#critique de livre
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laplumedemaureen · 1 year ago
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Book Review : The Serpent & The Wings of Night - Carissa Broadbent
ONE OF THE BEST BOOKS I'VE READ IN A WHILE
Soul-Crushing. Mind-Blowing. Heart-Breaking. Gut-Wrenching.
I could go on for a while. This was Sarah J Maas meets The Hunger Games in a dark vampire world. But better than all that. It had everything. Also the MC is like 23 so it was perfect for me : not too teenage but not quite yet adult either. Exactly what I look for in books right now.
The vibes ? Awesome. If you're slightly tired of vampire stories and romances, this one won't disappoint. It's dark, in a desert-like world, it has magic and awful gods, murder everywhere. Romance is hella present, but it's not the whole plot.
Because the plot has deadly trials, intricate political themes, unlearning what you've been taught in your childhood, injustice, and so much more. It's finely woven, so much so that you only understand the whole puzzle by the last pages.
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And as for the romance... wow. Talk about fucking slow-burn and tension building. The chemistry between these two is unbelievable. ALSO there's a healthy yet complicated father-daughter bond that's just... <3
And the ending, well... it broke my soul into a million tiny pieces, and still left me craving for more. You know the kind of book where you put it down feeling like your chest has been ripped out, and you're both glad and sad about it ? Like how can you go back to living your life after that ? That's this kind of book. I can't wait to read the next one, but i also dread it for my poor little heart.
Well done, Carissa, well done.
What about you ? Have you read this book ? (please i need someone to yell with me about it)
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lesparaversdemillina · 3 months ago
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Thieves' Gambit T1 de Kayvion Lewis
Ross Quest, voleuse de 16 ans, doit gagner un concours pour sauver sa mère kidnappée. Le récit est captivant, avec une dynamique authentique. Note: ★★★★
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valienka · 9 months ago
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svetla et helea
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Svetla et Helea surplombent les lacs du royaume des Mille Eaux - #midjourney #fotor
www.leseptiemepeuple.fr
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prosedumonde · 1 year ago
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annalysa · 6 months ago
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Is it not like the basics ? To read a book/watch a movie to form an opinion on it ? Why did you criticize a book or a movie without interacting with it ? It is not elitist, how can you have an opinion on a text you don't know !?
sorry to be part of the elitist intelligentsia but i do think you have to read the text you have an opinion on if you expect your opinion to be taken seriously
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vagabondageautourdesoi · 6 months ago
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Olivier Adam - Il ne se passe
Coucou les amis, Présentation du premier polar d'Olivier Adam dont le titre peut surprendre Il ne passe jamais rien ici. Un excellent roman noir !
Jamais rien ici Comme d’habitude, Olivier Adam s’inspire d’un artiste pour lui dédier ce roman choral, présenté sous forme d’une enquête parfaitement réussie. L’épigraphe est un hommage à l’artiste Jean-Louis Murat, trop rapidement disparu. Dans un petit village, près du lac d’Annecy, Olivier Adam y implante son nouveau roman dont le titre peut surprendre : “Il ne se passe jamais rien…
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louisa-a · 1 year ago
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Ep.71 🍽️ François Simon "La cuisine, c'est le don. On a envie qu'il y ait du sentiment."
François Simon, le critique gastronomique le plus célèbre de France. J’ai découvert tardivement sa voix envoûtante, ses mots, son œuvre, grâce à Instagram où il publie chaque jour ses découvertes. Il était temps de parler des lieux où on donne rendez-vous pour un 1er date : un café, qui peut mener à un restaurant et qui sait ensuite ? Quel endroit choisir ? Et quelle place à l’intérieur du lieu ?…
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laetistardust · 1 year ago
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Voici l'histoire du dernier des hommes qui parlait la langue des serpents, de sa sœur qui tomba amoureuse d’un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, d’une paysanne qui rêvait d’un loup-garou, d’un vieil homme qui chassait les vents, d’une salamandre qui volait dans les airs, d’australopithèques qui élevaient des poux géants, d’un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons épouvantés par tout ce qui précède... Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d’un souffle inspiré des sagas scandinaves, un roman à l’humour et à l’imagination délirants. (Booknode)
Folklore, contes et croyances s'entremêlent et, parfois, s'entrechoquent dans ce roman hors du commun. Dans cette Estonie réinventée, Leemet notre protagoniste, se trouve à la frontière entre tradition et modernité. Les hommes quittent un à un la forêt, se convertissent au christianisme et oublient la langue des serpents. Entre ceux qui se cramponnent à des coutumes insensées et ceux qui se précipitent aveuglément dans un nouveau mode de vie, Leemet peine à trouver sa place.
Je découvrais ici l'imaginaire de Kivirähk. Je l'avoue, je craignais un peu d'y trouver un monde qui me serait inaccessible, moi qui en sais bien peu sur le folklore scandinave. Au final, je m'inquiétais pour rien. L'auteur nous invite avec plaisir dans son univers merveilleux, accessible à tous et terriblement captivant. Il s'interroge sur le progrès et les valeurs ancestrales sans prendre parti. Au contraire, il démontre les bons et mauvais côtés de chacun, laissant à son protagoniste - et à ses lecteurs - le soin de faire le tri.
J'ai adoré découvrir ce monde fantastique et ces personnages hauts en couleurs. C'était le premier Kivirähk que je lisais, mais certainement pas le dernier.
Note finale : 5/5
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laplumedemaureen · 1 year ago
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Book Review : The Cruel Prince - Holly Black
You're only reading this series now ?!
Well... yes. I'm late. I know. Lmao. Better late than never.
Anyway, I heard a loooot about this series before reading it. Praise comparing it to Leigh Bardugo, Cassandra Clare and Sarah J Maas -> aka, all my favorite authors. So I was very confident picking up this book. I expected it to become my new favorite, my latest obsession.
It was not the case. Hear me out, I did like it. But not as much as I expected to. Allow me to explain. The novel is divided in two parts, Book 1 and Book 2. Book 1 lasts for more than half the actual thing. It's all about lore, worldbuilding, getting to know the characters etc. And I just... couldn't get lost in this world. I suppose little folk and faeries aren't necessarily for me. It was nice-ish, but just too much description and lore at once for my taste.
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And the whole plot is basically low-stakes teenage drama and I just couldn't find myself caring about what would happen next. You can definitely tell there's underlying politics and scheming about to come. You can feel it has a lot of potential but... it's just not fully developed. So I was a bit disappointed.
BUT THEN.
You get to the end of Book 1. AND. HERE. IT. IS. There's politics, there's intrigue, there's plot, drama and tension all at once, and it finally starts to feel like the stakes are higher than ever and we're about to get real action and find out what this OC is capable of.
And Book 2 is just awesome. I really liked it and read it super quickly. I do want to read the next book and I did enjoy this one, I just wished the first part was shorter and the second longer.
What about you ? Have you read this series ?
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valienka · 9 months ago
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les reines de la nuit
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mesillusionssousecstasy · 2 years ago
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“La Fille aux yeux d’or” par Honoré de Balzac
Encore un autre magnifique livre de Balzac, plus particulièrement une histoire de sa comédie humaine, scène de la vie parisienne, histoire des Treize. Dommage que cette histoire n'est pas venue avec les deux précédentes, soit Ferragus et la Duchesse de Langeais (cela n'a pas de sens). Balzac ne déçoit jamais.
Par contre, je n'ai pas compris pourquoi Balzac n'est pas allé jusqu'au bout de l'histoire, à savoir l'histoire d'amour entre le frère et la soeur, page 156, "Tu es encore trop jeune, trop belle, dit Henri en la prenant dans ses bras et lui donnant un baiser." D'ailleurs le manuscrit faisait dire à Henri, "je ne voudrais pas que ce fût le dernier", (page 28). Dommage.
De plus, la fin était assez confuse. Finalement qui écrivait les lettres que Paquita recevait de Londres? Honnêtement à partir de la page 152, tout devient incompréhensible.  
Attention, ne pas lire l'introduction si vous ne voulez pas être gâché de l'intrigue de l'ouvrage et je ne comprends pas pourquoi la préface de 1834 (Histoire des Treize) ne pouvait pas être mise devant le commencement de l'histoire (page 177) ?
Il y a une très belle notion de ce qu'un écrivain / auteur doit être, page 180.
Magnifique introduction de la vie parisienne, de la page 49 à 71 ; la conclusion se trouve à la page 69. La vie parisienne est divisée par cat��gorie (artiste, ouvrier, bourgeois, noble,... voir citations ci-dessous), par exemple, "À Paris, la vanité résume toutes les passions", (page 64). Ceci me fait tellement penser à certains passages de "Hell".
Il y a aussi une belle référence à Dante et sa divine comédie dont Balzac s'est inspirée pour créer sa comédie humaine à son tour (page 60). Ici le cercle de l'enfer, représente le cercle parisien.
L'histoire commence réelle à la page 72, avec Henri de Marsay. Toutefois, je n'ai pas vraiment compris son arbre généalogique, mise à part que son père biologique est Lord Dudley, mais qui est sa mère (page 72 à 75)? Je me demande si Henri a vraiment été amoureux ou seulement intoxiqué par l'inaccessibilité de la fille aux yeux d'or (page 88), soit Paquita Valdès (à ne pas confondre avec Edmond Dantès).
La première fois que le titre est mentionné cela est à la page 86, puis à la page 133, 144, 152 et 156.
Concernant Paquita Valdès, je ne comprends toujours pas pourquoi on a eu besoin de la cacher, ou pourquoi elle ne pouvait pas avoir une vie "normale", pourquoi être une sorte d'esclave (page 94 et 155).
On aurait pu mentionner que le facteur s'appelait Moinot avant de mentionner son nom dans les notes de bas de page (soit d'abord à la page 94/167, puis officiellement présenté à la page 95).  
J'aime bien la relation d'amitié qu'Henri entretient avec Paul, bien qu'elle n'est pas équitable (page 98).
J'adore l'astuce qu'Henri a trouvé pour voir Paquita, comment se débarrasser de la duègne, il suffit de l'endormir avec de l'opium tout simplement (page 102-104). La première entrevue entre Henri et Paquita se fait à la page 110.
D'ailleurs, je ne comprends pas comment Paquita est vierge, car elle semble avoir plus d'un amant (page 129 et 133) ? Que s'était-il vraiment passé entre Paquita et Henri, ont-ils cédés à la tentation de la chair ? Ensuite, Paquita est de la Havane (page 132), mais sa mère est géorgienne (156)?  
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais "la vie est un fleuve qui sert à faire du commerce", (page 134).
Henri peut être terrible quand il veut, "pour conserver l'honneur de celle que nous aimons assez pour la respecter", (page 135) ou encore, "D'ailleurs il avait déjà pensé, malgré l'emportement de sa colère, qu'il était peu prudent de se commettre avec la justice en tuant cette fille à l'improviste et sans en avoir préparé le meurtre de manière à s'assurer l'impunité," (page 148). "Henri ne savait pas pardonner. Le savoir-revenir, qui certes est une des grâces de l'âme, était un non-sens pour lui," (page 149).
J'ai adoré la référence aux Liaisons dangereuses et à Sade (Justine ou les Malheurs de la vertu) (page 138).
Questions : - Qui est doña Concha (page 142) ? - Pourquoi Paquita a déplu à Henri à la page 147-149? Je n'ai pas compris le caca nerveux de Henri, absolument pas. - Et pourquoi la prochaine fois que l'on revoir Paquita celle-ci gît pleine de sang dans le boudoir rose, en train de mourir (page 152). - Qui est Mme de San-Réal, la marquise (page 153) ? La soeur de Henri, Margarita-Euphémia Porrabéril ? L'amante de Paquita ? - Comment est mort Christemio (page 155) ? - Donc la duègne n'est pas la mère de Paquita ? - Pourquoi Henri ne croise jamais sa soeur dans la ville de Paris ?
Trop de questions se posent à partir de la page 152, comme dirait le Bulletin de censure en juin 1846, "Ce roman est un imbroglio sanglant où rien n'est clairement défini..."
Note de bas de page très intéressantes : - 20 (page 158) = sur l'occupation des étages qui correspond aux différents degrés de la hiérarchie sociale. - 34 (page 160) = l'apanage de ceux que Balzac a coutume d'appeler les trois "robes noires" : l'homme de loi, le médecin et le prêtre. - 91 (page 167) = les calembours de Balzac.
Très belles citations: - Page 50 : "Peu de mots suffiront pour justifier physiologiquement la teinte presque infernale des figures parisiennes, car ce n'est pas seulement par plaisanterie que Paris a été nommé un enfer." & "À force de s'intéresser à tout, le Parisien finit par ne s'intéresser à rien." - Page 51 : "En effet, indifférent la veille à ce dont il s'enivrera le lendemain, le Parisien vit en enfant quel que soit son âge. Il murmure de tout, se console de tout, se moque de tout, oublie tout, veut tout, goûte à tout, prend tout avec passion, quitte tout avec insouciance ; ses rois, ses conquêtes, sa gloire, son idole, qu'elle soit de bronze ou de verre ; comme il jette ses bas, ses chapeaux et sa fortune. À Paris, aucun sentiment ne résiste au jet des choses, et leur courant oblige à une lutte qui détend les passions : l'amour y est un désir, et la haine une velléité ; il n'y a là de vrai parent que le billet de mille francs, d'autre ami que le Mont-de-Piété." - Page 58 : "Là donc aussi, pour obéir à ce maître universel, le plaisir ou l'or, il faut dévorer le temps, presser le temps, trouver plus de vingt-quatre heures dans le jour et la nuit, s'énerver, se tuer, vendre trente ans de vieillesse pour deux ans d'un repos maladif." - Page 61 : "Ces gens-là déposent leur coeur où ?..." & "Pour eux, point de mystères, ils voient l'envers de la société dont ils sont les confesseurs, et la méprisent." - Page 62 : "À toute heure, l'homme d'argent pèse les vivants, l'homme des contrats pèse les morts, l'homme de loi pèse les conscience." - Page 63 : "Alors, pour sauver leur amour-propre, ils mettent tout en question, critiquent à tort et à travers ; paraissent douteurs et sont gobe-mouches en réalité, noient leur esprit dans leurs interminables discussions." - Page 64 : "Excédés par un besoin de produire, dépassés par leurs coûteuses fantaisies, lassés par une génie dévoreur, affamés de plaisir, les artistes de Paris veulent tous regagner par d'excessifs travaux les lacunes laissées par la paresse, et cherchent vainement à concilier le monde et la gloire, l'argent et l'art." - Page 65 : "Le peintre sans occupation se ronge les entrailles s'il se sent homme de génie. La concurrence, les rivalités, les calomnies assassinent ces talents. Les uns, désespérés, roulent dans les abîmes du vice, les autres meurent jeune et ignorés pour s'être escompté trop tôt leur avenir. Peu de ces figures, primitivement sublimes, restent belles. D'ailleurs la beauté flamboyante de leurs têtes demeure incomprise. Un visage d'artiste est toujours exorbitant, il se trouve toujours en dessus ou en dessous des lignes convenues pour ce que les imbéciles nomment le beau idéal. Quelle puissance les détruit ? La passion. Toute passion à Paris se résout par deux termes : or et plaisir." - Page 66 : "Mais abordons les grands salons aérés et dorés, les hôtels à jardins, le monde riche, oisif, heureux, renté. Les figures y sont étiolées et rongées par la vanité. Là rien de réel. Chercher le plaisir, n'est-ce pas trouver l'ennui ? Les gens du monde ont de bonne heure fourbu leur nature. N'étant occupés qu'à se fabriquer de la joie, ils ont promptement abusé de leur sens, comme l'ouvrier abuse de l'eau-de-vie. Le plaisir est comme certaines substances médicales : pour obtenir constamment les mêmes effets, il faut doubler les doses, et la mort ou l'abrutissement est contenu dans la dernière. Toutes les classes inférieures sont tapies devant les riches et en guettent les goûts pour en faire des vices et les exploiter. - Page 67 : "Les riches rencontrent à Paris de l'esprit tout fait, la science toute mâchée, des opinions toutes formulées qui les dispensent d'avoir esprit, science ou opinion. Dans ce monde, la déraison est égale à la faiblesse et au libertinage. On y est avare de temps à force d'en perdre. N'y cherchez pas plus d'affections que d'idées. Les embrassades couvrent une profonde indifférence, et la politesse un mépris continuel. On n'y aime jamais autrui. Des saillies sans profondeurs, beaucoup d'indiscrétions, des commérages, par-dessus tout des lieux communs ; tel est le fond de leur langage ; mais ces malheureux Heureux prétendent qu'ils ne se rassemblent pas pour dire et faire des maximes à la façon de La Rochefoucauld ; comme s'il n'existait pas un milieu, trouvé par le dix-huitième siècle, entre le trop-plein et le vide absolu." & "Cette vie creuse, cette attente continuelle d'un plaisir qui n'arrive jamais, cet ennui permanent, cette inanité d'esprit, de coeur et de cervelle, cette lassitude du grand raout parisien se reproduisent sur les traits, et confectionnent ces visages de carton, ces rides prématurées, cette physionomie des riches où grimace l'impuissance, où se reflète l'or, et d'où l'intelligence a fui." - Page 70 : "À l'heureuse et molle espèce des flâneurs, les seuls gens réellement heureux à Paris, et qui en dégustent à chaque heure les mouvantes poésies." - Page 71 : "Aussi, le femmes admirent-elles aussitôt ces jeunes gens avec ce plaisir avide que prennent les hommes à regarder une jolie personne, décente, gracieuse, décorée de toutes les virginités dont notre imagination se plaît à embellir la fille parfaite. Si ce coup d'oeil rapidement jeté sur la population de Paris a fait concevoir la rareté d'une figure raphaélesque, et l'admiration passionnée qu'elle y doit inspirer à première vue, le principal intérêt de notre histoire se trouvera justifié." - Page 76 : "Pour une femme, le voir, c'était en être folle ; vous savez ? concevoir un de ces désirs qui mordent le coeur, mais qui s'oublient par impossibilité de le satisfaire, parce que le femme est vulgairement à Paris sans ténacité." - Page 77 : "Hélas ! Toutes ces belles qualités, ces jolis défauts étaient ternis par un épouvantable vice : il ne croyait ni aux hommes ni aux femmes, ni à Dieu ni au diable. La capricieuse nature avait commencé à le douer ; un prêtre l'avait achevé." - Page 78 : "Le jeune homme examinait les promeneurs, avec cette promptitude de coup d'oeil et d'ouïe particulière au Parisien qui paraît, au premier aspect, ne rien voir et ne rien entendre, mais qui voit et entend tout." - Page 79 : "De cet air affectueux en apparence, mais qui entre les jeunes gens parisiens ne prouve rien, ni pour le présent ni pour l'avenir. En effet, les jeunes gens de Paris ne ressemblent aux jeunes gens d'aucune autre ville. Ils se divisent en deux classes : le jeune homme qui a quelque chose, et le jeune homme qui n'a rien ; ou, le jeune homme qui pense et celui qui dépense. Mais entendez-le bien, il ne s'agit ici que de ces indigènes qui mènent à Paris le train délicieux d'une vie élégante." - Page 96 : "Disons-le à la louange des femmes, il obtenait toutes celles qu'il daignait désirer. (...) à un jeune homme armé de la beauté qui est l'esprit du corps, armé de l'esprit qui est une grâce de l'âme, armé de la force morale et de la fortune qui sont les deux seules puissances réelles ? Mais en triomphant aussi facilement, de Marsay devait s'ennuyer de ses triomphes ; aussi, depuis environ deux ans s'ennuyait-il beaucoup. En plongeant au fond des voluptés, il en rapportait plus de gravier que de perles." - Page 97 : "Comme les vieillards et les gens blasés, il n'avait plus que des caprices extravagants, des goûts ruineux, des fantaisies qui, satisfaites, ne lui laissaient aucun bon souvenir au coeur." - Page 102 : "Si l'on ne peut pas te faire capituler, avec un peu d'opium l'on t'endormira." - Page 106 : "L'homme malheureux de Paris est l'homme malheureux complet, car il trouve encore de la joie pour savoir combien il est malheureux." - Page 116 : "Jeta sur lui un de ces regards qui vont jusqu'à l'âme et la brûlent." - Page 140 : "Mais, pour le désespoir de l'homme, il ne peut rien faire que d'imparfait, soit en bien soit en mal." - Page 142 : "J'ai mis doña Concha entre la peur d'une mort immédiate et une colère à venir." - Page 144 : "Paquita répondait à cette passion que sentent tous les hommes vraiment grands pour l'infini, passion mystérieuse si dramatiquement exprimée dans Faust, si poétiquement traduite dans Manfred, et qui poussait Don Juan à fouiller le coeur des femmes, en espérant y trouver cette pensée sans bornes à la recherche de laquelle se mettent tant de chasseurs de spectres, que les savants croient entrevoir dans la science, et que les mystiques trouvent en Dieu seul. L'espérance d'avoir enfin l'Être idéal avec lequel la lutte pouvait être constante sans fatigue ravit de Marsay qui, pour la première fois, depuis longtemps, ouvrit son coeur." - Page 151 : "Dit le chef des Dévorants avec le rire d'un critique enchanté de découvrir une faute dans une belle oeuvre."
Bonsoir.
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coovieilledentelle · 2 months ago
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« Nous sommes comme des livres. La plupart des gens ne voient que notre couverture, une minorité ne lit que l'introduction, beaucoup de gens croient les critiques. Peu connaissent notre contenu. »
~ Émile Zola -
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margoth144p · 6 months ago
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Ter T.a não te dá passe livre pra criticar o corpo alheio...
Pelo contrário, nós pessoas com T.a sabemos mais do que ninguém como é a sensação horrível de odiar o próprio corpo e de se sentir mal só por se olhar no espelho... Então não faz sentido fazer alguém sentir o mesmo ódio e a mesma sensação que nós sentimos e que, sabemos o quão ruim é.
Se quer criticar algum corpo, critique o seu, quem sabe isso te ajude a focar na sua meta e a deixar o corpo alheio em paz.
obs: isso não é válido pra pessoas que criticaram seu corpo!! se alguém falou sobre seu peso, você tem sim direito de falar sobre o dela de volta.
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girafeduvexin · 3 months ago
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Je veux pas critiquer booktok pour critiquer booktok mais je crois que j'ai compris pourquoi certains livres très populaires déçoivent parfois quand on les lit enfin. Je regardais une booktokeuse qui parlait des livres qu'elle aimait et qu'elle n'aimait pas et elle en parlait de manière très émotionnelle : "ce livre va vous faire pleurer", "ça me faisait frissonner" et c'est pas forcément une mauvaise chose ! Je dis souvent à mes élèves de partir de ce qu'ils ressentent pour analyser un texte. Mais après il faut aller plus loin : quand elle parle du style d'un auteur qu'elle n'aime pas "vous verrez en lisant, c'est particulier" en quoi ? C'est froid ? Au contraire, c'est très riche, y a beaucoup d'adjectifs ? En quoi c'est triste, en quoi c'est beau ?
Le problème, c'est que je peux vous montrer trois livres radicalement différents en vous promettant qu'ils m'ont fait pleurer et ce sera sans doute vrai, mais ça ne suffit pas : c'est le détail, la forme, qui va porter le livre, le distinguer des autres. Si elle avait dit : "J'ai beaucoup aimé ce livre car sa structure narrative atypique fait qu'on est porté tout au long de l'histoire. Le style froid de l'auteur, assez neutre, permet de vraiment mettre en relief la dureté de ce monde" etc, on saurait à quoi s'attendre et en lisant ensuite le livre, même si on aime quand même pas, on n'aurait pas l'impression d'avoir été trompé sur la marchandise. Je pourrais me dire "en effet, la structure narrative est atypique mais personnellement, je la trouve confuse" et ainsi de suite. Alors que juste dire "ça m'a fait pleurer donc c'est bien", on ne peut pas cerner l'intérêt du bouquin.
Vous pouvez pleurer en lisant Twilight et en lisant Proust, et c'est légitime dans les deux cas, mais les techniques littéraires ne seront pas les mêmes.
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1vidapoeticando · 8 months ago
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Ser livre é algo que não tem preço...Sentimos em nossa alma a doçura e a delicadeza da sensação de paz de alegria, e a felicidade completa...Sem medo de críticas ou questionamentos...Somos donos de nós mesmos...E A felicidade voa para as palmas das mãos, quando estamos prontos para aceitá-la...
Ser libre no tiene precio... Sentimos en nuestra alma la dulzura y la delicadeza del sentimiento de paz, de alegría y felicidad completa... Sin miedo a la crítica ni al cuestionamiento... Somos dueños de nosotros mismos... Y la felicidad vuela a las palmas de nuestras manos, cuando estamos listos para aceptarla...
Essere liberi non ha prezzo... Sentiamo nella nostra anima la dolcezza e la delicatezza del sentimento di pace, di gioia e di felicità completa... Senza timore di critiche o domande... Siamo padroni di noi stessi... E la felicità vola nei palmi delle nostre mani, quando siamo pronti ad accettarla...
Être libre, ça n’a pas de prix... Nous ressentons dans notre âme la douceur et la délicatesse du sentiment de paix, de joie et de bonheur complet... Sans crainte de la critique ou de la remise en question... Nous sommes maîtres de nous-mêmes... Et le bonheur s’envole dans la paume de nos mains, quand nous sommes prêts à l’accepter...
Being free is priceless... We feel in our soul the sweetness and delicacy of the feeling of peace, of joy, and complete happiness... Without fear of criticism or questioning... We are masters of ourselves... And happiness flies into the palms of our hands, when we are ready to accept it...
Frei zu sein ist unbezahlbar... Wir spüren in unserer Seele die Süße und Zartheit des Gefühls des Friedens, der Freude und des vollkommenen Glücks... Ohne Angst vor Kritik oder Infragestellung... Wir sind Meister unserer selbst... Und das Glück fliegt uns in die Hände, wenn wir bereit sind, es anzunehmen...
Özgür olmak paha biçilemez... Ruhumuzda huzur, neşe ve tam mutluluk duygusunun tatlılığını ve inceliğini hissediyoruz... Eleştirilmekten ve sorgulanmaktan korkmadan... Biz kendimizin efendisiyiz... Ve mutluluk, kabul etmeye hazır olduğumuzda avuçlarımızın içine uçar ...
Fonte: 1Vidapoeticando 🌺🍃 🦋
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vagabondageautourdesoi · 7 months ago
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Édouard Louis - Monique s'évade
Présentation du récit de Édouard Louis, Monique s'évade, une commande de sa mère pour rendre compte de sa libération et son évasion.
Avec ce leitmotiv “La honte est une mémoire”, Édouard Louis relève tous ses petits souvenirs de rendez-vous manqués, ces moments de gêne, de ses paroles prononcées, vite oubliées, qui décriait le quotidien de sa mère, même séparée de son père. Elle avait cru encore une fois qu’un homme pouvait la protéger ! Mais, un soir, elle appelle son fils… “Trois maris, trois poivrots”. Et au troisième,…
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