#Récit
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CATACHRÉSE PART.1
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Samedi
J'ai un petit fils qui aura 3 ans en mars. Nous sommes très proches par le cœur et par la distance. Je suis la mamie qui vit le plus près de chez lui et donc celle qui le garde le plus souvent quand ses parents souhaitent aller au resto ou quand il y a un imprévu au boulot. J'ai été sa nounou de son 3em à son 6em mois. Mais c'était épuisant ! Il arrivait à 6h du matin et moi, je ne suis vraiment pas du matin ! J'ai donc demandé aux parents de trouver une autre solution.
J'essaie de voir mon petit fils, que je surnomme Mimi, au moins une fois par semaine. Quand il vient chez moi, il fait et il mange tout ce qui est interdit chez ses parents, c'est la base ! Notre truc, c'est de faire de la peinture, de la pâte à modeler et du découpage. Nous faisons aussi des jeux, des puzzles et parfois des gâteaux vite fait. Je profite de sa présence au maximum. Je tiens à lui créer des souvenirs mais il me semble en avoir déjà parlé. Et puis, je stimule son côté créatif parce que son père, encore lui, ne veut voir ni feutre, ni peinture, ni pâte à modeler chez lui (Son père, c'est mon fils pourtant, et il m'a toujours vu créer des choses )
Bref aujourd'hui à 15h mon mini artiste en herbe va débarquer à la maison pour quelques heures. Une façon bien agréable de rendre ce samedi gris et ennuyeux, beaucoup plus. agréable.
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Le numéro 9!

Le printemps arrive! Et avec lui, « Dites donc ! » continue, toujours plaisamment, à arpenter ses chemins buissonniers. Plonger dans des forêts mythiques, voguer jusqu’en Inde pour la joie des papilles, espérer troquer des vaches contre des singes et des éléphants, trembler dans une sombre aventure parisienne et, pour ne pas rentrer trop vite, se prendre un petit air d'éternité au Badgad Café. Mais oui, c'est le numéro 9! Bonne lecture!

Nous serons ravis de diffuser vos histoires, vos écrits, vos œuvres. Alors n’hésitez pas à nous contacter pour nous envoyer vos témoignages, récits, productions en tous genres. Nous les intégrerons aux numéros à venir avec grand plaisir ! Contact: Association La Voix des autres, [email protected] / 0662277300
Exemplaires papiers en vente sur HelloAsso. 2€.
Abonnement annuel possible.
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Kiki de Montparnasse
In a way tout le monde voudrait vivre sa vie rocambolesque d'artiste ou au moins amie d'artiste à trainer à droite à gauche sociabiliser avec les premiers venus. Appeler ses amis "les copains" et vivre des histoires d'amour passionnelles au cabaret du coin.
Cependant, elle était jeune. Bien trop. Quand à 16 ans tu poses pour des artistes qui n'hésitent pas à te toucher en abusant de leur pouvoir d'adulte et leur statut de peintre tu dois évidemment te mentir à toi même. Alors ce qui m'a dérangé c'est la manière qu'elle a eu d'intégrer cette violence. Je pourrais prendre l'exemple du concierge qui s'amuse à flasher des jeunes (voir très jeunes dans le cas de Kiki) et elle qui shame les autres femmes que ça ne fait pas rire. Je comprends le mécanisme d'autodéfense mais je ne peux m'empêcher de remarquer que c'est bien le revers d'une société maltraitante envers les femmes précaires et que ça romantisation à travers le récit autobiographique m'a tout de même dérangé.
Je conseille grandement, rapide à lire (sauf quand on est moi), 200 pages qui transportent dans un monde fantasmé du Paris des artistes au début du 20e siècle.

#Art#Biographie#Montparnasse#Paris#Artistes#Man Ray#Foujita#Kisling#1900#Icône#Iconique#Rocambolesque#Livre#Lecture#Récit#Critique
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Y comme Yakyakistan
Quand, plus tard, on découvre le degré zéro du récit et de la traduction en Ponyville – oui, Ponyville –, on tombe sur un toponyme fantastique : l'un des royaumes voisins de ce monde aux poneys guimauves a été nommé le Yakyakistan.
Défi n°1 : Essayez de ne pas fourcher, en lecture à voix haute (si possible le matin au réveil).

#autobiographie#chronique#enfance#journal#maternité#poème en prose#récit#anecdote#dérision#enfant#dictionnaire#abécédaire#mère#bébé
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Le voici. À paraître aux éditions Verticales le 3 octobre 2024
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Passe temps, écrit en Novembre 2018, retour d'Australie. Jamais fini.
J’ai pris conscience récemment de l’effet du temps sur les souvenirs. Quand on croit en l’instant, comme à une religion, on a tendance à trouver dans ce point de vie, dans cette fraction de mesure, l’éternité. Comme toute religion peut-être, en tout cas dans mon cas, il y a un temps pour la ferveur, le mythe, l’utopie, et puis un temps pour la désillusion. J’ai donc réalisé que l’instant n’était pas plus magie que la magie qu’on y percevait, que j’étais la magicienne capable de rendre mes instants mystiques, puis éternels.
D’où l’idée d’écrire. Je traverse l’une de ces périodes si rationnelles, où tout semble mécanique. Le temps ne semble être réduit qu’au Tic-Tac d’une montre suisse ou au va et vient hypnotique d’une horloge. Ma vie ne semble être qu’une marche oisive suivant scrupuleusement un « schéma social », essayant de mettre en pratique une théorie apprise dans le « Manuel du Bon Citoyen du XXIe siècle». Et mes souvenirs, mes souvenirs, j’aimerais m’en souvenir, en retrouver les émotions, les leçons de vie.
Dans ma chambre, à St Kilda, quartier de Port Philip, près de Melbourne. J’aime ce nom, c’est aussi celui de ma meilleure amie d’enfance, Coline Philip. Quelque chose de familier dans cet endroit, qui n’a pourtant rien à voir avec aucun des endroits où j’ai pu vivre avant. Mais c’est là que pour la première fois depuis des mois, j’ai une chambre, l’amour, mes affaires dans des placards, un tram pour aller au travail et faire les courses, une presque routine.
A l’exception prête que c’est une routine « d’immigré », pas de famille ou vraiment d’Amis, et que je suis incapable de garder un travail plus d’un mois. Non pas parce que je ne veux pas, mais parce que les conditions de travail ne sont pas habituelles pour moi. Premièrement, c’est beaucoup d’effort pour peu de retour, que ce soit financier (peu d’amusement donc), ou en termes de satisfaction personnelle. D’autre part ces emplois « casual » n’offrent aucune sécurité, on se fait renvoyer par un claquement de doigt, l’employeur est roi, mais lorsque l’on souhaite démissionner car l’environnement de travail nous rend la vie impossible, on peut ne pas être payé grâce à une simple close dans le contrat que bien sûr on a signé. Avec tout ça, on doit toujours venir au travail (un jour malade et c’est le renvoi) et être force de positivisme au sein de l’équipe afin d’entretenir le mensonge des employeurs, qui tend à faire croire qu’ils proposent tous le meilleur emploi de l’agglomération de Melbourne, pour mieux dissimuler la meilleure arnaque.
Ayant enfin terminés mes 5 ans d’études à Paris dans une autre routine assez angoissante également par son absurdité, me voilà, après 10 mois de voyage, de réponses et d’aventure, replongée dans la froideur et l’anonymat de la Ville. Le point positif, c’est que j’ai désormais le temps, pour me remémorer, ces petits morceaux d’éternité que sont mes souvenirs.
I. La décision
La décision était prise depuis 1 an, quand j’arrivai enfin au terme de mon contrat d’alternance avec l’entreprise ASSA ABLOY, leader mondiaux de systèmes d’ouverture (et fermeture attention) de portes. « Tintintinnn », aurait ajouté Renaud. Une belle proposition m’est alors offerte par le Directeur des Ressources Humaines, un alsacien dont l’humour restait assez incompris par la majorité des employés de l’entreprise, mais heureusement, quelques âmes détendues et tolérantes (en apparence du moins) dont moi-même, appréciaient. Cet homme donc, me le rendait bien et me proposa un Contrat à Durée Indéterminée, objet se faisant de plus en plus difficile d’obtenir de nos jours, et qui donne des tas de pouvoirs dans la société de consommation, comme avoir un crédit ou deux, ou trois, et aussi faire vraiment partie de l’Entreprise, de l’Équipe.
Ma décision de partir à l’étranger, autrement dit de fuir la société de frustration, était donc remise en question par ce qui me semblait être la question clef de mon existence : Faut-il ou non que je me conforme ? Tenter autre chose était terrifiant. Je pensais m’exposer à des regrets, des dettes, le désespoir de mes parents, l’indifférence de mes amis, l’échec. Je demandai donc bien sur l’avis de mes parents, de mes amis, plus pour me rassurer que pour vraiment influer sur ma décision. A ma surprise, ils me dirent tous de partir, comme s’ils avaient envie de me voir expérimenter ce qu’ils ne pouvaient pas faire puisqu’ils avaient, eux, choisi le CDI et la conformité. La différence, c’est qu’ils pensaient être heureux, je pensais être malheureuse. Pourquoi ce doute alors, la peur me tenait, j’étais terrorisée à l’idée de partir pour échouer, devoir revenir et faire face à la difficulté de trouver un travail, me remémorer mes choix et les regretter. J’avais en fait peur de tout ce dont tout le monde parle à la télévision, en soirée, cette peur de notre temps qui passe pour la normalité et qui se communique par le stress bien souvent. Plus que la peur du chômage, ou de vivre chez ses parents ou de manquer d’argent, la vraie peur c’est celle de l’anonymat. Être le petit perdant, celui qui passe inaperçu pendant que les autres sont occupés à consommer, à montrer, à s’occuper frénétiquement pour oublier l’absurdité de leur existence, ont un agenda, « une vie », et n’ont pas le temps de se préoccuper de ceux qui n’ont pas pris le train à l’heure.
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#Architecte urbaniste#Bordeaux#Quartier Bastide-Niel#Winy Maas#Écoquartier#Rive droite#Écologie#Récit
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📌[FEUILLETON] Suivez moi tout cet été sur les réseaux sociaux 🌻 avec la série « La Pédale Joyeuse ». Je vais en effet vous raconter autrement le vélo🚲 . RDV ici tous les jours à 15 heures.
ÉTAPE 1 💛 Le Tour de France 🇫🇷 À tout seigneur, tout honneur avec Bernard Hinault qui a signé la préface de mon ouvrage paru aux Éditions Glénat Livres. 👉 https://urlr.me/c5VZY
🔎 UN ENTRETIEN Foi de Blaireau - Légende du cyclisme français avec plus de 200 victoires à son actif, dont cinq Tours de France pendant sa carrière qui s’est étirée de 1975 à 1986, Bernard Hinault continue de pédaler pour garder la forme mais surtout pour éprouver du plaisir. Parlez-lui vélo et le « Blaireau » (comme on le surnomme toujours) ne gardera pas longtemps sa langue dans sa poche.
- Tour de France ou Giro ? Pour un Français, la Tour, c’est le plus grand événement qu’il puisse y avoir, et c’est un bonheur d’y participer.
- Maillot de champion du Monde ou de champion de France ? Les deux ! C’est le titre d’une année, et on est super content de l’avoir sur le dos.
- Maillot à pois ou maillot jaune ? (Rires) À choisir, j’aime mieux le jaune forcément ! Le jaune, c’est l’histoire du Tour. La couleur des pages du journal organisateur. Il fallait distinguer celui qui avait le meilleur temps dans le Tour de France, et on a choisi cette couleur, point !
- Lemond ou Fignon ? Je n’ai eu de problème ni avec l’un, ni avec l’autre. J’ai apprécié ces deux coureurs cyclistes.
- La personne avec qui vous détestez rouler ? Personne !
- Votre meilleur souvenir à vélo ? Il n’y en a pas, ou plutôt il y en a trop ! Celui qui a gagné une seule course, c’est forcément son meilleur souvenir. Moi j’en ai gagné plus de 200. Et ça a été 200 fois du bonheur !
- Votre pire souvenir ? C’est lorsque l’on doit abandonner. Peut-être le Tour de France 1980, ou quand j’ai dû abandonner à Pau. J’avais la condition pour gagner le Tour mais avec ma blessure au niveau du genou, tout s’est arrêté…
- Maillot Mondrian La Vie Claire ou maillot jaune et noir Renault-Gitane ? Ce sont deux époques différentes avec des maillots qui ont marqué ! Le design, les couleurs et leur beauté les rendaient visibles sur le bord de la route. Ces maillots ont marqué !
- Vélo cadre acier, alu ou carbone ? Il n’y a pas débat : vélo carbone ! Vous savez, j’ai commencé à courir avec des cadres en carbone dès la saison 1985-86.
- Pédales automatiques ou cale-pieds à courroie ? Pédales automatiques, tout simplement parce que j’ai rencontré un personnage qui s’appelle Bernard Tapie. Il m’a dit : « je te signe le contrat pour toi et toute ton équipe si tu me conçois une pédale automatique ». J’ai dit : « Ok ! On va le faire ». Et on l’a fait ! La pédale automatique a offert performance et sécurité. C’est ce qui se fait de mieux.
- Votre col mythique ? Il n’y en a pas. Tous les cols sont beaux ! Quand vous êtes en forme, vous dominez les autres, et tout vous parait (...)
Propos recueilli par Stéphane Dugast.
💬 Extrait du livre « VÉLO ! sport, ville, nature, culture & aventure » paru aux Éditions Glénat Livres.
🛒 À COMMANDER ⬇️ https://urlr.me/dqmFc
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Exposition IKONIK GALLERY
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LÉGENDE | La Belle et la Bête : conte abordant à l'origine la condition de la femme âgée dans la société ➽ http://bit.ly/Belle-Bete Parfois attribué à tort à Perrault, le conte « La Belle et la Bête » est popularisé en 1757 par l’auteur s’adressant aux jeunes filles Madame Leprince de Beaumont, proposant alors une version édulcorée du récit original de 1740 moqueur, railleur, critique et réprobateur composé par Gabrielle-Suzanne de Villeneuve qui avait puisé dans son propre vécu et mettait en scène une Bête plus animale et une Belle moins innocente
#origine#conte#légende#Belle#Bête#Perrault#Leprince#Beaumont#Villeneuve#version#récit#sexualité#fées#vieilles#femmes#âgées#vieillesse#féminine#société
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Cassie
Ça a commencé vers mes 13 ans, je me rappelle, il faisait beau, c'était au printemps. J'étais en 4ème.
Le mercedi après-midi, je n'avais pas cours et j'allais chez ma cousine Caro qui a le même âge que moi.
J'adorais ces après-midi. Ma cousine avait un cours de piano et s'absentait un moment avant de revenir.
J'avais découvert récemment une attirance pour ses habits. Je ne pensais qu'à ça. Je dois l'avouer.
J'adorais ma cousine, on s'entendait trop bien, mais j'en étais arrivé à être obsédé par ses fringues.
Dès qu'elle partait au piano. Je fonçais discrètement dans sa chambre, et je vivais en fille pendant une heure environ, avant de tout ranger soigneusement...
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Celle qui se mêle de critiquer la vision dominante de l’érotisme, ou qui ose se poser en sujet du récit amoureux ou sexuel, est perçue comme une menace que l’on conjure en la ridiculisant, en faisant d’elle une créature grotesque. Les hommes ont le droit d’écrire sur la passion sans qu’on les emmerde, et pas les femmes. Elles doivent rester à leur place et être aimées (ou pas) !
Céline Sciamma et Annie Ernaux, sœurs de combat, entretien croisé, La Déferlante, 2021
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Le numéro 8!

A l’aube de cette nouvelle année, « Dites donc ! » a trouvé un rose tendre de pralines gourmandes ; un pain d’antan, de ceux qui unissaient et réchauffaient les hommes ; la douce chanson d’un berger aimant ; la danse poétique et résolue d’une humble silhouette ; et deux jeunes femmes libres – l’une face au cadre sévère d’une grande école d’excellence, l’autre aux prises avec la rudesse d’une mère intraitable. « Dites donc ! » continue sa route avec vous, pour que chacun et chacune trouvent à dire, montrer, écouter, ressentir. Bonne lecture !
Nous serons ravis de diffuser vos histoires, vos écrits, vos œuvres. Alors n’hésitez pas à nous contacter pour nous envoyer vos témoignages, récits, productions en tous genres. Nous les intégrerons aux numéros à venir avec grand plaisir ! Contact: Association La Voix des autres, [email protected] / 0662277300
Commande tirage papier: via Hello Asso
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"La Friche", coécrit avec Marc Mahé Petska
J’ai toujours rêvé d’écrire quatre mains (sans superpouvoir ni mutation), et la rencontre avec Marc, d’abord ses poèmes sur Twitter, puis tout particulièrement de Cyberpunk is dead, baby ne pouvait que réactiver cette envie. La nouvelle La Friche en est issue – après une longue gestation (six ans, autant dire que ça remonte à une autre vie), mais un travail moins long qu’un peu trop ambitieux au…
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