#coups de cœur
Explore tagged Tumblr posts
kris33390 · 4 months ago
Text
Yesterday
Paul McCartney – Yesterday Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas publié ce qui suit et que je viens de (re)découvrir dans le libellé “musique” de mon bloc-notes en ligne préféré Google keep. Mise à jour d’août 2024. Je voulais mettre ici une version “unplugged” sans fioritures musicale ni violons de ma collection personnelle en provenance du dark web, bien sûr je ne l’ai pas trouvé sur youtube. En…
0 notes
thehoneybus · 6 months ago
Text
Ha le dernier Julia Deck dans la sélection pour le prix Décembre
3 notes · View notes
mister-snake · 7 months ago
Text
Oui, je m'amuse bien avec les fonctionnalités de personnalisation de texte c: Hihi
Oui, je me défoules bien en balançant toute la haine que j'ai pour toi sur Tumblr 💕 En espérant que tu tombes dessus un jour c:
Anyway, il est 4am et je n'ai toujours pas réussi à m'endormir parce que ma haine génère de l'adrénaline dans tout mon corps, ce qui me garde tendu et alerte.
Si seulement je pouvais aller te foutre une raclée, ou même dix, je dormirais tellement mieux. Ce serait pour la bonne cause tu vois! uwu
Après toute ces années, tous ces efforts pour garder mon sang-froid, tous ces remords suite aux moments lors desquels ma colère explosait sous forme de violence, je croyais avoir parvenu à la contrôler.
Mais là maintenant, si je t'avais devant moi, je ne crois pas que je tiendrais plus de 5 secondes sans tenter de t'exploser le crâne contre un mur, de tirer tes jolis cheveux vers l'arrière pour mieux planter mes ongles dans tes yeux jusqu'à ce que tu hurles, d'aggriper ton cou et serrer jusqu'à ce que tu la fermes pour de bon.
Ça fait grave longtemps que je n'ai pas eu ce rush de haine dans mes veines, comme si tes mots qui résonnent encore dans mon esprit faisaient bouillir mon sang.
T'as toujours fait sortir ce qu'il y a de pire chez moi, comment ai-je pu un jour te considérer comme une amie? Comme une personne, même? Ton amour vaut que dalle. Tu ne sais même pas aimer qui que ce soit d'autre que ta petite personne.
Tu ne mérites pas de énième chance. Je te dois fuckall. Et toutes tes tentatives de "réparer" notre relation ne font que prouver à quel point t'en a rien à foutre.
Parce que si tu te préoccupais réellement de ce que je ressens à ton égard, tu aurais réalisé l'ampleur des conséquences de tes actions et tu n'oserais même pas me demander de te pardonner.
T'as toujours été trop centrée sur toi pour t'inquiéter de tes proches. T'as jamais été là à part pour foutre la merde et te donner en spectacle. Et t'as le culot de t'attendre à ce que tous tes sales coups soient pardonnés de manière inconditionnelle.
Va crever au fond d'un fossé, ce sera la chose la plus empathique que t'auras faite pour tes proches de toute ta misérable petite vie de salope.
3 notes · View notes
misericordieux · 7 months ago
Text
Mon appart dont je suis la propriétaire est trop beau genre *gagged* il est vide pour l’instant mais le charme de mon appart purée, en plus il est super bien isolé. Meilleur appart de ma vie entière, et j’en suis la propriétaire
2 notes · View notes
aforcedelire · 1 year ago
Text
La Reine du noir, Julia Bartz
Tumblr media
Pour beaucoup, Roza Vallo est une autrice extraordinaire, qui a révolutionné la littérature. À seulement 16 ans, elle publie le cruel, trash et sensuel roman La Langue du Démon, et bouleverse des générations de lectrices. Depuis plusieurs années, elle vit recluse dans le domaine de Blackbriar, loin de tout… et pour la première fois, elle a décidé d’ouvrir ses portes, et de proposer à 5 talentueuses, jeunes et inconnues autrices un mois entier de retraite d’écriture. Quand elle est sélectionnée, Alex, éditrice et fan de Roza, n’en revient pas. Mais très vite, l’ambiance au manoir se fait tendue… surtout quand l’une des participantes disparaît.
J’ai ADORÉ. Pour un premier roman, c’est un presque sans faute ! Je suis rentrée dedans hyper facilement, et l’ambiance était tout de suite posée et maîtrisée : gothique, sombre, un peu macabre même, un huis-clos haletant et féministe. Je savais que ça allait me plaire, mais je ne savais pas que ça allait autant me plaire ! Le personnage d’Alex m’a un peu dérangée par moments, mais celui de Roza est GÉNIAL, et j’ai beaucoup apprécié la place centrale de l’écriture. J’ai envie de parler de ce livre à tout le monde ! La deuxième moitié du roman m’a passionnée, je ne pouvais plus le lâcher, je devais savoir où ça allait aller, comment ça allait se terminer. Un énorme, ÉNORME coup de cœur !
12/11/2023-26/11/2023
4 notes · View notes
dieuxcerf · 1 year ago
Text
y’a une rue à Lyon qui s’appelle rue du béguin je suis fan !!!!!
5 notes · View notes
lesparaversdemillina · 3 months ago
Text
Le soleil des rebelles de Luca Di Fulvio
Le roman de Luca Di Fulvio suit Marcus, un jeune noble ayant tout perdu après un massacre orchestré par Ojsternik, un seigneur jaloux. Il survit grâce à Eloisa et se cache sous le nom de Mikael, déterminé à se venger. Les personnages, variés et attachants
0 notes
bibliocvm · 9 months ago
Text
La cloche de détresse
Tumblr media
Sylvia Plath
PS3566 L27 B4414 2003
Avertissement de contenu : Hôpitaux psychiatriques, dépression, suicide, traitements de choc, violences conjugales
« Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d'autres lauréates d'un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d'une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d'étudiante américaine, des amours qu'elle a connues. Tout bascule lorsque Esther quitte New York. » (Les Libraires)
Classique de la littérature féministe, j’aime tout particulièrement cette histoire car on ne reste pas en surface, on plonge dans les méandres de la vie d’Esther, de la réalité qui l’attend en tant que femme dans l’Amérique des années 1950. Poignant, parfois suffocant, ce livre, d’inspiration autobiographique, détient son pouvoir dans le fait qu’il sera le dernier écrit de l’autrice, qui s’ôtera la vie quelques mois plus tard. Pour un public averti.
Voir la disponibilité en bibliothèque.
0 notes
kris33390 · 1 year ago
Text
Le vent nous portera, Mea culpa jazz
Chanson émotion, les coups de cœur en musique. Il s’agit de reprises (cover en anglais) de chansons appréciées dans leurs versions originales et presque plus encore dans ces reprises. Cette chanson n’est plus trop audible dans sa version d’origine malgré ses qualités. Il ne reste que les reprises à se mettre… sous l’oreille. Là encore il s’agit d’une chanson de la bande son de la série, assez…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
atypeekmusic · 1 year ago
Video
[Coup de cœur] 3 Body Problem | Official Trailer | Netflix ☆☆☆☆☆ #3bodyp...
0 notes
songedunenuitdete · 1 year ago
Text
Et ils vécurent malheureux à jamais de Stephanie Garber
Mon avis : J’avais adoré le premier tome, mais rien ne m’attendait à une telle suite. Je l’ai commencé les derniers jours de 2023 pour le terminer au petit matin du premier jour de la nouvelle année ! Quelle merveille ce roman ! L’autrice a réussi à me plonger dans une atmosphère de conte merveilleux, mais aussi où le danger est omniprésent. J’ai retrouvé avec plaisir Évangéline prête à tout…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
aforcedelire · 1 year ago
Text
Les Grandes oubliées. Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes, Titiou Lecocq
Première incursion pour moi dans les sciences-humaines, et DAMN !
Tumblr media
« Les femmes ont fait l'histoire, elles ont régné, elles ont gouverné, combattu, elles ont milité, écrit, crié parfois. Elles n'ont jamais été les spectatrices d'un monde que les hommes dirigeaient. Ça, c'est une fable historique. Même quand elles ont été exclues des sphères de pouvoir, elles ont continué à résister. C'est aussi cela, notre histoire commune. Et l'histoire des femmes, ce n'est pas que l'histoire des femmes. C'est également la vôtre, messieurs. Vous êtes, vous aussi, les descendants de ces femmes qu'on a oubliées et réduites au silence. »
Je sors de ma lecture des Grandes oubliées avec le cerveau en compote et un goût d’injustice. Je connaissais Titou Lecocq de nom, je défendais déjà ses ouvrages à la librairie et encore plus celui-ci, et j’ai enfin pris le temps de le lire. Je sais pas pourquoi, je pensais avoir compris qu’on allait nous parler des femmes oubliées, genre les inventeuses, les autrices, etc. (Désolée !) En fait, pas du tout, enfin, si, mais pas tellement. C’est l’histoire des femmes. Point.
Des femmes dans l’Histoire. Vous saviez que les femmes pendant la Préhistoire n’étaient pas enfermées dans les grottes avec l’éducation des marmots, mais qu’elles chassaient, cueillaient et peignaient aussi ? Et que tout le monde s’occupait des enfants ? Et que les femmes pendant l’Antiquité avaient (aussi) un rite de passage à l’âge adulte qui consistait à se déguiser en ourses, sacrifier une chèvre et courir nues ? Et qu’au Moyen Âge, les femmes régnaient, étaient autrices, enlumineuses, bardes, chevaleresses, bâtisseuses de cathédrales et j’en passe ? Et que la chasse aux sorcières du XVIe siècle vient des hommes du clergé qui… quoi d’ailleurs ? avaient peur des femmes ? Et que c’est sévère parti en cacahouètes avec les Lumières et Napoléon ?
Encore un autre exemple hyper parlant (pour moi), désolée l’extrait est un peu long :
« Il faut également parler d'Émilienne Moreau-Évrard. Sacrée femme, Émilienne. Elle est née en 1898 dans le Pas-de-Calais. Elle habite dans la ville de Loos, près de Lille, et veut être institutrice quand éclate la Première Guerre mondiale. Loos est occupée par les Allemands, et Émilienne décide d'organiser dans une cave une école clandestine pour les enfants. Elle a 17 ans. En septembre 1915, alors que les Écossais attaquent pour reprendre la ville, elle va à leur rencontre pour leur donner les positions des troupes allemandes. Puis, avec un médecin écossais, elle organise dans sa propre maison un poste de secours et y soigne les blessés de l'assaut. Ensuite, je cite sa fiche biographique sur le site de l'ordre du Mérite : ‘‘Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n'hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et parvient, avec l'aide de quelques soldats anglais, à mettre hors d'état de nuire deux soldats alle-mands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d'un révol ver et abat à travers la porte deux fantassins ennemis.’’ »
Comment diable est-ce qu’après avoir passé 15 ans de ma vie à vivre juste à côté de Loos je n’entends parler de cette femme que maintenant ?????
Bon, je m’arrête là avec les exemples, mais vous voyez le topo : Titiou Lecocq nous invite à nous pencher et à redécouvrir l’Histoire des femmes, et comment on les a invisibilisées, réduites au silence et oubliées. Le tout en s’appuyant sur des exemples concrets et des travaux d’historiennes et de quelques historiens. C’est hyper hyper intéressant, j’ai appris énormément de choses et mon cerveau a surchauffé. J’ai adoré. J’ai mis du temps à me pencher dessus, mais alors je ne regrette absolument pas ! J’avais aussi peur que, étant un ouvrage de sciences-humaines, ce soit incompréhensible et/ou compliqué à lire comme des articles universitaires, mais pas du tout ! C’est hyper fluide, très bien écrit, bien construit, et abordé presque comme une histoire. C’est un grand coup de cœur inattendu ! Et maintenant j’ai très envie de lire son dernier ouvrage Le couple et l’argent 👀
05/11/2023 - 11/11/2023
6 notes · View notes
leglise-6-9-pascal-33 · 1 year ago
Text
Tumblr media
1 note · View note
xtruss · 1 year ago
Text
The Amazing Tale of One of the World’s Most Prolific Art Thieves
Stéphane Breitwieser Stole Well Over 200 Works—With a Total Value of More Than $1Billion
— June 29th, 2023
Tumblr media
Oil Painting on Wood of Madeleine of France By Corneille de Lyon. The Lady Vanishesimage: Image Bridgeman
He Called the Sensation a Coup de Cœur: a blow to the heart. When he stood in front of an artwork, Stéphane Breitwieser felt exhilarated. A tingling sensation would flood his body, starting in his hands, and before long he would get to work on the screws or seals that kept him from the object of his desire. Once liberated, the item would usually be sequestered inside his coat, down his trousers or in his girlfriend’s handbag. Mr Breitwieser would then transport his loot back to the attic of his mother’s house in Mulhouse, in eastern France, where he still lived.
That covetous compulsion struck him a lot. Between 1994 and 2001 he stole well over 200 items from museums in seven countries; Anne-Catherine Kleinklaus, his girlfriend, often kept watch. Though his preference was for Flemish goods or art of the late Renaissance—such as Corneille de Lyon’s portrait of Madeleine de France (pictured)—Mr Breitwieser’s tastes ranged widely. As well as pieces by Boucher, Jan Brueghel the Elder, Cranach, Dürer and Watteau, his collection included ivory sculptures, tapestries, altarpieces, musical instruments, tobacco boxes and weaponry. Experts value the haul at somewhere between $1bn and $2bn.
As Michael Finkel recounts in “The Art Thief”, Mr Breitwieser was an extraordinary criminal, and not just because he was extremely prolific. (He managed, on average, a theft every 12 days for seven years.) His heists did not involve a squadron of marauders working under the cover of night. He did not prepare sophisticated plans months in advance. His art-stealing epiphanies “emerge from the spot where spontaneity and simplicity meet”, Mr Finkel writes. His larcenous philosophy was: “Don’t complicate things.”
Mr Breitwieser would walk into a museum or auction house, work out the security weaknesses and take advantage of opportunities presented to him. He knew how to slice deftly through the silicon glue that held display cases together and how to wriggle a painting out of its frame. It was important to behave normally while the deed was being done: lingering too long at a particular spot, or running out of a museum, would be bound to arouse suspicion. Sometimes he and Ms Kleinklaus would take a guided tour or stay for lunch after they swooped. This provided cover, for surely “a thief would never purposely remain inside a museum with stolen loot”, nor “pause a heist to dine”.
His motives were as unusual as his methods. Most thieves pinch artworks for money: they hope to sell them to a corrupt dealer, extort payment from a museum or insurance firm or take the piece underground to use as collateral in dodgy deals (trafficking art is one of the most lucrative criminal enterprises). Mr Breitwieser claimed he purloined only pieces he liked. In his telling he experienced Stendhal syndrome, a condition characterised by an intense physical response to beautiful art. Museums were lousy places to appreciate a work, he thought. He preferred to admire it from the velvet-draped four-poster bed in his mother’s attic.
Eventually museum officials and police grasped what was happening. Mr Breitwieser got sloppy. He was caught stealing a painting, then a gold-plated bugle. In 2002 he confessed to taking scores of objects. (Many had been dumped in a canal, probably by his mother, while he was in custody; she claimed to have burned his collection of paintings.) Mr Breitwieser was fined and sentenced to four years in prison. His mother spent a few months behind bars, Ms Kleinklaus a single night.
The author’s account of the skulduggery is thrilling; the description of the subsequent investigation less so. Mr Finkel is largely sympathetic to his subject, whom he interviewed at length, suggesting that the trauma of Mr Breitwieser’s parents’ divorce and his anti-social tendencies may have contributed to his behaviour. But he was also selfish in his pursuit of beauty, Mr Finkel argues. “Works of communal heritage, often suffused with spiritual significance and a sense of place, should be open and accessible to all,” he admonishes. Mr Breitwieser’s and Ms Kleinklaus’s actions were a “cancer on this public good”.
Mr Breitwieser was responsible for the needless destruction of priceless artworks; at the same time, and in his own eccentric way, he emerges from this astonishing tale as a tragic figure. After serving his sentence, he considered launching a career as a security consultant, but his light fingers took over once again. He lost his girlfriend and fell out with his mother. His passion for thieving became all-consuming. “I was a master of the universe,” Mr Breitwieser says. “Now I’m nothing.” ■
— This Article Appeared in the Culture Section of the Print Edition Under the Headline "Mine, All Mine!"
1 note · View note
lesparaversdemillina · 5 months ago
Text
La somme de nos vies de Sophie Astrabie
Ce roman de Sophie Astrabie raconte les histoires entrelacées de Marguerite, Camille et Thomas, explorant des thèmes de solitude, de mensonges et d'amitié avec humour et sensibilité, touchant le cœur du lecteur.
0 notes
hcdahlem · 2 years ago
Text
L’été en poche (29): Mon maître et mon vainqueur
L’été en poche se poursuit avec «Mon maître et mon vainqueur». Dans ce roman, François-Henri Désérable rassemble les ingrédients du roman à suspense, du roman d'amour et de la quête existentielle. Le tout servi par un style aussi brillant qu'enlevé.
  En deux mots Le narrateur est convoqué par le juge pour détailler l’affaire qui concerne ses meilleurs amis. En lui racontant la relation entre Tina, Edgar et Vasco, il va cependant faire bien davantage que détailler un fait divers. Car ce rendez-vous entre eros et thanatos est un bijou d’humour grinçant. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Si vous voulez en savoir plus… Ma chronique complète publiée…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes