#david aimone
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socratezeuxis · 7 months ago
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Kyotocat
PHOTOGRAPHER / DKA
MODEL / Kyotocat
(via Kyotocat Artistic Nude Photo by photographer DKA at Model Society)
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christophe76460 · 21 days ago
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L'ÉVANGILE : UNE BONNE NOUVELLE
"Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle."
Jean 3:16
Nous aimons tous apprendre de bonnes nouvelles.
Un étudiant réussit à un examen. Un ami a trouvé un emploi après des mois de chômage. Un jeune couple nous annonce la venue prochaine d’un bébé dans son foyer. Mais ce ne sont pas ces nouvelles-là qui font la une des journaux. Ce sont plutôt les mauvaises : accidents, violences, crises, pandémies, guerres, etc.
Il y a une bonne nouvelle dont les médias se désintéressent trop souvent, comme aussi, malheureusement, beaucoup d’hommes et de femmes aujourd’hui. Un ange a autrefois annoncé à des bergers qui gardaient leurs troupeaux : “Voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie, qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur” (Luc 2. 10-11).
Quelle annonce ! Enfin, quelqu’un va pouvoir me sauver de ce que méritent devant Dieu toutes mes fautes, toute la saleté de mon cœur et les mauvais choix de ma vie. Il va me tirer de ma misère, de ma solitude, de mes angoisses. Mais comment ?
Dieu aime tellement les hommes qu’il ne peut les laisser marcher vers la mort et son jugement sans leur fournir un moyen d’être sauvés. Il a envoyé son Fils, Jésus Christ, pour mourir en subissant à leur place la peine qu’ils méritaient.
Le grand sujet de joie, c’est que ce Sauveur est devenu le mien personnellement. Maintenant, toutes mes fautes sont effacées. Quelle paix, quelle joie ! Dieu me pardonne et me reçoit comme un enfant qu’il veut combler de son amour.
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yes-bernie-stuff · 23 days ago
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Samedi 4 janvier 2025
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3. 16
L’évangile : une bonne nouvelle
Nous aimons tous apprendre de bonnes nouvelles.
Un étudiant réussit à un examen. Un ami a trouvé un emploi après des mois de chômage. Un jeune couple nous annonce la venue prochaine d’un bébé dans son foyer. Mais ce ne sont pas ces nouvelles-là qui font la une des journaux. Ce sont plutôt les mauvaises : accidents, violences, crises, pandémies, guerres, etc.
Il y a une bonne nouvelle dont les médias se désintéressent trop souvent, comme aussi, malheureusement, beaucoup d’hommes et de femmes aujourd’hui. Un ange a autrefois annoncé à des bergers qui gardaient leurs troupeaux : “Voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie, qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur” (Luc 2. 10-11).
Quelle annonce ! Enfin, quelqu’un va pouvoir me sauver de ce que méritent devant Dieu toutes mes fautes, toute la saleté de mon cœur et les mauvais choix de ma vie. Il va me tirer de ma misère, de ma solitude, de mes angoisses. Mais comment ?
Dieu aime tellement les hommes qu’il ne peut les laisser marcher vers la mort et son jugement sans leur fournir un moyen d’être sauvés. Il a envoyé son Fils, Jésus Christ, pour mourir en subissant à leur place la peine qu’ils méritaient.
Le grand sujet de joie, c’est que ce Sauveur est devenu le mien personnellement. Maintenant, toutes mes fautes sont effacées. Quelle paix, quelle joie ! Dieu me pardonne et me reçoit comme un enfant qu’il veut combler de son amour.
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pdj-france · 1 year ago
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Par Robert Scucci | Publié il y a 25 secondes David Hasselhoff comme Nick FuryAvant que l'univers cinématographique Marvel que nous connaissons et aimons aujourd'hui ne devienne omniprésent, des tentatives ont été faites des années avant qu'Iron Man de 2008 ne lance la franchise que nous connaissons désormais trop bien. Un flop notable est survenu sous la forme d'un film Nick Fury, intitulé Nick Fury: Agent of SHIELD, qui a été diffusé pour la première fois par Fox en 1998. Alors que ce film conçu pour la télévision était destiné à être un pilote pour une éventuelle série télévisée, il était loin d'être bien accueilli et a depuis longtemps été oublié par beaucoup. Eh bien, à tout le moins, Marvel aimerait que nous oubliions ce film particulier de Nick Fury. David Goyer, qui a rédigé le scénario, a affirmé que Hasselhoff comprenait à quel point Agent of SHIELD était censé être ironique, et il n'a pas manqué de livrer la marchandise avec son sens de l'humour conscient de lui-même. Nick Fury: L'agent du SHIELD a trouvé David Hasselhoff (Baywatch, Knight Rider) prenant le rôle principal en qualité de personnage titulaire, ce qui, avec le recul, ne semble pas être le meilleur choix de casting. Sachant ce que nous savons désormais et à quel point Samuel L. Jackson a réussi à représenter le même personnage dans le MCU, il va sans dire que nous souhaitons que Jackson soit la star de ce film de Nick Fury. Mais à l'époque, les producteurs voulaient s'appuyer sur le pouvoir vedette de Hasselhoff, et ils n'avaient pas tort d'avoir cette ligne de pensée. Nick Fury : Agent du SHIELDCompte tenu de la nature campy de ce film de Nick Fury, Hasselhoff était en fait le bon choix pour le rôle principal dans Nick Fury: Agent du SHIELD David Goyer, qui a rédigé le scénario, a affirmé que Hasselhoff comprenait à quel point l'agent ironique du SHIELD était supposé être, et il n'a pas manqué de livrer la marchandise avec son sens de l'humour conscient de lui-même. Alors que Goyer reconnaisse que le film a fini par être assez médiocre, Hasselhoff a réalisé la série et aurait été signé pour un certain nombre de téléfilms supplémentaires de Nick Fury qui ne se sont pas concrétisés après l'échec de celui-ci. Ce n'est pas que le film était considéré comme absolument terrible, mais plutôt qu'il ne servait pas vraiment les personnages établis du canon Marvel d'une manière convaincante pour votre public moyen. Ce film de Nick Fury est centré sur Nick Fury de Hasselhoff, qui au début du film est à la retraite du SHIELD et vit une vie obscure dans un puits de mine abandonné au Yukon. Il est rappelé de sa retraite lorsqu'il apprend qu'Hydra menace Manhattan avec le virus de la tête de mort, l'arme apocalyptique d'Hitler. Nick Fury : Agent du SHIELDNous sommes désormais confrontés à une course contre la montre tandis que Nick Fury et ses partenaires du SHIELD tentent de retrouver Viper, la fille du baron Wolfgang Von Strucker, dans le but de trouver un antidote et d'arrêter le règne de terreur d'Hydra. Aussi convaincant que puisse paraître l'intrigue, ce film de Nick Fury a obtenu un score d'audience de 17% sur Rotten Tomatoes, et n'a même pas de score critique auquel nous pourrions faire référence. Ce n'est pas que le film était considéré comme absolument terrible, mais plutôt qu'il ne servait pas vraiment les personnages établis du canon Marvel d'une manière convaincante pour votre public moyen. Mais quand même, nous sommes heureux que ce film de Nick Fury ait été réalisé, car il s'agit toujours d'une preuve de concept appropriée qui serait éventuellement revisitée d'une manière plus mémorable. En d'autres termes, la tentative malheureuse de Marvel de faire un film sur Nick Fury n'est pas nécessairement une tache sur leur héritage; c'était juste quelque chose qui s'est passé et qui finalement n'a pas marché. Sandra Hess dans Nick Fury : Agent du SHIELDLe sentiment dominant, cela dit, est que Nick Fury: Agent of SHIELD était essentiellement
un film jetable conçu pour la télévision qui n'avait pas assez de jambes pour continuer en qualité de série. Mais quand même, nous sommes heureux que ce film de Nick Fury ait été réalisé, car il s'agit toujours d'une preuve de concept appropriée qui serait éventuellement revisitée d'une manière plus mémorable. Si vous avez 90 minutes à tuer, vous voudrez peut-être vérifier ce que nous appellerons simplement un prototype de film Nick Fury. Ne dites pas à Marvel que nous vous en avons parlé, car ils ne veulent pas que vous vous en souveniez.
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For'fm Radio
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FOR’FM est née d’une volonté de proposer des émissions dédiées à la découverte de nouveaux talents et à l’information sur l’agglomération.
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Cette radio se veut pluraliste, au service de l’expression de ses adhérents, de l’information et tous les habitants de la zone concernée, de l’éducation populaire et de la promotion de la culture. L’association est apolitique et non confessionnelle et a pour objet de créer et faire exister une radio locale associative ayant pour objet l’information, la promotion et l’animation de la région au point de vue musical, culturel, économique, sportif, associatif, vie municipale. La ligne musicale est très variée en fonction des talents qui sont retenus. Une application mobile va prochainement être disponible pour nous écouter partout. For’fm, c’est aussi une passion, une envie de partage et de découverte. Nous développons une page blog sur le site forfm.fr afin d’obtenir des infos sur les artistes et acheter leurs œuvres. C’est aussi grâce à vous qu’elle existe. Une radio à votre écoute ! Presse :
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- Si For’fm acquérait un local avec un hall, nous prévoyons un « Wall Of Fame » afin de présenter les œuvres musicales et écrites qui apparaissent également dans la boutique du site de FOR’FM, qui sera finalisé courant mars. - Nous recherchons encore le financement pour la diffusion sur les BOX Internet ainsi que OK GOOGLE et ALEXA. La mise en ligne de l’application FOR’FM, qui sera disponible Google Play et Apple Store. - Nous avons egalement fait un dossier pour la diffusion en Hertzien avec une couverture de l’agglomération de Forbach sur la bande FM.
L’idée
D.S. : En tant que journaliste et amoureux de musique, j’ai eu l’idée, dans un premier temps, d’une webradio mélangeant les infos de notre agglo et de ces artistes. Puis devant l’enthousiasme du projet, nous avons eu envie d’exister sur les ondes et de devenir une entité de notre agglomération. Aujourd’hui, nous souhaitons également exporter notre concept auprès d’autres agglos avoisinants en ne changeant que la partie info. Nous voulons développer une structure d’accompagnement des artistes allant de la conception à la production de leurs œuvres musicales ainsi que leurs ventes. Notre radio, ayant comme éthique la culture et la cohésion sociale, elle organisera des manifestations musicales afin de faire découvrir nos nouveaux talents. Nous aimons aussi les émissions touchant des sujets d’actualités qui ont retenu l’attention de nos citoyens. - Diffusion de la radio sur internet, sur une application mobile et les réseaux sociaux. - Diffusion de la radio sur canal hertzien (En cours). - Annonces publicitaires ou événementiels. - Vente de livre, œuvres audios d’artistes ou groupe de musiciens. - Diffusion d’œuvres d’artistes locaux et internationaux. - Émissions en direct ou enregistrées sur des thèmes. - Passage à l’antenne d’auditeurs qui souhaitent s’exprimer sur un sujet. - Présence dans des lieux ou s’exerce une activité culturelle, associative ou publique. - Promotion d’une œuvre audio, vidéo ou écrite auprès d’organismes agrées. D.S: J’ai surtout voulu recréer du lien social qui a disparu avec la crise sanitaire. Les habitants de Forbach et son agglo ont besoin d’un point d’information commun afin de savoir où se retrouver lors d’événements. De pouvoir toucher un grand nombre d’auditeurs pour savoir ou se rendre et tous les évènements culturels de l’agglomération. David SCHMIDT Read the full article
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lunaflower · 3 years ago
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c!tommy | the heart (it's gotten so complicated; I'm weaker than i used to be)   (X) (X) (X)
the divine secrets of the ya-ya sisterhood, Rebecca Wells // monhegan dandelions, David K Aimone // lost boy, Troye Sivan // hearts like wildflowers, Nikita Gill // king of scars, Leigh Bardugo // final waltz, sad-ist // rilke’s book of hours, Rainer Maria Rilke // nausea, Jean-Paul Sartre // exile, Shelby McQuilkin // as I lay dying, William Faulkner
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jeanchrisosme · 3 years ago
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Ceux que nous aimons, nous pouvons les haïr. Les autres nous sont indifférents.
Henry David Thoreau
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pauline-lewis · 4 years ago
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Because that is your person in this life
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Hier, j'ai revu Frances Ha. En lançant le film, j'ai vu la date de sortie, "2013", et j'ai vraiment eu du mal à y croire. Huit années. Je me vois encore sortir de l'avant-première au Champs-Élysées Film Festival et pleurer sur le quai du RER à Charles de Gaulle Étoile. À l'époque je travaillais en contrat précaire dans une grande rédaction et ce film avait touché une corde très sensible : celle de mon impression d'être perdue, de ne pas être assez avancée dans ma vie, cette crise des 27 ans qui m’avait frappée sans prévenir. J'en avais parlé à Greta Gerwig en interview tandis qu'elle était couchée sur un canapé, ses Louboutin posées négligemment par terre. (j'étais nettement moins distinguée)
J'avais donc un peu peur en lançant ce film qui avait marqué un moment si précis et particulier de mon existence. Et puis, je me suis retrouvée à l'aimer comme au premier jour, chaque image m'a fait ressentir la texture et le poids de ces huit années. Et ce n’était pas si triste. J'ai eu de nouveau les larmes aux yeux quand Frances dit "I'm so embarrassed, I'm not a real person yet", qu'elle raconte cette vie parallèle que nous développons avec les personnes que nous aimons. J'y ai trouvé l'écho de ce que j'étais et la certitude de ce qui avait changé. Je crois que j'ai trouvé ce même équilibre que Frances, j'ai lâché l'ambition pour quelque chose de plus petit mais qui me ressemble plus. Je n'interviewe plus d'actrices sublimes en Louboutin mais je fais d'autres choses.
Et puis il y a tout ce qui reste, la joie de voir quelqu'un danser dans la rue sur le Modern Love de David Bowie, le sourire de Greta Gerwig qui me bouleverse, ce sentiment d'être une personne sculptée à même le malaise qui me fait rire aujourd'hui (et que j'accepte). Les références musicales et cinématographiques. Les silences et les clins d’œil à Proust.
Et surtout la beauté de connaître cette chose précieuse : d’avoir une amie qui me dit souvent "I love you, I really do", qui sait aussi raconter l'histoire de ce qu'elle pense que j'accomplirai. C'est déjà en soi une immense victoire que je chérissais il y a huit ans et que je chéris encore plus aujourd'hui parce que je sais que c’est ce qu’il reste quand on a passé les événements au tamis du quotidien et des années.
and you look across the room and catch each other's eyes... but - but not because you're possessive, or it's precisely sexual... but because... that is your person in this life. And it's funny and sad, but only because this life will end, and it's this secret world that exists right there in public, unnoticed, that no one else knows about.
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Girlfriends de Claudia Weill (1978)
Petite thématique amitié avec le Girlfriends de Claudia Weill (écrit par Vicki Polon) que j’ai découvert cette semaine. Quand j’y pense Frances Ha lui emprunte beaucoup. Les deux films partent des amitiés féminines pour réfléchir à la place des femmes dans le monde, à ce que la société patriarcale attend de nous et à l’ambition artistique vs la vie “rangée”.
Girlfriends raconte, comme Frances Ha, une amitié qui se délite. Deux femmes qui pensaient qu’elles allaient vivre leurs vies en parallèle et qui se retrouvent à avoir deux expériences très différentes de l’existence. Susan (qui est officiellement mon nouveau personnage de fiction pref, quel charisme incroyable) est photographe et elle s’apprête à emménager en colloc avec son amie Anne. Sauf qu’Anne lui annonce qu’elle laisse tomber ce projet pour se marier et s’installer avec son compagnon.
Deux itinéraires complètement différents se dessinent à partir de ce moment tandis qu’elles essaient de réparer cette incommunicabilité qui s’est installée entre elles. Tout comme dans Frances Ha, j’aime particulièrement les scènes d’intimité entre les deux femmes qui dessinent, je trouve, un autre cinéma parallèle. Anne qui joue du piano pendant que Susan écoute, les confidences et les silences qui disent long, les conversations qui durent.
J’ai surtout aimé la longue réflexion sur l’ambition artistique, sur ce qu’elle coûte à Susan (financièrement et mentalement). C’est un film assez mélancolique, sur ce que les femmes sont forcées d’abandonner pour choisir un chemin ou un autre. Je crois que j’aurais pu regarder Susan parler et être elle-même pendant des heures et des heures.
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Résine d’Elodie Shanta (éditions La Ville Brûle)
En ce début d’année il ne s’est pas passé grand chose de fun mais dans mon top 2 il y a vraiment 1) commander de la laine à chaussettes et 2) lire Résine d’Elodie Shanta.
J’aurais du mal à exprimer (même si bon techniquement c’est mon travail) avec des mots à quel point cette petite BD m’a à la fois enchantée et vraiment amusée. Je l’ai lue un soir vraiment morne et je me suis retrouvée à rire à gorge déployée et à prendre des photos de tous les petits détails drôles qui se cachent à chaque page.
Résine raconte l’histoire d’une sorcière et de son compagnon Claudin qui débarquent dans le village de Floriboule. Comme elle a été chassée de son précédent lieu de résidence, Résine se dit qu’il serait peut-être de bon ton de faire profil bas et de cacher à tout le monde qu’elle est une sorcière.
Sauf que Résine est une sorcière au grand cœur, qui multiplie les pains et l’argent, trouve que travailler est une perte de temps, et qui va plus ou moins se griller en mettant en péril l’obscurantisme et l’ordre capitaliste et patriarcal qui règne à Floriboule. De ce décalage entre les couleurs joyeuses et le style tout en rondeurs d’Elodie Shanta, et le message anticapitaliste et féministe, naît une vraie jubilation.
Vous me direz peut-être qu’on en a marre des sorcières mais croyez-moi quand je vous dis que Résine est tout bonnement irrésistible. Et si je vous dis qu’on y croire aussi des sorcières lesbiennes, un lutin avec un grand cœur qui fait la tête en permanence (il m’a fait penser à mon personnage de fiction préféré, Archimède dans Merlin l’enchanteur) et des punchline vraiment hilarantes, j’espère que vous serez conquis·es !
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(Vraiment mon nouveau héros)
Division Avenue de Goldie Goldbloom (ed. Christian Bourgois, trad de l’anglais par Éric Chédaille)
Je suis très triste de ne pas avoir lu ce livre à temps pour ma sélection de rentrée, mais je me suis rattrapée en lisant ce beau roman en janvier et je n’ai pas regretté.
Goldie Goldbloom raconte l’histoire de Surie Eckstein, une femme qui vit au sein du quartier juif orthodoxe de New York. L’autrice elle-même est membre de la communauté juive hassidique. Surie, donc, a déjà dix enfants et plusieurs petits-enfants. Ses règles s’étant arrêtées, elle pense être ménopausée. Mais voilà qu’elle va tomber enceinte. Cette nouvelle la perturbe profondément et change son rapport à son corps, à sa famille, à sa communauté. Alors qu’elle cache son état à ses proches, elle comment à aider la sage-femme de l’hôpital et elle se remémore la disparition de l’un de ses fils, mort du sida après avoir été mis au ban de la communauté. 
Le roman m’a forcément fait penser à la série Unorthodox mais je trouve qu’il évite beaucoup des raccourcis que cette dernière prenait. J’ai eu l’impression de pénétrer vraiment dans cette communauté et de voir comment la frustration pouvait parfois cohabiter avec l’amour, j’ai été vraiment embarquée par ce personnage et par sa vie complexe. Sans jamais porter de jugement. J’ai simplement partagé la vie de cette héroïne pendant quelques jours. Je pense souvent à la phrase de Faïza Guène qui disait dans une interview à Mediapart : “J’aime bien lire ce qui me manque.”
Et j’ai vraiment eu cette impression de lire l’histoire de ces femmes dont on raconte rarement le destin. D’entrer dans le vécu de Surie avec de l’humour et surtout avec ces nuances qui font le sel de l’expérience humaine. Ce n’est pas du tout un roman “choc” sur une communauté religieuse mais vraiment un récit qui fait cohabiter l’empathie, la religion, la science et l’expérience d’une femme avec beaucoup de talent.
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bestialmouths · 5 years ago
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We are thrilled to finally announce the pre-orders for our new LP 'RESURRECTEDINBLACK' on bandcamp: An enormous amount of work and pain went into this album—it is catharsis given voice, and we could not have done it without the incredible productions of Brant Showers (∆AIMON/SØLVE), Balázs Képli and Alex DeGroot (Zola Jesus), nor the killer live interpretations of Raf Abr (FUROR) and David Foster (/ϟ/HUREN/ϟ//TESTE), nor everyone's talent and touch that helped finally bring this album into the world. And for all of you who supported us and kept us going—this is for you, too. We are aware of the disconnect of what's happening right now and trying to self-promote; we're sorry for this and will try to balance our need as artists to make a living and the larger need. Meanwhile, you can still support us and this greater good by purchasing 'IN RUINS', the proceeds which will be donated to racial and social justice organizations forever.
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leblogdemarinaetjm · 5 years ago
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SAMEDI 18 AVRIL 2020 – 32ème jour du confinement (Billet 1 / 4)
Mercredi dernier c’était l’anniversaire de Pamella (H.). On peut dire encore son âge, elle a eu 26 ans !
« Mais qui est Pamella ? » (on dirait un titre de film de David Lynch !)
Et bien Pamella est une jeune GM, canadienne (francophone), dont nous avions fait la connaissance l’année dernière au Club Med de La Palmeraie de Marrakech, fin-août/début-septembre.
Allez savoir pourquoi elle a tout de suite fréquenté la petite piscine (la « nôtre »), dite « Zen », délaissant la plus grande, très belle et très animée (trop pour nous). En tout cas, c’est là où nous l’avons rencontrée.
Comment vous définir Pamella ? On pourrait dire qu’elle était « adorable »… dans les deux sens du terme : mignonne comme un cœur et une candeur à attendrir tous les lions du Haut-Atlas (s’il en reste…).
Nous ne sommes pas les seuls à avoir été conquis. On pense entre autre à Florence et son mari, Hubert.
Sans dévoiler un grand secret, lorsque nous lui avons posé la question : comment se faisait-il qu’une si jeune personne quitte le Canada pour venir passer toute seule des vacances au fin fond du Maroc, elle nous a répondu que suite à un chagrin d’amour, elle est rentrée dans une agence de voyage et leur a dit qu’elle souhaitait aller le plus loin possible de chez elle et qu’elle voulait du soleil. Elle ne connaissait même pas le Club Med. La conseillère lui a proposé Marrakech, elle a dit banco.
Durant toute la durée de notre séjour nous avons vraiment souhaité qu’elle rencontre un GM, jeune et célibataire, « digne » d’elle (éventuellement un GO, mais alors là, juste pour lui changer les idées…), mais lorsque nous nous sommes dit aurevoir à la fin de notre séjour dans le Lobby du resort, la « perle rare » n’avait toujours pas été trouvée.
Mais revenons à son anniversaire, quand en avons-nous noté la date ? Et bien sûrement à l’occasion d’une excursion, lorsque nous avons décidé de fêter notre 35ème Anniversaire de mariage lors d’un dîner-bivouac organisé par le Club, aux portes du désert, à environ 2 heures de route de Marrakech.
Nous en avions parlé quelques jours auparavant dans la piscine (c’est fou ce qu’on peut bavarder dans une piscine lorsqu’il fait plus de 45° dehors et qu’il fait si bon dedans !) et cela a intéressé Pamella qui s’y est inscrite aussitôt.
Nous avons vraiment passé un moment « out of the world » ! Les photos ci-dessous en disent plus qu’un long discours. Pamella est venue nous rejoindre à la fin du dîner et nous avons bu avec elle (et toute notre petite table) une bouteille de bulles rosées (fraîche à souhait grâce à la diligence des 2 organisateurs).
Ce sont ces photos que nous avons envoyées à Pamella avec nos meilleurs voeux pour son Anniversaire et nous en avons profité pour lui demander comment elle allait, si elle était confinée au Canada comme nous, etc.
Elle a nous a bien sûr remerciés mais nous a avoué que son moral était loin d’être au beau fixe, sans boulot, sans rentrée d’argent bien sûr, seule… mais, point positif, en bonne santé.
Nous avons échangé quelques WhatsApps, même des WhatsApps vocaux… et à un moment, pour lui changer les idées, nous lui avons proposé de l’abonner à notre Blog. Elle nous a envoyé son adresse mail et c’est avec grand plaisir qu’en votre nom à tous, NOUS LUI SOUHAITONS LA BIENVENUE sur le « BLOG de Marina et JM ».
Un dernier détail : le léger accent canadien de Pamella (que malheureusement vous ne pouvez pas entendre) ajoute une petite pointe d’exotisme non négligeable à son charme indéniable.
Vous l’aurez deviné, nous aimons beaucoup Pamella et espérons bien la revoir un jour à Paris, lorsque tout risque de pandémie sera écarté… et nous pourrons peut-être alors vous la présenter (du moins à nos lecteurs/abonnés qui habitent Paris).
Nous avons d’ailleurs deux neveux (encore) célibataires… mais non, on plaisante. Quoique…
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alternativephotographycom · 7 years ago
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David Aimone
David Aimone's work explores relationships using gum, cyanotype, platina and kallitypes.
David Aimone’s work explores relationships using gum, cyanotype, platina and kallitypes. From: Saratoga Springs, New York, USA. Shows: Cyanotypes, Gum bichromates, Kallitypes, Platinum prints. [ngg_images source=”galleries” container_ids=”160″ display_type=”photocrati-nextgen_basic_thumbnails” override_thumbnail_settings=”1″ thumbnail_width=”200″ thumbnail_height=”200″ thumbnail_crop=”1″…
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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christophe76460 · 22 days ago
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Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3. 16
✅ L'évangile : une bonne nouvelle
Nous aimons tous apprendre de bonnes nouvelles.
Un étudiant réussit à un examen. Un ami a trouvé un emploi après des mois de chômage. Un jeune couple nous annonce la venue prochaine d’un bébé dans son foyer. Mais ce ne sont pas ces nouvelles-là qui font la une des journaux. Ce sont plutôt les mauvaises : accidents, violences, crises, pandémies, guerres, etc.
Il y a une bonne nouvelle dont les médias se désintéressent trop souvent, comme aussi, malheureusement, beaucoup d’hommes et de femmes aujourd’hui. Un ange a autrefois annoncé à des bergers qui gardaient leurs troupeaux : “Voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie, qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur” (Luc 2. 10-11).
Quelle annonce ! Enfin, quelqu’un va pouvoir me sauver de ce que méritent devant Dieu toutes mes fautes, toute la saleté de mon cœur et les mauvais choix de ma vie. Il va me tirer de ma misère, de ma solitude, de mes angoisses. Mais comment ?
Dieu aime tellement les hommes qu’il ne peut les laisser marcher vers la mort et son jugement sans leur fournir un moyen d’être sauvés. Il a envoyé son Fils, Jésus Christ, pour mourir en subissant à leur place la peine qu’ils méritaient.
Le grand sujet de joie, c’est que ce Sauveur est devenu le mien personnellement. Maintenant, toutes mes fautes sont effacées. Quelle paix, quelle joie ! Dieu me pardonne et me reçoit comme un enfant qu’il veut combler de son amour.
Samedi 4 janvier 2025
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yes-bernie-stuff · 8 months ago
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Lundi 27 mai 2024 N’attristez pas le cœur de Dieu
“Que de fois ils se révoltèrent contre Lui dans le désert ! Que de fois ils L’attristèrent…” Ps 78. 40
Nous sommes vite peinés ou contrariés lorsque quelqu’un que nous aimons nous fait du mal en paroles ou en action, même involontairement, n’est-ce pas ? Et nous nous sentons coupables si nous causons de la peine à ceux que nous aimons. Ce sont des sentiments tout à fait naturels, mais avez-vous considéré ce que Dieu ressent lorsque l’un de Ses enfants se conduit mal, se rebelle contre lui, ou simplement décide de faire sa volonté au lieu de la Sienne ? Les Ecritures nous parlent parfois des sentiments éprouvés par Dieu à certaines occasions de l’histoire humaine, et en particulier vis-à-vis du comportement du peuple hébreu à Son égard. David a écrit “Que de fois ils L’attristèrent…” Avant le déluge les Ecritures nous disent que Dieu regretta d’avoir créé la race humaine “et Son cœur fut affligé” (Gn 6. 6). Le péché fait mal au cœur de Dieu et pourtant Il fait preuve d’une patience infinie : “ce que Je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il revienne de sa voie méchante et qu’il vive !” (Ez 33. 11). Nous ferions bien de considérer combien notre comportement peut attrister Dieu. Tout péché non confessé est un affront pour Dieu car c’est comme si nous refusions de reconnaître Sa souveraineté. Aussi doit-Il parfois se résoudre à nous punir, même si, là encore cela fait mal à Son cœur car de par Sa nature Dieu est amour et compatissant, lent à la colère et toujours prêt à pardonner. Réfléchir à cette vérité nous conduira à examiner notre comportement de tous les jours et à modeler notre cœur afin qu’il s’accorde avec celui de Dieu. Nous n’avons pas besoin de nous révolter contre Lui pour L’attrister. Refuser d’aider les pauvres, les opprimés, les orphelins, tous ceux qui ont besoin de nous pour survivre, suffit à L’attrister, car Lui veut que nous fassions preuve du même amour que celui dont Il a fait preuve envers nous.
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claudehenrion · 6 years ago
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Un monde sans religion ? “Mort, où est ta victoire ?”
  Novembre, avec les premiers frimas, invite à réfléchir à la mort : la Toussaint, qui fête des gens toujours vivants mais qui ne sont plus de ce monde, puis le “Jour des morts”, suivi du 11 novembre -où notre Armée défile sur les Champs Elysées pour honorer les morts de 14-18… Et depuis peu, une menace permanente d'attentats ajoute une dimension plus actuelle : qu'est-ce qui, en 2018, peut amener un homme à mourir pour tuer d'autres hommes ? Cette question, bien de notre temps, aurait paru idiote, au moyen-âge : c'est, évidemment, pour aller au Paradis ! Car si l'Occident a perdu, depuis, la croyance eschatologique en un “après la mort”, les musulmans pensent trouver là un laisser-passer pour le paradis d'Allah, là où le Chahid (= martyr mort au Jihad) entre sans passer par la case “jugement dernier”.
  Contrairement à ce qu'affirment journalistes et hommes politiques une fois encore unis dans les fausses évidences au premier degré, les assassins islamistes qui nous menacent sans cesse ne sont pas des nihilistes mais des hyper-croyants (même dévoyés, mais ceci est un autre problème). C'est nous qui sommes devenus une nouvelle espèce de nihilistes : il n'y a qu'en Occident que des gens revendiquent de ne croire en rien. Et pourtant, l'athéisme n'a vraiment rien à dire sur toutes les angoisses de l'Homme, par exemple sur la mort : comme sur les autres problèmes fondamentaux de l'humanité, sa nullité sans espoir est abyssale !
  Toutes les civilisations, pourtant, se sont construites à partir, sur et autour d'un système religieux, et de quelque manière que l'on regarde l'Histoire, le besoin de sacré est universel et quasi-éternel. Il faut noter que la structure qui définit une religion (existence d'un clergé, rites, églises, pagodes, temples ou torii), n'apparaît que plus tardivement, avec la nécessité de trouver des facteurs d'union de tous les hommes de la cité, et des facteurs de différenciation avec “les autres”. Du coup, nombreux sont ceux qui ont pensé que le surnaturel n'est pas obligatoire, même si toutes les tentatives de ‘’religions sans dieu’’ ont échoué, toujours et partout.               La présence d'une majuscule aux mots Nation, Science,  Europe, Internationale, Egalité, Race ou Classe (en lutte, bien sûr !)… est nécessaire pour faire croire à la possibilité d'une nouvelle déité. Nécessaire, mais très loin d'être suffisante.
  Seulement, voilà : parmi toutes les choses dont la sacralisation définissait notre civilisation et qui ont été “revues à la baisse”, dévaluées ou perdues en chemin (et Dieu seul sait combien il y en a, h��las !), la mort a perdu la place qu'elle avait dans notre culture : elle s'est banalisée jusqu'à ne plus être un frein à la folie des hommes :  pour les adorateurs d'un Dieu-Allah rendu étranger à toute humanité ou pour des mineurs en proie à cette nouvelle drogue (en plus de toutes celles qu'ils consomment) qu'est l'hyper-violence gratuite, il n'est désormais plus grave du tout de rouer de coups de barre de fer un type dont le regard ne vous a pas plu… ou de le tuer à coups de couteau parce qu'il dit Dieu là où vous dites Allah… Passants, policiers, vieilles dames,chrétiens, juifs, jeunes filles sans burka, brave vieux prêtre, Colonel au grand cœur ou spectateurs à un spectacle… plus personne ne peut être certain de ne pas tomber au champ sans honneur de la violence quotidienne…           Le tueur-en-chef du Hezbollah (= “le Parti d'Allah”, évidemment), l'affreux Hassan Nassrallah (= “la victoire d'Allah”, rien de moins !) a bien expliqué cette nouvelle ‘’norme’’ des assassins : “Nous aimons la mort plus que vous n'aimez la vie”...             Il ne fait pas de doute que ce changement de paradigme découle logiquement (je devrais plutôt écrire :  obligatoirement) de ce que notre culture judéo-chrétienne, base de tout ce qui a fait notre civilisation –et la France–  est désormais contestée, niée et tournée en ridicule jusqu'au sommet de l'Etat : “la culture française n'existe pas, et n'a jamais existé’‘ ! (sic !)… ceci expliquant évidemment cela...
  Pour l'Homo Sapiens, au terme de son évolution depuis le bonobo (pas homo du tout) jusqu'au bobo (qui est parfois homo, mais pas sapiens), la mort a toujours été, pour toutes les religions, une nouvelle naissance à autre chose, une délivrance vers un ’'mieux” inconnu mais certain. Tout cela a disparu dans la débâcle en cours, et le “vivre ensemble” a, comme c'était prévu, échoué tout court, mais surtout a échoué à prendre la place millénaire du “vouloir vivre”, ce qui nous a entraînés dans un néant dont aucune des expériences malheureuses en ’’-isme’’ qui ont été tentées depuis 3 siècles n'est arrivée à nous protéger. Tout cela était prévisible, et annoncé.
  Aujourd'hui, dans le vide sidéral qui a remplacé un possible “trop de choses à transmettre”, on croit qu'il est possible de nier tout héritage, par système… et il est même devenu “dans le vent” de raconter que, au lieu de la donner, on “inflige” la vie aux enfants qui vont naître. Cette tendance suicidaire,  dite “antinataliste” rencontre des adeptes dans certains milieux qui se piquent (aux drogues dures ?) d'être des intellectuels, et dans la mouvance hyper-violente des iso-nihilistes dits ’‘végan’’.           Elle a trouvé son porte-drapeau, un ‘’professeur’’ David Benatar, qui sévit à l'université de Cape-Town, en Afrique du Sud… et son ’'Petit livre rouge’’, “Better Never to Have Been” (= Mieux vaudrait ne pas exister) (Oxford Univ. Press), où il est dit que les humains sont une espèce mauvaise et destructrice, responsable de ‘’la souffrance et de la mort de milliards (?) d’animaux’’ (“humains et non-humains”, précise-t-il sans plus de détails -et pour cause !) et qu'il ne faut donc plus qu'ils aient d'enfants, pour le bien être de la planète… (on se demande qui pourra alors raconter combien est douce la “Loi de la Jungle”)…  Ce “professeur” trouve que “les difficultés inhérentes à vivre n’offrent pas assez d'avantages pour contrebalancer ceux d'une non-existence”… (en d'autres termes : le néant, ça doit être pas mal, pour passer ses vacances !).  Quand je vous dit que la folie est sortie des asiles…
  L'Occident semble avoir renié les raisons qui confèrent à notre existence sa valeur inestimable (un lever de soleil, un sourire de bébé, un peu d'eau fraîche, l'été…).         Jusqu'à l'avènement de cette culture de mort, l'existence était ouverte sur un horizon qui justifiait la vie à lui tout seul. Depuis… plus d'espoir, plus de suspense, plus d'attente, pas de lumière au bout du tunnel… si ce n'est des abstractions impossibles que nul n'a envie de tester : une société sans classe, une mondialisation soi-disant heureuse, une Europe sans frontières, une égalité pour tout et en tout, la paix définitive (et il y en a qui croient ça !), la justice pour tous (mais laquelle ?), la science à tout faire, en y incluant les promesses terrifiantes des transhumanistes (qui, alors que tout le monde est un peu fatigué au bout de 90 ans de vie, proposent de pousser cette expérience jusqu'à 500  ans ou davantage, et en nous menaçant de nous “augmenter” sans dire en quoi, ni pourquoi, en plus !).       Oui, mais… l'expérience nous a appris que la “justice” des hommes peut se terminer en goulag, en lao-gaï ou en erreur judiciaire, et que la science peut se terminer en bombes atomiques, en “GPA pour tous” ou en soumission aux GAFA…
  Méfions-nous donc des rêves que d'autres font pour nous, d'un monde où le “moi-je” a remplacé le “nous”, dans un présent impitoyable où le viol de notre liberté individuelle par un Etat anthropophage n'autorise plus le moindre espoir en un avenir meilleur. En ce qui me concerne, je préfère nettement les rêves d'avant, même si c'est devenu un péché de dire que, peut-être, “avant, c'était pas mal”…
H-Cl.
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nix-bishop · 7 years ago
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NME - Interview Gorillaz “The Now Now “ en français
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Gorillaz : Le pouvoir de " now now"
Après des décennies au top, Gorillaz vient de sortir son premier album sans le bassiste Murdoc. Et ça a eu de l'effet sur 2D, trouve Dan Stubbs. Cela fait 20 ans que Gorillaz a explosé pour la première fois sur la scène, et - hey - ils ont l'air bon pour ça ! Mais tout n'est pas rose du coté des Gorillaz : depuis la sortie de “Humanz” l'année dernière, Murdoc, le bassiste du groupe, a été incarcéré à la prison de Wormwood Scrubs pour un crime qu'il prétend ne pas avoir commis. Cela a donné à 2D, (chanteur, à la voix mystérieuse comme celle de Damon Albarn), l'occasion de reprendre le contrôle créatif du groupe. Alors qu'une pétition pour libérer Murdoc prend de l'ampleur, 2D a sorti l’album “The Now Now”, le sixième album des Gorillaz, un cocktail estival de soulful jams et de breezy bops a qui nous avons donné la note de quatre étoiles dans notre revue. Après les atmosphères apocalyptiques et house de l'album “Humanz”, leur dernier album ne pouvait pas être plus différent, mené par Damo.... nous voulons dire 2D, avec des invités discrets comme : Snoop Dogg, George Benson et le pionnier américain Jamie Principle. Et c'est exactement comme ça que la 2D l'aime.
Nous avons invité 2D au donjon du NME pour parler de tout ce qui concerne Gorillaz.
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Photo credit:  Jenn Five/NME/Gorillaz
“Je ne suis ni un Gallagher, ni un Albarn, ni un Doggy-Dog. Je suis un Dee. Je veux dire, 2D. J'ai ma propre musique et mon propre message maintenant" – 2D
Salut 2D. Avec Murdoc hors du tableau, vous êtes le leader du groupe. Comment vous installez-vous dans votre nouveau rôle ? 2D : "Hey NME. Vraiment bien, merci. Comme on dit, certaines personnes naissent grandes, et d'autres deviennent grandes avec le temps. Je suis le deuxième. Je ne suis pas un leader né, car à l'époque, j'étais un bébé et personne ne me prenait vraiment au sérieux. Mais j'ai beaucoup grandi dernièrement, et les gens commencent à m’écouter. J'ai fait un wikiHow sur la façon d'être un leader, et je décrirais mon style de leadership comme un croisement entre Gandhi et Marge Simpson".
Quel a été l'impact sur le groupe ? Tout le monde est bouleversé par l'absence de Murdoc ?
2D : "Cela a été comme une attaque massive de météorite, mais au lieu de la météorite qui anéantit toute vie, elle a fait exploser un dinosaure vraiment ennuyeux (c'est une métaphore, soit dit en passant, les gars. Je voulais juste clarifier les choses. OK, je vais revenir à ma réponse maintenant). Et à sa place, nous avons notre bassiste de remplacement, Ace. Il est cool et me respecte vraiment. Comme ce matin, j'ai dit “Yo yo yo yo ! quoi de neuf Ace?” et au lieu de m'insulter ou de baisser mon pantalon, il m'a dit: “S'il te plaît, tu peux t'écarter de mon chemin”. Vous voyez ? Notez le "s'il te plaît". Donc non, je ne pense pas que quelqu'un soit bouleversé, sauf peut-être Yakob, le gars qui dirige l'off-licence au coin de la rue. Il est ruiné."
Pensez-vous être un leader naturel ? De quels chanteurs emblématiques du passé vous inspirez-vous ?
2D : "Je ne l'ai pas toujours été. Ils avaient l'habitude de me pousser sur scène avec un long bâton ou de me faire sortir avec un " Crème Egg " suspendu au plafond. Maintenant, je n'en ai plus besoin non plus, bien que j'aime toujours les "Crème Egg". Ce sont mes fans qui me font sortir maintenant. Mes 2Disciples. J'entends leur appel et je vais vers eux, comme Batman quand il entend un appel à l'aide. Désolé, j'ai oublié le reste de votre question car je ne pense qu'à Batman."
Si le dernier album était une fête de fin du monde, comment décririez-vous “The Now Now” ?
2D : "C'est vraiment difficile de décrire la musique avec des mots. C'est pourquoi nous faisons de la musique, pour combler les vides entre les mots. C'est un peu comme le coloriage ; les mots sont les lignes, et la musique, les crayons de couleur. Mais quelle est la photo, demandez-vous ? C'est une sorte de fusée spatiale, avec deux propulseurs ronds en bas, et une pointe conique où les astronautes sont assis, avec un petit trou au sommet pour qu'ils puissent entrer et sortir".
Certains disent que “The Now Now” est en fait votre album solo. Qu'en pensent les autres membres du groupe ? Et ça vous préoccupe ?
2D : "Han Solo a toujours été une grande source d'inspiration pour moi, et je suppose qu'il est quelque part dans toute ma musique, mais je ne dirais pas que cet album ne parle que de lui. Bien que tous deux partagent des thèmes de solitude et d'isolement au sujet d'un voyageur solitaire qui dérive à travers la galaxie sans foyer. En fait, je suppose que c'est mon album Solo. Cool !"
Euh, vous n'avez pas bien compris. Si le reste du groupe vous décrivait en trois mots, quels seraient ces mots ?
2D : "Pas sûr, peut-être.... Oh, bon sang, ça fait trois. Je foire toujours cette question."
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Quelques questions pour Russel maintenant. Russel, qui est sur votre liste de légendes avec qui travailler ?
Russel : "Joan Armatrading. John Shuttelworth. Question suivante."
OK.... et les nouveaux artistes ?
Russel : "J'aimerais en nommer deux : Rosalia Vila et Rex Orange County."
Qu'avez-vous fait des quatre nouveaux albums de Kanye ?
Russel : "Ils sont bien. Mieux que ces questions, en tout cas."
2D : "Désolé pour Russ. Il a une de ses migraines. Je m'en occupe à partir de maintenant. En réponse à votre question, qu'avez-vous fait des quatre albums de Kanye - j'ai fait un carré."
Votre album 'Plastic Beach' de 2010 était étrangement prémonitoire : le plastique dans l'océan est LE grand point de discussion écologique de notre époque. Tu as anticipé ça ? Que pouvons-nous faire pour résoudre le problème ?
2D : "Je n'utiliserais pas le prémonitoire parce que je ne sais pas ce qu'il signifie. Ce que je dirais, c'est que parfois nous pouvons rater un problème juste sous nos yeux. Je veux dire, j'étais sur l'île depuis 2 semaines avant de réaliser qu'elle était entièrement faite de déchets plastiques. Peut-être parce que mes yeux sont mauvais. Je n'ai pris conscience de l'ampleur du problème que lorsque j'ai appris la tragique vérité sur mon concombre de mer, Peter. Quand Russel a lu les mots 'Vibro-Max 2000' sur le côté, je suis tombé au sol, le cœur brisé. Soudain, j'ai ressenti toute l'horreur de l'impact de l'homme sur la nature. En plus, j'avais aussi perdu un bon ami. Mais oui, pour résoudre le problème, nous pourrions commencer par donner à chacun une chose en plastique que nous aimons. Je m'engage à renoncer aux pailles bouclées. Ou en fait, toutes les pailles en plastique - mais c'est plus d'une chose."
David Attenborough vous a utilisé comme consultant pour Blue Planet II ?
2D : "Non. Ce qui est vraiment dommage car je l'ai trouvé brillant dans Jurassic Park.
Quelle est la chose la plus bizarre que tu as vue échouée sur Plastic Beach ?
2D : "Cher."
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"De quoi je parle avec Snoop Dogg ? Des trucs normaux, en fait. Je lui parle de mon sandwich préféré (fromage et ananas) et il me dit comment il pourrait me faire tuer"– 2D
“The Now  Now” est une la suite la plus rapidement crée que ce que nous n'avons jamais eu auparavant avec une sortie des Gorillaz. Pourquoi cela ?
2D : "Normalement, après une grosse sortie, on se sent vide pendant longtemps. Mais cette fois, j'ai fait le plein rapidement, comme une cuve de toilette, mais parfois il est temps de vider la cuve. Et c'est ce dont je m'occupe maintenant, faire changer les choses et dire la vérité. Je casse la cuve. Je pourrais faire imprimer ce slogan sur un chapeau."
Vous avez présenté l'album en live au Japon. Pourquoi là-bas ?
2D : "Je l'ai fait, oui, parce que le Japon est un endroit spécial pour Gorillaz. C'est cool et les fans nous comprennent et aiment notre style. Ils adorent se déguiser en Noodle. J'ai même vu quelques cosplayers en 2D avec des mom jeans et de l'ombre à paupières noire."
Snoop est sur l'album. De quoi parlez-vous avec Snoop entre deux prises ?
2D : "Eh bien, juste des choses normales en réalité. Je lui parle de ma garniture à sandwich préférée (fromage et ananas) et il me dit comment il pourrait me faire tuer. On a pas mal de choses en commun, en fait. Il vient de Californie, je viens de Crawley. Les deux endroits commencent par la lettre'C'."
Il y a une campagne “Free Murdoc” en ligne, mais certains disent que vous êtes secrètement plus heureux avec lui dans l'étouffement (Chokey). Que répondez-vous à cela ?
2D : "Où est chokey ? C'est près de Basingstoke ? Je ne sais pas vraiment de quoi vous parlez. J'ai entendu parler d'une campagne, mais je pense que c'est pour que Toblerones redevienne comme avant. C'est un véritable scandale, mettre des écarts plus grands entre les triangles pour économiser de l'argent sur le chocolat. C'est l'un des points de mon agenda. "Rendre Toblerone  grand de nouveau." ( Make Toblerone Great Again.)
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"Comment résoudre le problème du plastique dans l'océan ? On pourrait commencer par donner à chacun une chose en plastique qu'on aime. Je m'engage à renoncer aux pailles bouclées. Ou en fait, toutes les pailles en plastique - mais c'est plus d'une chose" – 2D
Pourquoi Russel vous a fait trébucher dans la vidéo 'Humility' ?
2D : "Il faudrait demander à Russel. En fait, je ne sais pas. Peut-être qu'il me faisait un high five avec son pied ? Peut-être qu'il essayait de me mettre en garde contre un serpent ou une peau de banane ? Il faudrait lui demander."
Je ne dis pas que vous y êtes pour quelque chose, mais avez-vous déjà été en contact avec El Mierda, le gangster mexicain qui à fait condamner Murdoc ?
2D : "Je ne me mêle pas aux criminels. Pas pour l'instant, en tout cas, parce que Murdoc est en prison. Je ne sais pas non plus qui est cet El Mierda, mais il a pu me contacter sur Facebook Messenger. Beaucoup de gens m'ajoutent et je me sens malpoli si je ne leur envoie pas de réponse personnelle. J'ai 256347 messages non lus, en fait, donc ce serait bien de terminer bientôt, mes gens m'attendent."
Si vous étiez un frère Gallagher, lequel seriez-vous ?
2D : "Je dirais probablement Ian Gallagher. Mais je pense que ce que je veux vraiment dire, c'est que je ne suis pas un Gallagher, ou un Albarn, ou un Doggy-Dog. Je suis un Dee. Je veux dire, 2D. J'ai ma propre musique et mon propre message maintenant. Russ pense que j'ai quelque chose à dire, et je devrais le dire. Alors je vais le faire. Umm.... Je n'arrive pas à penser à quoi que ce soit quand je suis sur place. Quelle est la prochaine question ?"
2018 est votre 20ème anniversaire en tant que groupe. Comment peux-tu avoir l'air si jeune ?
2D : " Vraiment ? Merci beaucoup, vous êtes vraiment gentil. Je ne me suis pas regardé dans le miroir depuis des lustres, en fait. Murdoc les a tous fait descendre de notre maison parce qu'il a dit qu'ils étaient des branleurs et qu'ils n'étaient pas capables de refléter vraiment son génie ou sa beauté. Mais oui, c'est peut-être parce qu'on a ce brillant styliste et costumier qui s'appelle Jamie. De plus, Noodle reçoit de très bonssoins hydratants du Japon."
Avez-vous des projets spéciaux pour marquer l'occasion ?
2D : "Je n'ai pas encore vraiment fait de projets, mais vu que je suis le leader des Gorillaz maintenant, je vais inviter le groupe à dîner dans le meilleur restaurant de Londres. Aberdeen Angus Steakhouse. Personnellement, en raison de mes préoccupations environnementales, je ne mangerai pas de bœuf, alors je commanderai les nuggets de poulet, moyennement rares. Ensuite, je dirai quelques mots au groupe, comme “bonjour” et “merci” et “c'est tout ce que j'ai à dire”.
La ville dans laquelle vous avez grandi, Crawley, a voté pour quitter l'UE. Quels sont vos sentiments sur Brexit ?
2D : "Crawley est la porte de l'Angleterre à cause de l'aéroport de Gatwick, donc je pense que nous devrions accueillir les gens chez nous, et non pas leur montrer la porte (Gatwick). Mais peut-être que vous posez la mauvaise question. La vraie réponse à la question que vous n'avez pas posée est de suivre vos rêves.  Et ensuite les laisser tomber si tout va mal. Les temps changent. Tout le temps. Maintenant devient alors en un clin d'oeil. C'est pourquoi nous avons appelé l'album 'The Now Now Now' (Maintenant Maintenant) et non 'The Now Then' (Dès maintenant). Parce que les choses doivent changer tout de suite. Je suis 2D (dit en français dans l'interview). Merci beaucoup."
Interview original : http://www.nme.com/gorillaz-big-read-interview-2018
Écrit par Dan Stubbs  
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