#dans mon top 5 des meilleurs film
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Et merde il y a quelqu'un qui a mis le film Zodiac de Fincher sur youtube gratos....ma matinée est foutue !!
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top 10 current favorite movies
taggée par @garnetrena ♥ l'intitulé tombe bien parce que je suis incapable de faire un top 10 de mes films favs of all time, donc voilà 10 de mes films favs à cette minute précise. j'ai essayé de mettre des choses différentes de la dernière fois !
american psycho (2000) dir. mary harron
évidEMMENT. qui est surpris ? personne, c'est mon film fav n°1 ça c'est sûr, c'est après que le top se corse. mais ap est toujours numéro uno. j'ai pas encore fini d'analyser chaque frame de ce film donc je continue à le rewatch en boucle. quel parfait film féministe ♥ also christian bale mon petit mioumiou.
pirates of the caribbean (2003 - 2017) dir. gore verbinski, rob marshall, joachim rønning, espen sandberg
littéralement tout pour moi, cette saga. je triche donc en mettant 5 films en un comme n°2. je connais la trilogie par coeur pcq je la regardais en boucle quand j'étais gamine. c'est l'origine de mon humour et l'origine de mon amour pour le piratecore, c'est toute ma vie j'exagère même pas. et OUI J'INCLUS LES SUITES, YAKOI.
bill & ted's excellent adventure (1989) dir. stephen herek
je l'ai revu y'a même pas une semaine, quel kiff. vraiment si vous cherchez un truc pas prise de tête, regardez ça c'est débile à souhait mais tellement mims, rien de blessant, juste deux himbos qui font des trucs de himbos, et j'aurais pu tricher ici aussi en incluant la trilogie entière qui s'est finie en 2020 avec keanu et alex vieux mais toujours des bisexual himbos. j'ai pleuré à la fin du 3, voilà.
the fifth element (1997) dir. luc besson
sûrement le film problématique de cette liste pcq putain c'est ce connard de luc besson derrière, ça me met en rage si vous saviez. c'est legit un de mes films favs, l'esthétique est folle et le pouvoir de l'amour x1000
volver (2006) dir. pedro almodóvar
penelope mon amour. (oui c'est ça ma review entière)
the prestige (2006) dir. christopher nolan
c'est deux magiciens qui se hate-watchent pour se voler leurs secrets de magie respectifs et c'est très homoérotique, à part ça y'a un plot twist assez incroyable qui est sous tes yeux depuis le début et même au rewatch ça perd pas de sa superbe...... et y'a christian bale mon mioumiou.
at eternity's gate (2018) dir. julian schnabel
c'est un film sur van gogh qui feels like un tableau de van gogh, a-t-on jamais besoin de plus dans la vie ????
an american pickle (2020) dir. brandon trost
l'affiche me foudroie on dirait un film de cinéphile, alors qu'en fait c'est une comédie avec seth rogen, mais je crois que c'est sa meilleure comédie à mes yeux, rien à voir avec les autres, y'a tout. de l'humour et de l'émotion, le tout extrêmement bien filmé, ma vie.
the machinist (2004) dir. brad anderson
vous avez vu fight club ? regardez ça, c'est la même vibe mais c'est beaucoup mieux. et c'est jamais que le troisième film avec christian bale de cette liste. il fait un peu peur, je vous préviens.
ravenous (1999) dir. antonia bird
obsédée par ce film putain !!!!!! j'ai mis que 3,5 étoiles mais somehow il me reste en tête comme un 5 étoiles, je devrais revoir sa note. un western sanglant avec des wendigos et de la musique weird af, c'est le meilleur film qu'on m'ait conseillé. merci encore @wickedwormwood ♥
et bah tiens du coup je tag @wickedwormwood @faisonsunreve @midgemxisels et puis je retag sam @riiversndroads car c'est horrible de décider quels films mettre, let's go 😈
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alors bon voilà hein petit top 5 des scènes qui m'ont vraiment donné des émotions interdites (pas nécessairement dans l'ordre) :
le bisou bah FORCÉMENT. forcément j'ai peut-être lâché des vraies larmes bon voilà qu'on se le dise parce que c'était pas seulement le bisou, mais tout le build up qui était juste superbe. les parallèles avec l'autre "amoureux" qui du coup va verbaliser ce qu'arthur ne peut pas dire, mais au final n'ira pas jusqu'au bout de son acte tandis qu'arthur oui. d'ailleurs c'est vraiment une caractéristique d'arthur et de kaamelott que j'aime beaucoup, le fait que l'essence d'arthur ne réside pas dans ce qu'il dit mais dans ce qu'il fait, DU COUP pour entendre ce qu'il voudrait VRAIMENT dire il faut parfois écouter d'autres personnages qui lui sont parallèles, même si (d'ailleurs souvent SURTOUT si) arthur dit les trouver ridicules etc. parce qu'au final IL EST MONTÉ PAR LES PLANTES À LA FENÊTRE. pas parce que lui trouve ça romantique ou quoi. mais parce qu'il sait que c'est ce que guenièvre voudrait (au secours jv rechialer). à part ça j'ai juste été tellement satisfait de la manière dont il a amené la romance entre guenièvre et arthur sans pour autant saboter leur dynamique de base. tout fait sens, rien ne semble forcé ou développé trop rapidement, c'était juste bien dosé. bon en même temps vous me direz le boug est parti 10 ans quand même lol ça aide un peu
le tavernier. alors ça je saurais pas vous dire parce que ça m'a surpris moi même d'avoir les larmes aux yeux direct, mais la scène où apparaît le tavernier à la taverne en ruines, la petite minute juste avant qu'il dévoile l'entrée secrète du QG de la résistance ça m'a juste écrasé d'émotion :") la nostalgie je pense, PARCE QU'ILS ONT TOUS TELLEMENT GRANDI ET JE LES AIME. et j'aime beaucoup le tavernier voilà
alors celle-là attendez j'ai besoin d'une petite minute mais. la scène parallèle à celle d'aconia VOUS SAVEZ LAQUELLE. ça m'a vraiment assailli j'étais pas prêt sjfhdkdj PITIÉ. j'ai rien d'autre à dire pas d'analyse ni rien j'ai juste vraiment morfl�� skjdkdjf
la table ronde de bohort. déjà le fait que ce soit ce qui décide enfin arthur à véritablement revenir. et puis tout le petit speech comme quoi elle est pas du tout ridicule, avec les sous-entendus qu'elle est peut-être même encore plus noble que celle qu'arthur avait faite parce qu'elle est brute et sans prétention, vraiment juste l'essence d'une table ronde au final. et puis il s'asseoit et ça y est le cap est passé. mon petit coeur en débris PARTOUT skfjkdd et puis de manière adjacente quand même juste voir bohort ça m'a émotionné voilà
tout le combat contre lancelot bon ça ça surprend personne hein juste lancelot en général c'est tant d'émotions interdites et le combat je l'attendais mais j'ai été surpris par la passivité de lancelot (pas que dans cette scène d'ailleurs, mais pendant tout le film. surtout la scène où tout le monde lui dit que ça y est, ils ont arthur, et qu'il dit RIEN. il fait rien il dit rien il va même pas le voir. IMPLICATIIIOOOOOOONS DES ENFEEEEERS.....bref je ferais un post spécifique pour parler de la dépression de lancelot dans le film stay tuned lol). et DONC pendant le combat il est. il est juste. là. il se défend à peine il peut juste pas détacher son regard d'arthur et il recule et il fait RIEN et quand arthur lève l'épée pour le TUER il fait RIEN. il ferme les yeux et il est prêt à mourir. ooooooolalalalalaaaaaaaaaaa nan mais bref cette scène aussi je ferais un post beaucoup plus complet parce que les LAYERS......tout ça pour dire ça m'a bien flingué
petit bonus parce qu'ici on aime chialer, bien entendu la scène post combat où arthur s'allonge sur la table et touche ses cicatrices (mon meilleur sangloooooot rip) et puis qu'il est juste littéralement prêt à se laisser ensevelir avec kaamelott :) voilà là encore je peux pas faire d'analyse là tout de suite je suis absolument incapable de formuler les choses mais!! ça viendra :)
#les posts viendront au fur et à mesure du processus de digestion du film parce que. skdjkdjs j'en ai RÊVÉ TOUTE LA NUIT et j'ai passé#toute la journée d'aujourd'hui à juste crier à des moments random parce que les layers APPARAISSENT#bref alexandre jvais littéralement t'embrasser voilà#bbr#kaamelott#kv1#kv1 spoilers
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Top 5 des rôle de LA
oh putain oh putain bouge pas ok donc c’est une liste non exhaustive et c’est pas en mode 1 = mon pref, c’est que la liste à mes rôles pref de lui tt court.
ok.
1) jean marie olmeta (on omettra le prénom pas dingue) dans la loi selon bartoli parce que littéralement c’est une puce. en gros c’est un policier à la retraite que bartoli vient chercher pour l’aider à résoudre une enquête, c’est vraiment juste un loser bien habillé. et pour tout t’avouer, son amitié avec bartoli est tellement chelou, le mec (olmeta) le mate (je te jure y a pas d’autres façons d’appeler ça) de façon éhontée constamment ??? je comprends rien à cet homme il est pas marié, on parle pas d’une supposée femme, il a un mur avec que des photos de bartoli pck il veut ABSOLUMENT le sauver d’un stalker, fin il pue l’homosexuel c’est fabuleux. il est fabuleux.
voici une photo pour mieux illustrer mes propos. un amour vraiment 12/10.
2) simon keller, dans meurtres à toulouse. picture this. un homme. dont la femme est morte. il est persuadé que c’est de sa faute à lui. il est policier. il voit sa collègue mais a un blocage émotionnel et elle est la personne la plus compréhensive à ce sujet. la nouvelle recrue est une jeune fille bourrée d’énergie et de joie de vivre DU NOM DE SA FEMME DÉCÉDÉE. il a un problème au cœur et va en mourir s’il ne se ménage pas. il fait exprès de ne pas se ménager parce qu’il veut crever. c’est exact, l’homme est suicidaire. et il s’appelle simon. littéralement je demande rien de plus. et pourtant j’ai plus. et oui, il chante. il fait un demi-malaise dramatique. il est une father figure à la recrue. ma vie pour lui. je l’ai reconnu à sa main à la 0.02s du téléfilm.
3) yvon dans un village presque parfait. ?????son rôle ????son meilleur rôle. yvon je t’explique c’est la définition de takes no shit, gives no fucks and cares so, so much. lui et son pote (didier bourdon) cuddle dans le lit à côté d’sa femme parce qu’il est comme ça yvon, parce qu’il a pas de masculinité toxique. il va aider ce même pote en allant faire de la plongée pour mettre un poisson au bout d’la cane à pêche de laurent deutsch. il joue au cricket avec podalydès et il le prend dans ses bras de joie on a l’impression que denis pèse 0.4g. il est gentil. il fait passer son village et ses amis avant tout. il porte des tee-shirts johnny halliday immondes. le chasseur de mon cœur. je tuerai pour lui. ma professeure d’italien pense que lui et moi avons le même prénom. mon loulou. envie de lui faire un bisou sur les cheveux. d'être une enveloppe rouge.
4) jean-hughes de wan dans le vagabon de la baie de somme. tu prends tout ce que j’ai dit sur yvon et tu l’inverses. de wan c’est qu’un con, mais putain de merde qu’il est beau. y a une policière son rôle c’est littéralement de faire des love eyes vers lui et je comprends tout à fait. un de ses premiers rôles que j’ai vu de lui où il joue un antagoniste brutal et violent et pas juste pathétique. à un moment il est passé de doucereux et charmant à hurler de rage et j’ai jamais pu récupérer. en plus j’ai aimé le film. enfin non j’ai aimé le voir à l’écran. et sa storyline. rien suivi du reste. il est cocky, il pense être mieux que tout le monde (il l’est) et j’ai des sentiments amoureux pour lui.
5) françois dans le muguet de noël aka la seule pièce que j’ai vu avec lui et qui m’a effectivement convaincu que le voir sur les planches me rappelle à quel point il est TALENTUEUX et ça me rend dingue. il est fleuriste. ma puce. le pauvre chaton il est tout le temps à ça de pleurer parce qu’il est sûr et certain que sa fille se tape son patron (son patron à lui.) je cite une de ses répliques les plus DRÔLES : “non mais comprenez, y a une différence de…” “statut” “oui—non, non bah non, toujours pas.” il me fait trop rire. il a tellement haussé le ton je me suis demandé combien de strepsil il allait devoir consommer après sa représentation. il a fait des verrines de choucroute froide parce qu’il a “paniqué.” son meilleur ami dort chez lui et c’est le mec de scène de ménage et il est trop drôle. il joue trop bien les darons. LA je veux dire. à un moment il est comparé à un lion. un jour on donnera à cet homme un rôle où sa situation maritale est stable. (casper does that) françois il a passé l’entièreté de la pièce en pls.
je me permets juste de…oui att…
6) leodagan de carmelide dans kaamelott, aka littéralement l’homme de ma vie, le blueprint de ce que j’entends quand je dis “mon type de mec,” je pense que j’ai même pas BESOIN de spécifier à quel point j’suis head over heels pour cet homme. j’ai 494 posts tagués leodagan et c’est sans compter les 273 fankaam où il est pas tagué. c’est même pas mon blorbo c’est plus, ce mec est pas bien dans sa tête y a rien qui va chez lui mais je le laisserais sûrement m’enclumer la tête dans un mur porteur. j’peux t’écrire une dissert sur lui mais quiconque me suit sait sûrement ce que je pense de ce personnage. littéralement dingue de lui. j’ai trop de photos de sa bouille mais j’ai choisi elle parce qu’il est trop mignon. épouse-moi
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Interview par Verge Magazine | Traduction française par Alexa Bliss France.
Avant le Clash de la WWE au château de Cardiff le 3 septembre, la Superstar Alexa Bliss s'est assise pour une séance de questions-réponses, révélant ses films Disney préférés, quelle célébrité elle aimerait voir devenir une Superstar de la WWE et ce qu'elle pense vraiment de Drew McIntyre.
Clash at The Castle a lieu le samedi 3 septembre depuis le Principality Stadium de Cardiff, au Pays de Galles. À quoi les fans doivent-ils s'attendre ?
Alexa : “Beaucoup de plaisir, une action percutante et une excellente carte. Il y a beaucoup de bonnes histoires en ce moment qui vont mener à Clash at The Castle, en particulier avec notre nouvelle direction créative. Cela devrait être amusant.”
L'une des grandes histoires qui se sont développées est, bien sûr, Drew McIntyre contre Roman Reigns. En tant que membre de la liste de la WWE, que pensez-vous que nous pouvons attendre de cette bataille ?
Alexa : “Je suis ravie de voir celui-là. J'ai toujours été une grande fan de Drew. Il est une force dominante à coup sûr. Je pense qu'il peut définitivement gagner contre Roman Reigns et quel meilleur endroit que Cardiff ? Je pense que ce sera un affrontement vraiment intéressant… sans jeu de mots !”
En tant que superstar de la WWE, vous voyagez à travers le monde. Quels sont certains des endroits préférés que vous avez visités avec la WWE et où aimeriez-vous visiter en tant que superstar de la WWE ?
Alexa : “J'aime voyager dans les endroits où il y a des Disney ! Mike Rome et moi avons pu visiter un tas de Disney parce que nous avons eu des spectacles à Shanghai, Paris et Tokyo, ce qui a été très amusant. Mon endroit préféré à visiter est l'Australie, même si c'est un très long vol, j'aime beaucoup l'Australie. C'est joli et la nourriture est toujours très bonne.”
Logan Paul fait vraiment des vagues en tant que Superstar de la WWE à plein temps. Selon vous, y a-t-il une célébrité qui ferait une grande Superstar de la WWE et potentiellement une amie ou une ennemie pour Alexa Bliss ?
Alexa : “J'ai l'impression qu'ils doivent avoir une grande personnalité. Nous avons déjà eu des trucs avec Cardi B mais je pense qu'elle serait une très bonne Superstar de la WWE.”
Top 5 des films Disney ?
Alexa : “Facile. Goofy Movie, Toy Story, Monsters, Inc., Finding Nemo et en ce moment j'adore Encanto.”
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J'ai donc été taguée il y a 2-3 jours par @jamiebythesea ! Je réponds avec un peu de retard donc, ne m'en voulez pas, j'essaye vraiment de travailler, et pour les pauses j'essaie d'éviter internet, c'est un peu chaud...
Mais je suis contente de faire une petite pause et de répondre !
7 comfort films :
1. Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain. Sans surprise, j'avoue ce n'est pas forcément original. Mais j'aime vraiment les films de Jean-Claude Jeunet. Et je pense avoir vraiment une bonne raison de le mettre en top 1 pour la BO. J'avais dansé dessus au spectacle de fin d'année en moyenne section, et dans mon enfance j'avais souvent la musique dans la tête. Donc je ne raconte pas la première fois que j'a vu ce film, la tête que j'ai fait quand j'ai entendu la musique. La deuxième raison c'est qu'une amie au collège (que j'adorais) apprenait l'accordéon en autodidacte et était fan de Yann Tiersen. Donc gros gros souvenirs dès que je vois ce film.
2. Le Jardin Secret. Pas de surprises non plus. Pas étonnant pour moi non plus qui ai passé mon enfance devant Princess Sara et Le Petit Lord Faunteleroy qui sont de la même autrice.
3. Soyez Sympas Rembobinez. Pas très étonnant de ma part non plus, j'ai sans doutes déjà parlé de ce film, un de mes Gondry préférés, avec Microbe et Gazoil.
4. Totoro. Je ne savais pas quel Ghibli citer... Bon celui-là c'est l'un des plus mignons quand même.
5. Mars Attacks. Je suis assez fan de Tim Burton depuis que je suis ado, mais aussi vraiment dégoûtée par Johnny Depp. Heureusement, il existe des Burton sans cette crapule, et des très bons. Je dirais même certains des meilleurs et Mars Attacks en fait partie. Il est à pleurer de rire.
6. La Grande Vadrouille. Mon côté franchouillard veut que je connaisse toutes les répliques du film. Tout le monde le connait je sais. Et je suppose que je ne suis pas la seule à regretter l'époque où le cinéma français proposait quelques films très drôle et pas 150 comédies par an qui se ressemblent toutes, avec un humour douteux et Christian Clavier dans l'un des rôles principaux.
7. La Boum. J'ai fait ma jeunesse à l'époque où le film LOL était à la mode, mais c'était La Boum que j'avais préféré !
J'ai la flemme de décerner des mentions honorables.
Et je me dois dans l'obligation de dire qu'une bonne partie de ces films figurent sur la liste que m'avais donné une copine qui était au lycée, en fin de collège. C'est toujours "ma" liste de films, tous les films que j'ai regardé issus de celle-ci me plaisent (on dirait de la magie). Et je n'ai toujours pas terminé cette liste (elle est un peu longue).
Je tague @reveriespersonnelles @par-merlin @socialement-malaisante @pourquoicommentparceque @haweke et @ladyniniane
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2020: On a plié, mais on a tenu
Il ne me viendrait normalement jamais à l’idée de lister tous les films que j’ai vus en salle pendant une année, mais 2020 est exceptionnelle de bien des façons, étant entre autres de loin l’année où je suis le moins allé au cinéma de ma vie adulte. Donc, dans l’ordre : 1917, Bad Boys for Life, Jay and Silent Bob Reboot (suivi d’un Q&A avec Kevin Smith en personne), Le rire, Mafia Inc., Jusqu’au déclin (première mondiale aux RVQC)... puis après une pause de 6 mois, le fameux Tenet. Les salles ont ensuite été forcées de refermer leurs portes dans les zones rouges, alors que Hollywood reportait de toute façon pratiquement toutes ses sorties à 2021.
Peu de films vus sur grand écran, donc, mais j’en ai néanmoins regardé énormément. On connaît la chanson : vidéo sur demande, Blu-ray, DVD, l’occasionnelle VHS, ainsi que les incontournables plateformes de diffusion en continu. Puis il y a eu l’édition virtuelle de Fantasia, un des moments forts de mon année, ainsi que quelques autres séances de festival en ligne ici et là. Soulignons par ailleurs que le Cinéma du Parc et le Cinéma Moderne offrent actuellement une programmation en ligne, en attendant la réouverture des salles.
Autre fait notable : j’ai participé à une dizaine d’épisodes du podcast Rembobinage avec mon ami Hugo Prévost, où nous avons discuté de quelques-uns des titres qui se retrouvent dans mon top 10, en plus de revisiter plusieurs classiques. Le cinéaste Rafaël Ouellet s’est par ailleurs joint à nous pour discuter de Cop Land et The Sugarland Express récemment. Ça s’écoute via Pieuvre.ca.
1 - LOVERS ROCK (Steve McQueen)
L’événement cinéma de l’année : une anthologie de cinq longs métrages réalisés par Steve McQueen, qui s’est intéressé à divers aspects de l’expérience des Afro-Caribéens en Angleterre, des années 60 aux années 80, abordant notamment des sujets encore tristement d’actualité comme le racisme systémique, le profilage racial, la brutalité policière, etc. Mon préféré du lot est de loin Lovers Rock. En 70 minutes, McQueen signe le film le plus sensuel de l'année, avec la meilleure trame sonore. Un house party jamaïcain à Londres en 1981, avec un peu de drame, un soupçon de tension, un brin de commentaire social en filigrane, mais surtout plein de belles personnes qui dansent, qui chantent, qui se courtisent, qui fument du weed et qui boivent de la bière. J'ai été complètement captivé par les couleurs chaudes des images, par la caméra qui déambule sur la piste de danse et à travers la maison, par le montage si fluide. C'est vraiment comme si on était là, ce qui est assez transcendant en cette année de distanciation sociale et de confinement. Probablement le meilleur film de party que j'ai vu de ma vie. La séquence de Silly Games est extraordinaire, bien sûr, mais j'aime autant, voire plus celle de Kunta Kinte Dub. Mercury Sound! Mercury Sound! (Vu sur Prime Video)
2 - PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU (Céline Sciamma)
C'est quelque peu curieux que ce film ait remporté le Prix du scénario à Cannes alors que sa grande force est manifestement sa mise en scène. Le récit est plutôt simple, les dialogues épars, les personnages sommairement esquissés. Mais les images sont absolument glorieuses! C'est un film sur la beauté, l'art et l'amour où les mots sont presque superflus. Tout se joue dans les regards : ceux des actrices, celui de la réalisatrice. En ce qui me concerne du moins, les moments les plus émouvants sont purement visuels - incluant quelques éléments fantastiques inexpliqués. Du grand cinéma. (Vu en vidéo sur demande)
3 - LE RIRE (Martin Laroche)
« Ça va bien aller » dit un personnage dans les 5 premières minutes, et ce n’est qu’un des échos de 2020 que renferme ce film visionnaire. Le rire est un grand film sur la résilience, incarnée par l’extraordinaire Léane Labrèche-Dor, dont le personnage survit aux pires horreurs imaginables pour ensuite se dévouer à aider les autres. C’est une œuvre à la fois lourde et légère, sombre et lumineuse, lucide et rêveuse, fataliste et teintée d’espoir. (Vu au Cinéma du Parc)
4 - TENET (Christopher Nolan)
Une œuvre immense tant par ses set-pieces saisissantes que par ses concepts complexes. Rarement un film m’en a mis plein la vue aussi intensément. Plein les oreilles aussi. Comme dans pratiquement toute la filmographie de Nolan, le rapport au temps est le thème central du récit, qui est finalement un film de voyage dans le temps, ou plus précisément d’inversion temporelle, à classer avec les autres classiques du genre tels que The Terminator, Back to the Future et Twelve Monkeys. (Vu en IMAX au Cinéma Banque Scotia)
5 - THE WOLF OF SNOW HOLLOW (Jim Cummings)
Un film où l’humour et le pathos coexiste avec les codes d’un thriller à la Fargo ou The Silence of the Lambs et des éléments d’horreur. Comme dans tous les meilleurs films de genre, les personnages sont bien développés et divers thèmes sont abordés entre les scènes de suspense et de violence. Le film est dédicacé à la mémoire de Robert Forster, qui incarne le père du flic joué par Jim Cummings. (Vu en vidéo sur demande)
6 - SOUND OF METAL (Darius Marder)
Pouvoir entendre est quelque chose qu’on prend pour acquis, alors c’est vraiment anxiogène de regarder/écouter ce film où un batteur perd soudainement l’ouïe. Et pourtant, une bonne partie du film est calme, sereine, alors que le protagoniste « apprend à être sourd ». Le mix sonore est particulièrement inspiré, le silence y étant omniprésent. (Vu au Cinéma du Parc en ligne)
7 - i’m thinking of ending things (Charlie Kaufman)
Comme toujours chez Charlie Kaufman, ça peut être déprimant, malaisant, angoissant, mais c'est aussi hilarant. C'est ancré dans l'intériorité, les souvenirs pêle-mêle, l'absence de repères, les œuvres d'art qui vampirisent notre propre imagination, le rapport au temps. Au deuxième visionnement, on comprend davantage ce que la jeune femme idéalisée et le vieux concierge représentent; les indices sont là. En même temps, ça demeure mystérieux, ambigu, ouvert à interprétation(s). (Vu sur Netflix)
8 - DA 5 BLOODS (Spike Lee)
Le film s’ouvre avec un montage époustouflant au rythme de la première de six chansons tirées de What’s Going On de Marvin Gaye. Spike Lee offre une proposition foisonnante qui prend tour à tour la forme d’une buddy comedy, d’un pamphlet politique, d’un film d’aventure, et d’un drame psychologique. Si ce n'est que pour la performance hallucinante de Delroy Lindo, vous ne devez pas manquer ça. (Vu sur Netflix)
9 - FIRST COW (Kelly Reichardt)
Un western minimaliste. Patient. Discret. Avec une mise en scène méticuleuse, une direction artistique riche en détails, en textures. Un récit très organique, enraciné dans le territoire. Une histoire d'amitié. Une allégorie du capitalisme. Mais il n'y a rien que j'ai plus adoré que la tendresse avec laquelle Cookie trait la vache en lui jasant ça. (Vu en vidéo sur demande)
10 - NOMADLAND (Chloé Zhao)
Un émouvant film sur le deuil, le vieillissement, la fuite, l’esprit de communauté, la tyrannie du dollar… Sur l’idéal de l’Amérique aussi, loin du cauchemar actuel. Visuellement sublime, avec beaucoup de magic hour, de paysages magnifiques et de visages pleins de vécu, ce road movie adopte une approche à la fois contemplative, lyrique et quasi documentaire. (Vu lors de l’édition semi-virtuelle du TIFF)
MENTION SPÉCIALE (1) BORAT SUBSEQUENT MOVIEFILM (Jason Woliner)
J’ai hésité un peu à inclure ce film, même si j’estime qu’il s’agit de la comédie de l’année. Mais au gré de certains échanges, il m’est apparu évident que c’est un des films les plus marquants de 2020, surtout qu’une partie du tournage a eu lieu depuis le début de la pandémie et durant la campagne électorale américaine. Il fait bon retrouver Sacha Baron Cohen dans son rôle le plus célèbre, mais la révélation du film est Maria Bakalova dans le rôle de Tutar, la fille de Borat. (Vu sur Prime Video)
MENTION SPÉCIALE (2) HAMILTON (Thomas Kail)
Ce qui rend Hamilton particulièrement émouvant en 2020, c'est de se rappeler qu'au moment de déclarer leur indépendance puis de rédiger la Constitution, les États-Unis étaient basés sur des idéaux, qui semblent avoir été oubliés ces dernières années. En plus, le fait que la majorité des rôles soient ici joués par des personnes de couleur crée une vision de l'Amérique encore plus idéalisée. Lin-Manuel Miranda est un phénoménal raconteur d'histoires et d'Histoire, jonglant avec d'innombrables personnages, événements, thèmes et motifs récurrents à travers un flot torrentiel de mots chantés ou rappés. (Vu sur Disney+)
TOP 5 SÉRIES
1 - C’est comme ça que je t’aime (Jean-François Rivard) 2 - The Last Dance (Jason Hehir) 3 - The Mandalorian (Jon Favreau et coll.) 4 - The Queen’s Gambit (Scott Frank) 5 - Tiger King (Eric Goode & Rebecca Chaiklin)
#lovers rock#portrait de la jeune fille en feu#le rire#TENET#the wolf of snow hollow#sound of metal#i'm thinking of ending things#da 5 bloods#first cow#nomadland#borat subsequent moviefilm#hamilton
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{ Billet d’humeur #16 }
Les langages de l’amour et la théorie des 3 ans
Selon Gary Chapman, l’auteur des “5 Love Languages”, l’amour passionnel - celui des débuts, celui de la phase “Lune de miel” (comme j’aime l’appeler) de toute relation qui commence - peut durer 2 ans en moyenne. C’est la période où les choses deviennent obsessionnelles, où on ne fait que penser à l’un et à l’autre, où on a envie de passer tout notre temps ensemble, où on refuse de lâcher la bouche de l’autre et aussi où on ne fait que de souiller le lit de chacun (Bah quoi ?! Osez me dire que ça ne vous est jamais arrivés ! Ne faîtes pas vos prudes, les gens. Je vous vois, hein, avec votre boîte de capotes prête à être dégainée à tout moment et vos draps lavés plus souvent que prévu). C’est la p��riode où on se sent euphorique, tellement euphorique qu’on pourrait se laisser avoir par ce sentiment de bonheur intense, au point où ça peut nous mener à prendre des décisions hâtives sans profonde réflexion au préalable. Comme, par exemple, emménager ensemble au bout de seulement quelques mois de relation, se marier parce qu’on pense être certain d’avoir rencontré LA bonne personne, ou encore faire des enfants. Pour certains, ça a tout de même fonctionné. Mais il ne faut pas se fier aux exceptions, parce que de belles exceptions, il y en aura toujours.
“L’amour dure 3 ans”, écrivait Frédéric Beigbeder. Je n’ai jamais lu son livre, ni vu le film, mais... je pense qu’il parlait surtout de cette fameuse phase dont fait référence Gary Chapman. Cette phase où on a l’impression d’être fou amoureux et de n’avoir jamais ressenti une intensité pareille auparavant. Puis vient l’étape des 3 ans où la réalité nous rattrape et on commence à réaliser les gros défauts de l’autre, qu’on avait longtemps ignorés, aveuglé par nos sentiments. D’après les dires de Chapman, c’est à partir des 3 ans que l’amour véritable peut se manifester. C’est à partir de ce moment-là que ça passe ou ça casse. Pourquoi ? Parce que c’est là qu’on voit véritablement qui est la personne qui partage notre vie, ses défauts, ses habitudes les plus agaçantes... etc, et qu’on doit décider si cela nous convient ou non, si on est prêt à passer de nombreuses autres années avec et à l’aimer tel quel.
Pour ma part, durant ma dernière relation, cette espèce de puppy love, ou d’honeymoon phase a duré entre 6 mois et 1 an, avant que la routine ne s’installe (Il n’y a aucun mal à ça. C’est même normal) et que les premiers gros doutes émergent (moins normal). Et il se trouve qu’à peine passé les 3 ans, la relation n’a pas tenu. Preuve qu’on n’avait rien à faire ensemble et qu’on n’était pas compatible.
Et maintenant, depuis la rupture, après avoir passé 4/5 ans à faire de l’introspection, à retrouver mon identité (longtemps égarée depuis la dernière relation), à reprendre un peu confiance en moi, m’accepter davantage et - bien entendu - à enchaîner les dates, les one-shot & les plans cul décevants, je me retrouve à nouveau dans cette phase d’immense attachement où je ne pense plus qu’à une seule personne. Je suis en plein dedans ! En plein dans cette phase où je ne peux pas m’empêcher de me projeter, de m’imaginer dans ses bras, de vouloir sentir sa peau contre la mienne. Je sais pertinemment que c’est l’euphorie de nos dernières interactions qui m’influence dans mes sentiments, qu’il y a quelque chose d’illusoire dans ce que je ressens puisque je le connais que depuis Juin dernier et qu’on est loin de s’être cerné encore. Je sais seulement que je me sens assez en confiance pour me dévoiler progressivement à lui. J’ai encore du mal à croire que je lui ai bel et bien parlé de certaines choses que j’avais, jusqu’à présent, toujours gardé pour moi.
Mais pendant que mon coeur s’emballe beaucoup trop - et trop vite - ma raison me fait sans cesse redescendre de mes nuages. Il ne faut pas que je me laisse influencer par ce tingling feeling dans mon corps, qui me fait croire que ce mec est parfait, alors que personne ne l’est. J’ai envie de lâcher prise, pourtant, et laisser les choses se faire impulsivement, mais je ne dois pas refaire les mêmes erreurs. Je suis sans doute trop dans le contrôle, mais je ne peux plus me permettre d’être insouciante. J’ai beaucoup trop galéré à recoller les morceaux de mon coeur en porcelaine, pour prendre le risque de revoir tout se briser. Et Chapman, dans son bouquin, explique bien que les gens se font trop facilement berner par ces débuts de relation (ou de situationship, dans mon cas, en attendant de savoir si ça va évoluer d’ici l’automne) où tout est beau, tout est mielleux, et prennent ça pour de l’amour, alors qu’on connait à peine l’autre personne encore.
Il est nécessaire, quand on débute une relation, de prendre le temps de découvrir l’autre, sans filtre, sans faux-semblant, sans tabou. Il faut découvrir comment l’autre communique pendant ou après une dispute. S’il est du genre à s’énerver vite et déblatérer des paroles blessantes qui dépassent sa pensée, s’il a aucun mal à venir s’excuser s’il est en tort ou s’il est plutôt de type à narguer pour montrer qu’il avait raison, s’il est prêt à faire des efforts pour subvenir aux besoins émotionnels de l’autre, dans le cas où les love languages ne seraient pas les mêmes (Je vais reparler de ça dans un instant). Et tout ça dans les deux sens, évidemment. Il y a énormément de choses à apprendre sur l’un et l’autre, et ça demande de la patience, de l’écoute et une certaine intelligence émotionnelle. Pas étonnant que beaucoup de couples n’aient duré que 3 ans, finalement.
C’est beaucoup de boulot, une relation sérieuse et durable ! Que ce soit hors mariage ou non, d’ailleurs. Ca implique de faire des ajustements, de se fixer des règles pour que les choses s’organisent de manière harmonieuse et sans prise de tête inutile (même s’il y en aura quand même, un jour). On doit être prêt à s’investir corps et âme dans cette relation, où le but est d’avancer à la fois individuellement (dans ses projets perso, notamment) et ensemble en tant que binôme. Un peu comme des teamplayers, au final, dont l’objectif est de se soutenir mutuellement pour devenir de meilleures versions de nous-même, réaliser quelques uns de nos rêves respectifs, tout en répondant aux besoins émotionnels de chacun.
D’ailleurs, en parlant de besoins émotionnels - avant que je ne m’égare encore dans mon monologue - Gary Chapman a classé les différents besoins de chaque individu au sein d’un couple. Avec plus d’une 30aine d’années de métier derrière lui, il a pu constater que ces besoins pouvaient se répartir dans 5 catégories distinctes :
- Words of affirmation
Il s’agit des compliments, des mots doux laissés sur un post-it, des mots de soutien, d’encouragement, de reconnaissance... etc. Tout ce qui peut faire chaud au coeur et nous motiver.
- Physical touch
Les câlins, les caresses, les gestes affectueux, les bisous, les massages (et plus, si affinités... mdr, je suis hilarante. Mais vous avez saisi là où je voulais en venir, je pense ;D). Se donner la main dans la rue, ça marche aussi, notamment
- Quality time
C’est à dire focaliser son attention sur son partenaire, passer des moments de qualité ensemble, prendre le temps de faire des activités à deux, de discuter ensemble sans distraction externe lors d’une balade ou d’un dîner en tête à tête... etc
- Acts of service
Là, on va plutôt soulager notre partenaire (si toi aussi, t’as eu l’esprit tordu, tape dans tes mains !) en diminuant sa charge mentale, via des tâches ménagères effectuées à sa place, par exemple, ou des services rendus. Bref, tout ce qui peut l’aider dans son quotidien
- Gifts
Montrer à notre partenaire qu’on a pensé à lui/elle en lui offrant un petit cadeau régulièrement. Ca peut aller du Kinder Bueno acheté à la caisse du supermarché - parce qu’on sait que c’est son préféré - à un super bijou de valeur, en passant par le cadeau fabriqué à la main ou encore la fleur cueillie sur le chemin de retour. C’est pas forcément toujours des cadeaux de malade quoi. C’est plutôt l’intention derrière qui compte, le fait d’avoir voulu ramener quelque chose pour lui faire plaisir.
Et devinez quoi. H. et moi avons le même Top 3 des langages de l’amour. C’est déjà bon signe, non ? Y a très peu de chances que nos piscines d’amour restent désespérément vides, si on finit ensemble. Nan mais sérieusement, je ne sais pas pourquoi je suis aussi tiraillée entre mon coeur et ma raison, alors que pour le moment, tous les feux sont au vert. On est même astrologiquement plutôt compatible, merde ! (... Oui, j’ai vérifié. Qu’est-ce qu’il y a ?!) Il a l’air d’être le genre de mec à s’investir corps et âme dans son couple, et moi aussi. La seule question, c’est : Est-ce qu’il est vraiment prêt à se relancer là-dedans, alors qu’il n’a pas entièrement fait le deuil de sa dernière relation et que c’est encore assez récent ?
Hey mais en fait... ! Je passe mes journées à me torturer l’esprit à propos de notre connexion, alors qu’au final, je sais déjà ce que je veux. Et ce que je veux, c’est me plonger dans une potentielle belle histoire avec lui, et personne d’autre. La décision lui appartient finalement de tout arrêter pour vivre pleinement son célibat, ou de tenter une relation sérieuse avec moi. Et c’est exactement ça qui me fait flipper...
... ça passe ou ça casse.
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#1 Soins
Idées pour une journée selfcare
Pour ce premier article concernant les soins, j’ai décidé de vous donner quelques idées pour une journée où vous pourrez prendre soin de vous. C’est parfait pour décompresser après une dure journée, pour aller mieux si vous vous sentez triste/en colère, ou juste pour se relaxer un peu. En plus de faire du bien à votre peau/vos cheveux, ça va vous remonter le moral. C’est un peu comme si vous étiez au spa, sauf que c’est chez vous (:
1) Masque pour le visage
Dès que j’ai envie de me relaxer et de me faire un soin pour le visage, je me rue vers les masques. C’est vraiment le top ! Vous pouvez en trouver dans les boutiques de cosmétique (Sephora, Nocibé, Marionnaud), mais aussi dans d’autres boutiques plus généralistes (Hema, Action). Il y a des masques tissu, et aussi des masques en forme de gel/crème. Personnellement, j’adore les deux, mais j’ai ma préférence pour ceux en tissu. C’est plus rapide, et pas besoin de rincer après avoir retiré le masque en tissu :) Après, les masques à appliquer et à retirer (ceux en crème ou gel) sont plus économique, car il y a beaucoup plus d’utilisation. A vous de voir ce qui vous convient le mieux.
2) Masque pour les cheveux
Pareil que pour le visage, mais j’ai tendance à réserver les masques pour cheveux après avoir appliqué mon shampoing (donc au moment de les laver).
3) Gel nettoyant pour visage
Il est important de se nettoyer tous les jours le visage avec un gel nettoyant :)
4) Lait pour le corps
5) Allumez des bougies dans votre chambre
C’est optionnel. Personnellement, je n’allume pas trop de bougies, mais ça peux être très relaxant. Ça aide à diminuer le stress et à vous plonger dans une ambiance plus tranquille.
6) Préparez vous une tisane/un thé/un chocolat chaud
Quelque chose de chaud et réconfortant peut vous faire du bien. Pour ma part, j’adore boire des tisanes pour me calmer.
7) Regardez un film/une série que vous aimez
Si vous n’arrivez pas à arrêter de réfléchir, s’il y a trop de choses qui vous déconcentrent, si vous êtes très triste pour aucune raison, regarder un film ou une série peut-être une bonne idée. Ça détourne l’esprit de nos problèmes, pour se concentrer sur une histoire, sur un univers totalement différent. Allez sous votre couette bien au chaud, ou bien enroulez un plaid autour de vous. Vous vous sentirez bien mieux !
8) Lisez un livre
Lire un livre est un autre bon moyen pour faire une pause dans sa vie actuelle, pour se concentrer sur une histoire. L’avantage avec les livres, c’est que c’est plus calme, et vraiment apaisant. Essayez de vous isoler dans un endroit où il n’y a pas de bruit, pour pouvoir pleinement profiter de votre lecture.
9) Écrivez dans votre journal
Écrire ses émotions dans un journal est idéal pour “vider son sac”, sans parler de ses problèmes à qui que ce soit. C’est génial de discuter avec ses amis/sa famille de ce qu’on traverse, mais un autre bon moyen pour libérer ses émotions est de tenir un journal. En plus, c’est très apaisant, et ça vous plonge un peu dans une bulle. C’est comme si vous vous parliez à vous-même ! Je recommande vivement de tenir un journal. Si vous n’en avez pas, ce n’est pas grave. Vous pouvez tout écrire sur votre ordinateur, sur votre portable. Si vous avez peur que quelqu’un tombe sur vos notes, effacez les alors. Mais je vous conseille d’essayer au moins une fois d’écrire ce qui vous tracasse, peut-être que vous vous sentirez bien mieux ensuite.
10) Allez dormir
Vous allez probablement penser que je perds la tête, haha. Mais dormir est un excellent moyen pour “aller mieux”, quand c’est trop dur de se changer les idées. De plus, un bon sommeil vous aidera à avoir un visage plus éclatant, à être de meilleur humeur le lendemain, et de meilleur forme. Même si c’est la journée, faites une sieste ! Souvent, le meilleur refuge quand nous sommes trop angoissés, c’est le sommeil.
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Sorcière
A l’époque, on ne fêtait pas Halloween. Par contre la Toussaint avait une atmosphère particulièrement attrayante, certes un peu morbide avec la vénération des morts. Cependant, il y régnait un sentiment fantomatique assez rêveur pour ne pas dire sain, sans faire de jeu de mot. C’était juste après cette période, de retour de vacances que nous rencontrâmes la nouvelle de la classe.
Notre professeure de français présenta Kigna. Malgré son air timide, nous savions déjà qu’elle intègrerait facilement notre classe de 5e. Elle était grande, fine, les cheveux longs. Sa peau noire rayonnait apportant comme un soleil d’Afrique. Son regard de biche impressionna quelques camarades. Elle partit s’assoir à la seule table disponible, marchant en regardant le sol, elle ne remarqua pas les yeux rivés sur sa beauté naturelle. Déjà, mon voisin chuchota à mon oreille : « C’est Naomi Campbell ».
En effet, elle pouvait prétendre à gagner le titre de miss monde ou devenir top model si elle n’avait pas ce terrible défaut. Sur chaque joue, on pouvait distinguer deux horribles cicatrices. En faisant connaissance, elle ne raconta à personne les raisons de ces marques. On la questionna sur ses origines, d’où elle venait et elle répondait avec humour qu’elle habitait auparavant dans le Périgord, le Périgord noir plus précisément. Mon meilleur pote tomba amoureux de son sourire. C’est vrai qu’il était magnifique bien que réservé.
Le premier mois fut difficile pour elle, toutefois, les bonnes âmes l’aidèrent à intégrer notre classe qui se connaissait déjà depuis l’année précédente. Elle fut enchantée de notre ambiance joviale et encore gamine. Cependant, elle refusait toujours de parler de l’origine de ses blessures. Nous imaginâmes une attaque de lion, un soir de promenade en savane. Nous pensâmes à un accident ou qu’elle survécut à une attaque de cannibales. D’ailleurs, à cette époque, il y avait de nombreux films genre cannibale Holocauste qui circulaient sous le manteau. Nous étions naïfs, croyant que l’Afrique était encore peuplée de tribus sauvages et que les seuls personnages respectables étaient Tarzan et Roger Milla. Triste image d’Epinal enseignée aux enfants dans les années 1970 et 1980. Nous ne savions rien d’elle et fûmes surpris de rencontrer ses parents blancs lors de la réunion parents profs.
Elle était donc adoptée. Toutefois, rien ne changea entre nous et nous comprîmes qu’elle n’avait certainement jamais vécu en Afrique. Fini cet exotisme rêvé, notre fantasme partait soudainement nous ramenant à la réalité ; quoi qu’on dise, elle était comme nous, de nationalité française. De toute façon, même si le racisme existait, je ne peux pas dire en avoir été témoin avec elle, tellement elle attirait les copines et les copains. Pour certains, c’était un rayon de soleil. Elle aurait pu être actrice, danseuse, sportive, tout lui réussissait et quand elle ratait, il y avait toujours quelqu’un pour l’aider. Cependant, ses cicatrices intriguaient fortement mais personne ne sut leur véritable cause.
Je l’appris par hasard. Pendant un entrainement de football. Je découvris Kigna sur le bord du terrain avec son père. Ils étaient venus voir l’équipe junior jouer un match en retard. Parmi les joueurs, il y avait son grand frère. Bien qu’ils fussent tous en âge d’être au lycée, je le connaissais car il faisait partie des fréquentations de mon frère. Comme il était blanc, je n’avais jamais fait le lien avec sa sœur. Quelques entrainements plus tard, je surpris une discussion entre lui et d’autres joueurs de son équipe. Ils parlaient de Kigna et des traces sur ses joues.
« Elle est née les pieds devant, dit-il. Dans son pays, cela annonce la naissance d’une sorcière. Ils avaient commencé un rite sacrificiel pour délivrer son âme. Une association avait été prévenue et est intervenue in-extrémis parce qu’elle allait être égorgée puis brûlée. Ils avaient déjà tailladé son visage ».
Je restai choqué par ses propos. Il était difficile de croire qu’on pouvait massacrer un bébé parce qu’il n’est pas sorti la tête la première. Je gardai le secret parce que je trouvai cela horrible et je compris le malaise de ma camarade. Il ne devait pas être facile de voir chaque jour sur sa figure qu’on a été considéré comme un monstre. L’année suivante, nous nous retrouvâmes dans la même classe ; Les deux seuls survivants de la cinquième F qui se retrouvaient dans un groupe d’anglais-allemand-grec. A l’époque, c’était le summum du collège. Ne connaissant pas vraiment les autres, nous devînmes voisins de table par défaut pendant toute l’année scolaire.
Durant Mardi gras, nous avions le droit de venir déguisés. La veille, Kigna me demanda dans quelle tenue j’allais venir, je répondis : « En cowboy version Clint Eastwood, et toi ? » Elle ne savait pas encore. Dès lors, je l’imaginai en tenue de sorcière, chapeau pointu, robe noire, balai magique… Elle aurait été belle en sorcière même avec un nez crochu. Toutefois, je préférai lui proposer de se déguiser en princesse. Elle rit, me signalant qu’il n’y a pas de princesse noire. Alors, je murmurai en blaguant : « C’est mieux qu’en Freddy Kruger ». Elle rit de nouveau avant d’affirmer : « Et pourquoi pas ? » Puis, elle réfléchit et exclama ensuite:« J’ai trouvé ! En sorcière. Je vais me déguiser en sorcière ! » J’approuvai simplement d’un geste de la tête. Mais je me sentis soudainement mal à l’aise lorsqu’elle ajouta en faisant un clin d’œil : « J’aurai un chapeau pointu, une robe noire et un balai magique. Je serai magnifique, même avec un nez crochu.» En entendant la description exacte de mes pensées, je me posai soudainement des questions sur elle. Je me demandai comment elle a pu entrer dans ma tête. Je restai une bonne partie des cours à regarder Kigna du coin de l’œil me demandant si elle pouvait aussi jeter des sorts. Puis, durant une pause entre deux leçons, pendant que nous rangions nos affaires, je l’interrogeai sur ma couleur préférée et la date de naissance de ma mère. Elle me dévisagea, répondit qu’elle n’en savait rien du tout. Je me sentis soulagé et quittai la salle pour me diriger vers le prochain cours après lui avoir dit : «Finalement, tu ne ferais pas une bonne sorcière…Et puis c’est comme les princesses, elles sont toutes blanches ». Elle écarquilla les yeux, se mit à rire affichant ses magnifiques dents et me rejoignit pour trouver avec elle un déguisement qui lui conviendrait. Le jour de mardi gras, la seule sorcière que j’ai connue et qui n’avait rien d’une sorcière, est venue déguisée en reine de Saba.
Alex@r60 – août 2020
Photo: Margaret Mulubwa dans le film “I am not a witch” de Rungano Nyoni, 2017. L’histoire est celle d’une fillette de 9 ans accusée de sorcellerie par les habitants de son village et envoyée dans un camp de sorcières. En cherchant une photo pour illustrer mon récit, j’ai découvert l’existence de ce film. De même, de nombreuses femmes ont vécu ce que Kigna a vécu. Au Ghana, il existe plus 700 femmes vivant dans des camps de sorcières parce qu’elles ont été bannies ou menacées de morts au nom des vieilles superstitions.
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Envole-moi film streaming VF 2021 gratuit haute définition
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Dire que nous passons un mauvais moment serait abusif. Dire que c'est aussi le grand délice. Christophe Barratier, que nous avons connu plus inspiré, nous livre un film consensuel à volonté. En ces temps de libération des écrans après la grande frustration, nous aimerions nous enthousiasmer pour ce film généreux et optimiste. C'est tellement vrai que nous avons besoin de tendresse, de relations humaines renouvelées, de choses simples et fraternelles. Cependant, malgré nos bonnes intentions, ce film vous laisse faim. Le scénario est tellement prévisible qu'il s'agit de quiz. La mise en scène est si pâle qu'elle ressemble à un film d'école de cinéma. Quant aux acteurs; Gérard Lanvin nous livre son union minimale, sans aucune profondeur (le rôle n'est pas très bien développé, avouons-le) Le jeune Belmondo, très à l'aise, sympathique et ensoleillé, nous surprend mais n'élargit pas sa palette au fil du film. Quant au jeune garçon, je le trouvais souvent mal dirigé, expressif surtout dans la crise de craquements peu convaincants. Mais le plus regrettable à mon avis est moral et même politique. En effet, le jeune Thomas qui joue le Père Noël avec le petit malade a la chance d'être "le fils de papa" et de pouvoir utiliser la carte bleue du père car TOUS les plaisirs qu'il offre à l'adolescent sont dans l'ordre du consommable: Conduisez une Alpine, prenez un vol virtuel, participez à un Karaoké sur les Champs Elysées (le temps de partager la belle chanson de JJ Goldman qui donne son titre au film) voir la mer depuis une suite dans un hôtel 5 étoiles à La Baule ... Quels cadeaux des riches! C'est dommage, car donner, c'est AVANT TOUT partager des moments libres mais intimes, s'obliger à faire des choses insolites sans avoir à recourir à Eurodisney. Cet aspect de leur relation m'a éloigné profondément des personnages et je n'ai pas ressenti la véritable empathie avec eux. Il reste un film honorable, plus proche du téléfilm que de la production cinématographique. Comme nous n'aurons que l'embarras du choix dans les semaines à venir, nous pourrons nous sauver nous-mêmes en évitant les films "foutus". Les fins de mois difficiles de Gérard Lanvin et les larmes qu'ils veulent nous extorquer ne valent pas le déplacement. Pleurez plutôt sur vous-même car personne ne veut le faire à votre place.
Le moment est venu car nous avons déjà donné la sortie du dernier confinement avec des navets mémorables. Si vous manquez du pop-corn biologique ou végétalien, achetez-le et emportez-le à la maison.
C'est ma cruauté du jour. J'alterne donc "Good Action" et "Little Cruelty" pour maintenir les grands équilibres. Parce que tout n'est pas égal! Après six mois sans ma dose de films, j'avais l'impression de rater quelque chose. Comme un junkie sans sa morsure. Pas le choix, je me suis précipité vers le premier film qui est venu. Erreur... Fly me suce juste. Un scénario cousu au fil blanc (bonjour Intouchables ??), un Victor Belmondo qui n'a pas une once du talent de son ancêtre, une mise en scène insipide ... Les dialogues manquent de naturel, l'humour est absent, l'émotion forcée ... Seulement le jeune Yoann Eloundou parvient à flotter au milieu de cet océan d'ennui. Ah oui! Gérard Lanvin! Où est le Gégé? Deux étapes et hop son nom en haut de l'affiche! Il devait avoir des impôts à payer ... Thomas passe ses nuits dans des clubs et ses journées au lit, jusqu'au jour où son père, le docteur Reinhard, fatigué de ses escapades, décide de l'interrompre et l'oblige à s'occuper d'un de ses jeunes patients. Marcus a douze ans et vit seul avec sa mère. Il souffre depuis sa naissance d'une maladie grave qui ponctue ses journées, entre la maison de retraite où il est éduqué et les séjours répétés à l'hôpital. Cette rencontre bouleversera le quotidien de chacun et changera tout simplement leur vie.
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Mes meilleures lectures - 2019 !
Ça y est, c’est 2020 !! J’ai pas lu beaucoup l’année dernière (38 livres sur un objectif de 50), parce qu’avec l’arrivée de la prépa concours, ça s’est vite transformé en lectures obligatoires !
Mais j’ai lu suffisamment pour vous faire un petit top, riche en émotions <3
Encore une fois, il a beaucoup été question de drame et d’aventure, mais aussi de tendresse, de nature, de poésie, et beaucoup beaucoup de vulnérabilité
Quasiment tous les livres de ce top on rejoint ma liste de livres préférés de tous les temps !
1. Rebecca Makkai, The Great Believers
"He’d be the world’s luckiest man to stand here at the end of it all, to be the one left, trying to remember. The unluckiest too.”
Clairement LE meilleur livre que j’ai lu cette année. Il m’a arraché le coeur littéralement. On suit Yale, directeur d’une galerie d’art gay closeted, et son groupe d’amis, au moment où l’épidémie du SIDA éclate aux Etats-Unis, jusqu’en 2015. Probablement un des meilleurs livres que j’ai lu de ma VIE, vraiment, lisez le ! (j’ai regardé Philadelphia la même semaine si vous voulez tout savoir)
2. Jeff Vandermeer, Annihilation / Authority / Acceptance
“And when you see beauty in desolation it changes something inside you. Desolation tries to colonize you.”
J’ai mis les trois tomes parce que cette trilogie est un ensemble juste incroyable. J’avais vu le film que j’avais trouvé esthétiquement très beau, mais dont on ne voyait pas trop le fond. La zone X est apparue de nulle part et renferme un écosystème surnaturel entier. Des scientifiques envoient plusieurs équipes d’exploration pour l’étudier, mais aucune ne rentre. Une dernière expédition est envoyée... J’ai mis un peu de temps à rentrer dans le premier tome et puis j’ai dévoré les trois en 2 jours, tellement c’est devenu addictif. Le livre est HALLUCINANT. On explore le tréfonds sombres de ce qui nous rend humain (ou non) dans un thriller de science-fiction écologique. Et puis c’est à la fois très scientifique, réfléchit, et très lent et angoissant parfois. Magnifique dans toute la magie du terme. Vraiment vous allez être en mode Le Cri de Münch !!
3. Caleb Carr, The Alienist.
“— Alors, allez tous au diable ! hurlai-je, brandissant mon poing boueux. Mais crier ne m'apporta aucun soulagement.”
Le premier livre que j’ai lu en 2019 et vraiment une CLAQUE. J’avais oublié ce que c’était un thriller magnifiquement écrit sur le XIXe siècle. C’est les débuts du profiling (pas encore trop pris au sérieux) et une série de meurtres glauques touchent les jeunes adolescents de Londres... Vraiment superbe, tant dans l’écriture que dans le scénario, qui est hyper bien ficelé et qui mène à un dénouement de OUF (en plus y a une meuf badass dont je suis éperdument AMOUREUSE)
4. Anthony Doerr, All the Light We Cannot See
“You know the great lesson of history? It’s that history is whatever the victors say it is. That’s the lesson. Whoever wins, that’s who decides the history.”
Marie-Laure est une adolescente aveugle passionnée par le musée d’Histoire naturelle, qui doit fuir le Paris occupé de la Seconde Guerre mondiale et se réfugier chez un oncle étrange à Saint-Malo. Avec eux, ils emportent un joyaux qui aurait d’incroyable capacités.
Werner est un jeune orphelin allemand, passionné de radiophonie et qui est douée pour construire des radios. Enrôlés dans les jeunesses hitlériennes, il apprend petit à petit à traquer la Résistance grâce à cette radio.
C’est juste magnifique, voilà. C’est un souffle de liberté et de tendresse et d’amour passionné pour la vie et pour l’espoir qu’il reste quand il n’en reste plus.
5. N. H. Kleinbaum, Dead Poets Society
“One reads poetry because he is a member of the human race, and the human race is filled with passion! Medicine, law, banking—these are necessary to sustain life. But poetry, romance, love, beauty? These are what we stay alive for!”
Ecoutez. Le Cercle des Poètes disparus c’est le film de ma vie. Je pleure non-stop pendant les 45 dernières minutes. Est-ce que vous me croyez si je vous dis que j’ai encore plus pleuré sur le livre ? Voilà, lisez ce livre, regardez ce film, réveillez le poète qui est en vous.
6. Michael Crichton, Jurassic Park
“Because the history of evolution is that life escapes all barriers. Life breaks free. Life expands to new territories. Painfully, perhaps even dangerously. But life finds a way.”
J’ai lu beaucoup de livres de mes films préférés cette année, et Jurassic Park est incroyable. La réflexion écologique, scientifique et humaine dans le livre est tellement plus poussée que dans le film !! Et Ian Malcolm est toujours aussi incroyable, charismatique, intelligent, et Ellie et Alan sont parfaits !! Et c’est un peu plus gore que le film et un peu plus angoissant, mais OUAH LISEZ LA VERSION LIVRE JUSTE APRES AVOIR VU LE FILM
7. Madeline Miller, Circe
“What could make a god afraid ? I knew that answer too. A power greater than their own.”
C’est la meuf qui a écrit The Song of Achilles et elle nous écrit une déesse, magicienne et sorcière, et puis femme aussi, profondément puissante, libre, brûlante, déterminée, forte et vulnérable, amoureuse, trahie. Toute la beauté et la nuance du personnage de Circé se retrouve dans ce livre !
8. Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“There must be something in books, things we can’t imagine, to make a woman stay in a burning house; there must be something there. You don’t stay for nothing.”
Ca a été une grande année de classiques de la science-fiction et j’avais beaucoup d’appréhension à lire Fahrenheit 451, mais écoutez, c’est 200 pages de pur génie.
C’est un monde dystopique où les livres ont été interdits pour que les gens suivent le dogme du gouvernement sans poser de question et ne réfléchissent plus par eux-mêmes. Guy est un “fireman”, qui est chargé de brûlé les livres restants, dans les maisons des résistants, avec les résistants à l’intérieur. Mais sacrilège, après avoir rencontré une jeune résistante, il décide de voler un livre et tout à coup, son monde change...
Je pensais pas que ce livre serait aussi incroyable, mais OUI, je comprends pourquoi ironiquement, il est sur toutes les listes des banned books, parce que ça fait vraiment réfléchir sur le fond de l’humanité, sur la culture, la lecture, survivre ensemble, et sur comment le gouvernement totalitaire utilise l’accès à la culture comme arme (et ça fait peur comparé à la situation actuelle).
9. Emma Locatelli, Le Scandaleux Héliogabale.
“Pourquoi penserais-je à la mort ? Je préfère vivre intensément et périr dans la fleur de l'âge que de ne rien vivre du tout et traîner mon ennui jusqu'au jour où j'aurai une barbe blanche !”
On suit l’accession au trône d’Héliogabale puis toutes ses frasques et ses dérives en tant qu’empreur, allant jusqu’à instaurer un nouveau culte monothéiste, ce qui lui vaut la haine des romains.
Un livre fascinant sur la déchéance d'un homme et avec lui d'un empire... On hait Varius autant qu'il nous fait pitié, mais au final, ce sont les figures de femmes qui sont les plus impressionnantes : indépendantes, fières, prêtes à tout pour assoir leur place et conserver leur pouvoir.
10. David Gemmell, Rigante. T.1, L’épée de l’orage.
“Vous, les humains, vous êtes si impatients. Mais peut-être est-ce naturel pour une race qui vit des vies mesurables en battements de cœur.”
Con est né lors d’un orage, au moment de la mort de son père, couard. Adopté par le grand chef, il n’a pour objectif que de prouver sa valeur. Petit à petit, il forge sa légende, du tueur d’ours au grand conquérant qui a tué le roi.
C’est une épopée de fantasy médiévale formidable, complexe, les personnages sont attachants, l’univers est immense, dingue, on rêve de voyage, d’aventures et de combats d’épées, mais aussi de rentrer le soir dans sa petite chaumière, pour une veillée autour du feu avec le reste du village.
Un livre que j'avais abandonné à ma première lecture mais que j'avais laissé de côté en me disant que je n'étais sans doute juste pas encore prête. Effectivement, c'est un premier tome magistral, profond et intense, qui parle autant de guerre que des tragédies d'une famille et des difficultés de surpasser ses erreurs. C'est aussi un livre très fin sur ce qui fait le héro, et sur la complexité humaine. Après tout, un héros reste un homme, avec ses parts les plus sombres.
10 BIS. Tom Sweterlitsch, Terminus.
“On croyait jadis que l'enfer était l'absence de Dieu alors que c'est l'absence de mort.”
“ Depuis le début des années 80, un programme ultrasecret de la marine américaine explore de multiples futurs potentiels. Lors de ces explorations, ses agents temporels ont situé le Terminus, la destruction de toute vie sur terre, au XXVIIe siècle. En 1997, l’agent spécial Shannon Moss du NCIS reçoit au milieu de la nuit un appel du FBI : on la demande sur une scène de crime. Un homme aurait massacré sa famille avant de s’enfuir. Seule la fille aînée, Marian, 17 ans, serait vivante, mais reste portée disparue. Pourquoi contacter Moss? Parce que le suspect, Patrick Mursult, a comme elle contemplé le Terminus... dont la date s’est brusquement rapprochée de plusieurs siècles.” (4e de couv, parce que je savais pas comment vous expliquer l’histoire lmao)
L’univers est INCROYABLE, l’idée est SENSATIONNELLE, l’enquête est WOW, si bien ficelée, l’atmosphère est FOLLE, le Terminus comme concept c’est fantastique et terrifiant et glacial, vraiment une super belle découverte.
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Happy Birthday à la pétillante CAMERON DIAZ🎁❤️
L’actrice a vu le jour le 30 août 1972 à San Diego, en Californie 🇺🇸 d'une mère anglo-allemande 🇩🇪 et d'un père cubano-américain. Sa Personnalité et son physique lumineux lui valent d’être repérée à 16 ans, par l’agence de top-models Elite, ce qui lui ouvre grand les portes du mannequinat et les campagnes les plus prestigieuses (Coca-Cola, Levi's, Calvin Klein...) pendant 5 ans. Mais la jeune fille décide de tenter l'aventure au cinéma. Et Dès 1994, elle obtient le rôle de Tina Carlyle, dans la comédie fantastique The Mask . Désormais sa carrière peut décoller et la belle va enchaîner les succès sur grand-écran, se payant même le luxe de remplacer au pied levé Julia Roberts dans Une vie moins ordinaire (1997) !
Vont suivre de vraies réussites tant critiques que commerciales comme Mariage de mon meilleur ami (1997) Mary à tout prix (1998) ou encore s Very bad things (1998). Ces films 🎥 imposent définitivement le beau potentiel comique de cette blonde à la fois sexy et faussement ingénue. La voici héritière de Farrah Fawcett dans Charlie et ses drôles de dames (2000) et sa suite, adaptés de la célèbre série. Encore un succès ! Cameron Diaz est devenue l'une des actrices les mieux payées d'Hollywood. Désormais la blonde peut s’illustrer dans des films plus sombres comme le thriller fantastique The Box de Richard Kelly ou le drame Ma vie pour la tienne de Nick Cassavetes. Une succession d’échecs cuisants vont s’enchaîner ce qui amène la comédienne à annoncer vouloir mettre un terme à sa carrière cinématographique en mars 2018.
En août 2020, elle revient sur son départ d’ Hollywood dans un podcast de Gwyneth Paltrow, et dit ne pas regretter son choix et être épanouie dans sa nouvelle vie ! Depuis silence radio 📻 !
Dommage pour le cinéma, mais tant mieux pour elle !
#gerardgranja#variation#like4like#variation.le.mag#variationmagazine#gerard granja#likeforfollow#nofilter#likeforlike#1990s#1990s cinema#cameron diaz#blond hair#blond girl#charlie angels#lookoftheday#look#like#my post#anniversary#people magazine#people#comedy#actrice
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Phoenix Les Inrocks Full Interview
hello phoenix reader who submitted this!!! I am so sorry this is late but thank you so much for sending this in! (i never got notified of this submission). You are the best 💘💘💘 Merci 💖 (I’ll put an english translated version via google translate in the read more at the end of the article).
A la faveur de Liberté, égalité, Phoenix !, un beau livre retraçant leur carrière en textes et en images, conversation au long cours avec le quatuor versaillais éparpillé entre Paris, New York et Rome. Un retour sur “la fidélité à certains idéaux”.
Meilleur-groupe-français-du-monde, Phoenix était de passage à Paris en novembre, à la fois pour honorer une signature publique de son beau livre rétrospectif Liberté, égalité, Phoenix ! et pour avancer sur un septième album attendu pour 2020. Foudroyé par la mort accidentelle avant l’été de leur ami et producteur Philippe Zdar, auquel l’ouvrage est naturellement dédié, le quatuor versaillais a retrouvé son antre de la Gaîté Lyrique, où avait été ébauché l’italianisant Ti Amo (2017), pour peaufiner le premier morceau du disque, qui devrait d’abord figurer sur la bande-son du prochain film de Sofia Coppola.
Thomas Mars vivant avec elle à New York et Laurent Brancowitz étant expatrié à Rome, les occasions sont désormais rares de réunir les quatre amis d’enfance dans la capitale française, qui reste leur point d’ancrage et la ville d'origine de leur inattendue success story. On se souvient encore de leur concert mémorable à La Cigale le 25 mai 2009, jour de la sortie de Wolfgang Amadeus Phoenix, dont personne n’imaginait le succès international et la manière dont Phoenix allait enfin basculer dans un autre monde après n’avoir rien lâché pendant une décennie depuis le trop souvent mésestimé United (2000).
Totalement inchangés, toujours aussi décontractés, modestes et pince-sans-rire, Thomas Mars, Laurent Brancowitz, Deck d’Arcy et Christian Mazzalai se confessent longuement sur leur carrière XXL. Et si Phoenix reste ce pacte indéfectible et mystérieux, il nous tarde déjà de savoir comment ce groupe passionnant va basculer artistiquement dans sa quatrième décennie.
Quelle est la genèse de votre livre rétrospectif Liberté, égalité, Phoenix !, paru le 15 octobre chez Rizzoli ?
Thomas Mars — Avant Instagram, Christian avait réalisé des photos au format carré pendant la tournée de Wolfgang Amadeus Phoenix (2009). En tombant dessus, Jacob Lehman, éditeur chez Rizzoli à New York, nous avait proposé de les rassembler dans un livre, mais le moment était mal choisi, entre les concerts et les enregistrements.
Plusieurs choses ont précipité la mise en œuvre du livre : mes parents ont vendu leur maison à Versailles, où se trouvait le studio au sous-sol où nous répétions au début de Phoenix, et ensuite nous nous sommes fait dérober plein d’instruments stockés dans un local à Paris. Soudain, nous n’avions plus de traces du passé du groupe, à part des images et des photos. Alors on a imaginé ce livre comme un catalogue raisonné.
Laurent Brancowitz — Pour la narration, on s’est inspirés du formidable livre Please Kill Me (1996), anthologie du punk américain qui se présente sous la forme d’une conversation ininterrompue et hilarante entre ses différents protagonistes. A sa lecture, on a compris qu’on pourrait peut-être raconter l’histoire de Phoenix de manière aussi ludique et vivante.
La parution du livre coïncide symboliquement avec deux dates anniversaires : les 20 ans du maxi Heatwave et les 10 ans du quatrième album Wolfgang Amadeus Phoenix, couronné d’un Grammy Award.
Laurent Brancowitz — C’est une équipe de marketeurs qui a mûrement réfléchi à la stratégie de lancement (rires).
Le titre de Liberté, égalité, Phoenix ! résume parfaitement la fraternité indéfectible qui vous unit depuis trois décennies.
Laurent Brancowitz — Bien sûr, c’est aussi un hommage à Liberté, égalité, choucroute (1985) de Claude Zidi.
Thomas Mars — Ce film était déjà l’une de nos références à l’époque de Wolfgang Amadeus Phoenix. Nous aimons bien nous réapproprier des symboles de l’imaginaire collectif.
“L’idée du livre était moins de se plonger dans les archives que de tourner la page” Laurent Brancowitz
En vous replongeant dans ces archives et autres souvenirs, y a-t-il une photo, une rencontre ou un moment particulier qui était sorti de votre mémoire ?
Laurent Brancowitz — L’idée du livre était moins de se plonger dans les archives que de tourner la page. On avait ces malles qui se remplissaient d’un tas de livres et qu’il fallait évacuer à tout prix. Désormais, on peut tout jeter à la benne (sourire).
Christian Mazzalai — On a retrouvé quelques petits trésors, comme cette Carte Orange de mon frère illustrée avec la photo d’Elvis Presley.
Thomas Mars — Laura Snapes, l’auteure du livre, a souhaité nous interroger séparément. On a donc découvert l'ensemble des témoignages en lisant respectivement le bouquin. Je pensais qu’il y aurait davantage d’erreurs ou de différences d’appréciation entre nous.
Laurent Brancowitz — J’espérais secrètement qu’on retrouve l’ambiance Rashômon (1952) de Kurosawa, où la même histoire est narrée par plusieurs personnages et dont les versions se contredisent. Finalement, je suis presque un peu déçu que l’on soit autant sur la même longueur d’onde (sourire). On espère que le message global dépasse la somme de nos destinées individuelles et évoque l’amitié, la fidélité à certains idéaux.
La loyauté, pour reprendre le nom de votre label…
Thomas Mars — Ce sont des valeurs que l’on ne parvient jamais à exprimer hors de nos frontières, notamment en Angleterre. Les Anglais sont toujours dans le conflit, ils ne voient pas la beauté de l’harmonie dans un groupe. La seule référence que l’on nous sort à l’étranger, ce sont les Monkees.
Avez-vous parfois eu le vertige en remontant ainsi le fil de votre parcours ?
Laurent Brancowitz — Non, parce que nous ne sommes pas très nostalgiques de nature et que nous vivons ensemble depuis tant d’années. Avec Deck, nous nous sommes connus à l’école primaire ! Nous partageons donc les mêmes souvenirs depuis l’enfance. Au point de nous souvenir encore de nos profs. Entre nous, nous ressassons et rabâchons sans cesse.
Thomas Mars — Le mail envoyé à Johnny Cash en octobre 2001 montre bien notre état d’esprit.
Laurent Brancowitz — Quelle bêtise et quelle insolence quand j’y repense. Après la sortie du premier album, United (2000), on a quand même osé lui demander de faire une cover de Funky Squaredance pour l’inclure sur notre single (sourire). C’est tout le résumé de Phoenix : un mélange de professionnalisme et de débilité profonde.
Dans votre carrière, il y a un avant et un après Wolfgang Amadeus Phoenix ?
Laurent Brancowitz – — Chaque pas discographique ou scénique était déjà une petite victoire. Nous n’avons jamais été frustrés d’attendre impatiemment un succès. Bien sûr, celui de Wolfgang Amadeus Phoenix était plus gros que les autres. Nous étions à la fois convaincus d’être les prochains Beatles et enthousiastes en remplissant une Boule Noire.
Deck d’Arcy — Je dirais même deux concerts complets à La Boule Noire (les 4 et 5 mai 2004 – ndlr).
Thomas Mars — 2009 est sans doute l’année charnière pour Phoenix. C’est la première fois où l’on part jouer en Asie.
Christian Mazzalai — Le succès étant arrivé tardivement, on a réussi à contrôler la trajectoire du groupe. Dans le fond, rien n’a vraiment changé pour nous.
Vous êtes actuellement en studio à la Gaîté Lyrique pour ébaucher le successeur de Ti Amo (2017) à l’horizon 2020.
Thomas Mars — Nous sommes en plein dedans, avec quelques échéances à tenir, notamment achever certains titres avant les autres, comme une chanson pour le prochain film de Sofia Coppola.
Christian Mazzalai — En période d’enregistrement, c’est toujours compliqué pour nous d’en parler. Tout dépend aussi de l’heure de la journée à laquelle on nous pose la question, surtout un dimanche à l’heure d’hiver (sourire).
Laurent Brancowitz — On est productifs, mais on a toujours autant de mal à finir les morceaux. C’est le moment où tout peut s’effondrer.
Diriez-vous qu’Alphabetical (2004) demeure l’album maudit de votre discographie ? C’est d’ailleurs votre Black Album.
Thomas Mars — Pour le temps passé en studio, certainement. Sans aucun doute notre disque le plus pénible à enregistrer. Paradoxalement, c’est un album qui avait marché en Norvège et en Suède.
Christian Mazzalai — C’est grâce à Alphabetical que nous avons eu la chance de commencer à tourner aux Etats-Unis.
Thomas Mars — Il y a plein de musiciens qui adoraient le son hyper-sec du disque. On avait presque tué la réverb (sourire). Ce qui nous énervait, en revanche, c’est quand d’autres nous parlaient du son ultra-clean d’Alphabetical.
Laurent Brancowitz — C’était même une insulte folle ! Ce disque, c’est notre trou noir. Un souvenir cauchemardesque.
Christian Mazzalai — Au contraire du troisième album, It’s Never Been like That, réalisé en cinq mois à peine à Berlin.
Thomas Mars — On enregistrait dans un lieu assez cocasse à Berlin : c’était un appartement réservé pour les tournages d’émissions télévisées du type Top chef. Résultat : il y avait des cuisines partout mais un seul lit en rond à se partager. Alors on dormait par terre dans une ambiance de téléréalité.
Laurent Brancowitz — C’était un album très agréable à faire, je n’en garde que des bons souvenirs. Peut-être aussi parce que nous étions loin de nos bases géographiques.
Avez-vous chacun votre album fétiche ?
Thomas Mars — Ça dépend des moments. L’autre jour, dans la voiture de ma mère, il y avait Alphabetical dans le lecteur CD. J’étais agréablement surpris de le réentendre.
Deck d’Arcy — Je trouve qu’il y a un beau lignage depuis United. Finalement, notre premier album annonçait tout le reste.
Christian Mazzalai — Deck, c’est pourtant le plus intransigeant d’entre nous. A l’écouter, on referait tous les mixages de nos disques.
Thomas Mars — Le pire, c’était Zdar, il pouvait tomber amoureux d’une demo qui lui servait d’étendard.
Laurent Brancowitz — En studio, Philippe était en quête du moment magique.
Thomas Mars — Dans certains cas, c’est l’épuisement général qui conclut le morceau. “Philippe adorait mixer en public. Il envisageait le mixage comme une performance” Thomas Mars
Philippe Zdar est le fil rouge de votre discographie depuis United…
Thomas Mars – D’une manière ou d’une autre, il a toujours été là, même sur les albums qu’il n’a pas mixés ou produits. Je me souviens du jour où il avait entendu I’m an Actor pendant qu’il était au studio à mixer un morceau avec Etienne Daho. Avec Hubert, ils nous avaient fait le plus beau compliment du monde, en disant qu’ils avaient pris cinquante ans. C’était pareil pour nous quand on écoutait Voodoo (2000) de D’Angelo, on ne savait plus comment s’en dépêtrer.
Christian Mazzalai – Sur It’s Never Been like That, l’album suivant mixé par Julien Delfaud à Plus XXX, Philippe était parmi nous aussi puisque Cassius finissait également son troisième album dans le même studio.
Thomas Mars – En écoutant Alphabetical et It’s Never Been like That, il nous donnait un avis tellement précis et éclairé sur les morceaux. Philippe adorait mixer en public. Il envisageait le mixage comme une performance. C’était le Sinatra du studio.
Laurent Brancowitz – Je pense que Philippe n’aimait pas spécialement It’s Never Been like That, il a même dû nous prendre pour des gros ringards avec cet album ! Pour Wolfgang Amadeus Phoenix, il a réussi à nous pousser dans nos ultimes retranchements. C’est d’ailleurs le seul mec qui a réussi à nous tenir tête. On ne retrouvera jamais un tel phénomène. Il était autant impliqué dans la production que dans l’écriture des chansons. Il touchait finalement assez peu aux machines. Ce qui l’intéressait avant tout, ce sont les chansons et les émotions qu’elles peuvent susciter.
Thomas Mars – Il était finalement plus artiste que les artistes.
Laurent Brancowitz – Quand on lui donnait rendez-vous à 10 heures au Motorbass Studio, il arrivait à 16 heures (sourire) – ce qui nous laissait six heures pour travailler d’arrache-pied. C’était à la fois notre ange gardien et un producteur acharné.
Christian Mazzalai – A l’époque de Wolfgang Amadeus Phoenix, son studio était encore en pleine construction. Il n’y avait même pas de chauffage ni de WC.
Laurent Brancowitz – Après une inondation par le toit, son studio était en ruines. Dans une photo du livre, on voit même Philippe détruire les toilettes avec une masse. C’est extrêmement compliqué pour nous d’élaborer notre prochain disque sans lui.
Thomas Mars – Il l’influence déjà parce qu'on imagine ce qu’il nous dirait. Je ne sais pas si on va fonctionner en circuit fermé ou, au contraire, ouvrir les fenêtres.
Votre mode de fonctionnement à la fois secret et inextricable fait partie des singularités de Phoenix.
Laurent Brancowitz – Les gens considèrent souvent que ce sont des formules de politesse ou des visions de l’esprit, mais si tu prends n’importe quel morceau des derniers albums, nous sommes incapables de te dire qui a composé ou trouvé quoi. A part les musiciens de free jazz, je ne vois pas qui d’autre fonctionne comme nous. Et plus on avance, plus on mise sur une stratégie reposant sur le hasard. Nous devenons presque des auditeurs de notre propre musique. Au fond, nous serions comme des directeurs artistiques qui écouteraient des demos de milliers de groupes pour ne garder que les meilleures.
En quoi avez-vous eu l’impression de progresser depuis toutes ces années ?
Laurent Brancowitz – On progresse finalement assez peu, à part sur scène. Car nous étions vraiment des nazes. Si YouTube avait existé à nos débuts, nous aurions été contraints d’arrêter notre carrière (sourire). Dans l’indifférence générale, nous avons donc continué à nous aguerrir.
Deck d’Arcy – On a accepté nos limites depuis le premier album. Branco avait raison de parler de la place laissée au hasard, car nous avions l’ambition de tout contrôler. Nous sommes devenus des semi-pros.
Thomas Mars – Avec le temps, nous avons découvert le lâcher-prise.
Laurent Brancowitz – Si nous avons progressé, c’est en ayant accepté l’humilité et oublié l’ego du créateur. En studio, nous créons même les possibilités de capturer le hasard.
Votre studio d’enregistrement est comme un sanctuaire fermé à toute présence extérieure.
Deck d’Arcy – Parfois, des copains passent nous voir, mais ils sont un peu déçus (sourire).
Laurent Brancowitz – Voire carrément traumatisés par l’absence totale de confort.
Christian Mazzalai – On n’a même pas de canapé. Que des chaises rigides. Pas l’ombre d’une distraction.
Deck d’Arcy – A la Gaîté Lyrique, on a pris une nouvelle pièce, encore plus petite et austère que pour Ti Amo…
Laurent Brancowitz – Ce qui est agréable à la Gaîté Lyrique, c’est que l'on n’est pas déconnectés de la vie réelle. Car pour certains disques comme Bankrupt ! (2013), on a vécu à contretemps du reste de la population, enfermés dans un bunker sans jamais voir la lumière du jour.
Pour chaque album, vous avez des films ou des livres qui vous accompagnent.
Laurent Brancowitz – Cette fois, nous lisons tous un ouvrage différent du même auteur : Pierre Vesperini, un historien de la philosophie de notre génération que j’ai rencontré par hasard à l’aéroport de Rome la semaine dernière. Je lui ai dit qu’il avait un fan-club de quatre rockeurs. Deck et moi lisons celui sur Lucrèce (Lucrèce – Archéologie d'un classique européen – ndlr).
Thomas Mars – Christian et moi avons jeté notre dévolu sur Droiture et Mélancolie, un titre absolument génial qui pourrait être celui d’un album.
Liberté, égalité, Phoenix ! (Rizzoli) de Phoenix, avec Laura Snapes, en anglais, 240 p., 54 €
In favor of Liberty, Equality, Phoenix !, a beautiful book retracing their career in texts and images, long-term conversation with the Versailles quartet scattered between Paris, New York and Rome. A return to “fidelity to certain ideals”.
Best-French-group-in-the-world, Phoenix was in Paris in November, both to honor a public signature of his beautiful retrospective book Liberty, Equality, Phoenix! and to advance on a seventh album expected for 2020. Lightning struck by the accidental death before the summer of their friend and producer Philippe Zdar, to whom the work is naturally dedicated, the Versailles quartet found its lair in the Gaîté Lyrique, where The Italianizing Ti Amo (2017) was sketched out, to refine the first piece of the disc, which should first appear on the soundtrack of the next Sofia Coppola film.
Thomas Mars living with her in New York and Laurent Brancowitz being expatriated in Rome, the opportunities are now rare to reunite the four childhood friends in the French capital, which remains their anchor and the city of origin of their unexpected success story. We still remember their memorable concert at La Cigale on May 25, 2009, the day of the release of Wolfgang Amadeus Phoenix, in which no one imagined international success and the way in which Phoenix would finally switch to another world after having nothing released for a decade since the too often underestimated United (2000).
Totally unchanged, always as relaxed, modest and tongue-in-cheek, Thomas Mars, Laurent Brancowitz, Deck d´Arcy and Christian Mazzalai confessed at length about their XXL careers. And if Phoenix remains this unwavering and mysterious pact, we are already longing to know how this exciting group will rock artistically in its fourth decade.
What is the genesis of your retrospective book Liberty, Equality, Phoenix !, published on October 15 by Rizzoli?
Thomas Mars - Before Instagram, Christian had taken photos in square format during the tour of Wolfgang Amadeus Phoenix (2009). By falling on it, Jacob Lehman, editor at Rizzoli in New York, had offered to collect them in a book, but the moment was badly chosen, between the concerts and the recordings.
Several things precipitated the implementation of the book: my parents sold their house in Versailles, where was the studio in the basement where we rehearsed at the beginning of Phoenix, and then we were robbed full of instruments stored in a local in Paris. Suddenly, we had no traces of the band's past, apart from images and photos. So we imagined this book as a reasoned catalog.
Laurent Brancowitz - For the narration, we were inspired by the wonderful book Please Kill Me (1996), an anthology of American punk which takes the form of an uninterrupted and hilarious conversation between its different protagonists. Reading it, we realized that we could perhaps tell the story of Phoenix in such a fun and lively way.
The book's release coincides symbolically with two anniversary dates: the 20 years of Maxi Heatwave and the 10 years of the fourth album Wolfgang Amadeus Phoenix, crowned with a Grammy Award.
Laurent Brancowitz - It’s a team of marketers who have thought about the launch strategy (laughs).
The title of Freedom, equality, Phoenix! sums up perfectly the unwavering brotherhood that has united you for three decades.
Laurent Brancowitz - Of course, it’s also a tribute to Claude Zidi’s Liberty, Equality, Sauerkraut (1985).
Thomas Mars - This film was already one of our references at the time of Wolfgang Amadeus Phoenix. We like to reclaim symbols from the collective imagination.
“The idea of the book was less to delve into the archives than to turn the page” Laurent Brancowitz
Going back into these archives and other memories, was there a photo, a meeting or a particular moment that came out of your memory?
Laurent Brancowitz - The idea of the book was less to delve into the archives than to turn the page. We had these trunks which filled up with a pile of books and which we had to evacuate at all costs. Now you can throw everything in the dumpster (smile).
Christian Mazzalai - We found a few little treasures, like this Orange Card from my brother illustrated with the photo of Elvis Presley.
Thomas Mars - Laura Snapes, the author of the book, wanted to interview us separately. We therefore discovered all of the testimonies by reading the book respectively. I thought there would be more errors or differences in appreciation between us.
Laurent Brancowitz - I secretly hoped that we would find the Rashômon (1952) atmosphere of Kurosawa, where the same story is told by several characters and whose versions contradict each other. Finally, I’m almost a little disappointed that we are so much on the same wavelength (smile). We hope that the global message exceeds the sum of our individual destinies and evokes friendship, fidelity to certain ideals.
Loyalty, to use the name of your label…
Thomas Mars - These are values that we can never express beyond our borders, especially in England. The English are always in conflict, they do not see the beauty of harmony in a group. The only reference we get overseas is the Monkees.
Have you sometimes felt dizzy going up the thread of your journey?
Laurent Brancowitz - No, because we are not very nostalgic by nature and we have lived together for so many years. With Deck, we got to know each other in elementary school! So we share the same memories from childhood. To the point of still remembering our teachers. Between us, we keep rehearsing and harping on.
Thomas Mars - The email sent to Johnny Cash in October 2001 shows our state of mind.
Laurent Brancowitz - What stupidity and insolence when I think about it. After the release of the first album, United (2000), we still dared ask him to do a cover of Funky Squaredance to include it on our single (smile). This is the summary of Phoenix: a mixture of professionalism and deep debility.
In your career, is there a before and after Wolfgang Amadeus Phoenix?
Laurent Brancowitz - - Each discographic or scenic step was already a small victory. We have never been frustrated to look forward to success. Of course, that of Wolfgang Amadeus Phoenix was bigger than the others. We were both convinced to be the next Beatles and excited to fill a Black Ball.
Deck d´Arcy - I would even say two full concerts at La Boule Noire (May 4 and 5, 2004 - editor's note).
Thomas March - 2009 is without doubt the pivotal year for Phoenix. It’s the first time we’re playing in Asia.
Christian Mazzalai - Success having arrived late, we managed to control the trajectory of the group. Basically, nothing has really changed for us.
You are currently in the studio at the Gaîté Lyrique to sketch the successor to Ti Amo (2017) by 2020.
Thomas Mars - We are in the middle of it, with a few deadlines to meet, notably to finish some titles before the others, like a song for the next film by Sofia Coppola.
Christian Mazzalai - During the recording period, it's always difficult for us to talk about it. It also depends on the time of day we are asked, especially on a Sunday in winter time (smile).
Laurent Brancowitz - We are productive, but we still have such a hard time finishing the songs. This is the time when everything can collapse.
Would you say that Alphabetical (2004) remains the accursed album of your discography? This is also your Black Album.
Thomas Mars - For the time spent in the studio, certainly. Without a doubt our most painful record to record. Paradoxically, it was an album that had worked in Norway and Sweden.
Christian Mazzalai - It was thanks to Alphabetical that we were able to start filming in the United States.
Thomas Mars - There are many musicians who loved the hyper-dry sound of the record. We almost killed the reverb (smile). What annoyed us, however, was when others told us about the ultra-clean sound of Alphabetical.
Laurent Brancowitz - It was even a crazy insult! This disc is our black hole. A nightmare memory.
Christian Mazzalai - Unlike the third album, It's Never Been Like That, released in just five months in Berlin.
Thomas Mars - We were recording in a rather funny place in Berlin: it was an apartment reserved for the filming of TV shows of the Top chef type. Result: there were kitchens everywhere but only one round bed to share. So we slept on the floor in a reality show atmosphere.
Laurent Brancowitz - It was a very nice album to make, I only have good memories. Perhaps also because we were far from our geographic bases.
Do you each have your favorite album?
Thomas Mars - It depends on the moments. The other day, in my mother’s car, there was Alphabetical in the CD player. I was pleasantly surprised to hear it again.
Deck d'Arcy - I think there is a good lineage from United. Finally, our first album announced everything else.
Christian Mazzalai - Deck, he's the most uncompromising of us. Listening to it, we would do all the mixes of our records.
Thomas Mars - The worst part was Zdar, he could fall in love with a banner that served as his standard.
Laurent Brancowitz - In the studio, Philippe was looking for the magic moment.
Thomas Mars - In some cases, it’s general exhaustion that concludes the song. “Philippe loved mixing in public. He envisioned mixing as a performance ”Thomas Mars
Philippe Zdar is the common thread of your discography from United…
Thomas Mars - Somehow, he's always been there, even on albums he hasn't mixed or produced. I remember the day he heard I’m an Actor while he was in the studio mixing a song with Etienne Daho. With Hubert, they gave us the most beautiful compliment in the world, saying that they had taken fifty years. It was the same for us when we listened to Voodoo (2000) by D’Angelo, we no longer knew how to get out of it.
Christian Mazzalai - On It’s Never Been like That, the next album mixed by Julien Delfaud at Plus XXX, Philippe was with us too since Cassius was also finishing his third album in the same studio.
Thomas Mars - By listening to Alphabetical and It’s Never Been like That, he gave us such precise and informed advice on the songs. Philippe loved mixing in public. He envisioned mixing as a performance. It was the studio's Sinatra.
Laurent Brancowitz - I think Philippe didn't particularly like It’s Never Been like That, he even had to take us for big nerds with this album! For Wolfgang Amadeus Phoenix, he managed to push us into our final entrenchments. He's the only guy who has managed to stand up to us. We will never find such a phenomenon. He was as involved in production as in songwriting. In the end, he touched the machines relatively little. What interested him above all were the songs and the emotions they could arouse.
Thomas Mars - He was ultimately more an artist than artists.
Laurent Brancowitz - When we made an appointment at 10 a.m. at the Motorbass Studio, he would arrive at 4 p.m. (smile) - which left us six hours to work hard. He was both our guardian angel and a relentless producer.
Christian Mazzalai - At the time of Wolfgang Amadeus Phoenix, his studio was still under construction. There was not even a heater or WC.
Laurent Brancowitz - After a roof flood, his studio was in ruins. In a photo of the book, we even see Philippe destroying the toilets with a mass. It’s extremely complicated for us to make our next album without him.
Thomas Mars - He's already influencing him because we imagine what he would say to us. I do not know if we will operate in a closed circuit or, on the contrary, open the windows.
Your secret and inextricable way of operating is one of the peculiarities of Phoenix.
Laurent Brancowitz - People often think of it as polite or visions of the mind, but if you take any track from the latest albums, we can't tell you who composed or found what. Aside from free jazz musicians, I don't see who else works like us. And the more we advance, the more we bet on a strategy based on chance. We almost become listeners to our own music. Basically, we would be like artistic directors who would listen to demos from thousands of groups to keep only the best.
How have you felt you have progressed over all these years?
Laurent Brancowitz - We are progressing quite a bit, except on stage. Because we were really nazes. If YouTube had existed when we started, we would have been forced to stop our careers (smile). In the face of general indifference, we therefore continued to improve our skills.
Deck d´Arcy - We accepted our limits since the first album. Branco was right to talk about the place left to chance, because we wanted to control everything. We have become semi-pros.
Thomas Mars - Over time, we discovered letting go.
Laurent Brancowitz - If we have progressed, it is by having accepted humility and forgotten the creator's ego. In the studio, we even create the possibilities to capture chance.
Your recording studio is like a sanctuary closed to any outside presence.
Deck d´Arcy - Sometimes friends come to see us, but they are a little disappointed (smile).
Laurent Brancowitz - Or even traumatized by the total lack of comfort.
Christian Mazzalai - We don't even have a sofa. Only rigid chairs. Not the shadow of a distraction.
Deck d´Arcy - At La Gaîté Lyrique, we took a new piece, even smaller and austere than for Ti Amo…
Laurent Brancowitz - What is pleasant about the Gaîté Lyrique is that we are not disconnected from real life. Because for some records like Bankrupt! (2013), we lived out of time with the rest of the population, locked in a bunker without ever seeing the light of day.
For each album, you have films or books that accompany you.
Laurent Brancowitz - This time, we are all reading a different work by the same author: Pierre Vesperini, a historian of the philosophy of our generation whom I happened to meet at Rome airport last week. I told him he had a fan club of four rockers. Deck and I read the one on Lucretia (Lucretia - Archeology of a European classic - note).
Thomas Mars - Christian and I set our sights on Droiture et Mélancolie, an absolutely brilliant title that could be that of an album.
Freedom, equality, Phoenix! (Rizzoli) from Phoenix, with Laura Snapes, in English, 240 p., 54 €
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Top 5 Des meilleurs trucs à regarder en fumant un joint: (édition française)
- cauchemar en cuisine
Un régal, Phillipe Etchebest <- un roi.
Plus le restaurant est au bout du rouleau, plus c'est drôle (sorry not sorry)
-josephine ange gardien
Ce qui est bien avec ces films, c'est qu'ou l'histoire est réellement prenante/touchante, où tout est grotesque et risible, et plus tu fumes, plus tu trouves les trucs les plus rocambolesques tout au long du film. (Félicitations a l'épisode "les bolosses", surement l'épisode le plus gênant/hilarant)
-plus belle la vie
Des histoires très prenantes, des grosses larmes assurées (surtout après quelques joints), et des fois des moments complètement risibles. Cependant, plus appréciable quand on connaît déjà les personnages.
-Camping
C'est peut-être beauf, mais le charme de ce film est la! Grotesque au possible, et en même temps assez chaleureux pour te donner envie de faire la marche des tongs avec eux.
- 8 femmes
Un film tout simplement splendide, à te mettre des étoiles dans les yeux de part ses belles femmes se déplaçant dans un décor chaleureux, chantant et dansant. Une histoire réellement prenante, avec des rebondissements toutes les dix minutes. Mais aussi par moment très amusant! J'ai passé mon enfance a regarder ce film, mais quand je l'ai regardé pour la première fois en ayant fumé, je l'ai redécouvert. Crises de rire garanties.
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110320 Chaque matin j'ai tiré du rêve de la nuit une petite tête en terre, peut-être des hommes politiques, que j'écrabouille un peu de la main et que je place les unes à côté des autres sur une étagère. + Je perds un peu la raison, et la santé avec. Je sais pourquoi je tente de me protéger au mieux contre la peur : je suis son meilleur client! + Peindre Marisa
180320 Puisque c'est à cause de lui que j'ai, à vie, les hémorroïdes exacerbées, dire que je porte Kerman pour toujours dans mon cœur est inexact. + A surprisingly good ass. + La tempête tout autour violente le carillon pendu au balcon, dont le son fou terrorise les âmes réfugiées, incapables de sortir un bras pour le décrocher.
200420 Make me... Le top lui donne par exemple un cours de pipe "si tu restes avec moi", l'autre fait son exercice en temps réel. (Le top a investi dans un flipchartboard, "parce que je mets des billes sur toi ;-)")
210320 Cette nuit Inès quelque chose, une forte metteuse en scène de théâtre m'a donné ma chance à cause d'une simple recommandation, le premier rôle d'une pièce nouvelle et grave, et je l'ai refusé, ne me sentant pas à la hauteur. Damon Albarn, dans "No Distance Left To Run": "It's a warning." + Un soleil endormi dans l'herbe
220320 J'avais un lourd sac d'oranges que je tenais à bout de bras entre mes jambes et sur lequel je galopais en direction de la bouche de métro, racontant que c'était la genèse d'une chanson de Damon Albarn baptisée "Oranges" et renommée en tout un album "Oasis".
230320 La pêche aux notes papier 300517 - L'odeur de la classe de maternelle : l'odeur de la gouache. Sans date - Un jour le ciel s'est mis à pleurer des lames. Les lames mal formées faisaient des pics et ce jour-là, tous ceux qui étaient exposés au ciel furent embrochés. Les mangeriens: ce n'est qu'en voyant les gouttes perler sur son poignet qu'elle se rendit compte des conséquences de son geste. (Mon dieu, qu'ai-je fait ?) (kiwi) 270617 - Ce matin à Propriano, j'ai nagé dans l'eau comme une hirondelle vole dans le ciel : délaissant l'idée de vitesse et de concurrence d'avec mes compagnons de brasses, j'ai tourné, poussé, vrillé, flotté au gré de l'eau mouvante, laissant une certaine liberté à mes muscles. Je voulais simplement que les mouvements de mon corps me permettent de voir autour de moi, la beauté des montagnes, le fond de l'eau claire, la peau des vagues. Et comme ça, j'allais encore aussi vite que les deux autres. + Comme ça sur le pont, je peux presque me trancher le regard à suivre l'horizon d'une rotation rapide et régulière de la tête, yeux fixes! Fantastique ! + 5 heures et demie, le 28 mercredi, dans le hall de réception du bateau. La batterie de mon téléphone se recharge en même temps que ma main gauche avale les pages de Lichtenberg (61% / page 61). Hier, alors que je regardais la nuit arriver: je scrute l'eau dans l'attente de voir une baleine sauter ou au moins souffler avec la même assurance de réussite que lorsque je scrutais le ciel avec Dagmar à La Cadière pour surprendre des étoiles en train de filer. (J'en avais vu plusieurs!) Lichtenberg compilé par Billeter me donne envie d'écrire à mon tour des notes sur ce que je lis et qui me fait réagir, qui me plaît. + Pour allonger ma vie (noter et faire tout de suite.) Série souvenirs : pour me persuader que j'ai une attirance envers les uniformes il me suffit de me rappeler que je suis tombé amoureux du boucher d'Inno, et d'Abel (1, 2, 3). 030717 - Rêve. 3: André Théodore (Théode) et Robert Rock sur le chemin de l'école gardé par d'horribles géants qui crament d'une boule de feu ceux qui osent marcher sur la rambarde en béton. Dédé est le sauveur, n'a pas peur de le faire et le fera. 2: Dans une maison on se défend contre la mère fantôme qui violente l'enfant, une bonne claque et elle apparaît à nouveau, en chair et en os, c'est réparé. 1: Dans un trou, labyrinthe... Je sais plus quoi. + J'aime le morceau du monde qu'encadre la fenêtre du salon chez Risyda: je vois les branches feuillues d'un arbre, les feuilles ont au moins deux couleurs : à l'ombre et au soleil, et les et leurs verts ressortent bien sur le bleu et le blanc du ciel lumineux du matin, ou sur le bleu et le rose du ciel du soir. Je savoure cette vue sans presque jamais me dire que c'est beau: pour moi c'est évidemment beau, et je crois que c'est à cause de cette idées d'évidence que jusque récemment je ne pensais pas à montrer aux autres à travers mes œuvres ce que je trouve beau, comme si je ne leur apportais rien de nouveau ce faisant. 260320 "Retour à la cuisine", l'histoire d'un pot de sucre qui se retrouve sur une table avec une brique de lait et des bocaux de confiture, se fait dépouiller de son contenu, mais finalement s'en sort avec tous ses camarades et retrouve son placard à la fin.
+
Un bon film, c'est une fois. Si le film est trop extraordinaire, on a la chance de devoir le revoir une seconde fois.
+ Avec la nuit qui tombe, les bruits partent pour ne revenir que demain ; je reste seul avec ma petite clarté en rayon, nous dormons ensemble.
290310 Reste de rêve : le sel, le poids dans la rigueur.
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