#dessert estival
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Crostata aux fruits d'été...un de mes desserts préférés.🤩😋
Une pâte beurrée parfumée à l'amande et la vanille, des fruits d'été parfumés, juteux et compotés...un câlin estival!! Une ode au cycle des saisons💚❤️🧡
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Le 19, CRAC Montbéliard : programme de juin 2024
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Voici le programme du 19, Centre Régional d’Art contemporain, de Montbéliard de mai 2024 : Assemble, Blood in the Machine , du samedi 8 juin 2024 au dimanche 25 août 2024 Assemble est un collectif pluridisciplinaire travaillant dans les domaines de l’architecture, du design et des arts visuels. Fondé en 2010 pour concevoir un seul projet (The Cineroleum, soit l’occupation temporaire par un cinéma d’une ancienne station-service de Londres), Assemble a finalement livré depuis un ensemble de travaux divers et reconnus par des prix internationaux (dont le Turner Prize en 2015, prestigieuse gratification pour les arts visuels au Royaume-Uni pour The Granby Workshop à Liverpool). Ils promeuvent une méthode de travail démocratique et coopérative qui permet la réalisation de projets artistiques co-construits, à caractère social, et toujours basés sur l’exploration d’un lieu, d’un territoire, d’une situation investiguée « depuis l’intérieur ». Leurs projets allient toutes les échelles de la construction afin de générer des situations « d’apprentissage par le faire ». Avec Blood in the Machine, le collectif poursuit sa démarche habituelle en s'appuyant sur la mémoire industrielle du 19, Crac et son contexte « rurbain » d'implantation. Le projet propose une réflexion plus générale sur l'arrivée de la mécanisation et son impact sur les procédés technologiques et artisanaux excluant les dynamiques et sensibilités humaines. Il ambitionne la ré-humanisation des espaces de production et s'organise autour d'échanges, d'expérimentations et de liens de confiance. Le déjeuner-preview, le jeudi 6 juin de 12h30 à 13h30 : rencontrez le collectif Assemble lors d’un déjeuner convivial au sein de leur exposition. Ce moment de partage est réservé aux professionnels partenaires et aux membres du 19 Club qui souhaitent découvrir les coulisses de la production d’une exposition. Boissons et desserts offerts par le 19 ! Adhésion au 19 Club 15 €/an avec de nombreux avantages toute l’année. Vernissage de l'exposition : vendredi 7 juin à partir de 18h30. Ouvert à tous. ATELIERS COLLABORATIFS, samedi 8 juin 2024 de 14h00 à 18h00 et dimanche 9 juin 2024 de 15h00 à 18h00 Le collectif Assemble considère le centre d’art comme un lieu de production, de conception et d’échanges. Ainsi, venez les rencontrer tout l’été lors d’ateliers collaboratifs au 19, Crac. Gratuit, sur réservation au 03 81 94 13 47 ou [email protected] Prochains ateliers : 18-19 juillet 2024 et 24-25 août 2024. GOÛTER-APÉRO MUSICAL, vendredi 21 juin 2024 de 17h30 à 19h00 Rejoignez-nous en famille après l'école ou entre collègues après le travail pour fêter la musique autour d'un goûter-apéro estival accompagné de la toy-music douce-amère aux accents de voyages oniriques des artistes Klimperei & Madame Patate. Gratuit, au 19, Crac. LA FLAMME, mardi 25 juin 2024 de 14h30 à 15h30 Qui a dit qu'art et sport n'avaient rien à faire ensemble ? A l'occasion du passage de la Flamme Olympique à Montbéliard, le 19, Crac offre à toutes et à tous une performance sportive et ludique de Clara Gensburger. Depuis la Box du 19, grand écran du centre d'art, l'artiste française nous offrira sa lecture artistique et tonique des 36 sports des JO. Gratuit, sur le parvis du 19, Crac. VISITE EN FAMILLE, édition spéciale tout-petits, mercredi 26 juin 2024 de 10h00 à 11h00 Partagez un moment complice et créatif en famille au 19, Crac ! Un temps de visite et de pratique artistique pour découvrir l'exposition entre parents et enfants. Pour cette édition spéciale dédiée aux tout-petits, plongez dans l'exposition de manière ludique et adaptée. Participez à des jeux de construction, profitez d’un parcours de motricité, expérimentez l’espace du 19 sous une forme nouvelle. Jusqu'à 6 ans. Gratuit, sur réservation au 03 81 94 13 47 ou [email protected] infos > 03 81 94 13 47 ou [email protected] ou www.le19crac.com Read the full article
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Stéphanie Troyon, gérante de la Buvette Restaurant Viva - ©vallon.info Samedi 18 mai, la Buvette Restaurant Viva a officiellement ouvert ses portes, marquant le coup d'envoi d'une nouvelle ère pour ce lieu emblématique situé à la piscine des Combes. Sous la direction de Stéphanie Troyon, la nouvelle gérante, et de son équipe, les habitants ont été accueillis chaleureusement avec des cafés et des croissants offerts pour célébrer cette première journée. Une inauguration en grande pompe L'inauguration officielle a eu lieu ce mercredi 22 mai en présence de personnalités locales, notamment le Conseiller communal Eric Sivignon et son collègue Benoît Simon-Vermot. De nombreux invités ont répondu présents pour découvrir les nouveautés de cette saison dans le cadre pittoresque de la piscine des Combes. Une équipe dévouée et des horaires flexibles Ouverte sept jours sur sept, la Buvette Restaurant Viva est prête à accueillir les visiteurs de 9h30 à 22h00, à l'exception du dimanche où les portes ferment à 19h00 (20h00 pendant les vacances scolaires). Stéphanie Troyon et son équipe de six personnes s'engagent à offrir un service de qualité tout au long de la journée. Une carte diversifiée pour satisfaire toutes les envies La carte du jour de la Buvette Viva propose un large éventail de choix gastronomiques, allant des viennoiseries aux snacks salés, en passant par des plats plus substantiels comme des hot-dogs, des salades, des fish & chips, des pâtes fraîches, des saucisses et des pizzas. Les amateurs de desserts ne seront pas en reste avec une sélection alléchante de douceurs sucrées fait maison. Et pour une pause gourmande entre collègues ou entre amis, laissez-vous tenter par les trois menus du jour, renouvelés chaque semaine, qui vous invitent à découvrir des saveurs variées, du végétarien au carnivore en passant par le poisson. Et cerise sur le gâteau, la fidélité est récompensée : chaque 10ème menu vous est offert ! Nouveauté : restauration du soir et animations estivales La Buvette Restaurant Viva ne se résume pas à une simple halte gourmande. Dès 18h00, elle se transforme en un lieu de rencontres et de partage, où savourer de délicieux plats élaborés à base de produits frais et locaux. Roastbeef, tartare de bœuf, filets de perches, fondue, brochettes... la carte du soir promet un festival de saveurs qui saura ravir les gourmets les plus exigeants. Et pour une ambiance des plus festives, la Buvette Restaurant Viva s'associe à l'association Festival12 pour vous proposer une série de soirées inoubliables. Au programme : concerts, projections de films en plein air et moments de convivialité sous les étoiles. Le premier rendez-vous est fixé au 15 juin, alors ne manquez pas ça ! Jean-Marin Peer, directeur de Festival12 - ©vallon.info Une destination estivale incontournable Avec son ambiance conviviale et sa cuisine variée, la Buvette Restaurant Viva s'annonce comme une destination incontournable pour les habitants de Val-de-Travers et les visiteurs de passage. Que ce soit pour un rapide repas de midi, un repas raffiné ou une soirée animée, ce nouveau spot estival saura répondre à toutes les attentes. Pour plus d'informations et pour consulter la carte, rendez-vous directement à la piscine des Combes à Val-de-Travers ou sur les réseaux sociaux de la Buvette Restaurant Viva. Informations pratiques - Ouvert 7 jours sur 7 - Entrée libre pour les usagers de la buvette restaurant - De 9h30 à 22h00 (jusqu'à 19h00 le dimanche et 20h00 pendant les vacances scolaires) - Carte du jour et carte du soir - Menus du jour renouvelés chaque semaine - Terrasse avec vue panoramique sur la piscine - Parking gratuit Courriel: [email protected] Téléphone : +41 79 738 95 91 Facebook : https://www.facebook.com/lescavesdubureau Instagram : https://www.instagram.com/lacaveviva/ Internet: https://www.buvetterestaurantviva.ch
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Do you have a favorite food? What's your favorite breakfast, lunch, dinner, and dessert?
"tão me perguntando isso demais. tão querendo cozinhar pra mim? olha, faz o seguinte..." se arrumou melhor na cadeira. "você pega gengibre, alho, cebola e pica bem pequenininho." ela imitou o movimento de faca com as mãos enquanto falava. "pega tudo isso e joga na panela com óleo de gergilim, mirim e molho shoyu!" continuava a gesticular enquanto narrava, como se preparasse o prato na frente do outro. "quando o caldo estiver bem redusido, você reserva e pega tulipas de frango. pincela uma camada do caldo e leva pra assar. faz isso até ficar no ponto certo do frango. e finaliza com gergilim e cebolinha por cima." ela formou a mão em coxinha e então beijou as pontas do dedos. "muah! magnific! se quiser até separar o caldo pra colocar no gohan. fica impecável!"
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
un nuovo post è stato publicato su https://online-wine-shop.com/uova-riso-salmone-affumicato-salumi-verdure-e-selvaggina-quali-vini-abbinare/
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
https://online-wine-shop.com/uova-riso-salmone-affumicato-salumi-verdure-e-selvaggina-quali-vini-abbinare/
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Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
Uova, riso, salmone affumicato, salumi, verdure e selvaggina; quali vini abbinare?
C’è chi dice che col riso si debba bere solo acqua e non il vino, ma francamente pare una sciocchezza. Molto meglio rispettare il motto che assicura che “il riso nasce nell’acqua e muore nel vino”. Anzi, proprio perché il riso può essere confezionato in mille maniere e nelle più svariate associazioni con altri alimenti (col pesce, con la carne, coi salumi, con le frattaglie, con le verdure) si presta a essere una specie adatto per sperimentare l’abbinamento cibo-vino. A determinare la scelta della bottiglia sono i condimenti, i sughi o gli aromi utilizzati nella preparazione del risotto o della minestra di riso.
Cominciamo con i risotti. Il caso in genere più semplice è quello del risotto cucinato col vino (si pensi ad esempio al risotto all’Amarone o allo stesso risotto alla milanese che in cottura può prevedere anche del vino rosso, che finisce per incidere sul sapore finale molto di più dello zafferano): si porta in tavola lo stesso vino adoperato in cottura, al limite (cantina e tasche permettendo) utilizzandone un’annata diversa.
I risotti a base di verdure o di legumi si caratterizzano in genere per una notevole delicatezza (si pensi al risotto con i piselli). In questo caso in genere la scelta migliore sembra essere quella di un bianco leggermente aromatico, non particolarmente impegnativo: ce ne sono di eccellenti in Alto Adige e nel Trentino (il Muller Thurgau, il Sylvaner, il Pinot Bianco o il Gewurztraminer), ma anche in molte altre regioni italiane (si pensi ad esempio ai vari Riesling, oppure al Tocai italico).
I risotti con i funghi sono fra le delizie della cucina autunnale: in genere si sposano a meraviglia con un Merlot (ce ne sono di ottimi nel Triveneto). Dai funghi ai tartufi il passo è breve: in questo caso la tradizione piemontese offre buoni abbinamenti con la Barbera o col Dolcetto. I risotti con i salumi appartengono a molte tradizioni regionali. Diffusissimo in area padana, pur in molte variegate versioni, è per esempio il risotto con la pasta del salame.
Risotti da sapori rustici, decisi, robusti, più o meno untuosi vogliono la compagnia di vini rossi d’un certo carattere, se abbastanza giovani: dal Bardolino al Raboso del Piave, alla Bonarda dei Colli Piacentini alle varie tipologie piemontesi senza contare ovviamente le tradizioni regionali: il risotto alla pilota, un classico della cucina mantovana, vuole il Lambrusco Mantovano, vivace e rosso cupo.
Altra tipologia di risotti è quella col pesce o coi frutti di mare. In questo caso la ricchezza di sapori e di profumi del piatto fa pensare a dei vini bianchi d’una certa struttura, come possono esserlo un Lugana o un Verdicchio dei Castelli di Jesi in versione superiore, oppure un Tocai o uno Chardonnay friulani (ma le casistiche possono essere parecchie: si pensi ai bianchi siciliani o campani, in genere perfetti con questo genere di risotti).
Le minestre di riso in genere sono piuttosto delicate e vogliono quindi dei vini bianchi leggeri non troppo profumati. Le insalate estive di riso gradiscono invece la compagnia dei vini rosati: ottimi quelli trentini tratti da uva schiava. Il riso è anche nei dessert (l’esempio più banale è quello dei risini preparati da moltissime pasticcerie). In questo caso ovviamente si sceglie nel panorama dei vini da dessert, partendo dai Moscati (quelli astigiani, trentini o veneti) per arrivare sino ai passiti bianchi man mano che si eleva la complessità del piatto.
Salmone affumicato e vino
In fatto di abbinamento cibo-vino, per quanto riguarda il salmone affumicato ci sono due scuole di pensiero. La prima, più drastica, capitanata da Veronelli, non consente alcun abbinamento: il salmone affumicato rifiuta di essere accostato a qualunque vino. La scuola più tollerante ammette invece degli spumanti importanti come lo Champagne, oppure dei bianchi corposi come il Sauvignon del Collie.
Stabilire chi abbia ragione è materia che riguarda il gusto personale.
Salumi e vino
Con le carni si usa dire che stanno bene i vini rossi. Il che è verissimo, con le dovute eccezioni. E fra le eccezioni ci sono i salumi, fondamento dei tipici antipasti all’italiana. I salumi sono prodotti a base di carne, certamente, e si sposano a meraviglia con numerosi vini rossi o rosati, ma da parte di molti appassionati c’è una crescente valorizzazione dell’abbinamento salumi vino bianco. Questo perché la spiccata acidità di alcuni bianchi crea spesso un perfetto equilibrio coi grassi di parecchi salumi. Al punto che c’è addirittura chi vuole (e non a torto) nobilitare la mortadella servendola con lo Champagne.
Ma prendiamo i salami. Con quelli a pasta grossa, come le tipiche soppresse venete, vanno benissimo i rossi, anche se alcuni bianchi particolarmente pieni di sapore non hanno nulla da invidiare nell’accostamento. Diverso è il discorso dei salami a pasta fine (il salame Milano, per fare un esempio): in questo caso possono anche starci dei rossi leggeri, magari vivaci, ma la sensazione dolciastra lasciata sul palato dal grasso del salame finisce per snaturare il vino.
Occorrerebbe allora usare un grande rosso, capace di vincere l’untuosità lasciata dal grasso del salume, ma se siamo solo all’antipasto diventa poi un guaio continuare il pranzo. Meglio dunque puntare su un bianco leggero (e magari anche frizzante), capace di ‘pulire’ egregiamente la bocca.
E il prosciutto? Un buon crudo può stare egregiamente con dei vini rossi o rosati d’una certa morbidezza, ma la sapidità delle carni e la dolcezza del grasso di questi tipici salumi italiani vanno benissimo a nozze anche con dei bianchi aggraziati come il Pinot Bianco del Trentino o la Ribolla friulana.
Lo stesso dicasi per lo speck: ottimo col Lagrein rosato, sta benissimo anche con dei bianchi aromatici come il Sylvaner e il Gewùrztrarniner. Diversa la questione del cotechino e dello zampone: il sapore marcato delle cotenne di maiale chiama un bel bicchiere di vivace Lambrusco. E con le salamelle ai ferri, simbolo del barbecue e delle feste di piazza va benone un rosso vivace: ancora Lambrusco, ma anche la Bonarda dell’Oltrepò Pavese.
Selvaggina
Sono due le categorie in cui viene generalmente divisa la selvaggina: quella da piuma (ad esempio fagiani, beccacce, pernici) e quella da pelo (cinghiale, cervo, capriolo, lepre). In entrambi i casi la scelta del vino da abbinare deve cadere nel panorama dei rossi.
Con dei distinguo essenzialmente legati alla maggiore o minore complessità dei piatti. Incominciamo dal caso in cui la selvaggina venga usata per condire la pasta o per costituire la farcia dei ravioli. Se il ragù o il ripieno sono a base di selvaggina da piuma, si opterà tendenzialmente per un rosso di corpo moderato, mentre se il sugo o la farcia sono costituiti da selvaggina da pelo (lepre e cinghiale soprattutto) occorre passare a dei rossi un po’ più impegnativi, anche se non eccessivamente corposi, magari invecchiati un paio d’anni (un Chianti, un Nobile di Montepulciano o un Cannonau di Sardegna, ad esempio).
La selvaggina da piuma cucinata arrosto vuole vini d’un certo corpo, ma anche sufficientemente morbidi (un Rosso di Montalcino può andare benissimo), mentre se la cottura è in umido occorre passare a un rosso di buona struttura, sapido ma anche vellutato, invecchiato almeno due o tre anni.
Per gli arrosti di selvaggina da pelo occorrono dei rossi di medio invecchiamento, dal sapore pieno e armonico (appartengono a questa categoria le riserve di Chianti, Barbera d’Alba, Valpolicella). L’intensità di sapori degli umidi di selvaggina da pelo vuole infine grandi rossi, di notevole corpo e buon invecchiamento: siamo nel mondo del Barolo, del Barbaresco, del Brunello di Montalcino, dell’ Amarone, o del Sassicaia del Taurasi.
Uova
Dicono che un buon cuoco lo si vede da che cosa riesce a inventare partendo da un semplice uovo. In tavola le uova (strapazzate, alla coque, al tegamino ) e le frittate si associano con dei vini bianchi asciutti più o meno strutturati a seconda degli eventuali altri ingredienti uniti in cottura (una frittata con le verdurine dell’orto vuole un bianco più leggero di quello che accompagna un’omelette al formaggio). Si passa a un rosato o a un rosso leggero se le uova sono servite con la pancetta, oppure se l’omelette è col prosciutto.
Verdure
Spesso le verdure sono servite come semplice contorno dei vari piatti. In questo caso, avendo cura di scartare le insalate con abbondante aceto e i carciofi crudi, che in genere non vogliono vini, gli ortaggi e i loro sapori non incidono particolarmente nella scelta del vino. Ma le erbe dell’orto sono spesso anche coprotagoniste di molti piatti. E allora la scelta del vino deve tener conto della tipologia delle verdure che hanno maggior impatto sul piatto: ci sono infatti ortaggi che tendono al dolce, altri che hanno vene amarognole, altri ancora che combinano acidità e dolcezza, altri infine tendenzialmente aciduli.
Al mondo dell’acidulo appartiene il pomodoro: in linea di massima sposa vini bianchi. Il connubio fra acidità e dolcezza è tipica dei piatti a base di cipolla, aglio e scalogno: in questo caso sembra consigliabile un bianco secco, morbido, moderatamente acido. Alla categoria degli ortaggi di tendenza dolce appartengono le carote, i piselli e le patate, con i quali ci si orienta soprattutto verso vini secchi che in qualche modo attenuino la dolcezza della verdura.
Alla serie delle erbe amarognole possono ascriversi sedano e cicorie, cui pare opportuno associare dei bianchi dal bouquet floreale più o meno intenso. Sin qui abbiamo visto le verdure sposate con dei vini bianchi, quasi questa fosse una regola comune.
Ma ecco pronta l’eccezione: la tipica, rustica bagna caoda piemontese. Questo piatto vuole che ciascun commensale intinga dei grossi pezzi di verdure in una salsa a base di olio, aglio e acciughe. In questo caso la tradizione non transige: ci vogliono una Barbera o un Dolcetto, rossi piemontesi giovani, poco tannici, dal bouquet vinoso.
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MILKSHAKE CIOCCOLATO E COCCO
MILKSHAKE CIOCCOLATO E COCCO
RICETTA FACILE E DELIZIOSA! Prova un gustoso e intenso Milkshake al cioccolato con una golosissima aggiunta di cocco, per dare al tuo spuntino un tocco rinfrescante e tropicale!Adatto a una colazione fresca e nutriente, perfetto come spuntino o merenda energizzante e rinfrescante, soprattutto durante le torride e afose giornate estive, questo fantastico milkshake ricorda un po’ il sapore esotico…
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Samedi
Je passe beaucoup de temps le nez en l’air. Parfois je vois passer, comme des anges dorés, des pensées ou souvenirs inattendus, mais le plus souvent ce sont des nuages, des avions ou des oiseaux. Ce soir, premier quartier de lune dans le ciel légèrement voilé. Une amie, M, est venue chez nous à midi, avec une tarte aux figues blanches pour le dessert, partager les poké bowls frais et savoureux préparés par F. J’ai profité de cette visite pour boire un Jack à la santé de mon pote D. Depuis hier je suis plongé dans “Un singe à ma fenêtre” d’Olivia Rosenthal, cadeau posté par mon amie Suzanne (@etreinte-froissee) depuis son laborieux séjour estival dans les Alpes. C’est drôle, ce samedi ressemblait à un dimanche, en mieux.
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Un dessert estival avec cette verrine pêche caramel vraiment très facile à r… Un dessert estival avec cette verrine pêche caramel vraiment très facile à réaliser, et customisable selon vos goûts avec d'autres fruits.
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Light My Fire and Get Grilling!
Summer is here (and my birthday, a “special” one this year, is a week from now; I shall have Cake and Eat It Too!!), the skies are blue, the sun is hot! Although we don’t wait for the estival season to begin to light a barbie in this house, or rather, in this garden --the aforementioned blue skies and warm temperatures are reason enough-- the chances to cook over the coals will be plentier from now on! So, to celebrate, here are a few ways I like to grill meat, fish, vegetables and fruit! Happy Summer, friends!
Chicken
Grilled Lemon and Herb Chicken
Grilled Pepper and Paprika Chicken
Lemon-Honey Grilled Chicken
Ginger-Honey Grilled Chicken
Grilled Spatchcock Jerk Chicken
Marinated Chicken Skewers
Beef
Herb and Garlic Grilled Steak
Seven Spice Grilled Steak
Ginger and Sesame Grilled Steak
Aussie Burgers
Cajun Grilled Flank Steak
Pork
Sweet Chili Barbecue Ribs
Hot Coffee Barbecue Ribs
Hot Chili Barbecue Ribs
Maple Barbecue Ribs II
Fish
Grilled Ginger, Lime and Rum Salmon
Grilled Ginger Swordfish
Grilled Herb Sea Bass
Vegetables
Grilled Tomato and Bell Pepper
Grilled Zucchini
Condiment, Sauce and Flavoured Butter
Mint and Feta Butter
Peach Chutney
Tumeric and Garlic Butter
Whipped Chives and Garlic Butter
Hot Coffee Barbecue Sauce
Spice Butter
Hot Yellow Ketchup
Hot Chili Barbecue Sauce
Sweet Corn Relish
Dessert
Barbecue Rum Bananas
Vanilla Grilled Pineapple
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Avec cet entremets estival, j’ai voulu mettre en valeur l’abricot, dont la fraicheur acidulée se marie merveilleusement bien avec le goût lactique de la mousse légère au fromage blanc. En note de fin, la pistache apporte une belle rondeur et une longueur en bouche qui harmonise l’ensemble. Bref, c’est une tuerie !
Je suis très heureux de partager avec toi la recette de ce dessert léger, fruité, et très équilibré. Il faut dire que l’été, j’ai un peu tendance à ne faire que des tartes aux fruits de saison. Certes, il est difficile de sublimer les fruits estivaux gorgés de soleil autrement qu’en les utilisant simplement comme la Nature nous les offre, juste disposés sur un fond de pâte sucrée, mais j’aime les challenges.
Inspiration
J’ai imaginé ce dessert après avoir goûté au délicieux entremets “Summertime” (association de citron et de yaourt) de la talentueuse Anaïs, cheffe patissière et patronne de la pâtisserie florale Cokoa, à Bruxelles. Depuis, la surprenante association de saveurs acidulées et lactiques est mon nouveau coup de coeur ! Et je ne suis pas le seul. Parmi ma dizaine de “pauvres” cobayes, cet entremets a tout simplement fait l’unanimité.
J’avais très envie de tester le moule Ring que la marque Silikomart® a mis au point en collaborant avec le talentueux pâtissier Amaury Guichon. Je trouve ce moule vraiment esthétique, aérien. Cependant, lors de mon premier essai, le goût d’abricot n’était pas assez présent, faute à la faible profondeur du moule permettant de faire l’insert. J’ai donc rusé pour obtenir le bon goût d’abricot que j’imaginais en augmentant la taille de l’insert tout en conservant la forme du moule (tu en sauras plus par la suite). Et le résultat me satisfait à 100%.
••• Quantité : 6 entremets individuels Ring ••• ••• Préparation : 4h | Cuisson : 30min au four + 10min sur plaque de cuisson ••• ••• Repos : 2 fois 6h | Difficulté : ▲▲▲ | Coût : €€€ ••• ••• Conservation du produit fini : 48h au frigo – Se conserve au congélateur avant finition •••
Matériel spécifique
Un kit Ring de la marque Silikomart®
Un cul de poule ou un saladier
Une petite casserole
Un fouet
Une maryse
Un robot pâtissier ou un fouet électrique
Un mixeur plongeant
Un thermomètre de cuisson
Une balance de précision
Une spatule coudée (optionnel)
Une corne (optionnel)
Un pinceau (optionnel)
Une plaque micro-perforée (optionnel)
Deux tapis de cuisson micro-perforé (optionnel)
Une douille unie de 10 (optionnel)
Une douille unie de 14 (optionnel)
Etapes et rétro-planning
Cette recette comporte 6 étapes :
un insert de confit d’abricot
un glaçage abricot sans colorant
une mousse légère au fromage blanc
un sablé pistache
un cake pistache
la finition de l’entremets
Jour J-2 : Prépare l’insert confit abricot et le glaçage abricot.
Jour J-1 : Une fois le confit bien congelé , prépare la mousse légère au fromage blanc. Enchaine avec le cake et le sablé.
Jour J : Cuis le sablé, glace et décore tes entremets.
Cet entremets demande pas mal de boulot mais le résultat, tant visuel que gustatif, vaut vraiment le coup de se décarcasser. Tu m’en diras des nouvelles !
Allez, remonte tes manches et noue ton tablier, c’est parti !
Etape 1 : Insert confit abricot
Ingrédients
100g d’oreillons d’abricots bien mûrs, dénoyautés et pelés
32g de purée d’abricot
10g d’eau
17g de sucre
1,9g de pectine NH nappage
9g de jus de citron vert 100% naturel
Procédé
Fait bouillir une casserole d’eau chaude. Plonge 10 secondes les abricots dans l’eau bouillante, puis dans un récipient d’eau glacée. Tu pourras ainsi les peler très facilement.
Dans une casserole, mets à chauffer la purée de fruits, l’eau et les oreillons d’abricots. Lorsque le mélange atteint environ 50°C (chaud mais pas brûlant), ajoute hors feu le sucre et la pectine préalablement mélangés. Mélange l’ensemble tout en le portant à ébullition.
Hors feu, ajoute le jus de citron vert et mixe. Chinoise le confit et verse le dans une poche à douille. Remplis les anneaux “insert” à ras et mets-les au congélateur.
Tu vas maintenant découvrir mon astuce pour avoir un insert plus gros que ce que le moule permet !
Une fois congelés, démoule les anneaux. Coule de nouveau le reste du confit dans les moules, mais cette fois aux 2/3 maximum. Dispose enfin les anneaux congelés sur les anneaux tout juste coulés en appuyant bien pour que le contact se fasse de partout, et remets le tout au congélateur. Tu auras ainsi des inserts plus hauts que ne l’autorise la taille du petit moule Ring.
Futé !
Etape 2 : Glaçage abricot sans colorant
Je suis vraiment fier de pouvoir te proposer cette recette de glaçage. Non seulement parce qu’il a une magnifique couleur orange flash, mais surtout parce qu’il est 100% naturel et ultra-simple à réaliser. Je l’ai mis au point en souhaitant n’utiliser ni colorant, ni gélatine animale, ni lait concentré, ni chocolat blanc. Ce n’est donc pas un glaçage miroir sucré et chimique, mais plutôt un nappage gélifié au bon goût de fruit.
Ingrédients
197g de purée d’abricot
64g de jus de citron vert
10g de miel de lavande (ou de citronnier)
25g de sucre
5g de pectine NH nappage
Procédé
Chauffe la purée, le jus et le miel. Lorsque le mélange atteint environ 50°C, ajoute hors du feu les poudres préalablement mélangées. Porte le tout à ébullition. Mixe, chinoise et réserve le glaçage au frais en prenant soin de le filmer au contact.
Etape 3 : La mousse légère au fromage blanc
Ingrédients
20g de jaunes d’oeuf (l’équivalent d’un jaune)
40g de sucre
14g d’eau
14g de masse gélatine
100g de fromage blanc entier (40% de matière grasse)
162g de crème liquide entière
Procédé
Fais fondre la masse gélatine au micro-ondes.
Monte la crème froide en chantilly souple (juste au bec d’oiseau, pas plus).
Cuis le sucre et l’eau en sirop à 120°C. Pendant ce temps, blanchit les jaunes au batteur. Lorsque le sirop est à température, verse le en filet sur les jaunes en continuant de fouetter à vitesse rapide. Une fois l’appareil à bombe tiède (touche la cuve du batteur pour estimer la température), ajoute la gélatine fondue tout en continuant à fouetter jusqu’à complet refroidissement.
Verse la pâte à bombe sur le fromage blanc et mélange le tout à la maryse afin de ne pas faire tomber l’appareil. Ajoute la chantilly en deux fois, toujours à la maryse. Il est normal que la mousse ait une texture très souple, presque liquide, elle figera au froid à l’aide de la gélatine.
Verse la mousse au fromage blanc dans une poche à douille et garnis les moules “grands anneaux” aux 3/4. Dispose un insert dans chacun des anneaux en prenant soin de suffisamment l’enfoncer (mais pas trop, il ne faut pas qu’il touche la paroi du fond du moule). Lisse ensuite la mousse à l’aide d’une spatule coudée.
Réserve le montage au congélateur pendant 4h minimum, voir toute une nuit. Conserve le surplus de mousse au frais, dans un récipient filmé au contact.
Après le montage, il te restera beaucoup de mousse, c’est normal. Il est très difficile de faire une pâte à bombe avec une quantité moindre que celle que je te donne. Tu en utiliseras un peu pour la déco de l’entremets. Pour le reste, n’hésite pas à l’utiliser dans un autre dessert ou à la manger à la cuillère avec des fruits frais.
Etape 4 : Sablé pistache
Ingrédients
70g de beurre à température ambiante
15g de sucre de canne bio
53g de sucre panela (ou rapadura)
55g de poudre de pistache
103g de farine
1,5g de sel
Procédé
Si tu n’as pas de poudre de pistache, passe simplement au mixer des pistaches que tu auras préalablement torréfiées (5 minutes au four à 170°C).
Mélange tous les ingrédients au robot muni d’une feuille jusqu’à ce que le sablé soit complètement amalgamé.
Étale-le à 3mm d’épaisseur entre deux feuilles de papier cuisson. Détaille 6 anneaux à l’aide du grand emporte-pièce fourni avec le moule Ring, puis réserve-les au frigo.
Étale les chutes de sablé à 2mm d’épaisseur, puis détaille de petits ronds à l’aide d’une douille unie de 14.
Etape 5 : Cake pistache
Ingrédients
16g de beurre
40g de jaunes (l’équivalent de deux gros jaunes d’oeuf)
58g de sucre
8g de pâte de pistache
5g de poudre de pistache
30g de crème
42g de farine
1g de levure chimique
Procédé
Préchauffe ton four à 165°C en mode chaleur tournante.
Réalise un beurre noisette.
Mélange les jaunes, le sucre, la pâte de pistache et la poudre de pistache à l’aide d’un fouet en prenant soin de ne pas faire foisonner l’ensemble.
Ajoute la crème, puis le beurre noisette tiède. Termine par la farine et arrête le mélange dès qu’il est homogène. N’oublie pas de bien corner bien les parois afin de vérifier que toute la farine soit bien mélangée.
Coule l’ensemble dans un petit moule à cake préalablement graissé et couvert d’un papier cuisson découpé de la forme adéquate. Si tu n’as pas un tel moule, utilise simplement un petit moule à entremets sur une feuille de papier cuisson.
Enfourne le cake pistache pendant environ 17 minutes. Vérifie la cuisson en plantant la pointe d’un couteau au coeur. Si le couteau ressort propre, c’est que c’est cuit.
Laisse le cake refroidir avant de le démouler et d’ôter le papier cuisson. Filme-le au contact et réserve-le au frais jusqu’à utilisation, il gardera ainsi tout son moelleux.
Cette fois encore, il te restera du cake après avoir décoré ton entremets. Mais qui se plaindra d’avoir à grignoter un excellent cake au bon goût de pistache ?
Etape 6 : Cuisson et finition
Ingrédients
6 anneaux de sablé pistache
Quelques cercles de sablé pistache
Du beurre de cacao
Le cake pistache
Le reste de mousse légère au fromage blanc
Le glaçage abricot
Quelques feuilles de verveine fraiche
Deux abricots
Procédé
Mise en place
Dispose les anneaux de sablé pistache entre deux tapis micro-perforé. Cuis les sur plaque micro-perforée dans ton four préchauffé à 170°C en mode chaleur tournante pendant 7 minutes. Laisse les refroidir.
Cuis les cercles de sablé entre deux tapis micro-perforés à même température pendant 4 minutes.
À l’aide d’un pinceau, badigeonne les sablés d’une très fine couche de beurre de cacao fondu afin de les imperméabiliser, puis laisse le beurre figer. Ainsi, ils seront beaucoup moins détrempés par la mousse au fromage blanc et garderont leur texture croustillante.
Détend le reste de mousse légère au fromage blanc à l’aide d’une maryse et coule-la dans une poche à douille munie d’une douille de 10.
Détaille de petits cubes de cake pistache d’environ 1cm de côté.
#gallery-0-30 { margin: auto; } #gallery-0-30 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; } #gallery-0-30 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-30 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Si tu as de la verveine sous la main, coupe en quelques petites feuilles, rince-les et sèche-les délicatement.
À l’aide d’un couteau bien aiguisé, découpe quelques fines tranches d’abricot sans enlever la peau.
Fais chauffer le glaçage jusqu’à ce qu’il atteigne 42 à 45°C. Mixe le afin d’ôter toutes les bulles d’air.
Finition
Démoule les anneaux, dépose-les sur un support ou une grille et glace-les.
Essuie le surplus de glaçage en les raclant sur la grille et dispose-les sur les anneaux de sablé pistache.
Poche quatre pointes de mousse fromage blanc sur la moitié de l’anneau, dispose harmonieusement quelques dés de cake et quelques tranches d’abricot.
Termine en déposant délicatement (à l’aide d’une pince par exemple) quelques ronds de sablé pistache et quatre ou cinq feuilles de verveine fraiche. La verveine apporte une touche de peps supplémentaire à cet entremets, c’est un vrai plus !
Laisse les entremets au frigo pendant au moins 3h afin qu’ils décongèlent.
Une image valant mille mots, découvre sans plus attendre la vidéo de la finition de l’entremets abricot, pistache et fromage blanc.
youtube
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Cet article t’a plu ? Tu as déjà testé l’association fromage blanc et abricot ? Tu as des questions techniques ? N’hésite pas à me laisser un commentaire pour me faire un retour sur ta lecture, ta réalisation ou ta dégustation. Je me ferai un plaisir de te répondre.
Bon app !
Ca y est, la recette de mon entremets abricot, pistache et fromage blanc est au point, et c'est un délice ! Parmi ma dizaine de "pauvres cobayes", cette recette a fait l'unanimité. Tu me vois donc ravi de la partager avec toi. C'est un peu technique mais quoi de mieux que de mettre la main à la pâte pour progresser ? Et puis "tracasse pas", si tu as des questions, tu sais bien que je suis là. Avec cet entremets estival, j'ai voulu mettre en valeur l'abricot, dont la fraicheur acidulée se marie merveilleusement bien avec le…
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