#est-ce que j'en fait trop ou j'ai raison de trouver ça trop bien??
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Wowowow le Dieu Grec est chez sa marraine et ils sont allés voir un ballet. Genre le Dieu Grec est partant pour aller voir un ballet ET il met ça en story insta. Le Dieu Grec est un gars curieux et à l'aise dans sa masculinité?!?
(20/01/2024)
#est-ce que j'en fait trop ou j'ai raison de trouver ça trop bien??#j'ai l'impression qu'à 21 ans c'est rare les gars qui vont voir des ballets et qui assument#oups il a 22 ans en fait mais flemme de refaire le hashtag#dieu grec
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Jeu de questions sur l'auteur
Merci à @ladyniniane de m'avoir taggué ! C'est toujours int��ressant de faire ce genre d'exercice, même si c'était parfois un peu difficile de tout répondre.
Sur moi :
Quand as-tu commencé à écrire ?
Je crois que j'en avais déjà parlé mais, avant d'écrire, j'ai surtout beaucoup dessiné depuis la fin de la primaire. Je dessinais des personnages que j'imaginais, qu'on imaginait avec des copines ou en m'inspirant des histoires que j'aimais bien. Ce qui m'a le plus poussé à dessiner plus intensivement, c'est quand une copine voulait faire une BD où elle voulait juste faire les personnages et l'histoire alors, elle voulait que je fasse les décors (ce qui est ironique vu que c'est ce que j'aime le moins dessiner maintenant, je crois que ça se voie dans mes BD...), même si ça ne s'est jamais fait au final. Pour ma vraie première histoire écrite en texte, ça date de mes grandes vacances de seconde. Je voulais me débarrasser d'une idée que je n'arrivais pas à m'ôter de la tête alors, je l'ai mis sur papier et depuis, je suis accro et je ne me suis jamais arrêté, là où j'avais des petites pauses plus ou moins longues pour le dessin, mais les deux sont vont assez ensemble à présent.
Y a-t-il des genres/thèmes que vous aimez lire et qui sont différents de ceux que vous écrivez ?
Alors, je ne lis pas beaucoup de romans, je suis bien plus BD et manga (enfin, surtout manga vu que ça coute moins cher que la BD franco-belge et je préfère leur état d'esprit). Sinon, je lis plutôt des manuels historiques ou des histoires un peu anciennes que j'ai envie de découvrir.
Pour ce qui est des types d'histoire, c'est surtout des histoires fantastiques ou qui sont détachés du monde réel. Pour ce qui est des histoires historiques, je suis assez... difficile on va dire pour ce type d'histoire : soit il faut que ça soit hyper proche de la réalité et que ça ne fasse pas trop d'écart avec la réalité (ou alors assumer quand on fait des écarts car on est pas à l'aise avec certains sujets) sinon, ça me sort de l'histoire ou alors, il faut assumer à fond que l'auteur prend la réalité pour en faire ce qu'il veut et raconter l'histoire qu'il veut. Ce que je n'aime pas trop, c'est quand c'est superficiel, ça me donne l'impression que l'auteur dit "Je fais de l'historique car je suis ultra sérieux ! Mais par contre, ça, c'est chiant à raconter alors, je vais tout refaire à ma sauce pour juste avoir une histoire qui pourrait se passer au XXIe siècle mais, avec un vernis ancien".
C'est une des raisons que j'aime bien écrire de la fantasy et que je ne fais jamais d'univers sans magie, même si je m'inspire souvent des époques anciennes : ça permet de faire ce que je veux en justifiant les différences avec la réalité car, ce n'est pas la réalité, et ça me donne plus de liberté.
Y a-t-il un auteur que vous aimeriez imiter ou auquel on vous compare souvent ?
Etant donné que je ne lis pas trop de romans, mes références sont plutôt des dessinateurs et auteurs.
Pour ce qui est de la création des personnages et d'histoires, j'aimerai arriver à faire des personnages aussi diversifiés et équilibrés que Yusei Matsui, l'auteur d'Assassination Classroom et The Elusive Samurai. Il arrive toujours à trouver le bon équilibre entre le sérieux et l'humour dans ses personnages, avec des personnages comiques qui vivent des histoires tragiques et difficiles, et ses méchants... aux noms des dieux, ses méchants peuvent être tellement terrifiants et impressionnants ! J'aimerais bien arriver à arriver à être aussi bonne pour mélanger ses deux extrêmes comme il le fait !
Sinon, ceux que j'admire le plus dans le dessin sont Kaoru Mori (autrice de Bride Stories) qui a un dessin magnifique et avec des détails impressionnants tout en conservant une rigueur historique absolu, le tout en racontant une excellente histoire, et Makoto Yukimura (auteur de Vinland Saga) qui sait vraiment faire des images symboliques retranscrivant tous les enjeux et les tensions entre les personnages de son histoire.
Pouvez-vous me parler un peu de votre espace d'écriture ?
J'écris toujours sur mon ordi à mon bureau, simple et efficace. C'est assez rare que j'écrive ailleurs ou sur papier à part dans les transports ou quand je m'ennuie.
Pour le dessin, je peux dessiner vraiment n'importe où, je trimballe mon bloc partout avec moi et dès que je me pose, je dessine un peu.
Quelle est votre manière la plus efficace de trouver de l'inspiration ?
Souvent, je dirais que ce qui m'inspire le plus, c'est ce que je lis ou alors, quand j'apprends des choses en histoire. Je trouve un cadre intéressant et je tente de trouver une histoire qui corresponds à l'ambiance. J'essaye aussi de dessiner les personnages ou les images qui me viennent quand je tente de m'imaginer l'histoire. Les dessins arrivent souvent avant l'écrit, histoire d'au moins visualiser les choses.
Par exemple, il y a ces quelques gribouillis qui sont représentent un test d'apparence pour Rosine von Lamine pour une histoire avortée, et la première image d'ambiance de mon idée de roman en train de bouillir qui m'est venu.
Les endroits où vous avez grandi ont-ils influencé les personnages et les lieux sur lesquels vous écrivez ?
Peut-être pour la gestion de la foule et du peuple. Je suis de Saint-Etienne alors, c'est une ville avec une grosse histoire ouvrière et de lutte pour les droits et où le collectif a pu obtenir beaucoup, que ce soit seulement pour travailler ou pour conquérir des droits (on a quand même une préfecture en béton armée avec des trous pour faire passer des fusils car, on a tué un préfet tellement on a pas aimé quand le précédent préfet s'est fait dégagé de force et qu'il y avait tellement d'ouvriers que les bourgeois avaient la trouille d'eux). ça a dû m'influencer pour représenter les foules et le peuple en général comme une force en soi, une menace en soi pour le pouvoir lorsqu'il fait n'importe quoi, un groupe qui a son importance et peut influencer le pouvoir grâce à la pression qu'il exerce sur le pouvoir grâce à son nombre jusqu'à le faire tomber quand ça va trop loin.
Y a-t-il des thèmes récurrents dans votre écriture, et si oui, vous surprennent-ils ?
Pour les thèmes qui reviennent souvent, c'est la famille et son importance pour tenir, la force qu'on peut avoir ensemble, la résilience face aux épreuves pour rester une bonne personne malgré toutes les crasses et les personnes / situations qui tentent de te faire comprendre "le monde est pourri, tout le monde est pourri alors, c'est pas grave d'être pourri, on s'adapte", lutter ensemble pour renverser les personnes malveillantes, une institution censé être positive récupéré par de mauvaises personnes pour justifier de mauvaises actions mais qui finit par retrouver son sens originale grâce à un groupe, et la révolution qui arrive toujours pour chasser un mauvais souverain pour établir une démocratie ou au moins un début avec l'espoir qu'on y arrive (oui, c'est précis mais, ça arrive toujours dans mes histoires, je crois qu'il n'y en a pas une un peu longue où ça n'arrive pas).
Alors... je suis pas du tout étonnée d'avoir ce genre de thème récurrente, ça ressemble bien à ma façon de penser, même dans la vie de tous les jours.
Mes personnages :
Pourriez-vous s’il vous plaît me parler de votre personnage préféré actuel ?
Question épineuse vu que souvent, j'aime autant tous mes personnages à peu près de la même manière, même si je préfère des facettes différentes des personnages ou leur dynamique de groupe...
Mon personnage préférée doit être Aura (voir le dessin en bandeau, c'est elle), une petite extraterrestre haute de trente centimètres capable de voler et d'utiliser le feu, travaillant sur Terre pour rapporter ce qui se passe chez nous mais, c'est de la triche. C'est mon premier personnage, un que j'ai toujours gardé avec moi et qui a évolué pendant que je grandissais, et parti comme c'est parti, elle va surement rester avec moi jusqu'à ma mort (et je l'espère un peu aussi). Chaque étape d'elle correspond à ma propre évolution alors, elle est vraiment particulière pour moi.
Si je devais dire le groupe que je préfère hors Aura, je dirais que c'est la famille qui sera au centre de l'histoire que je suis en train d'essayer de mettre en place et qui est très inspiré de ma vision des Fraldarius mais, sans devoir me trimbaler avec le canon comme un encombrant boulet où on suivrait les parents (avec un petit peu la grand-mère, même si elle va surement mourir assez vite), les enfants et un peu les petits-enfants à travers leurs vies. C'est une famille très unie, très aimante, se serrant toujours les coudes alors qu'ils ne sont pas dans la meilleure des situations (c'est la toute petite noblesse qui ressemble plus à des roturiers) et les épreuves. J'aime autant leur caractère individuel où chacun à sa manière de réagir mais, malgré toutes les différences de caractère entre eux, ils s'aiment et se soutiennent toujours pour former un groupe uni qui arrive à avancer jusqu'au bout.
Avec lequel de vos personnages pensez-vous que vous seriez ami dans la vraie vie ?
Surement Félicia vu qu'elle est très positive malgré les difficultés, même si je m'inquièterais pour elle à chaque instant. J'aimerai aussi beaucoup entendre Ivy raconter ses histoires et sa force de caractère, et j'aimerai bien rencontrer Héléna étant donné qu'elle est calme tout en étant sociable et sachant discuter sans problème.
Lequel de vos personnages détesteriez-vous le plus si vous le rencontriez ?
Surement mes méchants, j'écris souvent mes méchants comme des personnes que je ne pourrais pas supporter ou que je rejetterai de toutes mes forces, sauf exception évidemment. Je détesterai Lambert s'il existait vraiment, surtout s'il était en position de pouvoir !
Parlez-moi davantage du processus de création de vos personnages.
Alors là... honnêtement, je crois que c'est un peu au petit bonheur la chance : soit j'ai le cadre que je veux utiliser et les personnages viennent après pour s'adapter à ce cadre au mieux, soit j'ai l'histoire en premier qui arrive et les personnages vont avec. Je garde mes idées d'histoire dans ma tête pendant un moment pour voir si l'idée reste sur le long terme tout en la structurant dans les grandes lignes avec l'évolution des personnages, avant de commencer à dessiner des esquisses de l'histoire et une fois que j'ai la forme à peu près établi, je commence à écrire l'histoire.
Etant donné que je ne prend jamais de note, la caractérisation des personnages peut pas mal changer au cours de l'histoire et de l'écriture alors, dans ses cas-là, si ce n'est pas encore posté nulle part, je peux revenir en arrière et tout modifier d'un coup pour adapter l'histoire à une nouvelle idée ou à un changement d'avis soudain. Par exemple, je peux changer le nom d'un personnage d'un coup car, j'ai rencontré une personne qui porte le même nom. Je ne m'inspire pratiquement jamais de mes proches pour mes personnages, je veux pas projeter quelque chose sur eux ou les mettre dans des situations de vie ou de mort alors, je ne donne jamais leur prénom à un de mes personnages (sauf un seul qui revient tout le temps pour des personnages de mentor / modèle / adulte responsable mais, il est toujours modifié) et je peux faire un grand ménage dans mes canons pour cette raison, ce qui a failli arriver pour un de mes personnages vu que les deux prénoms sont très proche.
Donc, pas très structuré mais, ça passe alors, je continue comme ça.
Remarquez-vous des thèmes/traits récurrents parmi vos personnages ?
La famille est toujours très importante pour mes personnages, et mes protagonistes font souvent partie de la même famille. Quand j'avais commencé, c'était même toujours des triplés qui suivait le même modèle (l'ainé aux cheveux longs calme et sage, le cadet aux cheveux courts plus tête brûlé et impulsif, et la benjamine qui a une personnalité qui varie plus que celle de ses frères d'une histoire à l'autre). Ils se serrent également toujours les coudes et s'il y a des problèmes dans la famille, ils finissent par se réconcilier et se retrouver.
Je crois que je fais à peu près autant de personnages masculins que féminins mais, les traits de personnalités ne sont pas genrés. Beaucoup de mes héros ont des traits de personnalités et des capacités traditionnellement attribués aux femmes, les femmes ont des caractéristiques qu'on attribue traditionnellement aux hommes sans distinction (vu qu'il n'y a pas en avoir), et si elles vivent dans une société sexiste, elles explosent les règles misogynes en aidant les autres femmes à faire de même.
Ils ont également souvent un métier artisanal ou manuel ou ils prennent soin des autres, et ils mettent souvent leur travail au service de la communauté.
Comment imaginez-vous vos personnages ?
Ils apparaissent souvent à peu près comme ils sont dans l'histoire quand je commence à écrire mais, ils deviennent plus clair quand je les dessine. ça me permet de mettre mes idées au clair et préciser leur manière dont je les visualise (notamment quand je dessine les yeux).
Mon écriture :
Quelle est la raison pour laquelle vous écrivez ?
Parce que j'aime ça ^^ Question suivante ?
Blague à part, j'aime beaucoup écrire et dessiner car ça me permet de m'exprimer, de sortir mes histoires de la tête sans les perdre ou les oublier, et tout simplement parce que j'aime ça.
J'avais une grosse panne d'écriture depuis deux semaines à cause de la fin de mon contrat, de la fatigue accumulée au travail et du "mal des vacances" on va dire et honnêtement, je ne me sentais pas bien d'arriver à aussi peu écrire. J'arrivais encore à dessiner ma BD, surtout pour faire l'enrobage des croquis mais, je trouvais que mes mots sonnaient faux ou mal et ce que j'écrivais du texte pur (le billet sur Pyrkaïa et l'histoire sur la Pierre de Résurrection, oui je ne l'ai pas oublié mais je me suis lancé dans dix trucs en même temps), tout sonnait très mal et j'avais l'impression d'avoir tout perdu, ce qui était extraordinairement frustrant. Maintenant, ça va mieux mais, je ne suis juste pas bien si je n'arrive plus à écrire alors que j'ai du temps pour le faire et l'envie mais, juste pas l'énergie.
C'est peut-être que je suis complètement droguée à l'écriture mais pour le coup, je vais pas me blâmer pour ça. J'aime juste trop écrire pour lâcher ça et ça ne fait de mal à personne.
Y a-t-il un commentaire ou un type de commentaire spécifique que vous trouvez particulièrement motivant venant de vos lecteurs ?
Pas facile... je dirais ceux où la personne dit simplement que l'histoire lui a fait du bien et / ou sourire. J'écris aussi pour avoir les histoires que j'aime et qui font du bien, et on a déjà la réalité pour être complètement déprimée alors, ça fait un bon échappatoire et si on est deux à pouvoir oublier deux secondes la réalité pour pouvoir rêver un peu, ça me suffit amplement.
Pour le dessin, j'ajouterai aussi les gens qui me disent que je dessine bien. Honnêtement, je me trouve assez moyenne comme dessinatrice et j'ai appris à dessiner sur le tas (je n'ai jamais pris de cours, de peur de tomber sur un idiot qui tente de me faire perdre mon style manga) alors, ça me fait toujours plaisir quand quelqu'un me dit qu'il aime ma manière de dessiner.
Comment voulez-vous être perçu par ceux qui lisent votre travail ?
Comme une histoire agréable à lire, avec des personnages attachants et qui fait du bien. Et mention spécial si les gens se souviennent de mon histoire sur le long terme.
Quelle est, selon vous, votre plus grande force en tant qu’écrivain ?
Mes personnages ? Peut-être... j'espère en tout cas vu que j'essaye toujours de les faire attachant à leur manière (ou qu'on ait envie de leur donner des claques pour les méchants)
Ah ! Et les scènes de rêve ! J'adore les écrire vu qu'il n'y a pas vraiment de règles dans un rêve à part celle du rêve en lui-même et du rêveur alors, je m'éclate pour en faire des scènes étranges chargés de sens et de symbole où les personnages affrontent leur subconscient et en voyant ce dont ils ont besoin / mérite.
Que pensez-vous de votre propre écriture ?
Je n'ai pas trop de regret (sauf un truc mais j'en parlerai après) et maintenant que ça va mieux avec le blocage de fatigue qui passe, j'aime plutôt ce que j'écris. Je fais ce qui me plait, et même si on est juste trois à aimer, je suis déjà contente qu'on soit trois à aimer mes trucs parfois assez bizarres. C'est peut-être pas très ambitieux de ma part mais, je me dis que rien n'est perdu si au moins une personne aime aussi et que je peux continuer à faire ce que je veux tranquillement de mon côté.
Si vous étiez la dernière personne sur terre et saviez que vos écrits ne seraient jamais lus par un autre être humain, écririez-vous quand même ?
Euh... question un peu bizarre vu qu'honnêtement, j'essaye de ne pas penser à cette possibilité. Je préfère garder espoir sur le fait qu'on va tenir et qu'on en arrivera jamais à une calamité pareille (surtout que vu comment je suis, j'ai dû mal à m'imaginer être la final girl de l'histoire...)
Enfin, si ça devait arriver, je dirai que oui, je continuerai à écrire encore et encore, que ce soit pour avoir quelque chose à faire en plus ou pour continuer à exprimer ce que je ressens (et puis qui sait, ça pourrait intéresser la prochaine espèce intelligente qui peuplera la planète après les humains ou si les aliens existent, ça pourrait aussi peut-être les intéresser ^^)
Lorsque vous écrivez, êtes-vous influencé par ce que les autres pourraient aimer lire, ou écrivez-vous uniquement ce que vous aimez ? Si c'est un mélange des deux, qu'est-ce qui a le plus d'influence ?
En dehors des critiques quand j'ai des doutes sur comment tournés une situation et que je demande des avis autour de moi, ou des gens qui critiquent un point mal fait où là, oui, je les écoute, je ne prend pas tant en compte que ça ce que me réclament les gens et j'écris juste ce qui me plait, quitte à ce que je sois la seule à aimer ce genre de délire.
Honnêtement, j'ai déjà essayé de me forcer à écrire une histoire afin de faire comme tous mes amis de lycée et la publier sur Wattpad en écrivant chapitre par chapitre sans plus de réflexion, et résultat des courses, c'est la seule histoire que je regrette avoir écrite car juste, elle était très mal pensée et pas très réfléchie vu que j'improvisais complètement tout sans aucun fil directeur et que je faisais un style que je n'aimais pas (une histoire dans un cadre pseudo-moderne centré autour d'une mafia, même si en réalité, il s'agissait d'un groupe d'exclu chassé par le gouvernement qui rejetais les personnes extraordinaires car il ne rentrait pas dans le moule, et travaillait ensemble afin de réussir à avoir une vie aussi normal que possible).
Les seuls éléments qui était bien dans cette histoire, c'était les figures d'anti-héros / antagoniste quand même un peu du bon côté de la barrière mais qui ont un code moral très tordu, des triplés étant en réalité l'incarnation même du temps intervenant parmi les mortels en étant les parrains de la mafia car, ils s'ennuient pendant leur éternité d'existence et qu'ils peuvent le faire, tout en tentant d'empêcher le vrai méchant de mettre leur dimension en pièce pour devenir immortel. Je les adorais justement pour leur côté surpuissant imprévisible que pratiquement rien n'arrêtait avec dix coups d'avance car ils connaissaient le futur... puis une copine de fac à qui j'avais raconté leur concept m'a dit que ce genre d'archétype était en gros pourri de base et que tous les auteurs commençait par des personnages un peu nuls comme ça (bref, que j'avais fait des sortes de Mary Sue). C'était pas très agréable à entendre, surtout que j'étais plutôt fière d'eux à ce moment-là et que je n'avais pas encore jeté cette histoire aux oubliettes mais, d'un autre côté, ça m'a blindé : tant pis s'ils sont nuls. Personnellement, je les aime, j'adore mettre les paramètres à fond avec eux tant pis s'ils deviennent surpuissant et c'est le principal !
Alors, je ne pense pas que je referai des histoires par pression sociale ou en écrivant ce que les autres pensent être "bien" ou "mieux" que mon scripte de base, encore plus si c'est le tribunal du bon gout selon le public d'internet ou un questionnaire pourri qui pense qu'on ne peut pas être badass quand on a plus 50 ans ou qu'on ne peut pas jouer de la musique sans être un surhomme irréel qui décrètent que ce n'est pas correct (je te regarde très, TRES fort le test sur les Mary Sue !). J'ai déjà donné et j'ai pas voté pour ce tribunal du bon gout selon internet ou je ne sais qui. Personne n'a les mêmes gouts, personne n'aime les mêmes choses alors, on ne pourra jamais contenter tout le monde alors, j'écris simplement ce que j'aime et ce qui me plait en me souciant seulement de si c'est bien écrit ou non. C'est déjà bien assez !
Pour les tags en réponses... mwezina a déjà répondu, LadyNiniane a déjà taggué les gens à qui je voulais poser la question... alors, on va dire toutes les personnes qui passent et qui veulent répondent sont la bienvenue. D'ailleurs, n'hésitez pas à vous manifester si vous voulez que je vous tague, je ne sais jamais qui mettre ^^'
#jeu de questions#écriture de curieuse#dessin de curieuse#merci beaucoup pour le tag !#allez un peu pour le dessin les deux vont ensembles pour moi
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8 novembre
c'était mieux que mercredi hier soir au théâtre, même si j'ai pas pu voir la pièce comme hier. mais je me suis sentie moins seule. on m'a envoyée faire cuire des pâtes dans la cuisine d'une fille qui habitait pas loin du théâtre et qui était en train de faire une consultation psy dans son bureau, son appart était tout mimi cosy et je me disais que si j'habitais seule dans un appart mimi et cosy à prenzlauerberg dans un immeuble propre qui pue pas la viande crue et où y a pas de risque de croiser un drogué dans la cour à chaque fois que je sors, peut être que je pourrais rester à berlin un peu plus longtemps.
mercredi pendant que je faisais cuire du riz dans la cuisine du ballhaus ost une fille m'a dit que les gens restaient en moyenne entre deux et cinq ans à berlin. elle ça faisait deux ans. moi j'ai tenu cinq mois. chochotte. mais hier soir je faisais cuire des pâtes et une autre fille m'a dit que berlin n'était pas la ville idéale quand on se sentait instable et qu'on cherchait une direction. elle m'a aussi dit que c'était pile le bon moment pour partir à cause de l'arrivée de l'hiver. tout le monde parle de l'hiver berlinois comme de quelque chose de redoutable. c'était la dj de la soirée de la veille, je l'aimais bien, elle s'appelle charles mais prononcé à l'anglaise. peut être qu'iel est non-binaire. son dj set me faisait dansouiller derrière mon stand de merch/gâteaux/pommes dauphines et j'ai vu qu'elle avait remarqué. pendant que les pâtes cuisaient je lui ai demandé de m'expliquer dans le détail ce que faisait un dj concrètement derrière ses platines. j'ai jamais réussi à trouver une réponse satisfaisante sur youtube. et puis je me suis maudite d'avoir pensé trop tard à lui parler d'azf et de sa façon très poétique de décrire comment elle construit un set à bases de couleurs. je faisais mon innocente là comme si j'avais oublié toutes les heures d'interviews de djs lesbiennes que j'ai regardées dans ma vie.
elle m'a demandé si y avait des trucs que je voulais faire à berlin avant de partir mais je pouvais pas lui dire la vérité parce qu'elle m'aurait prise pour une nonne échappée du couvent, alors j'ai dit hmm je sais pas, t'as quelque chose à me proposer? et puis j'ai eu peur qu'elle croie que j'étais en train de flirter avec elle parce que c'est comme ça que je flirtais avec laura a. elle m'a demandé ce que j'avais déjà fait et j'ai commencé à me poser mille questions à la seconde, est-ce que j'ai fait beaucoup de choses ou pas beaucoup de choses? est-ce que j'ai fait les bonnes choses? est-ce que j'aurais du faire plus de choses? est-ce que j'ai raison de partir ou est-ce que j'ai pas raison? la moindre conversation concernant berlin m'entraine dans des questionnements existentiels je veux plus en parler avec personne mais alors j'en parle avec moi-même comme présentement et ça revient au même.
j'en discutais déjà avec j. avant de partir au théâtre grosse plongée dans le marasme, et puis je suis arrivée au théâtre au beau milieu d'une discussion animée autour de l'état de la scène culturelle/des coupes budgétaires/de la censure pro palestinienne et de la france insoumise je sais pas ce qu'elle venait faire là mais y avait une fille lfi dans les intervenantes et c'est devenu très politique. apparemment y avait le directeur du théâtre et deux représentants municipaux dans le public pour surveiller les sujets de discussion en rapport avec la palestine et israël et prendre en main tout débordement éventuel ou je sais pas quoi. lucas disait qu'ils se sentaient comme surveillés par la gestapo et ça me semblait tellement incongru comme situation. ça m'a sortie de mon marasme intérieur pendant un petit moment, jusqu'à ce que la dj m'y replonge avec les pâtes dans la petite cuisine de prenzlauerberg. elle m'a demandé ce que je faisais avant ma crise existentielle et j'ai dit des petits boulots parce que j'osais pas dire rien. dans sa tête j'étais venue à berlin pour faire une pause et faire "quelque chose de créatif," prendre du temps pour moi, c'est bien parfois de rien faire, etc. j'ai pas eu le courage de lui expliquer que c'était pas du tout ça la situation. elle travaille dans le social comme f. et elle habite dans un loft industriel avec sept colocs à hermannstrasse.
ça fait des semaines que j'ai une voix d'un film qui dit i just wanna go home d'un ton geignard dans la tête et maintenant elle dit plus i just wanna go home mais i don't wanna go home sur le même ton plaintif parce que maman m'a appelée pendant que j'étais au wc pour me demander t'es pas trop dé��ue? parce que j'ai pas eu le job à la bibli et ça a relancé la discussion infernale du travail et des cv et peut être que je préfère encore vivre dans un trou à rats et passer des nuits blanches sur ma mezzanine que de retourner dans le cercle vicieux de l'enfer de la maison avec maman et les cv. je suis furieuse. je fume de colère. je suis aussi constipée et ça m'énerve. si j'étais un mec je ferais une fusillade quelque part. c'est comme si je m'étais réveillée tout d'un coup yo lara tu te rappelles maintenant pourquoi partir de la maison était une question de vie ou de mort?? je m'étais promis de pas rentrer avant de savoir exactement ce que j'allais faire après et même ça j'ai pas réussi à le faire. j'ai pas envie de mourir mais je suis FURIBARDE contre la vie. ou contre moi. contre mon incapacité totale à réussir quelque chose.
rien de tel qu'une immersion dans premiere pour sortir de ma furibarderie. je viens d'envoyer un premier jet à r. et maintenant j'ai l'impression d'avoir fait de la merde mais bon on s'en fout, de toute façon je dois me concentrer sur mon livre. je garde un excellent souvenir de mon après-midi à la hansabibliothek, c'était très cosy et très beau. j'étais assise derrière une baie vitrée près du chauffage et je regardais le jour tomber sur rien de particulier, y avait de la moquette douce par terre et j'entendais quelqu'un tourner les pages d'un journal. si je restais à berlin ça deviendrait mon nouveau qg mais je reste pas à berlin.
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Le Centre partie 2
Mulder et Scully prirent la route pour le Delaware. Après ce qu'ils avaient découvert grâce à cet informateur, les deux agents étaient convaincus d'être sur la piste pour retrouver leur amie disparue. Mais ce qu'ils ignoraient encore, c'est que Krycek était avec elle. La situation promettait d'être plus périlleuse que prévu. Comme si cela ne suffisait pas, la météo se liguait contre eux. Une pluie battante mêlée à de terribles orages les accompagna tout au long du trajet, rendant la conduite dangereuse et épuisante. Malgré ces conditions exécrables, Mulder et Scully arrivèrent à destination, quelque peu sur les nerfs. Une fois garés, ils restèrent un moment à l'intérieur du véhicule, essayant de reprendre leur souffle et de se calmer.
Scully brisa finalement le silence, son visage marqué par la fatigue et la contrariété.
J'ose espérer que nous sommes sur la bonne piste, Mulder. Au vu de ce que nous venons de traverser, je ne suis pas certaine de vouloir reprendre la route de sitôt…
Sa voix trahissait un mélange d'exaspération et d'inquiétude. Mulder hocha la tête, partageant son ressenti.
Je suis bien d'accord avec toi, Scully. Raison de plus pour ne pas traîner et explorer les lieux. Allons-y.
Il sortit le premier, déterminé, malgré la pluie qui continuait de tomber sans relâche. Scully soupira, se résignant à le suivre. Le sol était jonché de pierres glissantes et de boue, rendant chaque pas incertain. La progression était difficile, et l'atmosphère pesante.
Le bâtiment qu'ils avaient en ligne de mire était barricadé de toute part. Les deux agents durent le contourner pour trouver un passage. Soudain, Mulder crut apercevoir un accès possible à quelques mètres.
Scully ! Viens voir ! Je crois que j'ai trouvé quelque chose ! S'écria t-il
Pendant ce temps, Krycek et Parker poursuivaient leur exploration dans les sous-sols du Centre. Parker avait un objectif précis en tête : se rendre au 27e sous-sol, là où le docteur Raines menait ses travaux. La jeune femme voulait en finir une bonne fois pour toutes. Seulement, son compagnon de route ne lui inspirait pas confiance. Elle devait rester prudente et réfléchir à un plan pour se débarrasser de lui un moment.
Bon, voilà ce qu'on va faire. Lança-t-elle froidement. Toi, tu vas partir de ce côté, pendant que moi, je poursuis mes recherches par là. Je dois vérifier quelque chose. Pigé ?
Krycek la regarda, l'air interrogateur.
Qu'est-ce qu'il y a par là-bas ? Tu n'essayerais pas de m'écarter de ton chemin, par hasard ? Je ne suis pas stupide, ma jolie. Tu n'as pas confiance en moi, c'est ça ?
Parker le fixa avec une froide détermination.
Non, en effet. C'est trop important pour moi. Puis ce ne sont pas tes affaires. Je n'en ai pas pour longtemps de toute façon. Répondit-elle d'un ton condescendant.
Krycek eut un rire jaune avant de s'approcher dangereusement d'elle.
Tu connais ce bâtiment comme ta poche, c'est évident. Ne cherche pas à me duper, ma belle. J'en sais tout autant que toi maintenant. Tu n'as pas le droit de me faire ça. Pas après tout ce que j'ai fait ! Siffla-t-il.
Parker n'apprécia pas du tout son insolence. Elle le repoussa avec force.
Je t'interdis de t'approcher de moi ! C'est vrai que tu m'as bien dépannée, mais maintenant, je n'ai plus besoin de toi ! Écarte-toi de mon chemin ou je te fais la peau ! Cracha-t-elle.
Au même moment, un bruit sourd retentit au loin. Tous deux se figèrent, espérant que personne ne les avait repérés. Parker dégaina son arme, prête à affronter une éventuelle menace. Krycek la suivit de près, mais à mesure qu'ils avançaient, des bruits de pas se firent entendre à quelques mètres d'eux. Parker prit son courage à deux mains et s'écria :
Qui est là ? Je suis du FBI et je suis armée ! Montrez-vous !
Krycek la saisit brusquement par le bras.
Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? S'ils savent ce que nous faisons, nous sommes morts tous les deux ! Murmura-t-il avec une panique contenue.
Parker se libéra d'un geste vif et tomba nez à nez avec Mulder et Scully. Elle mit un moment à réaliser qu'ils étaient là, devant elle.
Bon sang, mais qu'est-ce que vous faites là, vous deux ? S'écria-t-elle, stupéfaite.
Mulder et Scully la regardèrent, tout aussi ébahis de la voir ici. Mais le calme fut de courte durée lorsque Mulder réalisa que Krycek était avec elle. Le visage du jeune homme se durcit, ses yeux se transformèrent en une lueur de rage alors qu'il s'approchait précipitamment de Krycek.
Qu'est-ce que tu fais ici ? On t'a fait venir pour la surveiller, hein, c'est ça ? Si tu t'approches d'elle à nouveau, je te tue ! C'est compris ? Menaça-t-il, la voix tremblante de colère.
Krycek eut un rire nerveux face à la réaction violente de Mulder. Parker, qui observait la scène, se trouva submergée par un tumulte émotionnel, partagée entre la colère et une fascination inattendue pour Mulder. Il dégageait une intensité brute qui la troublait. Ses yeux verts, embrasés de rage, transperçaient Krycek avec une force presque hypnotique. La pluie avait détrempé ses vêtements, et ses cheveux bruns étaient encore parsemés de gouttes d'eau ruisselant sur son visage. Cette vision, à la fois futile et séduisante, la troubla profondément. Elle se maudit intérieurement de se laisser distraire par son apparence alors que la tension montait autour d'elle. Pourtant, elle ne pouvait ignorer l'attirance magnétique qu'il exerçait sur elle.
Se reprenant enfin, elle se précipita pour éloigner Mulder de sa cible.
C'est bon, Mulder, arrête ! Je vais t'expliquer ! Calme-toi, d'accord ! S'écria-t-elle, essayant de contenir la situation.
Mulder, essoufflé, fit un effort visible pour se calmer un peu.
Je t'écoute. Vas-y. Répondit-il, le souffle court.
Ce n'est pas ce que tu crois. En gros, Krycek travaille avec moi. Je sais que ça peut paraître dingue, mais c'est la vérité. Ça serait trop long à expliquer, mais c'est grâce à lui que j'ai pu arriver jusqu'ici. Le Fumeur croit qu'il me retient captive. Il me reste peu de temps avant qu'il ne s'aperçoive de ce subterfuge. Il faut agir vite avant qu'il ne soit trop tard. Tu comprends ? Expliqua-t-elle, tremblante de nervosité.
Scully intervenu avec calme et raison.
Écoute, Mulder, je crois qu'on devrait suivre ses instructions et en finir rapidement. Dis-nous ce que tu veux qu'on fasse. Dit-elle.
Mulder prit un instant pour réfléchir, puis acquiesça.
C'est d'accord. Qu'est-ce que tu proposes ? Demanda-t-il.
Tous les regards se tournèrent vers Parker. Le moment d'agir était venu.
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Je n'ai eu aucune sanction lors de mon conseil disciplinaire. C'était une éventualité à laquelle on n'avait pas pensé, le représentant du personnel et moi. Aucune sanction. Je suis ressortie de là blanche comme neige, mon dossier propre comme au premier jour. Une grosse pochette bleue, avec mon nom et mon année de naissance écrits au marqueur noir dessus. Je n'ai eu le droit de consulter que la partie dédiée à l'action disciplinaire. Des copies de mes sms à ma cheffe, mon mail, les pièces justificatives.
Avant d'entrer dans le bureau, qui est ovale, avec les drapeaux français, de l'union européenne et un troisième que je ne connais pas, des drapeaux officiels en tout cas, le représentant m'a dit "je n'ai assisté qu'à des réunions sympas dans ce bureau, on verra ce que ça donne aujourd'hui". En ressortant, je n'étais pas soulagée, mais je lui ai dit "tu avais raison, il est magique ce bureau, il m'a portée chance".
Je n'étais pas soulagée. Je crois que quelque part, j'espérais une sanction. C'est bizarre. Cet autosabotage constant. "Pitié, que quelqu'un me punisse !" Comme si je ne me suffisais pas à moi-même, dans le domaine ! Je suis entrée dans le bureau un peu stressée, parce que je savais que je devais me défendre. Une partie de moi ne le voulait pas. La directrice de je-ne-sais-plus-quel-service est entrée, suivie de je-ne-sais-qui qui prenait des notes. En face, à l'autre extrémité du bureau ovale, le représentant et moi.
C'était difficile d'être là alors que l'incident était déjà derrière moi. L'entendre énumérer les faits, mes erreurs, leurs conséquences. Ca m'a fait chier. Comme une gamine qu'on gronde un peu trop longtemps après la bêtise. Il fallait sévir dans le mouvement, pas un mois et demi après... J'étais déjà passée à autre chose. Je me suis défendue, bien sûr. J'ai expliqué. J'ai menti. Il fallait bien que je me sorte de là. Alors j'ai fait ce que je sais faire de mieux. J'ai joué de mes grands yeux de Bambi sensible, fragile, j'ai pleuré un coup avec des trémolos dans la voix. C'est passé.
Je n'aime pas vraiment la personne que je suis. J'ai des bons côtés, j'essaie de m'améliorer, mais au fond, il y a vraiment une partie de moi que je n'aime pas. Et je ne sais pas comment changer ces aspects. Je ne pourrai jamais être parfaite. J'aurai toujours des défauts. J'ai du mal à trouver l'équilibre entre accepter ces imperfections et essayer de les corriger.
La seule justification que je trouve, c'est que j'essaie au mieux maintenant de ne plus me servir de mes travers pour faire souffrir les gens. Bon, je ne le faisais pas intentionnellement, mais je le faisais. Maintenant, j'essaie de voir encore plus loin en pesant le pour et le contre de mes agissements pour vraiment essayer d'avoir deux ou trois coups d'avance et m'assurer que je ne blesse personne.
Mentir, pleurer des larmes de crocodile pour manipuler des gens qui ont la possibilité de me virer, pour sauver mon job... c'est pas si grave, non ? Je ne pouvais pas leur dire cash "une partie de moi aimerait que vous me viriez aujourd'hui, parce que j'en ai marre de ne pas trouver de sens à mon boulot, de me lever le matin sans comprendre pourquoi je le fais... mais une autre partie aime le salaire qui tombe chaque mois parce qu'il me permet de manger et de nourrir ma fille, mes animaux... et j'en ai rien à carrer de l'argent que je vous ai fait perdre en n'allant pas à Montpellier, au fait ! On fait quoi maintenant ?" Peut-être que si je n'avais pas ma fille à nourrir, je l'aurais fait...
C'est fou toutes les conneries qu'elle m'empêche de faire sans même s'en rendre compte... et de toutes celles que je fais aussi pour elle...
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— Les messages supprimés.
(Qui, étrangement, sont toujours d'actualité, malgré tout. Bien qu'à ce moment-là, je ne pensais pas que nos trajectoires rentreraient à nouveau en collision - 11/08/23)
Ça me surprend toujours. Ces petits sursauts. Cet infime signe que mon coeur pourrait battre encore, en définitive. Ça a encore la capacité de me surprendre, te rends-tu compte ? Mon coeur qui arrive encore à retrouver son chemin vers toi, inlassablement, comme s'il n'était pas mort. Je pourrais veiller sur ton sommeil jusqu'à ce que mon âme aille au diable. Mais je dois me faire une raison. Aussi sur que tu n'es que vie, possibilités et futur ; je ne suis qu'une météorite dans ce ciel infini. Ma trajectoire finira indubitablement par te détruire. Je profite de cet espace-temps où tout est suspendu, où rien est joué, où les dés ne sont pas truqués. Je sais que mes mots ne te parviendront jamais. Je sais que mon âme trop vieille et trop brûlée, ne sera jamais assez pour la tienne. Je sais je sais je ne serais jamais assez pour toi. Combien en as-tu connu avant moi ? Combien sécherons tes larmes après moi ? Je ne fais que passer. C'est ce que je sais faire de mieux. Et toi tu oublieras. Je ne suis que moi. Et oui, ça fait mal. Tout ce qui m'a tuée, tu ne le connaitras jamais. Car toi, toi tu vivras. Tu sais, pour moi, cette vie sans toi n'a été que gâchée. Je n'ai fait que regarder le temps passer comme s'il ne s'agissait que de secondes qui s'écoulent, rien qui compte, des paysages qui défilent sans rien vouloir dire, attendant un meilleur qui ne fait que ressembler de plus en plus au pire. Autrefois, j'aurais pu trouver un sens, un endroit où j'aurais enfin pu rester. Ce n'étaient que des chimères. Sois sans crainte, une chose est certaine. Aussi indubitablement que j'ai lutté contre avec acharnement, mon coeur finit toujours par retrouver le chemin qui le conduit à toi. Sache que je. Je t'aime jusqu'au bout du monde. Je t'aime après les peut-être. Je t'aimerais toute ma vie. Même si tu ne veux plus rien savoir de moi. Même si j'ignore tout de ce que tu traverses, ni de qui tu es devenue. Même si tu ne sais plus rien de moi. Peu importe. Ces derniers temps - jours, semaines, mois - m'ont prouvés une chose. Que je le veuille ou non. Mon coeur trouvera toujours le chemin qui le conduit vers toi. C'est vrai, tu as raison, tu mérites mieux qu'un fantôme et des souvenirs. Mieux qu'une balance qui revient et repart et parle trop quand elle est ivre. C'est pour ça que je ne peux faire qu'accepter. Je souhaite que tu sois pleinement heureuse, tu vois. Qu'importe, avec qui, comment et où. Je sais au fond de mon coeur que tout ce que je peux faire présentement, c'est accepter cet amour que j'ai pour toi, même s'il est fou de penser que tu ressens quelque chose pour moi. Peu importe. Ce n'est pas grave. J'en ai assez de te haïr parce que je ne contrôle pas mes sentiments pour toi. Alors, c'est tout. Je t'aime à l'infini, même lorsque tu m'auras rayée totalement de ta vie, que je ne serais plus qu'un souvenir, que tu te demanderas quel était mon nom et pourquoi tu m'as laissée te faire autant de mal, quand tu garderas que de moi l'étreinte douce du réveil au petit matin après avoir fait un mauvais rêve. Qu'importe, sais-tu pourquoi ? Je t'aimerais même après. - 03/07/23
#she#her#text#words#writing#french#past#memories#messenger#deleted#heart#heartbeat#loneliness#sadness#life and death#you#dreams#path#journal#love#hate#thelife#unexpectedways#foryou#iwillrememberyoureyesandyoursmile
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PARTICULES ELEMENTAIRES
Ma moto est tombée en panne. Me voici perdue au milieu de nulle part. Des vignes à perte de vue. J'aperçois une maison de pierre, à l'horizon. Il ne me reste plus qu'à pousser mon bolide, en espérant trouver quelque âme charitable, qui m'aiderait à le réparer, que je puisse reprendre ma route. J'aime rouler sans savoir où je vais. Dans l'autre monde, je prenais le taxi. Dans les rêves, rouler en voiture symbolise le changement, la liberté. Je ne sais pas ce que représente le taxi. Le désire d’être pris en charge, pour éviter d’assumer une existence hors de contrôle ? Pourtant, j'avais besoin de changer de vie. Je n'écoutais pas les signes. J'ai dû tout perdre pour comprendre que ma vie était un cul-de-sac. Une boîte de conserve, dirigée par quelqu’un d’autre que moi. Un taxi.
En arrivant au petit manoir, je tombe sur un vieille homme en train de bricoler son tracteur.
— Bonjour, mademoiselle. Vous vous êtes perdue ?
— Bonjour. Non monsieur, je suis tombée en panne. J'ai mis de l'essence, c'est donc le moteur... mais ma bécane est neuve... je ne comprends pas.
— Parfois, les choses, ne sont pas ce qu'elle semblent être. Le destin a sans doute décidé que vous deviez faire une pause par chez nous.
J'esquisse un sourire. Il y a quelques années je l'aurais pris pour un vieux fou. Aujourd'hui c'est différent.
— Restez un peu. Je jetterai un œil, tout à l'heure, �� cette belle mécanique. Nous organisons une petite fête pour accueillir le printemps. Venez, je vous fais visiter.
N'ayant rien de prévu, j'accepte. Après la sortie de mon premier roman, son succès me permet, aujourd'hui de prendre des vacances. Et puis, il faut bien l'avouer, il me faut de la matière pour le deuxième tome et le recueil de nouvelles que je suis en train d'écrire. Le cadre est remarquablement reposant. Un pur bonheur.
— C'est quoi votre petit nom, mon petit ?
— Lawrina.
— Moi c'est Arthur.
Propriétaire de ce vignoble, hérité de père en fils, le petit vieux voue un culte à son art depuis tout petit. Il me raconte son histoire ainsi que celle de ces ancêtres, avec une telle passion, que je ne peux m'empêcher de lâcher une larme. Une belle rencontre. Il a raison, je ne me suis pas arrêtée en ces lieux, par hasard. En plus de s'adonner à la production de vin, Arthur tient une petite pépinière, dont il prend grand soin. Il y cultive toutes sortes de plantes, dont certaines me sont inconnues. Un lopin de paradis sur Terre.
— Venez, c'est bientôt l'heure du repas. Il faut que j'aille donner un coup de main, autrement la gouvernante va encore râler. Cette vieille rombière ne peut pas s'empêcher de me les briser menu. Mais, que voulez vous, elle est dans la famille depuis toujours. Et elle bosse bien.
— Je peux vous aider, de quelque façon que ce soit ? Je n'aimerais pas profiter de votre hospitalité...
— Ah, bah, mon petit, on vous trouvera facilement une occupation ! Mettre la table ou je ne quel autre truc de bonne femme. Pardon pour mon langage, ce n'est pas contre vous, mais je n'aime pas trop ces choses là. Les préparatifs, l'organisation...
— Vous aimez la tranquillité de vos vignes...
Arthur me regarde comme s'il appréciait que je le comprenne aussi bien. Il faut reconnaître que je suis, moi-même, du genre à être en quête de quiétude. J'ai relativement en horreur les fourmilières qui brassent du monde à courir dans tous les sens sous les ordres d'une « beuglante » surexcitée. En arrivant derrière la maison, j'ai été servie. A peine les présentations faites, que je me retrouve à porter une bassine de couverts à vous péter le dos au premier pas. Le pauvre vieux, me lance un regard, regrettant déjà de m'avoir poussée entre les griffes du cerbère. Je m'en accommode assez facilement. Personnellement ce genre de « rombière », comme il dit, j'en ai maté des plus coriaces. Il suffit de les laisser cracher leur venin, sans réagir. En général, ça se fatigue tout seul, ces bestiaux là. J'ai, par contre, moins apprécié que son fils me crie dessus d'aller plus vite.
Hey, mon gars, tu vas calmer ta joie, fissa. Je suis pas ta greluche !
Le repas s'est déroulé dans la bonne humeur, malgré les deux pince-sans-rire de la famille. Arthur m'a assise à côté de lui, et tant mieux. Ma main me démangeait d'atterrir dans la face de se petit con, qui lui sert de progéniture. Le vieux me rassure. Gavin est un bon garçon, mais ayant perdu sa mère quand il avait à peine quatre an, c'est Martha, la gouvernante qui s'est occupé de son éducation. A la dur. Tout de même, il faut l’avouer, une vrai concierge. La « dame de fer » n'a pas sa langue dans sa poche. Toujours à critiquer tout le monde. Toujours à se méfier de tout le monde. Elle s'est mis en tête que je voulais mettre le grappin sur la fortune du vieux.
Hm, madame, on ne se connaît pas. Il faut sortir, de temps en temps. Toutes les femmes ne sont pas des vautours... Pas moi, en tout cas. Je n'ai jamais prévu, dans mon plan de carrière, d'épouser un homme riche. Et puis, madame, j'aurais peut-être plus intérêt à lorgner sur le jeune, non ?... Les grues, je vous jure !
Après le repas, Arthur a entrepris de réparer ma moto. Rien à faire, impossible de trouver la panne. J'ai décidé de rentrer en train. J'appellerai l'assureur, qu'il envoie un dépanneur rapatrier mon bolide. En attendant, il faut se dire au revoir et j'ai horreur de ça. Je n'aime pas quitter les gens. J'ai l'impression que jamais plus je ne les reverrai. En à peine quelques heures je me suis attachée à ce vieil homme, plein d'énergie avec son petit grain de folie. Ça c'est quelqu'un de vivant. Libre.
Je quitte la ferme, le cœur serré. Longeant la route, en direction du village le plus proche, je me rends compte qu'autre chose que mon ombre me suit.
Le fiston. Ma parole, je crois que je vais en profiter pour la lui mettre cette baffe tant méritée !
Silencieux, il me file jusqu'à la gare.
Ça commence à devenir inquiétant. Et avec cette tendance que j'ai d'attirer les psychopathes, ça craint !
Avant d'aller acheter mon billet, je me jette sur lui :
— Là mon gars, tu me lâche ou je te mets un kick !
— Pardon. Je ne savais pas comment vous présenter mes excuses pour mon attitude, tout à l'heure. Vous allez partir avec l'idée que je suis un sale type... Mon père, c'est tout ce que j'ai. Je le surprotège, un peu trop, peut-être...
— C'est surtout l'autre coincée du cul qui t'a tourné la cervelle au vinaigre, mon pauvre gars ! Excuses acceptées. On ne peut pas faire confiance aux gens. Mais votre père n'est pas un naïf.
— Je le sais. Cependant, il n'est plus tout jeune. C'est un artiste. Le côté pratique de l'entreprise, c'est moi qui le gère. Les ventes, la comptabilité.
— Tant que c'est pas l'autre folle...
— C'est une vipère, je le reconnais. Mais elle tient toute la maison. Sans elle, le petit royaume d’Arthur ne tiendrait pas une semaine.
— Faut que j'y aille... Pensez à vous détendre, de tant en tant. Papa a tout compris à la vie. Ne perdez pas la votre à vous préoccuper de ce qu'il peut arriver de pire. Vivez.
Sur ces belles paroles, j'ai tourné les talons et suis partie acheter mon ticket. L'attente, n'a pas été longue, le train est arrivé à peine une minute après. En entrant dans le wagon, je me suis installée, au fond, côté fenêtre. Regardant par la vitre, je repense déjà à l'étrange aventure que je viens de vivre. Au moment ou le train démarre, je me sens légèrement bousculée, par Gavin, s'asseyant près de moi.
Alors là mon coco, tu m'en bouches un coin !
Je lui ai recommandé de vivre. Je n'aurais jamais cru qu'il me prendrait au mot. Le jeune homme m'avoue que j'ai provoqué un déclic, en lui. Une sorte d'électrochoc. Il avait peur que je détruise son château de cartes. Il a réagit sans prendre en considération qui j'étais réellement. Il a fait avec ce qu'il voulait voir de moi. Mais il ne me connaît pas. Cette inconnue a perturbé toute son équation existentielle. Il avait déjà, depuis un moment, cette sensation de passer à côté. Je décide de sortir à la prochaine station. Londres attendra. Je me promène. Je me laisse porter par l'envie du moment. Il m’accompagne dans ma découverte de l’instant magique.
— Les gens veulent posséder la liberté, alors qu'il faut la vivre.
Puis il me laisse partir. Il me regarde m'éloigner, pensif. Il avait déjà, depuis un moment, cette sensation de passer à côté de son existence.
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Les années ont passées sans qu'on ne s'en préoccupe. On a construit notre univers, à un endroit où personne ne pouvait nous trouver. Caché de tous. Nous seuls connaissions le chemin. Notre foyer était chaleureux et accueillant. Chaque année ou épreuve nous faisait y ajouter des étages supplémentaires. Elle allait atteindre le ciel notre bicoque. Au rez de chaussée il y avait notre rencontre virtuelle. Tous ces messages échangés. Ces photos de notre quotidien. L'un sans l'autre, avec d'autres. Le téléphone y sonne parfois, je pleurs. Puis parfois il sonne quand tu es ivre, je t'écoute refaire le monde. Mais la plupart du temps, on entend raisonné dans ce téléphone, nos rires sans fin. C'est l'étage de la découverte et de l'insouciance. Le premier étage c'est nos doutes, nos peurs, nos failles. Nos crises existentielles. La découverte de soi. On avait pris soin d'y créer un espace intime et réconfortant, pour s'apaiser, se rassurer, se faire du bien. Au deuxième étage, on a le vertige, c'est notre rencontre réelle, au delà de nos écrans interposés. C'est ton regard qui se pose sur moi la première fois. C'est mes bras qui t'enlacent. C'est si doux de pouvoir toucher les étoiles et les nuages avec toi à mes côtés. Cet étage c'est un barbecue avec vue sur la mer. Cet étage c'est l'étage des possibles. C'est le soleil qui se couche jamais dans ta voiture. Direction nulle part. C'est une chasse aux trésors dans Paris, déguisés. Et puis un jour il y a eu le grenier. On a mis dedans tout ce qu'on ne voulait pas voir, l'amour bien trop fort que je te portais, l'admiration que tu éprouvais pour moi. On y a déposé mes mensonges dans une boîte sellé et qu'il ne fallait surtout jamais ouvrir. On y a laisser des photos. Il fallait pas monter au grenier. Parfois tu disais des choses que je n'aimais pas. On plaçait ta honte d'être vraiment ce qu'il était au grenier, près de ma boîte à mensonges. Le grenier nous a poignardé. Je crois que tu voulais une histoire d'amour. Un jour, après 15 ans d'investissement quotidien, une maison imaginaire, un réel appartement. Après plusieurs voyages, de longues nuits de cuites, des tartes aux fraises partagées, après les plus grands fou rire, les plus fous Secrets, un jour donc tu as quitté ma vie. sans prévenir et sans adieux. J'ai jamais compris pourquoi. Et maintenant quand je me tourne vers la ligne droite de mon passé et que j'en remonte la voie, souvent à pied, j'ai ce sentiment, vide et vrai. La sensation d'avoir tout vécu déjà. Pas parce que c'est le cas. J'ai jamais eu d'enfants, j'en aurai probablement jamais. Je me suis pas Marie, j'ai pas sauvé une vie ni planté un arbre. Nous avions fusionné notre monde imaginaire à la réalité. Quand on prend conscience qu'un rêve est meilleur quand il reste irréalisé. Alors on reflue. Envisager mon avenir est devenu une épreuve douloureuse, d'années en années, tout les "et si" chantonnant que je pouvais avoir, les voir s'écraser contre le mur de la réalité . Ton soutien m'aidait à surmonter cette conscience aiguë de la déception, et puis enfin quand j'ai compris que tu étais vraiment parti, je me suis éteinte. J'ai cessé de croire en la vie quand tu as cessé de croire en moi. De temps en temps, souvent, le soir, je retourne chez nous. La maison est en ruine maintenant,c'est une baraque cabossé, les murs sont défrichées, le sol poussiéreux, l'escalier qui mène au grenier grince. Il reste plus que ça d'ailleurs, le grenier. Je m'y assois, je regarde tout ce qu'on s'est caché pendant ces années, je fais le ménage , je range tout ce que j'aurai pas dû dire, avec tout ce que tu m'a jamais dit. J'écoute longuement le silence, il est rempli d'écho, le rire de 2 gosses qui s'aimait plus que tout, les cris de peurs quand la bougie s'éteint, le murmure des vagues italiennes où on se retrouve sans raison. Et puis un détail me fait revenir au réel, dans mon appartement, le vrai. L'ampoule est brisé , faudra penser à la réparer, d'autres choses ne se reparerons jamais. Heureusement que les ampoules sont là
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Hey coucou à toi-même :)
Oui je sais ça doit faire un moment que j'ai pas écrit sur ce compte (après j'ai écrit mais c en privé pour moi)
Qu'est ce qui s'est passé ces derniers temps pour moi ? Et bien pleins de choses, qui pour la plupart sont positifs 😊
Toujours avec ma copine que je t'aime de tout mon cœur ❤️ (gros cœur sur toi @cmoiquoi )
Je me sens si bien et apaisée avec elle. C'est mon soutien, ma bulle, mon réconfort, ma force. Bref ça me fait si plaisir, me rends heureuse et fait beaucoup de bien d'être avec cette personne qui est belle et devient + belle au fil du temps 💖
Merci beaucoup et énormément à elle, et je veux et la soutiens dans son avancement et suite de vie 😊
Mon chat aussi est un soutien pour moi, on ressent parfois les mêmes choses, mes amis aussi, vivre la vie et faire ce qui me plaît, apprendre, découvrir.. Tout ça pour dire que je me sens bien et heureuse.
Si on remonte un peu, je cite "...pleins de choses, qui pour la plupart sont positifs 😊" hélas y'a des trucs qui font que tt n'est pas positif et blanc.
Y'a du gris, voire un peu de noir.. depuis quelques temps maintenant j'accumule ce qui me fait du mal, j'essaye de l'exprimer, d'en parler pour me libérer car cela m'arrive que je craque sans grosse raison valable en étant à fleur de peau, à pleurer en abordant ce/ces sujets ou à m'énerver contre les gens alors qu'ils n'ont rien fait..
Je m'en rends évidemment compte assez rapidement et je m'excuse pour ceux que j'ai pu affecter émotionnellement ou verbalement 🙏
Je fais ce que je peux pour trouver des solutions pour travailler ça et contenir cela en trouvant des activités qui me plaise, prendre des huiles à base de plantes pour calmer l'anxiété et le stress pour les exams et autres ainsi que les trop pleins d'émotions (après j'en prends seulement quand y'a vraiment besoin et j'ai eu recours à ça qu'une fois)
Ce qui me fait tenir c'est ceux pour qui j'aime, qui m'apprécie, avec qui je suis proche et m'entends bien avec eux/elles.
Le fait de me dire que je suis pas seule, me donne la force de tenir le coup et me relever.
Je veux réussir, m'en sortir, prouver que je peux y arriver et faire ce qu'il me plaît malgré les contraintes que peuvent nous apporter la vie.
Je crois en moi 😊✨️
Océane - 23 décembre 2022
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J'ai pas envie que TR se termine.
L'arc final dure depuis plus d'un an, il est temps de conclure mais j'ai pas envie pour la simple raison que je vais être vide et vidée pour plusieurs semaines voire mois.
Je pensais pas en commençant TR l'année passée que ça prendrait autant de place dans ma vie mais voilà où j'en suis aujourd'hui : j'attends chaque mardi avec impatience parce que c'est le jour du chapitre, j'en parle avec qui veut m'écouter, je me suis attachée profondément à chaque perso (surtout ceux qui sont encore en vie mdrrr quoique certains morts je les aime bcp aussi) et j'ai du mal à me dire que je vais devoir dire au revoir à cette histoire.
Ça a occupé un petit (grand?) pan de ma vie, surtout à un moment où j'en avais besoin. Depuis la fin d'Haikyuu, je me sentais aussi vide, triste et un peu perdue vu que je n'avais nulle part où envoyer toute mon énergie en trop. Mine de rien, ça fait un an que TR est entré dans ma vie, ce n'est pas rien un peu plus de 365 jours. Ça en fait des mardis à se demander comment Wakui peut nous détruire plus profondément que la dernière fois. C'est beaucoup de jours à théoriser sur ce qui ça se passer, de moments où la hype l'emporte sur l'inquiétude, de chapitres où les larmes coulent sans que j'explique vrmt pourquoi parfois. C'est un petit moment où j'ai eu le temps de voir les persos changer, grandir, sombrer, rire, pleurer de rage ou de désespoir; un florilège de moments qui les rend humains et attachants, malgré leurs gros défauts ou leurs décisions douteuses.
Il faut bien que ça se termine un jour. Ça ne peut pas continuer indéfiniment, toute histoire doit trouver sa fin. Mais je ne suis pas prête. Même si j'ai souvent soufflé et maudis Wakui pour tout ce qu'il nous faisait traverser et que j'ai demandé à ce qu'on nous abrège nos souffrances, je ne veux pas que l'histoire se termine.
On ne sait pas comment tout va prendre fin. Qui va rester en vie? Qui connaîtra le futur dont tout le monde rêve, un futur en paix où le Bonten, Mikey ou même n'importe qui ne menace pas tous les autres? Qui va laisser sa vie, son idéal ou autre chose en chemin? Qui n'aura pas la chance de vivre paisiblement et devra se contenter d'observer les autres vivre enfin l'existence qu'ils méritent? Qu'est ce que le sort (ou Wakui) réserve à ces anciens enfants, ces adolescents ou adultes qui sont unis par les liens d'un même clan?
C'est dur de dire au revoir à une oeuvre qui m'a tellement apporté, qui était là au bon moment et qui m'a accompagné (et continuera avec la sortie de l'anime) pour un long moment. Comment dit on adieu à une histoire riche et des personnages vrais, pleins de défauts mais aussi de qualités? Comment ne se sent on pas déchiré quand vient le temps de clore ce chapitre?
Je ne suis pas prête. Je ne le serais surement jamais. Mais il viendra un moment où il faudra accepter que TR se termine, d'une façon ou d'une autre.
#je reviens avec un post bien triste bien mélancolie bien déprime du soir mdrrrr#c'est rien c'est la fin de l'été#ça ne rend tjrs émotive#lena blablate
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Mon amour, tu as mis des bleues sur mes yeux,
Comme tu as mis des bleues sur mon coeur.
En silence, je t'ai supplié tellement de fois...
Pourquoi ne m'entendais-pas?
Te souviens-tu de ce jour mon amour ?
Tu as caresser ma joue si délicate de ton poing si fort.
Je t'ai supplié, oui je t'ai crié d'arrêter.
D'ailleurs tu ne l'as jamais fais.
Je suis seule avec mes sentiments, seule avec mes pensées, seule avec ma frustration, seule avec moi...
Oh dieu que je suis seule avec toi.
Toi qui autre fois était tout pour moi.
Je me suis tuée a essayer de vivre.
Moi qui était si vivante, pleine d'espoirs,
Regardes ce que tu as fais de moi, je ne me reconnais pas.
Écorchée vive... car je ne connais rien au bonheur
Car à chaque fois que j'y ai ai goûté, j'ai finis en pleure.
Tu m'as fait mal avec ton amour,
Et je suis devenue poésie quand tout d'un coup la haine s'est faite bravoure.
Écorchée vive mon amour...Parce qu'il y a de l'orage a l'horizon.
Parce que mon homme devient criminel, et perd la raison.
Écorchée vive... par tous ces poings,
Quand ce sont mes mains et mon coeur que je te tendais.
Il t'a pas fallu deux minutes pour me casser...
Pas le quart d'une pour me briser
Le coeur, les côtes, et les poignets.
Humiliation.
Mon amour, de là où je suis je contemple les nuages,
Mon regard se perd dans l'immensité de l'océan
Je suis perdue dans le néant
Seule et pleine de silence.
J'ai l'impression d'être la depuis bien trop longtemps...
..Et toujours cette notion de temps...
7h ton café
7h15 ta chemise repassée
13h ton linge sale dans la machine à laver...
Comme un requiem, une sale hantise, je t'entends sans te voir.
Te souviens-tu de ce jour mon amour?
Ce jour ou j'ai perdu notre enfant sous tes coups.
Huit ans aujourd'hui, que nos routes se sont croisées.
Huit ans ou je t'ai aimé d'un amour si sincère, si pur et fidèle, tandis que le tiens avait un goût amer.
Je pensais avoir trouvé en toi mon âme soeur
Mais je me suis retrouvée avec un boxeur.
Un étranger, qui a chaque altercation me tabassait.
A chaque altercation, au silence tu me reduisais.
Pourquoi ne m'entends-tu pas mon amour ?
N'entends-tu pas ce silence assourdissant ?
N'entends-tu pas mes os se briser à chaque coup portés?
N'entends-tu pas mes pleurs?
Ni les craquement de mon coeur?
Regardes-moi... j'en ai perdue ma voix.
Regardes ce que tu as fais de moi.
Je ne suis plus qu'une ombre qui plane
Qu'un corps sans âme.
Moi ton "amie", ta "femme".
J'ai comme un arrière goût de larmes quand je parles de toi.
Dieu que ma plume aimerai te blesser,
J'aimerais te toucher...
Toi, ton être, ton âme, ta voix de miel.
Je sais que tu me regardes, hier je t'ai vu du ciel.
"Elle etait pour moi, ce que la main est au geste. Un roc sur lequel m'appuyer. Pourquoi m'as-tu fais ça ? Pourquoi t'en es-tu allée?"
Tu aurais dû dire la vérité...
J'étais un objet sûr lequel tu tapais
Tu avais tellement "peur de me perdre" que tu me cognais.
"Merci pour ces années. Merci pour ces moment"
8 ans de relation. 6 ans de mariage. 1 million de violences Physique. Comme morale.
Et deux phrases?
Tu m'as tuée.
J'aimerais pourvoir te vociférer.
De là où je suis, je te vois mon amour.
Je serais désormais pour toi,
Ce que tu as été pour moi.
Je te hanterais comme tu as hanté,
Non.
Terrorisé mon quotidien pendant toute ces années.
Pourquoi me suis-je suicider?
Oh mon amour, car c'était la seule façon de te quitter.
J'avais envie de fuir.
De quitter ce qui pouvait me nuire.
Ma vie était devenue terne,
Alors j'ai souhaitais que les lumières s'éteignent.
L'espoir fait vivre ,
Mais tu m'en a donné peu,
Donc pour m'en sortir
J'ai dû m'accrocher à mes voeux.
J'ai suivis ma voix,
Avant que tu la rendes muette.
Le monde est beaucoup plus beau,
Depuis que je ne portes plus tes lunettes.
La peur du vide m'a fait prendre de la hauteur,
Ma rage de vaincre à mis un arc-en-ciel à ma noirceur.
Aujourd'hui je suis guérit,
Tu n'es plus ma maladie,
J'ai quitté l'enfer,
Pour trouver mon paradis.
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Mes bizarreries
Parfois je fais des choses "bizarres" et j'ai l'impression de ne pas avoir de raisons de les faire, j'ai l'impression de faire exprès, soit pour attirer l'attention soit pour (me) prouver mon autisme car sinon "on ne dirait pas que je suis autiste". Par exemple, quand je m'éloigne d'un groupe pour faire un tour seul, j'ai vraiment l'impression de me caricaturer, je me dis que je pourrais tout à fait m'en passer, que jusqu'à récemment je ne faisais pas ça, qu'il y a des situations où je peux rester un petit moment avec les autres sans éprouver le besoin de m'en aller (par exemple en famille). Mais il est vrai aussi que je ne fréquentais pas de groupe jusqu'à récemment, si on excepte les copines du lycée mais c'était 3-4 personnes et on faisait peu de sorties en groupe, je voyais souvent une personne à la fois comme maintenant. D'après mes souvenirs, je n'avais quand même pas de souci à rester dans une fête d'anniversaire par exemple, alors que maintenant les soirées sont plus difficiles à supporter pour moi (mes souvenirs sont à prendre avec des pincettes parce que c'est globalement bien flou dans ma tête tout ça). Quand je fais cette action de m'éloigner, j'en suis parfaitement conscient et je ne peux pas m'empêcher de m'analyser sur le moment, de me voir en train de la faire et de me dire que j'exagère un peu quand même, que je veux surtout faire mon intéressant. En même temps je ne veux pas forcément qu'on remarque mon absence, je veux que ce soit naturel que je parte et revienne sans qu'on ne me pose des questions…
Ça rentre peut-être dans une impression plus globale que j'ai depuis assez longtemps, qui est de faire ou dire des choses qui n'ont aucun sens apparent, qui semblent décalées, juste parce que j'en ai envie et que ça me fait même rire parfois. Avant je le liais à mon côté un peu "clown", à mon envie d'amuser la galerie, qui était très présente pendant mon adolescence (c'était ma manière de socialiser), mais je me rends compte que ce ne sont pas forcément des choses drôles tout le temps. Ou du moins pas conventionnellement. D'ailleurs j'ai souvent l'impression d'être lourd dans ce décalage, j'ai peur d'embêter les autres alors je ne le fais pas ou très peu. Je me sens un peu dingue parfois, je semble avoir cette capacité à me déconnecter de la réalité pour partir un peu loin dans mes "délires", même si ça ne dure pas si longtemps que ça (de mon point de vue, c'est peut-être trop long pour les autres…)
J'adore faire le petit animal par exemple, ça peut me prendre d'un coup. Mon habitude de dire “nioup” rentre dans cette catégorie. Je me suis souvent dit que j'étais immature, que c'était les enfants qui faisaient ce genre de choses... Mais je ne peux pas m'en empêcher, c'est un de mes moyens d'expression, pas toujours très clair pour les autres il est vrai... Être à fond sur le fait d'être un écureuil par exemple, j'ai déjà pensé que c'était lourd, que je devrais arrêter de le préciser et de jubiler ensuite. C'est mon délire et ça n'a pas d'intérêt pour les autres de l'entendre répéter encore et toujours...
Avec les enfants c'est plus facile, je me sens plus légitime à faire "n'importe quoi", iels ont moins de chance de me trouver lourd, iels rient plus volontiers des bêtises. C'est pour ça que le contact avec les enfants me plait aussi de temps en temps, je peux exprimer cette partie de moi plus librement qu'avec les adultes. Ça arrive quand même que des enfants restent indifférents à mes délires, par exemple une fois j'ai dit au gosse de ma cousine (qui a 4 ans je précise) que j'étais un écureuil, tout content de moi, et je faisais nioup nioup, et il m'a répondu d'un air agacé "mais non t'es pas un écureuil, arrête !". Donc au lieu de l'amuser je l'ai énervé youpi... Trop terre à terre ces enfants !!
Heureusement, je suis entouré de personnes bienveillantes et non jugeantes qui sont elles-mêmes neuroatypiques et je me permets de plus en plus de choses. Mais même avec elles parfois je me sens lourd. Je me demande maintenant à quel point je me suis autocensuré dans ma vie, à quel point je n'ai pas osé faire des choses parce que je me disais que "ça ne se faisait pas", par peur de déplaire aux autres, de les embêter même. Au fond je n'ai jamais compris pourquoi on ne pouvait pas dire ou faire des choses qui paraissent absurdes tant qu'elles ne mettent en danger personne. C'est quoi le bon comportement humain ? Pourquoi je ne pourrais pas me mettre à faire le petit animal d'un seul coup ? Pourquoi je devrais m'empêcher de sautiller, de faire des grimaces, de parler bizarrement ? Aussi loin que je me souvienne, ces comportements que j'appelais mon côté clown, et qui servaient aussi parfois à attirer l'attention et à juste "être en société", se sont exprimés sous différentes formes selon les périodes de ma vie mais ils ont toujours fait partie de moi.
Quelque chose que je n'osais pas déterrer car trop douloureux au vu du contexte, m'est revenu. Déjà quand j’avais 20 ans, on avait un gros délire avec mon ex, qui je pense est de mon initiative, consistant à parler "bêbêtement" ou "bouebêtement" comme on l'appelait. Ainsi, on m'avait trouvé le nom Sioux de "parle bêbêtement"... Je modifiais les voyelles des mots et je prenais une voix bizarre, qui faisait un peu dessin animé. Ça lui plaisait globalement, surtout qu'une partie du délire tournait autour des petites expressions affectueuses que je lui donnais. Mais je pense qu'il s'en est plus vite lassé que moi quand même (et j'avais peut-être l'impression d'être lourd parfois). En y repensant c'est quelque chose que j'aimais beaucoup faire et je trouvais finalement le contexte de couple assez propice vu que la tendresse a notamment pour effet de me transformer en petit animal. Au final je me dis que tout ça est encore présent dans ma vie, pas exactement sous la même forme, mais je me retrouve encore bien dans ce côté "petit animal" et "dessin animé". Après je ne le fais que dans un contexte intime, celui où je me sens le plus moi-même, ça ne me vient pas "en société" avec des inconnu.e.s ou ça me vient sous une forme atténuée (= juste dire Nioup) dans un contexte qui me met à l'aise.
Ce n’est peut-être pas pour rien que j’ai eu envie de faire du théâtre (et que j’en ai fait un peu aussi), c’était un bon moyen d’explorer cette partie de moi. Mais en même temps c’est une activité assez stressante et ce n’est pas évident de trouver un groupe où on se sent vraiment à l’aise.
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Oui j'avais reblogué ce billet en effet et alors ? Pourquoi ça te dérange tant ces comptes ? Tu reproches que je t'ai insulté mais tu en as fais autant, une ado et bah j'en était un aussi, qui à l'époque était en dépression et non c'est pas pour l'ésthétic tu es personne pour juger des gens que tu connais pas… De plus tu t'en prend à des personnes qui sont faible psychologiquement… Pourquoi taper sur ces comptes d'ados qui vont mal ? Oui je le reconnais ça nous enfonçais c'était toxique pour nous même. Quand bien même c'est une raison pour s'en prendre à nous et vous moquer ? ça fais avancer la chose ? Non la vraiment je comprend pas comment tu peux autant mépriser ces gens la qui ne t'ont rien fais, qui ont rien trouver d'autre que oui d'exterioriser sur tumblr où est le mal ? Ok désolé d'avoir réagis de la sorte mais ton jugement et celui la encore était blessant et je sais pas réfléchis un peu… Fin de l'empathie ? Ok tu adhère pas à ce qu'ils font ça t'empêche d'essayer de comprendre.
Et si tu crois vraiment que c'est que pour l'aesthetic ou que sais je… Ce qui est absolument faux j'ai le moyen de te prouver l'inverse.
Tumblr aidait une population de jeunes à s'en sortir et à se confier. Toute personne souffrant a besoin de se libérer. Et c'est ça que vous ne comprenez pas, les personnes qui écrivent des idées aussi morbides ont le besoin de se libérer, d'écrire.
Pas pour qu'ils soient lus, mais bien pour se confier quelque part.
Ils ont besoin d'une base, comme un journal intime.
Une chose à quoi se raccrocher quand ça va mal.
La joie s'écrit avec plus de peine alors ne soyez pas étonnés de voir à quel point les gens écrivent leurs malheurs.
Si vous n'êtes pas intéressés, alors très bien. Mais ayez au moins du respect pour ces gens là.
Et s'il vous plaît gardez vos réflexions pour vous, ça ne fait qu'enfoncer les gens.
Vous ne seriez pas d'accord pour être à sa place n'est-ce pas.
alors je ne sais pas trop quoi répondre...... je sais pas si je suis censée répondre de manière honnête ? désolée si j'ai pu paraître blessante dans mes propos
après je comprends ce que tu veux dire quand tu dis que les gens ont besoin de se retrouver et d'avoir des personnes qui les comprennent dans leur souffrance, je le sais moi aussi j'ai eu 14 ans, j'ai été sur ces blogs, je les ai suivi etc. je sais comment c'est. par contre je pense pas vraiment que tumblr aide les gens à s'en sortir. la raison pour laquelle ces comptes me dérangent autant c'est que y a une véritable esthétisation de la dépression, des troubles anxieux sur tumblr quand en vérité y a absolument rien de cool à propos de tout ça. c'est comme si les gens pensaient que c'était hyper cool d'avoir des troubles mentaux. non seulement y a une esthétisation, mais en plus les gens rendent glamour la dépression, les idées suicidaires etc. désolée mais c'est complètement vrai qu'il y aune vrai esthétique autour de ça, surtout sur tumblr. je sais que c'est pas fait de manière consciente bien sûr, mais ça fait qu'enfoncer les gens qui vont vraiment pas bien. c'est ça le problème avec ces blogs, même si y a rien de conscient là-dedans. c'est pas une aide, au contraire-même. bien souvent, ça fait qu'enfoncer les personnes.
je suis d'accord que c'est plus facile d'écrire quand on triste que quand on est heureux, et que de toute façon c'est hyper dur de parler ouvertement de ses sentiments négatifs, de son absence de bonheur dans la vraie vie, parce que c'est hyper tabou, et je comprends qu'on vienne sur tumblr pour en parler et les verbaliser, parce que j'ai fait la même chose, mais vraiment désolée si ça peut être blessant, mais oui il y a des gens qui ont des vrais problèmes, beaucoup en fait, et il y aussi des gens qui sont là parce que sur tumblr on fait pas la différence entre la dépression clinique et l'esthétique qui est construite autour des troubles mentaux, comme si souffrir c'était "beau", et qui se convainquent eux-mêmes qu'ils ont ces troubles. je dis pas qu'ils n'ont pas de sentiments négatifs qui sont complètement valides, mais il faut faire la différence entre la dépression/un épisode dépressif, qui sont effectivement plus communs chez les ado que chez les adultes, et la définition qu'en donnent les réseaux sociaux de manière générale (parce que cette sorte de normalisation des troubles dépressifs notamment, c'est aps que sur tumblr).
encore une fois, désolée si j'ai pu paraître blessante dans ce que j'ai dit, et je suis convaincue qu'il y a effectivement plein de personnes en souffrance qui se retrouvent sur tumblr, parce le format-même de la plateforme rend ça plus facile, et je comprends pourquoi. mais après, il faut aussi voir tout l'univers qui se construit autour. je comprends que les gens viennent ici et pourquoi ils viennent, mais il y a toute une partie très malsaine. personnellement, la raison pour laquelle j'ai arrêté de suivre ces blogs c'est parce que je me suis rendue compte que non seulement ça m'enfonçait dans mon mal-être adolescent, qui est relativement normal en fait, mais en plus ça créait des sentiments négatifs qui n'existaient pas avant, comme si je me convainquait moi-même que je me sentais comme ça, pour être "différente" des autres. en fait, tes sentiments négatifs se nourrissent des sentiments négatifs des autres. c'est comme une spirale, et le problème avec tumblr c'est que y a personne pour arrêter cette spirale et offrir un point de vue différent sur certaines choses. j'avais lu une fois que tumbr était comme une session de groupe, mais sans thérapiste, et c'est complètement vrai. voilà, c'est tout
#je ne reviens pas sur l'incident en lui-même parce que je me souviens pas du tout de ce que j'ai pu répondre franchement#réponse très longue lol#j'ai essayé d'être la plus diplomatique possible#j'espère que j'ai été claire ! ✌️
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Queen of butterfly
Description :
ATTENTION SPOIL SI TU REGARDES PAS LES SCANS DE DEMON SLAYER
J'étais sur le mont Natagumo où ce trouvait la lune démoniaque n°5 qui devait me capturer pour que Muzan récupère mon pouvoir sanguinaire. Mais contre toute attente des pourfendeurs sont arrivés, j'avais cru pouvoir enfin m'échapper mais la sœur ainê de la famille araignée à réussi à me rattraper, mais je n'aurais jamais imaginé cette chute...
Attention pour la première fois je fais un T/G (=ton genre) qui signifie si tu veux dans l'histoire être une fille, un garçon ou non-binaire, c'est ton choix ! (oui je m'adapte à tout public)
Ensuite les fautes sont toujours possibles et la vulgarité de même.
Je reposte ce chef-d'œuvre (oui j'aime me vanté) donc bonne lecture !
Chapitre 1 : Échappatoire
... Merde...
Ils ont réussi à me retrouver ! Je pensais être enfin tranquille sur ce mont, loin de Muzan, loin des démons, loin des humains et loin du monde.
Ce connard n'a toujours pas arrêté de me traquer juste pour ce foutu pouvoir !
Et maintenant il envoit une lune démoniaque, la galère.
Je m'enfuis à une vitesse qui peut paraître inhumaine mais pour des démons cela est juste rapide.
Mais la sœur de la lune me prend de vitesse et alors qu'elle allait entreprendre de m'enfermer dans l'un de ses cocons, une jeune femme, petite mais très rapide, l'attrape au vol.
Je la remercie intérieurement et prend mes jambes à mon cou.
Plutard...
Je vais vraiment croire que j'ai la poise, encore des humains ! Et ça empeste le sang... Mais pas que, un démon mais il n'a pas la même odeur que les autres... Celle-ci est plus douce, un peu comme la mienne.
Ma curiosité étant trop forte, je m'approche, me faisant discrète en sachant que la lune n'est pas loin.
Je vois une jeune fille, un jeune garçon et la lune combattre. Alors que je vois la jeune fille utiliser son pouvoir sanguinaire, celui qui semble être son frère allait coupé la tête de la lune mais un de ses fils le lui coupe en premier, le jeune homme s'appelant Tanjiro, ne l'a sans doutes pas remarquer.
Ils sont si jeunes, c'est pour cela que les humains sont des vermines, ils laissent les jeunes se sacrifier pour pouvoir sauver leurs peaux.
La lune se met rapidement sur pieds alors que le garçon est à terre et ne peux plus bouger.
C'en est trop, j'interviens.
Rui : Oh tient (nda : voilà quelqu'un:3)
Rui : T/P-San cela faisait longtemps, alors maintenant tu défends des humains ? Je croyais que tu les trouvais pitoyables même si tu n'en mange pas.
Moi :...
Il ne faut pas que je me relâche, je m'approche du garçon et me coupe de sorte à ce que mon sang tombe sur les plaies du garçon pour les cicatriser.
Rui : *énerver et s'élançant vers moi * Tu as vraiment cru que je resterais de marbre !
Comme il s'est déjà élancé, je souris et lui envoie un coup de pieds (à la taekwondo pour vous facilitez l'imagination)pour qu'il finnisse dans un arbre.
Moi : Je ne suis certe pas une lune mais je suis quand même doter de réflexion et de force.
Sentant un pourfendeur dans mon dos arrivant, je me déplace brusquement sur le côté.
Moi : Il est tout à toi, je m'occupe de soigner la démonne.
Il semble hésiter mais la lune et moi ne sommes pas décidé à le laisser choisir.
Je soigne la démonne qui se réveille instantanément. Je la regarde, le sourire triste et celle-ci m'étonne en me prenant dans ces bras. Je le lui rends en lui chuchotant.
Moi : La vie ne sera pas toujours facile pour toi, mais je suis sûr que tu t'en sortiras et en cas de besoin, je ne serais jamais loin : Appel moi.
Et je m'en vais de ce pas. Mieux vaut ne pas tarder à partir d'ici avec tout ces pourfendeurs dans les parages.
Que le temps passe...
Cela fait un moment que je n'ai plus vu de pourfendeurs et de démons et pour cause, j'ai rencontré une démonne du nom de Tamayo et son fidèle qui sont du même point de vu que le mien : Muzan doit crever et pleurer sa maman en enfer ! Sorry, I'm not sorry.
Étant à l'abri pendant un moment, j'ai finalement décidé un jour de revoir la petite sœur de Tanjiro-kun, Nezuko-Sama.
Déjà parce que Tamayo-San veut encore un échantillon de son sang et parce que je suis très curieuse.
Je n'ai pas le droit d'entrer dans le sanctuaire des pourfendeurs, ce que je comprends et n'ayant pas envie de finir en fines tranches, j'attendis que Tanjiro retourne en mission.
On s'en fout tous de la mission on veut du croustillant ! Oui vous aurez compris c'est une élipse de la mission de Tanjiro dans lequel vous l'aviez finalement aider.
Et sans que je comprenne comment, je me retrouva dans une chambre avec 2 lits. Un pour Nezuko et un pour moi.
La femme avec une allure de papillon vint nous voir et au début nous étions toutes les deux très rétisantes à cette rencontre entre humain et un démon inconnu.
Se fut d'un non naturel que je lui demanda comment j'étais arrivé ici.
Shinobu : Tu es venu ramener Tanjiro et Nezuko au sanctuaire et avant de partir, tu t'es évanouie. D'ailleurs, j'aimerais que tu me racontes comment cela ce fait que quand ton sang est tombé sur l'une des plaies de un de nos blessés, celle-ci s'est guérie en ne laissant pas même une cicatrice.
Je lui dis que cela était mon pouvoir sanguinaire. Shinobu se tendit.
Shinobu : Tu sais que seulement les lunes démoniaques, Nezuko-Sama et Muzan on des pouvoirs sanguinaires ?
Moi : Oui, Tamayo-San et son disciple me l'on expliqué, c'est à cause de lui d'ailleurs que je suis recherché par Muzan.
Il y eu un silence. Je ne le sens pas du tout !
Moi : D'ailleurs je pense que je ne devrait pas rester ici, vous risquez les problèmes si un démon me trouve ici.
Shinobu eu un petit rire.
Shinobu : Je l'attends dans ce cas ce démon car il pourra peut-être rentrer mais sûrement pas sortir. De plus, j'ai discuté avec notre maître, et tu vas devoir resté ici pour que je puisse examiner l'étendu de ton pouvoir, tu pourrais même nous être très utile.
Je ne vois pas d'hésitation, ce n'est pas une question mais bien une affirmation.
C'est à ce moment là que Nezuko-Sama accouru jusqu'à moi pour me faire un câlin.
Shinobu : Tu as de la chance, Nezuko-Sama te considère comme un humain, elle ne peut pas supporter les démons et les écrases.
Moi : *souri* Et bien dans ce cas j'en suis honoré.
Shinobu : En parlant d'être humain,*voix terrifiante de Shinobu* combien en as-tu mangés ?
Moi : *glup* Alors, s'il te plaît pour commencer, arrête ce regard qui ferais même peur aux plus grands démons. Et pour te rassurer, aucun, j'ai juste bu un peu de sang d'humain et des... Membres qu'on a coupé pour leurs besoin. (oui le gore est à la mode)
Chapitre 2 : Nouveau départ
Cela fait un moment que je suis au domaine des papillons, et ma relation avec Shinobu-Sama a évolué, maintenant, soit je l'aide pour ces missions, ou bien pour la préparation de poisons et de remèdes.
Shinobu : Oui ! Nous avons enfin réussi à mettre en place un remède efficace venant de ton pouvoir sanguinaire pour guérrir plus facilement les plaies et contrôler les hémorragies.
Moi : Eh bien c'est génial ! Mais je crois que le fait d'avoir mis un litre de salive de côté est trop peu pour préparer autant de remèdes, je vais en produire plus en soignant les malades.
Shinobu : Tu es sûr T/P-San ? Tu as l'air si fatiguer pour avoir autant produit en 3 jours plus ceux où n'ont n'avons rien trouvé. De plus, je ne pense pas que cela soit une bonne idée de te mettre à côté de sang...
Moi : *vexer* Ah d'accord... Bon donc je vais me promené.
Je m'en vais avant qu'elle ne dise autre chose pour remuer le couteau dans la plaie.
Non mais sérieusement, je sais que je suis un démon et le fait que je sois toujours priser pour ma salive épuiserait n'importe quels démons, mais je n'ai jamais tuer d'humain pour me nourrir de toute mon existence !
Je décide de me promener dans la forêt, mais le problème c'est que si pour certain, la colère coupe l'appétit, moi elle me suit à la trace.
Et merde, mes cros ressortent... Je crois que je vais devoir tuer l'un de ces petits animaux malheureusement trop chou.
Je finis donc par trouver un lapin... Mais pourquoi ces petites créatures sont aussi mignonnes avec leurs petits yeux.
Je finis par le relâcher. Et je ne peux pas retourner au domaine tant que j'ai cette envie.
Je resta donc dans la forêt toute la nuit et quand je vu celle-ci commencer à partir, je commença à paniquer sérieusement. Je ne pouvais pas retourner au domaine et je ne pouvais pas rester au soleil. Je couru donc dans la forêt à la recherche d'une cachette...
Arriver dans une sorte de grotte, je m'y réfugie pour ne pas avoir à faire avec le levé du jour...
Je repensa à mon parcours en tant que démon, en effet, j'avais perdu tout souvenir de mon ancienne vie.
J'avais d'abord été un démon sans grande importance, puis un jour, j'ai utilisé ce pouvoir comme si j'avais toujours su qu'il était là, Muzan l'avait vite su et voulait pour je ne sais qu'elle raison me retrouver. Mais je ne le sentais pas. Et je ne pouvais pas me voir cet homme.
Quelques heures étaient passés... On devait être aux alentours de midi, quand j'entendis une voix que je ne connaissais que trop bien...
Shinobu : T/P-San! Où es-tu ?! T/P-San!?
J'hésita a lui répondre et finalement...
Moi : Dans la grotte !
Je pouvais entendre ses pas jusqu'à la grotte.
Shinobu : Mais qu'est-ce qu'il t'a prit de rester toute la nuit dehors ?!
Moi : Le jour m'a surpris et j'ai du vite trouvé un abri.
Elle s'avança vers moi et me prit dans ces bras.
Shinobu : Tu nous a fait peur ! J'ai cru que tu avais brûlé au soleil ou que Muzan t'avait retrouvé...
Je resserra l'étreinte et la rassura, ignorant mon désire de sang, le soir où elle avait parlé à Tanjiro-kun de son passé, j'étais juste en dessous, je savais qu'elle avait vécu quelque chose d'horrible et maintenant je le savais.
Mais soudain, on entendit quelque chose se plaindre, ou plutôt, un organe se plaindre.
Moi : Shinobu-sama ! Je t'avais demandé de ne plus sauter de repas !
Shinobu : Dit la personne qui refuse de se nourrir de sang !
Moi : Oui mais moi je peux vivre sans me nourrir contrairement à toi ! De plus, pendant la conception du remède, tu ne t'es presque jamais arrêté !
Pendant que je continuais de lui dire qu'elle devait rentrer pour sa santé, elle me rabâchait que c'était elle le médecin et nous sommes parti en petite bagarre et finalement avions bien rigoler à la fin.
Moi : Aller mauvaise troupe, il faut que tu rentres !
Shinobu : Mais je vais pas te laisser...
Moi : Ne t'en fais pas, dès que le jour tombe, je reviens en quatrième vitesse. Promis !
Et on croisa nos petits doigts.
J'ai tenu la promesse (même si quelques démons étaient de sorti et que je les ai tués plus vite que d'habitude ce qui me surpris) et rentra au domaine des papillons.
Moi : Oh ! Kanao-Sama ! Dis-moi, est-ce que Shinobu-Sama a bien prit son repas se midi?
Elle me répondit par un hochement de tête positif, je me sentis soulagé et la remercia grandement.
Je rejoins donc vite Shinobu-Sama et l'aide dans ces travaux...
Quelques semaines plus tard :
Shinobu : T/P-san, je t'annonce que Tamayo-San sera à nos côtés à partir d'aujourd'hui, elle nous aidera à concevoir des remèdes et des poisons pour battre Muzan.
Tamayo-San est quelqu'un de douce et attentionnée, c'est une bonne personne qui elle aussi déteste son créateur.
Nous nous entendîmes très bien et avançons de plus en plus sur nos recherches.
Mais un jour je surpris Shinobu-Sama avec un liquide qui me fit froid dans le dos : Une liqueur très puissante de glycines.
Moi : Shinobu-Sama ? C'est quoi ce mélange ?
Elle me regarda avec surprise, comme un enfant qui aurait fait une bêtise et avait peur de se faire gronder.
Moi : Et surtout pourquoi c'est dans ton verre ? Ce genre de chose devrait être dans les flacons du laboratoire.
Je la vois paniquée et semble réfléchir à toute vitesse avant de s'arrêter et de pousser un soupire et de me dire.
Shinobu : Ce n'est pas la première fois que j'ingurgite ce poison...
Avant que je ne me fasse des idées, elle rétorque.
Shinobu : Rassure toi ! Ce n'est pas contre toi !..
Moi : Alors c'est pour quoi donc ?
Shinobu : Il faut que je te raconte tout...
Elle me demanda de m'asseoir à côté d'elle et m'expliqua le fait qu'elle savait que le combat finale arrivait à grand pas, ce n'était plus qu'une question de temps. Elle me dit aussi que sa sœur, plus forte qu'elle, avait périt lors de sa bataille contre la lune démoniaque n°2 et qu'elle s'était préparé à le tuer toutes ses années.
Mais quand elle me fit par de son plan, j'ai cru que j'allais tout démolir...
Chapitre 3 : Pourquoi?!
Moi : Comment peux-tu dire ça ! Tu n'es pas faible, tu en es même loin ! Tu as sauvé beaucoup de personnes, inventé tes propres techniques avec ton souffle de l'insecte, créer des remèdes et des poisons extraordinaires et par dessus le marché, créer une entente entre démon et humain !
Shinobu :...
Moi : De plus... Tu as des gens qui tiennent à toi...
Shinobu : Je sais que cela peut être égoïste... Mais cela est le plan de secour si je n'arrive pas à le vaincre...
Moi :... Alors tu devras le vaincre, et tu le vaincras.
Je lui indiqua de me suivre, je pris son katana et lui donna puis nous allons dans une clairière.
Shinobu : Je ne pense pas que cela soit le moment et des patients...
Avant qu'elle n'en dise plus, je l'attaque sur la gauche d'un coup de pieds. Je sais qu'elle est droitière donc cela risque d'être plus compliqué pour elle.
Elle me par à la dernière seconde et prend une position d'attaque, ce qui fut une erreur de sa part car je pu saisir sa garde de katana et envoie celui-ci valser à l'autre bout de notre terrain d'entraînement.
Moi : Première erreur, on attaque jamais son adversaire en premier t'en qu'on ne l'a pas examiné de plus près. Ensuite, tes atouts son ta vitesse et oui ta petite taille ! Celles-ci te permettent d'attaquer dès que tu as une ouverture et d'éviter plus facilement les attaques de ton adversaire. De plus tu es agile, alors au lieu d'essayer d'être comme tout le monde, utilise tes vraies compétences.
Elle paraît d'un côté un peu énervée, d'où son vrai caractère et de l'autre très surprise sur le fait que je connais parfaitement chaque détail de son combat et gêner d'avoir affaires à mes propos.
Moi : Tu as la facilité, un démon attaquera toujours le premier, et ne crois pas que l'attaquer directement est facile.
On continua quelques heures, Shinobu-Sama a beaucoup de choses à revoir, mais elle apprend vite.
Moi : Entraînement finit pour aujourd'hui, je vais aller m'occupé des patients et surtout pas de mais, tu vas te reposer.
Elle ne fit que de me gronder sur le chemin du retour, mais on va pas se mentir, je préfère quand elle se dévoile, avec son vrai caractère et pas comme une personne portant un masque avec un faux sourire.
Les mois s'étaient enchaîner vite... Trop vite pour que je puisse t'apprendre tout mon savoir...
En effet, un soir, une nuit, une explosion sorti tout les résidents de leurs distractions. Ce soir là, Muzan était passé à l'attaque.
Un long combat c'était produit jusqu'à arrivé dans le monde des démons.
Beaucoup de nos camarades y sont passés... Dont toi, et je me haïssais d'être encore au début du monde des démons alors que tu étais entrain d'être digérer par ce salopard de Doma...
Heureusement, Kanao-Sama a utilisée sa technique et je suis venu juste attend avec Inosuke pour le tuer.
Ensuite Muzan à infecté Tanjiro pour survivre, mais celui-ci ne c'est pas laissé faire et grâce à votre remède, à toi et Tamayo-San, Muzan est mort.
Malheureusement, tu sais ce que cela implique... La mort des démons.
Étant déjà un démon depuis des centaines d'années, je ne pouvais reprendre ma vie d'humaine.
Alors avant de disparaître, j'ai fais en sorte que Kanao-Sama puisse retrouver la vue.
J'ai le malheur de t'annoncer qu'étant une partie de Muzan, je ne pourrais te rejoindre au paradis avec ta sœur, alors je veux te le dire maintenant Shinobu-Sama :
Je t'aime.
Profite de ton séjour au paradis, j'espère que tu ne m'oublieras jamais.
Petite suite car je suis gentille (ou pas).
Kanae : Regarde Shinobu ! C'est un arbre qui date de plus de 3 000 ans ! D'après les historiens, cet emplacement aurait été le terrain d'entraînement de guerriers mais ils ne savent toujours pas qu'elle force à pu causé ce trou...
Shinobu : *flashback*
T/P : *ris* T'a bien réussi ton coup ! Un peu plus et je me faisais avoir... N'empêche, pauvre arbre, j'espère qu'avec le temps il s'en remettra...
Shinobu *fin flashback* A mon avis, c'était la force d'un grand amour *larme*
Fin.
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Les Chroniques de Livaï #490 ~ MONDE, JE TE FAIS MES ADIEUX (juin 846) Mallory Vorster
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
L'heure est bientôt arrivée. Dans la réserve où sont entreposés les dispositifs de manoeuvre, tout le monde est en train de se harnacher. La gravité du moment nous fait fermer la bouche, aucun mot n'est échangé. Dans quelques heures, nous allons nous aventurer sur le territoire qui était autrefois le nôtre. J'ai hâte d'y être et de faire face aux monstres qui nous ont pris notre vie !
La première fois, nous avons dû les fuir, mais aujourd'hui, ce sont eux qui fuirons. J'ai confiance en mes capacités, et mes résultats sur les titans de bois ont été convaincants, paraît-il. Le cas échéant, nous serons aux côtés de valeureux soldats rompus à ces combats, qui bouffent ces géants au petit déjeuner ! Le major Erwin semble un homme digne de confiance, fort et sévère, tout à fait le leader qu'il nous faut. Il sait ce qu'il fait et où il va. Et qu'importe, j'y serais allé seul s'il avait fallu.
Je refuse de continuer à vivre ici, dans ces conditions, avec ma fierté et ma dignité bafouées tous les jours par ceux qui nous crachent dessus. Ils nous considèrent comme des étrangers alors que nous vivions juste de l'autre côté du Mur ! Je veux retrouver ma maison et mes biens, quitte à reconstruire, ce n'est pas un problème. Frock et Ulrika doivent avoir une belle vie, il y va de mon honneur de chef de famille. Le projet paraît insensé, la distance bien plus considérable qu'autrefois... mais je dois récupérer Maria.
Je serre une courroie sur ma cuisse et cherche ma femme des yeux. Je l'aperçois juste un instant avant de la voir disparaître tout d'un coup. Que se passe-t-il ? Je me fraie un passage parmi mes camarades et repère ma femme et mon fils en tête à tête, Ulrika à genoux devant lui. Frock, tu n'es pas censé venir ici. Nous serions venus te dire adieu avant de partir, tu sais ? Il lève les yeux vers moi et hoche la tête avec énergie mais il admet avoir eu envie de voir les explorateurs de plus près. Je comprends. C'est impressionnant, c'est vrai. Il tourne autour de moi et admire mon uniforme. Je lisse l'écusson aux ailes déployées sur ma veste et je me sens fier de voir mon fils écarquiller de grands yeux.
Et oui, papa et maman sont des explorateurs maintenant. Du moins seulement le temps de rejoindre la maison. Ensuite, on reprendra notre vie d'avant, comme si rien ne s'était passé. Je nous vois déjà dans notre petit jardin, avec la cabane que je t'ai construite dans le grand arbre, tu te souviens ? J'espère que les titans ne l'ont pas détruite... Frock proteste en affirmant que c'est la plus solide au monde et que rien ne pourrait l'abîmer. Tu as raison, ces gros monstres n'ont pas intérêt à y toucher !
Tandis que j'échange ces banalités avec notre fils quelques heures avant la sortie, Ulrika essaie de le prendre dans ses bras une dernière fois. Elle cache difficilement ses larmes. Je t'en prie, ne l'effraie pas ! Il doit croire que nous allons revenir ! Sa foi nous donnera de la force. Nous allons l'emporter, il n'y a pas d'autre issue ! Elle acquiesce de la tête mais ne parvient pas à cesser de sangloter. Alors le visage de Frock change petit à petit ; il comprend quelque chose que nous avons essayé de lui cacher depuis des jours, en minimisant les risques liés à cette expédition exceptionnelle.
Je vois son visage renfrogné, aux sourcils froncés, ses petits poings serrés sur ses hanches, nous regardant avec attention, attendant des réponses. Si sa maman pleure, c'est qu'il y a une raison. Ce n'est pas dans son habitude de pleurer. Alors je me résigne à jouer mon rôle de père. Je prends Frock par les épaules et le force à me regarder.
Ecoute, bonhomme, les choses sont compliquées à expliquer, mais je vais te dire ce qu'il faut que tu saches. C'est dangereux dehors. Tu ne t'en souviens peut-être pas mais les titans mangent les humains. Nous allons les affronter, maman et moi. Nous espérons revenir, mais il y a un petit risque... que nous ne puissions pas. Frock, ne commence pas à pleurnicher et écoute ! Il renifle pour refouler une larme. Nous allons tout faire pour revenir. Si la situation devient désespérée... nous prendrons des chevaux et nous reviendrons au Mur, quoi qu'il en coûte aux autres. Nous ne voulons pas te quitter, nous faisons ça pour toi, pour ton avenir. Alors nous ne t'abandonnerons pas si la reconquête est un échec. Mais si, malgré tout... nous ne revenons pas - Frock lâche un petit gémissement -, alors je te demande de vivre ta vie comme tu l'entends. Ne vis pas avec notre souvenir, va de l'avant. Ne laisse personne marcher sur les pieds du grand homme que tu seras. Tu es quelqu'un d'exceptionnel, tu es mon fils. Ne pleure pas ! Sinon, ta maman va pleurer aussi !
C'est bien trop tard, Ulrika est effondrée. Elle se blottit dans mes bras et je ne peux rien faire d'autre que lui caresser la tête pour la calmer. Nous avons fait ce choix, nous ne pouvons pas reculer. Le soleil ne va pas tarder à se cacher, et le disque argenté de la lune a déjà commencé à monter dans le ciel. La nuit sera claire. Le major est vraiment un grand homme très prévoyant, Frock ! Il a fait en sorte que cette lune éclaire le chemin de ta maman et moi. C'est un bon présage, j'en suis sûr !
Le pas d'un lourd cheval se fait alors entendre sur le pavé. La robe d'un blanc immaculé, la monture du major Erwin se met à parader avec son cavalier dans la cour. Tout le monde le regarde avec admiration, et comme un seul homme, nous frappons notre poitrine du poing pour l'honorer. Frock semble très impressionné par sa prestance, il en oublie même de pleurer. Smith prononce un petit discours inaugurant le départ, tout en signalant que les civils sont déjà aux portes de Trost et n'attendent plus que nous. Je l'avais déjà remarqué, la ville est littéralement remplie de réfugiés depuis quelques jours.
Le major est rapidement suivi de son état-major à cheval et des vétérans du bataillon. J'avoue avoir été surpris par la petite taille du caporal ; il n'est guère plus grand sur sa monture... mais je sais que le sous-estimer est une grosse erreur, je l'ai vu à l'oeuvre ; suivent les soldats de renfort venus des autres régiments, qui ne portent pas la veste des explorateurs. Il ne reste plus que nous pour compléter la formation. Je dois me trouver sur le flanc droit qui sera le plus exposé. Ulrika ne sera pas trop loin de moi, je crois, plus près du coeur de la colonne. Nous devons aller chercher nos chevaux et rejoindre nos supérieurs à la porte de Trost.
Frock, c'est la bonne, cette fois. Sois un homme et ne pleure pas. Attends-nous tant qu'il y a de l'espoir. S'il n'y en a plus... fais ce que bon te semble. Je lui fourrage les cheveux et éloigne sa mère avant qu'elle n'éclate de nouveau en sanglots. Il est fier de ses parents. Je veux qu'il garde de nous cette image de bravoure.
Ulrika et moi suivons nos camarades vers les écuries. Elle continue de hoqueter mais je crois qu'elle reprend ses esprits. Je me retourne juste un instant, une dernière fois, et observe Frock. Il reste les poings serrés, une vivante image de la fermeté, mais il ne peut plus empêcher ses larmes de couler. Une femme inconnue - l'épouse ou la soeur d'un soldat, sans doute - le prend par les épaules pour le réconforter.
Je réalise alors... que je ne lui ai jamais dit. Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais, ce petit...
#lc490#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#aot#snk#attack on titan#fashion
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« tu es ma copine, tu devrais être celle avec qui je couche le plus »
J'ai décidé d'écrire mon témoignage, je crois que j'en ai vraiment besoin pour avancer. Il y a deux ans, j’ai mis fin à ma plus longue et plus sérieuse relation. Cinq ans, on parlait mariage et enfants, on vivait à distance depuis un an pour des raisons professionnelles mais avant ça, nous avions vécu ensemble. Il parait qu’à distance, le risque de séparation augmente grandement. A l’époque je n’ai pas compris que ce n’était pas un risque mais plutôt une chance, dans mon cas.
En apparence, mon ex-compagnon et moi formions un couple équilibré et heureux. En apparence.
Il m’a fallu deux ans pour comprendre pourquoi je m’étais enfuie comme ça, pourquoi j’ai tout fait pour rompre, pourquoi je me sentais aussi mal alors que tout allait si bien entre nous.
Durant cinq ans, j’ai vécu ce qu’on appelle une relation abusive.
Ça me donne envie de vomir quand j’y pense mais je sais (je remercie le médecin qui m’a suivie cette année), que si je continue à ne rien dire, j’en souffrirai toute ma vie. Alors voilà, je le dis, j’en parle, je témoigne.
J’avais dix huit ans, un climat familial tendu et un besoin d’indépendance. Il était à peine plus âgé, il avait une famille de hippies et un petit appartement à lui. Je suis tombée amoureuse très vite, je disais que tout se faisait tellement naturellement entre nous, c’était magique ! Mais c’est plutôt comme une araignée tissant progressivement sa toile pour piéger un insecte. J’aurais du mal à dire comment ça s’est vraiment fait, il était très distant au départ, il disait que je ne l’intéressais pas mais ses gestes et ses actes me prouvaient le contraire. Toujours très doux, toujours là quand j’avais besoin. Je me disais qu’il était peut-être réticent à s’engager à cause de son ex qui lui avait manifestement bien brisé le cœur.
Quand nous marchions dans la rue, il s’arrêtait toujours auprès des SDF pour leur donner quelque chose et discuter un peu. J’ai cru trouver l’homme le plus généreux et gentil au monde.
Un jour, il a dit qu’il m’aimait. Peu de temps après, je venais vivre chez lui. Ça avait l’air d’un conte de fée. J’avais trouvé un prince dont il ne manquait plus que le cheval blanc.
Et puis, ce que j’ai perçu comme « son seul défaut » a fait surface. Il était coureur et pas qu’un peu. Il justifiait son attitude par une frustration de longue date, liée au fait qu’avant il ne plaisait pas aux femmes. J’ai su ensuite que son ex l’avait quitté pour ça. Il m’a imposé sa vision du couple, lui qui se tapait qui il voulait quand il voulait. C’était à prendre ou à laisser. Je l’aimais, j’ai accepté avec un pincement mais accepté quand même.
Ç’aurait pu être tout, ok mon ex couchait partout comme il voulait mais certains couples pratiquent le libertinage et tout va bien. Moi, je n’avais jamais fait l’amour avec personne d’autre, et ça me gênait alors j’essayais de faire abstraction. Mais il y a eu le fichier Excel. Je crois que c’est là que j’aurais dû fuir parce qu’après ça, il m’a abimée de plus en plus. Sauf que j’étais déjà dépendante de lui. Financièrement et sentimentalement.
Un jour, il m’a montré un fichier Excel sur lequel il notait toutes les filles avec lesquelles il couchait. J’étais bien entendu dessus. Il m’a dit « tu es ma copine, tu devrais être celle avec qui je couche le plus ». Ça parait délirant ? Pour moi aussi, maintenant. Combien de fois ai-je couché avec ce mec alors que je NE VOULAIS PAS ? Combien de fois, je me suis sentie sale parce qu’il s’en était tapé une autre avant moi ? « Je me protège, t’en fais pas », « de toute façon tu seras toujours mon vaisseau mère, la principale de toutes » c’était toujours ce qu’il me disait. Il m’offrait ces phrases comme un genre de privilège de petite amie. J’écartais les jambes, et les points sur le Excel grimpaient. J’avais la pression, j’avais peur qu’il me quitte, j’avais peur d’avoir le cœur brisé, j’avais peur de ne plus avoir son amour, j’avais peur de devoir rentrer dans ma famille.
D’autres comportements se sont ajoutés, toujours justifiés. Il parlait avec une voix douce, il semblait ne jamais rien imposer et pourtant il me forçait sans cesse la main. Subtil et efficace.
Il m’a comparée de plus en plus aux autres femmes. Celles avec lesquelles il couchait, les actrices porno qu’il aimait, les inconnues croisées dans la rue. Par exemple, il disait que mes seins n’avaient pas la bonne forme, et de comparer avec image à l’appui pour me montrer ce que sont de beaux seins. Et il l’a fait avec de nombreuses parties de mon corps. Mais certaines était très bien, alors je pouvais me rassurer, ça sauvait les meubles. Aujourd’hui, je suis toujours complexée.
Il m’a prise en photo et filmée à mon insu. Il a stocké les fichiers sur une clé USB. Il a justifié son œuvre comme une aide quand il manquait de moi (NOUS VIVIONS ENSEMBLE, BORDEL). Quand je l’ai découvert, j’ai été horrifiée. Ma pression a monté d’un cran, j’ai commencé à avoir peur de ce qu’il pouvait en faire. Comme toujours, il justifiait ses pratiques déviantes par son manque de femmes dans le passé, c’était normal, il fallait que je sois compréhensive, le pauvre avait tant souffert.
Je dormais parterre. Parce qu’on avait pas la place pour un lit double (on vivait dans un 18m² très mal agencé, pour sa défense) et qu’il prétendait avoir besoin d’un vrai lit pour son dos. Puisque je ne souffrais pas du dos, pourquoi aurais-je eu besoin d’un lit ? Et il n’était pas question de déménager, trop cher, trop chiant, trop compliqué.
Comme j’étais étudiante et que je ne gagnais pas ou peu (selon les périodes) d’argent, il fallait que je sois utile. Alors je faisais le ménage. TOUT le ménage. En plus des cours, des stages. A un moment, j’ai quitté l’appartement durant quatre mois pour un stage dans une autre ville. Il n’a jamais fait le ménage. J’ai dû tout rattraper en rentrant, du moins j’ai essayé car autant dire que c’était devenu un taudis. Il y avait même une colonie d’insecte. Tout ça en quatre mois. Et lui, qui trouvait ça normal. (ET MOI QUI DORMAIS TOUJOURS PARTERRE !!) Au milieu de sa crasse. Mais je ne devais pas me plaindre, il faisait « quand même » la vaisselle.
Puisque c’était son appartement, je devais vivre selon ses règles. Je ne pouvais pas décider où ranger mes affaires, j’avais un demi niveau d’étagère pour tout mettre. Tout le reste lui appartenait. Il mettait son bazar partout et j’étais tenue d’être ordonnée de mon côté. Si je devais me lever plus tôt que lui, j’étais tenue de ne pas le réveiller, de ne pas faire de bruit. Je prenais mon repas soit dans la salle de bain, soit à la fac car je ne devais pas allumer la lumière et manger l’aurait réveillé. C’était comme ça tous les matins durant plusieurs années.
Lorsque j’étais malade, il me réveillait en plein milieu de la nuit car il ne supportait pas de m’entendre renifler ou tousser, il disait que ça l’empêchait de dormir. Peu importe si moi, j’avais 40 de fièvre et les poumons en feu, son sommeil était plus important.
Un jour, il a dit qu’il trouvait ma sœur canon et qu’il coucherait bien avec. J’ai été choquée, je lui ai dit que je n’acceptais pas ça. Il a répondu « ok, je ne la toucherai pas. Mais tu sais, si mon frère veut coucher avec toi, ça ne me dérange pas ». Et lors d’un événement de famille, son frère a justement eu des gestes déplacés envers moi. Je me sentais tellement mal que j’ai peiné à en parler à mon ex-compagnon. Quand finalement je l’ai fait, il a pris son parti en invoquant la même PUTAIN de justification que pour lui-même « il est célib depuis un moment, le pauvre doit être en manque ».
Des hommes de son entourage ont parfois été lourds voire plus, parce qu’ils pensaient (d’après ce que mon ex leur disait de nous et surtout de moi), que j’étais une fille facile, que j’étais une accro du sexe.
La dernière année de notre vie commune, il était au chômage. On vivait de l’argent de ses parents et de ma gratification de stage. Il a passé sept mois à jouer aux jeux vidéos avant que la pression parentale ne le pousse à chercher un job. Je n’avais plus rien sur mon compte bancaire.
Il disait qu’il était un grand économe et s’en servait pour justifier ses refus d’acheter quelque chose. En fait, il préférait dépenser son argent dans des composants informatiques et des jeux. Une année, il n’a rien fait et ne m’a rien offert pour mon anniversaire parce qu’il voulait s’acheter une nouvelle carte graphique. Une autre fois, il m’a offert un bracelet trouvé parterre. Lorsque nous étions en relation à distance, il prétendait ne pas avoir les moyens d’acheter un billet de train pour me voir et réclamait par contre que je vienne. Un de mes amis a voulu se montrer gentil et a proposé de venir le chercher lorsqu’il passait vers chez lui, il ne lui demandait rien en retour. Il voyageait donc gratuitement. Un jour, ils parlaient de jeux dans la voiture. Mon ex s’est vanté d’avoir acheté un casque de VR à 400€.
Quand nous avons commencé à parler de mariage et d’enfants, il a dit vouloir trois enfants pour « reproduire suffisamment mon patrimoine génétique, sinon ça sert à rien ». Oui, il a vraiment dit ça. Il s’est offusqué lorsque je lui ai dit que je voulais garder mon nom de naissance et continuer à travailler. « Mais qui va élever les enfants ? » Pour lui, refuser de porter son nom était un affront et ne pas devenir mère au foyer tout autant. Mais je n’ai pas lâché. Mon nom, c’est la base de la construction de mon identité, c’est moi, c’est important. J’ai fini par négocier un nom composé et il accepté l’idée que je travaille. On avançait. Ou pas. Il a alors déclaré qu’il travaillerait moins, que je rapporterai l’argent puisque je voulais le faire. Sur le papier ça sonne comme une victoire, mais sa façon de le dire ne m’y a pas fait croire une seule seconde. Et c’était toujours comme ça quand il y avait un désaccord. Lorsqu’il pliait en ma faveur, j’avais toujours une impression étrange, une forme de culpabilité, comme si j’étais horrible, comme si je le maltraitais. Dans d’autres cas, il acceptait parce qu’il trouvait un autre moyen de me pousser dans son sens, de façon plus détournée mais on finissait toujours par aller dans son sens. Son intérêt était toujours plus important que le mien ou celui de notre couple. Il n’y a jamais eu de « nous » dans ce couple, seulement du « lui ».
Dans les dernières années, ma confiance en moi était au plus bas et mon corps me dégoûtait toujours plus. Je n’arrivais plus à éprouver la moindre envie de faire l’amour. A chaque fois, je complexais. Je pensais à ses remarques sur moi, sur mes pratiques, sur mon manque d’expérience. Il a suggéré que je couche avec un autre homme pour être plus expérimentée. Avec la distance, il disait qu’il voulait de plus en plus se taper Machin ou Truc, j’avais l’impression d’être devenue secondaire. J’ai commencé à refuser certains rapports sexuels. Les tensions ont apparu. Il me faisait culpabiliser, il me disait qu’on ne se voyait déjà pas assez, qu’il était en manque, qu’il allait se sentir mal. Et puis, il a fini par me dire qu’il allait se taper plein d’autres filles puisque je ne voulais pas le soulager. Je précise qu’il ne l’a pas dit comme ça, c’était plus subtil, un truc du genre « il ne faudra pas t’étonner si je craque et que je fais ça avec Machin », quelque chose plutôt comme ça. Une fois, où je n’ai pas clairement dit non, où j’ai juste dit que je n’étais pas trop motivée, il y a quand même eu du sexe. Mais je ne voulais pas, vraiment pas du tout. Je ne savais pas comment refuser. J’aurais dû dire non, j’aurais dû partir. Je me souviens que j’ai réfléchi toute la nuit à partir de chez lui, prendre le premier train et rentrer chez mes parents. Je ne l’ai pas fait.
J’ai quitté cet homme après cinq longues années. J’ai rencontré quelqu’un en ligne qui me parlait de problèmes de couples et qui m’a fait me demander si je voulais vraiment l’épouser et surtout ce que je m’apprêtais à faire vivre à mes futurs enfants. Je n’allais pas bien. Je savais que je me sentais trop mal pour tout ça. Et il y a eu cette question « est-ce que tu veux que tes enfants te voient dans cet état quand ton homme part coucher avec Machin ou Truc ? ». A l’époque, je précise que tout ce qui a été dit précédemment ne me semblait pas anormal. Je disais qu’il n’avait vraiment aucun défaut, à part celui d’être coureur de jupons. Il m’a fallu deux ans et une thérapie pour comprendre.
J’ai vécu dans une relation abusive avec ce qu’on appelle un pervers narcissique. Ce genre de personne est malade et bien souvent refuse de s’en rendre compte. Dans son petit univers, tout le monde gravite autour de lui, il est parfait et tout le monde est inférieur à lui. Je ne veux pas lui trouver des excuses. Ce type est un malade mental et il m’a beaucoup blessée. Aujourd’hui, je veux dire que je ne méritais pas ça. Ni moi, ni personne d’autre.
J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai écris tout ça. Je voudrais que d’autres personnes s’échappent comme j’ai pu le faire, si possible plus vite que moi ou qu’elles ne s’engagent même pas, qu’elles comprennent tout de suite à qui elles ont affaire. Je pense que sans le forum et la relation à distance, je serai toujours avec lui, plus brisée que jamais, à le servir dans son appartement de merde et à endurer ses remarques et pratiques déviantes.
Un couple, c’est une égalité. La balance ne doit jamais pencher plus d’un côté que de l’autre.
Si vous vous êtes reconnu.e dans ce texte, s’il vous plait, allez vous en. Si vous avez déjà vécu ça et que vous êtes aussi déjà parti.e, ne vous en voulez pas, dites-vous que vous avez du mérite, que vous n’avez pas abandonné une pauvre âme mais bien quelqu’un qui NE VOUS VOULAIT AUCUN BIEN.
Et, je sais que c’est dur mais dites-vous bien que ce n’est pas votre faute. Vous êtes une victime. Vous n’avez pas à avoir honte ou à vous reprocher quoi que ce soit. Si vous en avez besoin, parlez. Ne laissez pas cette personne vous pourrir la vie, même à-travers vos souvenirs. Le couple est une relation bienveillante dans laquelle on doit se sentir en sécurité. Si tu trouves que ton partenaire te tient des propos blessants et te fait culpabiliser, n’hésite pas à te renseigner sur Le cycle des violences
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