#donc on peut pas dire qu’ils s’en sortent bien
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Quand t’es jaloux du résultat des élections au Royaume-Uni, c’est que vraiment y’a un problème
#France#UK#upthebaguette#the French side of tumblr#j’imagine que eux leur crise extrême droite elle est passée#bon elle a commencé par la sortie de l’UE#et la population a énormément souffert#donc on peut pas dire qu’ils s’en sortent bien#j’espère qu’on n’en arrivera pas là…#(bon en fait l’extrême droite fait une percée au Royaume-Uni avec une dizaine de députés…#espérons qu’ils ne progressent pas comme ils ont progressé en France)
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Quel est cet auteur qui désignait les attentistes comme pires que même que les ennemis? Quand on marche dans la rue on ne croise presque plus que ces gens du “ventre mou” qui vous écœurent rien qu’à les voir, les “ni-ni”, voûtés, masqués, moulés, brunis, un peu trop gros, un peu trop lents. Ce sont les gens de l’inertie, les inertes, ils sont probablement les plus dangereux car eux quoi qu’il puisse arriver s’en foutent, ils seront toujours du côté du plus fort, du plus méchant, du côté du pouvoir. Le cheval qu’ils ont joué gagnant c’est le néant. Si rien ne se passe même encore pendant 50 ans ça leur ira, ils feront tout, se soumettront à tout. Le masque, puis le vaccin, puis le RSA mondial, 20 mille lieues sous les n*, tout. Moi je n’ai aucun point d’accord avec des gens comme ça. Il y a ici une fenêtre, et à travers cette fenêtre on aperçoit à quelques centaines de mètres, un bâtiment d’habitation, et sur le toit de ce bâtiment une abominable antenne 5G toute hérissée de piquants et d’émetteurs. Eh bien les gens qui habitent cet immeuble et qui n’ont toujours pas forcé la porte du toit pour désactiver l’antenne sont des SALOPES, et je pense que la racaille malgré tous ses défauts, est la seule catégorie de population qui aurait procédé au disquage réglementaire de l’objet intrus.
La petite instruction que l’on reçoit, la petite culture livresque, le petit bagage, ne nous sont rien s’ils nous inhibent dans la vie pratique, s’ils deviennent un doigt pointé contre nos élans vitaux pour enjoindre à “prendre du recul”. Nous voulons n’avoir aucun recul, ne jamais rien savoir du haut privilège des “observateurs détachés” et autres “analystes de situation”, mais prendre parti pour les Blancs opprimés, pour les Français, pour les vrais bonhommes, pour la Beauté, pour la belle culture, la belle race, la Vraie Foi, car cette subjectivité est une objectivité mais cela suppose pour le démontrer de fastidieux développements de philosophie spéculative déjà accomplis cent fois et trouvables par mots-clés. Un menuisier m’est supérieur parce qu’il fabrique quelque chose de vraiment utile. Je trouve très élevé par exemple, ce Balzac tout juste reposé sur la table et intitulé Le curé de Tours, très élevé, ça sans discussion: quand on multiplie par Weininger cette haine de Gamard envers Birotteau, le sentiment indu de culpabilité de ce dernier et les retournements d’alliances de la noblesse locale, la lecture allégorique de cette lutte ouvre toutes sortes de portes, illustre toutes sortes d’enjeux, bref tout cela est très élevé c’est une chose acquise. Mais comprendre bien à fond Le curé de Tours est peu de choses à côté de ceci: détruire ce qui nous détruit. Un radar qui brûle, une antenne qui tombe, et alors? C’est une chose très belle que les instruments de torture soient tordus, rendus inutilisables, c’est une chose sublime que les salopards qui participent à l’oppression se fassent buter putain, enfin. Quand j’étais adolescent j’ai fait, et je le regrette, du graffiti avec des potes. On ne savait pas très bien pourquoi mais l’école “vandale” nous fascinait. Tout cela était employé mal à propos, nous n’avons jamais eu l’idée par exemple, de peindre sur le temple des franc-maçons, ou de fabriquer des autocollants “Fuck Skyrock”. De la même manière je reproche aux chasseurs d’abattre les beaux animaux et de laisser proliférer les vrais nuisibles: les perruches, les corbeaux, les singes. Qui se souvient de #onferme? Comme c’était bien ça! C’est un grand événement dans l’histoire lorsque la merde se retrouve emmerdée, comme au dernier acte du Marchand de Venise. C’est à cela que travaillent quelques personnes ici et là mais qu’est-ce à dire? “Puisque d’autres prennent pour nous les risques, dormons donc sur nos deux oreilles en attendant le grand jour”? C’est la voix de l’inertie qui parle ce langage et elle est ennemie des muses. Il faut souffrir pour ceux qui souffrent, couvrir ceux qui sortent de la tranchée, payer pour ceux qui ne peuvent pas payer, rabaisser son ego, envoyer des courriers manuscrits. C’est valable pour moi le premier. Il y a un gars qui s’appelle Hervé Ryssen qui est mis en prison pour deux choses: avoir écrit, avoir parlé. Ce gars c’est la conscience française moyenne qui s’est élevée au-dessus d’elle-même pour chercher les causes et cela lui a valu la prison. Ce que l’on veut nous faire comprendre par là c’est “toi sale petit français blanc esclave, reste un bon esclave, travaille et paye pour nous qui t’envoyons des envahisseurs sur la gueule, ou bien voici ce qui t’attend”. Chaque jour nous nous levons en nous demandant ce que l’on peut faire pour Hervé Ryssen parce que Ryssen c’est toi, c’est moi, c’est tout le monde. “Je suis Ryssen”. Ton prochain comme toi-même.
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Le Dictateur, de Charlie Chaplin (1941) : La voix du pouvoir
Une voix peut s’immiscer dans notre quotidien, le transformer. Quelques temps plus tôt, une voix nous annonçait un nouveau confinement – sur nos télévisions, nos téléphones, nos radios. La voix du pouvoir. Le pouvoir de la voix. Telle semblait être l’équation qui se présentait à nos oreilles.
Non sans une lassitude emmagasinée, je me mis en quête de films pour pallier l’absence de salles de cinéma, à l’absence tout court. C’est presque naturellement, dans un contexte marqué par l’exaspération et un puissant sentiment d’absurdité (donc d’impuissance), que je me tournais vers des films burlesques. Chaplin et Keaton comme compagnons de fortune.
Je dois bien le confesser, je n’avais pas revu Le Dictateur depuis ma prime jeunesse. Je n’avais en mémoire que des images d’Épinal. J’écris ce texte en étant bien conscient, vu l’œuvre iconique à laquelle je m’attaque, que je n’en dirai rien de franchement neuf. Mais ce qui a retenu mon attention, ça a été cette façon dont Chaplin, pour son premier film parlant, avait été sensible à l’intrusion de la voix du pouvoir dans l’intimité du quotidien, à la façon dont cette voix se caractérisait par une mise en scène et une performativité. Un étrange écho m’apparaissait ; mais il restait ce qu’il était : un écho, rien de plus. Je ne tomberai pas dans l’écueil douteux d’en tirer quelques conclusions d’ordres politique, historique ou moral.
C’était il y a 80 ans. En 1940, Le Dictateur sortait en salles. La guerre faisait rage en Europe. Chaplin, grand observateur de son temps, avait vu les nationalismes éclipser les démocraties durant la dernière décennie. Lui, dont la lutte des classes, l’aliénation de l’homme par l’homme, ont toujours été au cœur de son œuvre, s’attaque ici explicitement à la question du pouvoir, de son emprise, de son atteinte. Caricaturer le politique est toujours un exercice acrobatique ; entre le too much, le complètement à côté de la plaque, ou la critique timorée, c’est toujours le risque de se caricaturer soi-même qui pointe son nez.
Déjà, dans Les Lumières de la ville (1931), il s’en raillait, tout en l’exploitant de manière subtile. En composant une musique spécialement pour le film, Chaplin s’était assuré la maîtrise du son, usant de celui-ci pour produire du sens. Le film s’ouvre sur l’inauguration par la mairie d’un monument, sobrement nommé « La Paix et la Prospérité » - trois statues façon néoclassique, naïves, grossières. Les discours se succèdent, dans la fierté et la solennité. Mais ces personnalités – qu’on imagine prestigieuses – n’émettent qu’un sifflement nasillard et pincé. Ainsi « La Paix et la Prospérité » s’évanouissent dans un flot continu, incompréhensible et décalé, qui révèle ce qu’est réellement ce discours – du vent. La supercherie et l’hypocrisie du moment n’en sont que plus flagrantes.
Ceci dit, le film restait « muet ». Pas de dialogues enregistrés. Chaplin avait jusqu’alors refusé de se plier à la dernière innovation technologique – le cinéma dit « parlant », apparu en 1927. Or, l’hitlérisme s’est propagé par un travail de la langue (ainsi, comme le notait le philologue Viktor Klemperer, les nazis modifiaient le sens de certains mots pour diffuser leur idéologie) et par une conquête de l’espace par le son (les discours d’Hitler étaient radiodiffusés dans les rues de Berlin). Chaplin y était sensible, bien sûr, et cela peut expliquer sa décision d’opter pour un film « parlant ». Il avait écouté avec attention ces discours. Entendre la voix du pouvoir signifie alors deux choses : écouter sa qualité (tout ce qui la compose – timbre, rythme, accentuation, emphase) et par-là même comprendre la nature de ce pouvoir totalitaire – tout en l’escamotant sur le mode comique.
Ainsi, une voix-off, aux allures de commentaire radiophonique, précise : « Sous la Double Croix, la liberté était bannie, la liberté d’expression supprimée, et on n’entendait plus que la voix d’Hynkel. » voix d’Hynkel. » Le contexte posé, le discours du dictateur débute. Chaplin prend bien le soin de l’introduire dès les premières minutes du film, afin de créer un effet de miroir inversé avec le discours, cette fois du « barbier juif » qui achève le film, où la paix entre les peuples et les nations, l’amour de la raison, de l’humilité, de la tolérance, sont autant de valeurs proclamées. Cet effet de miroir inversé est d’autant plus frappant puisque Chaplin incarne les deux rôles antagonistes : le « barbier juif » et le dictateur nationaliste. Suggère-t-il une opposition fondamentale ou un glissement de l’un à l’autre ? Les misères de l’un et l’apogée de l’autre trouvent leur origine dans le même moment historique : la première guerre mondiale – ce que Chaplin, en 1938 (période d’écriture du scénario), avait déjà compris, et qu’il met en scène dès le début du film !
Le brio du cinéaste tient à ce qu’il utilise le son et le rire pour nous convier à réfléchir à la toute-puissance du pouvoir totalitaire. D’abord, par l’imitation et l’accentuation. Chaplin singe l’accent allemand (qui ressemble à un mauvais anglais prononcé avec les clichés qu’on se fait de la langue allemande). L’engouement, l’excitation et la colère lui font risquer de s’étouffer – de sorte qu’on assimile le discours de haine à une sorte de toussotement pitoyable. Un second effet comique repose sur le contraste entre la longueur du discours et la brièveté du contenu. Nous n’avons accès au sens des paroles du dictateur que par l’intermédiaire d’une traductrice, dont le rôle vise soit à condenser le discours, comme c’est le cas dans les premières phrases prononcées par le dictateur – « Hier, la Tomaine était à genoux, mais aujourd’hui elle se lève » - soit à le dupliquer de façon redondante (ce qui donne ce genre de situation. LE DICTATEUR - « Liberty stunks », LA TRADUCTRICE - « Liberty stinks » (« La liberté pue » / « La liberté est dangereuse »).
Ce qui caractérise Hynkel, c’est donc sa capacité à contrôler le bruit – celui qu’il produit, celui qui réagit à son propre bruit. Les clameurs et les applaudissements tonnent. Il est intéressant de constater que Chaplin utilise un effet loop, c’est-à-dire que c’est toujours le même cri qu’on entend, en boucle. Il souligne ainsi l’abrutissement de la foule, répétant inlassablement un geste automatisé et dont elle ne mesure plus les conséquences tragiques. Or, d’un geste, Hynkel peut faire stopper ce bruit. Un simple mouvement de bras suffit. Enfin, c’est dans une sorte de transe animale qu’il s’abîme à l’instant même où il prononce le nom de « Jude », au point de faire ployer les micros par le seul souffle de sa voix.
Le philosophe allemand Walter Benjamin, qui voyait à travers le cinéma et la radio la possibilité de reproduire images et sons, c’est-à-dire de les rendre détachables de leur sujet et de leur point d’émission, et donc transposables dans l’espace public, n’hésitait pas, suite à ce constat, à dresser un parallèle entre la star et le dictateur : « La radio et le cinéma ne modifient pas seulement la fonction de l’acteur professionnel, mais aussi, précisément, la fonction de tous ceux qui, comme les gouvernants, se présentent en personne devant leur appareillage. Si les tâches respectives de l’acteur de cinéma et du gouvernant ont peu à voir entre elles, la direction de ce changement est la même pour tous. Il s’agit de pouvoir bien ici de contrôler et de réaliser des performances dans des conditions sociales déterminées. Il en résulte une nouvelle sélection, une sélection du fait même de l’appareillage, d’où la star et le dictateur sortent grands vainqueurs. »
Celui qui détient le pouvoir maîtrise son image et sa voix et les expose à bon escient, dans des conditions déterminées. Chaplin fait le pari d’amalgamer la vedette (Charlie Chaplin) et le dictateur (Adolf Hitler – Hynkel, dans le film). S’inspirant des images de Leni Riefenstahl, où l’exposition des gouvernants est mise en scène, sublimée, à des fins de propagande, Chaplin sème dans cette esthétique lisse la graine de la discorde : le rire et l’espoir. Et dans ce bras de fer, une voix finit par étouffer l’autre.
Maxime Gasnault
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L’Alchimie
À bloc, rap tendu, rock lourd, électro bizarre, l’autoradio gueulait ma playlist à s’en faire péter les enceintes… Le périph’, puis les quais, à la brune, dans les veines un cocktail tout sauf mondain, weed, valium, margarita… Me faire serrer ? Quand je passe à côté de la volaille en goguette à Bastille, ces messieurs-dames pratiquent l’aquarium dans leur voiture de service, donc tu penses bien ! Il est trois heures du mat’ au compte tour… Y’a de la vadrouille sur le bitume, des clandés qui déambulent, des couples qui titubent, des dealers pressés, des skaters, des têtes brûlés, des gueules saoules, en veux tu en voilà… J’ai de nouveau soif, mais plus les thunes pour aut’chose qu’un kawa. Je me serais bien agglutiné au comptoir pourtant, j’ai envie de nouvelle rencontre, c’est pas souvent… d’ordinaire ma ménagerie perso me satisfait nickel question emmerdement… D’ailleurs, certains d’entre eux s’impatientent sec… Ils bourrent de merde ma messagerie ! “Et où qu’c’est qu’t’es ?”, “ La weed elle arrive ou bien ?”, “putain qu’est-ce tu fous”… Dring-dring,dring-dring,dring-dring, la sonnerie qui rend fou, je vais le mettre sur vibreur tiens ! Et me le coller au bas du dos, ça va me détendre bien… Pas autant que ne le ferait l’aérodynamie que je percute soudain sortir d’une ruelle ! Des courbes pareilles pour si peu de tissus ! Que ne donnerais-je pas pour une tonic-vodka en sa compagnie… Je prie pour qu’elle s’tourne, histoire de mettre le holà au boa qui défigure mon futal… à ces courbes, il y a forcément un point d’orgue… Je suis difficile en faciès, ça sauve mon couple plus que souvent. Mais pour le coup je saurais jamais, la belle de dos s’engouffre dans le troquet où qu’j’aurais bien traîner ma dégaine douteuse de grungy d’origine, en cet été 2003 c’était has-been on ne peut mieux, qu’importe le look tant qu’t’as de l’aplomb…
C’est pas tout ça, faut que je calte, deux-trois marlous en survet’ ont repéré que je m’endormais au volant… je démarre en trombe, remonte le boul’ Richard Lenoir… je m’vais faire paname en transversale, violer des feux rouges, le spliff au bec, faire couiner sec ma boîte et mes essieux… ça remonte le moral grave, d’être en mode portnawak, v’là que ma playlist s’y mets aussi, du Prong, du Guns, du Thin lizzy… Je prends les virages au cordeau, fait crisser la ferraille des tas de boue mal garés, quelques clampins m’agonisent de mots doux, je le prends pas mal, je leur fais coucou… J’arrive à Pigalle, y’a foule de keufs, je me calme un peu, je roule tranquillos pour le coup, ça tombe bien, j’arrive en descente de compil’, c’est y pas Marie Laforêt qui cause d’amitié ? Ho et un bluesman, Bo Diddley, carrément… Me v’là déjà avenue de Clichy. Ça se tabasse saignant devant le Mcdo, y’a trois condés qui font le gros dos, en fin de service, bientôt la sieste... ils ramasseront les morceaux après, s’il en reste ! Deux-trois renois sortent d’une épicerie de nuit, chargés comme des mulets de pack de bières danoises, ils invectivent le boss de la place, un reubeu tout en nerfs, le pépère a sorti la machette ! Ça va, ça va qu’ils disent… Ils laisse un pack derrière eux. L’épicier le ramène vers lui sous l’oeil des passants qui presse le pas… J’entends le remugle finissant d’un concert de trip-hop au coin d’une rue annexe… Je tourne pour entendre mieux… Le bar est déjà vidé, y’a juste deux trois pelés qui s’agitent comme ils peuvent devant le DJ et la chanteuse à dreadloks… ça aurait pu faire une sortie sympas, mais bon y’a bien trop de basses, rien que de dehors ça me cartonne chaud la calebasse… Je redémarre sec, ça fera zizir à l’enculé qui me colle aux basques… y pourra p’t’êt’e même faire mouiller sa pétasse, en lui faisant croire que ses appels de phares, ont suffit à démontrer qui qu’c’était qu’avait les couilles dans la place !
Enfin j’arrive rue de la Jonquière, ma turne et sa faune délètere… J’espère tout haut qui reste encore de la vodka au frigo, ou à défaut un fond de téquila… Je trouve une place de suite, les bobos du quartier ont calté en vacance, ça fait place net aux alentours des trottoirs. Si seulement les clébards pouvaient faire de même.. Je slalome sévère entre les étrons de nuit, je vois même une mamie au coin de ma rue qui participe de complexifié encore le parcours, au bout de sa laisse un gros boxer ! J’ai bien envie de lui dire ma façon de penser, mais j’ai pas le coeur à l’insulte. Les courbes de la belle de dos, moult spectacles du chaos, mon stock-car plein pot, hou.. Comme c’était beau, comme c’était bon… il manquait juste un coin de bistrot… okay, 100 dollar les 25g de white widow, j’allais pas non plus demander à la lune de tourner à l’envers… Je doigte le digicode, tamponne la porte de mon bloc… J’entends que ça chuinte et que ça murmure, j’allume la lumière quand même… Un travelot la prend profond dans le carbu’, par son micheton tout en sueur… Ils tressaillissent, je leur leur dis: “pas de pé”, et les esquive d’un pas de deux, je vois au premier les ombres qui s’excitent à ma fenêtre d’où sort un filet de dub… J’arrive, j’arrive… calmos !
Tout le monde m’accueille en disant queud… alors que je m’étais fais chier à remonter quatre à quatre les escaliers ! Eh ben, ça donne envie ! Faire quarante bornes de nuit, la tête dans le sac, pour être ainsi snobé chez soi ! Whoua !!! Tellement j’étais scié, j’avais l’impression d’être l’Amazonie ! J’en fis part à Carl, Jéjé, Mimi et Djida ma promise… Dans ma chambrée, ils étaient tous hypnotisés par la téloche, Jéjé avait ramené sa PS2 et les persos Capcom se fritaient à toute berzingue contre ceux de Marvel. Jéjé était en train de coller une raclée à Carl qui le prenait pas bien du tout… Mimi et ma femme l’encourageaient et tenaient en vain de déstabiliser mon bâtard de batteur !
__ Eh ben ! c’est du propre ! Même pas bonsoir, ni mes pantoufles… Tous là à squatter mon plumard, la musique allumée dans le salon, pour qui ? Pour les murs qu’en ont rien à branler ! Ha ben elle est belle la jeunesse de France !
__ Vas-y cocotte, t’as pas eu ta dose de câlins ? C’est ça ? Laisse moi finir ton voisin après direct je t’exécute ! Me vanna Jéjé, qui part son Hulk savatait grave un pauvre avorton à tête de lego.
__ Mais vas-y Carl, le tança Djida, active ton super-pouvoir !
__ Y peut pas je le maintiens par terre bien comme il faut !
__ Bon, y reste de la vodka ou de la tek ? quémandais-je au bout d’un soupir.
__ Ben… Il reste du thé et de la bière… indiqua Mimi.
__ Bah vous auriez pu teaser la bière et me laisser un fond de vodka, bande de rapace ! Et qu’est-ce ça sent là ? C’est de..
__ C’est de l’afghan, Slimane est passé, on lui a prit deux barrettes…
__ Super… Et donc t’as plus de thunes pour la weed ?
__ Fallait répondre au téléphone ! Me signifia Jéjé en exultant de sa victoire sur Carl qui se redressa en maugréant diverses imprécations à l’endroit de son adversaire.
__ Ouais, c’est quoi ces manières d’abord ? Tu t’es pris pour une star ou quoi à nous snober comme ça ! renchéri ma chère et tendre.
__ Pff… C’est n’imp ! Pour la peine je vais me rouler un oinj’ rien que pour ma gueule…
__ Rien de neuf quoi ! se moqua Mimi.
__ En plus ta bave et tes pétards biscornus, tu peux te les garder et te les foutre où je pense… Mais en attendant, viens voir papa qu’il te colle une bonne rouste des familles !
__ Ouais vas-y Boulo, fais voir ce que tu vaux au lieu de pigner ! m’encouragea Djida.
__ Au boulôt, Boulo ! Ricanèrent les trois autres.
__ Tss… Vous comprenez rien à l’amour tendre, y’a que moi et Boula qui savons c’qu’c’est d’façon !
__ Allez viens t’installer, j’ai trop hâte de casser tes miches, joli coeur !
Evidemment, l’enflure qui me servait de meilleur pote, mis ses menaces à exécution, malgré que je parvins tout de même à lui voler un round, bien aider par les attaques verbales et d’autres natures qu’il essuya tout au long de notre partie…
Quelle était belle cette alchimie, de ma jeunesse dissolue.
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Des orphelins dans la nuit - épisode 2
Le lendemain matin, la cloche du petit-déjeuner résonne plus tard que d’habitude dans le couloir. Les enfants sortent tous à l’exception de Tom, Alex et Deirdre. Après cette nuit mouvementée, il leur faut un peu de temps pour trouver le courage de quitter leurs lits. Lorsqu’ils y arrivent enfin, ils rejoignent le réfectoire déjà plein.
Curieux de savoir si ils ont été les seuls à s’être réveillé cette nuit, Tom fait signe à Aleksandra pour qu’elle les rejoignent à table. Une fois qu’elle s’est assise, il lui demande si elle n’a pas entendu des bruits étranges durant la nuit. Sans hésiter, Aleksandra répond que non, elle a très bien dormi. À ce moment entre dans le réfectoire un autre retardataire, Lej, un garçon assez âgé. Aleksandra explique aussitôt qu’il était avec le directeur pour rencontrer ses futurs parents. Elle s’empresse aussi d’ajouter que le pauvre Lej sera donc séparé de Mélusine, une autre fille de l’orphelinat dont il est amoureux.
Une fois le repas fini, les trois compagnons remontent dans leur chambre et se questionnent sur les événements de la nuit. Ils sont interrompus par des cris qui viennent du rez-de-chaussée. Une vieille femme hurle sur le directeur et se plaint des corbeaux qui envahissent le jardin. Par dessus tout, elle se plaint de n’avoir qu’une arbalète pour s’en débarrasser et aucun moyen digne de ce nom. Elle finit par donner l’arbalète à un Anselme muet et partir dans le jardin en lâchant quelques jurons de plus. Impressionné par cette démonstration, Deirdre se met en tête de suivre la jardinière dans l’espoir qu’elle puisse lui apporter des réponses, après tout, elle se plaignait bien des corbeaux.
Malika, la vieille jardinière, ne lui est pas d’une grande aide. La seule chose qu’elle est capable de dire et redire encore (en ajoutant quelques insultes) est que les corbeaux sont des oiseaux de malheur. Cependant, elle semble être plus franche et abordable que les autres adultes.
Pendant que Deirdre est à l’extérieur, Tom essaye de trouver des réponses dans la bibliothèque. Quand bien même il ne sait pas très bien lire, il va demander à Serghei si il n’y a pas un livre sur les corbeaux. Tandis qu’il discute avec l’encadrant, il l’informe qu’Alex est capable de lire les runes étranges comme celles qui se trouvent dans le carnet. En entendant cela, Serghei ouvre le tiroir dans lequel le carnet devrait être. Ne l’y voyant pas, il descend au rez-de-chaussé en laissant une certaine Gosia en charge de la bibliothèque. La dite Gosia se contente de hocher la tête et de replonger dans son livre qu’elle semble dévorer au travers de ses lunettes rondes.
Pendant que Serghei est absent, une petite fille aux cheveux noirs en bataille demande à Tom où est Alex. Elle ne veut expliquer pourquoi que si Tom lui raconte un secret, ce qu’il fait : il a caché de la corde sous son lit. La petite fille lui avoue alors avoir trouvé un feuillet avec d’étranges runes dans le bureau du directeur et elle aimerait qu’Alex le déchiffre pour elle. Elle est interrompue lorsque Serghei revient avec le carnet dans ses mains. Il le range précieusement en fermant le tiroir à double tour. Tom s’empare de sa clef sans qu’il ne s’en rende compte et regarde si il s’agit bien du carnet avec les étranges runes. Malheureusement, Gosia semble l’avoir vu piquer la clef, mais elle garde le silence.
Dans l’après-midi, après le cours de chant, Deirdre va chercher des informations sur les légendes concernant les corbeaux. Il finit par en trouver une qui parle d’animaux noirs capables de manger l’âme des gens en mangeant leurs yeux pendant leur sommeil. Intrigué et choqué, il décide d’aller voir Malika pour essayer d’obtenir des réponses : l’orphelinat est-il hanté ? Malika reste évasive mais laisse échapper à demi-mots qu’il s’y passe souvent des choses étranges. Deirdre demande, si elle ne peut pas lui en dire plus, d’au moins lui apprendre à se protéger de ces dangers. Pour toute réponse, Malika lui demande de s’asseoir sur une souche et de s’y concentrer sur son énergie intérieure. Là, pendant plusieurs heures, Deirdre a l’impression d’être dans un autre endroit, de pouvoir voir un autre lieu, une rue de Torda qui ne doit pas être si éloignée au final.
Pendant ce temps, à l’intérieur, Alex recherche Deirdre tandis que Tom s’éclipse une fois de plus à la bibliothèque pour essayer d’en apprendre plus sur les corbeaux. Serghei l’aide à lire un traité d’ornithologie, ce qui ne l’avance pas beaucoup mais à au moins le mérite de faire progresser sa capacité à lire.
Alex finit par se réfugier dans la chambre, seul. Quand l’armoire commence à grincer cependant, il court immédiatement chercher Tom, et Serghei, par conséquent. Tom s’aventure dans la chambre seul pendant que Serghei est parti chercher Mickaïl, le protecteur de l’orphelinat. En entrant, il semble à Tom que des murmures s’échappent de la porte entrouverte, puis des griffes viennent agripper le battant. C’est à ce moment que Tom ressort et que Mickaïl prend la relève.
Le soir, Deirdre revient perturbé par son expérience extra-sensorielle. Il se fait raconter l’étrange épisode de l’armoire par ses deux compagnons de chambre, ce qui les a mené à déménager avec Seweryn, un jeune garçon d’une dizaine d’années tout au plus, très attaché à ses peluches. Cet épisode inexpliqué est la goutte d’eau qui fait déborder le vase déjà rempli par les réponses évasives du personnel. Deirdre se couche énervé de ne jamais obtenir de réponses. Au matin, Tom, Alex et Deirdre se réveillent tous les trois en sursaut. Ils ont fait le même cauchemar : seul dans un bois, une silhouette noire leur demandait de les rejoindre avant de tendre une main crochue vers eux.
Tom fait aussitôt remarquer que la main ressemblait à celle qu’il a vu sortir de l’armoire. Convaincu qu’il y trouvera quelque chose d’utile pour dénouer le mystère qui les entoure, Deirdre va défoncer la porte de son ancienne chambre et voit que l’armoire est scellé par un étrange cadenas circulaire bardé de runes. D’un coup de pied il traverse la porte de l’armoire et y voit aussi des runes. Il les mémorise puis se fait arrêter par Serghei et Mickaïl. Le directeur vient le sermonner et lui annonce qu’en guise de punition, il devra s’occuper du jardin avec Malika.
Pendant ce temps, Tom et Alex sont partis déjeuner et ils gardent un peu de nourriture pour leur ami puni. Tandis qu’Alex retourne fièrement donné un petit pain à Deirdre, Tom va questionner Gosia à propos des rêves que tout le monde a en commun. Cette dernière finit par lui montrer un tiroir dans lequel elle range plusieurs carnets où elle a raconté la plupart des rêves qu’elle a fait pendant les dix années qu’elle a passé à l’orphelinat.
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Élites, Tome 1 : Popul(i)ar — F.V Estyer
Jude et Zane viennent de deux mondes différents. Le premier, issu de la jeunesse dorée de Manhattan, a déjà un avenir tout tracé. Le second, étudiant désargenté, rêve de profiter de ce que cette élite a à lui offrir. À l’abri des regards, ils entament une relation. Brutale, passionnelle, malsaine. Mais à ce jeu de dupes, il ne peut y avoir qu’un seul vainqueur. À moins qu’ils n’en sortent tous les deux perdants.
De F. V. Estyer paru le 9 Décembre 2018 en Auto-édition [ Amazon ] 368 pages
C’est toujours quand je ne m’y attends le moins que cette auteure arrive à me surprendre. Je suis l’évolution (et la prochaine sortie) de ce livre depuis quelque temps déjà et j’étais vraiment curieuse. Alors quand Fred avait lancé la campagne de SP, j’avais sauté dessus....toujours sans rien savoir de l’histoire... (En fait, j’ai l’impression de me répéter, ça m’arrive à chaque fois avec cette auteure, pfffff). Et donc, je commence tranquillement à me dire qu’il faudra peut être lire le 4 ème de couverture et là....ok....je n’étais pas prête, lol
En voyant le mot “malsaine” pour décrire la relation entre Jude et zane, j’ai un peu tiqué, j’avoue et puis je me suis dit, allez, maintenant, c’est trop tard. Commençons, on verra bien.
Alors ce qui a commencé par une petite crainte et une bonne dose de curiosité, s'est terminé avec une très belle lecture à l’arrivée. (Elle m’énèrve à me faire le coup à chaque fois).
Zane et Jude n’auraient jamais dû se croiser. Ils viennent de deux mondes qui entrent en collision. L’attirance est immédiate et l’étincelle brûle d’entrée de jeu. Ce qui a commencé comme une expérimentation s’est terminé en crash complet entre les deux.
Jude est un gosse de riche, l’élite de New York, il est beau, il est intelligent et il est riche. Zane, quant à lui, est totalement le contraire, la beauté en plus. Il avait eu une enfance difficile, un père violent, une mère démissionnaire ou presque et un avenir sous les pires auspices, mais il a décidé qu’il allait en être autrement et qu’il allait s’y atteler quitte à adopter les pratiques les plus licencieuses. (Je décide volontairement de ne pas m’étendre de peur de spoiler).
Toujours est-il que les deux entrent en contact et par conséquent quelque chose commence à germer. Jude essaye de lutter contre cette attirance qui n’a pas lieu d’être et Zane se laisse envahir par cette alchimie sans pour autant perdre de vue le but de toute cette manœuvre.
Ils s’aiment, ils se détestent, ils se consolent l’un l’autre, ils luttent et se déchirent...
Au début, j’avoue que j’avais un faible certain pour Jude. Il est gentil et très aimable. Zane de son côté, c’est le type même du salopard qui ne recule devant rien pour arriver à ses fins. Mais au fur et à mesure que l’on avançait dans l’histoire, mon avis change sur le personnage qui commence à creuser sa petite place dans mon coeur.
Certes, il fera preuve de froideur, de calcul et de manipulation mais le fait que le tout soit motivé par la volonté se créer un avenir avait adouci mes sentiments. J’ai trouvé sa quête “noble” malgré le procédé. (Je ne fais pas du tout l’apologie du chantage) mais le fait qu’il veuille s’en sortir a touché quelque chose en moi.
Pour ce qui est du style de l’auteure, rien de nouveau à ce sujet, le style reste simple mais efficace. L’auteur nous emporte dans son récit et on se sent investis dans l’histoire et ça c’est chouette !
Cependant, quelque chose m’a chagrinée quand même. Et c’est le décalage entre les personnages, leurs actes, leurs personnalités, leur façon de vivre et d’évoluer et l’âge que leur donne l’auteur. J’ai vraiment eu beaucoup de mal à imaginer que ces personnages avaient 16 et 18 ans. Ils semblent beaucoup plus matures que leurs âges et c’est quelque chose qui m’a vachement déstabilisée.
Sinon, pour le reste, j’ai vraiment beaucoup aimé et je suis sortie de ma lecture le sourire aux lèvres parce que ces deux gars méritaient leur fin heureuse.
Par contre, l’auteure !!! Qui t’a appris à finir tes livres comme ça ?? C’est quoi cette fin ? Je veux la suite !!
P.S : On n’en a pas parlé cette fois, mais niveau longueur, tu as géré. Je valide :)
Vous qui me lisez, si vous n’avez pas encore tenté, franchement, lancez-vous, c’est vraiment très sympa comme livre.
#AUTEUR F.V Estyer#SERIE Elites#Blog Tour#Qhuay#autoedition#GENRE Romance Contemporaine#mmromance#SP
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[AVIS] Amour Sucré Campus Life (bêta spoilers /!\)
~Hello !
Bon, enfin je m’y mets, et je donne mon avis sur la bêta et le jeu Amour Sucré Campus life ! Juste comme ça, pour dire ce que je pense ! Parce que j’ai beaucouuuup de choses à dire ^-^ Je vais essayer de faire ça rapidement ! Il risque d’y avoir quelques spoilers alors je vous invite à continuer de lire en dessous !
POINTS POSITIFS :
Le jeu en lui-même est tout simplement magnifique ! Aussi bien pour les nouveaux décors (on se croirait dans un anime japonnais de haute qualité !) que pour le design des personnages...l’équipe artistique a fait un travail monstre et tout leurs efforts on vraiment contribué a rendre le jeu encore plus vivant. Je ne m’arrête pas là sans parler des animations ! Je les trouves vraiment réussies. Elles sont en option dans le jeu donc vous avez le choix, de jouer avec ou non ! Pour ma part, même si je les trouve réussies et donnant plus de vie au jeu, je crois que je vais rester sur le mode de jeu standard (hé oui, je suis de la vieille école héhé).
La possibilité de changer (enfin!) le nom de votre Sucrette ! C’est une option qu’il devenait vraiment urgent d’ajouter (aka les joueuses avec des pseudo du style xMissBeliberx et j’en passe ahah) ! Moi je m’en suis pas trop mal sortie, ayant choisit des pseudo-prénoms (FL0RiANE et Cyrihelle > ouais j’ai dû bidouiller mais au final ça sonne comme un prénom normal héhé) ! Vous pouvez donc modifier le nom de votre sucrette via votre compte en remplaçant votre prénom par celui que vous souhaitez et le changer à tout moment (et c’est super cooooool) !
Bon autre point, le site en lui-même est agréable d’utilisation. Ça ne change pas énormément par rapport au site d’High School Life ! J’aime beaucoup les tons bleus et la déco du site, son agencement ! On sent tout de suite que c’est un peu plus mature. Un petit plus, on a la possibilité de switcher d’un univers à l’autre et je trouve ça plutôt pratique !
Le plus important maintenant, c’est ce que nous propose ce “nouveau jeu”, car oui, même s’il reprend l’histoire de notre sucrette 4 ans plus tard, il s’agit bien de quelque chose de totalement nouveau (on en reparlera plus tard é_è). Honnêtement, je suis contente de voir l’apparition de nouveaux personnages qui, pour ma part, me semble hauts en couleurs ! Je les adore déjà...Chani est l’un de mes coup de cœur, j’adore son humour noir et décalé ainsi que sa personnalité que j’ai hâte de découvrir plus en détail. Je ne suis pas contre le renouveau et ça fait du bien de voir de nouvelles tête ! Mais je suis d’autant plus heureuse de nos retrouvailles avec nos chers camarades de classe, mon petit Alexy et Rosalya, mais aussi Mélody et Priya ! On se sent moins dépaysé (ou presque quand on sait que...)! Les nouveaux crush ne me posent pas de problème en soi. Je les apprécie tous dans le sens où ils semblent chacun avoir une histoire particulière à raconter, une personnalité forte, intrigante! Pour ma part, si je devais choisir, je me tournerais soi vers Rayan soit vers Hyun. Castiel étant l’un de mes anciens CDC sur un de mes comptes je le prendrais aussi sûrement.
Pour finir j’ai hâte de commencer l’aventure tout simplement. Découvrir cette nouvelle histoire, voir ce qui va nous arriver, l’évolution de nos relations aussi bien amicales qu’amoureuse. Pour ma part je sans que je ne vais pas m’ennuyer ! :)
POINTS NÉGATIFS :
Malheureusement, et c’est ce qui aura fait tous les débats ces dernières semaines, il y a des points négatifs que je ne peux pas m’empêcher de soulever. Cependant, vu que nous en avons déjà assez entendu parlé, je pense faire ça rapidement. J’ai seulement besoin de donner mon point de vue ^-^
Premier point sur lequel je ne m’étalerai pas, c’est la façon dont Beemoov a amené la sortie de ce nouveau jeu. On a tous pensé à une suite avec des changements (certes), des nouveautés (bien sûr) mais pas de façon aussi radicale. Beaucoup de joueuses sont déçues, certaines même pensent arrêter le jeu. Pour ma part, l’annonce de ces changements a été trop brutales et je pense que c’est ce qui a engendré toute cette vague de critique négative. On aurait aimé sûrement plus de subtilité de la part de l’équipe, de @chinomiko elle-même. Honnêtement, je ne lui reproche rien du tout, j’apprécie sa franchise et son travail. Je sais que tous les choix faits pour le jeu ne dépendent pas seulement d’elle et que c’était même l’une des premières à s’opposer au deuxième point qui va suite.
Deuxième point et pas des moindre, 4 de nos CDC ne feront plus partis du jeu, ou du moins ne feront plus partis des crush. Évidement, on pense tout de suite à une injustice quand on sait que Castiel est le seul CDC à être resté. Je suis d’accord avec ce sentiment, bien qu’il me soit passé maintenant et que j’ai fini par me faire une raison ! Je ne sais pas à quoi Beemoov s’attendait avec un tel changement (on parle quand même de la suppression de 4 personnages principaux), mais ce n’est pas étonnant si beaucoup de joueuses arrêtent le jeu et que les chiffres baissent. Ces personnages étaient quand même la BASE du jeu, ce pourquoi de nombreuses joueuses jouaient. Généralement, c’est ce qui arrive quand un jeu rencontre énormément de succès, il faut l’améliorer apporter des nouveautés sauf que ça devient du n’importe quoi. Ce que vous pensez être des bons choix (business choices) va à l’encontre de ce que votre communauté espère, souhaite. Je pense qu’il est important de faire attention aux choix et aux conséquences qu’ils impliquent, ainsi que l’impact que tout cela peut avoir sur une communauté qui jusqu’ici vous faisait confiance aveuglément, vous pensait à son écoute. Bon, j’avoue que je ne fais que remuer de vieilles rancœurs qui se sont un peu estompées depuis. Mais ce n’est que mon sentiment. Je tiens à dire que maintenant, je suis passée outre et que les dés sont jetés. Je ne m’arrêterais pas pour autant de jouer car j’adore ce jeu, je trouve juste dommage que ces personnages auxquels on était attachés disparaissent en un claquement de doigt (Thanos, private joke). Entendez bien que j’ai espoirs qu’il réapparaissent, je l’espère de tout cœur, même s’ils ne sont plus là en tant que crush mais seulement en tant que personnage secondaires. J’espère secrètement que le 5 crush dans Campus Life soit Nathaniel héhé mais bon...we’ll see !
Je tiens quand même à ajouter que 1 ou 2 épisodes supplémentaires dans Amour Sucré High School Life auraient été nécessaires. Couper le jeu après s’être envoyer en l’air avec notre CDC, pas vraiment ce à quoi on s’attendait. Certes, on attendait ce moment avec impatience mais terminer le jeu d’une façon aussi abrupte pour ensuite faire une ellipse de 4 ans et apprendre que nous avons rompu..non désolée, mais ce n’était pas une bonne idée. Depuis quand une histoire ce termine ainsi ? On aurait aimé passer plus de temps avec notre CDC, avec nos amis, en savoir un peu plus quoi...Même un épisode pour comprendre POURQUOI on a rompu (j’espère qu’un petit flash back sera mis en place dans ASCL), un premier “je t’aime”. Pour moi cette fin a été bâclée...tout ça parce qu’il fallait du changement ! Je pense qu’il aurait été plus juste de terminer cette histoire en bonne et due forme, dans les règles. Et éviter de nous torturer ainsi. Peut-être qu’ASCL aurait été ainsi mieux accueillit... Il y a un sentiment d’inachevé. Alors, non je n’ai pas l’impression de perdre mon temps quand je lis un roman ou quand je joue à un jeu vidéo...par contre si ça se termine comme un navet, alors là oui. 7 ans pour parvenir à nos fins, 7 ans et puis plus rien. La base de ce jeu, c’est quand même de draguer un mec (jeu de drague pour fille) et de vivre une belle histoire d’amour si je reprends vos termes. En soi, ça ne respect qu’à moitié tout ça. On a dragué mais on ne vit pas grand chose au final. Bien sûr qu’avec une fin pareil on se retrouve déçu...Il ne fallait pas s’attendre à autre chose.
Quatrième point ATTENTION SPOILERS, les fins choisit pour nos CDC. Je ne peux m’empêcher d’être triste. L’histoire de Lysandre...ces parents sont morts et il restent seul à la ferme...j’avais d’autres aspirations pour lui en tête, il aurait au moins pu revenir en ville, lui qui rêvait d’y habiter... Nathaniel qui perd tout son sérieux et devient limite un alcoolo...ça me fend le cœur, il aurait pu être avocat et défendre les enfants maltraités mais non...Celle d’Armin passe encore, même si on nous enlève l’idée qu’il travail dans les jeux vidéos...Lui et Kentin s’en sortent plutôt bien au final, Kentin devient entraîneur de chiens (je trouve que ça lui va bien, mieux que l’école militaire, c’est un tendre notre Kentinou...). Bref, certaines fins auraient pu être améliorées et je sais que l’équipe a changé quelques dialogues histoire de rendre les choses moins dures, plus crédible. Cela reste quelque chose d’important, comme je l’ai dit précédemment de ne pas bâclé une fin, surtout si les CDC des joueuses disparaissent...
Enfin, dernier petit point, les changements concernant les PA et les $. En soi, ce n’est pas vraiment un point négatif mais il est pas pour autant positif ! En fait je trouve ça plutôt bien pensé et ça reprend ce que pas mal de Otome Games font, c.-à-d. de faire payer les dialogues plutôt que les déplacements en PA. J’attends tout simplement de pouvoir tester ce nouveau système sur ASCL pour voir si c’est plus rentable comme ça. Le fait d’avoir augmenter le nombre de PA de 10 à 20 par jours me semblent correct. Ce qui m’embête un peu plus, ce sont les dollars qui passent de 15 à 5...J’espère que les tenues ne seront pas trop chères surtout que je me suis ruinée à la boutique Wahou ! ^-^’ Par contre ce que je trouve un peu aberrant c’est la limite de PA et de $ gratuits à 1000. Pour les dollars passent encore mais niveau PA, ça veut dire qu’il faudra payer ? Chacun est libre de faire ce qu’il veut mais c’est un peu nous prendre pour des ânes ! Bref...tant que ce n’est pas tester, j’attends de voir pour juger.
CONCLUSIONS :
Malgré ces quelques point négatifs, je pense que le jeu Amour Sucré Campus Life reste prometteur ! L’équipe a fournis un travail énormissime pour nous offrir un jeu avec des décors et personnages hauts en couleurs, alors merci à eux. Je n’ai qu’une hâte, découvrir cette nouvelle histoire et laisser sa chance au jeu, malgré le fait que nous soyons partis sur de mauvaises bases (informations, mauvaises pub etc.). Je pense que les tensions sont quelque peu retombés et qu’il est temps de passer à autre choses ! Maintenant que j’ai évacué tout ça, je me sens mieux et prête pour les nouvelles aventures qui nous attendent ! Comme certaines l’ont fait remarquer, peut-être qu’un Amour Sucré Vie d’Adulte verra le jour (m’enfin faut pas trop pousser non plus, ce n’est qu’un doux fantasme, il ne manquerait plus que Senior Life xD) et qu’on retrouvera nos chers CDC si ce n’est pas fait avant ! ;)
Paix à vous les Sucrettes et à bientôt ! ♥
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Aromantic (love) story
Tome 2
Auteurice : Haruka Ono
Maison d’édition : Akata
Date de publication : 2018
Nombre de pages : 199
Genre : Manga - Seinen
Ce qu’en pense Seli :
En général, les limites de caractères de Livraddict me suffisent quand j’ai quelque chose à dire sur un manga. En ce qui concerne ce manga là, ce n’est pas le cas. Je pensais avoir enfin trouvé une œuvre fraîche et amusante traitant d’aromantisme correctement, mais j’ai vraiment peur que le tome suivant fasse de cette saga une de mes plus grandes déceptions.
En résumé, nous suivons Kiryu, une mangaka spécialiste de harem manga (bien que ce ne soit pas du tout le genre qu’elle souhaite créer), âgée d’une trentaine d’années, qui se définit elle-même comme aromantique : elle n’éprouve pas de sentiments amoureux pour qui que ce soit et cela lui convient très bien. Seulement, deux hommes commencent peu à peu à lui tourner autour : un de ses jeunes assistants et le scénariste de l’anime adaptant son manga.
Le pitch m’a vraiment emballée : un triangle amoureux voué à l’échec, car la jeune femme n’éprouve pas d’amour. Le tome 1, à cet égard, est une réussite. Il assoit très clairement les positions de Futaba et ce qu’elle ressent : elle EST aromantique, c’est une certitude. Il est clairement évoqué que l’injonction à se marier est une pression sociale qui contraint majoritairement les femmes (surtout au Japon !) et que Futaba a une vie pleine et épanouie et qu’elle n’a pas besoin d’une caution phallique pour pallier un quelconque vide. De ce fait l’apparition des deux prétendants, dont l’un extrêmement sûr de lui et de son charme, me faisait doucement rire. Quelle ne serait-pas leur déception de voir que la femme qu’ils désiraient n’en choisirait jamais aucun !
De même, Kiryu étant autrice de harem manga sans rien connaître aux sentiments amoureux, elle fait montre d’une naïveté qu’on lui pardonne, mais permet aussi de déconstruire les topos de la romance en les analysant. En général, ces petits événements émaillent les récits de romance (l’homme sauve la femme d’un véhicule/vélo dans la rue, ou bien tombe malade et se fait chouchouter par sa belle, etc...), et servent de prétexte à Monsieur pour se confier ou démontrer son attachement, ce qui développe la relation amoureuse. Dans le premier tome, les résultats sont très mitigés puisque Kiryu réalise, même a posteriori, ce qui se passe. Et le tout avec beaucoup d’humour.
Jusque là, tout va bien. Puis je me suis lancée dans la lecture du tome 2. ATTENTION, ZONE SPOILERS.
Tout part plutôt bien, même si quelques signes avant-coureurs apparaissent. Le séducteur que Kiryu surnomme “stratège” parvient à la piéger et arrive avec son ton d’homme viril et moralisateur pour expliquer à la jeune femme que ben oui, elle a jamais été amoureuse, du coup elle sait pas ce que c’est, donc si ça se trouve elle a pas encore trouvé le bon. Ce discours est assez récurrent quand des gens nient l’existence de l’aromantisme, donc déjà ça m’a fait grincer des dents. Mais c’est dans la logique du personnage, un séducteur tel que lui niera forcément que des femmes puissent ne pas finir par lui tomber dans les bras. Donc j’ai continué.
Du coup Kiryu propose au stratège une relation amicale, ce qu’il accepte, même si j’avais déjà clairement de gros doutes qu’il en reste là. Dans le même temps, elle tente de bâtir une relation avec son assistant pour le détourner de ses sentiments amoureux envers elle et lui faire comprendre en douceur que ce n’est pas envisageable. Puis elle se mets à douter en repensant aux paroles du stratège... Moui... Cependant, je n’ai pas tant tiqué. Par expérience, je peux dire que même une fois son opinion faite et qu’on pense être sûr de soi, les doutes reviennent de temps en temps. En même temps, vivre dans une société qui mitraille aux femmes qu’elles ont besoin d’un pénis pour se sentir épanouies et où on essaie de caser les célibataires avec tous les mecs qu’elles croisent car une “vieille fille” devient acariâtre et aigrie (et adopte une ribambelle de chats pour tenter de combler le manque de pénis), ce n’est pas évident. Je dirai même que parfois, c’est si fatiguant que rentrer dans le moule peut devenir une vraie tentation. Donc Kiryu doute, pourquoi pas ? Ce n’est que passager après tout.
Il y a même un passage intéressant parlant d’agressions sexuelles et de leurs définitions. Lors d’une soirée professionnelle, Kiryu prend impulsivement la liberté de resserrer la cravate défaite de son assistant... puis se rend compte qu’un geste d’une telle familiarité entre supérieur et employé, surtout si ledit employé est réservé et timide, est un comportement abusif qui a envahit l’espace vital du jeune homme. Elle n’a alors de cesse de s’excuser. C’est un message positif, car Kiryu se rend compte que si personne ne s’est formalisé de son geste, si les genres avaient été inversés, elle aurait elle-même pris cela comme une agression.
Le début de la parade masculine face à un rival m’a fait rire. C’est si excessif et caricatural que ça en devient presque hilarant ! On nous montre bien que l’héroïne est complètement dépassée et ne sait pas comment gérer deux prétendants qui se pavanent pour lui plaire. Elle ne sait pas quoi faire et en même temps voir deux mecs rivaliser pour ... rien, c’est assez ironique et dans la lignée du premier tome.
Là ça va, il n’y a encore rien de bien grave, c’est même plutôt positif. Puis arrive la révélation.
Un peu avant la fin, Kiryu accompagne le stratège voir sa famille en se faisant passer pour sa petite amie. Ce dernier insiste, lui disant que ça serait intéressant pour expérimenter le statut de petite amie. Moui. Arrivés à l’hôpital, ils découvrent le papa du stratège mourant, et Kiryu découvre alors toute la souffrance d’un fils que son père trop exigeant et élitiste a rejeté, ce qui l’a rendu si solitaire, manipulateur et versatile. La jeune femme se demande alors ce qu’elle pourrait faire pour calmer sa peine et l’aider à aller mieux.
Non ! Non ! Et non !
Ce topos est nommé syndrome de l’infirmière. Oui, il a même un nom à lui, vous avez vu ? Ce syndrome consiste en une femme qui s’attache à un homme (et jamais l’inverse) qui a des problèmes (santé, psychologiques ou autres) et s’occupe de lui car elle se persuade qu’elle peut le faire aller mieux. Et dans la fiction, ça marche, parce que ce syndrome est aussi une réalité pour de nombreux couples qui ne s’en sortent pas si bien. Ce cliché de romance pourrie puise dans la fosse septique du sexisme avec l’idée que la femme a un rôle apaisant, qu’elle prend par nature soin des autres. Et ce cliché, on le retrouve par cohortes de mille dans les romances jeunes adultes ou jeunesse : 50 shades, After, etc... même Fruits Basket ! Madame en prend plein la poire mais pardonne parce qu’après tout, son promis a des problèmes, le pauvre, c’est pas vraiment sa faute. Lle temps de remplir plusieurs tomes avant le happy end : ça y est ça va mieux, je peux vivre une histoire saine maintenant... Voir Kiryu tomber là-dedans me fait extrêmement peur pour la suite.
Je me suis alors rendue compte qu’en tentant de déconstruire un autre topos, celui de soigner son prétendant malade, Kiryu sautait également à pieds joints dans le syndrome de l’infirmière, sauf que là c’est peut-être pire. Je me suis rendue compte que tout ce qu’elle entreprends pour son assistant (le soigner, remettre son nœud de cravate, devenir un modèle digne de son admiration), se rapproche dangereusement d’une attitude maternelle. Ouille... J’espère très sincèrement que je me trompe, car c’est un autre topos de la romance : l’amoureuse qui sert de “petite maman” à son chéri...
Et le meilleur pour la fin... Plus on avance, plus on a l’impression que Kiryu se range du côté du stratège : elle ignore tout de l’amour, donc si ça se trouve... Et en super bonus, quand elle compatit à son malheur, il l’embrasse de force. Et ça se finit là-dessus... Ce mec est insupportable et dans toute histoire réaliste et logique, elle l’aurait envoyé balader depuis belle lurette. Depuis le début, le stratège n’a de cesse d’envahir son espace vital, et elle ne réagit que trop mollement et avec pitié... alors même qu’on la prévient qu’elle a affaire à un séducteur hors-pair qui n’hésite pas à mentir ou à jouer avec la réalité pour parvenir à ses fins...
Voilà le problème, Kiryu apparaît bien trop faible dans ce tome ! Alors qu’au début, ses convictions sont fortes, elle est juste déstabilisée par les comportement de des deux hommes à son égard...
J’ai vraiment très peur que ce manga empreinte une pente glissante l’amenant à cracher sur la communauté aro en présentant une héroïne qui se pensait aro mais qui en fait une fois un peu chahutée se rend compte qu’elle ne l’est pas. C’est une communauté qui a besoin de visibilité dans la fiction, c’est d’ailleurs la première œuvre que je connais qui en traite ! Dans toutes les autres, les personnages seuls sont soient des hommes de type Dom Juan ou des asociaux pervers fantasmant sur des waifus, soient des femmes célibataires en manque d’hommes dont le but est de mettre le grappin sur la dose minimale acceptable de phallus. Donc je serre les fesses en attendant le tome 3... En espérant que la mangaka sait ce qu’elle fait, nous démontre que tous ces clichés pourris n’étaient qu’une épreuve, et que Kiryu se rendra compte qu’il ne s’agit que de fumisteries de la part du stratège destinés à la piéger... Dans le doute, je ne préfère pas enfoncer ce manga, mais si il s’avère que mes craintes se réalisent, je serai sans pitié.
J’ai vraiment, vraiment peur...
Ma note : 12/20
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Le grand livre écrit par Kazuki Takahashi vous devriez lire est YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005. Je suis sûr que vous allez adorer le sujet à l'intérieur de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005. Vous aurez assez de temps pour lire toutes les pages 208 pages dans votre temps libre. Le fabricant qui a sorti ce beau livre est Kana (1 décembre 2005). Obtenez le YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 maintenant, vous ne serez pas déçu par le contenu. Vous pouvez télécharger YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 à votre ordinateur avec des étapes modestes.. Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005 pour votre référence.
Revue éditoriale de YU-GI-OH ! "R" T1 (Français) Broché – 1 décembre 2005
Critique 1 Comme très souvent, les cartons éditoriaux sont victimes de leurs succès et « doivent subir » de nombreuses adaptations en tout genre, des dictionnaires, des agendas ou tout simplement des suites ! Succès s'il en est, Yu Gi Oh n'échappe pas à cette règle et connaîtra plusieurs suites ou spin-off, Yu Gi Oh R, est la seule véritable suite mettant en scène les héros de la grande saga de Kazuki Takahashi, mais pour l'occasion ce dernier se contente de superviser, c'est l'un de ses assistants, Akira Ito, qui va dessiner. Yugi vient de remporter le tournoi de Battle City et par la même occasion a vaincu Marik. Avant que notre héros parte explorer la mémoire de son double, il va devoir subir les assauts d'un nouvel ennemi : Yako Tenma, un disciple de Pegasus bien décidé à venger ce dernier. Tenma va prendre possession de la Kaiba Corporation et va enlever Anzu sous les yeux de nos héros, bien obligés d'accepter d'affronter l'élève de Pegasus… Ils vont devoir gravir les marches (au sens propre comme au figuré) les séparant de leur adversaire en affrontant à chaque étape des gardiens : les Card Professor ! Une intrigue bien simpliste pour un résultat loin d'être convaincant ! Le pitch de départ fait penser à un titre comme Saint Seiya, où les héros de la série vont devoir progresser en affrontant des gardiens pour continuer à avancer, c'est cliché, c'est linéaire, mais c'est surtout mal exploité ! Après tout pourquoi pas, mais l’intérêt de ce genre de concept vient du charisme des adversaires et de la mise en scène des affrontements ; si vous vous retrouvez avec des adversaires creux et sans personnalité livrant des duels tout aussi inintéressants, le concept s'effondre ! Il suffit simplement de se dire que dans ce premier tome, outre l’introduction posant les bases de l'intrigue, on assiste à pas moins de sept duels, soit huit au total avec le premier affrontement dés les premières pages. Inutile de dire qu'aucun d'entre eux n'est correctement développé, qu'aucun ne propose de surprise si ce n'est le premier qui voit apparaître un nouveau dieu, qui sera au centre de l'intrigue. Tout va donc très vite, trop vite, beaucoup trop vite pour qu'on ait ne serait ce que le temps de s'immerger un minimum. A peine se font ils face, que les protagonistes entament les duels, dés les premiers tours ils sortent des combos dévastateurs...c'est bien simple tous les duels sont réglés en trois tours. Pourtant, et c'est d'autant plus regrettable, on retrouve les mêmes mécanismes, les mêmes possibilités, avec des créatures et pièges inédits, donc des combos inédits. Mais tout est fait dans la précipitation et ne nous laisse pas le temps de profiter. En ce qui concerne le moment où se déroule ce titre court de cinq tomes, on peut également se poser la question de sa légitimité. Pourquoi ne pas avoir introduit cette histoire de vengeance tout simplement après la conclusion de la première série, rien dans cette dernière n’empêchait Yugi de continuer les duels. A l'issue du tournoi Battle City, les événements s’enchaînent immédiatement et laissent peu de place à cette incursion. L'idée de départ était intéressante, d'autant plus qu'effectivement, on pouvait trouver regrettable que Pegasus ait purement et simplement disparu de la série d'origine, mais tout est fait de manière bien trop maladroite. Si le dessin, bien qu'ayant changé de main, reste sensiblement le même, Akira Ito faisant du très bon travail, la narration elle est catastrophique. Mais l'adaptation française n'est pas loin de l'être également. On trouve de nombreuses pages floues et mal ancrées, tout simplement moches. Et on trouve des commentaires pas loin d'être ridicules « il y avait treize Card Professor, vous en avez vaincu six...il en reste environ sept »...quoi environ ? Une simple soustraction ne donne pas environ un résultat ! La lecture de ce premier tome s'avère être une belle déception, mais au rythme où se sont déroulées les choses, il est probable (du moins on l'espère) que la suite nous réserve quelques surprises...et il faudra bien ça pour commencer à susciter un minimum d’intérêt ! Critique 2 Après avoir remporté haut la main le tournoi de Battle City, Yugi est devenu le duelliste le plus redouté à travers le monde, réputé pour détenir désormais les trois cartes de Dieux Egyptiens. La tranquillité est revenue à Domino City, jusqu’au jour où Yakô Tenma, fils spirituel de Pegasus Junior Crawford, pirate le système de la Kaiba Corporation pour s’en emparer et kidnappe Anzu. Son objectif ? Yugi Mutô, le responsable de la disparition de son maître bien-aimé… Yu-Gi-Oh ! R et le seul spin-of de la saga Yu-Gi-Oh ! directement lié à l’aventure de Yugi, contrairement à Gx, 5D’s ou plus récemment Zexal. Pour les fans, voici donc le moyen idéal de retrouver le roi des jeux et sa joyeuse bande le temps de cinq volumes qui racontent une aventure inédite, à base de duels de carte. Formule alléchante, mais le contenu est loin d’être satisfaisant... Dans la chronologie Yu-Gi-Oh !, cet épisode « R » se déroule entre l’arc Battle City et celui du voyage dans le monde de la mémoire. On s’attend ainsi à découvrir une histoire inédite située à un moment opportun dans l’histoire, un peu comme l’ont fait certains fillers de la série animée, qui étaient somme toute plutôt réussis. Pourtant, cette nouvelle intrigue s’annonce comme intimement reliée à l’histoire principale, tant l’antagoniste de ce manga est lié à Pegasus lui-même et semble revenir sur la création des Dieux Egyptiens. Intriguant, n’est-ce pas ? Mais le développement de cette intrigue sur ce premier volume est bien loin d’être convaincant. En effet, les enjeux sont fixés dès les premières pages, de même que les objectifs de ce nouvel adversaire. L’auteur ne prend pas la peine d’instaurer au titre un réel mystère ni quelques tensions. La seule énigme de « R » sera la présence de ce fameux Dieu pouvant égaler Râ. Pour le reste, Yugi et les siens devront affronter un à un les différents duellistes se présentant à eux, jusqu’à atteindre Yakô Tenma pour sauver Anzu. Et… c’est tout. Le schéma intégré au récit dès les premiers chapitres n’est pas le réel problème de Yu-Gi-Oh ! R. Après tout, cette linéarité connue depuis certains titres comme Saint Seiya et régulièrement retrouvée dans les shônen d’aujourd’hui n’est pas dérangeante si l’intrigue et les affrontements proposés sont correctement développés. Le problème de l’entièreté de ce volume, c’est que la forme de chaque épisode est la même : Un « Card Professor » se présente à nos héros, ces derniers l’affrontent, sont d’abord malmenés puis remporte la victoire grâce à un combo miraculeux. Alors oui, ce schéma a été largement exploité dans la série principale, mais les duels étaient suffisamment développés et les adversaires originaux et intéressants pour apporter un intérêt aux parties de cartes. Ici, chaque duel occupe un unique chapitre. Les affrontements ne sont ainsi pas développés, les différents adversaires clichés et jamais fouillés. Aucune tension ne règne, l’issue des matchs est évidente. Le titre ne parvient même pas à se rattraper sur l’humour, tombant souvent à plat lorsqu’il intervient. Au final, les seuls bons points dans ce volume sont sa fin qui vient chambouler la linéarité de l’histoire, le retour d’un personnage porté disparu depuis longtemps, et les éventuelles révélations qui pourraient intervenir autour du Dieu de Tenma. Mais sur les duels de cartes, ce premier opus est un véritable fiasco. On notera que si Kazuki Takahashi supervise l’œuvre, nous devons le dessin à Akira Itô, un assistant du maître qu’il parviendrait presque à égaler ! Le style de dessin si particulier de Takahashi est reconnaissable et malgré quelques petites imperfections, le tout est globalement très convaincant, de même pour le design des monstres. Reste une mise en scène des duels qui ne pourra pas égaler l’excellent travail du mangaka originel de Yu-Gi-Oh ! . Kana avait fourni un excellent travail d’adaptation sur le titre principal, et nous retrouvons ici cette qualité. Cependant, ce tome 1 souffre de gros problèmes en ce qui concerne l’impression. En milieu de tombe, de nombreuses pages s’avèrent floues, comme si l’éditeur avait agrandi les planches de manière maladroite, gâchant la netteté de celles-ci. C’est très dérangeant tant le contraste avec les premiers chapitres est flagrant, et le dessin d’Akira Itô s’en retrouve gâché. Un gros carton rouge pour l’éditeur qui aurait mieux fait de vérifier ses volumes. On espère que les quatre prochains tomes ne souffriront pas de ces tares. Au final, ce premier tome de Yu-Gi-Oh ! R déçoit. L’histoire annoncée ne volait pas bien haut, mais aurait pu aboutir à de nouveaux duels palpitants et des réponses à certaines questions en suspens autour de Pegasus. Au final, il en résulte une succession de duels téléphonés et sans saveur, bien loin des affrontements dantesques que l’on a suivis dans la série principale. Gageons qu’il reste quatre tomes à la série pour se rattraper, et le titre ne pourra pas tomber plus bas que ce premier opus. Kazuki Takahashi supervisant le tout, on espère que l’épisode « R » parviendra à redresser la barre sur sa suite. (Critique de www.manga-news.com). Avant de créer ce manga exceptionnel, le jeune mangaka Kazuki Takahashi a publié en 1990 un récit d'histoires courtes, Tokio no Tsuma, avant d'entamer l'année suivante sa première série : Tenkai Iro Otoko Shu Buray. Cinq ans plus tard, il atteint la gloire grâce à un graphisme étonnant et un groupe de héros attachants unis par une amitié sans faille. Moteur du manga, elle le sublime, rendant captivant ce récit où jeu et force des sentiments s'accordent au trait élégant de Takahashi. La fougue des trois héros de Takahashi touche aussi bien les petits que les grands. Ito (Akira)
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heureusement
« Hier à la télé j’ai entendu une femme, une femme riche, éduquée, qui parle ce français du pouvoir, elle disait sur ce ton des gens qui ne doutent de rien, et surtout pas de leur intelligence, alors qu’ils devraient, on dirait même qu’il y a urgence, elle disait “Tous les pauvres ne sont pas terroristes, heureusement !" Le “heureusement", ajouté sur le ton du bon sens, du ma brave dame ben dites donc imaginez tous ces pauvres arme au poing refusant d’être laminés, on serait dans des problèmes, on n’en finirait plus. “Tous les pauvres ne sont pas terroristes, heureusement !" Mais heureusement pour qui ? Heureusement, qu’elle disait – que le bon pauvre se laisse mener à l’abattoir sans protester, sinon imaginez, le bordel que ça ferait à chaque saignée… Cette femme sait que pendant qu’elle félicite le pauvre de sa docilité, dans ce français châtié des courtisans admis au Palais, les Goodyear, les Air France, les postiers ou les ArcelorMittal sont écrasés, embastillés, pour l’exemple. Elle sait les kilomètres de colonnes de réfugiés qu’on parque dans des camps pour les expédier en Turquie. Elle sait l’explosion de la misère, à quelques mètres du luxe de sa cantine. Ils savent. Ils applaudissent la soumission. Ils se réjouissent de nous voir aussi bêtes. “Heureusement, disent-ils, heureusement que le pauvre laisse le riche lui grimper sur le dos.
" Une autre fois, dans ta télé, c’est une autre bourgeoise, parlant le même français appris dans le même Palais, qui vient te dire “je suis islamophobe". Elle n’a pas honte. Tout est bon dans le bourgeois, même le caca, alors si ça lui sort du cul pourquoi elle le poserait pas sur la table ? Elle est islamophobe. Il fallait qu’elle en parle. Ces gens-là, s’il s’agit d’aller chercher le contrat du côté de l’Arabie Saoudite, quand il s’agit d’aller manifester coude à coude avec le Cheik du moment, l’islam ne leur pose plus aucun problème. Quand elle dit islamophobe, l’Arabe auquel elle pense ce n’est pas celui qui fait la queue derrière elle pour s’acheter du Vuitton dans le VIIIe arrondissement. L’Arabe auquel elle pense, c’est le pauvre. Autorisé à marcher sur le même trottoir qu’elle, habilité à entrer dans la même mairie, à prendre le bus, à s’inscrire dans les écoles. De ceux-là, elle n’en peut plus. C’est trop de souffrance, il faut que ça sorte : elle est islamophobe, au nom de la liberté, de l’égalité, de la fraternité. Les autres religions ne la dérangent pas. Elle est précise : islamophobe, mais pas raciste. Et quand elle ouvre les portes de cette intolérance-là, elle imagine que c’est au nom du bien du peuple. Comme s’il avait besoin de pogroms, le peuple, et non d’argent pour la santé publique, comme s’il avait besoin de plus de bavures policières, et non d’accueils pour les SDF, comme s’il avait besoin de plus de meurtres homophobes, et non de plus de professeurs. Ou comme si elle imaginait sérieusement qu’elle allait désigner de son petit doigt de comtesse la population de pauvres sur laquelle le peuple pourra se défouler, un peu comme on montrerait le macaron qu’on convoite dans la vitrine de chez Ladurée. Que sa fortune lui confère une autorité naturelle sur le petit peuple qu’elle s’occuperait de diviser, en bergère inspirée… Mais madame la comtesse, si vous avez le droit d’être islamophobe, combien de temps pensez-vous pouvoir interdire aux autres d’être antisémites et de ne pas avoir honte de le dire, puisqu’on n’a plus honte de rien, au Palais, d’être homophobes et de ne pas avoir honte de le dire, et de penser qu’il faut les éliminer, ces pédés, de penser que la place des femmes est à la maison, et qu’il faut corriger celles qui sortent, de penser que les Noirs sont des singes et de ne pas avoir honte de le dire ? Vous avez honte de quoi, au Palais ? On commence à se poser la question… pas de l’évasion fiscale, ni de la corruption, ni des expulsions, ni de l���école démolie, ni des hôpitaux outragés, ni de la pollution, ni de la bouffe empoisonnée, ni des ventes d’armes, ni du chômage longue durée ? Laissez-nous vous dire, madame la comtesse, que la petite rebeu qui prend le bus avec son foulard sur la tête nous on s’en bat les couilles, ce qu’on veut c’est que l’histoire change de sens, qu’elle cesse de ne servir que vos intérêts, pour penser un peu à celui du plus grand nombre… On a compris que l’Arabe qui sort son voile est un Arabe qui dit je t’emmerde. Un Arabe à la mémoire longue. Un communard, un communiste, un musulman, un gréviste, un terroriste…
Vernon Subutex 3
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Chronique #30 : Les Teasers, tous les mêmes ! (Thème du mois : Les bandes-annonces)
Un slam de batterie saturé, des plans en fondu présentant des personnages qui s’interrogent, des écritures en lettres capitales, une musique marquante, une voix-off qui explique vaguement les enjeux, une punchline finale et le plus important : la date de sortie. Voici ce à quoi ressemblent la plupart des bandes-annonces du cinéma moderne. En somme, une promesse. Le film que vous allez voir, ce sera ça. Il y aura des explosions, de l’action, des blagues, du suspense, des scènes, inédites, épiques, magistrales. Si bien qu’une phrase revient souvent chez le spectateur en sortie du film : « les meilleurs moments sont dans la bande-annonce. »
Je le reconnais, hors pandémie, il est bien difficile de passer à côté de ces trailers. Il faut en voir quatre ou cinq au cinéma avant de pouvoir déguster le film pour lequel on a acheté un ticket. Activer adblock pour éviter celles qui s’incrustent sur YouTube ou Twitch. Éteindre la télévision pour ne pas voir les chaînes diffuser les bandes-annonces des films qu’elles soutiennent. La solution n’est donc pas de les éviter, mais de s’en méfier.
Cyniquement, la bonne bande-annonce est celle qui fait venir un spectateur en salle, alors qu’il n’avait pas du tout prévu de poser ses fesses devant le film en question. Mais ça peut être une bombe à retardement. Un exemple frappant est le film Steak de Quentin Dupieux, sorti en 2007. Présenté comme la nouvelle comédie d’Eric et Ramzy alors au pic de leur popularité, le film fait finalement un flop retentissant. Pourtant la recette était connue et bien appliquée dans le trailer. Une musique entraînante, des blagues absurdes, potaches et visuelles, Eric et Ramzy omniprésents à l’écran et une question : lequel des deux sera un vrai Chivers ? A priori, on se dirige vers un moment de franche rigolade comme on en a passé devant La Tour Montparnasse Infernale ou Halal police d’Etat, que pourrait-il mal se passer ? Et bien tout. Steak en a dérouté plus d’un car ce n’est pas une comédie d’Eric et Ramzy. C’est un film d’auteur, presque de genre, avec de la violence, des plans longs, une musique étrange et du malaise. Et même s’il a sûrement converti certains spectateurs parmi le (gros) lot des déçus, on peut légitimement parler de tromperie sur la marchandise. Est-ce un incident isolé ? Une gourmandise opportuniste ? Une spécificité française qui n’arriverait pas dans un pays bien mieux préparé au marketing des grosses industries ? Ce sont des questions rhétoriques, la réponse est bien entendu non.
En 2011 sort le film Drive de Nicolas Winding Refn, avec Ryan Gosling et Carey Mulligan. Des grosses voitures, du bitume qui fume, des poursuites, des armes automatiques, une femme qui pleure et qui reste en retrait à encourager un jeune homme à la coupe de cheveux impeccable et qui plisse les yeux pour faire mystérieux. Voilà ce que nous présente la bande-annonce. Un concurrent sérieux pour Fast and Furious 5, sorti un mois auparavant. Beaucoup des spectateurs du cinquième film de la saga vont se ruer dans les salles voir Drive, histoire de s’injecter une nouvelle dose d’adrénaline. Qu’en pensent t-ils une heure et demi plus tard ? On pourrait demander son avis à cette spectatrice américaine qui a attaqué en justice la société de production responsable de la bande-annonce pour publicité mensongère. Oui, on ne doute de rien aux Etats-Unis. Comme Steak, Drive n’est pas ce que la bande-annonce prétendait qu’il était. Les poursuites en voiture que l’on voit dans le trailer ne durent même pas 10 minutes dans le film. Il n’y a pas de fusillades en pleine ville, peu de cascades et d’héroïsme, mais un climat noir, glauque, presque crade.
Il serait naïf de ma part de me plaindre de ces multiples exemples. La réalité du marché peut forcer l’industrie à ces manœuvres peu honnêtes pour remplir les salles et rentrer dans leurs frais. Cependant, le « schéma narratif » que je vous ai décrit dans le premier paragraphe s’applique à une large majorité des bandes annonces diffusées. On se retrouve ainsi rapidement noyés par une offre générique, complètement homogène et archaïque. Et pour sortir de cette masse, il faut se démarquer. Ce qui serait très facile dans ce secteur. D’ailleurs ça a déjà été fait, et récemment.
Posons-nous cette question. Qui a compris le trailer du film Parasite de Bong Joon-Ho ? Sans spoiler, qui aurait pu anticiper où le film allait nous emmener après avoir vu la bande-annonce ? Si vous dites oui, je vous crois, mais c’est bien parce que c’est vous. Indéniablement, cette bande-annonce a participé au succès incroyable du film. Elle parvient à créer un mystère sur le film, tout en ne dévoilant rien de l’histoire. Elle nous met sciemment sur une fausse piste pour finalement casser les piliers sur lesquels on s’était nonchalamment allongés afin de nous immerger dans une intrigue bien plus complexe et déroutante. Cette bande-annonce est une grande réussite. Quand on va voir Parasite, on ne sait rien. Tout n’est que découverte. C’est très fort.
Le trailer peut donc être un espace de création, d’imagination, et non pas une contrainte dont les sociétés de productions aimeraient bien se passer, comme le prouve le fait qu’elles demandent régulièrement à une entreprise externe de la réaliser. Grande scénariste et réalisatrice, Agnès Jaoui a pu expérimenter le métier pour la première fois grâce à une bande-annonce. Au scénario de On connait la chanson avec l’immense Jean-Pierre Bacri, qui nous manque beaucoup, elle se voit confier la réalisation et le montage du trailer du film par Alain Resnais. A travers un dispositif d’interview, elle y dirige Pierre Arditi, Sabine Azéma, Lambert Wilson, André Dussollier, Jean-Pierre Bacri et elle-même. On les voit réciter des paroles de grandes chansons françaises, mais comme s’ils racontaient une anecdote. C’est innovant, c’est frais, ça ne ressemble à rien d’autre et on comprend à quoi va ressembler le film. Dans un autre style que Parasite, cette bande-annonce est également une réussite.
Bien qu’actuellement nous sommes encore englués dans le marasme de la pandémie de Covid-19, l’appel de la culture et de la réouverture des salles de cinéma se fait de plus en plus pressante. Nous allons indéniablement être confrontés à une déferlante de films et donc de bande-annonces. De là à dire que le moment « bande-annonces » au cinéma sera plus long que le film il n’y a qu’un pas (qu’on ne franchira pas). Pour faire le tri, soyons attentifs aux propositions qui sortent de l’ordinaire, qui se donnent du mal pour se démarquer. Mais lisons également le pitch, observons l’affiche, apprécions le casting, il n’y a pas que les trailers qui donnent envie d’aller voir un film !
Une chronique par Axel Blandel
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27
Je n’ai pas su donner de titre à ce texte, il n’aura pas de sens, il permettra simplement à mes pensées de se laisser glisser sur une page et devenir palpable, du moins pour moi. Je n’ai pas encore décidé si j’allais t’envoyer à nouveau un lien, à quoi bon te refaire plonger dans des pensées dont tu essaies de sortir, t’emmener avec moi dans le fond de mes réflexions et démons ? Serais-tu seulement près à les entendre ? J’en doute, j’ai bien compris que je n’arriverais pas à me faire comprendre par quelqu’un qui n’en aurais pas l’envie. C’est d’ailleurs le fond du problème et je me dois de l’accepter, mon père me répète d’accepter d’être la conne de quelqu’un, j’avoue avoir du mal avec l’idée, surtout quand elle concerne la personne que j’aime ; tu vois, ce n’est pas vraiment comme tu le penses, je t’aime vraiment, je m’en sens d’ailleurs prisonnière et mieux, ou pire encore, je le nourris, je m’obstine, je pourrais penser à moi, me dire que j’ai mieux à faire que te nourrir tout au long de la journée, apparemment ce n’est pas le moment, j’ai encore faim de toi. Pourtant, si je réfléchis bien, qu’est ce qu’on aurait pu faire ? S’écouter, se croire, ça aurait pu être bien, j’en suis sûre, je me rattache d’ailleurs à cette idée, je vis dans cette illusion ? Tu penses que s’en est une ? Pourquoi tu n’as pas voulu de moi, tout de moi ? Pourquoi j’ai fais ce que j’ai fais ? Je ne ferais que me répéter en disant que c’était par pure lâcheté, dans ma tête qu’est ce qui s’est passé ? J’ai lâché, j’ai tout lâché pour être sûre de bien tout saccager sur mon passage. Pourquoi ? Le problème de fond, je ne suis pas sûre que tu voudrais le lire mais le voilà : Ne pense pas que des mots soient moins destructeurs que le reste, car les mots qui sortent de ta bouche sont associés à des pensées, c’était donc ça que tu pensais de moi ? Une fille malsaine, qui ne pouvait te faire que du mal, une fille pas correcte avec des pratiques qui t’échappe simplement parce qu’elles sont différentes de ce que tu connais ? C’est marrant, ça me revient tu as posté il y a quelque jours une citation en anglais qui disait que “ ce qui appartient au passé c’est ce que tu étais mais ce n’est pas ce que tu es aujourd’hui” j’ai souris car tu as passé ton temps à t’accrocher à mon passé comme s’il était mon présent, alors oui, je t’ai donné raison, ma plus grosse erreur car on ne méritait pas ça. Je ne vais pas dire que tes pensées envers moi on finit par te donner raison, mais presque, même si j’aurais simplement pu prouver le contraire en te quittant simplement. Au fond de moi je n’avais pas envie de te quitter, je voulais quitter celui qui ne me soutiendrait pas dans mes projets, celui qui ne me comprenait pas. Je voudrais revenir, te dire que ça va aller, que j’ai compris, que je ne suis plus ça, car je ne suis plus ça, mais comment te le prouver ? Seule ta volonté pourrait changer les choses et je ne pense pas que tu l’es, à juste titre, alors j’en reviens à ma question première, pourquoi continuer à t’aimer ? J’en sais rien, je ne contrôle pas, parfois j’y arrive, je pense à moi, mes projets, mon envie de solitude, et tu reviens sans prévenir, un morceau, un visuel, un lieu, un moment, c’est très aléatoire mais tu reviens toujours, ça ne fait que 15 jours après tout, c’est long, tellement long de penser à toi pendant 15 jours et sentir l’impasse dans laquelle je suis. Je t’écris beaucoup, je ne sais même pas pourquoi messenger me le permet alors que tu m’as bloqué. Ah oui, j’y pense, je ne suis pas malsaine, je dirais même au contraire, je fais des choses qui peuvent paraître extrême, oui, ça fait parti de moi, c’était à prendre ou à laisser ... Je m’arrête d’écrire je ne sais même plus pourquoi je dis les choses, je ne voudrais pas me justifier devant un écran d’ordinateur. Je voulais simplement t’aider à croire en toi et j’ai simplement fait l’inverse en un claquement de doigt, je doutais de ton envie d’en faire autant pour moi, quelles étaient tes envies avec moi ? Tu ne me l’as jamais dis, je n’ai jamais eu ce sentiment que tu étais fier de moi, toujours la peur, que je me dénude devant les photographes, jamais ce sentiment que mon homme avait confiance en moi, toujours l’inquiétude, comme si j’allais te glisser entre les doigts, mais pourquoi ?! Pourquoi j’aurais fais ça alors que c’est moi qui t’ai voulu ? C’est moi qui ai insisté, c’est moi qui t’ai rattrapé chaque fois que tu n’y croyais pas dès le début ! Pourquoi ? Je reste avec cette question en tête, pourquoi ce qui aurait dû être nos meilleurs moments de découvertes se sont transformés en quelque chose de compliqué ? J’ai fais l’erreur d’être trop cash, trop “transparente” au point de te faire douter, je n’avais pas vu ta fragilité, j’aurai dû être plus douce, plus délicate dans mes propos, je t’ai fais peur en voulant passer pour une fille libre ou je ne sais quoi, au final c’était moi même par peur, la peur de replonger dans une histoire d’amour. Ah je n’ai pas failli à mes propos j’ai fais tout ce qu’il ne fallait pas, alors oui j’ai des remords, j’y pense, et je retourne les choses dans tout les sens. Je t’en prie, si tu avais voulu de moi, simplement ta confiance aurait suffit, je suis ce que je suis, et j’aurais dû te laisser partir quand j’ai vu que tu n’aimais pas ça, je ne sais pas ce que tu aimes de moi, j’en suis vite venu que je n’étais que la matérialisation de ton fantasme, voila ma pensée, et qu’est ce que je peux construire avec quelqu’un qui ne vois en moi qu’un fantasme ? Tu m’as dis que parfois tu ne réalisais pas que tu étais vraiment avec moi, mais ... Tu es fou de penser ça, tu te mettais en position d’infériorité alors que tu ne l’es en rien. J’aurais voulu avoir mon égal, alors qu’au final tu es bien plus fort que moi, tu tournes la page là où moi je la remplis de pensées, et de textes en tout genre. J’aime ta force, je vais avoir du mal à lâcher prise, je pensais venir devant ta porte et déposer une fleur, avec ce texte écrit à la main mais j’ai besoin d’écrire maintenant, je serais moins romantique, pourquoi faire après tout ?!
Enfaite, je ne sais pas pourquoi je fais tout ça, écrire tout ça, penser à te l’envoyer, je devrais simplement lâcher, juste lâcher, peut être que ce texte est ma porte de sortie après tout. J’ai besoin que tu saches que je ne suis pas seule fautive, et je sais que tu le sais mais il ne te manque rien, juste de la confiance, et j’aurais tellement voulu que tu me l’accordes, et j’aurais tellement dû grandir un peu plus de mon côté, te laisser le temps d’y croire, et pourquoi après tout, c’est à toi de décider d’y croire, moi je ne peux qu’être moi, alors, tu m’aimes vraiment ? J’aurai peut être dû prendre plus le temps, mais je te sentais dans chacune de mes cellules, ce touché tellement délicat que tu as, cette façon de m’aimer tellement à toi, si je pouvais illustré je l’apparenterais à des, je sais pas des espèces de vagues dont on ne peut plus se passer. Je sais même pas si tu comprendrais ce que je lis tellement je pars dans tout les sens mais, simplement prendre conscience que putain ne vis pas dans la peur de l’autre, ça entraine tellement des mauvaises vibes alors que t’es rempli d’amour et de bonne volonté, cette contradiction en toi ça fait des ravages chez l’autre. Vraiment, couplé à ma bêtise, effectivement ça à rendu quelque chose de pas bon. De mon côté j’ai pris la claque que tu attendais et sans doute que j’attendais aussi. Je t’aime, tout de moi t’aime, et je sais que j’appartiens déjà au passé, je ressens la douleur que tu attendais, j’espère que ça te soulage un peu.
Je t’aime, mon enfant de la Lune
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Alice Zeniter : réflexions sur la définition de la pauvreté
"L'assistance dont le pauvre paraît avoir besoin pour s'en sortir peut être une charité individuelle ou une aide mise de l’Etat – dans les deux cas, il me sera permis de penser que c'est mon argent qu'on lui donne. Si je tends une pièce à quelqu’un qui fait la manche dans le métro, je lui donne un peu de ma monnaie. Si l’état lui verse des allocations ou une aide, c’est grâce aux impôts qu’il a prélevés et donc c’est aussi un peu de mon argent. Beaucoup de personnes non-pauvres se sentent ainsi autorisées à dire aux pauvres comment ceux-ci devraient dépenser cet argent qui leur échoit, puisque c'est aussi le leur. C’est ce que décrit un autre sociologue, Denis Colombi, dans un livre que je vous conseille : Où va l’argent des pauvres ? Certaines personnes non-pauvres estiment que c’est même pour elles un devoir de contrôler le pauvre pour la simple et bonne raison que, elles, elles ne sont pas pauvres et qu’elles arrivent à croire que si elles ne sont pas pauvres, c’est qu’elles savent gérer, investir ou faire fructifier, tous ces termes de non-pauvres que le pauvre ne connaît pas, que le non-pauvre pense que le pauvre ignore par bêtise ou par paresse et le non-pauvre est donc d’accord pour aider le pauvre mais à condition qu’il puisse aussi éduquer le pauvre, à condition que le pauvre soit un bon pauvre.
Ainsi, le non-pauvre (qui parfois est même aisé) peut tenter d’apprendre au pauvre quelle est la manière de se payer un costard. Spoiler : c’est de travailler.
Le non-pauvre (qui parfois est même carrément riche) peut continuer sur sa lancée et lui montrer comment se trouver un travail. Spoiler : il faut traverser la rue.
Le non-pauvre (qui parfois – c’est rare mais ça existe – est carrément président de la République), peut s’agacer de ce que le pauvre reste pauvre et il se filme en train de le dire : "on met un pognon de dingue dans les minima sociaux et les gens ne s’en sortent pas". Et il insiste : "Il faut responsabiliser les gens pour qu’ils sortent de la pauvreté". Parce qu'il paraît évident au non-pauvre qu'un pauvre responsable, ça n'existe pas. Que le pauvre ne manque pas d'argent – ce serait une lecture trop "premier degré" de la pauvreté – mais de sens des responsabilités.
Et ce qui est bien avec le sens des responsabilités, c'est qu'on peut prétendre qu'on le distribue sans que ça coûte un pognon de dingue. Ça ne risque pas d'appauvrir un non-pauvre. Ça ne risque pas non plus d'enrichir un pauvre. Ça ne change rien. On ne s'en sort pas".
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Vierge (noir)
Tenir debout mais comme un mort
J’ai entendu les chats cette nuit
Dévorer, battre, dévorer Moisson.
J’ai si mal au ventre, il vient d’arriver à bloc suis-je, et le soleil d’épaule.
J’ai mal Je tiendrais, je n’ai eu peur de venir Mais rien ne peut plus partir J’ai mal, le lait, le gateau de figues, oui, peut-être Qu’ils peuvent ralentir, la marche Mais en arrêt, en arrêt, avec l’eau froide Je ne me plais plus.
Il faut presser, se passer au miroir même si la peau change sa couleur. Ses yeux qui sont-ils ?
Tu arrives bien ? J’ai mal. Plaine, plaine, embrassez-moi.
Musique, musique, tu m’aides à recevoir la vie Vivante.
Les chats, les chats j’entends, l’horizon, l’horizon je prends Je ferme, je vois son fil. Les chats aux tripes, aux tripes de moi Jouent aux buissons. Ils ne l’ont pas tué Et comment différencier un combat inégal De deux chats sauvages ?
La peur du cri du domestique, la nuit.
C’est la veille des départs dans les îles Où je me débarrasse Où l’on me prend Me délaisse.
Déjà mon sexe faisait mal j’ai avec le trou danser comme un rond sans rendre le premier coup.
J’ai « laissé à faire ».
Sois comme ta mère, rejoins tes parents. Qu’ai-je dis vraiment ? Qu’ai-je marqué ? Souffrance qui dure, que je suis fort déjà, Que je combats !
Il faut m’aider quand je ne peux parler, et avec les transports Tu veux me toucher seigneur.
Mais la violence La violence Bonheur d’apaise.
Et violence arrive, pourquoi ?
Première fois Comme par magie elle survient.
En honte, il ne sait pas rendre surprise et détachement. Il se repasse des succès, des coups, des plaquages Il s’est arrêté.
Personne ne me protège, jamais Personne Jamais.
Ignorer L’atteignable.
Murmurer des paroles comme fou, parler du sexe de l’agresseur Contrer avec qu’il me plait.
Plus de collier, au cou nu, et pour récupérer l’habit de mon père À l’origine, que je t’en veux, toi qui aime les chats, toi qui attend le chat.
J’ai perdu le collier, ébahi en marchant dans la rue de l’enfance aux coquillages dans les murs et aux toilettes dallées, et aux pièges, au lugubre du dernier étage Je n’ai rien dis, ai tenté de venir chez vous, je suis reparti vous ne sentiez, ne pouviez sentir.
C’est ce que je montrais pour dire que j’étais ce que j’étais.
Parce-que je ne sais pas me protéger
Je voulais aller pèlerin et là-bas Vers l’amour oublié et blessé et oublié dans sa blessure certaine à deux Aller monter, sans vertige, aller déposer un mot comme au mur, comme au mur qui se lamente où la soeur n’avait rien écrit, et je suis venu te voir à la place et comment ne pas céder à la colère de contre toi qui prétend en plus ne rien demander, si ce n’est justement de ne pas être en dehors de la caresse
et que je déteste ton odeur et ta peau et tes tatouages et tes yeux hors-terre, et tes formes et tes cheveux et ton maquillage et ton tassement et tes paroles et tes attentes
mais tu n’es pas même l’affrontement premier
qui ne s’intéresse pas à toi malheureuse personne que je n’aime.
Je n’ai plus de collier, mal au bout du sexe, la veille de partir.
Encore le bijou s’éteint S’en ai tu.
Qui agresse encore les clochardes ?
C’est après l’aérien, l’oeil au torse, le dernier évènement, le tierce, l’enjambement dernier, la brulure que laisse un collier arraché au cou, brulure imaginaire, perçue par sa trace, contusion à la traine comme derrière les bras.
Cette agression qui vise à l’extinction Cette pauvreté qui protège Qu’est-ce que tu regardes toi Et moi j’avais déjà bu.
Seulement ce qui protège du vent peut permettre l’extraction. Je me suis assis sous l’arbre.
Quel est l’enjeu véritable de la violence Avec ceux qui rougissent quand on les frappe ? D’attendre le destin incontrôlable du frappant. D’attendre jusqu’où. Ne mourrez pas demain Je vous aime dans le besoin de vous qui se fait entendre. Il m’a fouetté avec tendresse.
Sentir son odeur pour se rassurer Je suis encore Ils me frappent Par derrière les jambes Et abasourdissent.
Les autres les regardent les rejoindre ensuite. D’autres poches encore accueillir mon bien.
Je n’ai porté ma plainte. Pourquoi auraient-ils ne pas raison de m’en vouloir ?
C’est ce pays qui est dangereux. Bonjour à la belle enfant. Partir Comment peuvent-ils m’aider Attaqué je rougis Je sature.
Mais pourquoi après moi ils sont ?
Il y a des liens À traiter comme un territoire.
Coup derrière les jambes Celui qui ne comprend ne peut répondre Au collier Désir du Sud, peut-être vais-je écrire, mordant.
Comme si moi mon corps n’était important acceptant le coup sans raison.
Au collier désir du Sud.
La mémoire la peau ce collier qui me permettrait d’aller me nier en étoiles, qui est parti.
Désormais l’Image est redevenue. Ciel. La mémoire la peau Ne pas se souvenir de connaître A cause de la peau A presser, éliminer. Quelle peau as-tu A montrer Aux femmes ?
Qui va plier quoi ? Je n’écris plus Se baigner voir tes seins tachés Et lui sous l’eau regarde le coucher Je suis triste Je suis fatigue J’ai exprimé Ce qui me retient Les voitures nous longeaient Je te prenais La campagne Je n’ai jamais parlé de toi De ma blessure Une tristesse je porte de la fusion de la blessure de l’amour De nos couleurs qui n’étaient pas plates Et nous pouvons parler J’oublie Que connais-tu
Il faut que je dise quelque chose que je m’exprime pour connaître Le passé existe-t’il encore ?
Je t’ai ressenti si vulnérable quand tu m’as demandé si j’étais content que tu sois Je t’aime de beaucoup Le pivert se penche sur le koala L’île tient seule sur sa terre Nue
Ce qu’il s’est passé Une souffrance d’un avenir Tu es la famille Ils t’ont parlé enfin Je suis là Espèce de caravane, comment oses-tu et bien pour changer je ne sais ma chérie fraise dans la vie il faut prendre le danger dans la bouche, tes pieds vont durcir dans le chemin vers la mer et j’aime avoir les pieds durs qui marchent vers la mer.
On dirait un sans domicile, un berger allemand, un ange, on dirait un voleur ! Jono, ma statue lionne était si bien cachée dans les herbes, quelqu’un a dû me suivre certains étangs étaient inscrit dans mon sang
Souviens toi du Malawi, je marche et je veux crier : berce mes ennemis mère j’ai peur j’ai peur ils me suivent partez j’espère survivre à demain et partir et la distance comment rentrer ?
Je serai enfermé et seul je n’en puis plus de ce qu’ils me font.
Bave-pipe de soeur ravagé par les quoi-villes de la vierge On mérite toujours les amis que l’on a On veille sur toi dors tranquille Et ma mère Je pense à elle C’est un début Quand je regarde l’horizon des flèches sortent de moi.
La jeunesse D’une maison Des espoirs La force d’être et de n’être rien Partant De découvrir
Je sais que parfois mais toi aussi tu es à sauver
Je ne manquerai pas la marche de la plage ni les colliers des mers Tuer une tache en mouvement J’ai vu déjà les guépards jongler avec la nourriture des mers Puis au lac au loin du pays plat J’ai pénétré à travers le filet d’un pêcheur né-mort Faire la joie du retour Bientôt Et Sans collier Je vais à la maison Je vais à la maison Je suis à la maison Adolescent boutonneux Je te reproche d’être Attention au départ c’est le train de la chanson d’enfance Au lieu de m’arracher les yeux Bonjour montagne Je vous salue Je dois faire corps avec vous L’espace était l’espace d’une folle
Partir des mots et expliquer : Belle enfant quand on me presse je ris Inconnus proches Aller voir au silence Le parti pris Le chasseur des zone humides
Ciel tout Ciel toi Malgré l’île Dormir
En temps d’heure D’abord l’acte
Puis la pensée de sa pensée
Il y a ce que qui me pousse ailleurs
Le loup hulule
Je ne suis pas un homme au sexe Partir Etait-ce une route de t’emmener Je ne pourrais te protéger
Boule de glace sur le Christ, à la vanille, et je lèche. Le froid de l’Allemagne la nuit Le froid La nuit noire éclairée à l’intérieur l’ex-femme est au cœur du vin élevé Qui l’a fait disparaître Le vin rouge m’attaque Je suis enfouis en tristesse
Les jeux d’enfants si sérieux et pas encore assez sérieux sur le langage Le jeu le plus sérieux du monde à trouver La première partie est la plus dure ensuite on se laisse porter en Confiance
Et qu’est ce que cela fait s’il n’y a rien ?
L’horizon s’appelle ainsi, c’est un mot que les hommes ont peuplé avant toi.
Tunnels ne me font plus peur
La meilleur moyen d’atteindre les morts C’est de se concentrer sur ce qui est là Les limites de l’esprit et la mer Nouer avec la violence pourquoi Ils vont me tuer Pourquoi Ils sont plus forts que nous Peur absolue de violence Jusqu’au bout qui supprime Gens arrive pas à m’enlever, à cause de la forme de mon corps. et mon sexe pince À Barcelone.
Elle pense à moi quand elle voit des cygnes, mais qu’ai-je donc eu à dire ? Je me sens bien de le pouvoir lire. D’autres soleils, trop de soleils, où fuir le temps ne changera pas où fuir je suis triste le noyau la boule de poil avalée je n’en puis plus aidez-moi je dois pleurer j’ai chaud, trop de soleil, trop de soleil, j’ai chaud aidez-moi je ne vais pas rester ici, c’est un échec du malgré tout d’un malgré trop je ne supporte plus la chaleur le cancer noir bloque ma respiration me coupe je vois les abdominaux dans l’eau je pleure quelques larmes trop claires tu me portes et ma mère et voilà et je ne sais pas quoi dire je dois pleurer avec ma mère que je vais quitter j’ai pris trop de soleil je meurs je suis fatigué où fuir le soleil est là et le ciel trop bleu et j’y repense à son front sa frange ils m’ont pris ils m’ont pris je suis épuisé ils m’ont pris que faire je t’en veux je ne sais pas je vais mourir, gros et évanoui sans crier sans pleurer aidez-moi je suis trop souffrant trop de soleil de chaleur, et mes doigts sans bagues se rappellent du collier sans cou peut-être encore les chats se battaient, toi ton chat, moi et la mort en violence insupportable
j’ai mal quand je rentre ici, trop de soleil
le coeur explose
le fond explose le corps explose je dois réussi à pleurer
seulement pleurer et être un homme humaine
la famille au complet, la famille qui manque
la famille du père
et me revoilà mort
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Trinity Partie 1 : Sweet Dreams Chapitre 1.5 : Sommeil Éternel
Quelques jours après le départ de Tony, Mary se questionna a propos de son avenir. Elle savait que Mike l’accompagnera dans sa vie d’adulte car elle avait fait une promesse.
N’oublie pas ! Je te protégerai ! Quoi qu’il arrive.
Mary, allongée dans son lit, regarda par la fenêtre. Et elle fut choquée de voir une tempête débarquer dans la soirée.
Super… Moi que voulais dormir tranquillement… Soupira Mary.
Ça l’ennuyait pas car elle avait presque plus peur. Elle était courageuse. Au final, Mary finit par s’endormir malgré la tempête.
Ça sera sa dernière nuit pour un long moment.
En se réveillant, Mary se retrouva dans le vide. Un espace dans la Trinité qui littéralement est rien du tout.
Ou-suis-je ? Vanessa ? Mike ? Vous êtes là ? Répondait Mary, sans avoir un réponse.
Mary ! Je suis là !! Cria Vanessa.
La petite fille rejoins sa meilleure amie pour avoir une explication sur ce qu’il se passe actuellement.
Pareil ! Je me suis endormie et j’étais arrivée ici. Disait Vanessa.
Votre monde s’est endormi…
Hein ?! Qui est là ? Demanda Mary.
Je ne veux pas vous faire du mal… Je veux vous guider.
Attends… Vous serez pas Luminata ? Demanda Mary, en reconnaissant sa voix.
Exactement. Disait la déesse.
Mais pourquoi vous dites que notre monde est endormi ?! Demanda Mary, qui avait besoin de savoir.
Une organisation commandé par Ark et Origama ont bloquer votre monde avec des Cauchemars… Et j’ai du l’endormir pour éviter le risque de mourir. Révéla Luminata.
On va rester ici ?! S’inquiéta Vanessa.
Non ! Ne paniquez pas ! Vous serez transportés a la Trinité. Avec Tony et ses amis. Disait Luminata.
Vous êtes sure ? Car on peux pas faire grand-chose en étant enfant… Disait Mary, en rigolant.
Tu rigoles, j’espère ? T’es vraiment quelqu’un de spécial… Tony t’expliquera comment ce monde fonctionne. Prévenait Luminata.
Compris. Disait Mary.
Au même moment, dans un coin reculé de la Trinité, un feu de camp consume délicatement avec autour Tony, Alica, Emani et Sayari. Tout le monde était heureux sauf Tony… Qui arborait un visage triste.
Ça va ? Demanda Emani.
Pas vraiment… J’ai senti une pression au niveau du cœur. J’ai peur qu’un monde s’est endormi… Disait Tony.
Tu sais… On a tous eu la même sensation. On ira voir demain, d’accord ? Proposa Emani.
Regardez ! Des étoiles filantes ! Pointa Sayari.
Tout le monde regardait le ciel étoilé pour observer un spectacle magnifique. Tony, qui est assez observateur, remarque deux étoiles différentes. Une verte et une orange.
Je crois savoir quel monde est endormi. On verra demain car c’est un gros problème. Préviens Tony.
Je peux dormir a coté de toi ? Demanda Emani a Tony.
Non ! N’essaye pas. On reste que amis ! Disait Tony.
Emani faisait un soupir de déception car c’était quelqu’un qui avait de l’admiration. Sa grande sœur était son modèle et elle voulait suivre ses pas pour devenir gardienne a son tour mais malheureusement, a cause de sa mort, c’est Tony qui a pris sa place.
Tout le monde dort après que Tony prévenait que peut-être Mary et Vanessa était là dans la Trinité. Mais au même moment…
Bon, il faut qu’on les trouve… Je vois un feu là-bas ! Pointa Mary.
Dis… T’es pas un peu plus grande ? Car ta voix… Préviens Vanessa.
La tienne aussi ! Vu qu’on rêve, je pense que c’est temporaire. Disait Mary, en se caressant les cheveux.
C’était le cas. Pour utiliser ses pouvoirs dans ce monde, Mary et Vanessa ont vieillie de trois ans et comme si c’était pas assez, les cheveux de Mary ont été détachées et le nœud papillon de Vanessa a disparu.
Il faut qu’on dorme… Car rester dans cet endroit peut dérégler notre horloge biologique… Disait Mary.
Hein ? De quoi tu parles ? Demanda Vanessa.
Imagine si la Terre tournait trois fois plus vite. Les journées dureront moins longtemps et du coup, on prendra cher a propos du sommeil. Expliqua Mary.
Oh… Je vois… J’aurais imaginer ce que ça donnerait si elle tournerait 17 fois plus vite.
Disait Vanessa.
Oula… On est mort si ça arrive… Car déjà a l’équateur, tu pèseras plus rien et ensuite… La Terre explosera. Révéla Mary.
Ah… Je crois que j’ai un peu exagérée… Disait Vanessa, en rigolant.
T’inquiète pas… Ça arrivera jamais car notre planète ralenti en continu. Les journées se rallongent de quelques micro-secondes tout les 100 ans. Expliqua Mary.
Ouuaaa… Tu sais… Savoir des choses me fatiguent beaucoup… Disait Vanessa, en s’étirant les bras.
Ouais… T’as raison. On va aller dormir. Disait Mary.
Les deux filles dorment a coté de la tente auquel Tony et ses amis sont.
Bonne Nuit… Disait Vanessa.
Bonne Nuit a toi aussi, mon amie. Disait Mary.
La Lumière de Luminata se leva lentement vers le ciel et tout le monde fini par se réveiller a cause des ronflements des deux petites filles alors qu’ils ne le savent pas du tout.
On a de la visite ? Disait Emani.
Je vais aller voir. Restez ici. Disait Tony
Tony sortait de la tente pour aller regarder et voyait sur le coté, Mary et Vanessa qui dormaient tranquillement a coté d’eux.
Mary se leva tranquillement pour apercevoir l’horizon et se sentant pas prête, décida de se rendormir. Sauf que Tony l’a remarqué.
Ah ! J’ai faillie faire une attaque ! Disait Mary, en écoutant le garçon rire de joie.
Haha ! Je le savais que t’allait venir. Ne me prends pas pour un poisson rouge. Disait Tony.
T’es au courant ? Si c’est le cas, il faut qu’on trouve un moyen de revenir mon monde ! Disait Mary.
Hé ho ! Pas si vite. Déjà, il faudra savoir comment vous défendre car ici… Comment dire ? C’est un peu difficile… Prévenait Tony.
Tu peux nous apprendre ? Demanda Vanessa.
Tout a fait… Mais d’abord, il faut qu’on aille dans notre base. Vous êtes partantes ? Disait Tony.
Oui ! Répondait les deux filles.
Toute l’équipe accompagnent les deux filles dans la base de Tony et de ses deux sœurs. Déjà, il y avait peu de technologie, ce qui avait étonnée Mary.
J’ai l’impression de vivre en campagne… Disait Mary.
C’est vrai. En même temps, c’est un monde de rêves. Donc il se peut que ça reflète pas a ce que tu attends. Disait Tony, en allumant quelque chose.
C’est quoi cette télé ? Disait Vanessa.
C’est pas une télé ! C’est le terminal des mondes. C’est comme ça qu’on voyage de mondes en mondes. Disait Alica.
L’écran s’allume et montre actuellement le monde de Mary. Complètement noir.
Ok… Elle a pas fait les choses a moitié… Voyait Cristaria.
Tony finissait par lancer l’analyse a propos des mondes dans laquelle Ark et Origama ont détectés.
Ça va prendre du temps. Donc les deux, vous allez vous entraînez. Disait Tony.
J’aurais refusée mais notre survie dépends de ça. Donc, on est partants ! Disait Mary.
Ok ! Emani, surveille s’il te plaît. Ordonna Tony.
T’inquiète pas ! Je bouge pas d’ici. Préviens Emani.
Quand les deux petites filles sortirent dehors, leurs âmes sortent de leur corps. Leurs cœurs. Elles restent figées en voyant ce qu’il se passe.
Paniquez pas ! C’est normal ici car le danger n’est pas loin. Rassure Tony.
D’accord… On te fais confiance… Disait Mary, en étant très inquiète.
Tony expliqua que leur âme doit être protégée quoi qu’il arrive. Sinon, le porteur meurt en laissant l’âme derrière elle.
Donc… Tu es en train de dire que tout le monde essayera de s’en emparer ?! Là, Je suis très inquiète a propos de ma sécurité. Disait Mary, en tremblant de peur.
L’avantage, c’est que je suis le seul qui peut te la prendre. Donc, il faut que quelqu’un te tue pour que ça arrive. Et mon dieu, que les mondes auquel on va voyager seront hostiles… Disait Tony.
Tony ! C’est fini ! Appela Alica.
Mince. Bon, vous avez de la chance. Venez. Disait Tony.
Ouf… Soupirent les deux petites filles.
De retour a la base, l’écran affichait quatre mondes en danger.
Bon, au moins, ça sera court. Disait Tony.
Tu veux dire quoi par là ? Demanda Vanessa.
Les mondes sont hostiles mais… Il y en a qu’un seul qui est vraiment tendu. Préviens Tony.
Et laisse moi devinez… On va y allez en premier, c’est ça ? Disait Alica.
Oui. Du coup, si on s’en occupe, on aura plus a se soucier de Mary et Vanessa. Disait Tony.
Au fond, tu as raison. Mais je préfère que toi et tes deux sœurs aillent s’en occuper. Tandis que nous, on te communiquera a propos du monde. Préviens Sayari.
Et aussi, on pourra pas trop t’aider a cause de notre… Quotidien. Disait Ares.
Pas de problème, on le sais très bien que vous pouvez pas venir a cause du lapin de Sayari. Disait Cristaria, en rigolant.
Je commence a m’inquiéter pour Snow… Il est devenu… Vraiment étrange ces derniers temps. Disait Sayari.
On verra ça quand on aura terminer. Pour l’instant, il faut qu’on s’occupe de Mary. Disait Tony.
Tu as raison. Bonne chance. Encouragea Sayari.
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Phil Vizcarro
Aujourd'hui j’ai l’immense plaisir d'interviewer Phil Vizcarro, l’auteur du dernier Undercover Turbo Duckies, mais aussi de la collection Cosmo Duck Roll&Write Collection, chez Cosmo Duck, de Dany, Dany se fait des films chez Grrre Games, ou encore #ashtag et Journée de Merde chez Mango. Il est également le fondateur de sa maison d’édition: Cosmo Duck.
Bonjour Phil, tout d’abord un grand merci d’avoir accepté de répondre à mes questions! Peux tu nous décrire ton parcours? Alors j’ai commencé dans le jeu de société un peu par hasard, en développant des jeux pour moi, pour le fun, alors que je n’étais pas du tout dans le milieu. Je ne jouais pas aux jeux modernes, et mes vieux jeux de société étaient sur une étagère dans mon garage. Et puis j’ai acheté des jeux dits “modernes” pour m’y remettre, par curiosité et je me suis rendu compte que le milieu avait vachement changé, depuis La Bonne Paye ! (rires) Ça m’a donné envie de m’y frotter et j’ai commencé à développer deux jeux : Streums avec un pote et un hommage aux Fous du Volant, qui allait devenir Hollywood Death Race. J’ai montré un peu mes jeux sur Internet, et l’intérêt -à ma grande surprise- a été vif et rapide, ce qui n’a fait que me motiver davantage. J’ai commencé à bosser sur d’autres projets de jeux, à être contacté par différents éditeurs et c’est là que j’ai compris que j’avais sans doute un truc à faire dans ce milieu.
Streums High Quel est ton processus de création? Difficile à dire. Ça dépend du jeu, de mes humeurs, de mes envies, de si je bosse sur un jeu seul ou avec des co-auteurs… Je dis souvent qu’il y a au moins autant de processus que de créateurs et que demander des conseils à quelqu’un sur la façon de créer est une hérésie. Bien-sûr il y a quelques évidences, mais au final je pense que si l’intention est bonne, peu importe le chemin emprunté. Et surtout, il faut faire ce qui sonne juste pour soi et pas essayer de faire comme tel ou tel auteur. Parce que ce qui marche pour l’un ne fonctionnera pas forcément pour un autre. J’ai créé des jeux en quelques heures, parce que tout étais là, que c’était fluide et naturel, et d’autres m’ont pris des semaines entières. Et les plus longs ne sont pas forcément les plus complexes. Créer un jeu, c’est un peu comme avoir un enfant : tu sais ce que tu voudrais, mais c’est pas forcément ce que tu as au final et tu n’as pas forcément fait tout à fait comme tu avais prévu non plus. Mais au final tu l’aimes… enfin en principe. (rires) Pourquoi avoir décidé de créer ta propre maison d’édition plutôt que de proposer tes jeux aux éditeurs existants? Ah mais l’un n’empêche pas l’autre. Même si l’équipe de Cosmo Duck travaille principalement sur nos projets, on continue à bosser aussi avec des éditeurs. Par exemple, avec Amine, on a 2-3 jeux qui sortent cette année en dehors de Cosmo, Grrre Games sort mon Dany se fait des films, j’ai d’autres trucs signés par-ci par-là… Donc en fait on continue à faire les deux. Déjà parce qu’il arrive que des éditeurs nous demandent des jeux spécifiques, et puis certains trucs sur lesquels on a bossé ne correspondent pas forcément à la ligne éditoriale de Cosmo, ou il s’agit de “gros jeux” et que pour le moment, c’est pas ce qu’on cherche à faire avec Cosmo. Quelle est la ligne éditoriale de Cosmo Duck? Un univers riche et très appuyé, qui sert généralement le gameplay. On pense toujours les deux conjointement. Des jeux accessibles, fun, qui te permettent de te refaire l’histoire après avoir joué. Des expériences qui rappellent les bons moments entre potes à jouer à Worms, Bomberman ou Goldeneye 64. Des fous-rires, des crasses entre potes, des références à la popculture dans tous les coins… Mais aussi et surtout, des messages positifs. Parce que ça me paraît important. Je pense que quand tu crées de l’entertainment (je fais mon VanDamme), quand tu crées quelque chose qui va potentiellement impacter des gens, tu te dois d’essayer de véhiculer des choses bienveillantes et positives. Parce que l’éducation passive se fait aussi par le jeu. Planter des graines, tout ça. Alors je n’en fais pas une vérité absolue, mais c’est un élément clé chez Cosmo, en tout cas. Et ça ne nuit pas au fun, alors pourquoi s’en priver ? Tu finances tes jeux sur Ulule? Pourquoi cette méthode de financement et pourquoi Ulule? Disons que pour un jeune éditeur comme nous, c’est un peu le meilleur moyen de présenter nos jeux et de vraiment jauger l’intérêt. Bien sûr, on adorerait être en boutique, mais la réalité du marché fait que quand tu débutes, les distributeurs ne te connaissent pas, il faut des fonds de ouf pour faire un premier tirage décent et tu n’as aucune garantie que ton jeu sera vraiment mis en avant en boutiques. Avec un financement participatif, tu as plus de contrôle. Ceci dit, en tant que “petit”, tu sais que les volumes que tu vas produire avec un Ulule ou un KS ne seront pas les mêmes qu’avec une distribution en boutique. Les risques ne sont pas au même endroit et les acheteurs ne sont pas non plus tout à fait les mêmes. En réalité, un financement participatif, c’est vraiment une méthode à part. Pour te dire, nous avons des jeux que l’on sait aujourd’hui qu’on veut placer directement en boutique et d’autres que l’on veut présenter en participatif. C’est vraiment deux mondes différents, même s’il arrive à des jeux financés de se retrouver ensuite en boutique. Quand à ta question sur Ulule, c’est juste que nos deux premiers projets étaient en français, et qu’Ulule est plus adapté que KS pour un projet français. Nos prochains projets n’auront plus cette barrière de la langue et on pourra donc passer sur une plateforme plus internationale. Peux tu nous partager les coulisses d’une campagne de financement participatif? Quelles sont les grandes étapes? J’aurais été tenté de te dire qu’il y a autant de façons de faire que de gens qui le font, mais c’est pas super vrai, et on le voit aux résultats de certaines campagnes. Avant toute chose, il faut donc beaucoup observer ce qu’ont fait les autres, ce qui marche ou au contraire pas du tout. Avec une campagne, tu vas vivre quelques jours intenses et si tu ne te blindes pas, ça peut être très stressant. L’important, c’est d’avoir tout bien préparé avant. Ce que tu veux proposer en stretch goal si le financement est atteint, ça se décide bien en amont. Pas trois jours avant ou pire, en pleine campagne. Il faut aussi avoir préparé une période de promo avant la campagne, pour montrer le jeu et susciter l’envie chez les joueuses et joueurs. Ta campagne ne va durer qu’environ un mois, c’est avant ça qu’il faut que les gens apprennent l’existence de ton jeu. Quand tu as bien défini la structure de ta page, la dynamique envisagée de ta campagne (nombre de stretchs, espaces entre eux, etc) et que tu as préparé ta comm, t’as déjà fait le plus gros du boulot. L’idéal, c’est aussi d’envoyer des boîtes à des revieweuses et reviewers. Ça demande un investissement préalable, mais c’est quelque chose d’important. Ça donne aux gens la possibilité de découvrir ton jeu sous un spectre différent de ta propre promo. Faut pas oublier qu’on est là avant-tout pour divertir les gens, que l’offre est actuellement plus que pléthorique et que si tu veux vendre pour vendre, tu ne feras pas long feu. Mieux vaut se concentrer à faire kiffer ton public qu’à essayer d’écouler des brouettes de ton jeu aux mauvaises personnes. Et ton public, il se construit aussi grâce à ces reviews. Quels sont les pièges à éviter pour réussir une campagne à financement participatif? Le premier piège, celui qui plombe la plupart des financements, ou qui peut retarder drastiquement certaines prods, c’est d’avoir mal calculé des coûts et les frais. C’est difficile quand tu débutes de voir réellement tous les coûts cachés. Mais bordel y’en a partout. (rires) Par exemple, si tu décides de faire produire 25 boîtes de ton jeu pour les envoyer à des reviewers, bah faut intégrer tous les coûts que ça représente, et pas seulement la prod. Les jeux, tu vas les envoyer dans des cartons, avec du bulle, tu vas payer l’affranchissement, etc. Ça paraît évident comme ça, mais pourtant… Et puis il y a toujours une galère par-ci, une autre par-là, et les galères, bah ça coûte toujours de l’argent. Donc mieux vaut éviter de budgetter trop serré. L’autre truc aussi, c’est de bien penser à la façon dont les stretch goals vont modifier le produit fini. Rajouter des pièces en métal, c’est pas juste plus joli, c’est aussi plus lourd. Parfois, rajouter juste 3 cartes te met dedans parce qu’en matière de prod, ça demande une planche en plus. Et ça, crois-moi, si tu t’en rends compte post-financement, bah tu vas pas passer un bon moment. Et puis il y a aussi l’aspect humain. Croire que tu peux gérer une bonne campagne tout seul est illusoire, sauf si tu es adepte du vieillissement accéléré. Mais je pense que le professeur Xavier a perdu ses cheveux en lançant une campagne de financement participatif. Non, il faut une équipe dans laquelle chacun a son rôle. Et le dernier piège à éviter, c’est de répondre aux trolls. Mais ça, c’est un autre sujet ! (rires) D’où t’es venu l’idée d’Undercover Turbo Duckies? Hm. En fait c’est amusant parce qu’au départ, la mécanique de Turbo Duckies est un mix de deux autres jeux que j’avais dans un tiroir : Un jeu sur les Tortues Ninja et un autre sur les Power Rangers (deux licences que j’aime beaucoup). Et un jour, Armand Texier, avec qui j’avais déjà discuté de la possibilité qu’on bosse ensemble mais qui n’avait pas encore rejoint officiellement le studio, m’envoie un dessin trop classe avec 3 ou 4 canards hyper stylés dessus, dont un qui ressemblait méchamment à Musclor. Ça m’a tout de suite donné envie de développer un jeu dans lequel les héros seraient des canards badass. J’avais l’idée, il ne me manquait plus que la mécanique. Alors j’ai sorti mes deux jeux à licence, j’ai mixé un peu les deux, j’ai enrichi le tout avec quelques nouvelles mécaniques, ça fonctionnait bien. Je me suis posé devant ma table à dessin un après midi et j’en suis ressorti avec le visuel de la première version du titre, que j’ai envoyé à l’équipe, qu’Armand avait rejoint entre temps. Je leur ai pitché mon idée d’une équipe de chasseurs de primes intergalactiques, et on a dit banco. Pour l’anecdote, l’aspect “Undercover” est arrivé avec le titre, car on cherchait un truc en quatre fois deux syllabes, pour faire comme Teenage Mutant Ninja Turtles ou Mighty Morphin Power Rangers, un truc à rallonge qui fasse très dessin animé énervé des années 80. (rires) Et donc les canards sont devenus Undercover dans l’histoire, à cause du nom du jeu. J’aime beaucoup cette liberté créative où l’on s’autorise à ce que la forme impacte le fond, et pas seulement l’inverse. En tant que joueur, quel est ton jeu préféré? Pourquoi? J’aime particulièrement les jeux abstraits. J’adore Santorini et Sagrada, par exemple. J’aime aussi les jeux co-op avec un univers riche et immersif, genre Thunderbirds ou Ghostbusters. Et les trucs où tu dois calculer tes coups à plusieur tours d’avance, comme avec Taluva, qui est clairement un de mes jeux préférés. Je ne vais pas te faire un top non plus, parce qu’en vrai ça change beaucoup et que ça dépend aussi des gens avec qui je joue. Ah ! Et j’aime aussi beaucoup les bons jeux solo, genre l’Expédition Perdue, ou la version Judge Dredd, où j’ai pas encore réussi à gagner, mais bon, je désespère pas... (rires) Sinon récemment, gros coup de cœur pour Afternova, un petit KS que j’ai reçu il y a quelques semaines, en plein confinement, et qui tourne quasi quotidiennement depuis.
Si tu devais citer un jeu sous-coté, lequel ce serait? Pourquoi? J’ai du mal avec l’aspect bien côté, sous-côté, bon jeu, mauvais jeu… Je dirais bien que perso je prends beaucoup de plaisir à jouer à Zombicide Invader (mon premier Zombicide, c’est peut-être aussi pour ça), alors que j’ai vu beaucoup de critiques dessus lors du KS. Mais je suis pas persuadé qu’un jeu CMON qui fait plusieurs millions de dollars puisse être considéré comme sous-côté… (rires)
As tu un scoop à nous partager? Si je le fais, je vais me faire engueuler par Steve et Matthieu, mes deux associés. (rires) Après, je peux dire qu’on a ressorti des projets de ma pile de protos, avec le confinement, et qu’on a de nouveaux projets qui commencent à prendre forme. Le mieux reste encore de suivre ma page FB, où je tease régulièrement des trucs, avant de me faire reprendre par les deux autres… (rires) Pour continuer cette interview, je te propose de sortir le jeu “Questions de merde” Je tire 3 cartes, prêt? Toujours. Voici les questions de la première carte: Quel est le meilleur moyen pour développer sa culture générale? Éteindre sa télé et ouvrir des livres. Quelle petite attention te rend heureux? Quand on me laisse le dernier carré de chocolat. Qu’est ce qui te met de très bonne humeur? Les gens qui prennent le temps d’écrire une critique positive, ou un mot gentil, sur Internet. Voici les questions de la deuxième carte: Quel est le pire moment pour dire “Je t’aime”? Tout dépend à qui tu le dis, mais j’ai plein de situations horriblement inadaptées qui me viennent, là. (rires) Où faut-il se cacher pour gagner une partie de Cache-Cache? Ah ouais, c’est vraiment des questions de merde. Cherche pas, je ne te donnerai pas la réponse que tu attends. Mais tout le monde sait à quoi on pense en premier quand on entend une question comme ça… (rires) Quel nom est particulièrement con pour un animal de compagnie? Adolf, de façon assez générale, ou sinon Podpaille, Pomelon ou Pomou pour un chat. Voici les questions de la dernière carte: Pour quel genre de vidéo aimerais-tu atteindre des millions de vues sur Youtube? Ça va être un peu chiant comme réponse, mais sans doute un truc qui éveille les consciences et qui motive les gens à développer leur esprit critique personnel, au lieu d’une sorte de conscience collective qui est aujourd’hui plus que jamais un cancer de la pensée. Je t’avais dit que ce serait chiant. Quelle est la devise de ta vie? N’aie pas peur de donner de l’amour, c’est une des rares choses qui ne diminue pas à mesure que tu la partages. Y’a aussi “Comme on dit chez moi, si t’as rien à dire, ferme ta gueule.” de Joey Starr, mais c’est tout de suite moins glamour. Je te donne une batte de Baseball. Qu’as tu envie de péter en premier? La batte. Comme ça on évite de cultiver la violence. Mais en même temps je viens de casser un cadeau, et ça va sans doute te rendre triste. Arf. Dilemme. Je suis obligé de casser un truc ? Je peux pas créer, plutôt ? Genre un jeu avec une batte. Question Bonus: Qui aimerais tu que j’interviewe après toi et quelle question lui poserais-tu? Camille Boissel, l’auteure de Nebula. Et ma question serait, parce que je sais qu’elle attache de l’importance à l’aspect culturel de ses jeux : “Penses-tu que le jeu qui a aussi pour vocation de cultiver les gens, de leur ouvrir de nouvelles portes, soit forcément une niche, ou qu’il représente l’avenir du jeu de société ?” Merci infiniment, Phil, d’avoir répondu à mes questions! J’ai hâte de découvrir ton prochain jeu! Merci à toi, pour ce partage et au plaisir de se retrouver autour d’un jeu un de ces jours.
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