en moi la nuit. Le sommeil était devenu aussi futile et désespérant qu’une page blanche.
Et là, je transitionne, je me sens revivre tout à coup. Sous l’effet des hormones mes mains s’adoucissent et arrive le jour où elles écrivent le prénom qui m’attendait. En devenant la femme que j’étais destinée à être, aussi magiquement que le premier flotillement, le rêve revient. Soudain, je comprends soulagée que je peux contrôler mon vol, partir et atterrir quand et où je veux, avec toutes les péripéties du monde ou droit au but ; comme si tout était là depuis le début.
Maintenant la nuit je pleure, cette fois-ci parce que je suis enfin femme, et enfin avion de chasse.
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cogito-ergo-absens · 2 years
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Tumblr media
Comment nos ancêtres ont-ils découvert les propriétés thérapeutiques des innombrables plantes qui les entouraient ?
Je vous présente aujourd'hui deux merveilleux livres qui traitent de ce sujet passionnant et intriguant...
Uniquement avec leurs sens, leur capacité d'observation, leur intuition, les chamanes, druides et autres guérisseurs des villages d'antan, savaient utiliser les bonnes plantes pour soigner leurs semblables.
Quelle démarche suivaient-ils pour comprendre le langage de la nature ? Certains de leurs contemporains se sont efforcés de redécouvrir ce savoir ancestral comme Paracelse, Hahnemann ou le Dr Bach pour ne citer qu'eux. Ils nous ont remis sur la voie et c'est grâce à eux que nous pouvons aujourd'hui réapprendre.
Nous y découvrons que le langage symbolique est le langage universel de la nature, dont nous faisons partie, et c'est pour cela que notre inconscient parle aussi ce langage que nous retrouvons jusque dans nos rêves d'ailleurs.
Ces deux livres m'ont émerveillé. Bonne lecture à tous 🙏
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yes-bernie-stuff · 2 days
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Yeshoua
◀ 23 SEPTEMBRE ▶ La Bonne Semence
(Jésus dit à ses disciples : ) Mais vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves. Luc 22 : 28
Bienheureux l’homme qui endure l’épreuve ; car, lorsque, mis à l’épreuve, il aura été manifesté fidèle, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l’aiment. Jacques 1 : 12
Vivre l’épreuve avec Jésus
« Vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ». C’est la parole réconfortante et pleine de grâce adressée par Jésus à ses disciples, la nuit où il a été livré par un traître. Même s’ils « étaient frappés de stupeur et le suivaient avec crainte » (Marc 10. 32), toutefois, ils avaient suivi le Seigneur et ne l’avaient pas abandonné comme d’autres (Jean 6. 67, 68). Le Seigneur est maintenant au ciel et désire accompagner les siens dans leurs épreuves. Amis chrétiens, est-ce que, dans nos épreuves, nous nous tournons vers Jésus ? Il fait siennes nos épreuves, de sorte qu’elles peuvent être traversées avec lui (Ésaïe 63. 9). Ne vivons pas l’épreuve comme quelque chose d’extérieur, un peu comme une averse qui tomberait sur nous. Associons-y le Seigneur. Il nous invite à l’« endurer », très étroitement liés à lui et en nous confiant en lui. Souvent nous nous sentons fatigués, frustrés, accablés par un malaise imprécis. N’essayons pas de nous débattre seuls avec nos difficultés, mais adressons-nous à Jésus, racontons-lui tout pour qu’il nous enseigne et nous encourage. Il est notre sagesse. Dans la peine, si nous nous replions sur nous-mêmes, nous n’aurons aucune force, et le diable aura le dessus. Mais si nous vivons nos épreuves avec Jésus, nous éprouverons qu’elles ont été un chemin pour nous faire découvrir l’amour du Seigneur d’une manière nouvelle. Ce sera peut-être aussi une école pour nous rendre plus disponibles et plus sensibles aux peines des autres. - Lire plus ici :
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christophe76460 · 10 days
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Je continue.
Le gardien de l’enclos lui ouvre, les brebis écoutent sa voix. Il appelle par leur nom celles qui lui appartiennent, et il les fait sortir de l’enclos. Quand il a conduit au dehors toutes celles qui sont à lui, il marche à leur tête et les brebis le suivent, parce que sa voix leur est familière (Jean 10:3-4).
⦁ Le berger a le droit d’entrer dans la bergerie et il appelle ses brebis. En effet, les bergers donnaient souvent un nom à chacune de leurs bêtes. Lorsqu’elles entendaient le son de la voix familière de leur propriétaire les appeler, elles le reconnaissaient et s’avançaient vers lui. Il les conduisait alors dehors pour former son troupeau. Ensuite, il marchait en direction des champs et les brebis le suivaient.
⦁ Par analogie, Jésus fait sortir ceux qui lui appartiennent de la bergerie du Judaïsme et les conduit vers de nouvelles réalités spirituelles, comme la grâce et le pardon en son nom. Il avait par exemple appelé Pierre, Jacques, Jean et les autres disciples, et l’aveugle-né du chapitre précédent, et le Saint-Esprit leur avait ouvert le cœur pour qu’ils répondent à l’appel du Seigneur.
⦁ Les religieux, par contraste, étaient non seulement aveugles face à la lumière du monde, mais également sourds à la voix du Bon Berger. Comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, il y a dans les Textes Sacrés des enseignements quelque peu énigmatiques. L’un de ces passages est en rapport avec la fin des temps et semble indiquer que chacun de ceux qui auront mis leur confiance en Jésus-Christ et qui donc feront partie de son troupeau, recevra un nouveau nom qu’il aura pour l’éternité. Je lis le passage :
Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux Églises ! Au vainqueur, je donnerai de la manne cachée et un caillou blanc ; sur ce caillou est écrit un nom nouveau que personne ne connaît, sinon celui qui le reçoit (Apocalypse 2:17).
⦁ Lorsque le Seigneur reviendra pour chercher son épouse l’Église, il appellera chacun de ses membres par son nouveau nom et ceux qui sont morts entendront se réveilleront et ressusciteront pour la vie éternelle en compagnie de Jésus pour berger. C’est ce qu’il avait déjà mentionné auparavant dans ce même Évangile lorsqu’il a dit :
L’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix (Jean 5:28).
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soulthom · 17 days
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Politique toujours…
Même si je ne doute pas qu’un certain nombre de gens se rendent compte que le RN est le responsable par excellence d’une situation dans laquelle un nombre significatif de votants de gauche ne votent FP qu’avec dégoût et sans grande illusion, pour lui donner une importance qu’il n’aurait pas sans la menace que représente le RN, il est au moins bon de le dire pour les autres, ceux qui ne s’en « rendraient pas compte »…
En effet si le RN, « anti-Système » auto-proclamé en venait à perdre tout crédit pour une bourde ou une autre et que des élections présidentielles ou autres s’en suivaient, on peut être à peu près sûr que le taux de votants s’effondrerait au moins de moitié, et que ce serait nettement à la faveur d’un centre et d’une droite décomplexée, si vous voyez ce que je veux dire.
Oui, et les votants (même pour ce qu’il resterait à « gauche ») ainsi que ceux qu’ils élisent seraient sans doute la risée et perdraient tout crédit… jusque là donc le RN est un très grand responsable du « Système » que d’aucuns prétendent dénoncer en votant pour lui. Espérons que ça fera réfléchir le votant RN de base, à défaut d’atteindre ceux qui sont parfaitement conscients de la situation ainsi décrite, et sur ce bonne journée à vous !
De même !
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grompf3 · 30 days
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Mastodon, modération et comptes masqués
Vous connaissez le réseau social Mastodon ?
Je vais vous parler de la question de la MODÉRATION, avec un problème bien concret qui touche votre serviteur.
Je suis actif sur ce réseau social et pas mal d'utilisateurs francophones ne voient pas ce que j'y publie. Mon profil est masqué pour ces utilisateurs.
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Je rappelle que Mastodon, c'est un réseau social DÉCENTRALISÉ. Ce qui signifie que ce n'est pas 1 boîte qui contrôle tout, mais que plein de monde, des individus, des collectifs, des administrations, des entreprises, peuvent créer une instance Mastodon et se connecter au réseau.
Et l'usager lambda qui veut utiliser ce réseau doit choisir une instance et y ouvrir un compte.
Je vous mets ici un article que je trouve assez clair sur le sujet.
Et chaque instance va donc se charger de la modération. Je cite l'article ci-dessus :
Certains usagers regrettent que l’administrateur de chaque instance ait des pouvoirs aussi étendus. On l’a dit, le ou les administrateurs choisissent quels types de propos sont admissibles ou non sur leur instance. Ils peuvent décider quelles publications seront supprimées, et quels profils peuvent être suspendus ou bannis de leur instance. Ce n’est pas tout : les administrateurs peuvent décider quels comptes, créés sur d’autres instances que la leur, seront exclus de tout échange avec des comptes de leur propre instance. Cela peut aller jusqu’au bannissement d’instances entières : tous les membres d’une instance sont alors coupés de l’autre instance bannie, et donc de ses membres, sans en être informés et sans pouvoir le contester.
Une instance peut dont sanctionner un de ses utilisateurs. Mais une instance peut aussi bloquer l'accès à d'autres instances. Ou à des utilisateurs d'autres instances.
Et je vous avais raconté que j'avais subi certaines mésaventures à ce sujet.
2 des plus grosses instances Mastodon m'avaient bloqué. Leurs utilisateurs, même ceux qui me suivaient ou que je suivais, ne pouvaient ni interagir avec moi ni voir mes messages.
Pour plus de détails, je vous renvoie à ce billet que j'avais publié :
Et il faut insister sur un point : il n'y avait eu AUCUNE information sur ces blocages, ou plus exactement ces "suspensions". Je n'étais pas au courant. Et les utilisateurs des 2 grosses instances qui avaient fait ça non plus.
Et je ne suis pas le seul à avoir eu droit à ce genre de traitement.
Acermendax, de la chaîne "La Tronche en Biais", avait par exemple connu un sort similaire. Bon, lui, depuis, il a laissé tomber Mastodon et son compte est inactif depuis des mois.
Vous trouverez plus de détails dans ce billet :
Pourquoi est-ce que je reviens là-dessus ? Parce que je croyais que dans mon cas, c'était réglé.
Je pouvais de nouveau communiquer avec mes followers sur les instances en question.
Sauf que non.
Une de ces instances, Piaille, m'avait débloqué.
Mais pour l'autre, Mamot, gérée par La Quadrature du Net, c'est plus subtil. Je pouvais communiquer avec mes followers, voir leurs publications.
Honnêtement, je ne me souviens plus si les administrateurs de Mamot avaient communiqué à l'époque (il me semble que Piaille avait publié une réponse, quand certaines personnes les avaient interpellés).
Mais là, je découvre par hasard que les autres utilisateurs de l'instance Mamot (ceux qui ne figurent pas dans mes followers) ne peuvent pas me voir.
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C'est le message d'1 utilisateur de Mamot, dans un échange où nous étions tous les 2 cités qui m'a mis la puce à l'oreille. Il ne voyait pas mes messages.
Et en vérifiant, effectivement, quand on cherche mon profil depuis Mamot, il est écrit : "Ce profil a été masqué par la modération de mamot fr"
Alors si qqn veut vraiment voir ce que je publie, c'est faisable. Mais il faut chercher. Et il faut donc déjà savoir que chercher. Là, on a un utilisateur qui ne voyait pas mes messages dans une discussion où nous étions tous les 2. Pratique pour échanger.
Alors il y a des gens qui disent que sur Mastodon, chacun est libre de choisir une instance et de changer, comme ça lui chante. Super. Mais changer c'est du boulot. Et on peut perdre pas mal de visibilité au passage. Et il faut déjà savoir.
Comment faites-vous pour choisir si vous n'êtes pas au courant ?
J'ai jeté un œil aux règles de modération affichées par La Quadrature Du Net pour son instance. Et je lis ceci concernant la transparence par rapport à la modération :
Communication vers le public En plus de cette charte, l'équipe de modération maintiendra dans le temps un document de référence reprenant des cas précis de modération positive (conservation du contenu) ou négative (supression / silence du contenu). Ces cas devront être proprement anonymisés et permettront à l'équipe de modération d'assurer la cohérence de ses réponses. La liste des instances de la fédiverse bloquées par mamot.fr sera contenue aussi dans ce document, avec la date du blocage et la raison de ce dernier. Ce document est public.
C'est bien, hein ?
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Il ne me reste donc qu'à trouver le document public en question.
Et je pourrais consulter les cas précis de modération me concernant.
L'ennui c'est que je ne sais pas où se trouve ce document public.
J'ai trouvé la liste des instances bloquées par Mamot.
Mais je n'ai rien trouvé sur les utilisateurs d'autres instances qui sont bloqués.
J'ai posé 2-3 questions directement aux administrateurs, au travers d'un petit fil.
Et je vous tiendrai au courant.
PS : Attention à ne pas confondre le fonctionnement d'1 instance avec le fonctionnement de tout le réseau. MAIS, il faut comprendre que si 1 instance le fait, c'est que c'est possible. Et qu'on ne sait pas combien d'instances font des trucs du genre. Et il faut aussi comprendre que si 1 des plus grosses instances francophones le fait, alors ça peut avoir un gros impact sur les possibilités d'interactions des personnes touchées.
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