#croissance du véganisme
Explore tagged Tumblr posts
Photo
Végans qui mangent dehors ...
#végan#végane#végans#véganes#véganisme#restau végan#restaurant végan#manger végan#manger vegan#mangervegan#option végane#optionvegan#produits végan#manger dehors#sortie végane#essor du véganisme#croissance du véganisme#bob l'éponge#mème bob l'éponge#mème végan#humour végan#mèmes végan#humourvegan#jhoumous
0 notes
Text
La fausse écologie – ( I ) : Encore un problème mal posé...
A 5 jours d'un scrutin que notre Président a choisi de personnaliser comme aucun de ses prédécesseurs n'avait osé le faire, plus on écoute nos hommes politiques (à quelques exceptions près ! Avez-vous lu ''Demeure'', de François-Xavier Bellamy ? C'est une bouffée d'espoir), plus on se sent un devoir de rétablir la vérité sur le discours écologique dominant et sur toutes les idées fausses qui vont avec et qui gâchent la vie des gens normaux : à travers le véganisme ou un ‘’anti spécisme militant’’, les doux écolos d’antan sont devenus des hyper-violents, totalitaires et anti-démocratiques... Et dangereux, car ils se sont propulsés au centre du débat...
Le discours dominant, complètement déconnecté des réalités, se cache derrière une menace apocalyptique, une peur panique du futur, que la presse s'applique à entretenir : des terreurs paniques iso-millénaristes s'empilent sans discontinuer, laissant peu de place à une lecture critique ou à une réflexion sur ce qui est vrai, faux, dangereux ou... exact (ça arrive parfois !). Pour de mauvaises raisons que la raison devrait refuser d'écouter, les thuriféraires de cette ''non-pensée'' ont laissé tomber analyse, vérité, sagesse, et la réalité du monde, pour la ‘’collapsologie'', nouvelle ''non-science'' du désastre qui a pour seul mobile (et donc pour seul effet), de décourager les bonnes volontés : ''A quoi bon agir, puisque tout est foutu ?''. Et peu importe que notre civilisation ait permis de passer en deux siècles, de de un milliard à 7 ou 8 milliards d’hommes qui vivent beaucoup plus longtemps et en meilleure santé : depuis que la folie est sortie des asiles, on voudrait nous faire croire qu'il n'y a que du mauvais, dans cette magnifique performance !
L'écologie larmoyante, confiscatoire et punitive actuellement à la mode n'a engendré que de la violence, un néo-apartheid, des délires, des mortifications individuelles et collectives, des ''prises de conscience de problèmes qui n'existent pas ou sont mal posés'', particulièrement en Europe, (pourtant le continent qui a inventé et le plus fait pour l’écologie). L’ère des ''désastrologues'', comme les appelait déjà Rabelais en 1532 (in- La Pantagrueline prognostication), ne pourra déboucher que sur un regrettable retour en arrière, particulièrement sur des questions essentielles telles que l’agriculture ou l’énergie. Nous rappelions la semaine dernière les désastres entraînés par le tristement fameux Club de Rome (qui, avec The Limits to Growth, annonçait, dans les années 1970, la fin du gaz et du pétrole pour le début des années 1990) ou, à la même époque, ces économistes prophétisant l’imminence de famines généralisées en Asie (un gag de plus !)
Bien entendu, il n'y a rien eu de tel et, dans l’intervalle, la faim est passée de un sur trois à un sur onze d'une population mondiale qui a doublé... Mais cela n’empêche pas ceux dont le ''business'' repose sur cette dramaturgie de continuer à asséner leurs prédictions alarmistes, leurs projections linéaires et leur ignorance de toutes nouvelles ressources (exemple : les gaz de schiste), de la meilleure gestion de celles qui existent, et du progrès technique, alors qu'ils se disent progressistes.
La morale de l'histoire est que, ''extinction de 1 million d'espèces''... ou pas, tout pourrait être bien et finir... mieux qu'annoncé, à la seule condition qu'on cesse d'accorder trop de crédit aux affirmations sans fondement des groupes comme ces ''spécialistes auto-promus dits de l'ONU''. Mais on dirait que nos contemporains --décidément ''bien braves''-- n'en ont pas encore ras-la-casquette de souffrir des alarmes infondées du Giec (que le froid glacial de ce mois de mai hivernal semble avoir rendu aphone, invisible et tout ratatiné. Rassurez-vous, ces nuls vont bientôt démontrer (sic !) que cette micro-glaciation qui fait geler nos récoltes et nos vignes est une preuve de plus de la culpabilité ontologique de l'Homme (blanc ?) dans leur réchauffement climatique ! Il y aura des annonces encore plus mensongères et plus ridicules de cet IPBES au nom imprononçable. Plus le monde se prétend adulte, informé et ''intelligent'', et plus des experts en rien du tout font des ravages !
Loin des ''fausses fakes news“ que dénoncent les écolos (c'est ainsi qu'il appellent tout ce qui ne va pas dans le sens de leur néo-religion dystopique !), c'est l'histoire qui nous rappelle que, au moyen âge, bergers et troupeaux transhumaient entre Chamonix et l'Italie, et on ne peut pourtant invoquer dans cette disparition des glaciers ni les voitures, ni l'industrie, ni des dégradations causées par l'humanité. Autre exemple, bien connu : l'entrée de la fameuse grotte Cosquer (trouvée en 1985 à Morgiou, près de Marseille) est à 37 m sous le niveau de la Méditerranée. Or, au Paléolithique supérieur, le niveau de la mer était 150 à 200 m plus bas qu'aujourd'hui (et cette grotte était à plusieurs km de la mer). Qui oserait rendre l'activité humaine responsable de cet immense mouvement millénaire... qui n’est pas terminé puisque nous ne sommes pas encore sortis de l'ère glaciaire ? Il y avait alors une couche (?) de glace épaisse de plusieurs km, sur toutes les Alpes. Et pourtant, dans ma jeunesse africaine, pas si éloignée à cette macro-échelle, des sécheresses terribles (vécues tant de fois) étaient fréquentes et tuaient par centaines de mille... Nous l'avons oublié, et c'est bien regrettable : une meilleure mémoire nous permettrait de relativiser les inepties qui mobilisent les foules.. .
Imaginons un instant qu'à l'une ou l'autre de ces époques (et à d'autres, aussi, car elles ne sont pas les seules à s'inscrire en faux contre nos idées sans fondement!) quelques imbéciles malthusiens aient persuadé des foules trop crédules qu'il fallait de toute urgence arrêter la croissance pour éviter un réchauffement de la planète causé par l'activité humaine... on serait vraiment mal ! Et pourtant, c'est ce qui nous arrive... et nous acceptons cette démonstration de notre prétention à être l'égal de Dieu (puisque nous croyons l'avoir tué) : notre toute puissance de vermisseaux à deux pieds (et une toute petite tête) nous fait croire que c'est nous qui influençons des forces gigantesques... qui n'ont même pas remarqué qu'on était là... ! Mouche du coche, nous savons piller les océans, tapisser les grands fonds d'horribles épluchures de plastique, assassiner les éléphants et inventer des virus qui résistent à nos antibiotiques... Mais de là à être devenus les maîtres du temps, des cycles millénaires, de l'inclinaison des astres et de la régulation des pluies...
Si seulement le ridicule tuait encore, cette néo-religion climato-centrée qui s'est répandue en très peu de temps aurait balayé les indésirables ! Mais que dire, en voyant que c'est celui qui voulait lutter contre les ''fake news'' qui les a érigées en programme électoral ! Quand je vous dis que le monde est devenu fou... (à suivre)
H-Cl.
1 note
·
View note
Link
Ils sont peu nombreux, mais ils ont une audience impressionnante. Comme ce qu’ils disent semble frappé au coin du bon sens, celui de l’émotionnel et d’une morale binaire, le bien, le mal, c’est que ça doit être vrai. D’où le succès de la propagande végane, version politique et extrémiste de l’abolitionnisme de l’élevage et de la viande, que l’on mesure simplement : aujourd’hui, les opinions contraires, pourtant majoritaires, doivent se justifier par rapport à elle. Nous dénonçons d’autant plus le mauvais coup que porte le véganisme à notre mode de vie, à l’agriculture, à nos relations aux animaux et même aux courants végétariens traditionnels, que nous sommes convaincus de la nécessité d’en finir au plus vite avec les conditions imposées par les systèmes industriels et d’aller vers une alimentation relocalisée, préservant la biodiversité et le paysan, moins carnée, aussi. L’Occident et les riches des pays du Sud consomment trop de viandes, et surtout de la mauvaise viande. Au Nord comme au Sud, les systèmes industriels ont changé l’animal en machine à transformer la cellulose des plantes en protéines bon marché pour le plus grand profit des multinationales et au détriment des paysans, des consommateurs, des sols, de l’eau et des animaux. Le bilan sanitaire et écologique de ces rapports de travail indignes aux animaux est tout aussi mauvais que celui du reste de l’agriculture productiviste : on empoisonne les consommateurs avec de la mauvaise viande, de mauvais légumes et fruits, en dégradant l’environnement et la condition paysanne. Ceci étant dit, regardons un peu les arguments avancés par les végans.
Les végans vont sauver les animaux
Depuis douze mille ans, nous travaillons et vivons avec des animaux parce que nous avons des intérêts respectifs à vivre ensemble plutôt que séparés. Les animaux domestiques ne sont plus, et depuis longtemps, des animaux « naturels ». Ils sont partie prenante du monde humain autant que de leur propre monde. Et, grâce au travail que nous réalisons ensemble, ils ont acquis une seconde nature qui fait qu’ils nous comprennent, bien mieux sans doute que nous les comprenons. Ainsi est-il probable qu’ils ne demandent pas à être « libérés ». Ils ne demandent pas à retourner à la sauvagerie. Ils ne demandent pas à être stérilisés afin de peu à peu disparaître, ainsi que le réclament certains végans. Ils demandent à vivre avec nous, et nous avec eux, ils demandent à vivre une existence intéressante, intelligente et digne.
Le véganisme va nous sauver de la famine
Jusqu’à il y a peu, rappelons-le, les hommes et les femmes mouraient vite de trois causes possibles : les maladies infectieuses, la guerre et la faim. Or, depuis la fin du XVIIIe siècle, dans nos pays européens, et depuis les années 60 dans l’ensemble du monde, il n’existe plus de famines liées à un manque de ressources. Quel progrès ! Les famines qui adviennent sont des armes politiques. Quand des gens meurent de faim quelque part, c’est parce que d’autres l’ont décidé. On ne voit pas en quoi le véganisme changerait quoi que ce soit à cette réalité.
Le véganisme va sauver l’agriculture
Ce serait même exactement l’inverse. Si les famines ont disparu de notre sol, c’est parce que le XVIIIe siècle a connu la plus grande révolution agricole après celle de son invention : l’agronomie. Et la polyculture-élevage, pourvoyeuse de ce qui se fait de mieux pour nourrir un sol, le fumier. Une des meilleures idées que l’homme ait jamais eue. Quant à l’industrialisation de l’élevage, elle n’est pas née après la Seconde Guerre mondiale avec le productivisme agricole. Elle a été pensée bien en amont, au milieu du XIXe siècle avec le développement du capitalisme industriel. Les animaux sont alors devenus des machines dont la seule utilité est de générer des profits, aux dépens des paysans et de l’environnement.
Le véganisme va sauver notre alimentation
Le véganisme propose de se passer des animaux, pour les sauver. Retour à la case départ : l’agriculture sans élevage, c’est l’agriculture famineuse parce qu’elle épuise les sols. Ce sont des rendements ridicules pour un travail de forçat car le compost de légumes est bien moins efficace pour faire pousser des légumes que le fumier animal. A moins de forcer le sol par de la chimie, évidemment. Et de labourer bien profondément. Mais, dans ce cas, on abîme les sols, en désorganisant l’écosystème qu’il est en réalité.
Le véganisme sauvera notre santé
Tuer l’animal, c’est mal, manger de la viande, c’est destructeur. Car les études montrent que la consommation de viandes est corrélée au cancer. Sauf que ces études ont été principalement menées aux États-Unis et en Chine, où l’on consomme bien plus de viande, encore plus gavée d’hormones et d’antibiotiques, encore plus transformée. Quant aux études démontrant la longévité supérieure des végétariens qui – rappelons-le – consomment des produits animaux, lait et œufs, et dépendent donc de l’élevage, elles sont biaisées par le constat que ces publics consomment aussi très peu de produits transformés, peu de sucres, ils font du sport, boivent peu, ils ont une bonne assurance sociale, etc. Quelle est la responsabilité des légumes dans leur bonne santé ? Difficile à dire ! Ce qui importe, c’est le régime alimentaire et le mode de vie équilibrés. En comparaison, manger végan, l’absolu des régimes « sans », c’est se condamner à ingurgiter beaucoup de produits transformés, c’est-à-dire des assemblages de molécules pour mimer ce qu’on a supprimé. Sans omettre d’ajouter la précieuse vitamine B12 à son alimentation. Car sans elle, comme le montrent de nombreux témoignages d’ex-végans, ce régime ultra-sans détruit irrémédiablement la santé, à commencer par celle de l’esprit.
Le véganisme va sauver l’écologie
Avec ce retour au naturel, l’écologie est sauvée. Et bien non. Car ayant expulsé les animaux domestiques, il n’y a plus rien pour maintenir les paysages ouverts, ceux des prairies, des zones humides, des montagnes et des bocages. Sauf à obliger chômeurs, prisonniers et clochards à faucher et à couper les herbes, ou à produire des robots brouteurs. Les vaches et moutons sont les garants de l’extraordinaire diversité paysagère qui fait la France, qui est aussi celle de notre assiette. Les animaux et leurs éleveurs sont les premiers aménageurs du territoire.
Le véganisme est une position politique émancipatrice
Non, contrairement à ce que croient de nombreux jeunes, fiers de dire «je suis végan», comme s’ils participaient à une action révolutionnaire, ou si leurs actions contre les abattoirs ou les paysans vendant leurs fromages sur les marchés relevaient de la résistance à l’ordre établi, le véganisme ne participe pas à l’émancipation des animaux et encore moins à celle des humains. Au contraire, en défendant une agriculture sans élevage et un monde sans animaux domestiques, c’est-à-dire sans vaches, ni chevaux, ni chiens, ce mouvement nous met encore plus dans les serres des multinationales et accroît notre dépendance alimentaire et notre aliénation. Les théoriciens et militants végans ne sont pas des révolutionnaires, ils sont, au contraire, clairement les idiots utiles du capitalisme.
Le véganisme est l’ambassadeur de l’industrie 4.0
Le grand danger de ce début du XXIe siècle est bien l’invention d’une agriculture sans élevage. On ne compte plus les investissements et brevets déposés pour produire de la « viande » en cultivant en laboratoire des cellules musculaires de poulet, de bœuf ou de porc ou produire du lait et des œufs à partir de levures OGM. Les promoteurs de cette agriculture cellulaire se recrutent au sein des grandes firmes (GAFA, milliardaires et fonds d’investissements puissants). Les premières viandes artificielles pourraient être introduites sur le marché sous forme de carpaccio avant que soient commercialisés avant dix ans de « vrais-faux » morceaux produits in vitro. Des amas de protéines qui auront poussé à grands jets d’hormones pour favoriser la croissance et d’antibiotiques pour éviter les contaminations.
En vérité, le véganisme ne va pas nous sauver
Le véganisme est dangereux. Il participe à la rupture programmée de nos liens avec les animaux domestiques. Il menace de nous condamner à la disette en nous ramenant à l’agriculture prédatrice des temps anciens. Il menace de ruiner les pratiques alternatives, comme le bio, en annihilant la polyculture-élevage qui est son fondement. Il menace de nous condamner à dépendre d’une alimentation industrielle 4.0. Il menace d’uniformiser nos paysages. Il menace paradoxalement de nous faire perdre notre humanité incarnée et notre animalité en nous coupant des réalités naturelles par des zoos virtuels, des paysages transformés en sanctuaires, avec des chiens et chats remplacés par des robots. Le véganisme est l’allié objectif d’une menace plus grande encore. Car, après tout, la meilleure façon de ne plus abîmer la nature est de s’en couper totalement. De s’enfermer dans des villes, alimentées par des flux de molécules et des flux de données. Plus de sale, plus de propre, que de l’esprit sain tourné vers une morale ultime, l’amélioration de l’homme par son isolement total de la nature que l’on ne peut maîtriser et qui nous renvoie sans cesse à notre animalité. Oui, véganisme rime avec transhumanisme.
Un monde terrifiant. La consommation de la viande a introduit, dès la préhistoire, l’obligation du partage, l’invention de la logique du don et du contre-don car un chasseur ne consomme jamais son propre gibier. Don et contre-don sont aussi au fondement de nos rapports sociaux avec les animaux. Donner – recevoir – rendre est le triptyque de nos liens. Que sera l’humanité sans cet échange fondamental ?
Paul ARIÈS, auteur de : Une histoire politique de l'alimentation du Paléolithique à nos jours, Max Milo, 2017. Frédéric DENHEZ, auteur de : Le Bio, au risque de se perdre, Buchet-Chastel, 2018. Jocelyne PORCHER, autrice de : Encore carnivores demain ? Quae, 2017.
#une question d'importance#écologie#citoyenneté#politique#philosophie#véganisme#france#agriculture#agriculture biologique#libéralisme#néolibéralisme#transhumanisme#élevage#végétarianisme#gallomancy
21 notes
·
View notes
Text
Pourquoi les sacs à main végétaliens sont à la mode en 2022 ?
L'abattage contraire à l'éthique des animaux pour le luxe n'est pas un bon moyen moralement. Des créateurs célèbres se séparent de la peau et de la fourrure des animaux, car ils sont également cruels pour l'environnement et les animaux. La plupart des designers recherchent des alternatives plus durables telles qu'un sac à main végétalien.
Nous pouvons voir différentes marques de sacs à main végétaliens sur le marché qui utilisent un cuir végétalien exceptionnel avec un toucher doux ultime et une texture identique au cuir animal. Ils offrent du luxe sous la forme de sacs végétaliens totalement sans cruauté. De plus, les sacs à main pour femmes sont conçus pour offrir une touche de luxe au quotidien. Chaque pièce de sac à main végétalien est élégante et pratique. Ces sacs maintiennent les normes les plus élevées d'impact social et environnemental. Tous les produits sont fabriqués de manière éthique.
Pourquoi acheter des sacs à main végétaliens ?
La plupart des gens adoptent le véganisme car ils ne veulent pas sacrifier des espèces animales exotiques et en voie de disparition pour la mode. Vous voulez définir une déclaration de mode! Acheter un sac à main végétalien est une proclamation d'amour et de compassion.
De plus, les sacs à main végétaliens sont plus écologiques que les sacs à main en cuir. Les tendances de la mode ont largement changé le monde. Vous devez avoir été témoin de la croissance de la mode végétalienne. Cela devient à la mode en raison de sa popularité dans le monde entier. De plus, les sacs à main Vegan sont non seulement respectueux de l'environnement, mais aussi extrêmement élégants. Par conséquent, acheter des sacs à main végétaliens pour femmes, c'est comme si vous faisiez la promotion d'une mode durable et que vous aimiez et preniez soin de votre planète dans son ensemble.
Que considérer dans les sacs à main végétaliens ?
Il y a plusieurs facteurs à considérer lors de l'achat d'un sac à main végétalien :
Assurez-vous qu'il n'y a pas de sous-produits animaux utilisés dans les sacs comme la colle, la teinture ou les détails des sacs. Ainsi, choisissez les sacs à main purement marqués vegan.
Choisissez celui qui est fabriqué à partir de matériaux végétaliens recyclés ou de cuir végétalien biosourcé.
Découvrez où il a été fabriqué car la plupart des industries végétaliennes prennent soin de la sécurité et du bien-être de leurs employés. Par conséquent, assurez-vous que l'entreprise respecte la transparence concernant les normes d'usine.
Les matériaux utilisés dans les sacs à main végétaliens doivent être du cuir végétalien de haute qualité.
Récemment, la plupart des créateurs ont créé des pièces emblématiques en s'inspirant de la beauté enchanteresse de notre planète, rehaussant également la beauté de la garde-robe. La nature offre des styles subtils mais raffinés avec des tailles et des formes uniques et des paysages à couper le souffle qui inspirent les concepteurs à créer quelque chose d'unique, de beau et d'attrayant.
De plus, ils prennent l'aide d'artisans hautement qualifiés et expérimentés qui s'efforcent de créer chaque pièce avec élégance en travaillant sur des designs uniques pour fabriquer des sacs végétaliens qui dureront toute une vie.
Résumé :
Les marques sont la clé pour attirer plus de clients, c'est pourquoi les entreprises de mode populaires ont introduit leur gamme de marques végétaliennes durables sur le marché. Tous les produits végétaliens sont totalement sans produits chimiques et respectueux de l'environnement.
Des entreprises célèbres ont lancé leurs produits végétaliens pour tous les genres. Cette mode durable a encouragé les gens à n'acheter que des produits végétaliens.
Des marques comme Pipaton créent des sacs végétaliens d'apparence exceptionnelle offrant un look élégant au porteur. Ils offrent des façons polyvalentes de porter des sacs avec différentes combinaisons de sangle et de poignée qui s'adaptent facilement à la personnalité de chacun avec style.
Read More:- sac à main femme
0 notes
Link
Depuis trois ans, l'association vegan L214, qui multiplie les vidéos chocs sur la maltraitance des animaux dans les abattoirs, est sortie de l'ombre. Elle est devenue un lanceur d'alerte redouté des agriculteurs et de toute la filière agroalimentaire.
«J'attends avec impatience le jour où ils seront reçus sur le plateau du 20 heures de TF1. C'est sûr, ça arrivera.» De l'avis d'un fin connaisseur des coulisses agroalimentaires, le récent coup d'éclat de l'association L214, qui a mobilisé il y a peu Sophie Marceau pour défendre le sort des poules en cage dans un élevage des Côtes-d'Armor, est loin d'être anodin. Après Allain Bougrain-Dubourg, Raphaël Mezrahi ou Laurence Parisot sur la question de la fourrure, mais aussi Stéphane Bern sur le sort des poules pondeuses, l'association végan signe, avec l'une des actrices préférées des Français, un gros coup d'éclat. Un coup d'éclat couronné ce dimanche jusque dans les travées de l'Assemblée nationale. Après des jours de polémique, les députés ont ainsi donné leur feu vert à l'expérimentation de la vidéosurveillance dans les abattoirs volontaires. Même si l'association plaidait pour une obligation, ce vote est une petite victoire de L214 contre ceux, FNSEA en tête, qui jugent ce dispositif inefficace, voire contre-productif.
Créée il y a dix ans, L214, dont le nom fait référence à l'article L214 du Code rural relatif à la protection animale, prône un mode de vie excluant toute consommation de protéines animales. Mais aussi toute utilisation de produits issus des animaux. Exit, donc, les œufs, le miel, le cuir ou encore la fourrure. «Aux yeux du grand public, leur motivation reste de faire évoluer les pratiques d'élevage et d'améliorer le bien-être animal», souligne Amaury Bessard, de l'agence de conseils en communication stratégique Shan, coauteur d'une étude sur les méthodes explosives du lobby. Mais la finalité reste bien d'abolir toute exploitation des animaux, placés au même niveau que les hommes. «En utilisant des ambassadeurs comme Sophie Marceau, L214 élargit son audience bien au-delà des militants végan. C'est une stratégie marketing rondement bien menée», ajoute ce dernier. Une avance semi-masquée qui est devenue son fonds de commerce.
« Derrière les bonnes intentions, avec lesquelles on ne peut être que d'accord pour faire reculer la maltraitance des animaux, il s'agit d'un mouvement idéologique radical antispéciste, qui veut convertir les êtres humains sur l'égalité de toutes les espèces sur cette terre »
«Derrière les bonnes intentions, avec lesquelles on ne peut être que d'accord pour faire reculer la maltraitance des animaux, il s'agit d'un mouvement idéologique radical antispéciste, qui veut convertir les êtres humains sur l'égalité de toutes les espèces sur cette terre», remarque Pascal Perri, journaliste indépendant, spécialiste des questions agricoles. «Je regrette que L214 ne dénonce jamais publiquement les actions violentes commises pour défendre la cause végan, comme le saccage d'une boucherie, d'un McDonald ou l'intrusion dans des lieux privés comme les bâtiments d'élevage», complète Thierry Coste, lobbyiste pour la Fédération nationale des chasseurs (FNC) et plume pour les questions rurales et agricoles auprès d'Emmanuel Macron. Consciente de ces critiques, L214 se défend de toute stratégie de communication. «Sophie Marceau fait partie de nos sympathisants sur les réseaux sociaux, nous l'avons simplement contactée et elle a dit oui tout de suite pour nous aider, explique Brigitte Gothière, cofondatrice de L214 avec son compagnon Sébastien Arsac en 2008. Nous sommes sincères et le grand public le sent. Nous n'avons jamais changé de discours depuis que l'association existe. Nous sommes végan et prônons un mode de vie consistant à ne plus consommer aucun produit issu des animaux ou de leur exploitation.»
Considérée comme infréquentable à sa création, l'association est en train de se faire une place de choix sur la scène médiatique. «Ils sont passés d'une communication ultramilitante et agressive à une approche plus pédagogique et informative, avec de nombreux chiffres et rapports pour étayer leurs images brutes», indique Amaury Bessard. «Les gens que nous rencontrions lors de nos tractages dans la rue ne nous croyaient pas quand on leur parlait des conditions d'élevage cruelles. Ils pensaient que cela n'existait pas en France. Nous leur avons apporté les preuves grâce aux images», appuie la fondatrice.
Place de choix dans les médias
Après des sorties au compte-gouttes, leurs enquêtes vidéo se multiplient à partir de 2015. Comme des actes de cruauté dénoncés dans l'abattoir d'Alès, dans le Gard, puis celui de Mauléon-Licharre, dans le Pays basque, en 2016, ou encore lors du gazage de cochons filmés à l'abattoir de Houdan, en 2017… Des images qui non seulement captent de nouveaux adhérents - ils sont aujourd'hui plus de 30.000, soit trois fois plus qu'en 2015 -, mais qui entraînent aussi un afflux des dons. «Nous sommes passés de 700.000 euros en 2014 à 3 millions d'euros de recettes en 2017, reconnaît Brigitte Gothière. C'est un budget qui reste limité lorsqu'on le compare à celui d'Interbev, l'interprofession de la viande, 10 fois plus élevé.»
Médiatiquement, l'apport des vidéos fait sortir L214 de l'anonymat. Le tournant viendra le 6 septembre dernier. Les activistes arrivent à négocier la diffusion en exclusivité des images dans un «access prime time» phare du PAF: «Quotidien», de Yann Barthès. Ces nouvelles images coups de poing dévoilent les conditions de vie désastreuses de poulets dans un élevage suspecté de travailler pour un grand industriel de la volaille. Soit une audience de plus d'un million de personnes pour cette enquête baptisée: La Souffrance des poulets Doux. L'objectif est clair: s'attaquer aux grands noms de la chaîne alimentaire pour faire bouger les lignes: Système U, Panzani, Doux, Hénaff… Avec cette large audience, la notoriété de l'association franchit un cap. Elle devient plus fréquentable et entre dans les réseaux d'influence qui comptent. «L214 s'est imposée comme un lanceur d'alerte crédible, pertinent et efficace, avoue Olivier Falorni, député radical de La Rochelle. Brigitte Gothière domine parfaitement le sujet. Son expertise, notamment sur l'installation de caméras dans les abattoirs, a nourri notre travail lors de la commission d'enquête sur le bien-être animal de 2016 à l'Assemblée nationale.» Au-delà du combat des idées, l'association contribue aussi à faire du véganisme une niche de croissance aussi bien sur le marché alimentaire que sur celui des cosmétiques. Le géant L'Oréal a lui-même cédé à la vague, en lançant récemment une gamme végan.
Mais, après dix années de combat, le principal fait d'armes de L214 reste d'avoir fait bouger la filière œufs, en bannissant les élevages hors sol où les poules sont enfermées dans de toutes petites cages à l'abri de la lumière du jour. Les producteurs tricolores, leaders en Europe avec plus de 14 milliards d'œufs pondus par an, ont dû se rendre à l'évidence. Même s'ils dénoncent un acharnement du lobby contre leur filière, le tsunami du bien-être animal peut les faire couler s'ils ne changent pas de méthodes. «D'ici à 2022, au moins une poule pondeuse sur deux sera élevée dans un élevage alternatif à la cage aménagée, s'est engagé récemment le CNPO (Comité national pour la promotion de l'œuf). Il pourra s'agir d'élevages au sol, en plein air ou bio.» Le CNPO pouvait difficilement faire autrement, le candidat à la présidentielle Emmanuel Macron ayant repris cet objectif dans ses promesses de campagne. Surtout, sentant le vent tourner, les enseignes et les agro-industriels se sont engagés à bannir les œufs de poules élevées en cage d'ici à 2022 ou 2025. Des engagements savamment relayés par L214, à grands coups de communiqués.
«Ça frôle la désinformation»
Ces méthodes chocs font grincer les dents des principaux mis en cause: les agriculteurs et leurs représentants. «Le problème de L214, c'est qu'ils n'en ont rien à foutre du bien-être animal, fustige sur France Info, Étienne Gangneron, éleveur dans le Cher et responsable du bien-être animal à la FNSEA. Ces vidéos, ils les ont en stock depuis un moment. Si, vraiment, ils voulaient protéger les animaux, ils les auraient sorties au moment où ils ont filmé […] Ils inscrivent cela dans un calendrier médiatique qui est lié à la loi post-EGA (États généraux de l'alimentation, NDLR)». Certains parlementaires concernés au premier plan ne sont pas en reste. «Ces méthodes violentes aux dérives sectaires, où l'on persécute les éleveurs, sont difficilement supportables, explique le député LaREM Jean-Baptiste Moreau, lui-même éleveur et rapporteur du projet de loi alimentation. Ça frôle la désinformation.» «Il y a une déconnexion totale entre la réalité des abattoirs et ceux qui en parlent, juge Christiane Lambert, la présidente de la FNSEA, qui est aussi à la tête d'une porcherie dans le Maine-et-Loire. Au-delà des dérives qui peuvent exister, c'est scandaleux de décrédibiliser à ce point la totalité d'une profession pour des raisons militantes.»
En attendant, la profession de la viande devra être créative pour ne plus broyer vivants les poussins mâles qui ne pondront pas d'œufs ou ces canetons femelles qui ne produiront pas de foie gras. L'opinion publique ne veut plus voir non plus ces porcelets castrés à vif ou leur queue coupée au sécateur. Tant que ces images existeront, L214 aura encore un bel avenir devant elle. «D'une poignée de bénévoles à nos débuts, nous en comptons 2000 dans toute la France, se réjouit Brigitte Gothière. Mais avec 50 salariés, nous devons encore nous structurer.» L'avenir semble pourtant plus dégagé qu'aux premières heures du combat. L'assise financière de L214 lui permet de multiplier le nombre de ses actions de lobbying et de ses enquêtes coups de poing. Quitte à supporter le poids des amendes lorsque ses membres vont trop loin. Comme en octobre 2017, quand deux de ses militants, dont Sébastien Arsac, ont été condamnés pour «violation de domicile». Ils avaient dissimulé quelques mois plus tôt des caméras dans un abattoir de porcs à Houdan dans les Yvelines, filmant les conditions d'étourdissement des porcs.
2 notes
·
View notes
Text
Essai : l’anti-spécisme
@bicibaldskunk @annademrose-art @carcharodonvincentus @kjal @stealthmanatee @t-caramel @panda-roux-indigo @corinnelaurent @snow-haired-witch @thecuriouscreepyfriendlywitch je vous tag pour avoir des retours, des critiques constructives et savoir si il y aurait moyen de constituer un groupe de travail sur le sujet. Faites tourner aux intéressæs. Y’a des liens partout, faites-vous plaisir.
Après moult conciliabules avec moi, je, moi-même, et l’internet, nous avons décrété que le véganisme était à l’anti-spécisme ce que le parti socialiste est à la gauche anti-fasciste, ce que le développement durable est à la décroissance, ce que la gay pride est au mouvement queer, ce que le féminisme est à l’intersectionnalité : une nuisance grand public, déconnectée de la convergence des luttes.
Je m’en vais donc développer ce sujet.
I - Introduction : la convergence des luttes II - Véganisme et Anti-spécisme : définitions III - Le respect de toute forme de vie IV - Le respect du fonctionnement des écosystèmes V - Le choix du boycott VI - Sortir du “ghetto végan” VII - Ouverture : le problème du lait, ou quelles limites s’imposer ?
I - Introduction : la convergence des luttes
L’anti-spécisme, à l’instar de nombre de mouvements très-de-gauche et plutôt-mal-vus, se place en opposition à la norme (comme l’AN-archisme, l’ANTI-fascisme, la DE-croissance, etc). Ces mouvements sont reliés entre eux par une volonté de lutter activement contre l’ordre établi par le grand capital, l’impérialisme, le sexisme, le racisme... Bref, tout un tas de jolis petits concepts qui affirment : “toi, tu n’es pas moi, et moi qui ai certains pouvoirs, je décrète que toi, qui n’es pas comme moi, tu ne dois pas y avoir accès sous peine de renverser la domination que j’exerce sur toi”. Tout un système d’oppression basé sur la peur et le refus de la différence, celle-ci pouvant s’incarner dans l’âge, le sexe, la classe sociale, l’origine ethnique...
Pourquoi, dans ce cas, l’anti-spécisme serait-il plus à sa place parmi ces autres mouvements de lutte que le véganisme ?
II - véganisme et anti-spécisme : définitions
Le véganisme est un mouvement basé sur “la non-utilisation de produits d’origine animale”. Ce qui n’empêche absolument pas, par exemple, d’aller acheter le tristement celèbre “steak de soja dans son double emballage plastique” de chez Bjorg, des Oreos (Mondelez), des chips ou que sais-je encore, et oblige les végans à nourrir les lobbys pour se complémenter en vitamine B12 (lobby pharmaceutique avec les compléments, ou lobbies capitalistes / agro-alimentaires avec les laits de soja additionnés de B12, ou la Marmite de chez Unilever par exemple).
L’anti-spécisme est un mouvement qui se base sur le respect des formes de vie. C’est à dire : 1) on n’exploite pas (on rejoint ici l’anti-capitalisme, toutes les grandes fortunes étant des produits directs de l’exploitation, lisez Kropotkine). C’est à dire que si on veut utiliser une forme de vie d’une manière ou d’une autre, on essaie de lui donner des conditions de vie décentes. Et : 2) on ne tue pas si on peut l’éviter. Question de respect. Si on sait qu’on ne pourra pas tirer le maximum possible d'une mort, on évite ; si une forme de vie est un peu dangereuse pour nous mais ne met pas en danger le fonctionnement l’écosystème, on évite aussi. On annihile pas le loup sous prétexte qu’il bouffe des moutons et un gosse de temps en temps. Oui, je parle ici de mort, je sais que ça peut choquer, mais on ne se nourrit presque que de ça, de choses mortes. Qu’on a tué exprès. Va bien falloir que nos petits esprits sensibles se le mettent en tête un jour ou l’autre.
III - le respect de toute forme de vie
Ici, en tant que biologiste, je m’en dois spécifier que le vivant ne se réduit pas à l’animal, encore moins aux mammifères, et comprend des organismes aussi divers que le blé, le lapin, le champignon de Paris, la bactérie, le chanvre, l’algue, la méduse, le houblon, le criquet, le coton, la tomate, la poule, le ver à soie, l’humain... Je vous laisse les liens pour voir un “arbre du vivant” classique, et ici un “réseau du vivant” simplifié mais qui prend en compte le fait que les espèces n’évoluent pas seules, et qu'elles sont souvent le résultats de la symbiose de nombreuses espèces (si on enlève toutes ses bactéries à un humain, il crève. Sans oublier que la mitochondrie, organite indispensable à tout pluricellulaire, est également produit d’une symbiose. Bref)
Or, le lobby agro-industriel, ces formes de vies là, il les exploite toutes. Il les considère comme des machines à produire (bon, peut-être pas les méduses - mais si ça vous intéresse, regardez-donc le film allemand “notre pain quotidien”). Pour prendre un exemple concret, la vache : on a des “vaches à lait”, des “vaches à cuir”, et “vaches à viandes”, qui seront sacrifiées juste pour ça et ne serviront à rien d’autre. Des machines. L’anti-spécisme se doit donc de refuser au maximum des aliments et produits de première main s’ils sont le résultat de cette exploitation généralisée.
L’anti-spécisme n’exclut pas l’humain de ses préoccupations. L’anti-spécisme n’exclut pas le végétal de ses préoccupations. L’anti-spécisme ne se laissera pas berner par un anthropocentrisme mal placé qui nous ferait dire “ah, ce lapin me ressemble, il a un système nerveux, des grands yeux inquiets, il mérite ma compassion plus qu’une carotte qui ne me ressemble pas et dont je ne sais presque rien, et plus qu’un travailleur immigré qu’on exploite à 2€ de l’heure dans des conditions atroces”, ce même anthropocentrisme mal placé qui nous pousse à accepter l’exploitation de certaines formes de vie considérées comme inférieures (parce-que différentes de nous) ou non-concernées (parce-qu’humaines et donc “coupables” au même titre que nous), à accepter de consommer les produits de cette exploitation (le bon pain blanc de chez Harry’s... Et les millions d’hectares de blé cultivés de manière intensive et nuisible ; les bonnes tomates bien rouges et rondes cultivées sous serres par des humains pauvres n’ayant pas d’autre choix pour survivre que de se livrer à l’exploitation et aux intoxications par les pesticides).
IV - le respect du fonctionnement des écosystèmes
Il est possible, et même probable au vu des sociétés dégénérées dans lesquelles nous vivons, que nous nous trouvions parfois devant des choix plus ou moins difficiles. Un steak de soja ou des oeufs du grand-père ? Un paquet de chips ou 100g de pain bio ? Du sirop d’agave d’Amérique du Sud ou du miel local d’un petit producteur ? L’anti-spéciste n’hésitera pas longtemps, au vu de l’impact qu’auront ces différents choix sur l’écosystème, et donc sur l’ensemble des formes vivantes, et donc sur... l’humain. Ici, le steak de soja, le paquet de chips et le sirop d’agave sont directement issus 1) de l’exploitation de formes de vies, 2) d’un capitalisme envahissant et 3) nuisent à l’écosystème dans son ensemble (de part le transport des aliments, de par l’utilisation de méthodes productivistes de culture intensive). Ils sont pourtant végans.
Deux de ces choix ne sont pas végans. Ils utilisent l’animal sans l’exploiter. Ils utilisent l’humain sans l’exploiter. Ils utilisent les plantes sans les exploiter (si le grand-père ne donne pas du maïs Monsanto à ses poules). Ils permettront également à l’anti-spéciste qui les fera de se passer des compléments de vitamine B12 nourrissant les lobbys, lobbys qui eux-même participent à l’exploitation généralisée des humains, animaux, plantes et autres formes de vie (les vitamines sont souvent produites à l’aide de bactéries génétiquement modifiées, ce qu’on fait depuis tellement longtemps qu’on n’appelle même plus ça des OGM).
V - Le choix du boycott
Le véganisme boycotte l’utilisation de produits animaux, car “on ne peut pas leur demander leur avis”. L’antispécisme boycotte l’utilisation des produits issus de l’exploitation, car même n’ayant, on le sait bien, pas de système nerveux, un plant de blé poussant dans un champ de l’agriculture productiviste aura des conditions de vie bien moindre qu’une poule pondeuse au fond du jardin ; et un humain exploité par le grand capital pour construire des sacs en faux cuir (humain se trouvant souvent être une personne de couleur) aura la plupart du temps également des conditions de vie inférieures à celles de ladite poule.
On résout du même coup pas mal de problèmes liés au “gachis” : en tant que végan, ça me fait mal au coeur de voir mes potes qui ne finissent pas leur assiette au resto U. Du coup, en général, je la leur finis. Le problème c’est que quand c’est de la viande / un truc avec du lait ou des oeufs, bah j’peux pas.
VI - Sortir du “ghetto végan”
L’antispécisme permet une ouverture que le “vrai végan”, le radical, aura souvent du mal à garder. Là où le vrai végan vérifie les composition infinitésimales des produits qu’il achète pour savoir s’ils sont 100% végans, l’anti-spéciste n’achète pas en supermarché à des grands noms du capitalisme et n’aura donc pas besoin de vérifier la composition de ce qu’il consomme. Là où le végan achètera neuves des chaussures de “faux cuir” sous prétexte d’épargner les animaux, l’antispéciste pourra récupérer de vieilles Doc Marteens à 3 balles sur une brocante sans état de conscience, enrayant par cet acte la production, le flot du capital ainsi l’exploitation des habitants des pays pauvres par les usines des grandes marques. Là où le végan peut se laisser aller à mépriser ceux n’ayant pas la force ou l’envie de faire partie des “vrais”, des “bons”, des “radicaux”, et finira par s’enfermer avec ses amis dans un “ghetto végan” excluant les autres partisans de l’anti-capitaliste, l’antispéciste sait que la lutte peut prendre de nombreux visages, et essaiera de donner des pistes à ses amis en lutte pour orienter leur manière d’acquérir leur subsistance de façon moins problématique.
VII - ouverture : le problème du lait
J’en ai fini pour mon argumentaire, et je vous laisse sur une question qui me laisse penseur : le problème du lait.
Certains animaux se nourrissent occasionnellement d’oeufs ou de miel. Aucun animal ne se nourrit du lait d’autres espèces. Nous avons (en tant qu’espèce humaine) développé une certaine tolérance génétique à la consommation de lait. Cependant, consommer le lait d’un animal nécessite une mise-bas dudit animal : que faire du petit ? On le mange ? On l’offre à quelqu’un ? On le relâche ? Tout ceci me semble assez problématique. Il est possible que dans les semaines à venir, j’aille me procurer un chevreau chez mes voisins fromagers, que je l’abatte, que je mange ses muscles, son cerveau et ses abats, que je fasse des outils, talismans et aiguilles avec ses os, des fils avec ses tendons, une veste avec sa peau. Pour voir. Ça sera toujours mieux que de manger les produits de l’invisible industrie du meurtre, et cette bestiole partira chez le boucher si personne ne se propose de l’acquérir. La question est ici : où met-on les limites ? Sont-elles à définir par chacun ? À débattre.
#vegan#veganism#anti-specism#antispécisme#france#je fête mon 100e follower#je vais changer d'avatar aussi tiens
5 notes
·
View notes
Text
Véganisme : vers un cannibalisme branché
Quelques anachronismes intentionnels ou pas, une fainéantise de recherche accablante mais une impérieuse envie de parler vrai , de parler vert , de parler bio .
2010 : La France découvre stupéfaite que le bio devient branché et qu'il se politise : le couple trentenaire débauche de ses affaires à la Défense et ouvre une supérette , dans des quartiers populaires , carottes, choux de Bruxelles et quinoa aux prix exorbitants , foudroyant au passage les historiques épiceries ayant perdu la guerre de l’authenticité culinaire et du commerce de proximité.
2015 : La grande distribution se rend compte de l'opportunité commerciale d'un tel marché , la tendance sera au vert , ou du moins sur l'emballage . Le bio est devenu un truc de presque beauf, un marché ultra rentable où s'empressent les ménag��res en manque d'estime , sans vraiment trop s'attarder sur le rôle prétendument politique de sauvegarde de mère nature .
2020 : Le nouveau continent soufflant toujours avec effroi sur le vieux , le mouvement Vegan s'immisce en acte militant sur l'Europe trop copieuse et viandarde, amoureuse de la bonne chair. Les revendications fleurissent : un mélange explosif d'indignation anti-mal bouffe et de délation anti-prolétaire , responsable de mal se nourrir et d'engraisser les multinationales bovines.
2025 : Entre temps, le bas-monde continue avec insolence de manquer de tout, une famine légendaire des pays sous développés, nourrit de chagrin et de produits manufacturés offerts avec bonté par les anciens bourreaux colonialistes.
2030 : Une grande conférence se tient à Pyong-Yang sur le devenir des Etats-Nations et du problème de la trop forte croissance démographique devenue au cours des dernières décennies un enjeu prédominant .
2035 : Malencontreusement, des épidémies ravageuses règlent en quelques semaines le problème de la surpopulation des pays pauvres. Les restes de corps sont dépecés et conservés au frais dans des chambres froides prêtées en toute amitié par ces mêmes grandes puissances.
2035 : Au même moment la société internationale vit les dernières heures de gloire de la déclaration universelle des droits de l'homme enterrant dans son tombeau flétri les principes de dignité humaine et de respect du corps humain .
2040 : Les philosophes, amis comme toujours des peuples, produisent de nombreux travaux sur la reconfiguration de la condition humaine . Un bout de viande 100% bio est en train de naître, conservé au frais par l'organisation des nations unies , qui bat pourtant de l'aile. La chaîne alimentaire faisant de l'homme un être vivant dominant, carnivore, est donc remis en question par les nouveaux principes d'une doctrine aplanissant les différences entre l'homme et le singe .
2100 : Dans un illustre moment d'humanité , les chairs encore tendres et charnues sont sorties des chambres froides et distribuées sans concession , partout dans le monde, exaltant les papilles gustatives de ceux qui quelques années auparavant voulaient à tout prix manger du bio .
0 notes
Photo
La formule qu’avait proposée le GAEC de bio-élevage était attractive : de la viande de qualité, bio, pas chère, en circuit court. En sus, de la naissance à l’abattage vous receviez régulièrement par courriel des nouvelles et des photos de votre veau pré-acheté. Elle y avait vu une opportunité pratique pour garnir le congélateur familial, et en avait même fait la promotion au bureau. Les messages des premières semaines étaient brefs et attendrissants. Mais au fur et à mesure que le veau grandissait, dès le 2e mois, ils devenaient plus fréquents et les photographies régulières témoignaient de sa croissance rapide et de cette beauté naturelle qui allait s’accentuant. L’augmentation du courrier trahissait peut-être le fait que que l’animal savait ses jours comptés -et elle ne s’en inquiéta pas. Au 4e mois, un jour où elle avait reçu cinq messages empressés dans la matinée, par amusement, elle lui répondit. Dès lors, très vite, leur correspondance devint plus abondante, plus intense, s’osant à toujours plus d’intimité et de recherche de sens commun. C’était un veau d’une intelligence fine, mais qui pouvait avoir avait des opinions très tranchées et elle aimait ce type de caractère. C’est au 5e mois que son veau commença à évoquer le véganisme et ses selfies en gros plans sur ses yeux mouillés devinrent bouleversants. Vers le 6e mois, alors que l’échéance de l’abattage approchait et qu’elle était totalement sous le charme de l’être sensible et désespéré qu’il était, de plus convaincue par ses arguments sociétaux et écologiques, elle lui renvoya signée la lettre de renonciation aux colis de viande, et accepta sans hésiter de lui virer de l’argent afin de financer son évasion et l’aide d’un passeur. Mais elle découvrit la même semaine que le veau, son veau, entretenait une correspondance enflammée avec une collègue de bureau. Le pire, c’est que celle-ci était laide et absolument sans finesse. (à Saint-Gildas-des-Bois) https://www.instagram.com/p/Bys2utxo95M/?igshid=1pblxiao8c83j
0 notes
Text
La viande, le lundi vert, et les régimes d’éviction. Le sujet épineux “So 2019”, auquel nous allons être confronté.
Petit rappel, c’est quoi la viande?
Aliment tiré des muscles des animaux principalement des mammifères et des oiseaux. (définition du Larousse). La viande fait partie intégrante de la gastronomie française et a longtemps été un signe de richesse. Néanmoins ce n’est plus le cas aujourd’hui, car la demande s’est démocratisée et de ce fait industrialisée. On estime qu’ ⅓ des français consomment de la viande chaque jour, ce qui représentait en 2017 environ 84 kg de denrées carnées par personne. Ce chiffre est en légère baisse face à un marché florissant qui se construit en parallèle: celui de l’alimentation végétale.
Source: https://www.parismatch.com/Actu/Societe/La-viande-est-elle-passee-de-mode
“Revenons à nos moutons”! Aujourd’hui deux classes s’affrontent sur le marché de la viande pour répondre au désir insatiable du consommateur: d’une part les producteurs locaux en agro-écologie que nous soutenons avec une promesse sur la qualité, la transparence des méthodes d’élevage et la traçabilité, d’autre part les mégas fermes qui couvrent 83% des 800 millions de poulets élevés et 95% de l’élevage de porcs en France. Mais pour produire une telle quantité et optimiser le rendement, on y laisse forcément quelques plumes car malheureusement le bien-être des animaux n’est pas la priorité des industriels.
Au delà de son empreinte carbone importante (l’élevage est responsable à 14,5% des émissions de gaz à effet de serre mondiales, plus que tous les secteurs de transport) la viande c’est aussi une empreinte hydrique très importante. Quelques chiffres intéressants à lire: Pour les données sur le bétail, sont regroupés les besoins hydriques de l’alimentation (blé, soja, maïs) et les besoins en eau. 1kg de boeuf nécessite = 15 500 L d’eau, 1kg de porc = 4900L, 1 kg de poulet = 4000 L 1 kg de soja = 900 L, 1kg de maïs en grain = 546 L d’eau - 1kg de maïs de fourrage 240L, 1kg de blé = 590 L. Les trois denrées végétales étant la principale alimentation du bétail. VS quelques produits issus de l’agriculture végétale: 2 avocats et demi = 1000 L d’eau, 1kg de riz = 5000L d’eau, 1kg de tomates = 184L d’eau 1kg de carottes, salade, pommes = 130 L d’eau,...
Une fois tout cela dit, qu’est ce qu’on en fait?
Aujourd’hui il existe plusieurs moyens de réduire sa consommation de viande durablement au profit de la planète et de notre santé. Sachez qu’actuellement 70% des terres agricoles mondiales sont destinées à nourrir les élevages de bétail, et l’agriculture est responsable de 70% de la déforestation. Coïncidence? Pas vraiment. L’élevage intensif est une catastrophe écologique et sanitaire dont il faut avoir conscience aujourd’hui. Il est urgent de manger intelligemment, et de comprendre les enjeux cachés derrière notre hamburger ou steak frites commandé avec insouciance une à plusieurs fois par semaine.
Vous ne serez pas surpris de lire ceci: les viandes sans mention, à bas prix, et bien évidemment qui ne sont pas issues de producteurs sérieux engagés en agro-écologie, ne pourront être que bas de gamme et provenant de méga fermes. Les fermes usines cherchent à augmenter fortement la rapidité de production laissant pour compte la santé et le confort de l’animal parqué dans quelques mètres carrés avec ses congénères, gonflé d’hormones de croissance et d’antibiotiques toute sa vie. Leur unique nourriture: du soja OGM en première position, du maïs et du blé. Les animaux herbivores deviennent alors granivores, et inévitablement ne peuvent produire de bons produits au goût fermier. Ces grandes fermes sont généralement perdues au milieu de terrains agricoles, loin des villes donc loin des hommes car une odeur pestilentielle entoure ces usines. Les élevages sont parfois hors sols (élevage de lapins en cage), dans des hangars fermés avec une lumière artificielle pour accroître la production (poules pondeuses) ou sur plusieurs étages (élevage de porcs sur caillebotis), sans un brin d’herbe ou de foin, ou pire encore consomment des farines animales renommées PAT - protéines animales transformées - (ceci concerne l’alimentation de poissons d’élevage).
Se diriger vers une alimentation plus tournée vers le bio, la permaculture, l’agro-écologie assure un produit sain sans pesticide (ou contenant moins) ni d’herbicides, car les méthodes sont plus naturelles et le travail mécanique remplace les produits chimiques. Par exemple: labourer les champs au lieu de disperser du Round-up, ou constituer un verger de plantes en synergie créant alors une biodiversité très productive, avec un effet répulsif sur les parasites à défaut d’utiliser des pesticides. Fuyez ces produits pour de bon! Certes ils sont peu coûteux mais vous ne reviendrez jamais de cette expérience culinaire, tant les aliments issus d’agro-écologie sont goûtus et plus intéressants sur le point de vue nutritionnel.
Que faut-il faire pour manger intelligemment?
1er solution: Consommer consciemment c’est limiter les repas contenant de la viande et du poisson dans la semaine et se soucier de leur provenance. S’approvisionner en direct avec les agriculteurs c’est dire STOP aux kilomètres dans l’assiette, et soutenir l’agriculture locale afin de trouver de bons produits ultras frais. Ca tombe bien, nous nous inscrivons exactement dans cette démarche chez Alancienne ;)! Et on va même plus loin, il est possible de venir visiter les fermes des producteurs, pour vous rendre compte du bien-être des animaux. Save the date! Prochaine visite prévue en mars: La ferme de Caffin, producteur de fromage de chèvre à 30 min du nord de Paris! Vous verrez ce qu’est un élevage BIO et respectueux de la nature.
2ème solution: Il existe plusieurs types de régime d’éviction.
Sachez qu’à travers ce paragraphe nous ne cherchons pas à vous fédérer à un régime particulier mais à vous expliquer les revendications de ces adeptes. Et peut-être, que certains viandards seront moins hermétiques aux revendications des végans.
L’alimentation végétale complète ou partielle est complexe et suscite des polémiques concernant l’équilibre alimentaire. Il existe plusieurs types de régimes dont les principaux sont: le fléxitarisme, le végétarisme, le végétalisme, et le véganisme. Avec cette tendance en pleine croissance, la réduction de consommation de viande est fondée sur des arguments incontestables, sur le coût de l’eau pour abreuver les animaux, des raisons éthiques et environnementales. Les mouvements anti-spécistes et de protection des animaux, mettent aujourd’hui en lumière les conditions abominables dans lesquelles les animaux sont élevés puis abattus.
On vous éclaire sur ces régimes du moins restrictif au plus contraignant.
Fléxitarisme: ou semi-végétarisme. Les fléxitariens partagent les revendications et les opinions des végétariens sur l’environnement, les conditions d'élevage des animaux des mégas fermes etc. mais avec moins de restrictions alimentaires. Le consommateur choisit de manger de la viande et/ou du poisson lors d’occasions particulières (restaurant ou invitation chez des amis), ou passe par cette douce transition pour se diriger à son rythme vers le végétarisme. Il est autorisé dans ce régime de manger des produits d’origine animale tels que les oeufs, le lait, le fromage, le miel etc. Cette pratique est arrivée en 1990 aux Etats-Unis; l’homme à l’origine de ce régime alimentaire est Mark Bittman un journaliste militant contre la production industrielle de viande.
Le pesco-végetarisme et pollo-végétarisme: Comme leur nom l’indique, il est permis de suivre un régime végétarien et en plus de manger de la volaille pour le pollo-végétarisme, ou du poisson pour le pesco-végétarisme. La viande rouge est toujours prohibée.
Végétarisme: Le végétarisme exclut toute consommation de chair animale, cependant les aliments d’origine animale sont autorisés tel que les produits laitiers, le fromage, les oeufs, le miel. Il existe des variantes avec l’interdiction de manger des oeufs selon le végétarisme indien par exemple ou des champignons conformément aux “Lois de Manu”.
Comme vu plus haut, il existe plusieurs pratiques alimentaires qui découlent du végétarisme selon les possibilités, les envies et la motivation de chacun en intégrant parfois des denrées carnées. Le végétarisme présente des atouts, car la majoration des végétaux pour compenser l’absence de viande ou de poisson, augmente les fibres. Ces dernières ont un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires et du cancer colorectal. Le régime végétarien procure une sensation de satiété plus importante et s’accompagne souvent d’une perte de poids excédentaire puis d’un maintien staturo-pondéral. Il est plus en vogue avec le véganisme ces 10 dernières années, car les adeptes se soucient avant tout du bien-être animal et des enjeux environnementaux.
Le végétarisme et le véganisme sont des régimes certes, mais avant tout une idéologie. De par cet engouement qui ne cesse de croître de la part des consommateurs, une grande diversité alimentaire arrive sur le marché. Le bémol à ce régime peut-être de possibles carences alimentaires en Vit B12 et en Fer s’il est mal conduit. Il requiert également beaucoup de préparation et de temps en cuisine. Malheureusement il peut être onéreux car le marché propose désormais des produits ingénieux imitant par exemple: le fromage, le chorizo ou les desserts lactés rebaptisé, et parfois avec un prix plus élevé que les produits de la version originale. Mais comme la viande de qualité est plus onéreuse que la plupart des produits du règne végétal, le panier s’équilibre.
Végétalisme: Pratique alimentaire très stricte visant à exclure tous les produits contenant de la viande, du poisson ou autre aliment d’origine animale. Ce régime s’accompagne d’une idéologie pour diverses causes éthiques (animale, environnementale, santé etc.). Les végétaliens usent de leur créativité pour confectionner des préparations goûteuses et variées. Ils ont conscience des possibles carences en Vit D, Vit B12 et Fer et déficit en protéines de bonne qualité.
Parfois il est nécessaire d’enrichir l’alimentation par le biais de compléments alimentaires afin de couvrir le manque de certains nutriments. Les réactions de l’entourage ne sont pas toutes unanimes et peuvent en décourager plus d’un mais des impacts positifs sont rapidement ressentis par le consommateur.
Véganisme: Pratique la plus stricte reprenant les mêmes évictions que le végétalisme, en plus de refuser lorsque cela est possible le port de vêtements et tous autres gadgets ou objets d’origine animale (fourrure, laine, cuir, plumes de canard etc.). Cette idéologie lutte pour la cause animale, et prend parfois la forme d’un mouvement dit anti-spéciste, décrivant les animaux comme des êtres sensibles dotés d’une conscience similaire à la nôtre. Ce mouvement s’inscrit dans la défense des animaux avec parfois des actes extrêmes de violence par des radicaux, contre les institutions corrélées à la viande (type boucherie, charcuterie, poissonnerie, abattoir, élevage intensif). Hormis cela une multitudes d’études montrent l’aspect positif du régime végan sur la santé: prévention des maladies cardiovasculaires, diminution de l’acné, meilleure digestion après les repas, lutte contre la constipation, car l’équilibre alimentaire se fait inévitablement en adoptant le véganisme.
Alors si vous êtes “végé-curieux”, pourquoi ne pas tenter l’expérience avec le lundi vert par exemple? Ou vous essayer à des préparations sans viande sur quelques repas dans la semaine?
Testez votre créativité si le défi vous tente!
Faire un bilan sur sa santé est nécessaire à certains moments de vie. Si une sensation de fatigue persiste au fil des mois, une baisse d’énergie ou des difficultés à digérer, posez-vous quelques questions sur votre quotidien et vos habitudes alimentaires. Essayez d’opérer quelques changements simples sur le long terme.
Et comme le disait Hippocrate en 400 avant J.C, père de la médecine et philosophe: “Que ton aliment soit ta seule médecine”.
Ceci n’est pas un hamburger. C’est un hamburger végan. Et c’est très très bon! ;)
Sophie pour Alancienne.
0 notes
Text
De l’ordre de 5 % de la population française serait végétarienne ou végétalienne, 10 % flexitarienne (alternance régime végétarien et carnivore) ; ces pourcentages ne cessant d’augmenter.
Dans le prolongement de la popularité croissante du “bio”, les références au vegan ou “veganomics” se multiplient que ce soit dans l’alimentation, l’habillement ou pour mettre en avant un mode de vie durable respectueux des êtres vivants et de l’environnement.
De quoi s’agit-il ?
Le terme « vegan » est l’abréviation du terme “véganisme” qui désigne un mouvement créé en Angleterre par Donald Watson en 1944 prônant la fin de l’utilisation par les hommes des animaux à des fins de nourriture, marchandise, gibier, vivisection ou distractions (zoos, cirques, chasse, équitation…).
À l’origine, mouvement radical et élitiste, il connaît une popularité grandissante avec le développement de la conscience environnementale, la recherche d’une alimentation plus saine et une sensibilisation à la souffrance animale (enquêtes-chocs sur les conditions d’abattage et témoignages de personnalités des médias, du cinéma et de la mode).
En quoi consiste-t-il ?
Le vegan est à la fois :
– un régime alimentaire de type végétalien (exclusion de tous produits d’origine animale : chair animale, sous produit animal comme les œufs ou le lait et les produits dérivés comme la gélatine) ;
Le régime alimentaire végétalien (composé de légumes, légumineuses, noix, graines, céréales et fruits) est censé être bénéfique pour la santé. Il réduirait les risques cardiovasculaires et la survenue de certains cancers (pas de cholestérol ou de graisses saturées, riches en fibres, en antioxydants et en glucides lents).
Il présenterait néanmoins un certain nombre de carences et nécessiterait une surveillance nutritionnelle particulière.
En effet, les protéines végétales, à l’exception de celles procurées par le soja et le quinoa, ne comportent pas tous les acides aminés essentiels à nos cellules. L’insuffisance en sels minéraux tels que le calcium (venant des produits laitiers) ou le fer (issus de la viande) est également problématique. La vitamine B12, indispensable à la croissance et au fonctionnement des cellules, étant absente des végétaux, la prise de compléments s’avère nécessaire.
À moins d’acrobaties culinaires quotidiennes, ce régime est déconseillé aux femmes enceintes, aux enfants en bas âge et aux personnes âgées.
Les reproches qui lui sont faits de fadeur gustative ou d’absence de variété culinaire sont contrebalancés par l’apparition d’une gastronomie vegan « cruelty free » (« sans cruauté ») et gourmande.
Par ailleurs, des recherches avancées en matière de viande artificielle à partir de cellules souches pourraient permettre dans le futur de ne plus recourir à de la viande animale d’élevage.
Ce régime adopté au départ par les célébrités hollywoodiennes, après la mode du régime hyperprotéiné, est devenu tendance.
C’est aussi une réponse radicale à la surconsommation de viande dans les pays développés, qui, à l’origine preuve de richesse et marqueur social, serait responsable de nombreuses maladies.
-et un mode de vie marqué par un refus de consommer tous produits issus de l’exploitation du règne animal (habillement, cosmétiques, loisirs…).
Les vegans prônent une philosophie de vie, un mode de consommation alternatif respectueux des animaux, « êtres sensibles », et de notre environnement.
Ils veulent mettre un terme au traitement indigne infligé aux animaux d’élevage dans certaines exploitations ou abattoirs, où ils sont réduits à l’état d’objet ou de denrée. Ils insistent également sur les ravages environnementaux causés par la filière de l’élevage (consommatrice importante de céréales, émettrice de 18 % de gaz à effet de serre dans le monde), l’industrie de la viande et du cuir.
La philosophie de vie végane s’étend à tous les aspects de la vie, que ce soit l’habillement (pas de fourrures, tissus et chaussures d’origine végétalevoire acryliques ou synthétiques…), les cosmétiques (testés sur animaux et comportant des produits animaux) ou les rencontres (des sites spécialisés existent pour trouver l’âme sœur vegane partageant la même vision du monde et le même régime alimentaire).
Une véritable industrie de produits vegans, réalisant plusieurs milliards d’euros de chiffres d’affaires, prospère aux États-Unis et en Europe ; que ce soit dans les aliments végétaux de substitution, les synthétiques, les acryliques, la restauration ou l’habillement.
Malgré son caractère fortement communautaire, voire de « religion de substitution », le vegan trouve de plus en plus d’écho auprès des nouvelles générations Millennials et Centennials, séduites par un mode de vie plus éthique, durable et bon pour la santé.
Ce bouleversement du mode de vie d’une humanité devenue carnivore avec l’amélioration de son niveau de vie n’est il pas rendu inéluctable par l’explosion démographique et la dégradation accélérée de notre environnement ?
Aller plus loin:
The vegetarian myth- Lierre Keith
The happy vegan – Russel Simmons
VEGAN : mode de vie du futur ? De l’ordre de 5 % de la population française serait végétarienne ou végétalienne, 10 % flexitarienne (alternance régime végétarien et carnivore) ; ces pourcentages ne cessant d’augmenter.
0 notes
Text
Un grand débat national... Pourquoi ? Et... après ?
Rassurez-vous braves gens, tout est sous contrôle, même le bordel hebdomadaire (c'est l'ordre... en ''version Castaner''!) ! Nous étions prévenus : Jupiter ''ne lâchera RRRien''. On va user tous ces gens dans des ''rounds'' interminables auxquels ils ne sont pas habitués, où ils se fatigueront avant lui ! Il va amuser le populo (ce n'est pas du populisme, même si c'est pareil : c'est l'intention qui compte, et elle est nettement différente, puisqu'il vous le dit !). Le sujet, ce n'est pas une ''sortie de crise'', mais c'est le maintien du non-programme qui n'avait pas été présenté lors du simulacre d'élection présidentielle, après l'élimination sans aucune raison valable du candidat qui devait être élu. Et tout ça pour finir par un débat à une seule voix ?
Je dois vous avouer, chers amis lecteurs, que je vis très mal les heures que traverse notre pays. Oh ! elles sont loin d'être parmi les plus noires, il s'en faut de beaucoup : sans aller fouiller dans les profondeurs de l'Histoire, ma vie a été assez longue pour avoir eu son lot de guerres, de crises, de troubles, d'heures sombres : je suis né juste après que Hitler ait été élu Chancelier du Reich, c'est tout dire ! Mais ici, c'est autre chose ! Je trouve que le moment présent est (qu'on me pardonne) ''sale''. Très sale, même. Et moche. Hier par exemple, en voyant ces masses qui scandaient qu'il faut être contre l'antisémitisme de ceux qui ne défilent jamais sous ce drapeau, et en voyant se pavaner tous les irresponsables qui sont responsables de la situation que connaissent en ce moment mes nombreux amis juifs, je ne me sentais pas bien. Car toute la ''bien-pensance'' voulait être vue là...
Ca fait des décennies qu'ils poussent des hurlements d'orfraie dès que quelqu'un les avertit qu'ils laissent entrer des renards dans le poulailler, ou qu'ils réchauffent des serpents dans leur sein, pour reprendre deux vieux dictons français. A chaque fois que ceux qui savent ce que ''islam'' veut dire et qui ont étudié et le Coran les mettent en garde contre certains aspects fondamentaux de cette religion et de cette civilisation, ils nous traitent d'islamophobes. Ils ne ratent pas une seule occasion de nier l'évidence, de tourner le dos à ce qui crève les yeux... pour ne pas avoir à remettre en cause leurs idées mortifères qui ne reposent sur rien : ils sont tous redoutablement incultes. Couverts de diplômes, mais incultes à en crever. (Juppé, le nouveau grand Mammamouchi de notre Constitution, avoue n’avoir jamais lu le Coran... ce qui ne l’empêche pas d’avoir un avis définitif sur l’Islam, évidemment !).
En ce qui me concerne, catho-catho grand teint, la première fois que j'ai lu le Coran -sur ordre exprès de mon Père, comme mes frères et soeurs- j'avais 14 ans (puisque ‘’le Coran ne peut être traduit’’, dans une traduction aussi acceptable que possible : il y en a quatre, dans ma bibliothèque), et ce ne fut pas la dernière... Et vers la soixantaine, j'ai suivi les cours du Lundi sur ''la Foi d'Israël'' du grand Rabbin Sitruk (que j'ai immensément admiré et respecté), et c'est à tout cela que je pensais, devant mon poste de télévision... en me disant que, au moment où nous devions et où nous devons déchoir ces ordures de la nationalité française dont ils (ou elles) ne veulent pas... ceux-là même qui défilent (en se défilant !) se préparent sans le dire à toutes les ''marches blanches'' qui les attendent dans les semaines, les mois et les années qui viennent, le monde étant... ce qu'ils en font, hélas. Franchement, on se demande bien comment a fait le bon Dieu pour oublier le déni de la réalité dans la liste des péchés mortels, ceux qui ne méritent que l'enfer.
Pour en revenir aux ébats du soi-disant ''Grand débat'', les salles de rédaction, qui n'y sont pas hostiles (elles se trompent toujours sur tout, c'est une espèce de loi générale) ont tout de même voulu savoir ce qui se cachait derrière tout ce jaune canari : on ne sait jamais, il pourrait y avoir des idées non-conformes à la doxa politiquement correcte ! Et ça, pas question ! ''Montrez-nous donc ce que vous avez sous vos gilets ''... L’identité nationale, l’immigration, l’Islam et la peine de mort pour les terroristes ? N'y pensez même pas, c’est niet : nos prompteurs ne savent même pas imprimer ces mots, et nos oreillettes grésillent en les entendant. La prolifération excessive des radars en Corrèze (alors que dans le ''9-3'', on roule en scooter volé sans casque et sans assurance) ? On préférerait parler d'autre chose : le lobby des anti-vitesse pathologiques est encore vivant, vous savez...
Ah ! Mais le retour de l’ISF, en revanche, ça, c’est bien : ça plaît toujours. Le RIC, la démocratie directe ? Mouais, on peut en discuter. Mais attention, hein, pas de connerie : aucun référendum sur des sujets choisis par vous, on est bien d’accord ? Et qu’est-ce que je vois là au fond de votre besace ? Le pouvoir d’achat ! Et ‘’i’’ disait rien le fripon ! Ce que tu demandes, c’est plus de pognon à la fin du mois ? Ca va pas, la tête ? Heureusement qu'on est là pour t'éviter une grosse connerie ! Et tu vois... dès qu'on t'aide à réfléchir, c’est mieux. Pour te montrer que tu n’as pas affaire à un ingrat, je te fais un petit ''sujet'' sur les 80 km/h, et si ça se trouve, au terme du ''Grand débat'', il y aura deux ou trois départementales autour de ton bled sur lesquelles tu pourras te lâcher à 90 km/h. Mets donc un coup de polish sur ta vieille Diesel, pour fêter ça. Tout va bien : les gilets jaunes sont en train de devenir des cégétistes comme les autres (les gros bras en moins, pour l’instant).
Après plusieurs semaines passées à se faire ''castaner'', les gilets jaunes peuvent enfin devenir, mais dans les médias seulement, ''un mouvement pour la survie du modèle social français'' : hausse des salaires généralisée, plein de services publics dans nos 36 000 communes, les aristocrates de l’ISF à la lanterne, et encore plus d'impôts pour tout le monde, toutes les autres préoccupations ayant été passées à la trappe. On soupçonne certes encore certains défenseurs du RIC de vouloir soumettre aux urnes une question autre que ''voulez-vous le SMIC à 3 000 € et la retraite à 55 ans, le tout financé par le capital à face de hyène et les riches (tous fraudeurs, et tapis dans leurs paradis fiscaux) ?'', mais dans l’ensemble, tout est sous contrôle. Mais on l'a échappé belle : on a failli leur rendre un brin de dignité !
On a droit, maintenant, au ballet des pleureuses mélenchoniennes sur les dégâts provoqués par les 2 ans de timide libéralisme soi-disant caractéristique de Macron (Ah ! Si seulement on avait eu un Chavez ou un Maduro... ce serait le vrai bonheur, comme à Pyong-Yang ou à Caracas !). Mais les euros qui manquent en fin de mois pour les Français des classes dites moyennes sont, tout simplement, les points de croissance que notre modèle social n’a pas su créer ou qu'il a détruits pendant que la plupart de nos voisins les fabriquaient, sous les quolibets de nos irresponsables.
Question dérangeante pour nos nuls : comment ont fait les Allemands ou les Bataves pour avoir 3% de chômeurs et une croissance plus forte ? Aucune réponse, à France Inter et à France-Télévision. Pourtant, les gilets jaunes sont chez nous et non en Allemagne! Et, pire encore, ils ont tant de points communs avec les brexiters et avec les électeurs de Salvini, d'Orban et de tant d'autres européens, de Bolsonaro ou de Trump. Il faut une mauvaise foi ''de gauche'' pour penser qu’ils pourraient communier dans la perspective de l’ISF ou des 35h, alors que la vérité, dérangeante mais incontournable, est que l’enjeu du siècle, c’est celui des frontières et de la protection d’une identité culturelle. Accessoirement, il existe un ''cessez de nous emmerder !'' global, que ce soit à propos du véganisme, du féminisme #metoo, de la prolifération des radars, de l'écriture inclusive, de l’apocalypse écologique ou du sexe des anges. Et si on pouvait nous rendre un peu de notre Liberté, si confisquée par tant de normes absurdes et de lois de circonstance, toutes perverses et liberticides, on est ''pour'' !
Et pendant ces trois mois perdus pour la France... Abracadabra ! les gilets jaunes sont devenus d’inconsistants cégétistes et des sales casseurs, mais en version fluo. Les faux magiciens ont fait disparaître les revendications sociétales ou identitaires des défilés, et le Débat va donc pouvoir s'arrêter, faute de combattants (ils ont été... battus, si j’ose !) : dans la fatigue des uns, l'épuisement des autres et la lassitude de tous, les bien-pensants politiquement corrects vont pouvoir se remettre au lent travail de sape systématique de ce qui fut ''la France'', ce petit bout d'Europe où il faisait si bon vivre... Mais ça, c'était... ''avant''.
H-Cl.
PS - Et voilà ! Le temps est revenu de nous quitter pour quelques jours... je vais me mettre ''en RTT de clavier'' et aller respirer la bonne odeur des pins, en contemplant la Grande Bleue, si belle et si chère à mon cœur. Sauf si des événements le justifiaient, nous ne nous retrouverons pas avant le 14 mars (''date à reporter sur vos agendas''), ‘’si Dieu le veut’’. En effet, de gros travaux de ''mise aux normes'' risquent (contre mon gré : rien n’est plus bête qu’une norme européenne) de me retenir au delà des vacances scolaires. Bonnes vacances...
2 notes
·
View notes