#dove allouche
Explore tagged Tumblr posts
Text
Fungi, Dove Allouche
10 notes
·
View notes
Text
Ca y est ! Je reviens de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s ! Première étape, Isabelle en Gironde, vers Libourne...
Ici Libourne.
Dans la chapelle du Carmel, une mini-expo...
Charles-Emile François d'après François-Xavier Winterhalter : Portraits de l'Empereur Napoléon III et de l'Impératrice Eugénie
Dove Allouche : "Pétrographie 9"
Bastien Cosson : "Seules les anguilles savent se peindre"
#libourne#aquitaine#gironde#chapelle#chapelle du carmel#charles-émile françois#winterhalter#françois-xavier winterhalter#napoléon III#eugénie de montijo#impératrice eugénie#second empire#dove allouche#bastien cosson#art contemporain
2 notes
·
View notes
Photo
Dove Allouche
14 notes
·
View notes
Text
La Bibliothèque, salle Labrouste
La Bibliothèque, salle Labrouste, collection Jacques Doucet en accès libre. A découvrit l'oeuvre de l'artiste Dove Allouche
L’INHA , Institut National d’Histoire de l’Art INHA, ,Bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art – 58 rue de Richelieu -75002 Paris C’était un lundi au soleil, j’avais rendez-vous à la Bibliothèque de l’INHA, l’Institut national d’histoire de l’art, dirigée par Eric de Chassey. L’entrée se fait par la rue de Richelieu dans cette mythique salle Labrouste qui conserve peut-être la…
View On WordPress
0 notes
Photo
Land VI, VII, VIII - paintings on the floor - part of « La mesure du monde » Curated by Sandra Patron & Clément Nouet with Dove Allouche, Marie Cool & Fabio Balducci, Caroline Corbasson, Attila Csörgo, Edith Dekyndt, Hugo Deverchere, Julien Discrit, Roberto Evangelista, Anne-Charlotte Finel, Mark Geffriaud, Joan Jonas, Pierre Malphettes, Masaki Nakayama, Otobong Nkanga, Elisa Pône, Linda Sanchez, Stephane Sautour, Daniel Steegmann Mangrané, Batia Suter, Francisco Tropa, Keiji Uematsu, Capucine Vandebrouck, Maya Watanabe, Lois Weinberger (c) : Aurelien Mole . . . . . . . #show #groupshow #lamesuredumonde @mracserignan #curatedby @sandrapatroncapc #clementnouet #adrienvescovi #land
3 notes
·
View notes
Text
OSMOS Magazine Issue 11 $25 ORDER
Issue 11 of OSMOS Magazine includes an essay by contributing editor Tom McDonough on photographer Eileen Quinlan, a feature on Ketty La Rocca by Massimiliano Gioni, a portfolio of works by Xaviera Simmons, a personal reflection on the work of Mathieu Mercier by Cay Sophie Rabinowitz, the life and work of Hervé Guibert as introduced by his gallerist Photios Giovanis, an essay on the photographic investigations of Dove Allouche by curator Drew Sawyer, an introduction to the work of Martine Syms by Jocelyn Miller, an essay by Jeffrey Kirkwood describing his research on the innovative Swiss artist and filmmaker Klaus Lutz, a look at Frances Uckermann's photographs of the 1980s NY art world by Christian Rattemeyer, the works and memories of artist-turned-gallerist Kerry Schuss with an introduction by Lee Plested, a portfolio of works by David Goldes, a feature on Susan Kleinberg's new video Balafre as introduced by Kenta Murakami, a postcard by Dawit L. Petros, a story by Jeff Crane titled White Priviledge: Skiing as Art, a series of instagram posts by photographer Alex Golshani from the protests following Trump's unexpected election win, and a reportage by Alex Welsh investigating housing discrimination and its effects on African American communities in the US, all enclosed within a cover by Peter Funch.
#magazine#osmos11#Tom McDonough#Eileen Quinlan#Ketty La rocca#Massimiliano Gioni#Xaviera Simmons#Mathieu Mercier#Cay Sophie Rabinowitz#Herve Guibert#Photios Giovanis#Callicoon Fine Arts#Dove Allouche#Drew Sawyer#Martine Syms#Jocelyn Miller#Jeffrey Kirkwood#Klaus Lutz#Frances Uckermann#Christian Rattemeyer#Kerry Scuss#Lee Plested#David Goldes#Susan Kleinberg#Kenta Murakami#Dawit Petros#Jeff Crane#Alex Golshani#Alex Welsh#Peter Funch
0 notes
Photo
Réouverture des musées: une heureuse découverte : le MAC VAL en plus gratuit : Xavier Veilhan : Mobile no 26, Pierre Malphettes : l’Arbre et le lierre, Dove Allouche : Strati photographie, Evariste Richter : Matière noire, Jean Dubuffet : Serie materiologie, Joanna Hadjithomas et Khalil Joreige : Time capsules, Tal Coat : Abrupt, Laure Prouvost : Relique no 6, Evaruste Richter :Mucachrome. #macval #vitrysurseine #xavierveilhan #mobile #pierremalphettes #larbreetlelierre #doveallouche #stratiphotography #evaristerichter #jeandubuffet #joannahadjithomasandkhaliljoreige #timecapsule #talcoat #abrupt #laureprouvost #micachrome #instapic #photooftheday #vitrymaville (à MAC VAL Musée d'Art Contemporain du Val-de-Marne) https://www.instagram.com/p/CPEhNerFR6j/?utm_medium=tumblr
#macval#vitrysurseine#xavierveilhan#mobile#pierremalphettes#larbreetlelierre#doveallouche#stratiphotography#evaristerichter#jeandubuffet#joannahadjithomasandkhaliljoreige#timecapsule#talcoat#abrupt#laureprouvost#micachrome#instapic#photooftheday#vitrymaville
0 notes
Photo
Visite de #Commeunsouvenir... la superbe exposition d’ Anne Immelé avec Dove Allouche et Pierre-Yves Freund à la @fondationfernet.branca , quand au détour d’une salle, retrouvailles avec mon ami @augustevonville l’occasion de parler avec lui d’ Andreï Tarkovski, l’univers de l’expo et la fondation. Comme un instant de bonheur un dimanche après-midi, il y a des hasards qui remplissent de joie. (à Fondation Fernet Branca) https://www.instagram.com/p/BujViLkhusm/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=mrt75q9i2qx0
0 notes
Photo
World is nothing without art (blog) Dove Allouche Surplomb_7, 2013graphite, silver oxide, ethanol... via Tumblr
1 note
·
View note
Text
Fungi, Dove Allouche
4 notes
·
View notes
Text
De retour de l’expo #9 : Préhistoire. Une énigme moderne - Paris, Centre Pompidou
24 juin 2019
L’exposition s’ouvre sur la question du temps, en confrontant, dans une antichambre plongée dans la pénombre, un crâne de Cro-Magnon et une petite toile de Klee, justement intitulée Le Temps. Temps dont les XVIIIe et XIXe siècles prennent conscience de l’épaisseur, grâce à la découverte, par Buffon, des méthodes stratigraphiques. Cette idée est illustrée par les carrières de Bibémus peintes par Cézanne, par des dessins plus inattendus d’Odilon Redon (Et l'homme parut, interrogeant le sol d'où il sort) et les œuvres terriennes de Dubuffet, Lucio Fontana ou Max Ernst (de beaux « frottages », comme La grande forêt, 1927). J’ai découvert la mélancolie étrange et surréaliste qui émane des œuvres d’Alberto Savinio (Souvenir d’un monde disparu, 1928 ; Dans la forêt, 1928-30). On passe un peu brusquement à une séquence plus didactique d’histoire culturelle, détaillant l’invention de la notion d’art préhistorique à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Les œuvres préhistoriques exposées à l’Exposition universelle de 1867 firent forte impression auprès du public, tandis que des ouvrages de vulgarisation présentent les « ancêtres de Raphaël et Michel-Ange » peignant, la main sur la hanche, dans une position très « artiste »...
Cette même construction d’une filiation entre l’art des cavernes et l’art occidental transparaît dans le terme de « Vénus » utilisé pour désigner ces toutes petites statuettes féminines – qui sont sans doute, au final, les œuvres les plus émouvantes de l’exposition. Dans une grande salle plongée dans la pénombre, les Vénus de Lespugue, de Savignano, de Tursac ou Grimaldi, qui datent d’environ 20 à 25 000 ans, ainsi que des bois de renne gravés, dialoguent avec des sculptures de Louise Bourgeois, Jean Arp et Henry Moore, des aquarelles ocres de Beuys, des toiles de Miró, des galets gravés de Picasso, des anthropométries de Klein (qui ressemblent à des silhouettes de requin), des dessins de Giacometti (portraits de son frère Diego), et les mythologies personnelles de Klee (les Urchs, bêtes primitives) et de Michaux (les Émanglons du Voyage en Grande Garabagne). Les rapprochements sont toujours pertinents, et même troublants : mêmes formes simples, fluides et pleines, même dépouillement souvent énigmatique, même importance accordée au geste, à la trace, à l’incision.
A cette belle salle succède un parcours sinueux et plus incertain autour des thèmes des gestes, des outils et de la caverne. J’ai bien aimé les graffitis photographiés par Brassaï et Asger Jorn, ainsi que le face-à-face entre les toiles d’A.R. Penck, Waffen (1968), et les silex et pierres taillées âgés de 200 000 ans... Les mains peintes de Richard Long dialoguent joliment avec la belle Caresse de Giacometti. Le thème de la caverne est plus décevant : on y trouve essentiellement des relevés de peintures rupestres, notamment celles d’Altamira, les premières qui ont été découvertes, en 1879. C’est là qu’en 1948 se forme l’École d’Altamira, qui s’inspire ouvertement de l’art préhistorique : voir les belles sculptures d’Angel Ferrant. Si l’on mesure ainsi l’ampleur de l’influence de l’art préhistorique sur les avant-gardes, j’ai eu l’impression que l’alibi préhistorique était au final le plus petit dénominateur commun entre des artistes aux démarches et aux univers très disparates. En se limitant trop souvent à une comparaison formelle entre œuvres préhistoriques et modernes, l’exposition englobe tous ces artistes dans une volonté un peu naïve de « retour aux sources », qui permettrait de revivifier un art « en décadence depuis l’âge des cavernes », comme l’affirme Miró...
Il est également un peu troublant de mêler la préhistoire « humaine » et les dinosaures (qu’il s’agisse du dessin animé de Winsor McCay, Gertie le dinosaure (1914), ou des dinosaures enfantins et dérisoires de Jack et Dinos Chapman). Cela brouille les pistes, alors que par ailleurs l’exposition tient à scinder clairement l’ère paléolithique (celle des silex, des peintures rupestres et des Vénus) et le néolithique, où s’invente une expression artistique abstraite et monumentale. Les mégalithes inspirent ainsi autant Caspar David Friedrich (Hünengrab im Herbst, vers 1820), séduit par leur sublime impassible et énigmatique, que le Land art de Richard Long (Snake Circle, 1991) ou de Robert Morris, dont est exposé ici un modèle de son œuvre de 71 mètres de diamètre, Observatory. Cette architecture circulaire renvoie aux structures néolithiques, qui, selon Morris, trouvent leur « apogée dans la technique de la production industrielle ».
Dès lors, ces dernières salles interrogent davantage les enjeux anthropologiques de la préhistoire, au-delà de la simple inspiration formelle (même si c’est le cas du Cube de Giacometti, de l’étonnant Relief blanc de Delaunay, du séduisant et pop Stone Circle de Nicholas Monro ou encore des superbes photos de Dove Allouche). La dernière section pose ainsi la question de la préhistoire sous l’éclairage contemporain de l’anthropocène, la crainte de la disparition de l’humanité trouvant écho dans les témoins de la civilisation préhistorique, dont le sens est perdu et l’origine énigmatique. C’est ainsi que Pierre Huyghe met en scène un singe déambulant dans les ruines d’un monde post-apocalyptique (mais je n’en dirai pas plus, je ne l’ai pas vu...).
Au final, malgré de belles découvertes, j’ai eu l’impression que l’exposition, pléthorique, avait tendance à se perdre et le propos à se disséminer. Qui trop embrasse mal étreint... Curieusement, on a l’impression à la fois que, à cause d’un effet déformant, tous les grands noms de la modernité avaient pleinement conscience de l’art préhistorique (c’était visiblement le cas pour Giacometti, qui en était un grand amateur), et que cette influence est en fait assez limitée et rarement problématisée par les artistes. La faute au fil parfois très ténu qui relie certaines œuvres au thème de l’exposition : on se demande un peu ce que viennent faire ici L’Eléphant de Gilles Aillaud ou la sculpture Hearth de Carl Andre. Même si cela permet parfois de faire de belles découvertes, comme la Mélancolie du départ (1916) de Giorgio de Chirico ou le film hypnotique de Marguerite Duras, Les Mains négatives (1979).
La dernière œuvre de l’exposition est en tout cas très belle, et condense admirablement toutes les questions soulevées pendant la visite : les cinq Struttura del tempo (1991-1992) de Giuseppe Penone évoquent à la fois la matérialité du temps, l’épaisseur stratigraphique, et des silhouettes de dinosaures, tout en recourant à des matériaux naturels (bois et terre cuite). Disposées avec art, seules dans une salle plongée dans la pénombre, elles rappellent l’émotion suscitée par le face-à-face soudain, dans une caverne, avec « l’énigme » de l’art préhistorique.
0 notes
Text
“Versailles — Visible / Invisible” at Château de Versailles
“Versailles — Visible / Invisible” at Château de Versailles
The 12th edition of contemporary photography exhibition “Versailles — Visible / Invisible” is underway at Chateau de Versailles. The exhibition will be on view through October 20, 2019.“Versailles — Visible / Invisible” showcases works by five international photographers — Dove Allouche, Nan Goldin, Martin Parr, Eric Poitevin and Viviane Sassen. The photographs have created a series of special…
View On WordPress
1 note
·
View note
Text
La Bibliothèque, salle Labrouste
La Bibliothèque, salle Labrouste
L’INHA , Institut National d’Histoire de l’Art INHA, ,Bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art – 58 rue de Richelieu -75002 Paris C’était un lundi au soleil, j’avais rendez-vous à la Bibliothèque de l’INHA, l’Institut national d’histoire de l’art, dirigée par Eric de Chassey. L’entrée se fait par la rue de Richelieu dans cette mythique salle Labrouste qui conserve peut-être la…
View On WordPress
0 notes
Photo
Dove Allouche “Mélanophila I” (9), 2004 Print on charcoal Fresson 110 x 180 cm Single edition
32 notes
·
View notes