Tumgik
#découdre
originalaccountname · 4 months
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 25 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes:
Kunikida saying he "works for the agency" like that answers any questions. WHICH agency my guy.
Not much else of note today.
Today's quote:
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VF: C'est bien dommage d'ailleurs, j'avais le secret espoir de pouvoir enfin en découdre avec cette andouille de Dazai... mais ça ne vaut pas le coup d'aller se frotter à un voyou de petite envergure. (It's rather sad, I had the secret hope of finally throwing hands with that idiot Dazai... but it's not worth going against some small time thug.) Eng: I could have enjoyed it some if he'd at least gone after that dimwit Dazai. Then again, that hooligan wouldn't have stood a chance.
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Quatre ans après l’officialisation de l’arrivée du breaking comme discipline olympique, les meilleures B-Girls et les plus grands B-Boys de la planète sont prêts à en découdre, à partir du vendredi 9 août 2024 sur la place de la Concorde.
Rachel "Raygun" Gunn
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francepittoresque · 4 months
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23 mai 1430 : capture de Jeanne d’Arc à Compiègne par les Bourguignons ➽ http://bit.ly/Capture-Jeanne-dArc Contre l’avis de Charles VII, sacré roi de France un peu moins d’un an auparavant, Jeanne d’Arc désirait poursuivre l’offensive contre les Anglais : forte de son brevet de « chef de guerre » et apprenant que l’armée de Philippe le Bon, duc de Bourgogne allié de nos ennemis, met le siège devant Compiègne, elle décide d’en découdre avec eux
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frenchcurious · 2 years
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RIP Vivienne Westwood (1941-2022).
Vivienne Westwood en 2015, prête à en découdre avec le Premier Ministre David Cameron ! - Source The Independent.
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yespat49 · 6 months
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À Marseille, la CPE d’un lycée tabassée à coups de poing par un groupe d’adolescents
La victime a reçu plusieurs coups de poing alors qu’elle tentait de s’interposer auprès d’un groupe de jeunes venus en découdre avec un élève devant le lycée Victor Hugo. Une enquête est en cours pour identifier les mis en cause. C’est une situation qui a profondément choqué le corps professoral du lycée Victor Hugo, dans le 3e arrondissement de Marseille. Vendredi 15 mars dernier, les élèves de…
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claudehenrion · 6 months
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Et le fautif est...
Nous vivons tout de même une époque fantastique : toute seule et sans que personne ne lui ait rien demandé, elle arrive à endosser et à sublimer la totalité des défauts qui ont empêché, à travers les âges, l'humanité de trouver sa place, son équilibre, son identité... donc son bonheur ! Notre monde est peuplé --et il en meurt, d'ailleurs-- de surdiplômés qui prétendent se rêver paysans, de gens assis qui se veulent aventuriers, de donneurs de leçons qui croient se substituer aux écoliers, et –ce sont les mêmes !-- de nuls qui se pensent intelligents ! (''J'ai les noms''... ajoutait Coluche !).
Combien de fois l'avons-nous entendu, ce fabricant de poncifs qui pollue nos petits écrans en discourant avec autorité sur absolument tout ce qu'il ignore tout aussi absolument ? Il est là, poussah assis comme sur un trône, faisant l'éloge conjoint (à écrire en deux mots, ici !) de la marche et du mouvement. Il est bouffi de son savoir ès-toutes choses, au point de se sentir investi du devoir de nous expliquer les charmes de la table rase, du retour aux sources, de la naïveté baptisée vertu cardinale, de la décroissance, s'autorisant même un éloge du farniente, du télé-travail et de la RTT réunis... voire de la guerre préventive contre un ennemi qui pourrait menacer notre long terme, un jour : ''autant --dit-il-- lui déclarer la guerre, là, et mourir tout de suite''...
Les plus malhonnêtes ont poussé le bouchon jusqu'à voter la semaine de 35 heures comme susceptible d'être ''une conquête sociale'' et une victoire du genre humain sur la société... qui 25 ans plus tard, est incapable de se remettre de ce coup fatal... D'autres re-baptisent ''fraternité'' le fait d'assassiner ceux qui ne produisent plus rien pour la société, et ''dignité'' l'abandon de la vie... Jamais autant qu'aujourd'hui n'a-t-on eu le droit d'affirmer que ''les mots tuent''. On se demande même s'il ne faudrait pas dire : ''Les mots, seuls, tuent vraiment...''.
Nos apprentis sorciers imaginent leur savoir si encyclopédique qu'ils se paient le luxe de vanter les bienfaits (?) de l'ignorance et les avantages douteux de ''la page blanche''.... d'où ils vont tirer que le comble du bonheur futur sera dans la grossièreté, la vulgarité promue ''distinction'', la mauvaise éducation devenue agression et récrimination permanente, l'inculture caricaturale... et l'assistanat, incontournable pour les enfants des autres (qu'ils désignent par ''nos enfants'', ceux qu'ils n'ont pas eus, sans qu'il soit possible d'établir le moindre rapport entre les prémisses et la conclusion : leurs syllogismes sont illogiques, et eux, trop bouffis de leur importance auto-proclamée pour pouvoir s'en rendre compte !)
Moins ils comprennent le monde, et plus ils plastronnent : rien de tel qu'un orateur pour expliquer le silence... qu'une pensée architecturée pour décrire l'anarchie... qu'un haut fonctionnaire-à-vie pour expliquer les avantages de l'allocation-chômage... qu'un ex-prix de thème pour vanter les qualités poétiques ou autres du dernier de la classe... qu'un énarque, qui a tout et n'en tire rien, pour déclarer ''bonne'' l'étoile de celui qui n'a rien et en tire ce qu'il peut... ou qu'un démocrate ''façon Science-Po'' pour excuser les dérives survenues très loin de là, ou tout près de lui mais à des gens qui ne sont pas ''du même monde que lui''... ou qu'un exempté de tout service militaire pour rêver d'en découdre avec l'armée russe... Mais la contradiction n'a-t-elle pas toujours fait partie des ''impedimenta'' que l'homme, cet éternel nomade, traînait avec lui ?
Dimanche dernier, sortant de ma messe dominicale chez ''mes'' petites sœurs de Bethléem, je suis tombé sur un ami (une vague ''relation'', plutôt) qui passait par là, par pur hasard, et qui m'a susurré que lui n'entrait plus dans des endroits aussi peu fréquentables qu'une église (sous-entendu : pas comme les idiots qui n'ont pas encore trouvé les bienfaits du ''Non'' –que moi, je ne veux pas connaître : ''à chacun selon ses mérites'', disait Étienne-Gabriel Morelly, ''le philosophe oublié'', dans son ''Code de la Nature'' (1755, donc ''une lumière''), idée reprise en 1840 dans ''Voyage en Icarie'' par Etienne Cabet, théoricien du ''communisme chrétien''(sic ! Le nom, seul, me donne envie de pouffer de tristesse ! Car il y en a eu aussi, des cons, avant nous ! Ça rassure !).
Bref cette autorité morale uniformément reconnue par lui-même m'a abreuvé des poncifs mille fois entendus : notre civilisation est trop hypocrite... notre vieux continent, fichu... le christianisme n'est qu'un souvenir en Europe... qui, elle-même n'est plus qu'un mot, une enveloppe vide. Ne pensant qu'à fuir, je n'ai pas éprouvé le besoin de lui expliquer que pendant qu'il psittacisait ses lieux communs, je pensais à ma joie d'être né dans un lieu où les sagesses gréco-latines (comme lui et moi) et judéo-chrétiennes (pour moi seul l) s'étaient mêlées pour donner naissance à cette idée folle qu'on appelle ''Liberté'', ce concept qui, précisément, lui permet le choix d'entrer ou non dans une église, et –pour moi-- de revisiter avec extase Saint Etienne du Mont et son jubé, Saint Séverin et son pilier-palmier improbable ou Saint Sulpice et les 106 jeux de son orgue, en espérant qu'un organiste viendra répéter à ce moment-là...
Les grands esprits microscopiques qui nous dirigent ont tué en eux l'enfant qu'ils n'ont peut être même jamais été : ce sont des comptables (dont une définition est : ''ce sont des tables avec des gens autour...''!), des gestionnaires ou des contrôleurs de gestion, des régisseurs ou des administrateurs, des préposés aux normes et aux formulaires qui ne voient leurs semblables que comme derrière un guichet, entre deux classeurs... mais ont oublié ce que c'était qu'un sourire. Et lorsqu'ils parlent de ''nos enfants'' (ceux qu'ils n'auront jamais : il est bien trop tard, et ils ne savent plus en faire !) et de ''leur futur'' (qui fait peur aux êtres vivants, qu'ils ne sont plus), on a l'impression de lire une norme en pleine élaboration... Là où les hommes, assurés du minimum vital, ont besoin de dignité, de reconnaissance, de tendresse, (merci, Maslow !), de vérité et de mots simples, ils ne proposent que des chiffres triturés, de leur morale amorale, et d'une anti-économie dépensière... sous couvert de ''concret'', ce premier stade de la chute vers la mort...
Pourtant, paysans de tous les pays ou pas, un vent de fraîcheur semble s'être levé sur le monde... Ici, là, un peu partout, les structures bureaucratiques craquent, les normes se fissurent, les gens –je veux dire : ''les vrais gens'', ni nos politiciens retardataires (dont il est urgent de se débarrasser), ni les collaborationnistes ''fans'' de ces idéologies sans idées qui ont rendu les hommes fous et malheureux depuis le XVIIIème siècle et ont engendré tant de monstres indésirables en ''--isme'', pas plus que ceux qui tentent de s'inventer une nouvelle jeunesse (déjà vieille) mais qui sont au moins ''aussi pires'' (car drogués à tout ce qui assassine l'Humanité depuis 6 ou 7 ans : le faux écologisme, le wokisme, l'indigénisme, le décolonialisme pathologique, le racisme-à-toutes-les-sauces, le faux féminisme dément, le ''cancel-culture'' qui est un authentique ''cancel l'Humanité'', etc... il y en a trop, disent les réseaux sociaux, de ces psychotropes pour psychopathes très haut placés... ou très haut consommés).
Les hommes se révoltent, dans tous les pays, à commencer par ceux qui sont les plus soumis à l'ordre désordonné actuel... Redressons la tête : tout n'est pas perdu ! Ça ne va pas être facile, mais au moins, l'espoir renaît. Comme il nous manquait !
H-Cl.
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aurevoirmonty · 7 months
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La France, la Russie et les traîtres (suite2)
C’est là un concept foireux. Aux Amériques, par exemple, les Anglais s’étaient alliés avec les Cherokees : trahison civilisationnelle. Les Français s’étaient alliés avec les Sioux : trahison civilisationnelle. En 1914, les Allemands se sont alliés aux Ottomans : trahison civilisationnelle. En 1895, les Anglais arment les Ethiopiens contre les Italiens : trahison civilisationnelle. Les Américains avaient des Noirs dans leur armée en 1944 : trahison civilisationnelle. Pour faire échec aux ambitions de Charles-Quint, François Ier s’était allié au Grand Turc : trahison civilisationnelle. Les Russes acceptent que des tchétchènes se battent à leurs côtés : trahison civilisationnelle. Les Ukrainiens acceptent des jihadistes dans leurs rangs pour cartonner des Russes : trahison civilisationnelle. En réalité, il n’y pas de " trahison civilisationnelle". Dès lors que l’ennemi principal est défini, un État noue des alliances pour tenter d’anéantir la menace. Cela s’appelle la diplomatie ; tout simplement. Un nationaliste français qui soutient aujourd’hui l’Ukraine de Zelensky pour défendre une "petite nation injustement attaquée" obéit très exactement au même réflexe que ces patriotes français qui en 1939 étaient prêts à aller en découdre avec les Boches pour sauver la Pologne, et l’année suivante pour sauver la république française qui était pourtant déjà bien vermoulue. Une partie d’entre eux est ensuite allée à Londres rejoindre le général de Gaulle. C’est le réflexe de la « petite patrie », qui nourrit les querelles et les haines entre Européens et qui nous a fait tant de mal. Quatre-vingt années après la victoire des alliés de mai 1945, on voit le résultat. Dans l’entre-deux guerres, les nationalistes français avaient déjà parfaitement conscience de la dégénérescence raciale imposée par le régime républicain : Drieu La Rochelle, Brasillach, Céline, Pierre-Antoine Cousteau, Henri Béraud, Lucien Rebatet et quelques autres s’étaient élevés contre cet envahissement des étrangers encouragé par le régime. Il s’agissait à l’époque des juifs, des Italiens, des Arméniens, des Noirs, des Algériens et des Annamites. C’était le début de la grande invasion que nous connaissons. Les intellectuels français avaient fait leur travail en nous mettant en garde contre ce qui se préparait. Les forces en présence aujourd’hui sont exactement les mêmes qu’en 1940. Les projets sont les mêmes. C’est une guerre à mort qui ne peut se solder que par l’anéantissement d’un des deux camps. Et il ne faut pas se tromper de camp. Hervé Ryssen
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selidren · 11 months
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Eté 1915 - Gouy-en-Servins
3/10
Je n'ai que peu vu le front, mais cette brève expérience m'en a laissé un souvenir impérissable. La lettre que vous nous avez fait parvenir est pleine de courage et d'optimisme : vous semblez prêt à en découdre. La plupart des gars du village, quand nous sommes partis, étaient également dans un bon état d'esprit. Il y avait cet espèce d'état d'euphorie où je suis tombé moi-même durant le casernement, nous avions l'esprit féroce et nourris de rêves de revanche. J'espère que votre expérience du front n'émoussera pas cet enthousiasme.
Transcription :
Adelphe : Nous l'avons connu toute notre vie. Tu sais à quel point cela peut être perturbant pour toi quand on retire quelque chose que tu tenais pour acquis. Et quand bien même, je pense que tu l'aimais plus que tu ne t'en es jamais rendu compte, comme moi.
Constantin : Soit. Et partir de cette façon... C'est si soudain, c'est... Cela me rappelle tant de souvenirs.
Adelphe : N'y pense plus. Concentre toi sur le deuil présent. Si nous laissons nos esprits partir ailleurs qu'aujourd'hui, il sera trop dur de continuer. A la rigueur, pense à demain. Quand est ta prochaine permission ?
Constantin : Le mois prochain. Je vais enfin revoir Albertine et les enfants. Et ils devraient me laisser rester à la maison, je ne suis pas très utile ici.
Adelphe : Et tu devrai te raser et ordonner tes cheveux ou alors elle te sermonnera pour te laisser ainsi aller.
Constantin : Pour les cheveux, ce n'est pas ma faute ! C'est le seul moyen efficace de se débarrasser de la vermine. J'ai bien cru que ces démangeaisons me rendraient fou ! Tu as bien fait pareil il me semble !
Adelphe : ...
Constantin : Adelphe ?
Adelphe : Ton père m'a dit autrefois qu'ils avaient également rasé la tête de ma mère en prison.
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mone-s-glade · 9 months
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Ma femme, assomée.
L'aven de mon cœur creusé par les enfants de mes tourments s'approfondi d'années en années. Années après années cette marmaille prospère et ne cesse de couler sur mes pommettes. Les réminiscences de mon avant dilatent mon aven présent. Mes paupières gorgées de mouflettes prêtent à en découdre avec le toboggan rebondi et rosé, elles s'affublent de leur plus belle parure de moules et rosissent à l'unissons avec mes joues. Bon je sais pas si t'as compris le Gus mais j'me tape une salle déprime. De celles qui te donnent l'envie de crever car elle résoudrait pas mal de merde qui encombre ma caboche tu vois ? Rien de tel qu'un bon coup de ménage par un bon coup de corde tu m'suis ? Oh et puis au passage j'en torture et j'en bute quelques uns bien sûre. Allez hop une croisière vers le royaume des abysses. No problemo raclure d'humain c'est pour bibi, avec plaisir que j'le fais. Tu penses que je suis relativement extrême et probablement suprêmement rancunière? Ne t'en fait pas ma violence intérieure se fait rattraper à une vitesse fulgurante par la géhenne de mon quotidien insipide et l'amour plate que j'ai envers moi même. Ne peut-on se complaire dans la beauté de la souffrance, l'obscure étincelle qui illumine mes écrits ? Dois-je aller mal pour être considérée comme artiste ? Ou bien ce n'est plus tendance… Que dois-je faire pour être validée par mes paires ? La faim avide de reconnaissance, d'amour, de validation, de réconfort, de tendresse, d'humour, d'intérêt, de temps, m'affame. Ma femme, assommée, tombe et lévite au creux de mon aven. En suspension elle est ,malgré elle, absente à elle même. Elle s'abandonne, rien de la touche, elle flotte, n'est plus aux commandes. Elle ne sait plus ce qu'elle veut. Que faire d'une volonté ? Si ce n'est tout refaire foirer à nouveau. Oh le petit Caliméro il va se arrêter de nous gonfler. Tu me fais pitié à te donner en spectacle comme ça, sort toi les doits du cul arrêtes de blâmer les autres pour ton malheur. Fini de moisir dans ta caverne. Confortable mon cul, la crasse qui s'accumule et dans ta caboche et ta raie m'irritent. Ca nous irrite tous, ça nous gratte le cul, on a honte à cause de toi. Le zombie derrière ses séries est content ? ca y est on peut passer à autre chose, recommencer à se brosser les dents tous les jours ? J'ai pas arrêté de boire, de me droguer et de fumer pour vivre cet enfer ma parole. Des solutions je t'en foutrais moi. A l'essaim qui vit en moi, sache que tout ira bien.
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perduedansmatete · 1 year
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à la base des bases cette après-midi je voulais préparer mon entretien de demain mais je me suis rappelé que je voulais imprimer des photos sauf qu'en allant dans ma galerie j'ai trouvé plein de petits personnages trop mimis je me suis dit tiens faisons un post ensuite j'ai oublié les photos parce que je me suis rappelé que je voulais m'épiler donc j'ai sorti la cire sur mon lit et je l'ai vraiment bien mise en évidence face à moi pour pas ne l'oublier elle aussi mais au loin j'ai vu mon short vichy beaucoup trop grand que je devais déjà déglinguer vendredi donc j'ai commencé à le découdre pour mieux en faire ce que je voulais mais je me suis perdue sur youtube ensuite c'était l'heure du goûter et j'ai mangé en finissant de tout découdre en changeant 15 fois d'idée sur sa forme finale et j'ai au moins fini une action aujourd'hui victoire
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"C’est de là que j’ai conclu que comme il me touchait pas, je faisais moi-même partie des grosses mochetés." Guenièvre, livre 5 épisode 02 'Le Rocher et le Fer'
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Toujours aussi charmant
Leur repas s'était éternisé mais le temps ne s'arrête jamais et le devoir appelle toujours à grands cris. Yvain était déjà parti, prétextant un mal au ventre pour s'éclipser faire une sieste, laissant sa sœur et Arthur seuls. 
Marchant d'un pas traînant, Arthur observait les cheveux de sa femme, qui marchait devant, d'un air sombre. Ne tenant plus, il l'attrapa par le bras au milieu du couloir avant de l'interpeller. 
"Attendez."
Elle s'arrêta à sa hauteur et le regarda avec ses grands yeux curieux, les mêmes immenses yeux que la première fois qu'il l'avait vue. 
"Qu'est-ce qu'il se passe ?"
Il fit claquer sa langue contre son palet, sentant déjà l'agacement arrivé sans pouvoir expliquer pourquoi. 
"Ce que vous avez dit tout à l'heure. C'est faux."
Elle fronça les sourcils et cligna des yeux, perdue. 
"Qu'est-ce que j'ai dit ?"
Il se mordit la joue pour ne pas s'énerver. La fatigue le rendait à cran et il n'avait pas la patience ni l'envie de prolonger cette conversation mais ce qu'il avait entendu plus tôt tournait en boucle dans sa tête. Si seulement il arrivait à dormir la nuit. 
"Ne faites pas l'idiote. Ce que vous avez dit à table tout à l'heure."
"Par rapport à Lancelot ?"
Il se rendit compte qu'il avait toujours son bras prisonnier dans sa main et la lâcha comme si il c'était brûlé. 
"Non."
Il souffle par ses narines et siffle entre ses dents.
"L'autre chose."
Comme si sa femme sentait son agitation elle se redressa légèrement, prête à en découdre, prête à répondre à n'importe quel reproche qu'il pourrait lui faire et à se disputer avec lui si besoin il y avait. Comme d'habitude. 
"Qu'est-ce que j'ai fais encore ?"
Sa voix résonna dans le couloir, un peu trop fort au goût d'Arthur qui jeta un regard paniqué au-dessus de son épaule avant de lever les mains pour calmer le jeu.
"Mais rien. Vous avez rien fait."
Guenièvre fit une moue et croisa ses bras sur sa poitrine, pas du tout déphasé par le garde qui les regardait au bout du couloir. 
"Alors qu'est ce qu'il a ? Qu'est ce que vous avez à me reprocher ?"
"Rien, rien. Calmez-vous bon sang. C'est juste que…"
Il soupira. Pourquoi c'était toujours aussi compliqué.
"Écoutez, je ne veux pas me disputer avec vous. Je voulais juste être clair … ce que vous avez dit tout à l'heure est faux."
Il prit le temps de capter ses yeux, d'être sûr qu'elle l'écoutait. 
"Vous n'êtes pas une mocheté. C'est faux et je ne veux pas vous entendre dire de telles âneries."
Le mince sourire et les étoiles dans les yeux de la jeune femme en valaient la peine. Mais le soulagement d'Arthur fut de courte durée et il sentit le piège se refermer sur lui quand elle plissa ses grand yeux pleins de suspicion. 
"Alors pourquoi vous me touchez jamais ?"
Arthur se passa une main sur le visage. Est-ce que c'était la seule chose à laquelle sa femme pensait ? 
"C'est pas le moment, ni l'endroit, de parler de ça."
"C'est jamais le moment avec vous. Ni l'endroit."
La tension dans ses épaules réapparut subitement en traître. 
"Oui mais là de toute façon je peux pas. J'ai mal à la tête."
Elle ouvrit la bouche et Arthur voyant le contre argument arriver se dépêcha d'ajouter. 
"Et réunion ! J'ai une réunion. D'ailleurs ohlala vous avez vu l'heure ! Je vais être en retard. Allez je file !"
Il allait en profiter pour prendre la poudre d'escampette quand il sentit la petite main fraîche de sa femme sur son avant bras. Tous les poils de son corps se dressèrent et il eut un frisson. 
"Attendez."
Et juste comme ça, en un instant, les rôles furent inversés. Il attendit quelques secondes avant de se retourner, cherchant déjà une autre excuse pour s'évader. 
"Est-ce que ça veut dire que vous me trouvez jolie ?"
Les mauvaises habitudes revenant au galop, il se mit à bégayer, incapable de répondre sincèrement.
"M… mais… non ! Enfin non mais si. C… c'est pas ce que j'ai dis. Ce que je voulais dire... "
Elle le regardait s'embourber dans ses explications les sourcils levés et il pria pour une intervention divine ou une catastrophe naturelle. N'importe quoi pour le sortir de là. 
"Bin… disons que ça n'a pas changé. Pareil qu'au début. Oui, voilà. Exactement pareil qu'un début."
Le bras de Guenièvre retomba mollement le long de son corps et elle baissa la tête avant de demander faiblement. 
"Pareil qu'un début ?"
Arthur fit un grimace, pas du tout prêt à encaisser les cris et les larmes qu'il sentait se pointer à l'horizon. Mais au lieu de l'assommer de reproches, Guenièvre se percha sur la pointe de ses pieds et déposa un baiser sur la joue de son mari aussi léger que court avant de s'éloigner, un grand sourire aux lèvres et les joues rouges. 
"Moi aussi je vous trouve toujours aussi charmant." Lui murmura-t-elle avant de s'enfuir en riant.
Arthur soupira de soulagement en voyant les derniers plis de sa robe disparaître au bout du couloir, la sensation de ses lèvres sur sa joue déjà un lointain souvenir.
Il l'avait échappé belle.
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lacharmante · 2 years
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Porsche 907 #031 usine, Allemagne, 1968. COLLECTION ERNST R. SCHUSTER
Voiture de compétition Sans titre de circulation Châssis n° 907-031 Moteur n° 907-022
- Palmarès majeur en Championnat du Monde (4éme 1000 Km du Nürburgring 1968, 3 participations aux 24 Heures du Mans 1970/1971/1972…) - Une des 907 les plus authentiques - Dans la Collection Ernst Schuster depuis près de 40 ans - Éligible aux plus belles épreuves historiques - Chaîne complète des propriétaires - Restauration de haut niveau par les meilleurs spécialistes
Nous sommes le 19 mai 1968, pour les 1000 Km du Nürburgring, sixième manche du Championnat du Monde des Marques. L'affrontement entre Ford et Porsche est à son comble : les Porsche 907 se sont imposées aux 24 Heures de Daytona et aux 12 Heures de Sebring devant les grosses GT40, qui ont rattrapé leur retard en s'adjugeant la victoire à Monza, Brands Hatch, Spa et Watkins Glen. A la Targa Florio, Porsche a repris le dessus avec la victoire de la 907 d'Elford-Maglioli. Pour en découdre au Nürburgring, l'usine Porsche aligne deux 907 (2 litres) et deux 908 (3 litres). Au départ, la Porsche 908 de Siffert-Elford prend rapidement le commandement, suivie par la Ford GT40 d'Ickx-Hawkins. Derrière, les Porsche 907 de Herrmann-Stommelen et Neerpasch-Buzzetta sont en embuscade. A la faveur de ravitaillements moins fréquents, la Ford de Ickx occupe brièvement la tête, mais Siffert reprend le dessus, immédiatement suivi de la 907 de Herrmann-Stommelen. Neerpasch (au volant 907-031, la voiture que nous présentons) perd du temps car, frisant la panne d'essence, il revient au stand au ralenti mais conserve sa quatrième place. Il s'est mis à pleuvoir : à bord de la Ford, l'Australien Paul Hawkins qui a remplacé Ickx est moins à l'aise que le pilote belge et l'équipage Neerpasch-Buzetta en profite pour remonter son retard. Pourra-t-il arracher la troisième place à la Ford ? John Wyer, patron de l'équipe Ford, sent le vent tourner et demande à Ickx de reprendre le volant pour défendre sa position. A l'arrivée, Porsche triomphe avec une 908 et une 907 aux deux premières places. La 907-031 de Neerpasch-Buzzetta est quatrième, devant plusieurs Alfa Romeo et la Ford GT40 de Hobbs-Redman. Terminant à moins de 5 mn derrière la Ford, peut-être serait-elle arrivée troisième sans son incident de panne d'essence... C'est cette même voiture que nous mettons en vente, châssis 907-031, et cette quatrième place lors d'une des épreuves les plus difficiles du monde en dit long sur ses qualités dynamiques et d'endurance : avec son moteur 2,2 litres elle a pu faire jeu égal avec une machine dotée d'un V8 de 5 litres. Cette Porsche 907-031, l'avant dernière 907 construite, est sortie des ateliers de Zuffenhausen un mois avant la course, les dernières mises au point étant effectuées en mai 1968,
Après le glorieux résultat du Nürburgring, la voiture est révisée et l'usine Porsche décide de s'en séparer. Un certificat daté du 10 janvier 1969 et portant la signature de Ferdinand Piëch indique la cession de la Porsche 907-031 à Alejandro Soler-Roig, à Barcelone. Né en 1932, celui-ci est un excellent pilote privé espagnol qui a commencé sa carrière en 1958 au volant d'une Porsche 356. En 1968, il a pris part aux 24 Heures du Mans avec une 907 longue queue (n°907-005) et, malgré un abandon sur panne de distribution, la voiture l'a convaincu puisqu'il en a acheté un exemplaire. Avec cette Porsche 907-031, il participe en 1969 à plusieurs épreuves du Championnat du Monde avec Rudi Lins, son coéquipier. Sous les couleurs de l'écurie Escuderia Nacional CS, la saison commence par un malheureux accrochage aux 24 Heures de Daytona où la Porsche, surprise par un nuage de fumée provoqué par l'explosion du moteur d'une Jaguar, est prise dans un carambolage impliquant plusieurs protagonistes. Mais, après avoir été renvoyée à l'usine pour réparation, l'équipage espagnol se reprend dès l'épreuve suivante, les 12 Heures de Sebring. Le plateau est prestigieux, plusieurs Porsche 908 côtoyant les Ferrari 312 P, Lola-Chevrolet, Alfa 33 et Ford GT40. La 907 est 16e aux essais mais, grâce à une course régulière et à la faveur des abandons, elle signe une magnifique quatrième place, premier équipage privé derrière les équipes usine ! Lors des 6 Heures de Brands Hatch, la voiture est contrainte à l'abandon mais au mois de juin, lors de l'épreuve de Jarama du Championnat d'Espagne, Alejandro Soler-Roig remporte la victoire devant une Ford GT40 et une autre Porsche 907.
Après avoir reçu une 908/3 en 1969 et commandé auprès de l'usine une Porsche 917 l'année suivante, Soler-Roig ne se sert plus de la Porsche 907-031. Elle est cédée en 1970 à l'écurie Wicky Racing Team. André Wicky est un pilote suisse qui a fait ses premières armes à la course de côte d'Ollon-Villars en 1956 au volant d'une Triumph TR3 et qui prendra 10 fois le départ des 24 Heures du Mans, entre 1960 et 1974. En 1966 et 1967, il s'est distingué à bord d'une Porsche 906 et, avec la 907-031 de Wicky Racing, il participe à une vingtaine de courses de la saison 1970 (en laissant parfois le volant à d'autres, comme Gérard Larrousse au Trophée Paul Ricard). Pour les saisons 1970, 1971 et 1972, Wicky Racing continue à faire courir la voiture entre les mains de différents pilotes, dont le plus régulier est Peter Mattli. #907-031 participe aux 24 Heures du Mans 1970 sous le numéro de course 61, pilotée par Wicky lui-même et Jean-Pierre Hanrioud où elle abandonnera à la 17e heure. A partir de 1971, avec l'achat de sa nouvelle 908/3, André Wicky ne pilotera plus personnellement la 907 mais la confiera à des pilotes expérimentés. Comme nous l'apprend une copie du carnet de pesage provenant des archives de l'ACO, c'est en 1971 que Wicky engage 907-031 aux 24 Heures du Mans avec les pilotes Brun et Mattli. Elle court dans la catégorie Proto. Elle ne dominait en cylindrée que la Lola T212 d'Enever-Stewards. La régularité était l'objectif de ces 24 Heures pour le Team Wicky. Et cela s'avèrera payant : 14e à mi-course, notre 907, équipé du moteur 6 cylindres (moteur n°907-030) cette fois, termine à la 7e place, juste à 381 mètres derrière la Porsche lauréate en GT ! Elle est couronnée de la 1ère place en Sport Prototype et 1ère de sa classe 1601 à 2000 cm3. En 1972, elle arrivera 18e aux 24 Heures du Mans sous le numéro de course 24 (Mattli/ Bayard/ Brun). En 1972 toujours, Mattli obtient une victoire de classe aux 1000 km de Monza sous une pluie battante et avec son coéquipier Hervé Bayard. Il est formidable de remarquer que, encore quatre ans après être sortie d'usine, cette voiture pouvait encore figurer avec brio. Après une longue carrière en course où elle aura couru aux Etats-Unis, en Afrique et en Europe, elle achèvera sa première vie au milieu de l'année 1973. Dans la deuxième moitié des années 1970, l'Ecurie Wicky Racing va vendre une partie de ses " veilles voitures " qui ne sont plus compétitives. Les deux 910 de l'écurie sont vendues à un collectionneur américain. C'est Albert Eggs, un collectionneur Suisse de la région du Valais, qui rachète 907-031 à André Wicky. Nous avons pu nous entretenir avec l'épouse de M. Eggs qui nous a confirmé que son mari avait aussi acheté juste après à Wicky sa 908/2 #10. Collectionneur passionné par les Porsche et les BMW de course, Albert Eggs fait restaurer la voiture avant de l'exposer dans un petit salon local à Sierre dans la région du Valais en mai 1979. La 907 étant équipée d'un six cylindres, Albert Eggs fait l'acquisition auprès de Wicky d'un type 771/1 flat-8 mais cette opération sera à l'origine d'un différend avec Wicky. C'est en 1983, qu'Albert Eggs met en vente la 907 via une annonce dans le magazine Auto Motor Sport n°17. C'est alors que la voiture sera vendue à son propriétaire actuel : Ernst Schuster.
Pilote amateur de haut vol, Ernst Schuster a notamment participé à la saison 1986 d'endurance à bord d'une Porsche 936 C, terminant sixième au classement général des 24 Heures du Mans. Collectionneur aussi bien d'horlogerie que d'automobile, il est particulièrement exigeant et sélectif sur la provenance et l'état des joyaux de sa collection à une époque où la plupart des collectionneurs étaient loin d'avoir des critères aussi rigoureux. Fasciné par l'histoire de l'épreuve mancelle, il décide de constituer une collection de GT et de prototype Porsche les plus emblématiques avec l'idée de pouvoir les utiliser. La 917 lui paraissant trop lourde et complexe il porte son choix sur les prototypes huit cylindre avec notamment 907-031. Avec la 907, il n'est plus question de compétition "moderne", mais de participer aux courses historiques et comme pour ses montres, il décide au milieu des années 1990 de confier la voiture aux meilleures spécialistes du modèle. Pour ce faire, l'ensemble châssis/carrosserie/trains roulants est confié à Butch Dennison, restaurateur américain de la région de Seattle connu pour ses travaux sur des machines de compétition de premier plan. La carrosserie en fibre de verre est restaurée par Robert Hatchman, de l'atelier Autocraft dans l'Oregon, spécialiste des prototypes Porsche ce cette époque. Quant au moteur, numéro 907-022, 8 cylindres, ce sont Gustav Nietsche et Valentin Scha?ffer qui s'en chargent. Ce dernier, surnommé "Turbo-Valentin", est un ancien ingénieur Porsche et le premier un ancien mécano de la marque. Les travaux s'étalent sur quatre ans, de 1991 à 1995, ce qui permet à la voiture de prendre part au Tour Auto Historique en avril 1995. C'est le début d'une deuxième carrière en historique, sur un rythme évidemment plus modéré, avec notamment une participation au Mans Classic.
Rappelons que la 907 a marqué chez Porsche un tournant important. Lancé pour les 24 Heures du Mans 1967, le modèle ne visait plus seulement les victoires de catégorie que ne comptaient plus les 906 et 910 (appelée 906/10 par l'usine), mais le classement général lors des épreuves du Championnat du Monde d'Endurance. Par exemple, pour se donner les meilleures chances, Ferdinand Piëch a décidé de faire passer le poste de pilotage à droite, position plus favorable sur les circuits. Les premières 907 étaient en configuration "longue queue" (LH, Langheck), avec un moteur 6-cylindres 2 litres, et le modèle était bien né puisqu'il a terminé cinquième aux 24 Heures du Mans 1967 à plus de 200 km/h de moyenne, derrière les Ford 7 litres et Ferrari 4 litres. L'année suivante, Porsche a profité du changement de règlement qui limitait à 3 litres la cylindrée des Prototypes et à 5 litres celle des Sport, écartant les GT40 Mk II et les Ferrari P4. Prêtes dès le début de la saison, les 907 dotées cette fois d'un 8-cylindres 2,2 litres plus puissant (280 ch) se sont emparées des trois premières places aux 24 Heures de Daytona. Il n'y avait plus qu'un pas pour que la 907 évolue en 908, en réalésant le 8-cylindres à 3 litres. Après s'être incliné de justesse derrière Ford pour le titre mondial 1968, Porsche l'a remporté pour la première fois en 1969, grâce à la 908. Ainsi, la 907 est le premier pas vers une domination qui s'est poursuivie en 1971 et 1972 avec la 917.
En tout, 21 exemplaires de Porsche 907 ont vu le jour : six en 1967 et quinze en 1968. Les douze derniers présentaient une configuration courte, plus polyvalente. En 1968, le modèle a signé trois victoires de championnat au classement général : 24 Heures de Daytona, 12 Heures de Sebring et Targa Florio.
La voiture de la vente, avec son historique limpide et reconnu, avant-dernière produite (le dernier numéro de la série est 907-032), est née en version courte et moteur 8-cylindres 2,2 litres 270 ch. Elle est accompagnée d'un dossier historique comportant les détails de son histoire complète, un récapitulatif de ses résultats, de la copie des carnets de pesage des 24H00 du Mans 1970, 1971 et 1972 provenant des archives de l'ACO, ainsi que des copies de documents provenant de l'usine Porsche et décrivant les réglages de cette 907-031 pour sa première course au Nürburgring. Avec son nez jaune, elle apparaît aussi sur une photo prise en 1968 à l'usine de Zuffenhausen dans un groupe de 911, en compagnie de Ferry Porsche, Ferdinand Piëch, Peter Porsche et Butzi Porsche.
Très bien entretenue depuis sa restauration totale, elle fait partie de la formidable saga qui a porté Porsche au plus haut niveau de la course automobile. Avec son magnifique palmarès et sa 4e place au Nürburgring, elle a inscrit son nom sur la longue épopée du sport automobile. En tant que telle, elle est éligible aux plus beaux évènements historiques de la planète, où elle sera évidemment remarquée. Cette 907 est une pièce exceptionnelle ; nul doute que le prochain propriétaire de cette valeureuse machine connaîtra une immense émotion au moment d'en prendre le volant.
Palmarès 907 #031
19.05.1968 Nürburgring 1000 km, Neerpasch / Buzzetta, #4, 4th overall 02.02.1969 Daytona 24 Hours, Soler-Roig / Lins, #58, DNF 22.03.1969 Sebring 12 Hours, Soler-Roig / Lins #44, 4th overall 25.05.1969 Montseny hillclimb, Soler-Roig, #98, 4th overall, 1st in class 01.06.1969 La Bastida hillclimb, Soler-Roig, #3, 1st overall 15.06.1969 Jarama Prueba 15 de Junio, Soler-Roig, #61, 1st overall 26.10.1969 Jarama 6 Hours, de Bagration / Tramont, #7, DNF 01.03.1970 Jarama Copa Alfil, Wicky, #74, 5th overall 30.03.1970 Nogaro Coupes des Pâques, Rouveyran, #193, 2nd overall 12.04.1970 Le Mans Test, Rouveyran / Wicky, #62, 6th overall 19.04.1970 Paul Ricard Trophée International, Larrousse, #6, DNF 25.04.1970 Monza 1000km, Wicky / Cabral, #53, 15th overall, 1st in class 24.05.1970 Montlhéry Grand Prix de Paris, Wicky, #16, 6th overall 31.05.1970 Nürburgring 1000 km, Wicky / Cabral, #29, 9th overall, 1st in class 14.06.1970 Le Mans 24 Hours, Wicky / Hanrioud, #61, DNF 05.07.1970 Hockenheim Südwest-Pokal, Wicky, #27, 6th overall 30.08.1970 Urcy hillclimb, Wicky, #47 06.09.1970 Nürburgring 500 km, Wicky, #4, DNF 18.10.1970 Montlhéry 1000 km, Wicky / Rouveyran, #19, DNF 08.11.1970 Casablanca Circuit de la Corniche, Wicky, #2, 2nd overall 18.04.1971 Le Mans Test, Mattli / Brun / Meier, #51, 11th overall 13.06.1971 Le Mans 24 Hours, Mattli / Brun, #49, 7th overall, 1st in class 08.08.1971 Oberhallau hillclimb, Mattli, #35, 3rd in class 15.08.1971 Niederstetten Hohenlohner Flugplatzrennen, Mattli, #181, 1st in class 25.09.1971 Mosen-Schwarzenbach hillclimb, Brun, #9, 1st overall 10.10.1971 Montlhéry Coupes du Salon 'Garal', #20, 5th overall 24.10.1971 Casablanca Circuit de la Corniche, Cohen-Olivar, #2, NC 11.03.1972 Collonges sprint, Wicky, #37, 1st overall 19.03.1972 Le Mans Test, Cohen-Olivar, #24, 12 overall 25.04.1972 Monza 1000 km, Mattli / Bayard, #35, 4th overall, 1st in class 30.04.1972 Monts du Jura hillclimb, Bernard Bugnon, #193, 2nd in class 07.05.1972 Payerne slalom, Wicky, #54, 1st in class 14.05.1972 Montlhéry Coupes de Vitesse, Aeschlimann, #22, 7th overall 11.06.1972 Le Mans 24 Hours, Mattli / Bayard / Brun, #24, 18th overall, 2nd in class 18.06.1972 Sion slalom, Wicky, 2nd in class 22.10.1972 Dijon-Prenois Swiss races, Carron, #21, 1st in class 01.04.1973 Ampus hillclimb Draguignan, de Libran 22.04.1973 Dijon-Prenois FRC-Ostermeeting Degoumois, #30, 3rd in class
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Machine à coudre ou à découdre est une expression qui fait référence à l’argot des poilus et qui signifie « mitraillette ». La mitraillette est une arme à répétition dégageant des coups secs et répétés de manière régulière, telle la machine à coudre.
Tu te goures fil à trous ! Ce n’est pas la machine à découdre ; c’est une motocyclette qui radine sur le chemin de l’abri. - Henri Barbusse
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frenchcurious · 2 years
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RIP Vivienne Westwood (1941-2022).
Vivienne Westwood en 2015, prête à en découdre avec le Premier Ministre David Cameron ! - Source The Independent.
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lutzhuelle · 1 year
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Alexandra Bircken et Lutz Huelle œuvrent respectivement depuis l’art et la mode. Une exposition les réunit, ainsi qu’un troisième comparse, le photographe Wolfgang Tillmans, à partir d’une histoire d’amitié adolescente. Et une commune énergie, comme un geste d’exposition, d’en découdre avec les assignations de genre et les séparations de médiums.
Text by Ingrid Luquet-Gad on Les Inrocks On les connaît respectivement comme plasticienne et créateur de mode. Alexandra Bircken et Lutz Huelle se sont chacun·e fait un nom, respectivement dans l’art et la mode. À la Fondation Pernod Ricard, ce qui se montre est un flux commun qui les rassemble : une Pensée corps, le titre de l’exposition confiée à la curatrice Claire Le Restif, la directrice du…
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aurevoirmonty · 1 year
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Le système est ainsi devenu maître dans l’art de jeter des os médiatiques à ses « oppositions », des os sur lesquels elles se jettent frénétiquement, les crocs acérés comme jamais, hargneuses et bien décidées à en découdre pour des futilités sans nom qu’elles prennent pour des combats « symboliques » quand ils ne sont que parodiques.
Xavier Eman
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