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#eaux claires
sure-thing-casey · 1 year
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Photos of Phoebe in Eau Claire, WI by my mf'ing boy, Kelly Anderson.
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La Fabrique Végétale : une distillatrice et des huiles essentielles (2/2)
Deuxième article dédié à La Fabrique Végétale. On parle des projets de cultures pour la production de nouvelles huiles essentielles mais aussi de la complexité de la législation pour les producteurs-distillateurs artisanaux.
Dans le premier article dédié à La Fabrique Végétale, je vous ai présenté Claire Bertrand, la fondatrice et distillatrice de grand talent comme la gamme actuelle de ses si jolies huiles essentielles. La Fabrique Végétale : projets pour étoffer la gamme Claire Bertrand a d’autres projets en tête pour étoffer sa gamme d’huiles essentielles. Voyons cela de plus près. Huile essentielle de…
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hedgehog-moss · 1 year
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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naturalswimmingspirit · 6 months
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cha_l_heureuse
(encore) seuls au monde sur une petite île découverte en canoë. De beaux paysages, du soleil sur la peau, des eaux claires et chaudes
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satinea · 2 months
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Le soleil brûlant
Les fleurs qu’en allant
Tu cueilles,
Viens fuir son ardeur
Sous la profondeur
Des feuilles.
Cherchons les sentiers
A demi frayés
Où flotte,
Comme dans la mer,
Un demi-jour vert
De grotte.
Des halliers touffus
Un soupir confus
S’éléve
Si doux qu’on dirait
Que c’est la forêt
Qui rêve…
Chante doucement ;
Dans mon coeur d’amant
J’adore
Entendre ta voix
Au calme du bois
Sonore.
L’oiseau, d’un élan,
Courbe, en s’envolant,
La branche
Sous l’ombrage obscur
La source au flot pur
S’épanche.
Viens t’asseoir au bord
Où les boutons d’or
Foisonnent…
Le vent sur les eaux
Heurte les roseaux
Qui sonnent.
Et demeure ainsi
Toute au doux souci
De plaire,
Une rose aux dents,
Et ton pied nu dans
L’eau claire.
Albert Samain, Au jardin de l’infante
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les-portes-du-sud · 5 months
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Quand le soir devient clair,
Je l'adore, au bord de l'étang
Regardant la belle journée disparaître
Et l'étoile s'illumine
Comme une hirondelle, insaisissable
Glissant avec une aile au sein des eaux,
Se précipitant vite, passant vite
Et disparaît... Comme un vague rêve
Alors l'âme est pleine...
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clubrogernimier · 18 days
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« La vraie femme. Celle qui nous vient du fond des âges. Celle qui rayonne à l'autre extrémité de la création. Je peux vous dire cela d'une manière plus directe. Deux races de femmes. L'une nombreuse, et l'autre en voie de disparition. Les femmes dans lesquelles on se branle. La femme avec qui l'on fait l'amour. Et avec qui faire l'amour, c'est se refaire de l'enfance. La vraie femme : celle qui connaît les secrets des eaux, des pierres, des plantes, des bêtes. Celle qui fixe le soleil et voit clair dans la nuit. Celle qui possède la clé de la santé, de la paix transparente, des harmonies. La sorcière blanche, la fée aux larges flancs humides, au visage d'ange flamand, aux longs cheveux blonds, aux yeux clairs, qui attendent l'homme pour recommencer avec lui le paradis terrestre… Avec elle, toute la terre s'organise en féerie. Avec elle, il ya de l'immortalité dans l'air… Le désir qu'elle inspire est vide de tout démon. Plonger en elle vous réensemence et vous révèle que la grande jouissance est chaste. La vraie femme, la femme rare. Celle que les anciens gnostiques appelaient « la femme de l'homme » et la « rosée de lumière ». Ils nommaient l'autre, qui est légion, « la femme de la femme »… »
Louis Pauwels
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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formationonline · 5 months
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neant-blanc · 6 months
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Cinque Terre (Italie) - 14.10.23
Les Cinq Terres : Une côte coincée entre les montagnes liguriennes et la mer tyrrhénienne, encore bien arrosée de soleil en ce mois d'octobre. L'itinéraire dépasse à peine les trois kilomètres ; une simple balade me direz-vous. Mais c'est sans compter le relief accidenté qui ne fait que monter et descendre, tout en marches inégales de pierres polies par l'usure du tourisme intensif qui sévit ici. Beaucoup de monde sur le chemin mais le site, en cette fin de saison estivale, n'est pas envahi, on respire. J'y chemine gaiement, refoulant les souvenirs des immeubles et des parcs bien rangés de Milan qui m'ont laissé une impression de talc sale, de chic en toc. La fraîcheur et la simplicité de la nature rejaillissent à l'image de l'écume éclaboussant les rochers en contrebas à chaque reflux. En plus des falaises sauvages plongeant dans les eaux d'un bleu clair, de petits villages sont nichés sur les promontoires rocheux, si croquignolets qu'on les croirait plantés là pour un photoshoot de carte postale. A Portorosso, on se permet un bain dans l'anse du port aux eaux turquoise, avec ses petites barques et ses maisonnettes colorées empilées à flanc de falaise. Notre parcours se finit avec le soleil couchant à la terrasse d'un bar. Demain, Pise nous accueille.
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nemosisworld · 2 years
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Mer des yeux sur tes eaux claires nous naviguâmes Le désir gonflait nos voiles si rapiécées Nous partions oublieux des tempêtes passées Sur les regards à la découverte des âmes.
...
Pour avoir dans le cœur ces yeux pleins de promesses Comme une mer le soir rêveuse de soleil Vous avez accompli d’inutiles prouesses Pour atteindre au pays de rêve qui, vermeil,
Se lamentait d’extase au-delà des eaux vraies Sous l’arche sainte d’un nuage cru prophète Mais il est doux d’avoir pour un rêve ces plaies Et votre souvenir brille comme une fête.
Marcel Proust
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steff-02 · 7 months
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Réveil en douceur ce matin. Après une nuit de 10h dans ces lits très confortables, nous sommes en pleine forme pour commencer ces 10 jours de cure de soleil.
On commence par se rendre à la salle du petit déjeuner. Il y a un de très grands buffets, salé, sucré, chaud, froid, continental ou local, il y a de tout !
Nous voilà prêts à nous rendre à la plage 🏖️. Il est neuf heure passé et il n’y a pas encore trop de monde. Nous trouvons facilement deux chaises longues entre quelques cocotiers. Après s’être enduit de crème solaire, on profite du calme de la plage. Il n’y a pas beaucoup d’enfants. Le soleil est si fort que malgré la crème solaire ma peau est couverte de coup de soleil…😖
Entre deux baignades dans les eaux claires et chaudes des Caraïbes, on profite du bar de la plage. A notre grande surprise, toute les consommations sont gratuites 🤩. Après dîner, on s’endort sur la plage, bercé par le bruit des vagues. La journée a passé vite, le soleil disparaît gentiment derrière les cocotiers. On retourne gentiment à la chambre pour se préparer à aller souper. Plus qu’à recommencer demain ;)
Le prochain post sera dans quelques jours lors de notre départ pour la capitale, Santo Domingo !
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Previously, on the HPI rewatch...)
I, uh... may have gotten a little bit unhinged down the line... Bref, cet épisode me TUE ! On le sent qu’ils sont à la croisée des chemins, ughhhh, si seulement ils étaient pas aussi bornés !!! 😭😭
Le fait qu'on commence direct avec une photo de Gilles et Karadec au milieu des images de Gilles et sa famille, je sais pas vous mais moi ça me met en joie... Gilles est la fangirl numéro 1 d’Adam, confirmed! 🤗
Céline est censée appeler Morgane pour lui dire qu’elle est suspendue... Sauf qu’à cause du timing c’est Adam qui le fait et ça contribue au fait qu’elle lui en veuille, je -- 😰
"Sérieux ?" Le tremblement dans la voix de Morgane, oh babyyyy
"J'ai lâché un CDI en or" LOL mais oui c’est ça
"Ah toi ta gueule sale Judas, tu crois que je vois pas clair dans ton jeu ?" -> elle l'a tUToYé 😱 et je m’en fous que ça soit dans le cadre d’une insulte, lalalalalala je n’entends rien 🙉
Adam qui redescend pas en pression et qui gueule des "ouais !" à Daphné... Le pauvre, il s'en prend plein la gueule alors qu'il a menti à l'IGPN pour la couvrir, hgn, retenez-moi !
La parodie de western... vous le voyez, le nuage de fumée dans la writing room ? ��🚬🚬
"Elle a également planté une fléchette dans la fesse de son supérieur hiérarchique" "Le commandant Karadec était sur le point de se faire tuer par une grenouille venimeuse" -> échange le plus lunaire de tout ce show, d'ailleurs ça se voit que Céline peut pas s'empêcher de rire
"C’est une mère célibataire, le père est aux abonnés absents" merci pour Ludo 🤧
"Je sais à quel point ça peut être difficile de perdre une collègue" -> mon bébé Adam est tellement pining qu’il en perd toute subtilité. Good for him
"Il a quand-même l'air vachement affecté" -> OMG Gilles qui VOIT un truc pour une fois, mais qui pousse pas plus loin... *se frappe la tête contre le mur*
"Il est né un 4 octobre, son signe astrologique c'est balance" -> honnêtement c’est une des meilleures répliques de Daphné
Askjfkdjkfjkj, le malaise général quand Gilles commence à causer dégât des eaux et ouragans hypothétiques à Roxane est une de mes scènes préférées... Something something schadenfreude
"Karadec c'est la plus gande poucave que la terre ait jamais portée" -> if only she knew the truth... 😩
Gilles a littéralement des plaques rouges pendant son entretien avec Roxane, je meurs, que quelqu’un fasse un câlin à cet homme
Daphné en mode première de la classe qui veut ABSOLUMENT être interrogée par Roxane, mais 😂😂
"Pourquoi pas moi ?" "J'ai soif" Voilà, je crois que ça résume assez bien la situation 🤣
Karadec vs. le mari violent est ma scène d’interrogatoire préférée je crois. Il y a tellement de mépris et de dureté dans le regard d’Adam, c'est juste... ugh! 🤯 We love a feminist Karadec
J'adore. Ils ont tous interdiction d'entrer en contact avec elle, et entre Gilles qui l'héberge et Adam qui vient carrément l'attendre à la porte... On en parle, du fait que c'est quand-même une grosse violation des règles aux yeux de notre commandant national, ça aussi ? Il se fait tellement de souci pour elle et moi je décède sur mon canap’ 😭
Et Morgane qui lui en veut encore et qui le traite de tous les noms alors qu'il fait TOUT pour la sortir de là, non mais ça me tue, ça... Et elle qui peut pas résister à balancer un indice parce qu'elle est prise au jeu de l'enquête... Et lui qui lui gueule "bonne soirée !" Be still my beating heart 🥹
L'apparition fantôme de Morgane qui fait peur à Gilles me fait toujours autant rire.. Dame du lac vibes, un peu. Et notez bien comment ce show a un truc avec le brossage de dents, quand-même 🪥 😏
"Qui prend le risque de se faire gauler pour excès de vitesse avec deux kilos de came dans sa bagnole ? Personne." Heu, c'est pas l'entièreté du concept des go fast, en fait ?
"Si Karadec est pas trop con, ce qui lui arrive quand-même de temps en temps," mais ce tacle gratuit, non mais le manque de respect... 🤦
Le petit ricanement d'Adam quand il choppe Gilles aux toilettes et constate qu'il appelait Morgane. Toute la scène en fait. Le destin de Gilles est de se faire plaquer contre un mur par des collègues au bord de la crise de nerf 😅
"Je jardine !" Iconique
Dans le baril on voit trop que l'acteur souffle des petites bulles par le nez, ça m'amuse autant que voir un cadavre cligner des yeux
Adam qui engueule Morgane (à raison) ça me fend le cœur... Il est furieux parce qu'il a peur de la perdre... "Continuez à croire que c'est moi qui vous ai balancée si ça vous fait plaisir", mais DIS-LUI 😢
Morgane qui se fait engueuler par Adam dans le 2.02 et qui se tourne vers Gilles en mode "rho, l'autre" mais Gilles la suit pas sur ce coup-là et s'en va aussi vs. Morgane qui se fait engueuler par Céline dans le 2.06 et qui se tourne vers Daphné qui a la même réaction... The parallels!!!!
C'est trop mims comment à chaque fois qu'elle se fait engueuler par quelqu’un qu’au fond elle estime, Morgane a un sursaut de responsabilité et tente d'arranger les problèmes qu'elle cause...
Ludo lui propose de franchir un cap d’engagement dans leur relation et elle en dort pas de la nuit ? Mhhhh... 🤔
Gilles en surchauffe nocturne est AUSSI une de mes scènes préférées tbh
C'est moi où y'a un faux-raccord, "on s'assied et on pose cette tasse", on voit Morgane de dos faire un geste sur le côté pour poser la tasse, et sur le plan juste après, elle refait exactement la même chose ?
Commissaire tourmenté dont j’ai déjà oublié le nom : "Ça faisait longtemps que c'était ambigu entre nous" Adam : *can relate*
Moi je le trouvais très bien le bobard de Théa sur le paradis du pistou 😆
Alors il faudrait quand-même qu'on m'explique le timing parce qu'entre le moment où Roxane raccroche, va s'engueuler avec Céline, et se fait interrompre par Daphné à cause du SOS de Morgane, il s'écoule approximativement cinq minutes, qui suffisent apparemment à Morgane pour avoir son éclair de génie sur les jumelles, aller chez la tueuse, papoter tranquillou avec elle, et se faire courser. Pareil pour le délai entre le SOS de Morgane et le moment où Karadec arrive, ça dure grand max deux minutes, et c'est manifestement suffisant pour que la brigade parte en intervention et arrive au domicile de la tueuse. Conclusion, l'appart de la tueuse, celui de Gilles, et la PJ sont dans le même immeuble, sinon c'est pas possible #friends
Le monologue d'Adam... Je... Je le connais par cœur... "Elle me rend DINGUE"... La menace de démission... My baby’s all in for her, he's so in love oh my goooooooooood 😭
"JE VAIS PAS HÉSITER UNE SEULE SECONDE" Ça fait presque un an et je crois que je m’en suis toujours pas remise 😰
"J'suis contente de vous voir" 😱 Crying, panting, shaking, etc  
Le cALiN !!! Sa façon de la regarder juste avant !!! The SOFTNESS!!!!
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"On n'est pas non plus obligé de tout tout dire dans la vie" Céline mais je l'aime d'amour 🥰
Vous l’sentez que c’est un de mes épisodes préférés, ou pas ?
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simbelmyneswriting · 1 year
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Jour 3 - Bleu Lagon
Après ce qui lui avait semblé des jours de marche, Greda était arrivée à l’embouchure du fleuve, là où ses eaux tumultueuses et opaques se fondaient dans un bleu que l’orc n’imaginait pas si clair, si vif. Ce bleu si étrange, presque mystique, semblait à peine dérangé par l’afflux soudain d’eaux sombres. Un bleu si étrange, si vif comme un joyaux et pourtant, si l’on se concentrait bien dessus, ce bleu semblant devenir presque noir au centre, là où la profondeur était la plus grande. Un bleu lagon. Elle avait entendu cette expression avant, bleu lagon, probablement auprès des voyageurs dans les caravansérails que son clan avaient fréquentés… Ou peut-être dans la bouche de Sanni, lorsqu’elle racontait des histoires aux petits ? Ou bien les deux - sans doute les deux. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Est-ce que c’était cela, même, un lagon ?
Est-ce que tout cela en valait la peine ?, se demanda l’orc en s’appuyant contre le rocher le plus proche. Son outre était vide depuis plusieurs heures et elle n’avait mangé que quelques myrtilles et poires de terre depuis le lièvre d’il y a deux jours. Elle qui avait toujours été une excellente chasseuse, toujours apte à ramener de la gazelle pour son clan, se retrouvait démunie, presque une enfant dans ces conditions. “Père t’aurait mis à mort, pour être aussi faible et ridicule…” marmonna Greda en se laissant glisser au sol, les yeux fermés sur ses larmes et son moignon râpant durement contre la surface du rocher. C’était un miracle que la blessure ne se soit pas infectée, mais heureusement la coupure avait été nette - un avantage précieux des armes de fabrication naine, car leur tranchant était inégalé. Pourtant, ce n’était pas un nain qui lui avait coupé le bras, mais un cavalier à cheval, portant cet étrange soleil comme blason sur ses habits luxuriants.
A vrai dire, maintenant que Gerda y repensait, tous leurs attaquants portaient cette emblème sur leurs armures et chevaux. Une piste à creuser pour tenter de retrouver Sanni, la sauver des griffes de ceux qui l’avait enlevée. Libérée, avaient-ils dit, libérée de ces bêtes sanguinaires, ces sauvages, tels avaient été leurs mots exacts. Elle avait crié son nom, avec ce petit accent charmant même dans l’urgence et cela avait mis un peu plus de bravoure dans les gestes de l’orc. Un peu plus de désespoir aussi lorsque la jeune femme avait disparu de son champ de vision et que le cercle de cavaliers c’était refermé sur elle. Et beaucoup de désespoir, teinté de honte, lorsque tombée au sol et tentant vainement d’attraper une arme, on lui avait coupé l’avant-bras, avant de la laisser là, au milieu des cadavres. Le reste de son clan dispersé ou pire, capturé.
Elle s’était relevée après un moment, avait regardé son bras inerte, coupé net par l’impact de l’arme, pendant un certain temps, puis avait récupéré de quoi nettoyer la plaie. Elle avait ensuite déchiré une toile de tente qui tenait encore debout et l’avait enroulée autour de sa blessure, avant de ramasser quelques provisions et une lance et de se mettre en route vers leur destination : l’avant-poste du Bout du Fleuve, pour la Fête des Morts. Gerda n’était plus si loin, maintenant que l’océan était en vue et que le delta du fleuve s’étendait devant elle, pourtant elle n’arrivait pas à se relever. Elle était lasse, si lasse, de tout. D’avancer. De se battre. D’être forte. Parfaite guerrière mais qui n’avait pu sauver son clan, ni même son épouse. Ni même son bras, qui lui semblait maintenant irradier de chaleur - ou bien était-ce son esprit qui se perdait alors que les larmes s’écoulaient sur ses joues poussiéreuses.
Elle n’en savait rien. Elle ne savait plus rien, juste qu’elle avait lamentablement échoué dans toutes ses tâches de future cheftaine. D’un geste rageur, Gerda essuya ses larmes et força ses yeux ouverts. Gifla ses joues pour arrêter cette faiblesse indigne et plongea son regard sur la plaine qui s’étendait en dessous-d’elle, pour finir dans le bleu fascinant de l’océan. Un bleu lagon. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Une ombre se posa sur elle et l’orc pria, en son fort-intérieur, pour que ce soit la fin. Et qu’elle soit rapide et sans trop de douleur. “Gerda ? Gerda Longstooth ? Par Uruk, qu’est-ce que tu fiches là ?! Qu’est-il arrivé à ton bras ? Oh par Uruk ! Oh Uruk ! Oh non ?! Oh gamine tu m’entends ?” tonna l’ombre en s’agenouillant à ses côtés, détournant de force son visage du bleu lagon de l’océan pour vérifier que la jeune orc était toujours vivante.
Gerda cligna des yeux et l’ombre se précisa un peu plus, un orc à la barbe tressée et aux multiples cicatrices se tenait à ses côtés. Par certains traits, il ressemblait à son père, en plus compact. En plus rond et doux, comme souvent ceux qui vivaient près des avants-postes. “… Oncle Roth ?”
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frenchdrarry · 1 year
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La nuit n’avait rarement été aussi claire ni l’eau aussi foncée. Harry avait l’impression que le lac était un abîme, un abysse dantesque qui avalerait sans remord les étoiles si jamais elles tombaient. La Lune brillait. Elle scintillait comme le dernier des diamants aux milieux des milliers d’étoiles incandescentes.
Sa peau semblait constituée de lumière. Même sans sa nyctalopie induite par sa condition d’animagus, Harry aurait pu le voir parfaitement. Draco était un soleil. Et les yeux de Draco, deux phares braqués sur lui.
Il savait. Harry était frustré sans fin par la clairvoyance de cet homme, mais également vivifié par cela. Draco le reconnaîtrait sous n’importe quelle forme, tout comme Harry pressentiraient chacune de ses idées. Ils se connaissaient si bien.
Se détestaient si bien.
Ils s’égalaient. Leur jeu intellectuel était une danse pleine de défis. Ils anticipaient l’autre, ses idées, ses envies, son tempérament, ses frustrations. La moindre de leur incartade, le moindre changement d’émotions était perçu par l’autre malgré tous les efforts respectifs qu’ils mettaient à se le cacher.
Et maintenant, ça. Draco sourit. Entre pénombre et lumière, ses lèvres se plissèrent d’un amusement agacé et Harry put voir son torse se dégonfler. Il était beau. Diablement, divinement beau. Mortellement beau. La Lune ne semblait exister que pour embellir cette peau diaphane, ces épaules élégantes et ce torse maigre. Ses longues jambes avaient disparues sous l’eau noir mais Harry percevait la forme des écailles sur les larges hanches. Il avait envie de s’approcher, de mieux les percevoir. Étaient-elles toutes de la même taille ? Quelles couleurs avaient-elles ? Que sentaient-elles ? Mais il ne bougea pas d’un pouce — il resta parfaitement immobile, couché dans l’herbe fraîche, les sens aux aguets.
Ils étaient seuls au monde. Poudlard n’avait jamais été aussi vide, aussi silencieuse qu’en cette nuit. La forêt semblait s’épanouir sous la clarté lunaire, une atmosphère mystique épaississait les lieux. Le sourire de Draco avait quelque chose d’irréel.
Il n’y avait pas la moindre brise pour créer des vagues, le lac noir n’avait jamais aussi bien porté son nom. Il était aussi lisse qu’un miroir et pourtant ne reflétait pas la moindre étoile — son immobilité était aussi terrifiante que celle de Harry. Leur attente était d’un autre ordre : celui du surnaturel.
Draco bougea. Il salua Harry d’un signe de tête et se retourna, sa forme était humaine lorsqu’il scinda les eaux pour rejoindre les roches anguleuses qui parvenaient parfois à crever la surface plane du lac. Son corps était clairsemé d’écailles à partir de la taille jusqu’en bas, Harry n’essaya pas de les dénombrer. Plus Draco avançait, plus il avait pied et plus il se découvrait. C’était un spectacle dont Draco en était l’acteur parfaitement conscient. Harry observait la silhouette, l’effort pour marcher dans l’eau avec des jambes humaines. Cette silhouette, à présent qu’elle se découpait clairement dans les rayons lunaires. Cette carrure qu’il connaissait si bien pour l’avoir observé des milliers de fois depuis sa première année. Dans les couloirs, en classe, au Quidditch, à la Grande Salle. Cette silhouette en équilibre entre l’athlétisme et l’androgynie. Ces cheveux pâles, à présent baignés de blanc.
Il plongea. La fourrure de Harry se hérissa instinctivement — l’action avait été d’une prodigieuse rapidité. Un instant, il était là, demi-dieu parmi les mortels : soudainement plus rien, il avait sauté avec une grâce qu’on aurait pensé réservée aux animaux célestes. Harry avait du mal à restituer ce qu’il avait vu : la courbure de son dos, le passage des jambes à la queue, la brillance des écailles et plus rien. Il avait disparu dans les eaux sombres, seules restaient les vagues, signe qu’il était bel et bien entré dans ce lac abyssal. Bientôt, plus rien ne témoignait qu’il fut même là un jour, Harry pourrait venir à en douter s’il ne sentait pas encore son odeur dans l’air.
Il se releva lentement, s’ébroua, hésita à s’approcher de l’eau. Ses instincts étaient contre. Le lac noir n’avait jamais semblé si dangereux qu’en cette nuit lumineuse et ce n’était pas à cause du calamar.
Étrangement, il se sentit inquiet. Il n’aimait pas voir Draco là où lui ne pouvait le voir. Son hurlement déchira la nuit et les autres animaux s’excitèrent à son appel. Harry savait pourquoi il s’était annoncé. Il espérait que son rugissement avait percé la surface d’ébène qui lui faisait face. Et sans plus s’appesantir sur la question, il courut vers la forêt dont les branches ressemblaient étrangement à de noires tentacules.
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photoriadoc · 1 year
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Port de Saint Vaast La Hougue - Janvier 2021
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Saint Vaast La Hougue est réputé pour son port de pêche dynamique. Les bateaux colorés et les filets de pêche qui sèchent au soleil créent une atmosphère pittoresque et animée. Les pêcheurs locaux y ramènent quotidiennement des fruits de mer frais, offrant ainsi aux visiteurs l'opportunité de déguster des délices de la mer dans les nombreux restaurants du port. Pour les amateurs de plaisance, le port de Saint Vaast La Hougue dispose de nombreuses infrastructures modernes. Il offre des amarrages pour les bateaux de plaisance, ainsi que des services tels que des sanitaires, des douches et une aire de carénage. Les plaisanciers peuvent ainsi profiter pleinement des eaux calmes de la Manche et explorer la magnifique côte normande.       Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 3 Shoot: En milieu de matinée, en Janvier 2021 avec untemps froid mais clair! Toutes les prises de vue ont été faites le long du quai Vauban.     Read the full article
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