#dernières heures
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hcdahlem · 9 months ago
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L'Ami du prince
Dans ce roman qui nous ramène en 65 après JC, Marianne Jaeglé imagine la confession de Sénèque, qui « avait tout pour réussir et qui a failli. » un roman historique qui se lit comme un thriller, avec intrigues, meurtres et rebondissements à la clé.
    En deux mots De retour d’exil, Sénèque est engagé comme précepteur du fils d’Agrippine, le prochain empereur qui règnera sous le nom de Nero. Ses enseignements nous pourront toutefois empêcher les intrigues. Pire même, ils vont provoquer sa perte. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique La confession du philosophe Dans ce roman qui nous ramène en 65 après JC, Marianne Jaeglé imagine la…
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lesheuresvives · 1 year ago
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La sérénité du Cormoran - Décembre 2023
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proustianlesbian · 1 year ago
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so like this morning i suddenly had a violent stomach ache so during my break i saw that i was on my period. but when i left the bathroom, my sight got so blurry and i had no balance anymore and sounds were a bit muffled. i tried to go back to get my stuff but really couldn't walk and almost fell, girls helped me but i really couldn't see anything so i don't know who helped me. but like i had to go to the infirmary which wasn't far at all in a wheelchair (when i hate having the attention of people i don't know on me). but period pain really gave me spasms for at least an hour before i could go back home two hours later. and during my walk to my home (a bit more than 10 minutes because i walked slowly) i threw up three times because pain hurted me so much (i was alone in the street). but after a few hours of rest, i could go get my hair cut and now i kinda slay.
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alunbleu-blog · 2 years ago
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jeux-geekeries · 2 years ago
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Ce Vendredi a été ludique.
avec en premier
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Voyageurs du Tigre du Sud
jeu assez long et où il a été difficile de comprendre comment faire de points
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Mais une fois les mécanismes compris, il peut se jouer assez vite
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Puis Kingsburg
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Pour ce jeu, il s'est joué assez rapidement. Tout s'est bien déroulé.
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Et pour finir, une deuxième partie de
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Les mécanismes étant maintenant connus, la partie a bien coulé, avec un record de destructions.
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Mais ce fut encore une réussite au dernier round.
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agence-photo-imatext · 2 years ago
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Paul Masson
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antisemitism-eu · 1 month ago
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Two schools in Anderlecht, one of the 19 communes of Brussels,  have refused to take part in a ceremony marking the laying of Stolpersteine or Memory Stones for Belgian Jews murdered during the Holocaust, stating that “the schools do not wish to impose the children any discussion on the Holocaust given the current conditions in the Middle-East.”
“The schools didn’t want us to come and talk about the Holocaust with the pupils, given the current conditions in the Middle East,’’ Bella Swiatlowski, treasurer of the Association of the Memory of the Shoah, who had invited the two schools, told Belgian daily La Dernière Heure.
“We don’t talk about the current conflict when we visit schools with Holocaust survivors. We’re there to promote a duty to remember. These are two separate elements,’’ she explained.
The refusal came in particular from some parents in the schools. One of the schools involved recently removed an Israeli flag that was part of a ‘flags of the world’ event according to reports that sought to explain the decision, at the behest of a parent who had complained about the flag in the school playground.
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camisoledadparis · 11 days ago
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saga: Soumission & Domination 396
Les " petits frères "-1
Jalil :
J'ai truqué l'enchère afin que DGSE soit le gagnant. Je veux quelqu'un en qui j'ai une totale confiance pour lui. Quelqu'un capable de gérer si le petit a un bad trip qui lui revient en pleine face. D'autant plus qu'inconsciemment, il pourrait chercher la domination qu'il a connu ces trois dernières années et que j'ai senti qu'il recherchait alors que nous faisions l'amour tous les deux. DGSE en est conscient lui aussi et accepte le deal. Comme quand je lui avais amené la première fois Ric, il me demande de rester avec eux. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas baisé un petit mec ensemble et il aimait bien le faire avec moi.
On débarque donc chez le recruteur de Jona et François. Cette fois pas de scénario interrogatoire ou même interpellation. On descend quand même dans son donjon personnel. DGSE à fait disparaitre les menottes et autres moyens de contention dans les caisses, ne laissant que le sling, le cheval d'arçon et bancs de muscu. Jalil tremble un peu malgré le chauffage à fond qui nous invite à nous déshabiller. Je suis derrière lui. Je l'entoure de mes bras alors que DGSE s'approche et l'embrasse. Il se calme, je sens ses muscles se détendre.
DGSE y va très progressivement. Il commence à le dénuder. Le sweet puis le t-shirt quittent mon petit libanais et là, blocage complet. Jalil s'effondre à nos pieds et pas pour nous faire une pipe mais en pleurs. DGSE s'écarte et moi, je m'accroupi pour lui montrer que je suis là avec lui. Il m'attrape aux épaules et s'accroche à moi. Ses pleurs me secouent. Sa tête sur mon épaule, il mouille mon polo. Entre deux hoquets il s'excuse de ne pouvoir assurer. Tout bas je le traite d'imbécile, qu'il ne me fait pas honte et que c'est d'abord lui qui est important, plus encore que le client. Il tourne alors la tête dans tous les sens mais DGSE nous a laissé seuls. Je mets une bonne demi-heure pour le calmer et le persuader de se rhabiller. Malgré son stress il voulait continuer. On remonte et nous retrouvons DGSE qui nous avait préparé un thé bien chaud. Jalil s'approche de lui la tête basse et s'excuse de n'avoir pu assurer. DGSE d'un doigt sous le menton relève sa tête et en le regardant dans les yeux lui dit que ce n'est pas grave. Il se penche et lui calque juste un petit bisou sur les lèvres. Quand nous rentrons, il s'estime lâche et peureux, il panique à l'idée que ses nouveaux amis apprennent son forfait. Je l'assure que ce ne sera pas le cas mais ce n'est que quand Enguerrand et Max l'entourent de leur amour qu'il en est enfin persuadé. Je les laisse ensemble.
Enguerrand me dira plus tard qu'ils avaient quand même du ramer ferme pour lui remonter le moral et son estime de lui. Le soir il veut me voir en particulier. Il s'en veut de m'avoir fait perdre de l'argent, il veut savoir si j'acceptais que tous les mois sur ce que lui donne son père, il m'en rembourse une partie. Je lui explique alors pourquoi j'avais choisi DGSE pour son essai d'escort. Qu'avec lui cet incident d'avait pas eu de conséquence et qu'il n'était donc pas question d'un " arrangement " de la sorte. Il me tombe dans les bras et me dit tout bas que pour moi c'est quand je veux qu'il m'offre son corps. Il me rappelle que c'avait été très bon quand nous avions fait l'amour tous les deux. C'était totalement différent d'avec Enguerrand, Max et Nathan, même si avec eux c'était géant aussi. Il commençait à les aimer plus que beaucoup. Avec moi c'était plus " mature " sans être coercitif. En fait je réunissais la domination dont il avait besoin avec l'attention et la douceur que lui apportent les 3 jeunes. Affectueusement je le traite de petit con et le renvoie à ses amis.
Max : Lui aussi a décroché un contrat top. C'est celui dont j'avais eu le plaisir de baiser le majordome. La veille de la prestation, le client m'appelle et me demande si je pouvais accompagner Max, il voulait remercier son valet et à combien j'émargerais le cas échéant. Je me fais un peu désirer et la proposition augmente. J'ai beau lui dire que je ne fais plus ce genre de prestation, il me rappelle qu'il est bon client et depuis longtemps. Il trouve les arguments suffisants pour me convaincre de me remettre personnellement au travail. Nous arrivons donc dans sa grande propriété et Max est impressionné par le service. Le majordome nous conduit à l'arrière de la grande maison et nous retrouvons notre hôte au bord de sa piscine. Je laisse Max avec lui dès que son valet s'est assuré qu'ils avaient tout ce qu'il fallait : boissons fraiches, kpotes, gel et poppers.
Je suis mon homme. Son appart est au-dessus des garages. Il n'est pas malheureux avec un logement d'une centaine de m². Un grand séjour avec cuisine américaine où il ne prépare que du café et une chambre de 30m² aussi bien équipé que celle de son maître. Lit à baldaquin en acier " équipé " : sling... une étagère à roulettes supporte les accessoires nécessaires quand on est souvent seul : godes, plugs, boules, gel et pot de graisse à fist... Je sens que je vais pouvoir m'amuser un peu.
Le mec n'a pas changé. Nu il est toujours aussi et autant épilé même si son employeur ne se sert plus de lui comme avant. Je le trouve un peu plus musclé et il me dit que c'est les passages répétés de mes escorts qui l'ont incité à travailler un peu sa musculature. Car en général, il est présent dans la chambre pour veiller à ce que son maitre et mon escort aient tout ce qu'il faut sous la main sans qu'ils n'aient besoin de demander. A sa demande, son patron a équipé une petite salle de muscu et lui aussi s'en sert un peu. Il s'arrête de discuter et s'approche. Il prend ma bite presque totalement bandée et s'agenouille pour me faire une fellation en mode gorge profonde. Il n'a rien oublié de la technique et s'enfile mes 20cm direct en fond de gorge au premier essai. Je le laisse gérer. Il me pompe grave, n'hésitant pas à rester les lèvres collées à mon pubis plus d'une minute à masser mon gland par de lentes déglutitions. Je le repousse plusieurs fois de peur de jouir trop vite tellement c'est bon. Une telle prestation ne m'est faite que par Jimmy.
Comme il s'est mis à 4 pattes devant moi et qu'il cambre ses reins façon " salope en manque ", je me penche et mes doigts suivent naturellement sa colonne vertébrale, son sacrum pour plonger entre ses fesses et y trouver une rosette palpitante. Deux doigts s'enfoncent sans résistance jusqu'à ce qu'il me les emprisonne d'une contraction destinée à me montrer que ce n'est pas un vagin que j'investi. Je le repousse et lui dis que je vais l'enculer avant de lui travailler sérieusement la rondelle. Il est OK avec le programme. Je le balance sur le sling et kpoté l'encule direct utilisant juste le gel de ma protection pour glisser tout au fond. Sous la poussée, le sling part en avant et le balancement me fait déculer juste ce qu'il faut pour bien sentir le retour. Je joue à ce petit jeu un moment avant de le faire descendre et de le sodomiser en levrette. Il couine sous mes assauts mais surtout me demande d'y aller plus fort. Ce que je ne manque pas de faire. Ma mains tombe sur un gode dans mes dimension. Sans cesser de lui labourer la rondelle, je graisse l'engin et sans le prévenir l'enfonce à côté de ma bite. Bien entrainé, il ne laisse échapper qu'un " arg " de surprise quand je rentre les deux queues, la mienne et celle en plastique. Mais ça passe, je m'en doutais vu les plus gros godes sur l'étagère qui ne doivent pas faire que de la figuration. Je cale le gode bien profond et coulisse entre lui et la moitié du boyau qui me reste.
Quand je me suis bien amusé, je décule et lui dis qu'on passe au travaille de sa rondelle. Retour sur le sling où je lui attache les chevilles et les mains aux suspentes. Sa rondelle s'est ourlée de ma sodomie élargie. J'enfile une paire de gant et les recouvre de graisse pour travailler son anneau. Alors que je poisse mes doigts dans son trou en tournant pour bien graisser la surface, je vois qu'il bande ferme, il prend vraiment du plaisir à ça. J'avise un gode gonflable. Je lui enfile et pompe. Ne connaissant pas ses capacités, je lui dis de me guider. Il m'arête après une bonne minute de pompage, me dit d'attendre et quand il se sent prêt, me dit de tirer dessus pour le retirer. J'y vais doucement car le diamètre a quand même doublé par rapport à son entrée. De son côté il pousse et quand il n'en reste plus que la moitié, il l'expulse tout seul. Sa rondelle est maintenant grande ouverte prête au fist. Je recouvre mes gants d'une nouvelle couche de graisse et j'y vais. Main gauche (la plus fine de mes deux mains) doigts réunis en fuseau, je l'enfile sans problème. Main droite pareil mais je sens une compression. Une fois le sphincter passé, je ferme le poing et pousse. Je tape sa prostate, sa bite tressaute de plaisir. Il me souffle d'y aller franchement. Je pousse et j'entre mon avant-bras au 4/5, jusqu'à la partie la plus gonflée qui bloque. Je dois lui écarter la rondelle à pas loin de 11cm de diamètre, belle perf !! Je ressors et je vais jouer de mes deux mains et avant- bras. Il va se mettre à juter des litres sur son ventre quand je lui aurai mis ma main droite et ma bite au centre et que je me serais mis à me branler.
Je tourne autour du sling et lui présente ma bite à sucer. Quelques minutes et je me retire vite pour ajouter mon jus.au sien.
Repos, je le détache et l'aide à se lever. Il me remercie d'avoir été aussi efficace, cela faisait longtemps qu'il n'avait pris un tel pied. Douches, on se rhabille et vu le temps que nous avons passé, nous retournons vers la maison. Nous retrouvons le client en maillot et Max qui, nu, nage lentement dans la piscine. Comme son valet, il me remercie, lui pour Max qui était un vrai bonheur à baiser. Max sort de l'eau et s'approche. Je le sèche pendant que le client rentre dans la maison. Alors qu'il se rhabille à son tour, je lui pose quelques questions. Il me dit que cela s'était très bien passé, l'homme avait pris beaucoup de précaution pour le pénétrer et du coup il se l'était pris d'une seule, lente, mais puissante poussée. Puis il l'avait baisé dans plusieurs positions, passant de l'une à l'autre sans sortir de son cul. Il avait trouvé que le mec était endurant pour son âge. Je lui dis de se taire, c'est pas un sujet sur lequel il peut discuter !!
Il convient que ç'avait été bon mais sans l'intensité qu'il trouve quand il fait l'amour avec ses trois amis et même avec Adam. Je lui confirme que c'est effectivement différent même si on trouve son plaisir quand même, il n'a pas le même goût qu'entre amours. Il est d'accord et ajoute que même avec Jalil qui est le dernier venu dans leur petit groupe d'intimes, c'est meilleur. Quand nous sommes sur le point de partir, le client remet une enveloppe à Max. Il l'ouvre quand nous sommes dans la voiture sur le chemin du retour. Il m'annonce le montant, à quelques billets près c'est le même montant que pour Enguerrand.
Quand il retrouve ses complices impatients, il la joue un peu blasé, comme quoi, oui c'est bon mais il s'excite plus avec eux. Ça ne dure pas car il se fait chahuter et mi- chatouilles / mi- bagarre, il se retrouve enseveli sous les corps de ses 3 amours.
Jardinier
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fousrires · 2 months ago
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Dernières heures de l'année... via instagram
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chic-a-gigot · 7 months ago
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Mode-palace : album mensuel des dernières créations parisiennes. No. 7, juillet 1901, Paris. Gravure coloriée no. 1. Toilettes de villes d’eaux ou de visite a la campagne. Bibliothèque nationale de France
Première toilette. — Jupe en linon crème, très plate des hanches et évasée du bas. ornée de biais de soie bleu pâle, deux encadrant le tablier et montant jusqu’à la ceinture et les autres sur 40 centimètres de hauteur environ. La jupe est, en outre, agrémentée d’applications de broderies crème. Corsage blousé, orné comme la jupe. Manches au coude, ornées de la même façon et terminées par un volant de dentelle. Col et ceinture en soie bleu pâle. Gants de suède crème. Chapeau en paille or, orné d’un chou et de plumes bleu pâle.
First ensemble. — Cream lawn skirt, very flat at the hips and flared at the bottom. decorated with pale blue silk bias, two framing the apron and reaching up to the belt and the others approximately 40 centimeters high. The skirt is also embellished with cream embroidery applications. Bloused bodice, decorated like the skirt. Elbow-length sleeves, decorated in the same way and finished with a lace ruffle. Pale blue silk collar and belt. Cream suede gloves. Gold straw hat, decorated with a cabbage and pale blue feathers.
Métrages: linon en 0 m 80, 6 mètres; soie doublure, 11 mètres.
Seconde toilette, genre tailleur, en drap mousseline, voile ou piqué chamois clair. La jupe est ornée de piqûres au dessus du volant en forme et de straps piqués, dessinant une tunique croisée. Corsage coupé en boléro, avec grand col en Luxeuil et fermé à la taille par un bouton. Col et chemisette en foulard rouge plissé. Manches justes coupées sur une manchette piquée en même étoffe que la robe. Chapeau en paille rouge brodée et ajourée, orné de Heurs rouges sur la passe et dessous.
Second ensemble, suit type, in muslin cloth, voile or light chamois pique. The skirt is decorated with stitching above the shaped flounce and stitched straps, creating a crossed tunic. Bodice cut in bolero style, with large Luxeuil collar and closed at the waist with a button. Collar and shirt in pleated red scarf. Sleeves just cut on a stitched cuff in the same fabric as the dress. Embroidered and openwork red straw hat, decorated with red Heurs on the pass and below.
Métrages: drap, 5 mètres; foulard rouge, 0 m 80; soie doublure, 11 mètres.
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willcmsv · 7 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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lespetitspoisons · 11 days ago
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I think I might take a bite.
Minho dit au revoir à Jeongin, le sourire fatigué par la journée mais ayant tout de même tenu à ouvrir sa porte pour le saluer poliment. "Dors bien surtout, on se voit demain de bonne heure ! Et pas de sable dans le labo !" il lui rappelle en souriant toujours, remontant dans la voiture avec un soupir, moins nerveux maintenant que tout le monde est arrivé à bon port. Malgré les pensées de la journée, il est plus à l'aise seul avec Changbin, et il se mets sur le côté, presque allongé sur son siège de voiture pour pouvoir le regarder. "Alors, ou est-ce que tu m'emmènes ?" il demande avec un voix plus basse, n'ayant plus à se faire entendre à l'arrière, et essaye de faire taire la voix intérieure qui est vraiment fatiguée et lui dit qu'il devrait juste se glisser dans les bras de Changbin, peu importe qu'il soit en train de conduire. Minho arrive tout de même à se contenir et attends que la voiture s'arrête une dernière fois pour en sortir et lever les yeux vers le restaurant, sentant son ventre réagir à la promesse de nourriture chaude quand il suit Changbin vers l'entrée. "Ah, quelle bonne idée. Mais j'ai peur de ne pas me réveiller demain si je mange trop..." Minho soupire doucement, et blâme la fatigue lorsqu'il passe son bras dans celui de Changbin pour se reposer un peu sur lui et jeter un oeil à l'intérieur.
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lesheuresvives · 1 year ago
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Légèreté crépusculaire - Décembre 2023
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lascitasdelashoras · 4 months ago
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José Manuel Capuletti - Le Dernière Heure
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urween · 9 months ago
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠︎ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description à la troisième personne
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Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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bannières par @/saradika-graphics
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jeux-geekeries · 2 years ago
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Première partie de Horreur à Arkham Dernière Heure.
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La pression monte doucement mais sûrement.
Le jeu ne fait pas de cadeaux mais reste équilibré. Il faut faire les bons choix et parfois cela casse.
Mais au dernier tour, nous avons tenté notre chance.
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Et ce fut la bonne.
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