#bastien cosson
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Ca y est ! Je reviens de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s ! Première étape, Isabelle en Gironde, vers Libourne...
Ici Libourne.
Dans la chapelle du Carmel, une mini-expo...
Charles-Emile François d'après François-Xavier Winterhalter : Portraits de l'Empereur Napoléon III et de l'Impératrice Eugénie
Dove Allouche : "Pétrographie 9"
Bastien Cosson : "Seules les anguilles savent se peindre"
#libourne#aquitaine#gironde#chapelle#chapelle du carmel#charles-émile françois#winterhalter#françois-xavier winterhalter#napoléon III#eugénie de montijo#impératrice eugénie#second empire#dove allouche#bastien cosson#art contemporain
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Bastien Cosson, untitled, 2023, fabric and stencils on printed canvas, 38 x 55 cm, exhibition view, Café des Glaces, Tonnerre
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Critical Annotation- what's new and what's old English ver.
Born in the 21st century, my artistic journey naturally commenced with the new technology, where creativity extends far beyond traditional paintings into an array of art forms. I'm aware that contemporary art often involves applying past language patterns in the present. As you can see in this dossier, my artistic exploration began with contemporary art, then ventured back into traditional painting styles, and subsequently circled back to examine how traditional painting evolves in the context of contemporary society.
This semester, I chose painting as a central theme for my conceptual exploration. I've never received formal training in painting, but my confidence in this experimentation derives from my understanding of contemporary art. Contemporary art, I believe, is a conceptual form of existence, a novel philosophical approach to reflecting on existence. Its creation hinges on its specific context, with aesthetics playing a secondary role compared to contextualization and cultural background.
However, as I embarked on my painting experiment, I encountered a growing sense of doubt. Despite my best efforts, my output seemed akin to the kind of drawing exercises children undertake. It became a challenge to infuse these seemingly childlike and haphazard drawings with deeper meanings. I decided to zero in on a subject I wanted to explore—how personal emotions are conveyed throughout the history of art and painting. This naturally led me to delve into Expressionism, a logical starting point for my exploration. Nearly all the artists I examined before delving into Expressionism didn't utilize painting as their subject matter; instead, they emphasized the concept as the linchpin of their work.
Throughout this process, I focused on how artists have blended new symbolic languages with painting and how this collision between the new and the traditional has sparked a renaissance. Bastien Cosson's canvas collages featuring readily available objects break free from conventional canvas constraints. Similarly, William Kentridge's coverage in his painting provide an intuitive glimpse into this collision process. With the passage of time and technological advancements, I'm intrigued by the rebirth of these traditional modes of artistic creation in the context of our evolving society, which continually inspires my work.
One of the most significant realizations I've gained from composing this dossier is a new perspective on traditional painting. When paint becomes more accessible, AI can craft flawless paintings, and photography emerges as a means to restore the authenticity of objects, what compels us to pick up a brush? This question has been my guiding pursuit.
The answer I've uncovered thus far is that painting establishes a profound connection between the viewer and the artist. It subconsciously encourages viewers to delve deeper into the artwork's meaning. Through painting, artists incorporate more subjective content. Unlike the video art I'm familiar with, painting allows for a more controlled emphasis on one's ideas, providing a potent platform for subjective expression, particularly within the realm of contemporary art. This expression is intensified by the journey that modern art has taken, from the Zurich Dada of the 1920s to the French Dada of Duchamp and others, the German Neo-Dada of Beuys post-World War II, and the American Neo-Dada of John Cage, as well as the French Neo-avant-garde as a situational internationalism.
While it introduced philosophical, literary, and cultural theories into the content's structure, it shaped it into its present form of expression. Even artists like Pierre Bonnard, despite his classification as Post-Impressionist, prompt us to explore how he adapted to a new era in an entirely fresh curatorial environment.
In the course of redefining tradition, I've developed my unique artistic language and regained my self-assuredness. I've shifted my focus from the innovation of new media art or the avant-garde to the process of reinterpreting concepts within a contemporary context. However, new media art, as my initial foray into the art world, remains an indispensable part of my journey. So, I circled back at the end of this dossier to explore new media art, completing a closed loop. Overall, the process of crafting this dossier has reshaped my perspective on contemporary art and invigorated my understanding of traditional painting.
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"Destination" at Les Bains-Douches
#Alençon#Bastien Cosson#Benoît Maire#Exhibitions#France#Grichka Commaret#Group Show#Institution#Les Bains-Douches#Ludovic Beillard#Mathilde Ganancia
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PARIS PEINTURE - jusqu’au 19 août 2018
Avec les oeuvres de : #Anne Laure Sacriste, #Bastien Cosson, #Benoît Maire, #Benjamin Swaim, #Corentin Canesson, #Camila Oliveira Fairclough, #Clément Rodzielski, #Emmanuel van der Meulen, #Julien Monnerie, #Karina Bisch, #Matthieu Cossé, #Nicolas Chardon, #Quentin Lefranc, #We Are The Painters
et la collaboration de : #Paul Nicoué
Commissaires : #CONNOISSEURS
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UNE MASSE VIVANTE
Didier Arnaudet / Présence Panchounette, Tombeau pour Hérault de Séchelles, 1982, Collection Frac des Pays de la Loire · © Présence Panchounette · Photo : Marc Domage.
Après le Centre international d’art et du paysage à Vassivière, le Frac Aquitaine poursuit cette exploration des rapports entre les humains et les milieux aquatiques, à travers une sélection d’oeuvres contemporaines dans lesquelles cette thématique joue un rôle déterminant.
Dans Le Chant du monde, Jean Giono façonne le corps de son héros à partir de la matière même de l’environnement dans lequel il évolue. Antonio est l’homme du fleuve. Dans l’habitude de l’eau, ses épaules sont devenues comme des épaules de poissons : « grasses et rondes, sans bosses ni creux ». Cette fluidité donne à sa nage toute son efficacité. Il sait tout du fleuve, des « régions glacées, dures comme du granit » et des « molles ondulations plus tièdes » qui tourbillonnent « sournoisement dans la profondeur ». Cette connaissance en fait aussi un excellent pêcheur.
Antonio pourrait être le guide idéal de cette exposition pensée par Claire Jacquet. Il saurait nous parler de l’eau sous toutes ses formes : vive, coléreuse, stagnante, épandue, mais aussi enflée, miroitante, rompue. Il suffirait de l’écouter pour distinguer les eaux courantes et dormantes des rivières et des étangs, les eaux venues des nuages, des brumes et des nuées, les eaux des océans qui portent vers l’inconnu et le lointain, et les eaux intérieures, secrètes des corps. Il ajouterait que l’eau est un élément bipolaire qui signifie la naissance et la mort. Il se souviendrait aussi d’une phrase de Roland Barthes dans son Michelet : « Entendez que l’eau est l’archétype de toutes les liaisons, et qu’ici l’homogène fuse, il produit la vie : l’eau engendre la peau, c’est au fond la même nappe. »
Il reconnaîtrait d’emblée la puissance corporelle sculptée par la musique de l’eau des pêcheurs de Pierre et Gilles, mais serait intrigué par l’étrange déploiement de ceux de Gérard Garouste. Il porterait un intérêt tout particulier à la préciosité des larves de trichoptères élevées par Hubert Duprat, la luminescence du Poisson des abysses d’Yves Chaudouët et l’aspect rugueux, préhistorique de l’holothurie de Mathieu Mercier. Il soulignerait l’exercice actif de la peinture dans les oeuvres de Jessica Warboys, livrées à la mer, séchées au vent et au soleil, et celles de Bastien Cosson où des anguilles sont utilisées comme des pinceaux. Il apprécierait l’énergie envahissante, fortifiante de la canne à pêche ferrant un lustre à pampilles de Présence Panchounette, la Turlutte japonaise de Vincent Carlier pour attraper des calamars géants, et les natures mortes du collectif We Are the Painters.
Il introduirait graduellement à la problématique des barques de Julie Chaffort et Laurent Kropf. Il relèverait l’équilibre de rigueur et d’élasticité, de sensibilité et de connaissance dans les photographies de Maitetxu Etcheverria, Nicolas Floc’h et Jean-Luc Chapin, les dessins d’Anne Colomes, et les images de Bruno et Thierry Lahontâa.
La visite finie, Antonio rejoindrait son fleuve. Il plongerait. De « longues lianes d’eau ligneuses » s’enrouleraient autour de son ventre. Il se sentirait porté « par une masse vivante ». Il passerait « à côté d’une truite verte et rouge », « nageoires repliées comme un oiseau ». Le courant serait « partout dur et serré ».
« Des mondes aquatiques 2 », jusqu’au dimanche 5 novembre, Frac Aquitaine www.frac-aquitaine.net
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JE SUIS TRÈS HEUREUX DE VOUS PRÉSENTER LE CLIP DJADENSSON x CHELERO Après STAY WITH ME, voici CRASHING DOWN ! Voici le lien pour l’écouter sur toutes les plateformes avec des remixes de qualités by Laurent Hoarau, Adrien Cosson, Bastien Pariss ! https://magixrecords.fanlink.to/Djadensson #DJADENSSON #CHELERO #MAOCOS #MAGIXRECORDS #USA #LA #HOLLYWOOD (à Los Angeles, California) https://www.instagram.com/p/By9Xn2lCLli/?igshid=vowb85uhz7gs
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Artists: Ludovic Beillard, Grichka Commaret, Bastien Cosson, Mathilde Ganancia, Benoît Maire
Venue: Les Bains-Douches, Alençon
Exhibition Title: Destination
Curated By: Palette Terre
Date: March 16 – April 28, 2019
Click here to view slideshow
Full gallery of images, press release, and link available after the jump.
Images:
Images courtesy of Les Bains-Douches, Alençon. Photos by Sophie Vinet.
Press Release:
The baby island headland (Finis Terre)
4.48 am – My baby weight is dragging me down through the bed – I need to go to a fat farm.
Baby, who is also on the heavier side, kicks me in the head and turns on her axis to squirm away from the moon, only two days waning and tugging on our mattress into outer space. What kind of a neo-pagan has recurring dreams of EasyJet flights nosediving?
Is my career trajectory getting to me? At night I’m either in airports, free-falling planes, or hostile, metropolitan private views. Eternal return gathers me up and deposits me at an airport terminal in a dense pine forest somewhere in forgotten Europe.
In the waking life, I live in a bleak treeless landscape, on top of a cliff by the Celtic sea – Land’s End. It is famously beautiful in its barrenness. I was depressed when I moved here, but now I’m happy, if not content. With motherhood I have forfeited the right to a violent plan B – I won’t be jumping off the cliff after all. But nevertheless, according to artfacts.net I did indeed jump off a cliff in early 2015 when I moved to this place. The trajectory shows a clear nosedive.
Actually I thought that was quite a good year, it was 2016 that was so awful – but then 2016 was a bad year for everyone (except, naturally, the Brexiteers and the national fervor for ostrich politik). There were many intrusive thoughts at this time – sexual, suicidal – all rifting on a tide of inconsolable rage. I couldn’t settle so my paintings were rash and impetuous and manic. I think now that this is what painting is to me – a reckoning with one’s intrusive thoughts: Act / Erase / Thrash it out – start angry and sexy and violent and through a process of redactions make yourself invisible.
I don’t think of my baby when I paint, I think of Matrixial space. She shifts around in her vortex and slams me in the face with both feet. Since I stopped breastfeeding my hormones are back and the gushes of love are real – I love her.
I feel like I don’t even know how to feel about contemporary painting – I’m so confused since London has embraced 80s inflected figuration. I love the 80s as much as anyone but the market can make me feel so fat. Such cruelty! Big Eros with Nigel Farage levels of damage – Libido Unleashed.
Brexit is tremendously naff. Libraries are closing and we speak in neologisms with the institutional cadence of biological science lecturers rushing archly through the human reproductive organs to millennial students… I’m a neo- pagan paraconceptual painter, ok?
We have Choices. So arch so cynical.
The show in Paris was all windows. We could see rooftops and into other privacies. We made connections high up and full of Parisian light. I showed my first postpartum works – I was trying to find out how I felt and all that had emerged were images of knights and the Norman invasion. Brexit means what ?
Our trio brought even more South West into a Parisian apartment already imbued with it. We were so happy there, the baby rolled on the floor and I held her tight and slippery in the sunken bath. We loved our South Westerly hosts immediately. We ate food that tasted of manure and drank bittersweet farmyard schnapps. We were warmed through and the paintings became carapaces for real problems happening in real time. On October 14th we thought of King Harold and his eye and of conquerors and the conquered – this world, the one we live in – is after all made up of winners and losers.
But, there was solidarity and hope in this apartment with the windows. We had deeply felt conversations that revealed nuanced and impassioned opinions – our earnestness revealed. We drank the pokey syrup. Human warmth and intelligence mingled the heat of the still strong October sun through the panes of glass. Window panes and things of pain.
The paintings became absorbent and tender, they held the baby’s giggles and her love, and the seagull’s squawks from the Celtic sea in their thick substance of oil and pigment. The pain of the birth canal and the painful invasion of power relations and the grounds on how to fight for love and hope became manageable in this protected and generous atmosphere. Paintings bind sensations to matter, and here there was love and solidarity in the grooves.
Lucy Stein
Link: “Destination” at Les Bains-Douches
Contemporary Art Daily is produced by Contemporary Art Group, a not-for-profit organization. We rely on our audience to help fund the publication of exhibitions that show up in this RSS feed. Please consider supporting us by making a donation today.
from Contemporary Art Daily http://bit.ly/2X7Fy2n
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TASTY BREAKFAST
M : So I’m going to take a pizza man. The breakfast wasn’t enough!
L : Lets try with more eggs I'm hungry they look shiny man
M : Super hungry today
L : Didn't you eat a huge amount of fruits like usually do after the scrambled eggs ? How can you say that this breakfast is not enough, it's THE Biggest no ?
M : Well I don’t know! I got use to it I need more like a Godzilla. ´Cause I am one, Lol
L : You will puke it out come on. Respect the chef, please! He was preparing all in the early morning cookin' specially for you Mr. Godzilla. Try waffle, try sausages, try eggs sausages, and pomme de terre. POTATOES. You hangover right ?
M : Honestly yes. I never had the waffle here . Gonna try it tomorrow. You?
L : Those waffle remind me huge brunch in Montreal, cholesterol brunch! But here we have it for free! Free cholesterol for everybody! I like waffle, i think i need more juice with it. It’s like you can have never enough of juice.
M : I agree man
L : so you are between eggs fruits and pizza ... doesn't make sense … Man can you draw me big pizza for the show ? please huge ones it would be AMAZING!!And we will show your pizza to the chef. INSPIRATION.
M : Lol
L : for the future of breakfast. TASTY BREAKFAST!
M : Dunno
L : Dummy
M : I’m over this topic in art
L : HUGE PIZZA!
M : Only if you do a big sculpture!
L : I'm doing a big one, a huge basket of fruits.
M : cool !
L : Bonjour Chef, huge pizza, Ninja Turtles, lot of fruits and many guests.
M: Fuck me pal
Tasty Breakfast,a breakfast with :
Angélique Aubrit
Anastasia Bay
Ludovic Beillard
Bastien Cosson
Amaury Daurel
Cyril Debon
Tatiana Defraine
Hugo Dinër
Jean-Gwenole Fleuriot
Régis Jocteur Monrozier
Tom Król
Martin Lukáč
Sara Magnetti
Stephanie Quirola
Charlotte Vanderborght
Tom Volkaert
A project by Ludovic Beillard and Martin Lukáč, currently in residence at the Penthouse Art Residency (NH Brussels Bloom x Harlan Levey Projects).
OPENING on Sunday May 27, 10am/10pm
EXHIBITION visible between 27-30/05, 2pm/6pm and by appointment
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Critical Annotation-what's new and what's old Chinese ver.
出生于21世纪,我对于艺术的接触注定是伴随着电子科技开始的,人们的创作不再局限于传统绘画,艺术的模式也层出不穷。当然我深知现实的艺术状况是在当下使用以往不同时代的语言模式。所以你可以从这份dossier中看到我是如何从当代艺术出发,探寻回传统绘画风格,再转变到探讨传统绘画是如何在当代社会语境下发展的。
这学期,我将绘画作为了我的概念展现题材之一。我从未有过任何系统化的绘画训练,我对于这一种尝试的自信也源于我对于当代艺术的理解,即:当代艺术作为一种观念���存在的艺术形态,是一种之于存在的新哲学思维与思考方式,其生产取决于它特定的语境,与美学上的关系已经次于与语境以及文化背景的绑定。
但随着尝试绘画的开始,我逐渐失去了信心。因为无论怎么努力,我的产出好像都是小孩子所正在进行的绘画训练。而如何将这些幼稚且看似随意的绘画覆盖上更深层次的含义成为了我的一大挑战。于是我开始从我想要关注的内容开始,即个人情感是如何在绘画艺术史上被表达的。这自然而然的将我引向了对表现主义的探索,并且表现主义也自然的成为了我的起点。在这过程中,我着重关注了一些艺术家将全新的符号语言与绘画的融合模式,并且通过这种新型和传统的碰撞,什么是被重新创作的。比如说像Bastien Cosson运用随手可见的物品在画布上创造拼贴打破了画布的局限,亦或者是William Kentridge通过抹去更加直观的将一种碰撞过程展现。随着时代的发展与科技的变化,这些传统的艺术创作模式在新兴社会语境下的再诞生让我着迷,也为我的创作提供了数不清的灵感与方向。
在写这个dossier过程中我认为最大的收获是对于传统绘画的一种重新思考。当颜料不再是人们承担不起的物品,当AI已经可以创造出完美的画作,当摄影代替画作作为还原事物真实性的方式,是什么让我们拿起画笔呢,这是我一直想要追寻的答案。
目前看来,我得到的答案是绘画是一种更加能够深刻建立观众与艺术家之间联系的形式。他会引领着你不自觉的去挖掘作品深处的含义。通过绘画这个过程,更多主观的内容被融合进来,与我所熟悉的影像艺术不同,你可以随意控制你想要强调的内容并且融入你的想法。这是一种很强烈的主观表达。而在当代艺术语境下的绘画的表现必定是更加强烈的。因为它所经历过的是从 20 年代的苏黎世达达、杜尚等人的法国达达,二战后博伊斯的德国新达达到约翰·凯奇的美国新达达直至作为情景国际主义的法国新先锋派,导入了内容结构上的哲学和文学、文化理论的方法论,成型为现在的表现形式的。包括Pierre Bonnard,即使他的画作被定��为后印象派,但我们仍可以在全新的策展环境中去探寻他是如何与新时代融合的。
在这样的一次次探索传统被重新定义(包括Gavin Delahunty的essay也是对于思考和创造的重新定义)的过程中,我也形成了我个人的绘画语言,渐渐也找回自信。我不再执着于只关注于新媒体艺术或者是先锋派的有一次创新,而是更加注重了概念在全新语境下再造的一个过程。当然新媒体艺术作为我初次接触艺术的媒介也成为我必不可漏的一个对象。总之在写这个dossier的过程中重新塑造了我对于当代艺术的思考也进一步的刷新了我对于传统绘画艺术的认知。
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Bastien Cosson, untitled, 2023, fabric and stencils on printed canvas, 38 x 55 cm, exhibition view, Café des Glaces, Tonnerre
Painting, for me, is more than just a way to reproduce what we see. It's a deep philosophical practice that helps us question and redefine our perception of reality. My exploration of painting began when I stumbled upon Bastien Cosson's work. I was new to painting and uncertain about where to start. Cosson's approach was like a guiding light. He taught me to find meaning in everyday objects and create art that brings personal satisfaction.
Cosson's idea of creating a mental space to expand his creativity really spoke to me. He studied in the studio of Sylvie Fanchon at the Académie des Beaux-Arts in Paris. This led me to the book of Sylvie Fanchon: Le Village de Laconie. Fanchon believes that painting isn't just about copying what's visible; it's a way to question and reshape our understanding of reality. It's a canvas for emotions, thoughts, and perspectives that words can't express. This idea resonated with me, as I've always aimed to convey feelings more than specific content.
My creative journey is a path to self-healing. Through painting, I aim to express gentleness, serenity, softness, and warmth. These qualities represent the kind of person I want to be and have become the essence of my creation.
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Bastien Cosson, untitled (flowers), 2023, sequins, fabric, stapler and glycero on printed canvas, 80 x 120 cm
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PARIS PEINTURE
Avec les oeuvres de : #Anne Laure Sacriste, #Bastien Cosson, #Benoît Maire, #Benjamin Swaim, #Corentin Canesson, #Camila Oliveira Fairclough, #Clément Rodzielski, #Emmanuel van der Meulen, #Julien Monnerie, #Karina Bisch, #Matthieu Cossé, #Nicolas Chardon, #Quentin Lefranc, #We Are The Painters
et la collaboration de : #Paul Nicoué
Commissaires : #CONNOISSEURS
vernissage dimanche 10 juin 2018 à 14h
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Cette vie ensemble. Absolument aléatoire et autour.
Exposition du 8/09 au 14/10/2017
Arondit accueille le projet d’hlm éditions. Une invitation de Romain Semeteys.
‘Cette vie ensemble. Absolument aléatoire et autour.’ se construit à partir de conversations. L’exposition acte un état des lieux de deux printemps et un été.
L’état d’urgence déclaré, nous n’étions ni morts, ni prêts à tuer, ni réfugiés, ni naufragés. À ce moment-là, organiser des faces à face avec notre entourage pour parler de notre usage de vie nous apparaissait radical et sain. Ce que nous avons proposé était d’héberger et donner un décor à des conversations, l’artifice nécessaire pour se mettre en situation. Personne ne demandait les raisons de ces méandres de quorums durant de deux à six heures. Certains demandaient ce qu’on ferait de ces enregistrements, qu’est-ce qu’on fait de ces questions? Certains anticipaient leur gêne d’être ré-entendus. Ce projet nous a motivés assez pour lui donner place dans notre vie, et dans notre atelier, parce qu’il nous semblait nécessaire. En le faisant, il semblait riche. Une fois fait, il semble simplement fait.
Au printemps 2016, puis une seconde fois au printemps 2017, l’atelier a été transformé, reconverti pour être dédié à cette nouvelle activité. Nous avons invité, lors d’une douzaine de sessions enregistrées, deux à trois personnes à discuter avec nous, sans nul impératif préalable que d’engager sa présence et partager ses pensées, suivant le cours des singularités et pluriels autour de la table. Le matériau avec lequel nous avons choisi de travailler était alors issu d’une pluralité de voix et de parcours. Nous avons tout réécouté, dépecé, trié et reconstitué. Chacun d’entre nous a entrepris une portion du travail de montage de ces chaînes de saucisses, dans ce que deviendraient les différentes bandes sonores.
Pour l’exposition présentée à Arondit en septembre, le matériau sonore a été principalement transformé en une émission de 5h40 et articulée en six épisodes, diffusée dans la cafétéria du sous-sol par un distributeur de boissons chaudes.
L’exposition dans son ensemble est animée par six bandes sonores de qualités et durées drastiquement hétéroclites, fonctionnant toutes en boucles indépendantes, chacune dans son espace, ne se rencontrant jamais au même point.
Une vitrine-officine, une galerie, une valve-ventilateur, un sas, une cafétéria, bfm TV, une salle de chuchotements, une chapelle. Surfaces, objets, mobilier et machines. Pendant le mois de résidence dans le lieu en août, nous avons invité cinq artistes peintres à créer avec nous les décors de ces sono-riums. Ces interventions viennent conditionner des comportements dans les divers espaces, interférant sur la réception et compréhension du contenu audio.
Ce qui se joue dans ce lieu, l’exposition, est un état acté de cet exercice d’écoute et d’écarts, de négociations plastiques, entre inter-dépendances et in-distinctions.
Intervenants invités:
Interventions plastiques Jakub Czyszczoń Eamon Ore-Giron Zoé de Soumagnat Maxime Baron Antoine Jin Barberon Conversations Alba Thérond Zoé de Soumagnat Alice Van Biesbroeck Clémentine Adou Sabine Tarry Irma Name (Hélèné Deléan, Clément Caignart) Bruno Teoccoli (Ikonotekst groupe) Damien Gouviez Ignacio Vega Abel Blimbaum Martin Soto Climent Gabriel Soto Climent Francisco Vega Manuel A. Vega Simon Thiébaut Nelson Beer Mélanie Matranga Justine Ponthieux Colin Benderitter Quentin Caille Joseph Tang Bastien Cosson
https://www.facebook.com/events/977444919063726/
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