Tumgik
#encore une fois bon anniversaire <3
slendermanuniverse · 12 days
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1/3 Analyse : L'opérateur de Marble Hornets !
Aujourd'hui nous faisons une analyse de l'Opérateur de la série qui a été à l'origine de nombreuses autres ensuite, Marble Hornets !! Il est bon de noter que selon certaines sources (j'ai pas su retrouver l'origine) les créateurs auraient affirmé que l'Opérateur, bien que très inspiré, est une créature différente du Slenderman. Je le traite cependant car cet ARG est un pilier du slenderverse !! Et sans plus tarder, allons dans le vif du sujet !!!
ATTENTION, SPOILERS EN GRANDE QUANTITÉ
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L'histoire de Marble Hornets en prenant pour point de départ l'Opérateur :
Le point de départ humain supposé du Slenderman de cet univers serait Alex Kralie, le réalisateur du film Marble Hornets dans l'univers en lui-même. On peut le penser grâce à l'entrée #37 où il fête son anniversaire en 1991 alors encore enfant, le symbole de l'Opérateur apparaît sur son visage puis il vient lui-même apparaître à la fin de la vidéo. On peut aussi considérer Tim Wright comme un point de départ différent et plus tardif mais ça relève plus de la supposition puisqu'il est admis en 1995 à l'hôpital psychiatrique pour des troubles qu'on connait grâce au doxxing sans honte de Jay Merrick, et qui ressemblent à des symptômes que l'on pourrait avoir en rencontrant l'Opérateur, en plus de ses crises d'épilepsie qui étaient déjà présentes.
C'est donc sans trop de risque qu'on peut estimer que l'Opérateur choisit ses victimes enfants avant de les suivre toute leur vie pour propager son influence dans leur entourage. Est-ce que le phénomène a été accentué parce que deux victimes se sont rejointes ?? C'est une question à se poser !!!
Suite à ça, l'Opérateur refait son apparition sur le set de Marble Hornets alors que deux infectés dès l'enfance sont présents. Jay Merrick confirmera ne pas se souvenir de certains événements pour lesquels l'Opérateur était pourtant présent pendant la période de tournage. La suite, nous la connaissons, l'Opérateur passera le reste de la série à tourmenter le cast jusqu'à leur mort ou leur échappatoire, que ce soit par la paranoïa et les effets néfastes qu'il cause, l'emprise qu'il semble avoir pris sur Alex et Tim lorsqu'il est sous l'identité de l'homme masqué, Brian Thomas complètement brisé mentalement au point de prendre l'identité de l'homme à capuche ou simplement sa présence. Tim et Jessica, rencontrée par Jay dans un hôtel et colocataire de la petite amie d'Alex, en sortent derniers survivants.
Ses pouvoirs avérés et supposés :
- La téléportation : On a pu observer qu'il était capable de se téléporter en emportant même des choses avec lui (surtout des corps)
- La "Maladie de l'Operateur" : Les personnes touchées se mettent à tousser fortement et à rejeter une substance sombre qui ressemble à du sang
- Le brouillage d'enregistrements : L'Opérateur peut altérer l'image et le son des enregistrements en les faisant "glitcher"
- La paranoïa maladive : Dur de dire si c'est la conséquence des évènements traumatique ou de l'Opérateur en lui-même, mais les gens à son contact finissent avec une grande paranoïa
- L'amnésie : Jay a expliqué plusieurs fois n'avoir aucune idée de ce qu'il a pu faire pendant des périodes prolongées de temps ou même avoir oublié des évènements passés
- Le contrôle mental : Comme vu avec Tim en tant que l'homme masqué et Alex que l'on peut supposer contrôlé en vu des horreurs qu'il a commis, l'Opérateur est capable dans une certaine mesure de contrôler l'esprit des humains.
- L'incapacité de le toucher : Encore une fois, dur de dire si c'est l'Opérateur en lui-même qui cause ça, mais la maladie qui l'entoure rend les gens trop faibles pour s'approcher assez et le toucher.
- La distorsion de la perception du temps : On a pu voir dans certaines entrées que le temps semble passer anormalement vite à certains moments, sûrement du fait de l'Opérateur
2/3 Théorie personnelle : La propagation et les distorsions !
Les théories :
Ma théorie pour l'Opérateur c'est qu'il propage son emprise par des virus ou des bactéries qu'il dégage un peu comme des phéromones pour contaminer les enfants en priorité.
Je pense aussi que les distorsions causées par l'Opérateur sont un moyen de se protéger pour ne pas être étudié ou que l'on comprenne des choses dans son fonctionnement grâce à des enregistrements.
Les éléments utilisés :
Les enfants ont un système immunitaire moins développés, donc ça ferait sens de les cibler si c'est quelque chose de biologique !! En plus des indices évidents comme le fait de tousser énormément quand on est proche de lui ou qu'on entre à son contact jusqu'à cracher du sang (?) comme si le corps cherchait désespérément à rejeter un parasite. Peut-être que c'est quelque chose qui agit sur le cerveau vu les réactions du cast ??
Pour les distorsions, on a pu voir que l'Opérateur ne se laisse jamais approcher à distance assez proche pour pouvoir le toucher, et qu'il semble avoir d'autres activités que de rendre les gens fous (il récupère des corps, par exemple, et stalk le cast). Ça le desservirait d'être observé trop en détail.
3/3 L'Opérateur : Dangerosité et conclusion !
Sa dangerosité :
Après tout ce que l'on vient de voir, mon avis sur la question est objectivement que c'est une créature extrêmement dangereuse si il vous trouve de l'intérêt ou si vous côtoyez une de ses victimes. Mais je pense que le plus dangereux c'est que l'on ne sait pas pourquoi il fait ça, si on connaissait les raisons de ses agissements on pourrait peut-être le stopper !! Le fait de ne pas pouvoir déduire sa psychologie est fatal.
Conclusion :
L'Opérateur est un être mystérieux mais avant tout dangereux. Il est difficile de savoir pourquoi il agit mais il est clair que d'un point de vue humain, il est néfaste et probablement inarrêtable. Sa présence dans la série a vraiment permis de développer le côté psychologique des personnages et c'est quelque chose que j'ai vraiment aimé !!! Mais je suis peut-être biaisée, Marble Hornets est le tout premier ARG Slenderverse que j'ai regardé. C'est donc la fin de ce billet sur l'Opérateur, j'espère qu'il vous a plu et que ça vous incitera à vous y intéresser de plus près si c'est pas déjà le cas !!!! (Mais j'espère que si, c'est plein de spoilers et l'ARG a 15ans)
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Remerciements :
Merci à Troy Wagner et Joseph DeLage ainsi qu'à toute l'équipe de Marble Hornets pour avoir créé ce fabuleux projet qui a inspiré tant de monde à développer le slenderverse, au serveur Grampo.Co pour m'avoir aidé à trouver la motivation et de bonnes sources d'informations et à ⦻beetlejuice739⦻ et ses connaissances sur l'univers sur discord pour m'avoir relu !!! Et surtout, MERCI À VOUS !!!!!
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ernestinee · 1 year
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Comme je n'ai que ça à faire Comme je procrastine, je fais un petit bilan du moment en mode level 10.
Vous vous souvenez du level 10, on définit 10 domaines de la vie, on y pense régulièrement pendant quelques jours pour n'être ni pessimiste ni trop optimiste, et on se met des points sur 10. Ensuite on choisit des domaines prioritaires pour lesquels on se demande comment monter d'un point d'ici le prochain bilan. On pose des objectifs et des façons d'agir. Je fais ça régulièrement depuis deeeees annééééées et ça m'a réellement fait évoluer. Le postulat est que lorsque l'on concentre son énergie dans quelque chose, cette chose évolue.
Bon alors.
1. Couple. 7/10 comme la dernière fois.
Ça va quoi. Tranquille.
2. Amitiés/famille. 8/10, -1 par rapport à la dernière fois mais on va entrer dans la période des anniversaires, ça va remonter.
Les amis fidèles sont toujours là, c'est agréable. J'aime bien les mettre au même niveau que la famille.
3. Santé : 8/10. +1 par rapport à l'année dernière
J'ai perdu 15 kg depuis le mois de mai et ça fait beaucoup de bien. Je suis au même poids qu'en 2016 quand je faisais 9h de sport par semaine. Alors je n'ai plus du tout le temps de faire 9h, mais le cirque reprend cette semaine (jonglerie , câble, échasses, corde lisse et trapèze) et pendant les vacances scolaires j'ai régulièrement bossé les bras et les abdos, j'ai assez bien marché aussi.
L'année dernière j'étais assez déçue de moi, j'étais fière de me lancer dans des trucs difficiles mais ils se sont vraiment avérés très difficiles, mon âge et mon corps agissaient comme des obstacles pour tout ce que je voulais faire au trapèze. En fait j'aimais bien ce corps avec des formes et il correspondait mieux à qui je suis, je trouve. Mais il ne correspondait pas du tout à ce que je voulais en faire. Du coup me revoilà fit, comme au bon vieux temps, mon corps comme un outil. Cardio peut mieux faire mais c'est pas mon truc, gainage de folie et bras encore un chouïa trop mous mais les pompes commencent à se fluidifier, c'est cool.
4. Environnement 7/10. Pareil que l'année dernière parce que rien n'a vraiment changé. Ça va changer, on commence des travaux en octobre dans la maison. L'appartement quant à lui se termine petit à petit mais on ne peut y aller que des petits moments du weekend, et c'est à 1h d'ici du coup ça limite fort. Bon allez peut-être un petit 8/10 alors, pour l'effort.
5. Don de soi. J'étais à flemme/10. Là je vais ajouter 1 point pcq justement hier j'ai fait du bénévolat pour avoir des subsides dans un projet d'intégration d'enfants handicapés dans des stages. Pour financer la présence d'éducateurices spécialisé.es et arriver plus facilement au quota de supervision nécessaire quand il y a des enfants handicapés dans le groupe.
Mais flemme quand même. Je donne beaucoup de moi, je fais du bénévolat avec les patients quand je sais qu'ils ne seront pas remboursés par la mutuelle par exemple. Je refuse qu'ils paient les manquements du système de soins de santé en Belgique. J'arrive pas à coter ça en fait, ça me semble naturel et en même temps je ne pourrais pas faire davantage parce bon il y a un moment où je paie des factures.
6. Loisirs 8/10. +1 par rapport à l'année dernière.
Je double ma présence au cirque cette année et ça commence demain et ça me terrorrise, et je suis en même temps impatiente de donner encore cette année des grands coups de pied dans ma zone de confort. Et je suis surtout impatiente de passer du temps avec le groupe du cirque. Ces gens sont remplis de talent, d'humour et de bienveillance, je n'ai pas envie de me passer d'eux.
7. Job 9/10 encore, même chose que l'année dernière.
J'ai beaucoup de boulot et j'aime ce que je fais. J'ai juste beaucoup trop de boulot par périodes, c'est mal réparti sur l'année. Là je viens de passer deux mois plutôt chill pendant les vacances scolaires parce qu'il y a beaucoup d'absents et d'un coup ils reviennent tous et beaucoup d'entre eux ont besoin de testing et de bilan. J'ai posé les bilans exprès à cette période parce qu'en général j'ai un.e stagiaire et c'est un bon apprentissage, mais là je n'ai pas de nouvelles de celle de cette année.
S'il devait y avoir un objectif ce serait arrêter de procrastiner mais bon, on le connaît bien ce petit cocktail "1/3 angoisse d'anticipation, 1/3 perfectionnisme, 1/3 syndrome de l'imposteur"
Cet objectif ne fonctionne pas, étant donné que j'écris tout ceci au lieu de faire mes factures.
Je devrais bosser sur mon rapport à l'argent. Des années que je bosse et je suis toujours déchirée à l'idée de donner une facture à un patient.
8. Finances 6/10.
+1 par rapport à l'année dernière parce que j'étais vraiment dans une grosse tuile avec des documents perdus par la mutuelle et donc l'impossibilité d'obtenir mes honoraires de plusieurs mois. Ça avait reculé pas mal de paiements importants qui avaient donc été majorés et c'est comme ça qu'on se retrouve dans le caca financièrement parce que ça décale les paiements faisables et donc ça ajoute des majorations sur le moindre truc.
J'ai aussi eu des problèmes dont j'aurais pu me passer, avec ma voiture, ça a été cher.
Du coup c'est un +1 d'encouragement pcq la galère continue mais j'ai trouvé une solution, et ça m'a demandé de prendre sur moi et téléphoner (😱) mais maintenant l'avenir me stresse un peu moins.
9. Philosophie. 0/10, pareil qu'avant.
J'ai même pas envie d'en parler,tiens. Je vais trouver un autre libellé.
10. Lecture 9/10. +2 par rapport à l'année dernière, LE gros progrès de l'année, avec la santé.
Je suis dans mon 18eme bouquin et j'ai même un petit résumé de chaque dans le billet épinglé. J'espère arriver à 20 avant décembre mais là je suis dans une grosse lecture assez technique sur la remédiation des troubles visuo-attentionnels.
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Quelques trucs bien. Juillet 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
M’entraîner à la poésie et redécouvrir les poèmes à forme fixe
Tenir bon face à maman qui lutte et demande (exige parfois) de continuer de faire « comme avant » alors qu’elle n’en a plus la capacité physique et mentale. Savoir que l’enjeu est une question de vie ou de mort. L’accepter pour elle, qui est dans le déni et le chantage affectif
Refaire le monde tard dans la nuit. Revenir avec humilité sur les rêves de jeunesse et le principe de réalité. Et puis me taire et laisser parler les donneurs de leçons
S’habiller dans toutes les nuances de la « Pink Party » et porter des lunettes extravagantes. Décorer le jardin de papier. Siroter un cocktail au romarin. Préparer une playlist de musiques entraînantes. Danser jusqu’à minuit dans le jardin. Faire un peu semblant de voir la vie en rose
Penser la poésie comme un casse-tête, bref me prendre au jeu du son et du sens
Recevoir mon parrain et ma marraine à la maison afin qu’ils prennent conscience de l’état dégradé de maman. Profiter de la vie tant qu’on peut. Les trouver heureusement inchangés, eux
Recommencer à écrire de la poésie. Commencer à s’entraîner pour les #30jourspourécrire
Organiser une Pink Party avec les copines
Aller au cinéma entre filles (ma sœur et mes deux nièces) pour voir Barbie. Rire et pleurer en conscience des injonctions paradoxales. S’en trouver regonflée et rassérénée avec l’espérance d’un avenir d’égalité homme femme
Perdre la face en amenant maman à son activité de bénévole, alors qu’elle n’en est plus capable. Rester en doublon jusqu’à ce qu’elle demande de rentrer à la maison. L’expérience aura duré deux fois 45 minutes, à deux jours d’intervalle. Décider pour elle et moi que c’est la dernière fois
Passer trois jours avec ma fille, son compagnon et le bébé. Pouponner (les trois)
Recommencer à écrire aussi. Tout doucement avec un haïku
Recommencer à lire. Enfin, plaisir des vacances
Dormir, puis faire la grasse matinée, et encore la sieste pour récupérer du sommeil en retard. Étaler la cure sur 3 jours
Finir l’année scolaire sur les rotules et sur les nerfs. Laisser couler les larmes lors de la dernière soirée. Me sentir bizarre encore mais trouver des collègues empathiques
Manger une paella lors d’une tablée à 25 personnes. Me souvenir des repas de famille où c’est ma grand-mère qui était aux fourneaux
Fêter des anniversaires en dizaines. Laisser un paquet cadeau incognito et recevoir un message de remerciement le lendemain matin
Attendre le mois prochain pour le défi en écriture annuel. Me sentir pourtant sans ressources
Préparer de nouveaux outils pour les collègues à la rentrée. Tirer bénéfices de la dernière formation avec des pictogrammes
Choisir sur cintre une robe par jour, varier les couleurs avec l’humeur estivale
Apprendre par hasard que mon ex est dans une nouvelle relation sentimentale et qu’il a pris un 3ème poste professionnel. Rien de surprenant, rien à envier. Me sentir soulagée d’être dans ma vie
Acheter un album messager pour mon petit-fils qui grandira avec le regard et les mots de ses parents. Écrire son histoire avec le temps qui passe
Rencontrer la médiatrice des ateliers pédagogiques du Musee d’art concret. Faire des projets ensemble sur la même perspective, celle de la valeur de la culture et de l’art accessible à tous
Écouter les cigales chanter l’été dès le lever du jour : 5h45. Il fait déjà trop chaud
Fêter le départ de la cheffe de service. Me laisser emporter par ses larmes de regret et de reconnaissance. Partager l’émotion
Manger au restaurant d’application et d’insertion dans un cadre magnifique. Trouver une équipe bienveillante et efficace. Prendre des contacts pour le réseau professionnel. Envisager d’en faire un lieu de stage pour les jeunes
Bénéficier d’une formation théorique et pratique, de qualité. Se sentir renforcée pour les nouveaux projets. Envisager des lectures offertes de mythes
Améliorer la maison. S’y sentir confortable
Profiter de l’absence de mon fils pour faire le tri dans les vieilleries : photos, souvenirs, fringues, etc. Me sentir allégée et soulagée
Passer des stridulations des cigales à celles des grillons, plus subtiles. Écouter venir la nuit dans la splendeur rose et bleue du crépuscule
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the-black-sheep-ghost · 4 months
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C'est à partir du week-end que j'ai envie de finir pendu dans un arbre dans la forêt en face de chez moi en espérant me brisé la nuque directement mais aussi le mélange de drogue, alcool et médicaments en étant au total à 8 gramme dans le sang les veines complètement ouverte, et que ça ne me ferait rien de tout abandonné, de donner toute mes affaires, de supprimer toute mes photos, de couper tout les liens sociaux et justement pouvoir tuer une bonne fois pour toute de manière irrécupérable la personne que je suis. Cette anxiété, cette façon de pensée, ces périodes où je parle de la mort et uniquement de ça qui font peur à mon entourage, ces faux sourires à la con, des conseils et du réconfort aux autres que je ne pensent même pas. Toute cette merde finira.
La manière que j'ai décrite pour mourir est l'un de mes projets, pour l'overdose il y a des chances pour que ça rate ou que je me fasse cramé, donc justement faire ces 3 techniques bloquerait tout moyen de sauvetage. Puis la forêt pour que personne ne puissent m'en empêcher et qu'on mettent du temps à retrouver mon corps. Ce serais déjà trop tard, mon corps serait déjà en putréfaction.
Je vais tenter avec certaines personne de mon entourage pour la conso, et je passerais une aprèm en ville pour trouver un magasin de bricolage pour la corde. Il y a une comptine pour " enfant " en anglais qui apprend à faire des nœud coulant. J'ai le temps de réfléchir à tout ça. Si jamais il y a des problèmes pour la drogue, j'aurais juste à utiliser mes médicaments qui sont tout simplement des drogues comme la fluoxétine et surtout tout mes flacons de valium. J'ai 6 flacons de valium quasiment complet. Autant de clope que je pourrais fumer. Si je peux, des champignons hallucinogènes et/ou toxique. J'ai une date butoir, c'est un détail que je préférerais choisir dans un temps particulier. Pas pendant un événement où du moins que le temps sois suffisamment espacé. Comme les anniversaires.
Je suis né le jour de la mort de mon grand-père. C'est sûrement pour ça que mon père était absent. Personne n'aime fêter mon anniversaire, même juste une fête normal sans cadeau ou truc de bases, j'attends juste un bon moment passer entre potes, je ne veux pas de cadeau ni de gâteau. Je suis gênée à chaque fois car je ne suis qu'un gouffre à fric. J'ai toujours détester mon anniversaire et dans ceux les plus marquant j'étaient soit vraiment triste ou soit j'ai failli mourir.
Je ne sais même plus où je veux en venir. Je réfléchirais à ma date de fin plus tard. Je ne la partagerais pas, je ne veux pas qu'on tente de m'empêcher ou de refaire peur à la personne que j'ai prévenu. Du moins si jamais je venais a en finir ou me faire surprendre entrain d'y faire avec les ambulancier et la gendarmerie. Je n'ai aucun objectif, aucun but, pas de projets, pas de sentiments envers les autres et très peu pour moi, je n'ai pas vraiment d'avis, je crois que je n'ai tout simplement jamais aimé la vie. Ce n'est pas mon truc en 15 ans presque 16 d'existence je n'ai jamais passé du plus loin que je me souvienne un vrai moment de pur bonheur. Je ne me suis jamais senti complète, chaque fois ou j'ai rigoler, même si je trouvais ça drôle je ressentais une vide à l'intérieur.
Je pense enfin comprendre pourquoi les gens ne m'ont jamais réellement aimé et encore plus pourquoi on me rejettait, me tapais ou m'insultais. Que ce soit ma famille, mes amis, des connaissances jusqu'à des inconnus.
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soyashi3173 · 9 months
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🇬🇧 Yahoo dangos! 🍡
Are you doing well at the start of the year? 😊
🎊 Happy New Year 2024 to you by the way... and everything that goes with it: "good health, money, happiness etc..."! 🎎
I should have posted this post (with my duet with Julia) earlier but, as I was not available in recent days (notably I was away from home then, I started a new job and in this time, I also been sick... and I'm still a little... very good start to the year overall, haha... well for work, it's not ironic x'3), it would have been nice if I the post on January 1st because it fell on Elie's birthday... but hey, we're going to say that it will be the case... a few days late... act as if 👀
*whistles innocently*
In any case, Happy New Year 2024 once again and Happy Birthday Elie (late, keuf keuf)!!! 🥳💕
Ps: I would also like to point out that my publications will surely be more irregular than before... with the return to work, I have less time for myself unfortunately 😓
🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠
🇫🇷 Yahoo les dangos! 🍡
Vous vous portez bien en ce début d'année? 😊
🎊 Bonne année 2024 à vous d'ailleurs... et tout ce qui va avec : "bonne santé, argent, bonheur etc..." ! 🎎
J'aurai du poster cette publication (avec mon duo avec Julia) plus tôt mais, comme je n'étais pas disponible ces derniers jours (notamment j'ai été absente de chez moi puis, j'ai commencé un nouveau travail et dans ce laps de temps, j'ai aussi été malade... et je le suis encore un peu... très bon début d'année en somme, haha... enfin pour le boulot, c'est pas ironique x'3), ça aurait été bien que je le poste le 1er Janvier car, ça tombait pour l'anniversaire d'Elie justement... mais bon, on va dire que ce sera le cas... avec quelques jours de retard... faites comme si 👀
*sifflote innocemment*
En tout cas, Bonne année 2024 encore une fois et Joyeux anniversaire Elie (en retard, keuf keuf)!!! 🥳💕
Ps: Je tiens aussi à signaler que mes publications seront sûrement plus irrégulières qu'auparavant... avec la reprise du travail, j'ai moins de temps pour moi malheureusement 😓
🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠 🥠
Julia : Tsukiyomi Kuran
Photo / Edit by : Sasu-chan cosplay
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MARDI 6 JUIN 2023 (Billet 4/4)
Dans ce Billet, vous saurez tout, tout, tout sur Maurice…
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« Maurice, tu pousses le bouchon un peu trop loin » : qu'est devenu le petit garçon de la célèbre publicité Nestlé ?
C'est en 2001 que Lucas Mongénie devient une star. Le petit garçon de 4 ans a quelques répliques qui font mouche dans une publicité Nestlé. Elles vont devenir culte. Qui pourrait avoir oublié Maurice, le poisson rouge qui poussait le bouchon vraiment trop loin ?
Un môme aux joues rondes, à la chevelure de jais, se goinfre gentiment d'un pot de mousse au chocolat. Lorsqu'il entend sa maman rentrer, il jette précipitamment sa cuillère dans le bocal de poisson qui se trouve devant lui sur la table basse avant de s'emparer d'un air préoccupé du téléphone mimant un appel à la SPA. « Allô le responsable des poissons rouges ? » Et de s'interrompre et de déclarer à sa génitrice la bouche pleine de chocolat, preuve de son crime. « Ah tu tombes bien, Maurice a encore bouffé tous les Chocosuis, trois d'un coup cette fois, ça ne peut plus durer maintenant ». « Tu pousses le bouchon un peu trop loin Maurice » conclut l'adorable bambin sermonnant l'innocent poisson rouge.
La publicité tournée en 2001 par l'agence Ogilvy & Mather fait un véritable carton, au point qu'elle est récompensée par le « Coup de cœur du public » au « Festival Pub et Humour » de Paris. Lucas Mongénie est à l'époque âgé de 4 ans. C'est son père qui a eu l'idée de l'inscrire à des castings. « Il se disait qu’au mieux ça m’amuserait, et qu’au pire, ça me permettrait de mettre de l’argent de côté pour mes études », explique le jeune homme dans une très rare interview accordée à Vanity Fair en 2017.
Sur le tournage le petit garçon doit faire de nombreuses prises et ingurgitera près de 45 mousses, de quoi le dégoûter à tout jamais. Mais peu importe car le succès est au rendez-vous, et la marque réclame de nouveaux spots. À 4 ans, révèle encore Vanity Fair, le maître de « Maurice » rafle le plus gros contrat européen pour un acteur mineur de publicité, une rémunération à hauteur de 60 000 euros. L’argent restera bloqué jusqu’à sa majorité. Au cinéma les producteurs de cinéma s'arrachent le charismatique bambin, il reçoit plus de 25 scénarios mais tourne finalement assez peu. Dans Vanity Fair, il se justifie : « C’étaient souvent des histoires de parents qui divorcent ou de chiens qui meurent, se rappelle-t-il. Que des scénarios super tristes. Ça ne me disait rien. » Il se décide finalement pour un court-métrage intitulé Boomer avec trois illustres inconnus à l'époque devenus depuis très célèbres : Gilles Lellouche, Laurent Laffite et Marion Cotillard qui dans la foulée signe pour Taxi.
À l'adolescence les parents du garçon se séparent et il part vivre au Luxembourg avec son père et sa sœur. De quoi lui permettre de se délester un peu de cette célébrité qui lui pèse. Lui qui n'avait jamais été un très bon élève se révèle. Au bac il obtient la mention « très bien ». Après une année de cycle supérieur au prestigieux lycée Henry IV à Paris, où il étudie la Littérature et l’Histoire de l’Art, il est contraint de rentrer au Luxembourg, pour des raisons familiales. Après deux passages télévisuels qui ne lui ont pas laissé de bons souvenirs dans « Ça se discute » et « Toute une histoire », le jeune homme a disparu des radars. C'est Vanity Fair qui donnait le dernier de ses nouvelles en 2017, indiquant que le jeune homme planchait avec des amis sur l'ambitieux scénario d'une trilogie consacrée à Edwin Forrest, l'un des plus grands acteurs de théâtre shakespearien de l’histoire.
Lucas Mongénie célèbrera son 28e anniversaire le 16 juin prochain, souhaitons-lui le succès dans ses projets !
(Source : « voici.fr »)
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On adore cette Pub que nous avons redécouverte dans un reportage de Thierry Ardisson diffusé le 2 juin dernier sur France 3 : « L’Âge d’Or de la Pub ».
On se rend compte qu’on les connaissait pratiquement toutes. A cette époque, incontestablement, il y avait beaucoup de talent dans la Pub !
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eamjournal · 1 year
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Lettre 53
Mercredi 29 Mars 2023
Cher Hugo,
C'est le jour de ton anniversaire, un jour qui est devenu aussi spécial pour toi que pour moi quand 1an plus tôt nous le fêtions ensemble. C'est pourquoi j'ai pris le temps de t'envoyer un message à minuit au balcon de ma fenêtre pour te faire connaître ma présence en ce jour si particulier. Tu m'as répondu en deux minutes top chrono et j'étais si stressée de te voir repondre. Une bougie brûlait déjà pour toi devant notre cadre quand tu as écrit "Merci beaucoup, j'espère que tout va bien pour toi". Mon coeur battait tellement que j'ai explosé en sanglot. Oui je pense que même si je ne m'en doutais que très peu, tu me manquais terriblement. Et le simple fait de reprendre contact avec toi un court instant m'a obligé à tout évacuer. Cela faisait presque 2mois que je n'avais pas autant pleuré sur notre sort. Je pense que je ne savais pas bien comment interpréter ce message, était-il plein d'espoir ? Te souciais-tu de moi ? Était-ce de la politesse ? Attendais-tu une réponse ?
Cher Hugo, le jour de ton anniversaire j'ai simplement décidé de poster une story avec cette photo que j'ai de toi qui disparaît dans la nuit pour la dernière fois. J'ai simplement décidé de rester chez moi, de ne pas aller à mon cours et de reposer mon esprit malade d'amour. Tu as vu chacun de ces signes, tu les as tous liké, tu as renvoyé chaque signe que je t'avais envoyé durant cette journée. Et chaque renvoie, je ne savais à nouveau comment l'interpréter. Politesse ou réelle préoccupation ? Ces réflexions m'ont torturé l'esprit toute la journée. Je n'ai eu l'envie de sortir ou de discuter, seul Thibault m'a tenu compagnie en continuant notre train train quotidien sans insister sur mon manque d'investissement. Mais j'aurais tant aimé que tu sois là pour souffler toi-même cette bougie que je t'ai allumé. J'aurais tant aimé voir ton sourire se dessiner sur ton visage à chacune des surprises que t'a sûrement réservé cette fabuleuse journée. J'aurais tant aimé te voir faire des choses que tu aimes et apprécier ta journée à sa juste valeur. J'ai lentement réalisé combien ton sourire et ton rire me manquaient, combien ta voix avait rapidement quitté ma mémoire. J'ai mille fois souhaité que tu sois là tu sais, mille fois..
J'espère néanmoins que cette journée a été à la hauteur de toutes tes attentes car c'est la mon seul et uniue souhait pour aujourd'hui te concernant. Je ne pourrais pas me sentir plus apaisée. Quant à moi, cette journée m'aura au moins permis de me rendre compte à quel point du compte, à quel point tu es toujours là et à quel point j'étais retombée dans une phase de tristesse. Alors pour toi, j'ai chanté "joyeux anniversaire" en 3 langues et j'ai soufflé sur ta bougie devant notre cadre en te souhaitant sincèrement d'avoir vécu un excellent moment.
Passes une bonne nuit mon coeur. Encore un bon anniversaire, 21 ans désormais et je serai là pour tes 22ans. Je te le promets ici et maintenant. Je t'aime fort.
M.
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Comment notre fille s’est sevrée de la tétine
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Il y a plus d’un an et demi, Lou a arrêté la tétine. Elle avait alors 4 ans. Je sais que ça peut être une angoisse de songer au sevrage de la tétine de son enfant, donc j’ai envie de partager notre expérience. Cela pourra peut-être aider, même s’il y a probablement autant de façons de faire que d’enfants.
L’introduction de la tétine
Lou a commencé à prendre la tétine à 4 mois et demi, quand elle a commencé la crèche. On avait tenté de lui en donner une quand elle était tout bébé, pour voir si cela pouvait l’aider à s’apaiser et à calmer un peu ses pleurs incessants. Mais comme beaucoup de bébés allaités elle avait du mal à la garder en bouche, sa façon de téter propulsait sa langue en avant, et cela éjectait systématiquement la tétine.
On avait lâché l’affaire et finalement je me disais que ce n’était pas plus mal qu’elle n’ait pas de tétine, on s’évitait probablement des soucis pour plus tard. Mais quand elle a commencé la crèche, l’équipe nous a très vite demandé si on pouvait en amener. Ils aiment bien quand les enfants ont une tétine ou sucent leur pouce, cela facilite les endormissements de siestes et adoucit la séparation avec les parents. Et avec eux, elle l’a tout de suite accepté ! J’avoue, j’étais un peu dépitée qu’elle la prenne, surtout à cet âge « tardif », mais bon ça lui faisait du bien.
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Nous voilà donc partis sur TétineLand pour quelques années. Évidemment au début on a laissé faire sans restriction d’aucune sorte. Puis quand elle a grandi, on a commencé à lui demander de ne plus trop la prendre en journée, sauf chagrin ou temps de repos. Je ne me souviens pas des âges exacts, et je crois qu’il y a eu des régressions plusieurs fois.
À 3 ans, elle a fait son premier rendez-vous chez une dentiste. Elle avait une béance dentaire à cause de la tétine, on s’en était rendus compte, c’est très classique. La dentiste a été rassurante, ça se remettrait en place aussitôt qu’elle l’arrêterait. Et elle avait encore un peu de temps, elle nous a conseillé de sevrer au plus tard à 6 ans, avant l’apparition des dents définitives.
Une amorce de sevrage
Mais la graine était quand même plantée dans nos têtes. À cet âge elle n’avait plus la tétine que la nuit, le matin elle la plaçait dans une petite boîte que l’on mettait en hauteur toute la journée, et on lui redonnait au coucher.
Puis elle a commencé à mordiller et trouer ses tétines donc son stock a progressivement diminué. On a tenté un sevrage à Noël, quand elle avait 3 ans et demi, mais cela n’a pas pris. Je lui rappelais régulièrement que la dentiste (la « docteure des dents ») lui avait dit qu’elle devait arrêter, que ce serait bien d’arrêter pour ses 4 ans. À 4 ans on est grand, on n’a plus besoin de la tétine !
Elle était réticente à l’idée, à chaque fois que je lui en parlais. Mais parfois elle me disait qu’elle donnerait ses tétines à quelqu’un d’autre : sa petite sœur, sa cousine, la dentiste, ou un personnage imaginaire. Comme l’idée d’une passation symbolique.
Alors j’en ai joué, je lui ai dit qu’à son anniversaire on pourrait envoyer ses dernières tétines au « pays des tétines », pour montrer qu’elle avait grandi et qu’elle n’en avait plus besoin, et en échange elle recevrait un cadeau. C’était un peu contre mon éthique personnelle de lui faire croire à une entité imaginaire alors que je ne lui fais pas croire au Père Noël, mais bon, aux grands maux les grands remèdes !
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Le sevrage
Honnêtement je n’y croyais pas vraiment, je m’attendais à un fiasco comme 6 mois plus tôt. Mais à ma grande surprise, la veille de ses 4 ans elle a été d’accord pour donner ses tétines. On a fait ça bien, on les a mises dans une enveloppe qu’elle a décoré, elle a aussi fait un dessin qu’elle a glissé dedans, et je lui ai dit que je déposerai l’enveloppe à la Poste (en réalité elle traîne toujours au fond d’un placard).
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Bien sûr elle a un peu regretté, un peu réclamé par la suite, et cela fait 1 an et demi qu’à chaque fois qu’on passe devant la Poste elle me dit « c’est là que sont mes tétines, on pourra les récupérer un jour ? »
Mais j’avais prévu le coup, j’ai préparé une petite affichette où on pouvait noter le nombre de nuits sans tétines. Et au bout de 15, elle avait droit au cadeau de son choix, le graal ultime : une couette Peppa Pig ! (comme je suis une petite maligne, les 15 jours me permettaient surtout de recevoir la dite parure de lit commandée sur Vinted)
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En parallèle on a aussi utilisé le Machouyou. C’est un petit objet en silicone qui fait « office » de tétine mais sans abîmer les dents, ça permet même d’aider à les repositionner. J’en avais acheté un à Lou avant ses 3 ans mais elle n’y avait pas trouvé d’intérêt. On l’a ressorti au moment du sevrage et ça lui a permis à certains moments de se consoler de la perte de ses tétines en ayant un objet de substitution à mâchonner. Mais finalement elle l’a assez peu utilisé, c’est plutôt de savoir que cette option était possible qui l’a rassurée.
Et après ?
Je crois que pendant 2 mois elle en parlait quand même pas mal, et elle réclamait ses tétines, puis après c’est passé, elle s’y est habituée.
Sa béance dentaire s’est très vite résorbée. On avait aussi un peu peur qu’elle prenne son pouce, comme sa petite sœur, mais ce n’est pas arrivé. Finalement ça s’est bien passé, mieux et plus rapidement que je ne l’espérais, il a juste fallu en parler bien en amont et attendre qu’elle soit un minimum prête.
Avec le recul, heureusement que nous n’avons pas attendu 6 ans (d’autres dentistes donnent d’ailleurs une date « butoir » bien plus tôt) car Lou a eu ses premières dents définitives à 5 ans. J’ai d’ailleurs écrit un article sur l’âge de sevrage de la tétine (et du biberon, de la poussette…) pour Doolittle il y a quelques temps, si le sujet vous intéresse.
L’épreuve du sevrage nous attend de nouveau d’ici quelques années avec Suzanne, qui est accro à son pouce. Je pense que ce sera une autre paire de manches de l’arrêter, et j’avoue qu’autant je trouvais la tétine très moche et j’avais hâte que l’on s’en débarrasse, autant je trouve le pouce absolument adorable ! Mais je crois que les conséquences sont pires que celles de la tétine, et on voit déjà qu’elle a une béance dentaire. Bref, on verra ça quand ce sera le moment !
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pia-writes-things · 3 years
Note
Bip bip c'est le questionnaire surprise de l'anon
Evidemment n'y répond que si tu en as envie 🙂
1° Personnage(s) préféré(s) ?
2° Ship(s) préféré(s), si tu en a un (pas obligatoire) ?
3°Dynamique(s)/ Paire(s)/ relation(s) préférée(s) (amis/famille/ennemies/Brotp etc) ?
4° Des OCs dont tu aimes parler ?
5° N'importe quoi qui t'intéresse +++ dans Kaamelott ?
6° Plutôt angst ou fluff ?
7° Ton anniversaire ?
Merci beaucoup et bonne journée à toi 🤍
Salut Anon, et vraiment désolée pour le retard ! Je viens de passer 3 jours à me battre avec mon syndrome de l'imposteur, vu que je me sens pas trop trop légitime à répondre, n'étant dans le fandom que depuis quelques jours (et n'ayant commencé à regarder KT il y a moins d'un mois seulement) mais bref. Voilà mes réponses !
1° Personnage(s) préféré(s) ?
Guenièvre et Viviane avant tout ! J'ai un faible beaucoup trop gros pour les meufs qui s'en prennent plein la gueule h24 mais qui reste résiliente et surtout, qui continue à chercher à aider les autres ❤ J'aime bien Mevanwi aussi, son développement me fascine. Et puis bon, j'ai un petit faible pour Arthur (bien que j'ai envie de le taper une fois sur deux quand il ouvre la bouche) et Perceval aussi (mon bébou, il est si pur)
2° Ship(s) préféré(s), si tu en a un (pas obligatoire) ?
Pas du tout originale comme réponse, mais Pendranièvre <3 Leur relation me hante tous les jours de ma vie, elle e fascine, elle me fend le cœur autant qu'elle me le remplit, fin bref... J'aime aussi beaucoup Léodagan et Séli, iels me font rire et me font beaucoup penser à mes grands-parents 💓 Et puis, même si c'est très anecdotique, j'aime bien Bohort et Berlewen, iels sont toustes mignon.ne.s <3
3°Dynamique(s)/ Paire(s)/ relation(s) préférée(s) (amis/famille/ennemies/Brotp etc) ?
Arthur et Perceval tout d'abord. Leur relation est si tendre, et Perceval me fais fondre à chaque fois que ces deux là interagissent seul à seul, c'est vraiment un bonheur sans nom.
J'aime aussi beaucoup Viviane et Arthur, ainsi que Arthur et Merlin. Leur relation plus ou moins parent.e - enfant et le côté hyper ado relou d'Arthur avec elleux me fait rire et aussi est pleine d'angst, je trouve ça incroyable à explorer.
Et puis bah, la relation Arthur / Lancelot. Elle me brise le cœur (dans le bon sens si tant est qu'il y en est un) et me fascine. Et du coup par ricochet, la relation Guenièvre / Lancelot aussi.
4° Des OCs dont tu aimes parler ?
Étant donné que je suis dans le fandom depuis moins d'une semaine, non 😅 Et puis de manière général, je suis une meuf plutôt attaché au canon des fictions que je lis/regarde donc je n'ai encore jamais créé d'OC et je ne suis pas sûre de commencer un jour 🤷🏻‍♀️
5° N'importe quoi qui t'intéresse +++ dans Kaamelott ?
J'ai pas vraiment de thèmes précis, encore que la fatalité et le poids des responsabilités me parlent beaucoup, mais je suis plus fascinée par les relations et le développement de tous les personnages. Déjà, le côté found family me rends extrêmement heureuse. Et j'adore voir évoluer les dynamiques, c'est vraiment super important pour moi. Et ce que j'aime le plus là-dedans c'est le pardon des perso entre elleux, comment est-ce qu'on rattrape les erreurs, le mal qu'on a pu faire, toussa toussa ? Et j'aime tellement ça que je suis toujours super frustrée par le traitement des perso (mais en vrai si on m'écoutait, la série et le film ne serait que des longues versions filmées des sessions de thérapies de tous les perso donc pas super passionnant pour beaucoup de monde mdrr) Et puis j'aime bien voir aussi les différences avec la légende de base, même si je la connais pas très très bien non plus.
6° Plutôt angst ou fluff ?
Réponse joker, mais je suis vraiment une hurt/comfort type of gal 😅 Plus sérieusement, j'aime pas les trucs trop dark parce que ça me déprime trop et que AA fait déjà ça très (trop) bien mais en même temps, si c'est juste du fluff sans un peu de "profondeur", d'exploration des sentiments et tout, j'arrive pas trop à connecter à l'histoire. Donc, que ce soit quand je lis ou quand j'écris, j'ai tendance à graviter vers du "les perso vont souffrir émotionnellement à un moment, ça va pleurer et ça va s'engueuler mais à la fin tout est bien qui finit bien" 😊
7° Ton anniversaire ?
Je vais pas le dire clairement (pck privacy, toussa toussa), mais je suis née le même jour qu'une monarque très célèbre et qu'un évènement politique français que personne n'a vu venir 😅
Merci beaucoup pour ce questionnaire, ça m'a fait super plaisir de le recevoir et d'y répondre ❤
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maracujapassion · 4 years
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À cœur ouvert,
En janvier 2020, j'étais stressée mais pas trop inquiète par rapport au coronavirus. Notre ministre de la santé de l'époque avait jugé la propagation faible, une épidémie quasi nulle. J'écoutais religieusement tout en étant sceptique. Pourquoi pas ? Bon, il ne me reste plus qu'à attendre l'évolution de la situation puisque j'avais en mains un billet pour un road trip mémorable en Asie (lol). Je l'attendais ce voyage. Je voulais du soleil à foison, être perdue, désorientée et kiffer ma vie.
En mars 2020, coup massue. On est confiné avec NG. Je relativise. C'est l'histoire de quelques semaines voire mois tout au plus. Je suis confiante et putain ça fait du bien de ne plus aller à la fac. Bon, ma fac était fermée depuis janvier par rapport à la grève à laquelle je participais contre la LPPR (je vous laisse vous informer tant c'est nauséabond). Je me crée une petite routine. Je suis à fond NG et des progrès. J'imprime, je plastifie, je réalise des expériences. On continue à faire nos courses comme d'habitude. Rapidement, la farine et le papier toilette deviennent une denree rare. Mais je refuse de céder à la panique. On continue notre routine. Je jongle entre les apprentissages et activités de NG et mon mémoire, les cours à suivre. Je suis à quelques mois de réaliser mon rêve. J'ai tout donné pendant 3 ans de licence + bientot 2 ans de master. C'est pas pour avoir un coup de mou maintenant. 
En avril 2020, le beau temps arrive. Je mesure ma chance d'avoir des extérieurs. Je peste contre les gens qui ont un comportement jugé hors norme. Je veux une pause dans ce confinement mais on tient bon. Petit à petit, le rythme devient moins soutenu avec NG qui veut sortir, parler a des enfants. Je lâche un peu de mou. Elle ne va pas passer le bac non plus. C'est déjà éprouvant pour elle alors tranquille. J'avance sur mes écrits mais une partie de moi s'est vidée. Plus rien ne fait sens. Mais courage nous dit-on, c'est bientôt la fin du master, la fin de ce cauchemar.
En mai 2020, je réussis mes derniers écrits. Je ne savoure pas. Ce n'est pas pareil de rendre un devoir en ligne que de venir pour la dernière fois à la fac. Mais pas le temps de se morfondre, il y a un titre à décrocher. Je me résigne à l'idée de partie. On annule les billets et je pleure. C'est bête mais ce billet c'était mon sesame. J'ai tout idéalisé. J'avais tout fondé sur ce voyage. Pour la première fois j'allais me déconnecter, j'allais me récompenser de toutes ces années de labeur. Tout ça partait en fumée. Ma mère a eu le covid. J'appelle et j'entends son souffle douloureux. J'ai peur. Peur qu'elle parte et que je ne puisse même pas avoir le temps de la revoir.
En juin 2020, j'envoie un mail à ma directrice de mémoire. Je lui annonce que j'arrête. Je n'en peux plus. J'étouffe. Elle, si bienveillante, me demande de ne plus bosser pendant 10 jours. À situation exceptionnelle, solution exceptionnelle. Pendant 10 jours, je déconnecte un peu. Je ne suis QUE maman, QUE conjointe et rien d'autre. Je ne suis pas en flux tendu. Les 10 jours passés, je me remets au travail. Je suis perdue mais avec ma collègue, on s'entraide et on s'en sort. Plus qu'une dizaine de jours et je soutiens. J'ai 2 jurys de la mort. Les crises d'angoisse et de larmes s'enchaînent. J'ai peur. Je ne me sens pas à la hauteur. J'étouffe à la maison.
En juillet 2020, je deviens psy. J'ai fini. J'ai du mal à y croire. Je pleure devant mon jury. Les mots manquent. Les félicitations pleuvent. J'ai du mal à réaliser que j'ai réussi. Je sors me balader en forêt à défaut de le fêter au restaurant. Je suis psy mais ce virus existe toujours. Je rêve de la vie avant. J'ai envie de voir des gens, de sortir un peu de la ville. Je me sens égoïste alors je reste confinée. Je veux aider à inverser la tendance. Je ne vais toujours pas en magasin. Je fais tout pour ne pas avoir à le faire. Les anniversaires s'enchaînent. On voit quelques personnes. Ca fait du bien! NG a changé de comportement et panique quand les gens n'ont ps de masque. Je suis triste de voir les effets du confinement sur elle. On en parle beaucoup. Je suis contente parce qu'on a toujours beaucoup parlé. Elle a peur du virus et je la comprends. Je tente de la rassurer comme je peux.
En août 2020, nous assistons à un mariage et j'ai peur. Les gens sont détendus. Tres peu possédé un masque sauf quelques personnes et moi. Je veux rentrer chez moi. Ca m'étouffe. Je passe quand une bonne soirée et NG est heureuse. J'ai peut-être un emploi, je me projette et je me sens bien même si je n'arrête pas de penser à ce voyage de délivrance. On part dans le Sud Ouest un peu, pas trop loin.. l'Homme continue de travailler d'arrache pieds alors on part un samedi avec des potes et on revient le dimanche soir. Trop court. Mais suffisamment top pour me détendre. On rentre et je prépare la rentrée des classes. J'ai une appréhension. Le virus est encore là. NG est olus oi moins au point pour les gestes barrières mais et les autres ?
En septembre 2020, mon futur employeur fait le mort. Tout n'était que paroles. Il voit mes nombreuses relances. Je suis en colère. Je m'étais trop projetée et ça fait mal. J'avais commencé à travailler un petit peu et cette absence de réponse me poignarde en plein coeur. Je tente de remonter la pente mais je ne voulais ce boulot putain. Je sombre doucement. Je postule. D'autres projets ne fonctionnent pas. Je doute. J'ai peur. Que m'arrive-t-il ? Je me sens si seule, si perdue.
En octobre 2020, les retombés des vacances sont pointé du doigt. Ce virus putain je n'en peux plus. À quand la fin ? Je veux partir. Je veux souffler. On fait pause ? Je me sens glisser mais'vraiment. On part un week-end en Bretagne. Il pleut mais je suis contente. Vais-je me plaindre ? Certains n'ont pas quitté leur domicile depuis mars ou plus. On rentre et je reprends mes habitudes de confinement. Je ne sors toujours ps depuis mars. On parle de confiner encore. Coup de massue. Ca ne va donc jamais s'arrêter ? Je n'ai toujours pas fait de test parce que j'ai peur. Je suis épuisée. Ma vie se résume à être passée à côté de celle-ci.. je rêve de mon tour du monde en van dont je rêve depuis plus de 10 ans. Tous ces projets qui peut-être ne se réaliseront jamais parce qu'on danse une valse confiné/déconfiné.
En novembre 2020, je suis au plus bas. Je fais mon possible. Je me sens épuisée physiquement. J'ai mal à l'estomac. Je commence à de moins en moins manger. J'ai des pulsions alimentaires alors que c'est assez inédit. L'Homme m'achète un test. Il est positif. Suis-je heureuse ? Oui. Mais après, mon corps a lache.
En décembre 2020, je mange à peine 4 fourchettes par jour. Je vomis absolument tout. Je n'ai plus de force pour m'occuper de moi. C'est l'Homme qui prend le relais. NG ne comprend pas et est tantôt un amour, tantôt déboussolée, tantôt ingérable. Je ne peux rien faire. Je suis désolée de tant la décevoir, de décevoir le monde entier. Le monde s'écroule. Je n'ai plus de force pour me battre. Je baisse les bras. Rien ne se passe comme. Prévu. Je tombe. La tristesse, l'angoisse et la douleur prennent le dessus. Je suis enceinte. Enceinte en temps de COVID.. j'ai peur de revivre une grossesse seule. Je ne voulais pas autant de symptômes m; même si certains ont été amplifiés par mon stress. C'est ma dernière grossesse et je la vois affreuse. Si je suis autant malade maintenant, ça va donner quoi la suite ? Je suis épuisée. Je suis malheureuse. Le bilan de mon année est triste à mes yeux. Je veux tout arrêter. L'Homme me voit tomber et prend les devants. Il appelle une consœur et amie. Il fait tout mais il est hors de question qu'il assiste à ma destruction dit-il. Comment fait-il pour m'aimer ?
En janvier 2020, je n'ai plus de mental. Je n'ai plus rien. Hôpital, médecin, sage-femme, je m'effondre. Je supplie tout le monde de m'aider. Je ne sais pas ce que je veux. Je suis perdue. On va être confiné et je me sens déjà au bord du gouffre mais je tiens bon. NG est mon carburant. Je dois tenir bon. Si vous saviez comme j'aimerais être sur mon île maintenant à ne plus penser à rien...
J'avais besoin de dire tout ça quelque part. J'en ai marre des phrases toutes faites qui ne font pas sens. Je veux revivre. C'est quoi vivre ? Je veux pouvoir aller profiter un peu de la vie que j'ai. Je voudrais une pause dans toute cette pagaille. Ou est-ce que je vais ? Qu'est-ce que je dois faire ?
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dix-sept mai
23h57. 23h58. 23h59. 00h00.
D’un seul bond, mon corps se relève pour venir se coller au tien. Ma main droite se glisse sur ta nuque, la gauche te saisie par la joue. Un sourire échangé, et tandis-ce que je plonge mon regard dans le tien, je ne peux que te souhaiter un joyeux anniversaire. Et c’est précisément lorsque tu vieillies d’une année que je me rends compte de la chance que j’ai. 
Après de tendres et doux baisers échangés, je viens cueillir ton corps contre le mien. Mes bras t’encerclent, ma main se pose sur ton ventre, l’autre passe sous ta tête afin que nos deux êtres soient le plus proche possible. Je n’ai pas envie que tu sois loin, surtout ce soir. Parce que tu fêtes tes vingt ans, et que j’ai de la chance cette fois encore, de pouvoir être près de toi. Et puis paisiblement, tu finis par fermer les yeux. Ton souffle s’alourdit, tes muscles se relâchent, et je te sens enfin rejoindre les bras de morphée. Je m’aventure à déposer de petits baisers sur tes omoplates, ta nuque, tes épaules, tant la douceur de ta peau me fait perdre pied. Et toute cette nuit, je la passerai à rêver de toi, à rêver de nous. 
Kairos. Musso m’a éduquée et m’a appris la signification de ce mot. En Grec, Kairos s’apparente à ce qu’on pourrait définir comme “le bon moment d’agir”. Ce mot est celui qui correspond le plus à notre histoire. Tu te demandes surement pourquoi ? 
Je me souviens. Je rentrais de mon lieu de travail, écouteurs dans les oreilles, le coeur blessé et décidé à ne plus laisser la chance à l’inconnu. Je ne voulais plus aimer, je ne voulais plus l’amour. Moi, qui avais jusque là toujours cru qu’il serait éternel, je perdais finalement peu à peu l’espoir de le vivre un jour. J’étais une passionnée et je vivais par l’amour, pour l’amour. C’était tout ce qui m’animait, tout ce qui faisait que la vie méritait d’être vécue pleinement. Tout ce que j’écrivais se rapportait à ce sentiment, tout ce que j’interprétais n’avait de sens que si l’amour était présent. Mais plus cette fois-ci. J’étais lasse d’avoir tant donnée, d’avoir cru, d’avoir fait confiance, d’avoir été prise pour combler le manque d’affection, d’avoir été un défi à relever, une personne à qui l’on promettait sincérité et tendresse.  Et malgré tout, malgré cette peine, malgré ces désillusions, malgré les mots de Maupassant, quelque chose me donnait toujours envie de ne pas abandonner entièrement. Serais-je capable d’aimer à nouveau ? Serais-je capable de refaire confiance ? Comment pourrais-je combler autrui alors que l’on m’avait roulé dans la boue et que l’on ne me donnait plus rien ? 
Mon téléphone a vibré. Je l’ai sorti de ma poche, continuant ma route pour retrouver ma bulle, celle où je ne m’alimentais plus et où mes journées se résumaient à verser des larmes et écouter des musiques tristes. Ton nom est apparu sur mon téléphone, et je me suis arrêtée de marcher. Un regard vers le ciel. Aux alentours de 16h40. Celui-ci était dégagé, pas de nuage à l’horizon, mais le vent avait tendance à déranger. Il fouettait mon visage, le lacérait presque tant il était froid et tranchant. “Tu finis à quelle heure ?”. On avait déjà parlé un certain nombre de fois, on ne s’était pas clairement dit les choses, mais on se savait. Il existait entre nous cette alchimie naturelle que je peinais à comprendre et que je refusais d’accepter par peur de tomber, une nouvelle fois. Mais pourtant, à cet instant, tout s’est joué. J’avais le choix ; soit décliner, éviter cette conversation tant redoutée, faire semblant de ne pas avoir compris que je te plaisais. Ou bien accepter, assumer, prendre le risque de me confronter à tes ressentis et à tes sentiments qui paraissaient déjà exister à ce moment-là. J’ai regardé longuement le ciel. Il ne me restait qu’une vingtaine de mètres avant d’atteindre le cocon que j’avais souhaité retrouver toute la journée. Mais si je souhaitais retrouver quelque chose encore plus rapidement, c’était toi. 
KAIROS. L’instant présent. Le moment où ce que tu choisis change ta vie pour toujours. L’instant T. J’ai regardé devant moi, et mes pieds ont machinalement fait demi-tour. “On se capte ?”. Message envoyé. Ta réponse dans la foulée. Place Massena, puis promenade des anglais. C’est à ce moment là que ma vie a basculé. Puisque dès l’instant où tu es descendue du bus, je n’ai pu te quitter tes yeux. Je savais que tu allais m’avouer tes sentiments. Sans te connaître réellement, j’appréhendais déjà chacune de tes réactions, comme si elles m’étaient familières. Nous nous sommes bisées, nous marchions à l’unissons vers cette étendue bleue. Nos voix s’entremêlaient, je devinais à travers tes lunettes et l’expression de ton regard, à quel point tu redoutais de me dire les choses. 
KAIROS. L’instant présent, le moment où ce que tu choisis change ta vie pour toujours. L’instant T. Tu a changé ta vie. Tes aveux, nos sourires, nos regards, timides et impénétrables à la fois. Ma main sur ta cheville, toi prenant le coucher de soleil en photo, moi te prenant en photo. Tout était immortalisé. Une trace de ce 3 mars 2020, pour toujours et à jamais.
C’est comme ça que j’ai prévu de t’aimer. De t’aimer toujours et à jamais. Un an passé à tes côtés ne suffit pas. Je te connais déjà tant et en même temps, j’ai tant à découvrir encore. Tu es le soleil de ma vie, quand je suis la lune de tes nuits. Tout me ramène à toi. Chaque endroit, chaque saveur, chaque odeur. Je ne veux que toi. Je ne veux que toi et moi, et qu’on passe un bout de vie toutes les deux.
Mon amour, je te souhaite un joyeux anniversaire. Que Dieu te garde et me permette de rester près de toi pour toujours. Je ne souhaite jamais te perdre et te promets de toujours prendre soin de toi. Garde l’éclat que tu avais ce 3 mars, reste ce diamant brillant. Et n’ai crainte, si tu venais à te ternir, je serai là. Pour toujours et à jamais. Car nous avons été confrontées à KAIROS. Et toutes les deux, nous aurions pu prendre des décisions différentes. Pourtant, nous sommes là, toi, moi, nous. Nous sommes là, et que ça dure toujours.
Mon amour pour toi est éternel. 
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tma-nonofficiel · 4 years
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MAG001
LE POISSON-PÊCHEUR
[claquement]
ARCHIVISTE
Test...Test…Test… 1, 2, 3…. 
Bien.
[toux]
Je m’appelle Jonathan Sims. Je travaille au Magnus Institute, à Londres, qui est une association dédiée à la recherche académique sur les rencontres ésotériques et paranormales. Le directeur de l’Institut, M. Elias Bouchard, m’a employé pour remplacer la dernière archiviste en chef, une certaine Gertrude Robinson, qui est récemment décédée. 
Je travaille depuis quatre ans comme chercheur et je connais assez bien nos contrats et projets plus importants. Pour la plupart, il y a souvent des impasses, comme on peut s’y attendre avec les incidents surnaturels qui ont tendance à résister aux conclusions simples. Et je souligne le fait qu’il y a très peu de cas véritables. Quand une enquête est approfondie autant que possible, elle est transférée aux Archives. 
L'Institut a été fondé en 1818 donc les Archives ont accumulé presque 200 ans de dossiers jusqu’à aujourd’hui. L’Institut préfère faire des recherches purement académiques dans sa tour d’ivoire plutôt que le travail plus compliqué comme s’occuper des déclarations et des expériences récentes, ce qui est une recette pour obtenir une bibliothèque parfaitement organisée et un désordre absolu dans les archives. Ce n’est pas forcément un problème avec les systèmes d’archivage et d’indexation modernes, mais ça nécessite une archiviste qui soit un minimum compétente. Gertrude Robinson ne l’était pas apparemment.  
D’ici, je peux voir des milliers de dossiers. Beaucoup sont éparpillés partout dans cet endroit, d’autres sont écrasés dans des boîtes sans étiquette. Il y en a quelques uns qui ont une date ou des indications utiles comme 86-91 G/H. La plupart sont manuscrits ou tapés à la machine à écrire, sans être accompagnés de versions numérique ou audio. En fait, je crois que mon ordinateur est le premier à entrer dans cette pièce jusqu'à aujourd'hui. De plus, il semble que peu d’enquêtes à proprement parler soient stockées dans les Archives, la seule chose présente dans la plupart des dossiers sont les déclarations seules. 
Ça va me prendre longtemps d’organiser ce désordre. J’ai réussi à obtenir les services de deux chercheurs pour m’aider. Bon, techniquement trois, mais je ne compte pas Martin car c’est peu probable qu’il contribue à autre chose que des retards. J’ai l’intention de numériser les dossiers autant que possible et de faire des versions audio, mais il y en a qui devront être enregistrés sur cassette parce que mes tentatives d’enregistrement sur mon ordinateur se sont retrouvées avec des... distorsions audio significatives. 
Avec Tim, Sasha et, oui, je suppose, Martin, nous ferons des enquêtes complémentaires pour trouver des détails non inclus dans nos dossiers. Je vais essayer de les présenter d’une manière succincte à la fin de chaque déclaration. Malheureusement, je ne peux pas promettre un ordre au niveau des dates ou thèmes des déclarations qui sont enregistrées. Je peux seulement m’excuser auprès de tout futur chercheur qui tentera d’utiliser ces dossiers pour leurs propres enquêtes. Bon, j’ai probablement passé assez de temps à trouver des excuses pour l’état de ce lieu, et je suppose que nous devons commencer quelque part. 
Déclaration de Nathan Watts, au sujet d’une rencontre vers l’impasse de la vieille poissonnerie, à Edimbourg. La déclaration originale a été déposée le 22 avril 2012. Enregistrement audio par Jonathan Sims, l’archiviste en chef du Magnus Institute, à Londres. 
Début de la déclaration. 
ARCHIVISTE (DÉCLARATION) 
Cela s’est passé il y a quelques années, je m’excuse si certains détails ne sont pas corrects. C’est à dire, je pense que je m’en souviens clairement, mais parfois les choses sont tellement bizarres qu’on commence à douter de soi-même. Enfin, je suppose que les choses bizarres c’est votre domaine, n’est-ce pas ? 
Alors, j’étudie à l’université d'Édimbourg. La biochimie plus précisément, et j'étais dans ma deuxième ann��e quand cela s’est passé. Je ne vivais pas dans un logement universitaire, je louais un appartement étudiant avec quelques autres deuxièmes années. Honnêtement, je ne traînais pas beaucoup avec eux. J’avais pris une année de césure avant de m’inscrire et mon anniversaire est dans la mauvaise partie de septembre donc j’avais presque deux ans de plus que mes pairs. Je m'entendais bien avec eux, vous comprenez, mais j’avais tendance à sortir avec des étudiants plus âgés.
C’est pour cette raison que j’étais à la fête. Michael MacAulay, un bon ami, avait été accepté en master de sciences de la terre et nous avions décidé de célébrer. Bon, peut-être que le mot « fête » n’est pas tout à fait correct. Nous avons envahi l’Albanach sur Royal Mile et nous avons bu assez longtemps et assez bruyamment pour finalement avoir le lieu pour nous. Alors, je ne sais pas si vous connaissez bien les bars d'Édimbourg, mais l’Albanach a un large choix d’excellents singles malts et peut-être que j’ai légèrement abusé. J’ai de vagues souvenirs dans lesquels Mike a suggéré que je ralentisse et j’ai insulté son incapacité à bien célébrer sa propre bonne nouvelle. Ou quelque chose comme ça.  
Il va sans dire que j'étais bien malade vers minuit et j’ai décidé de rentrer chez moi à pied. Ce n'était pas loin de mon appartement, environ une demi-heure si j’avais été sobre, mais la nuit était assez fraîche et j’espérais que ça me requinquerait. Je me suis dirigé vers Cowgate et le moyen le plus rapide en partant de Royal Mile est de passer par l’impasse de la vieille poissonnerie. Alors, je suis sûr que vous savez bien qu’il y a des collines escarpées à Edimbourg, mais l’impasse de la vieille poissonnerie est exceptionnel même par ces normes. À certains endroits, la rue semble atteindre un angle de trente ou quarante degrés, ce qui est assez difficile à naviguer même sans avoir ingéré autant de scotch. Comme je l’ai mentionné, j’avais beaucoup bu donc ce n'était probablement pas surprenant que je sois tombé dans la rue. 
Rétrospectivement, la chute aurait pu être pire, mais sur le moment ça m’a secoué et je me suis fait de beaux bleus. Je me suis relevé tant bien que mal, et j’ai vérifié que je n’avais pas de blessure grave--pas d’os cassés ou autre--et j’ai décidé de rouler une cigarette pour me calmer. C’est là que je l’ai entendu. 
« Je peux avoir une cigarette ? »
J’ai été surpris parce que je pensais que j’étais seul. J’ai essayé de vite me remettre de mes émotions et quand j’ai regardé autour de moi j’ai vu une petite ruelle de l’autre côté de la rue. C’était étroit et complètement sombre avec un petit escalier qui montait quelque part. Je pouvais voir un luminaire en hauteur vers l’entrée de l’allée, mais il ne marchait pas ou n'était pas allumé donc après un mètre ou deux la ruelle était enveloppée d’une obscurité totale. Il y avait une personne qui se tenait à quelques marches de la rue. Il était difficile de la décrire, car elle était surtout dans l’ombre, mais si je devais deviner, la voix avait l’air masculine. Cette personne semblait se balancer très légèrement et j’ai supposé qu’il était un peu ivre comme moi. 
J’ai allumé ma cigarette et j’ai tendu mon tabac vers lui, même si je n’ai pas approché, et j’ai demandé si une roulée lui convenait. La silhouette n’a pas bougé, sauf pour se balancer doucement. Maintenant que je l'ai écrit, il semble évident que quelque chose n’allait pas. Si je n’avais pas été aussi ivre, je l’aurais remarqué plus vite. Cependant, même quand l’étranger m’a demandé un nouvelle fois, « je peux avoir une cigarette ? » sans intonation, je ne comprenais toujours pas pourquoi j’étais tellement mal à l’aise. 
Je fixais l’étranger du regard et quand mes yeux ont commencé à s'ajuster, j’ai pu voir plus de détails. Je pourrais voir que son visage semblait vide, sans expression et sa peau avait l’air humide et creuse comme s’il avait une mauvaise fièvre. Le balancement est devenu plus prononcé, semblant bouger de la taille, d’un côté à l’autre, en avant et en arrière. À ce moment, je venais de rouler une deuxième cigarette et je l’ai tendue vers lui avec précaution, mais je ne l’ai pas approché. J’avais décidé que si ce tordu voulait une cigarette, il devrait sortir de la ruelle effrayante. Il ne s’est pas approché, il n’a pas bougé sauf pour ce maudit balancement. Pour une raison que j’ignore, j’ai pensé à un poisson-pêcheur, le seul point de lumière se balançant dans l’obscurité, cachant la chose qui t’attire vers lui.   
« Je peux avoir une cigarette ? » Il a parlé, encore avec la même voix plate, et j’ai réalisé ce qui n’allait pas exactement. Sa bouche était fermée, depuis le début. Quelque soit la chose qui répétait cette question, ce n'était pas lui. J’ai regardé ses pieds et j’ai vu qu’ils ne touchaient pas tout à fait le sol. La forme de l'étranger était élevée et se balançait doucement d’un côté à l’autre. J’ai laissé tomber la cigarette et j’ai pris mon téléphone pour allumer la lumière. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas couru ni ce que j'espérais voir dans cette ruelle, mais je voulais voir ça de plus près. Dès que j’ai sorti mon téléphone, la personne a disparu. Il s’est plié au niveau de la taille et a disparu dans l’obscurité presque comme il avait été tiré par une chaîne. J’ai allumé la lumière et j’ai regardé dans la ruelle, mais je n’ai rien vu. Il y avait seulement le silence et l’obscurité. J’ai chancelé jusqu'à Royal Mile où il y avait des lumières et des gens et j’ai trouvé un taxi pour me ramener chez moi. 
J’ai dormi tard le lendemain. Je m’étais assuré que je n’avais pas de cours car j’avais l’intention de cuver, ce qui était le cas, bien que je n’arrêtais pas de penser à cette rencontre bizarre. Et donc, après avoir bu deux litres d’eau, pris des analgésiques et un petit-déjeuner bien gras, je me sentais assez humain pour quitter mon appartement et enquêter à cet endroit à la lumière du jour. Le résultat était peu concluant. Il n’y avait pas de marque, pas de taches de sang, rien qui indiquait que la personne qui se balançait avait été là. La seule chose que j’ai trouvé était une cigarette Marlboro Red non fumée, laissée sous le luminaire grillé. À part ça,  je ne savais pas trop quoi faire. J’ai fait des recherches sur l’endroit, mais je n’ai trouvé personne qui ait eu une expérience similaire et il n’y avait pas de folklore ou de légendes urbaines que je pouvais trouver sur l’impasse de la vieille poissonnerie. 
Les quelques amis à qui je l’ai dit ont pensé qu’un étranger m’avait abordé et que l’alcool avait rendu les circonstances plus étranges. J’ai essayé d’expliquer que je n’avais jamais eu d’hallucinations quand j’étais ivre et qu’il n’est pas possible que ce mec avait été une personne normale, mais ils me lançaient toujours un regard avec un air entre la pitié et l’inquiétude, et puis je me taisais. 
Je n’ai jamais rien découvert d’autre sur ce sujet, mais quelques jours plus tard j’ai vu des avis de personnes disparues apparaître dans le campus. Un autre étudiant avait disparu. John Fellowes, il s’appellait, mais je ne le connaissais pas bien et je ne pourrais pas vous en dire beaucoup sur lui, sauf deux choses qui me paraissaient très importantes : il avait été à la même soirée et il y était toujours quand je suis parti. L’autre chose était que... sur la photo qu’ils avaient utilisé sur son avis de recherche, j’ai remarqué un paquet de cigarettes Marlboro Red dans sa poche. Je n’ai pas arrêté de fumer, mais je me suis rendu compte que je prends plus de taxis maintenant si je me retrouve dehors trop tard. 
ARCHIVISTE
Fin de la déclaration. 
Nous n’avons pas pu trouver de preuves pour corroborer le récit de M. Watts. Initialement, j’étais enclin à déplacer cette déclaration vers la section ‘discréditée’ de l’Archive. C’est une nouvelle catégorie que j’ai créé et qui, à mon avis, contiendra la majorité de ces dossiers. 
Cependant, Sasha a fouillé dans les rapports de police et elle a découvert que de 2005 à 2010, quand M. Watts a eu cette expérience, il y a eu six disparitions près de l’impasse de la vieille poissonnerie : Jessica McEwen en novembre 2005, Sarah Baldwin en août 2006, Daniel Rawlings en décembre de la même année, puis Ashley Dobson et Megan Shaw en mai et juin 2008. Puis, comme M. Watts l’a mentionné, John Fellows en mars 2010. Les six disparitions ne sont pas résolues. Baldwin et Shaw fumaient, mais il n’y a aucune preuve concernant les autres, s’ils sont connectés.
Sasha a trouvé quelque chose, spécifiquement dans le dossier d’Ashley Dobson. C’était une copie de la dernière photo prise sur son téléphone qu’elle a envoyé à sa soeur Siobhan. La légende dit “Mate ce type chelou bourré mdr” mais sur l’image il n’y a qu’une ruelle sombre et apparemment vide avec des escaliers. Il semble que c’est la même ruelle que M. Watts a décrit dans sa déclaration ; celle qui, selon les cartes de la région, mène à Tron Square, mais il n’y a personne sur la photo. 
Sasha a utilisé certains programmes d'édition, et en augmentant le contraste elle a pu révéler le contour d’une main longue et fine qui serait à peu près au niveau de la taille d’un homme moyen. Bizarrement, j’ai du mal à ignorer l’impression qu’il fait signe. 
Fin de l’enregistrement.
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bujoredidea · 4 years
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finalement la première question à se poser c’est celle-là. Vous aimeriez être plus organisée ? Une des phrases que vous répétez le plus souvent est « j’ai pas eu le temps » Vous avez du mal à vous projeter dans un projet ou dans l’avenir ? Vous notez tout sur des tonnes de carnets ou des post it ?! Moi c'est mon deuxième cerveau ! Pour ma part, j'ai trouvé l'idée génial, moi qui achète tout le temps un agenda auquel j'ai jamais de place et je note tout sur un post it, qui se décolle et tombe du mur ! Ou encore 3 carnets pour noter le tout ou encore sur le calendrier des Éboueurs où les cases sont mini ! Là, je note vraiment tout et j'ai la place ! Je ne connaissais pas du tout ce concept et j'ai trouvé cela sur le net en surfant ! Pas obligé d'être une artiste pour en tenir un ! J'avais lue une fois, une mère qui disait qu'elle trouvait le concept ridicule, qu'elle ne voulait pas d'un carnet qui lui dise ce qu'elle doit faire, comme par exemple, faire la lessive, comme si qu'elle se sentait obligé de faire sa lessive parce que c'est noté.... si elle se sent organisé tant mieux et puis, Je crois qu'elle a pas compris le concept du Bujo ! Il sert à s'organiser pour pouvoir tout gérer, et tu coche les cases quand c'est fait point ! si tu le fais pas, le carnet va pas tomber dans les mains de quelqu'un d'autre comme le Death Note ! Pour commencer un bullet journal, il faut un carnet ! Et oui, un carnet de 190 pages environs ou 250 pages, il y en a des spéciaux, qui vaux super cher, LEUCHTTURM1917, MOLESKINE... ils sont à pois ou lignée ! Le premier que j'ai fait (je l'ai foiré, il est noir et blanc et moche... bref...) je l'ai fabriqué de A à Z avec des feuilles blanches et du carton, il a 190 pages et c'est juste ce qu'il me fallait pile poile ! Le second que je fais et 10 fois mieux, et je l'ai carrément acheté, je suis tomber amoureuse d'un carnet 100% recyclé à 5€ moins cher que le tout fait ou autre qui vaut entre 15 et 25€ ! et il a 320 pages ! Même si vous ne savez pas dessiner c'est pas grave, y a le calque ou les Doodles, des dessins ultra méga simple qu'on trouve sur Google ! On commence par faire la page de garde, Genre: 2021 ou encore Bullet Journal 2021 .... Ensuite, créer les Clés à utiliser tout au long du Bujo Clefs ou keys en anglais, regroupent pour moi 2 points : * Les puces ou bullet * Les signifiants ou signifiers L’essence même de ce concept ! Sans utilisation de ces puces, on ne peut pas parler de bullet journal. – Carré pour une tâche – Rond pour un événement – Triangle pour un rendez-vous – Point pour une note – Petite ampoule pour une idée à ne pas oublier Pour ma part, je les ai créés sur une page à petit carreau et scotché comme un volet sur le côté d'une page du carnet ! Vous n'êtes pas obligé, mais vous pouvez mettre aussi la météo, du moins, les symboles ! Puis vient enfin 3 pages d'index, pas obligé qu'ils soient toutes remplis, mais en mettre 3 de côtés ça à du bon ! C'est là que vous allez noter vos page pour aller plus vite dans vos recherche de page ! Une autre page de garde comme: C'est partie pour 2018 ou tout autre à vous de voir ! Là moi, j'ai mis le calendrier pour se repérer dans le temps, moi il sert surtout pour les vacances scolaires ! juste après j'ai mis les anniversaires Ensuite, je commence ma page de garde de mon premier mois, ici le mois de Janvier, Hello Janvier ou Janvier tout court ! ça peut faire 2 pages ou juste une seule ! On présente ensuite tout le planning du quotidien, les semaines, Les trackers habits Pour celles qui ne connaissent pas encore, le habits tracker ou traceur d’habitudes est un tableau (que l’on fait généralement soi-même mais il existe des trames sur le net) dans lequel on note les choses que l’on aimerait faire tous les jours. Comme: votre ménage votre Miracle Morning des activités de Fitness de vos cours de langues de vos activités avec votre conjoint(e) de la gestion de vos repas de votre activité de blogueur… Il existe de nombreuses autres choses que vous pourriez noter dans votre BuJo. y a des listes de 100 choses à mettre dans un Bujo si vous désirez enrichir et faire plus ! Le but, c'est de s'amuser, de se détendre en dessinant et de s'organiser rien de plus !
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thequeenvvv · 4 years
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Le journey
Another one. Bon cette année j’ai eu 33 ans pis apparemment c’est l’âge du bonheur. L'âge du Christ. Aussi l'âge que ta famille commence à être inquiet de ton sort parce que t’es pas placée (je loue un appartement seule). Merci de me faire sentir comme un humain dysfonctionnel. J’essaie de profiter des années restantes dans la braquette inférieure de la trentaine tout en suivant un skin care routine. Aussi faire des belles expériences comme ca plus tard j’me dirai my god j’étais wild! Rien n’empêche que, des fois, je feel comme une extra terrestre. Une femme pas-de-chum-pas-d’enfant c’est pas le standard actuel, on s’entend. Moi dans 50 ans: femme seule retrouvée morte dans son appartement, elle avait 10 chats. Je niaise; je vais avoir des chiens aussi. Le pire c’est que ça aurait tellement pu tourner différemment.
Juste avant mon 30e anniversaire mon indice de bonheur était vraiment on the down low pis je me disais « eille, c’est tu vraiment ça ma game de vie ?  Je peux tu piger d’autres cartes ? » Send help. Presque 5 ans avec la même personne (mon record) et ça commençait à nous faire des petits messages de « on a tellement hâte d’être grand parents ». HAHA! ouais c’est ca (malaise accompagné de petit stab mental dans l’utérus). Sérieusement depuis que j’avais perdu du poids ce n'était plus le même gars. On dirait qu’il était dans un mood de nuages orageux 24/7. Notre vibe était juste différente et même toxique at the end. J’étais à boutte de me faire demander à quelle heure je revenais et avec qui je textais. Two words: group chat. Se faire dire « tu mets ce chandail là c’est quoi tu veux te montrer ? ». Euh oui peut-être. Je suis rendu à l’aise avec un shirt plus tight. Es-tu fier de moi ? Dis-le à ta face parce que, on dirait pas. Mais tsé, de l'extérieur (et surtout devant le monde) tout était chill et c’était donc bien parfait. Good on paper. Vie sexuelle de marde mais il paie ses comptes pis il fait le ménage. It’s all good. Même si c’est pas toujours facile je pense que chaque personne peut quitter une situation qui lui convient plus. Ca m’aura pris du temps avant de faire le move mais chacun son rythme.
Meanwhile toute mes amies se faisaient féconder comme jamais. Le baby fever a même finit par rattrapper les plus carriéristes qui attendaient d’être rendue à un certain level à leur travail. Money in tha bank y’all. Dieu sait que, la garderie, ca coute cher. Je le sais parce que j’assiste à des brunchs de mères qui me l’ont dit. Tsé les brunchs où on parle de cours de piscine pour enfant et de boobs post allaitement. Ceux-là où on me demande « as tu des plans en fin de semaine? ». Presque gênant de leur dire que j’me suis booké un massage et après notre déj je pensais aller lire mon livre. Léger clash de vie. Savez-vous à combien de bachelorette/mariage/shower je suis allée? Mille. Honnêtement si j’organise un de ces event pour moi-même un jour il va me rester 3 amies à inviter. J’aurai au moins appris la valeur d’un sac à couche pas pratique de la marque Lambert. Sans joke, reste que je trouve ça impressionnant de les voir aller. Des superwoman qui handle une charge mentale on the daily avec leur(s) babe(s). Je remarque que des fois les chums sont pas vraiment capable de gérer l’horaire de biberons, sieste, repas, devoirs, etc. Ils se demandent comment ça le soir ils ont pas un petit happy ending. Awwww. Plus jeune je comprenais moins cette réalité là; j'étais comme wake up les moms le sex c’est la priorité c’est full important. Mais peut-être que quand ça fait 2 mois que tu dors pas, que t’a pas le temps de relaxer dans le bain, de te raser la noune ou d’aller chez la coiffeuse tu fais fuck off. C’est surement normal que tu lui dis de s'organiser par lui-même (in other words se crosser dans douche). Faudrait juste pas que ca dure 8 ans j’pense ca deviendrait rough mais disons le temps de se réapproprier son body et de se sentir femme. In my opinion le self care c’est important peu importe si t’a 0 ou 3 kids. Glow bitch. J’suis loin d’être rendue là mais… mettons que j’avais aucun temps pour moi-même j’pense pas que je deviendrais porno AF rendu à 10h pm. Not even me guys.
Parallèlement, parmi quelques chums ici et là, j’en suis encore à faire mon gros possible avec le dating life. Welcome to the jungle. Essayer de connecter avec quelqu’un mais dans le fond se retrouver souvent en mode entrevue avec plein de questions pour savoir si on s'auto check nos critères de vie. As-tu une job? Es-tu plus bière ou vin? Camping ou hôtel? Ta yeule. Tu te demande pourquoi il est encore célibataire et quelles sont ses blessures d’enfances. Il se pose surement la même question par rapport à moi. Es-tu brisée cette fille-là ? Avec la pandémie et les restrictions de cette année la façon de dater c’est rendu d’aller prendre des marches dehors. C't'un peu de la marde quand tu le sais après 2 minutes que ça marchera pas pis là faut que tu trouves ton way out. Bonnnnnn.. faut j’aille faire l’épicerie moi gotta go. Mmm peut-être facetimer avant tout déplacement. En cas d’urgence y’a toujours le bon vieux Uber eat si t’a juste le goût de satisfaire certains besoins rapidement. Free delivery. L’affaire c’est que souvent c’est excitant sur le menu mais arrivé en live finalement c’est pas si top. Tu veux pas te retrouver dans une situation malaisante si le gars vient direct chez vous avec du vino mais que finalement il mesure pas vraiment 5pi8 pis t’a zéro le goût de le frencher. Décaliss merci bye. Les filles nous notre scam c’est les angles de photos pour avoir l’air plus hot qu’en vrai. On est bonne la-dans. Pis les esti de filtres honnêtement faudrait se calmer les girls. To be honest j’ai déjà checké les filles sur les app de dating (c’est mode la bi-curiosité arrive en 2020) et je trouves ça weird de voir une fille se présenter avec une selfie de chat, chien ou lapin. Lâchez dont les filtres Snapchat avec des oreilles d’animaux comme photo de profil. Clairement c’est pas ca ta vraie face avec tes yeux pas humain. Bref, au moins je commence à avoir un petit cercle d’amies single pis ça fait du bien parce qu’on peut se conter nos histoires et être découragée ensemble.
On comprends pas toujours pourquoi il nous arrive tel affaire, pourquoi on est pas rendu à tel step dans notre relation, dans notre carrière ou dans notre vie. La pression sociale ça gosse tellement. Comme si fallait suivre un PowerPoint avec des slides faite en avance. Mon partner, mon ride or die, il viendra pas cogner à ma porte un soir pendant que j’écoute This is Us sur Netflix. Fac je vais continuer d’essayer pis surtout de m’aimer moi-même parce que je pense que c’est la clef. Je me répète souvent la phrase trust the journey. Je l’ai même tatoué sur mon bras pour m’en rappeler. Prends ta petite patience la folle pis attends ta vague. It will all make sense at some point pis en attendant ben je vais faire du mieux que j’peux et enjoy la ride.
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ludfr · 4 years
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MA VIE
Bonjour à tous, aujourd'hui je vais parler de ma vie.
Alors, je vais commencer par moi, mon nom est Ludwing:
Ludwing
La vérité est que je n'ai pas demandé à ma mère pourquoi elle m'a donné ce nom mais je vais essayer de donner une explication.
C'est vrai que ce nom n'est pas du tout commun. Il y a une raison très évidente, et c'est que mon père s'appelle aussi Ludwing.
Donc la personne responsable de nos noms (mon père et moi) est mon grand-père. Malheureusement, je n'ai pas pu très bien le connaître, mais s'il y a quelque chose qu'il aime, c'est la musique classique, il aimait vraiment écouter Mozart et Ludwig van Beethoven.
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"De bons résultats exigent de grandes ambitions" - Heraclitus
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Pour moi, cette devise est très importante car elle me motive à me fixer de grands objectifs et à travailler dur et à ne jamais abandonner pour atteindre ces objectifs.
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Autobiographie
Je m'appelle Ludwing Andres Delgado Medina. Je suis né le 2 juillet 2002 à Floridablanca, Santander où j'ai vécu jusqu'à l'âge de 3 ans, puis j'ai déménagé à Cucuta. Je suis le troisième enfant et le seul homme d'une famille de cinq personnes. Mon père, Ludwing Delgado, était un cadre de la entreprise Postobon et a actuellement un supermarché avec ma mère, Sandra Medina, qui aide mon père.
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Je suis allé à l'école à Cucuta, l'Institut technique Mercedes Abrego où j'ai terminé mes études primaires et secondaires respectivement, en ce moment j'étudie les langues étrangères à l'Université de Pamplona.
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Depuis l'enfance, j'ai soif de connaissances et de nouvelles découvertes. Je pense que j'ai un talent pour apprendre les langues et étudier l'art.
Quand j'étais enfant, je rêvais d'être peintre, je garde encore mes cahiers en souvenir de mes premiers dessins. Il fut un temps à l'école où j'étais sûr d'étudier l'architecture mais malheureusement je n'ai pas été accepté à l'université, ma deuxième option était Langues étrangères, c'était une option compliquée car je devais aller dans une autre ville mais j'ai d'excellents parents et ils m'ont soutenu.
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Jusqu'à présent, je n'exclus pas l'idée d'étudier l'architecture à l'avenir.
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Mes souvenirs les plus importants:
Pour moi, mon anniversaire est l'une des dates dont je me souviens le plus. C'est un jour très important, ma famille est très spéciale avec moi, ils me donnent des cadeaux, on sorte. Ce sont des jours que je n'oublie jamais.
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Le lycée en général était une étape pleine de bons souvenirs, j'ai passé un bon moment, je me suis beaucoup amusé, j'ai trop appris et j'ai rencontré ceux qui sont aujourd'hui mes amis.
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Choses que j'aime
L'art
La photographie
Acheter des vêtements
Regarder et jouer au football
Écouter de la musique
Choses que je n'aime pas
Les mensonges
Me lever tôt
Perdre
Le retard (temps)
Les oignons
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Une situation embarrassante qui m'arrive toujours est quand je vais dans un ascenseur avec une autre personne que je ne connais pas et le silence règne. Je suis très asocial, j'ai l'impression que je devrais dire quelque chose mais je n'ai pas le courage de le faire donc je préfère me taire et attendre.
Une situation tendue est chaque fois que je visite à un ami chez lui et sa mère me sert un repas que je n'aime pas du tout mais pour l'éducation je dois tout manger
Une situation étrange était il y a longtemps, j'ai pu observer des enfants jouer dans la rue; Une voiture arrivait qui ne roulait pas à grande vitesse et les enfants qui jouaient dans la rue quand ils ont réalisé que la voiture arrivait se sont écartés pour céder la place à la voiture, mais une fille est tombée au milieu de la rue et la voiture l'a écrasée. La fille s'est levée comme si de rien n'était, c'était incroyable pour moi, comme un miracle.
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Un de mes grands rêves est de parcourir le monde, de connaître différentes cultures, de découvrir des endroits merveilleux, de rencontrer de nombreuses personnes, de goûter aux différentes cuisines du monde et surtout de m'enrichir culturellement de toutes ces expériences.
Mon deuxième rêve serait d'acheter une grande cabain, pour mes parents, qui ont toujours cru en moi, c'est ma façon de leur rendre un peu de tout ce qu'ils m'ont donné, ils ont toujours voulu une cabain pour passer leur vieillesse en paix et ce serait mon honneur de rendre cela possible pour eux.
Parlant de mes rêves concernant ma formation académique, j'aimerais apprendre une autre langue, en particulier l'italien, cela semble être une bonne langue et la meilleure façon de l'apprendre serait de vivre en Italie pendant un certain temps, ainsi que de me spécialiser dans ma carrière, je n'ai pas décidé cela spécifiquement mais si je veux le faire.
Et enfin, en tant qu'amoureux des animaux, j'aimerais créer un refuge pour les chiens, ce sont des créatures innocentes, qui ont besoin de beaucoup d'aide et je voudrais nous aider de tout mon cœur à trouver une famille qui les aime car c'est le minimum qu'ils méritent.
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liliskm-blog · 4 years
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RENAISSANCE
RENAISSANCE
Ne soyez pas trompés par moi.
Ne soyez pas trompés par l'air que j'ai
Parce que je porte un masque –
Un masque que j'ai peur d'enlever.
Faire semblant est un art qui est ma seconde nature
Mais ne vous y trompez pas.
Je vous donne l'impression que je suis en sécurité.
Que tout est ensoleillé et sans faux pli avec moi, à l'intérieur comme à l'extérieur.
Que la confiance est mon nom et le calme est mon jeu.
Que l'eau dort et que je contrôle.
Et que je n'ai besoin de personne.
Mais ne me croyez pas ... s'il vous plaît.
Ma surface peut sembler lisse, mais ma surface est mon masque.
En dessous sourd le vrai moi dans la confusion – dans la crainte – seul – dans la souffrance.
Mais je le cache; je veux que personne ne le sache.
Je panique à l'idée de mes faiblesses, de mes craintes et de ma souffrance exposées.
C'est pourquoi je crée avec frénésie un masque pour me cacher derrière lui.
J'ai besoin d'aide qui est suivie de l'attention des gens qui se préoccupent assez pour m'aider.
C'est la seule chose qui puisse me libérer. De moi-même; des murs de ma propre prison que j'ai bâtie moi-même.
Des barrières que j'ai si péniblement érigées.
Mais je ne vous dis pas cela. Je n'ose pas. J'ai peur.
J'ai peur que vous pensiez que je n'en vaux pas la peine et que vous riiez. Et votre rire me blessera.
J'ai peur qu'au fond de moi je ne sois rien, que je ne sois rien de bon. Et que vous le verrez et que vous me rejetterez.
Aussi je joue mon jeu, mon jeu désespéré; avec un masque d'assurance à l'extérieur.
Et un enfant tremblant à l'intérieur.
Je déteste me cacher. Honnêtement.
Je déteste le jeu superficiel que je joue, le drôle de jeu.
J'aimerais vraiment être moi.
Mais vous devez m'aider.
Vous devez me tendre la main même si c'est la dernière chose dont je semble vouloir ou avoir besoin.
Il n'y a que vous qui pouvez essuyer de mes yeux le vide et la peine que j'essaie de ne pas ressentir.
Il n'y a que vous qui pouvez m'aider.
Chaque fois que vous êtes gentil, et doux et encourageant
Chaque fois que vous essayez de me comprendre parce que vous vous préoccupez réellement de moi, les ailes commencent à pousser dans mon cœur.
De toutes petites ailes, de très faibles ailes. Mais des ailes.
Avec votre sensibilité et votre sympathie, avec votre pouvoir de compréhension, vous pouvez m'insuffler la vie.
Je veux que vous sachiez cela.
Je veux que vous sachiez combien vous êtes important pour moi.
Vous seul pouvez casser le mur derrière lequel je tremble. Vous seul pouvez enlever mon masque.
Vous seul pouvez me libérer de mon sombre monde de panique et d'incertitude – de ma prison solitaire.
Aussi ne passez pas sans me voir. S'il vous plaît ne passez pas.
Ce ne sera pas facile pour vous.
Une longue conviction de manque de valeur et de colère construit des murs solides.
Plus vous vous approcherez de moi et plus je peux m'enfuir à l'aveuglette. C'est irrationnel.
Je combats cette chose même que je pleure d'avoir.
S'il vous plaît, essayer d'abattre ces murs avec des mains fermes mais avec des mains douces parce qu'un enfant est très sensible.
Qui suis-je, vous demanderez-vous. Je suis quelqu'un que vous connaissez bien.
Parce que je suis chaque homme que vous rencontrez. Et je suis chaque femme que vous rencontrez.
Un nouveau-né de sexe féminin, âgée d’à peine 25 jours est appelée Sminu, a été admise à l’orphelinat le 14 août 1991 pour soins, protection et réhabilitation.
Le bébé avait le teint marron avec des yeux et des cheveux noirs.
Physiquement, j’étais faible et anémique.
J’étais née à 10h30 le matin du 20 juillet 1991.
J’ai été prise en main, soignée, nourrie à l’orphelinat, ce qui a entraîné une nette amélioration de ma santé.
J’avais, à l’époque, quelques problèmes à la jambe droite qui paraissait un peu plus longue et donc j’avais une posture légèrement inclinée.
A 3 ans et demi, je pesais 12 kg pour 92 cms, mon périmètre crânien était de 48 cms.
La vue, la taille et l’audition étaient normales.
La vaccination BCG, Tripe Antigène et Poliomyélite a été terminée.
Cependant j’étais toujours anémique et avait du retard dans mon développement.
Ainsi mon développement physique était plutôt lent.
Tant que j’étais à l’orphelinat, j’étais protégée contre les maladies graves.
Alors que j’étais encore très jeune, je pouvais faire quelques mouvements limités.
Je m’amusais avec des jouets et répondais avec un sourire.
J’avais déjà consommé du jus de fruit, du lait puis plus tard, j’ai accepté toute sorte de nourriture. Je pouvais marcher sans aide et parlais couramment le Marathi.
J’étais allé à l’école Montessori (maternelle).
J’étais affectueuse dans mon attitude, envers mes amis et le personnel de l’institution.
Je suis née d’une mère sans enfant.
Elle appartenait à une famille pauvre et travaillait dans les champs de culture.
Ainsi elle rencontra son ami.
Ils avaient une relation illégale en vue d’un mariage et leurs familles étaient, toutes les deux, opposées au mariage inter-caste.
Cependant ils restèrent ensemble désespérément.
La mère devint enceinte et son ami la renia et la quitta.
Il ne revint pas.
Ma mère dut affronter la honte sociale juste après le début de la grossesse.
L’accouchement eu lieu.
Après l’accouchement, il y eu un problème pour maman puisqu’elle ne pouvait me garder avec elle  en raison de la honte sociale.
Elle n’avait aucun moyen pour m'élever  seule.
De plus, j'aurais été  un obstacle pour un mariage futur.
Elle aspirait à une vie respectable de femme mariée.
C’est dans ces conditions qu’elle vint à l’orphelinat et m'abandonna ainsi que les droits d’une mère naturelle.
Elle accepta également que l’orphelinat me donna  à des parents aimants peu importe l’endroit.
Au début, elle hésita à décliner sa véritable identité et son adresse pour des raisons sociales.
Elle avait 23 ans et habitait le village de Panjari près de Katol dans le district de Nagpur. Elle était illettrée et ne pouvait s’instruire à cause de sa pauvreté.
Elle parlait le Marathi. Elle était jeune, de couleur marron, taille moyenne et avait des traits délicats.
Physiquement elle paraissait épuisée et inquiète.
Personne n’est venu me voir depuis que j’ai été admise à l’orphelinat.
Je suis venue en France avec une infirmière française qui fait partie d’une association « les Enfants avant Tout » qui est fermée en Haute Loire, nous avons marché pendant quelques jours dans Bombay (Mumbai) pour remplir les démarches administratives et judiciaires.
J'étais une petite fille gaie, joyeuse, rieuse et curieuse.
Sans le savoir, à ce moment là, ma souffrance liée à l’adoption à commencé.
Ma mère biologique, qui a  me manque mais je n’ai pas le droit d’en parler, plusieurs fois chaque année, à Noël, le jour de l’an, le 12 septembre (jour de mon arrivée en France), le 17 novembre pour ma fête, le 20 juillet pour mon anniversaire.
Quelques années plus tard, cette souffrance sera plus forte avec une maladie héréditaire, orpheline, incurable et invalidante.
C’est ainsi que j’arrivai en France, au sein d’une famille déjà constituée de trois frères et de mes «nouveaux parents». 
Mon grand père maternel m’a élevé car ma mère était plus occupée par son boulot que par ses enfants et c’était lui qui était présent.
Mes grands parents paternels sont morts. Mon oncle et ma tante du côté paternel a adoptée deux enfants d'origine coréenne.
Ma mère est originaire de Craponne sur Arzon, ma grand-mère maternelle vit à Monistrol sur Loire ainsi que ma famille maternelle et mon oncle est originaire de Sardaigne.
J'ai eu la chance de pouvoir voyager en Australie, Autriche, Espagne, Italie, Norvège, Pays-Bas et Etats-Unis mais jamais en Inde.
A mon arrivée à Paris, je vis le visage de chaque membre de ma nouvelle famille.
J’étais inscrite à des cours de dentelle au fuseau comme je suis en Haute-Loire, ce qui me passionne aujourd’hui encore. Je rencontrai à l’école, en CP, une jeune roumaine, elle aussi adoptée avec son frère.
J’ai été scoute de France pendant 10 ans.
Cette expérience m’a aidé à être autonome et à vivre dans des situations d’inconforts.
Je m'y suis faite de nombreux amis.
A la mort de mon grand père, mes parents m’ont élevé comme un homme, j’ai eu les cheveux courts, m’habiller avec des jeans, je n’ai pas le droit de montrer mes émotions et doit être forte tout le temps et pour tout le monde.
Ce fut à partir de 12 ans, que je commençai à ressentir un manque au fond de moi.
Je n’arrêtai pas de poser des questions : 
«Pourquoi ne suis-je pas comme les autres?», «Qu’est-ce qui ne va pas chez moi?».
Durant cette année-là, l’orphelinat envoya un courrier à mes parents pour annoncer qu’il allait fermer après la mort de la directrice et selon la procédure, ils étaient tenus d’envoyer les documents en leur possession à chaque famille ayant adopté un enfant.
J’ai su que j'étais adoptée en même temps que l’adolescence.
Ce fut une période difficile et douloureuse.
J'ai passée de très bons moments avec ma cousine du même âge.
Nous regardions le feuilleton de « docteur Quinn, femme médecin » quand nous étions chez nos grands-parents.
Nous nous appelions régulièrement mais avec le temps nous nous sommes perdus de vue.
A 15 ans, je fis la rencontre de mon premier amour.
Il était doux, romantique et gentil.
Je subis une grande perte, en 2010, celle de mon grand-père maternelle avec qui les liens étaient forts. Il décéda d’un cancer dans sa maison à 75 ans. Ce soir du 29 mai 2010, j’étais d’anniversaire des 20 ans de ma meilleure amie.
Pépé avait des yeux bleus clairs, il écoutait la compagnie créole dans sa voiture quand nous allions faire les courses, il était un bon vivant et avait du caractère.
J’ai ressenti un mélange de joie pour mon amie et de peine pour mon grand-père.
Cet été là, nous décidions avec une amie de faire partie d’une association pour aider les personnes handicapées.
Nous partîmes à Millau, rejoindre un groupe de 50 personnes : 25 accompagnateurs et autant de vacanciers (personnes handicapées en vacances).
J’ai obtenu mon baccalauréat en 2012.
Ensuite j'ai commencé les leçons de conduite.
Durant l’été 2012, j’ai travaillé pendant trois semaines au Centre Hospitalier de ma ville au mois de juillet. Je reçu mon premier salaire en faisant du ménage.
En août, je partis trois semaines à Castres (Tarn) pour m’occuper de personnes handicapées psychiques avec huit autres accompagnateurs.
Après mon baccalauréat professionnel Accueil, je suis allée à Clermont-Ferrand pour faire une formation de secrétaire médicale.
Ma mère n'est pas une personne franche.
Personne ne m’a soutenu dans mes démarches d'insertion professionnelle.
Cela était nouveau pour moi car nous étions de tout âge.
J'ai été en stage  dans un EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes).
J'ai obtenu mon diplôme de secrétaire médicale et mon permis de conduire en 2014.
Mémé ne va pas bien, elle a 93 ans, Alzheimer et est sous oxygène. Nous sommes allés la voir à l’EHPAD.
Elle est morte en 2014 et je n'ai pas fait mon deuil.
J'ai vécu à Clermont Ferrand  pour mon diplôme de secrétaire médicale.
Je suis bénévole à la Croix Rouge et à l’Unicef.
J’ai demandé à Pole emploi de faire un stage pour découvrir le métier d'aide-soignante.
J'ai effectué ce stage aide-soignant dans un Ehpad à Massiac.
Je rêve tant d’avoir un emploi pour pouvoir me financer mon voyage en Inde.
J’ai intégré la prépa concours sanitaires et sociaux en 2015.
J'ai passé les oraux d'entrées en formation d'aide-soignante en 2015.
Ensuite j’ai trouvé un service civique avec des personnes en situation de handicap dans l’allier.
Le 13 août 2015, j'ai eu un accident de voiture et j'ai passé une nuit en observation au centre hospitalier de Thiers alors que je cherchais un emploi de secrétaire médicale.
J’ai repris ma recherche d’emploi début septembre et récemment j’ai préparé 2 oraux aide-soignant en Auvergne et j’attends les résultats. Je passerai un 3eme oral aide-soignant début novembre.
J'étais à la Garantie Jeunes de la Mission Locale pendant l'année 2016, un dispositif dans lequel le sport m'a permis de prendre confiance en moi.
Mon amie d'enfance que j'ai connue au CP m'a abandonnée quand elle a retrouvé sa mère et ses deux sœurs en Roumanie, cela m’a fait souffrir même si je ne le montre pas et que je n'en parle pas.
Le 31 octobre 2015, j'ai fait la rencontre de Stéphane.
J'ai enfin la vie que je voulais et surtout mon indépendance.
J'ai été veilleur de nuit en séjour adapté en juillet dans un gîte.
Nous étions 6 filles. Le séjour s'est bien passé, bonne entente entre nous et avec les vacanciers.
L'année 2017, j'ai préparé mon entretien d'entrée en formation Deaes et j'ai été retenue donc depuis début septembre je suis en formation.
Nous sommes un groupe  solidaire les uns des autres.
Nous avons de bons formateurs et j'ai été contente de mes quatre semaines de stage en Ehpad.
Je vais commencer mon stage à domicile.
Nos principales missions sont l'aide dans la réalisation des gestes de la vie quotidienne, l’entretien du logement et l'accompagnement pour lutter contre l'isolement des personnes.
Durant les vacances de Noël, j'ai ressenti une douleur sous le bras droit.
J'en ai parlé à mon frère aîné et à ma belle-sœur qui m'ont conseillé d'aller aux urgences.
Ce que je fis, le 26 décembre 2017, un docteur m'a fait un curettage sans anesthésie avec une infirmière.
Environ 3 semaines plus tard, le 17 janvier 2018, je dus retourner à l'hôpital pour me faire opérer d'un kyste sous axillaire droit.
Ma meilleure amie est diplômée depuis décembre 2018 et travaille dans une société d’aide à domicile.
A cause de cette opération, mon diplôme est reporté.
J'ai été à Saint Étienne pour me faire réopérer un mois après la 1ère intervention.
Les infirmières à domicile sont venues pour mécher la plaie durant 2 mois.
Ensuite il a fallu brûler les bourgeons au nitrate d'argent et mettre des pansements tous les jours car la plaie n'était pas fermée.
Je me sens seule et vulnérable, avec ma douleur.
Cependant j'ai toujours mal et il y a une boursouflure sous le bras droit.
J'ai travaillé dans une maison de retraite en tant qu'agent polyvalent pendant trois semaines car mon état de santé ne me permettait pas la reprise du travail.
Ma mère veut contrôler ma vie, mais elle n'a jamais été présente dans les moments les plus difficiles de ma vie.
Je remercie mon chéri pour sa présence, son soutien et sa compréhension dans ces moments difficiles passés à mes côtés.
Mon kiné est un bon professionnel, il m'a dit que j'étais une battante car depuis 30 ans qu'il exerce son métier, il n'a jamais vu une personne si jeune se battre autant que moi.
Depuis septembre et après une période d’isolement social, je commence ma renaissance, tout d'abord, personnelle en m'affirmant davantage et avec mes amies.
Je m’habille avec des vêtements plus féminins, laisse pousser mes cheveux, me suis achetée une tenue indienne, porte mon piercing de nez qui a été fait à ma naissance et porte des chaussures de femme et plus des « baskets » sauf pour le sport.
J'ai eu 4 mois de « répit » sans douleur ni opération.
Au mois de décembre, j'ai appelé l'association par lequel j'ai été adoptée en France pour poser mes questions à la directrice et elle m'a remis mon dossier d'adoption.
Ma mère n’a jamais voulu me le remettre et c’est un sujet « tabou ».
Même si je connais mon "histoire" cela n'est pas suffisant pour moi et je dois aller en Inde pour mes 30 ans, ensuite je pense que ma vie sera différente.
J'ai rendez-vous chez un spécialiste à Lyon le 3 janvier 2019 pour trouver un traitement pour mon bras droit et voir si la lésion sous le bras gauche à évoluée.
Le chirurgien a décidé de m'opérer le 11 janvier 2019 et je suis restée 5 nuits à la clinique.
J'ai fait la connaissance d'une autre indienne qui avait un mari « blanc » ainsi qu'une femme qui s'occupait d'une association pour adopter les enfants en Inde et qui doit aller en Inde en mars 2019.
Elle m'a dit que si elle pouvait ; elle ira faire un tour à mon orphelinat et m'enverrai des photos.
Elle m'a laissée sa carte professionnelle pour que je puisse la contacter.
Ma famille (ma mère et mes frères) est absente alors que depuis deux ans, je suis malade et subie quatre opérations.
Je n’ai plus de vie de couple comme j’ai toujours des infirmières qui interviennent chez moi et ne peux pas partir même un week end avec mon fiancé.
Je suis perdue car depuis la maladie, j’ai pris de la distance avec ma famille, essayer de continuer mon projet professionnel, me suis fiancée et malgré tout, je ne suis sure de rien.
Cette vie reste difficile car je n'ai pas encore accepté les changements physiques suite aux deux opérations de mon bras droit et à celle de mon bras gauche mais je dois rester forte pour rencontrer ma belle inconnue et affronter ce que je découvrirais en Inde et savoir qui je suis.
J'ai repris ma formation et me suis intégrée dans ce groupe de 4 filles.
J'ai commencé mon stage d'aide à domicile dans une structure associative.
Les horaires de stage sont de plus de 35h la semaine et parfois nous commençons tôt.
Chaque jour, nous buvons un café avec ma tutrice et une aes pour faire un point sur les personnes dont nous nous occupons à domicile.
Je me suis occupée d'une dame Alzheimer avec qui j'ai fait une aide au repas, de deux ados autistes, d'une dame en fauteuil roulant et d'un homme en fauteuil roulant.
Aujourd’hui, 18 mars 2019, je viens de me faire opérer des dents de sagesse.
Le chirurgien n'a pas assez mis de produits anesthésiants et j'ai tout senti pendant 5 minutes, j'ai vraiment mal et avale mon sang.
Il a mis des fils résorbables.
Je ne peux plus manger normalement et suis fatiguée.
Nous sommes allés à Fontanges (Cantal), mon chéri et moi-même pour deux jours.
Nous avons visité le village, j'ai pleuré devant la photo de mes grands-parents au cimetière et réalisée que ma grand-mère est morte.
Nous sommes allés à Salers le samedi soir puis le dimanche matin nous sommes restés à la maison et sur le chemin du retour, nous avons été au château de Tournemire.
Entre la maladie et le deuil de ma grand-mère que je suis en train de faire, je n’arrive plus à communiquer.
Je travaille en remplacement dans la même société que ma meilleure amie en tant qu’aide à domicile et j’ai trouvé une école à distance pour maintenir mes acquis de formation.
J’ai envoyé mon dossier d’inscription par courrier et j’ai des missions de 2h de ménage / 3 semaines et 45 minutes chez un couple de personnes âgées pour une aide au coucher/3 week end. Nous sommes allés à St Clément, en Ardèche, avec mon conjoint. Je commence à regarder comment organiser mon voyage en Inde. Ma mère biologique me manque beaucoup et la souffrance de l’adoption revient. 
      Pour mes 30 ans, je ferai ce voyage avec mon chéri et une infirmière humanitaire qui a l'habitude d'aller là-bas et je lui ai demandé un mariage symbolique indien mais qui ne soit pas inscrit en Inde car je veux me marier en France.
Maman tu me manques, je t’aime, je ne sais pas si tu es morte ou vivante mais les questions me rongent.
Stéphane et moi nous allons nous fiancer en juillet 2019 pour mes 28 ans. 
J’ai prévenu ma famille et lui la sienne.
J’ai commencé à travailler mes cours avec  l’école à distance pour pouvoir passer mon Deaes.
Nous sommes fiancés, mes parents ont voulu faire un repas chez eux pour fêter ça.
Je suis heureuse que mon fiancé ait osé faire cette démarche.
Je vais travailler un peu dans l’entreprise d’aide à domicile et reprendre ma formation pour passer le Deaes (diplôme d’état d’accompagnant éducatif et social).
Côté santé, je dois passer une échographie pour savoir s’il faut rouvrir ou non sous mon bras gauche.
Je suis en arrêt maladie depuis quelques mois et quand même bien occupée. J’ai des séances de kiné et de sport, une fois par semaine ainsi que les cours et devoirs avec mon école à distance. J’ai le droit de préparer mon oral d’entrée en formation avec une prestation « valoriser son image professionnel » qui débute le 17 octobre 2019 à l’Aformac. J’aimerai passer le Deaes en 2020 mais je dois me faire opérer de nouveau à cause de la maladie.
Il faut aussi que mon amoureux et moi-même nous occupions de demander les documents avant de partir en Inde en septembre 2021. De même que le film « Lion », je retrouverai ma maman biologique vivante pour qu’elle voit comme sa fille « Sminu » est devenue une belle femme.
J’ai été opérée le 12 novembre 2019 et je commence mon Deaes le 25 novembre 2019.
Je dois trouver un stage pour dans 2 semaines en structure.
J’ai commencé mon Deaes à l’Infa lundi 25 novembre 2019.
Depuis jeudi de la semaine précédente j’étais en recherche de stage pour lundi 2 décembre 2019 et je n’ai eu qu’une réponse positive aujourd’hui en cantou.
Je commence mon stage lundi matin à 6h30 et suis de matin et soir cette semaine.
Les matins en stage il y a les transmissions, beaucoup d’aide dans la vie quotidienne (aide au lever, à la toilette, aide et préparation du petit déjeuner, accompagnement aux WC, aide lors du repas de midi) et transmissions.
Les soirs il y a les siestes  jusqu’à 15h30 puis préparation du goûter et distribution, une pause à 16h30 puis la prise du repas du soir, les aides au coucher, le ménage et les transmissions. Travailler en cantou est très difficile pour moi car c’est un lieu de vie fermé, triste, les personnes ont 90 ans et plus et vivent leurs derniers instants. J’essaye de les accompagner du mieux que je peux mais cet environnement m’angoisse et m’oppresse (j’ai un pouls à 120 en plus des douleurs de ma cicatrisation sous le bras gauche depuis mon opération du 12 novembre 2019 et 2 nuits à la clinique à Ecully).
Depuis le 20 décembre 2019, je suis en vacances pour deux semaines. J’ai passé mes vacances à travailler en plus des soins quotidiens à domicile avec les mèches et les pansements. Nous avons été au repas de « famille » de Noël le 29 décembre 2019. Ma belle sœur est enceinte de 6 mois maintenant, mon autre belle sœur a eu son deuxième garçon il y a deux mois. Marius et Malone  sont inséparables comme cousins. J’ai passé un bon moment avec mon frère aîné et ma belle sœur qui vivent à Paris. Depuis la reprise, le 6 janvier 2020, je suis en arrêt maladie pour deux semaines car ma plaie ne se ferme pas et j’ai expliqué la maladie à ma formation. Le 18 janvier 2020, nous avons dû aller à un enterrement avec mon fiancé d’une personne qui était à l’Itep de Pradelles. Je l’ai compris en voyant une voiture du foyer Saint Nicolas. 
Le lendemain nous sommes allés sur la tombe de pépé à Saint Pierre Duchamp.
Depuis quelques jours, j’ai des douleurs inflammatoires sous le bras droit où j’ai été opérée deux fois en plus des douleurs sous le bras gauche. J’ai envoyé un mail au chirurgien qui va surement vouloir me voir en consultation avant d’opérer. Mon corps me fait mal, je n’en peux plus car la douleur fatigue et le manque de sommeil m’épuise. C’est inhumain de souffrir autant, si jeune et active. Je suis à bout, je ne sais pas comment je vais faire en cours, je suis épuisée tout le temps. J’essaie d’accepter les cicatrices sur mon corps, le dégoût qu’elles m’inspirent quand je les vois, le fait de devoir mettre des vêtements larges la plupart du temps, que la maladie est orpheline, héréditaire, incurable et invalidante, que ma vie professionnelle va être un « fiasco » avec les risques d’opérations toutes les années de novembre à avril. Personne ne sait cette souffrance et que les douleurs physiques ravivent régulièrement. 
Je retourne à la clinique du 27 au 29 janvier 2020.
Bien que je sache comment se passe une opération, la veille, tout ira bien puis au moment de l’opération, une anesthésie générale, l’opération et ensuite la salle de réveil où j’aurai mal. Ce sera dur les temps de douche, pour s’habiller/se déshabiller, l’impossibilité de partir un week end en couple, les mèches et changement de pansement plus les douleurs de cicatrisation. J’aimerai pouvoir baisser les armes, me reposer, faire une trêve au lieu de devoir me battre constamment mais je n’en ai pas le droit.
L’opération du 28 janvier 2020 s’est très mal passée. Le brancardier m’a descendue au bloc opératoire et j’ai vu le chirurgien en même temps que l’anesthésie générale. Elle m’a ratée sur la main gauche, la première fois, j’ai un gros bleu qui est toujours douloureux. Elle a piquée en bas du pouce gauche mais je ne m’endormais pas, mon corps restait vigilant donc elle a utilisé le masque. Cinq minutes après l’opération, je me suis réveillée en salle de réveil avec de grosses douleurs. Mon pouls était à 110, la tension très basse et ils ont mis plusieurs produits dans la perfusion pour calmer la douleur. Même deux seringues de morphine ne l’ont pas calmée et je suis restée plus de 2 heures en salle de réveil. Quand je suis remontée en chambre, j’avais toujours mal et me sentais mourir. Le chirurgien est venu me voir et sans même me parler, il a dit au personnel soignant de me garder deux nuits de plus où durant ce temps, je voyais ma vie défiler et que la douleur allait me tuer. Je suis sortie le vendredi matin de la clinique et l’après midi, j’ai porté mon arrêt à ma formation. Le lundi suivant j’ai dû démissionner de la formation initiale pour mon diplôme d’état et rempli un livret de recevabilité pour ma demande de VAE. Trois semaines après, je n’ai pas pu dormir ni me reposer à cause des douleurs, c’est très difficile et à part mon conjoint et mes amies, je suis seule dans la douleur, la souffrance, la convalescence, la dépendance et la perte de confiance en moi et en mon corps abîmé. Je dois faire sectionner le nerf irrité comme me le conseille le chirurgien mais j’ai peur que l’anesthésie se passe mal de nouveau, si je perds la mobilité du bras et comment saurai je si tout va bien à cet endroit ? Je suis à la croisée des chemins, celui en France avec la maladie et la difficulté d’insertion sociale au niveau professionnel et celui de l’Inde avec l’hérédité liée à la maladie et les questions, l’orphelinat et mon souhait de faire un mariage symbolique indien. Je n’ai même pas de certitude de revenir en France après ce voyage.
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