#conseils pour mamans fatiguées
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Énergie vitale : Reconnaître, Comprendre et Cultiver cette Force Invisible
Être maman, c’est épuisant 😴! Mais et si cette fatigue cachait un déséquilibre de votre énergie vitale ? Découvrez comment la recharger ⚡ et retrouver la force de tout gérer ! Un article pour les mamans qui veulent renouer avec leur vitalité 💪
Malgré tout l’amour et la motivation que vous avez pour votre famille, votre corps et votre esprit ne suivent plus. Vous vous sentez vidée, comme si votre batterie intérieure est à plat. Vous vous sentez épuisée sans raison apparente, votre patience s’amenuise, et même les tâches les plus simples vous paraissent des montagnes. Et si votre feu intérieur s’éteignait peu à peu ? Cette fatigue, ce…
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Organiser sereinement les visites post-naissance : guide pratique
La naissance d’un enfant est un moment magique, rempli de joie et de bonheur. C'est aussi une période d’ajustement et de découverte. Les visites post-naissance font partie intégrante de cette période. Elles sont souvent accueillies avec enthousiasme, mais peuvent aussi causer du stress. Alors, comment gérer ces visites de la manière la plus sereine possible? C'est le sujet que nous allons explorer ensemble. Organiser les visites post-naissance, le premier pas vers la sérénité La première règle d'or est de prévoir. Discutez avec votre partenaire et mettez en place un planning pour les visites post-naissance. Les futures mamans ne doivent pas hésiter à communiquer clairement leurs souhaits et leurs limites. Il peut être judicieux d'espacer les visites afin de vous donner le temps de vous reposer et d'établir une routine avec votre nouveau-né. Conseils pratiques pour la planification des visites Gardez une flexibilité dans votre planning. La naissance et le rythme de vie de votre enfant peuvent être imprévisibles. Les futures mamans ont besoin de prendre soin d'elles-mêmes aussi. Il est tout à fait acceptable de reporter une visite si vous vous sentez fatiguée ou débordée. Comment gérer le temps des visites post-naissance Une visite n’est pas toujours synonyme de repos pour la maman. Il faut parfois répondre aux questions, participer à la conversation, tout en s'occupant de votre petit. Pour gérer efficacement ces moments, pensez à fixer des horaires de visite. Expliquez poliment à vos visiteurs que les séances de câlins avec bébé seront limitées, pour respecter ses heures de sommeil et les vôtres. Astuces pour optimiser le temps de visite N'hésitez pas à demander de l'aide. Les visites post-naissance peuvent être une occasion pour vous de faire une pause. Proposez à vos visiteurs de tenir bébé pendant que vous prenez une douche ou que vous vous reposez un peu. A lire aussi : Préparation à l’accouchement : pourquoi ces cours sont-ils un atout majeur ? L'importance du respect des règles sanitaires lors des visites post-naissance La santé de votre bébé est primordiale. Assurez-vous que vos visiteurs respectent les règles d'hygiène de base : se laver les mains avant de toucher le bébé, éviter de venir en cas de maladie, etc. Expliquer ces règles à l’avance peut éviter des malentendus et assurer la sécurité de votre nouveau-né. Comment instaurer ces règles sans froisser? La clé est la communication. Exprimez vos inquiétudes de manière bienveillante et compréhensive. La plupart des gens seront compréhensifs et respecteront vos souhaits pour le bien de votre petit. La naissance d'un enfant est un événement heureux, partagé avec la famille et les amis. Les visites post-naissance font partie de cette célébration. En planifiant, en fixant des limites et en établissant des règles claires, vous pouvez vous assurer que ces visites seront une source de bonheur, et non de stress. Vous êtes une super maman, et vous pouvez gérer cela avec grâce et sérénité! Et n'oubliez pas : demander de l'aide n'est pas un signe de faiblesse, mais de force. Prenez soin de vous! Read the full article
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Ma nuit de Noce (conseil d'une femme de PRIERE)
C 'était ma nuit de noces. J 'étais tellement fatiguée, j'avais besoin d'un bain et de repos. On avait tellement dansé que j'avais mal au dos.
Mon mari commençait à avoir de drôles d'idées. Il était en train de rayonner comme un nouveau-né.
Eh bien, je ne lui en veux pas ; n'importe quel homme dans sa position ne plaisanterait pas avec cette nuit parce que j'étais très stricte pendant nos fiançailles".
Pas de câlins,, pas de bisous ,ne pas me toucher dune manière inappropriée, pas de temps pour deux, pureté sexuelle à 100% jusqu'à ce que nous soyons enfin mariés.
Pendant qu'on se préparait enfin à nous connaître ...Toc toc est arrivé. Je me disais, onze heures et demie la nuit? (11:30 ). Est-ce que c'est le service de chambres, je me demandais . Puis J 'ai entendu la voix de ma belle-mère : "Denise, Micheal, ouvrez la porte". Micheal sauta du lit, s'est précipité vers la porte et l'a ouverte à sa mère. Ma belle-mère est entrée, s'est assise sur la chaise et nous a demandé de nous asseoir aussi.
"Denise, je ne sais pas si quelqu'un te l'a déjà dit ? Il y a une malédiction dans la famille de mon mari.
Les hommes de leur famille ne prospère pas, les femmes sont celles qui travaillent, et subviennent aux besoins des familles.
C 'est parce- que, selon l'histoire qu'on m'a racontée, l'un de leurs ancêtres a tué le fils unique d'un grand chef coutumier et que le chef du village a jeté une malédiction sur chaque fils dans leur lignée, que leurs mains ne produiront jamais rien, ni eux ni leurs fils et qu'ils doivent toujours perdre un fils parmi leurs enfants "
Je regardais avec étonnement ma belle-mère qui racontait l'histoire. Puis, elle a conclu en disant : c'est ainsi que, je suis venue juste vous faire savoir que votre mariage n' est pas une partie de plaisir mais la guerre"
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ne m'a-t-elle pas dit ça avant maintenant ?
Eh bien, pour ne pas perdre son temps, je lui ai aussi raconté mon histoire. J 'ai dit :
" Maman, je suis désolée, je ne te l'ai pas dit avant maintenant. Je viens d'une famille qui se bat pour ceux qu'on aime. Mon père (Jésus-Christ) est mort en essayant de sauver son peuple. Ma lignée familiale n'opère pas sous les malédictions parce que nous opérons sous un pacte de bénédictions - Jean 1:12-13. Par conséquent, quiconque a la chance d'épouser n'importe qui dans ma famille devient automatiquement béni ! Donc maman, pour mon bien, ton fils ne peut plus opérer sous ces malédictions ".
Ma belle-mère a été choquée, comment pourrai je parler comme ça? Pourtant, c'était logique pour moi.
Mes belles-sœurs ont toujours eu ce regard sombre sur leurs visages et elles ont vraiment perdu leurs fils.
" Maman, tu dois aller te reposer. Mon mari et moi avons besoin de produire deux fils cette nuit parce que dans ma lignée familiale, nous concevons immédiatement dés la nuit de noces ", J'ai conclu.
Ma belle-mère s'est levée et est sortie silencieusement.
En ce moment-là, toute la fatigue a disparu alors que je prenais les mains de Michael et le regardais droit dans les yeux.
"Écoutes, je me fiche de ce que vous ou vos ancêtres avez fait, mais pour moi, vous allez prospérer avec ces mains", ai-je dit.
Écoutes chéri
Paul et certains criminels étaient sur un bateau et il y avait un naufrage.
Les soldats voulaient tuer tous les criminels pour les empêcher de s'échapper, mais l'officier de l'armée les a arrêtés pour sauver l'apôtre Paul.
Michael, pour l'amour de Paul, la vie d'autres criminels a été préservée. "Alors chéri parce que tu es marié avec moi, parce que nous sommes dans le même navire, oui, cette relation appelée mariage, pour mon bien, tu ne peux pas être puni pour les péchés de tes ancêtres", lui ai-je rassuré.
C 'est devenu ma prière à Dieu à partir de ce jour-là. J 'ai continué à prier Dieu pour sauver mon mari, mes fils je brisais la malédiction familiale tous les jours et je les transformait en bénédictions à cause du sang de Jésus-Christ. Colosiens2: 14_16.
A la gloire de Dieu, j'ai 4 fils aujourdhui aucun d'entre eux n'est mort. Maintenant, ils ont leurs propres fils et filles.
Pour moi, le destin de mon mari a changé pour le mieux.
Vous voyez, les femmes sont toujours de grands atouts pour changer les choses ; pas des atouts pour le sexe.
Peu importe le défi auquel votre homme est confronté en ce moment avec vous de son côté priant, les malédictions ancestrales s'envoleront de sa vie.
Les femmes sont destinées à des grandes choses ; les femmes sages sont une grande bénédiction pour les hommes. Elles bâtissent réellement leur foyer. Proverbes 14:1
Quand une femme de prière entre dans la vie d'un homme, beaucoup de bonnes portes de succès, de prospérité, de joie, d'amour, etc s'ouvrent & les malédictions ancestrales se brisent .
Les femmes de prière détruisent les malédictions ancestrales comme une bombe détruit.
Femme, prie toujours pour ton homme (mari) ami ; ta prière agit sur lui ; ta prière peut sauver sa vie de la honte...
Votre prière peut le libérer de l'esclavage.
Que Dieu vous bénisse 🙏.
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Je suis envahie d'émotions et de démons.
Je me sens inutile, futile. Tel un dragon qui essaye d'éliminer à lui seul des miliers de soldats, qui sont exclusivement là pour lui retirer ce qu'il a de plus cher.
Je suis en colère contre eux, contre tous les médecins incapables d'avoir vu que ma mère avait un cancer. Incapable de voir la douleur sur son visage. Incapable d'apercevoir ce qui se cache derrière le sourire de ma mère : inquiétude, mort, anxiété, peur.
Aujourd'hui, Elle se bat chaque jour montrant un visage d'ange, montrant que rien ne l'atteind. Seule moi je sais ce qu'elle ressent. J'ai vu des tonnes de fois ses larmes coulées, ses cris silencieux, sa rage fougueuse, sa peur s'emparer d'elle. Combien de fois m'a t elle dit " tu sais, tu vas t'en sortir. Moi peut être pas mais tu dois veiller sur notre famille", "promets moi tout ça ?". Mon père, mon frère ne sont pas au courant de ces paroles si puissantes. Je suis la seule à l'avoir prise dans mes bras, efleurant ce corps frêle, essayant de lui donner courage et surtout amour. Mes larmes ne coulent pas, je ne dois pas, je ne peux pas pour elle, pour nous, pour notre famille. Je dois rassurer, je dois être la pour soutenir et non pour me lamenter.
Mais la douleur est là. Je la vois un peu plus fatiguée à chaque minute, je la vois sourire qui n'est qu'en réalité calomnie. Je me sens seule avec elle, étant à ses côtés. Je me sens démunie face à la maladie qui la ronge. J'ai peur de la perdre, de te perdre maman. Si tu savais comme j'ai mal.
Qui plus est, je ressens tout venant de ta part. Je ne sais comment faire pour aider. J'essaye de te soulager. Ainsi, J'aide mon frère pour les langues, à ce qu'il garde le cap pour son brevet. J'essaye de cuisiner pour les nourrire, j'essaye d'être présente le plus possible et ne pas fuir comme il y a 3 ans, j'essaye de te donner tout ce que je peux. J'ai trouvé un copain, j'essaye qu'on est une bonne relation et essaye de te transmettre à quel point il est bon envers moi. J'essaye de renouer le contact la où il y 5 ans tout à été anéanti. Les cours, j'essaye de suivre, j'ai même passé un concours. Je rassure des fois tes amis, je rassure mes amis. Dans l'association je donne des conseils, aide les plus démunis.
Mais cela ne suffit pas. Car j'ai beau faire tous les efforts du monde, tu continues de sombrer et moi aussi.
Mes tocs se sont aggravés, mes troubles alimentaires se sont amplifiés, mon isolement s'est creusé. Je mens à ceux qui m'entourent.
Je nage, je nage, encore et encore sur des kilomètres. J'ai beau continuer je ne vois pas le bout du tunnel.
Mes rêves sont mis de coté, mes émotions enfermées dans un sac poubelle, ma parole est silencieuse, mon corps ne suit plus entre vomissements, laxatifs, gastrite, restrictions, scarifications ou pire les idées noires.
Maman, je suis débordée. Je ne sais plus où mettre tout ce cumul. J'aimerai me reposer mais je n'ai pas le droit.
Pour quoi ? Parceque t'annoncer tout cela serait te détruire, te donner de l'anxiete, de la peur de ne pas voir sa fille sur les rails. Cela détruirait toute la famille en réalité. Je n'ai pas le droit de renoncer à me battre, je le sais.
Mais je suis épuisée. Cela fait tellement longtemps qu'on n'a pas eu juste une année sans problème. 10 ans que les soucis continuent. Je n'en peux plus.
Je veux tout arrêter, détruire tous ceux qui m'ont fait du mal, détruire tous ceux qui ont ignoré, tous ceux qui nous ont critiqué, tous ceux qui nous ont jugé.
J'aimerai pouvoir pleurer, pour tous ces mots imprononcés, pour toutes ces violences subies, pour tous ces non dit.
J'aimerai arrêter cette petite voie dans ma tête qui me dit de faire des choses plus ou moins dangereuses.
J'aimerai vivre, mais ce qui m'anime est le désir de partir.
Je suis désolée, Maman, de pas être à la hauteur.
Je t'aime.
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Une brève histoire onirique - Partie 1
C'est l'histoire d'un jeune garçon qui vivait dans une haute tour surplombant son royaume. Ce garçon n'a jamais eu de famille, il a eu un précepteur homme qu'il appelait Papa et une précepteur femme qu'il appelait Maman. Au début, ils vivaient ensemble dans la tour. Ils disaient à l'enfant ce qu'il y avait à savoir sur le monde et comment le découvrir. Mais ils n'étaient jamais vraiment d'accord entre eux, ce qui troublait beaucoup le jeune garçon. Alors, ils décidèrent de ne plus habiter ensemble et de lui rendre visite séparément. Cette décision déplu fortement à l'enfant mais il y consentit.
Lorsqu'il eut l'âge de partir à la découverte de son royaume, il fit la rencontre de tout un tas d'être ayant chacun leurs particularités. Des gentils, de timides, des petits, des grands. Mais la plupart des gens se montraient différents avec lui qu'avec les autres enfants. Il ne comprenait pas réellement la raison expliquant que les autres agissait ainsi, alors on lui dit que c'était parce-qu'il était différent. Même s'il ne comprenait pas bien pourquoi, il y consentit.
Le soir, quand il rentrait dans sa tour, ses précepteurs étaient accompagnés d'autres personnes, dont des enfants comme lui. Le jeune garçon était content d'avoir de la compagnie, mais les autres enfants ne s'intéressaient pas à lui. Il s'intéressa donc à eux et partagea ses jouets. Toutefois, il ne trouvait pas sa place et se sentit différent. On lui expliqua qu'il devait faire des efforts pour que ça se passe bien. Même s'il ne comprenait pas pourquoi c'était à lui de faire des efforts, il y consentit.
Heureusement, il rencontra des enfants qu'il pouvait appeler ses amis. Avec eux, il pouvait être lui même, mais, il gardait toujours cette impression de ne pas avoir sa place. Certains partirent, d'autres restèrent. Il fut triste de les voir s'en aller mais ne su leur exprimer.
Pendant son enfance, sous les conseils de ses précepteurs, son royaume se construisit autour de sa tour. Au fil des années, le climat changea et devint de plus en plus froid. Il descendit de moins en moins rencontrer les autres personnes. Le monde ne s'intéressait pas à lui et semblait si peu accueillant. Il était fatigué de descendre et voir qu'il ne comptait pas vraiment. Alors il ne descendit plus et resta dans sa tour pendant fort longtemps. Depuis ses hauteurs, il se sentait en sécurité et pouvait décider de l'avenir de son royaume sans se soucier de l'avis des autres.
Lorsqu'il fut en âge de gouverner, le jeune garçon devenu adulte hérita de son royaume. Il bénéficiait régulièrement des conseils avisés de plusieurs personnes. Il y avait le chevalier et chef de guerre Arthur, capable de planifier des plans d’action, de les mettre en application et de trouver la force pour persévérer dans l’adversité. Il y avait également un vieux sage capable de donner des conseils et de prédire l’avenir et une jeune artiste bohémienne lui soufflant à l’oreille les différentes histoires que l’on s'échangeait au sein de la ville et des contrées bordant son royaume. On lui avait bâti une grande cité blanche, faite de marbre et de bronze, aux rues symétriques et ordonnées. Les bâtiments les plus importants de la cité était la bibliothèque boisée où la connaissance était produite et stockée, le forum où les grandes décisions étaient prises, et l'arche de l'imaginaire où le jeune homme passait de longues journées à s'évader dans des contrées fantastiques et inaccessibles. Il se sentait souvent seul, et on racontait que le soir, il attendait secrètement de la compagnie. On avait également dressé autour de la cité de grands murs afin de la protéger des attaques de la nature sauvage environnante. En effet, contrastant avec l’immensité blanche, s’est développée une dense et chaotique forêt où résident les nombreuses entités qui peuplaient les terres originelles et qui furent chassées lors de la construction de la cité.
La plupart du temps, les grandes avenues pâles et espacée étaient désertes. La chose la plus frappante dans cette cité était son caractère morne, on n’y jouait que peu de musique et l’art était perçue comme sans grand intérêt. Paradoxalement, le jeune homme recherchait ardemment à redonner de la vie et de la beauté à sa ville. Il espérait pouvoir se balader en compagnie d’une charmante jeune femme dans les vieilles rues de sa ville, sous des airs mélodieux et entrainants. Au fond de lui, il voulait trouver quelqu’un qui puisse partager sa vie et les richesses qu’il avait à offrir. Il se mit donc à la recherche de quelqu’un qui puisse enfin le comprendre et le voir tel qu’il est. Le jeune homme, alors encore plein de candeur et d’espoir, parti de sa cité dans l’espoir de trouver sa dulcinée. Même s’il eut croisé à maintes reprises de nombreuses jeunes femmes, aucune d’entre elles ne semblaient intéressées pour visiter sa cité et se promener avec lui. Elles lui donnaient l'impression qu'il ne comptait pas assez, qu'il était trop différent.
Un jour, alors qu’il s’ennuyait à résoudre des problèmes de gestion sans grande importance, il rencontra une magicienne. Même si ce n’était pas la plus belle femme qu’il avait vue au cours de ses voyages, elle possédait néanmoins un certain intérêt pour lui et pour les vieilles rues de sa cité. Les conseillers lui défendirent de la laisser entrer tant qu’elle n’aura pas clarifié ses intentions. La jeune femme patienta, longtemps, puis, elle fit connaître son intérêt certain pour partager quelques moments avec le jeune homme. Il décida alors de lui ouvrir les grandes portes de bronze et de la laisser rentrer au cœur de la ville. Les quelques personnes présentent dans la cité se réjouirent de la venue d’une étrangère. Au bout de quelques semaines de fêtes extatiques, la jeune magicienne disparue sans laisser de traces, ce qui plongea le jeune homme dans un immense chagrin. Les nuages se chargèrent de glace, et la neige commença à tomber pendant de longues années.
Le froid glacial envahit alors la cité blanche et rendit la vie extrêmement difficile. Il devenait quasiment impossible de faire pousser quelques germes de vie au sein des sols avoisinants. La terre était dure comme de la pierre, et même la chaleur des feux de la tour ne surent réchauffer le jeune homme. Il prit conseil auprès de ses conseillers et décida de partir à l’aventure à la recherche d’un artefact magique capable de redonner la vie à ses terres.
En partant de chez lui, il fit la rencontre de mystérieuses créatures dont il n’avait que très vaguement entendu parlait au cœur des vieux grimoires de sa vaste bibliothèque. Il s’enfonça petit à petit dans la forêt et fit la rencontre d’une druide qui lui enseigna les secrets de la terre, de l’air, de l’eau, et du feu. Il partit à maintes reprises en voyage avec elle pour parcourir les vallées, les montagnes, les déserts et les océans. Une chose qu’il ignorait particulièrement est que la vie existait dans son monde à l’état sauvage mais qu’elle était au-delà des murs de sa cité blanche et ordonnée. Il parcourt les quatre coins du globe à la recherche de cet artefact, mais il s’aperçut vite que sa quête était vaine car la vie était bien présente mais juste à l’extérieur de sa ville. Au bout de quelques années de voyages, il rentra chez lui. L’air s’était réchauffé et le sol était à nouveau devenu fertile. Bien sûr, tout n’était pas encore terminé, mais, il était à nouveau possible de faire germer la vie à l’intérieur de la ville.
Quelques temps après, la. jeune bohémienne lui chuchota à l’oreille que l’on avait aperçu des créatures magiques s’introduisant dans les contrées extérieures et provoquant le chaos au sein de l’équilibre de la nature. La cité blanche fut attaquée par ces créatures démoniaques, et lors d’une attaque, le vieux sage mourut assassiné par l’une d’elle. Juste avant de succomber, il lui demanda de rechercher un artefact de forme sphérique, lui seul pouvant rétablir l’équilibre des choses. Il lui demanda également d’être le plus discret concernant sa quête. Il repartit ainsi en direction de la forêt afin de prendre conseil auprès de la druide. Ensemble ils repartirent une nouvelle fois, vers les limites du monde, au nord, d’où les nuages de glace proviennent.
De nombreuses fois, ils durent s’abriter pour laisser passer les blizzards glaciaux provenant des montagnes enneigées. Au bout de quelques mois, ils arrivèrent au bord du monde, face à un mur de glace transparent, que les anciens avaient érigée pour se protéger de la force dévastatrice du froid. En plissant les yeux, le jeune homme arriva à distinguer à travers la glace, une entité globuleuse et extrêmement puissante qui se nomme tristesse. Elle semblait être piégée là depuis des temps anciens. Prisonnière de la glace, elle ne peut pas communiquer directement, mais alerte le jeune homme depuis bien longtemps déjà par l’arrivée des glaces, l’invasion des créatures démoniaque, ou les visions nocturnes. À l’idée même de laisser cette force glaciale se déverser dans son monde, le jeune homme est saisi d’effroi. En même temps, il sent au fond de lui qu’il doit libérer cette entitée de sa prison de glace. Mais, même avec la meilleure volonté du monde, sa détermination ne pourra pas venir à bout de cette barrière dressée par les anciens.
Assis sur le sol enneigé, il contemple avec effroi cette terrifiante entité intemporelle, séparée de lui par quelques murs de glaces. Serait-il possible que sa libération soit la clé pour rétablir l’équilibre naturel ?
Après des jours passés à contempler cette entité sphérique piégée par la glace, il se souvint alors de ce que lui avait dit le vieux sage avant de mourir “trouve la sphère et n'en parle à personne”.
Observant attentivement cette sphère inerte, il ressentit en elle une grande puissance dont provenait une énergie extrême. Immobile il attendit. Son regard perça la surface bleutée de ce bloc de glace. Sa vision s'obscurcit et sa conscience commença à voyager à travers les âges, à travers les mondes, à travers le temps.
Il reprit conscience sur le pic d'une montagne solitaire entourée d'une forêt noueuse. Il parcouru du regard les alentours et ne parvint pas à discerner la moindre trace de vie. Il n'y avait personne, rien que le silence. Il prit alors la décision d'arpenter l'étroit chemin de terre descendant de ce pic rocheux. Il n'entendit que le son de ses pas résonnant dans cette forêt obscure et oppressante. Il marcha pendant de longues minutes interminables qui lui semblèrent durer des heures pour finalement arriver dans une maison en bois, au milieu d'une colline.
C'était une sorte de vieille maison de chasse à un étage. L'édifice été fait entièrement de bois et semblait avoir toujours été là, indifférant à toute trace de civilisation. De la fumée sortait d'une lourde cheminée de pierre. Il devait forcément y avoir quelqu'un pensait il.
Il poussa une porte en bois qui s'ouvrit avec un léger grincement résonant dans le salon où il arriva. C'était un salon assez chaleureux où une cheminée flamboyante réchauffait la pièce. Autour d'elle était disposé deux confortables fauteuils en cuir, un tapis, et plus loin une table et un comptoir. A l'autre extrémité de la pièce on pouvait voir un escalier grinçant montant au niveau supérieur. Ne voyant personne, il monta à l'étage.
Il arriva face à une porte ouverte donnant sur une chambre bien rangé. Tout dans la maison est trop bien rangé, bien trop propre pour avoir été délaissé. Il devait forcément y avoir un occupant, quelqu'un. Il regarda par la fenêtre et ne vit nulle âme qui vive, nul oiseau chantant ni présence chaleureuse. Seulement un silence devenant insoutenable.
Il descendit triste ces marches grinçantes. Alors que son espoir de rencontrer un congénère commençait à faiblir, son regard fut attiré par une présence près du feu. Une sorte de spectre ne laissant apparaître que deux petites lucioles en guise d'yeux. Il s'assit, et parla avec elle. Cette créature resta évasive lorsqu'il lui demandât son identité, "cela n'a pas d'importance", pourtant lorsqu'il lui demandât où sont passés les êtres vivants, le spectre lui répond que c'est lui qui les a fait fuir, à cause de ses grosses colères. Les habitants ont pris peur et ont fuit ces contrées. A ces mots la créature disparu dans un voile de fumée blanche le laissant déstabilisé par des propos si dénués de sens.
Seul désormais, incapable de comprendre les dires de cet être mystérieux, il eut la sensation que sous cette maison, il devait y avoir quelque chose d'important. Il se mit donc à creuser un trou profond. Il finit par y déterrer une vieille boite à musique et un miroir usé par le temps et la saleté. La mélodie ressortant de cette boite était trop abimée pour distinguer un quelconque air reconnaissable. L'autre objet quant à lui était en trop mauvais état pour apercevoir son reflet néanmoins, il eut un moment l'impression qu'une paire d'yeux luisant l'observait à travers.
Au moment où il eut se sentiment d'être épié, la lumière du jour commença et faiblir jusqu'à disparaitre dans l'obscurité de la nuit. Dans ce même temps un brouillard menaçant fit son apparition à l'orée de la forêt et commença à encercler la maison. Il se réfugia dans la chambre de cette vieille bâtisse. A travers le brouillard résonnaient des voix murmurant "c'est lui, c'est de sa faute".
Alors allongé dans son lit, il fut assaillit par des images confuses et des sons spectraux. Beaucoup de bruits, des couleurs vives, des cris, la peur l'envahi, il a du mal à respirer. Des gens se disputent, se battent pense-t-il. Il ne peut pas fuir, il assiste impuissant à cela. Pétrifié, il entendit une voix familière, celle de ce spectre rencontré à l'orée du feu. Sa conscience est alors attirée par elle et fusionne avec lui. A cet instant, une sphère d'énergie blanche entoure son corps comme une sorte de seconde peau, rendant les sons sont moins forts, les images moins brutes. La tension baisse, mais il se sent isolé par cette sphère. Isolé, enfermé, prostré, paralysé par la peur de ne plus pouvoir s'en échapper. Le monde s'éloigne, les parois s'obscurcissent.
Dans le creux de la lutte, il entend de nouveau cette voix lui disant qu'il pourra revenir ici à tout moment. Une ouverture s'ouvre petit à petit laissant place à un rayon de lumière bleuté. Il passe à travers et se retrouve allongé sur le dos, là où le mur de glace s'élevait jadis.
Le mur avait disparu laissant place à cette sphère entrouverte qu'il aperçue à travers la glace.
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Un collège de REP en 2019
Cela fait longtemps que je n’ai pas relaté mes aventures de prof par ici. La faute à ma vie de maman qui faisait moyennement ménage avec les exigences de mon métier. La faute à la passion, la fougue, qui n’y étaient plus tellement. Déjà. Entrée en 2009 dans l’Education Nationale, désillusionnée en 2018.
Ce serait excessif d’affirmer que je suis au bout du rouleau, que j’en ai assez, que la corde est sur le point de se rompre, comme notre collègue qui a mis fin à ses jours très récemment. Je n’en suis pas à là. Cependant, c’est son acte qui m’a donné envie de reprendre le clavier où je l’avais laissé et de témoigner de l’évolution de mon collège de REP, en seulement un an.
Mon bahut est censé accueillir 700 élèves au maximum, c’était le nombre affiché lorsque j’y ai été affectée en 2014. Section générale, SEGPA, ULIS, classe d’accueil, l’offre est variée et la demande en constante augmentation.
En cette rentrée 2018, nous comptions 800 élèves. La classe d’accueil, destinée à intégrer doucement les élèves non-francophones, parfois non-scolarisés de surcroît, à notre système, est saturée. En 2014, elle comptait moins de 15 élèves. Cette année, ils sont 26, de plusieurs âges, plusieurs horizons donc plusieurs langues. Bien trop, ce qui fait qu’on les envoie au plus vite en section générale, dans des classes de francophones souvent natifs, scolarisés depuis la maternelle. Le choc est rude. Mais comment notre collègue qui gère à elle seule cette classe pourrait-elle faire autrement? Ce n’est pas comme si de nouveaux arrivants venaient frapper à sa porte tout au long de l’année... Ah, en fait si. Ma collègue joyeuse, pétillante, enthousiaste en 2014, s’autorise parfois d’aller pleurer dans les couloirs maintenant. Elle est épuisée, souvent arrêtée, son corps l’enjoint de se calmer. Elle n’a jamais été formée pour mais elle porte cette classe cruciale sur ses frêles épaules depuis bien longtemps...
La SEGPA, censée accueillir les élèves se heurtant à d’importantes difficultés scolaires, néanmoins non porteurs de handicap, de retard mental ni de troubles psychiatriques, est moribonde. C’est le seul effectif en baisse. Dans notre collège, contrairement à tous les autres de notre bassin, les parents rechignent toujours plus à y placer leurs enfants. En même temps, je ne peux leur jeter la pierre, lorsque je vois ces classes passer. Quinze spécimens animaliers aussi surprenants qu’agités. Témoins vivants des erreurs d’orientation. En discutant avec mes collèges profs des écoles, en charge de ces classes, j’ai compris qu’en réalité s’y trouvent précisément les élèves qui n’ont rien à y faire, mais qu’on n’a pu placer ailleurs: faibles QI, troubles psy sérieux (psychose, paranoïa, possibles troubles de la personnalité). Les rares élèves ayant le profil ne peuvent s’y épanouir, écrasés par les autres, dont plusieurs relèveraient de réelle prise en charge médicale, mais qu’on nous laisse sur les bras, y’a pas d’place ma bonne dame! Alors oui, je comprends que les parents de gamins qui finissent leur 6è avec 5 de moyenne générale préfèrent les voir errer en voie générale jusqu’en 3è où il sortiront du collège avec 2 de moyenne...
Ces élèves-là finissent donc en voie générale, comme leurs copains handicapés relevant d’ULIS mais qui, eux, n’ont aucune place. L’Unité Locale d’Inclusion Scolaire, est saturée, partout! Et, là, impossible de pousser les murs, on n’accueille pas les élèves souffrants de vrais retards ou autres handicaps par groupes de 25! Alors bon, on les laisse patienter, parfois plusieurs années, en voie générale... Là encore, je n’accuse personne, ils font ce qu’ils peuvent, mes valeureux collègues d’ULIS.
Quand je suis arrivée dans mon collège, les classes accueillaient en moyenne 21-22 élèves, comme ce qui est préconisé en REP. C’était bien, il ne fallait pas plus pour pouvoir prétendre personnaliser un temps soit peu notre enseignement. J’arrivais à faire un peu de pédagogie différenciée, à les faire globalement tous progresser, à ce que mes 3è obtiennent leur Brevet. Dans nos petites salles prévues pour ces effectifs, le climat était plutôt serein. Mais ça, c’était en 2014. Cette année, je suis professeur principal d’une 5è qui compte pour l’heure 27 élèves. Dont 3 relevant d’ULIS. 2 dont les parents ont refusé une orientation en SEPGA. 2 dyslexiques sévères en attente d’AVS ou, à défaut, de pouvoir utiliser un ordinateur. Et enfin, 1 fraîchement sorti de classe d’accueil qui baragouine à peine dix mots de français. On s’éclate...Ou pas. On tasse tout ce beau monde dans une salle un poil petite, il faut le dire, on se relève les manches et on fait semblant de proposer des cours qui feront progresser toute la classe. Encore, je ne dois pas me plaindre, ils sont assez faciles mes 5è, pas de gros soucis disciplinaires à part S., souffrant de retard mental, qui insulte et cogne tout ce qui bouge. Il passe autant de temps exclu chez lui qu’en cours. Il est incapable de mesurer les conséquences de ses actes, relativement peu apte à vivre en communauté, tout simplement. Mais obligé d’être scolarisé quelque part, ramenant glorieusement une moyenne générale de 1.38, que lui demander de plus? C’est aussi pour ça qu’ils sont 27, mes 5è, parce qu’ils sont relativement calmes au regard d’autres classes. Les nouveaux, on me les confie, ils auront moins peur...
Parce qu’ailleurs, c’est le souk total. Cette année, on l’a senti venir dès septembre avec des soucis disciplinaires qu’on n’avait habituellement jamais avant novembre. En septembre, normalement, les élèves restent tranquilles, ils découvrent leur classe, leurs profs, la vie scolaire. Mais cette année, on a été plongés dans le bain direct, et elle était froide l’eau! La faute aux effectifs saturés sans personnel qui suit. La faute aux parents qui lâchent l’affaire ou, au contraire, protègent leurs doux anges contre les vilains profs sans chercher à vraiment connaître la vérité. La faute aux deux CPE dont l’une brille par son incompétence depuis 4 ans et l’autre est une stagiaire si douée qu’elle repart pour une nouvelle année de stage. La faute aux surveillants qui, au lieu de faire régner un temps soit peu l’ordre, font des check avec les élèves et ne mettent jamais un pied dans la cour ou les couloirs. La faute à tout le monde et à personne à la fois. Le bateau prend l’eau. Les conseils de discipline (merci à la direction de rester présente et ferme) s’enchaînent, le rythme est incroyable. Cette semaine, 2% des élèves sont exclus du collège. C’est énorme, mon principal n’a jamais vu ça. Les “petits” tracas sont pluri-quotidiens, les gros incidents hebdomadaires. Et le pire dans l’histoire, c’est qu’on râle, on sature, mais on s’habitue.
On s’habitue aux classes totalement ingérables, cette année j’en ai deux sur quatre. Des classes incapables de se concentrer plus de deux minutes d’affilée, à qui il faut demander sans relâche de se taire, d’avoir leurs affaires, d’au moins faire semblant de bosser. Des 3è dont 8 sont en dérochage avéré, les 17 autres ne comprennent pas trop ce qu’ils font là, ont un niveau CM2 et que je suis censée porter jusqu’au brevet, avec mon sourire et mon entrain désormais connus. A l’entrée en classe, ils font autant de bruit qu’en récréation, il faut déjà les sommer de se taire, chose autrefois plutôt spontanée. Une fois le silence durement obtenu, qu’ils sortent leurs affaires, rares sont ceux qui ont classeur ET trousse complète ET feuilles pour écrire. Alors on se retourne, on demande à être dépanné, et le volume sonore repart. Après 10 minutes, on se lance enfin. On rappelle le cours préc��dent, 6 suivent et s’en souviennent, les autres attendent ou griffonnent leur classeur, “Bidule trop ma bestaaah”. Je lance la première activité, reformulations claires des consignes, trois fois en moyenne. Avec interruptions diverses à base de “Madame, j’ai pas compris” ou “Truc, rends-moi mon stylo sale bâtard- Madame c’est pas moi- vas-y rends mon quatre couleurs!” du machin d’1m95 qui dort au fond. Et puis, le miracle, 2 minutes de silence. Généreuse récompense de la prof “qui tient ses classes”, de celle qui a la réputation d’être “gentille mais maniaque du silence”. Après 2 minutes, la concentration décline dangereusement, déjà les bavardages reprennent. On met en commun le travail et on rédige le cours. Certains lèvent la main pour s’exprimer, la plupart, du haut de leurs 15-16 ans parlent à la volée comme des 6è fraîchement arrivés, on se croirait sur un marché. Quid de leurs 3 années précédentes de collège? Ah mais je me doute que noyés dans des classes surchargées, bien pires qu’hétérogènes, avec des profs fatigués, ils ont du zapper quelques règles élémentaires. Bon, à moi de rectifier le tir mais en fin de collège, ils ont la mémoire courte. Quand je leur demande fermement de se taire parce que sinon on ne va pas s’en sortir, enfin que certains d’entre eux, en revanche, vont finir par sortir de mon cours, cela dure au mieux 4 minutes. L’heure se déroulera dans un fond sonore permanent, une concentration proche de zéro alors ne parlons pas de compréhension, hein... Quand ça sonne, c’est fréquent que j’entende des “déjà?” surpris, murmurer des “en français au moins on travaille” alors que moi, je suis au bout de ma vie (ah oui, je suis enceinte, ce qui contribue à ma mort lente mais inéluctable au fil des heures) et ai la furieuse sensation de n’avoir fait que brasser l’air trop chaud de ma salle surchargée. Mais bon, je ne me heurte à aucun souci disciplinaire sérieux, j’ai du bol quand même!
Dans les couloirs, on se donne des baffes, on se pique les sacs, on se balance contre les murs. Pas un surveillant à l’horizon, ce sont les dames de service qui font la police. J’enrage. Elles aussi sont surchargées, trop peu nombreuses, et elles n’ont pas à faire bénévolement le boulot de ceux qui restent cloîtrés en vie scolaire. Je râle au passage “Machin, enlève ce bonnet!”, “Truc et Muche, la cour de récréation, c’est par-là!”. Je me réfugie en salle des profs où on est vite au courant des petits tracas et gros incidents. “J’ai dû en exclure quatre de classe à cette heure-ci, insolence, objets qui volent, agitation, propos sexistes...”. Exclusions avec rapport d’incident dont les parents n’auront au mieux, rien à faire; au pire, même pas connaissance car la vie scolaire, saturée et guère impliquée, a d’autres chats à fouetter. Ça, ce sont les petits tracas. Les gros incidents, au nombre de un à deux par semaine, ce sont plutôt des gamins qui se démontent littéralement la face dans la cour ou devant la grille, à se tabasser au sol, contre un mur, à s’envoyer à l’hôpital. Ce sont les profs qui se font filmer puis déposer sur les réseaux sociaux à leur insu. Les autres profs qui saturent et en viennent aux mains avec des élèves qui n’attendaient que ça, réussir à faire “virer du prof”. Enfin, ce n’est pas pire que ceux qui s’interposent physiquement dans les bagarres d’élèves car, là encore, il n’y a pas un surveillant à l’horizon. Voilà comment on en arrive aux conseils de discipline innombrables, aux exclusions définitives dont les concernés sont vite remplacés par des exclus d’autres collèges. Voilà comment débarquent des parents indignés du manque d’humanité des vilains profs qui, objectivement, font ce qu’ils peuvent dans une situation tendue depuis septembre. Voilà comment je croise au détour d’un couloir désert une collègue qui pleure car elle n’en peut plus, malgré des 15 ans de bouteille dans le bahut. Voilà comment j’attends mon congé maternité comme le messie alors qu’en 2016, j’étais atterrée de mon arrêt précoce. Comme tant d’autres, j’ai perdu l’entrain, la foi, et je suis épuisée. Malgré, pour l’heure, ma chance d’être à l’écart des gros incidents.
Vous voulez que je vous dise, cette complainte n’a aucune prétention à dénoncer une situation rare, c’est bien cela le pire. On n’est qu’un collège de REP saturé parmi tant d’autres! On n’est que les témoins impuissants d’une détérioration généralisée des conditions d’enseignement qui dure depuis un paquet d’années. Ce que je raconte est d’un banal consternant. Mais, au moins, il explique mon silence ici.
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5 CONSEILS POUR PRENDRE SOIN DE VOTRE BÉBÉ
Le fait que les bébés deviennent des adolescents et des adultes en bonne santé dépend largement de la façon dont nous les nourrissons, les protégeons et répondons à leurs besoins les plus fondamentaux. Voici quelques conseils pour prendre soin de votre bébé. Je remercie Le Bébé à sa Maman pour m'avoir guidé lors de la rédaction de cet article
Alimentation
L'allaitement maternel est plus qu'un choix : c'est une décision importante qui aura un impact considérable sur la santé de votre bébé. Quelle que soit la durée de l'allaitement, la recommandation de l'Organisation mondiale de la santé est d'allaiter jusqu'à l'âge de 2 ans. La vérité est que peu d'enfants atteignent cet âge en étant nourris au sein, mais l'OMS indique que même après deux ans, le lait maternel reste une excellente source de calories et de nutriments.
Il est également important d'initier votre enfant à la consommation de légumes plutôt que de fruits sucrés. À partir de six mois, les légumes doivent faire partie de l'alimentation de votre bébé, en complément du lait maternel.
Jouer
Il n'y a rien de mal à garder les bases : le jeu du gâteau et le jeu de cache-cache sont des jeux utilisés depuis des années pour divertir les bébés, car ils contribuent au développement de leur cerveau. Votre enfant réagira à la stimulation et appréciera l'interaction.
Par le jeu, les bébés commencent à apprendre ce qu'il est possible de faire ou non avec les objets qui les entourent, en expérimentant et en découvrant par l'action. Les bébés éprouvent du plaisir et de la satisfaction à voir qu'ils peuvent manipuler leur environnement et obtenir une réponse de leurs parents, par exemple lorsqu'ils jettent un objet par terre et qu'il leur est rendu. Ce plaisir donnera au bébé l'énergie et l'excitation nécessaires pour rechercher de nouvelles interactions et les répéter. Ainsi, le jeu aide à acquérir des habitudes telles que la persévérance, qui est si importante pour le développement intellectuel.
Sommeil
Il est essentiel d'établir une routine de sommeil, tant la nuit qu'à l'heure de la sieste. L'importance de la sieste a été prouvée, car les bébés très fatigués ont plus de mal à s'endormir et ont tendance à se réveiller plus souvent la nuit. Préparez un horaire de sommeil et commencez à l'établir dès l'âge de deux semaines. Ce n'est peut-être pas faisable au début, mais si vous vous en tenez à cette routine, votre bébé s'habituera à se reposer suffisamment.
Soins de la peau
La crème solaire n'est pas recommandée pour les enfants de moins de 6 mois. Il est donc essentiel que vous gardiez votre enfant à l'ombre jusqu'à ce que vous puissiez le protéger des effets négatifs du soleil.
Les couches
La plupart des bébés âgés de 4 à 15 mois souffrent d'érythème fessier. Elle peut être plus visible lorsque les bébés commencent à manger des aliments solides et se manifeste par des éruptions cutanées, une desquamation, des boutons, des cloques, des plaies, etc. Le meilleur traitement consiste à garder la peau propre et sèche. Assurez-vous que votre enfant est complètement sec après le changement de couche et laissez-le sans couche aussi longtemps que possible.
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Mille et une façons d’être parent
Lorsque l’on devient parents, on se retrouve dans des situations inédites. De nouvelles expériences, de nouveaux apprentissages, de nouvelles bases pour soi... et on entre aussi dans un nouveau monde : celui de tous les parents. Des milliers avant nous sont devenus parents, sont parents ; mais notre expérience à nous est unique et on ne peut voir et vivre notre parentalité qu’à travers notre prisme.
C’est donc d’après mon expérience de mère, avec mes filtres, que je vais vous parler d’être parent. Prenez tout cela avec vos pincettes !
Enceinte
Enceinte, je suis comme toutes les femmes dans cette situation entrée dans un nouveau monde : celui des conseils non sollicités et des “on-sait-mieux-que-toi”... Une sorte de domaine public, en somme !
D’ailleurs, certaines personnes n’hésiteront pas une seconde avant de vous toucher le ventre ou vous poser toute sorte de questions, des plus ordinaires aux plus indiscrètes.
Photo de Joey Thompson sur Unsplash
Tous les profils existent et les caractères ainsi que les peurs sont certainement exacerbés par cet état exceptionnel dans une vie de femme. Certaines seront inquiètes et auront besoin de lire et entendre de multiples conseils ; d’autres seront assurées et convaincues par ce qu’elles font et pensent sans avoir besoin de personne ; d’autres enfin feront un mélange des deux, sélectionnant leurs sources et respectant leur besoin d’intimité. J’étais, je crois, plutôt de ce dernier groupe : j’ai choisi mes références, questionné les personnes que j’avais envie d’entendre parce que je les sentais proches de ce que j’avais envie de vivre, et j’ai mis de la distance avec ce qui pouvait être angoissant, enfermant et dérangeant. Je ne sais pas si j’ai eu raison, mais c’était le mieux que je pouvais faire pour moi à ce moment-là.
Équilibre délicat que de faire sa bulle tout en se reliant aux forces extérieures nécessaires pour s’épanouir et vivre pleinement sa grossesse. Déjà à ce stade commence le long chemin pour garder confiance en soi et en ses capacités ! Mettre des limites n’est pas forcément évident, mais peut s’avérer salutaire.
Tout juste parents
Il (ou elle) est là ! Juste à côté de nous, notre nouveau-né a fait le grand saut. Nous aussi, que nous soyons mère ou père, nous avons vécu une grande étape. Tout devient nouveau, tous nos gestes nous paraissent trop brusques aux côtés de ce petit être qui semble si fragile... Pour autant, nous ne sommes pas revenus au monde précédent et les conseils vont de nouveau bon train. Tout le monde sait toujours mieux que nous ce qui est bon pour notre enfant ! J’exagère : tout le monde n’est pas comme ça, mais il y en a et on les remarque, parce que bien souvent c’est exaspérant, voire déstabilisant ! Le doute est si proche, tout le temps à l’affût de la moindre brèche : est-ce que je fais bien ? est-ce que je fais ce qu’il faut et ce qu’il y a de mieux pour mon enfant ? Et la sempiternelle : suis-je une bonne mère ou un bon père ?...
Nos capacités naturelles sont sans cesse remises en question, par le personnel médical qui a des idées bien arrêtées et a parfois bien du mal à s’adapter à chaque famille et chaque enfant (là encore, il y a des exceptions, heureusement !), mais aussi par la famille, les amis, tous les proches qui gravitent autour de nous. Autant pendant la grossesse, je crois que chacune vit cette période comme elle le veut et comme elle le peut, autant je crois important de pouvoir faire un vrai tri dans ce que l’on nous dit après la naissance. C’est un cap à franchir : savoir se positionner, dire stop pour se protéger et se faire confiance, encore un peu plus, et s’entourer des bonnes personnes, celles qui nous soutiendront, nous aideront dans toutes les dimensions de notre vie (matérielle, mais aussi psychologique)...
Pour les parents, dans leur environnement post-natal, s’accumulent la fatigue – et donc une fragilité émotionnelle – et la nouvelle relation avec leur bébé. L’arrivée d’un premier enfant est un contexte déjà déconcertant parce que tout nouveau, mais en plus nous ne sommes plus armés aussi solidement pour faire face à “l’expertise” médicale, ce personnel qui vit tous les jours dans cette atmosphère et dont c’est tout simplement le métier. Un métier difficile, car il doit s’adapter à chacun·e et ne détient pas LA vérité. Le positionnement en tant que parent peut s’avérer tout aussi difficile, surtout au début.
Bien sûr que je ne savais pas m’occuper véritablement, non-stop, de mes filles lorsqu’elles sont nées. Le papa et moi étions affaiblis physiquement, fatigués ; on avait besoin d’être entourés, soutenus. On avait besoin qu’on nous montre sans nous imposer ; qu’on nous prenne par la main, qu’on nous guide un peu, pas qu’on nous inquiète et qu’on prenne des décisions à notre place pour nos filles. Il nous a fallu le calme de notre maison pour enfin réussir à retrouver notre Guide intérieur, retrouver notre petite voix qui nous disait “fais plutôt comme ça, vas-y, moi je le sens bien !”.
Et puis le temps passe...
Nos filles ont grandi, chaque jour était un jour de plus dans notre carrière parentale. Le doute fait partie du quotidien de parents. S’occuper d’un enfant, c’est une responsabilité et un engagement merveilleux, mais prenant ! Je me suis posée des questions pour tout et rien ; j’ai parfois demandé conseil, parfois préféré taire mes questions et me faire confiance. J’ai vu des questions d’autres parents recevoir des réponses qui les dérangeaient. Et finalement, ce que je retiens, au fil du temps qui passe et que mes enfants grandissent, c’est que chaque couple parental est différent. Quelles que soient les “méthodes” utilisées, elles dépendent à mon sens de l’équilibre familial et parental : une façon de faire qui fonctionne ici ne fonctionnera peut-être pas là, parce que les parents ne s’impliquent pas ensemble de la même manière par exemple.
Quoi qu’il en soit, j’ai bien l’impression que les conseils non sollicités font partie intégrante du métier de parents : il y a toujours quelqu’un sur votre chemin pour vous dire qu’il faut absolument faire comme ci ou comme ça, mais SURTOUT PAS comme ça ! L’éducation des enfants est un vaste sujet. D’ailleurs, je me sens mieux avec ceux qui parlent davantage d’accompagner les enfants sur leur chemin.
Entre doutes et certitudes
Quand on ne l’est pas, les parents semblent remplis de certitudes, d’assurance, parfois même d’arrogance. C’est agaçant ou déstabilisant.
En réalité – du moins la mienne –, être parent, c’est être rempli de doutes. Au début surtout, mais finalement toujours un peu parce que nos enfants grandissent vite et nous apportent de quoi nous ré-adapter à eux, encore et encore. La remise en question est primordiale à mon sens, mais elle ne doit pas prendre toute la place. Je me souviens des périodes où les doutes remontaient un à un à la surface : quoi que je fasse, je me demandais si c’était vraiment le mieux... Je me prenais la tête, je tournais en rond et je me rendais malheureuse. Alors petit à petit, construire des certitudes, c’est une question d’équilibre et de bien-être ! J’ai besoin de ces certitudes concernant mes enfants, parce que je suis assurément la mieux placée pour les connaître, même si je les découvre chaque jour. Personne n’a passé autant de temps avec elles que moi, alors qui aurait le droit de me dire, arbitrairement, ce qui est mieux pour elles ?
Être parent, c’est être imparfait – comme tout être humain en fait. De cette parfaite imperfection dont ont besoin nos chérubins. On peut aussi avoir besoin de parler de ces comportements d’autrui envers eux qui nous blessent en tant que papa ou en tant que maman. C’est nous qui sommes touchés à travers eux. Ça ne veut pas dire pour autant que personne d’autre que nous ne sait y faire avec des enfants.
Photo d’Alex sur Unsplash
Faire du mieux qu’on peut
Le doute est toujours possible. Si l’on veut douter, on doutera. Chaque couple parental est différent, communiquer entre parents peut aider à gagner en assurance. S’écouter intérieurement, se faire confiance, s’adapter en permanence... sans s’oublier, c’est difficile, mais je suis sûre qu’on peut tous y parvenir. Et pour moi, le premier vrai recours, c’est notre intuition !
Avez-vous remarqué qu’avant notre premier enfant, peu importe ce qu’on nous dit, peu importe toutes les difficultés qu’on nous racontera, si on veut un enfant, on aura envie d’être parents et on fera cet enfant ? Même si c’est dur, on l’aimera de tout notre cœur et on apprendra à notre tour ce qu’on avait à apprendre. On ne voit la réalité qu’une fois qu’on y est. Et elle est difficile, c’est une gigantesque aventure. Mais il faut croire en soi ; avoir des idées de principe c’est une chose, savoir les remettre en question et les adapter à ses enfants, c’en est une autre !
Vous êtes les meilleurs parents pour votre enfant. Avec vos blessures et vos faiblesses ; mais aussi avec vos forces et vos qualités. Il a besoin de vous en entier !
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Lu sur @feecommecifeecomme NOUS NE SOMMES PAS FATIGUÉS PAR LES ENFANTS ✨ Si c'était le cas, nous ne passerions pas tant d’heures à les regarder dormir. On ne se réveillerait pas jour après jour en essayant de donner le meilleur de nous-même pour eux. S'ils étaient une si grande source de fatigue, nous ne les prendrions pas autant en photo et nous ne fondrions pas de tendresse et de nostalgie à chaque regard posé sur eux… Curieusement, nous continuons à avoir des enfants malgré toute la difficulté que cela représente. Parce que ce ne sont pas eux qui nous fatiguent… Ce qui nous fatigue, c'est la solitude, le manque de soutien et le manque d'espace pour nous-mêmes. C’est le manque de temps pour notre développement et pour prendre soin de nous. C’est de devoir répondre aux attentes sur la parentalité et l'éducation, répondre aux attentes de la société, du patriarcat et bien sûr, le manque de reconnaissance de ce rôle si important qu’est celui de parent. Nous fatiguons de la violence du système, des conseils déplacés, des remarques désobligeantes, des jugements permanents et des normes imposés. C’est tout cela qui rend l’éducation parfois épuisante. C’est la pression du monde qui nous entoure et qui montre du doigt la bulle d’amour que nous tentons de créer jusqu’à parfois la briser en éclat. C’est le manque d’une tribu, d’une grande famille qui peut écouter, soutenir et aider sans jamais juger. C’est le manque de souffle, de pause et de moment seul. Là où il faudrait tout un village pour accompagner un nouveau-né, il n’y a aujourd’hui qu’une maman ou qu’un papa. Là où il faudrait du temps, de la reconnaissance et de la patience, nous avons l’emploi du temps rempli de nos travailles, l’ignorance et l’impatience d’une société où tout va toujours trop vite. Ralentissons, prenons le temps de respirer, d’aimer, de nourrir et de vivre. Recréons nos villages, récréons nos tribus. 🌷 - Inspiré de Katerine Silván - 🎨 Spirit Y Sol Source : https://www.facebook.com/grossesseetmaternite/photos/a.876750845738138/4393293057417215/?type=3 https://www.instagram.com/p/CUbwJBAMqGj/?utm_medium=tumblr
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Laetitia Milot : ce cliché qui inquiète VRAIMENT les internautes...
C'était ce qu'elle espérait le plus au monde. Et elle a fini par voir son rêve se réaliser après dix années d'un combat acharné contre la maladie. Laetitia Milot , qui a souffert d'endométriose, est devenue l'heureuse maman d'une fillette en mai dernier. Son prénom ? Lyana. Une fillette qui lui demande d'ailleurs tout son temps et à qui, ça tombe bien, elle a décidé de se consacrer exclusivement.
Si elle reprendra le chemin du travail en août prochain, la vedette de 37 ans, connue notamment pour son rôle dans la saga "Plus belle la vie" (France 3), est en effet aujourd'hui concentrée sur tout ce qui concerne sa progéniture.
A tel point de s'oublier elle-même ? C'est ce dont les internautes ont peur. Ils sont nombreux à, en commentaire de ses photos postées sur Instagram, lui conseiller de se reposer après avoir découvert sa mine très très fatiguée. Inquiets, ces derniers peuvent toutefois se rassurer... Badri, le mari de Laetitia, est aussi là pour prendre...
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7e étage – 7th floor
(Se lit comme la voix dans un ascenseur qui indique vocalement l’étage où nous sommes rendus)
L’étage de la peur, l’étage de l’inconnu, de la tristesse, l’étage où nous sommes témoin des regards impuissants de tant de gens, de tant de parents qui vivent leur désespoir en silence et qui ne peuvent interagir avec d’autres parents, COVID – 19 oblige. L’étage où les bruits présents sont des cris de douleur, des sons de machines, de bip-bip car il y a une bulle d’air dans le tube ou que la poche de chimio est terminée, des cris de colère, de rage, des pleurs d’enfants qui veulent retourner à la maison, des cellulaires branchés sur Spotify, jouant de la musique de méditation pour endormir les enfants.
La nuit, au 7e étage, elle est d’un silence déstabilisant. Les seuls bruits qui se font entendre sont les visites nocturnes à toutes les deux heures de nos infirmières. Ces visites, remplies de respect, lampe frontale au front nous rappellent que nous sommes entre bonnes mains. Des mains fatiguées mais remplies de bonnes intentions.
Le 7e étage est l’étage d’Hématologie-Oncologie Pédiatrique de l’hôpital de Montréal pour Enfants.
Le 7e étage est l’étage où nos petits guerriers qui se battent cycle après cycle, semaine après semaine, jour après jour, heure après heure et minute après minute, rencontraient jadis, les Canadiens de Montréal, les Alouettes, le Père-Noël, les Super-Héros, les Princesses. La Covid leur a enlevé la seule magie qui existait au 7e étage. Il n’y a plus rien de tout ça. Rien.
Le 7e étage, tu y passe des heures. Tu y passe des nuits. De longues heures, de longues nuits.
Au 7e étage, j’ai entendu beaucoup de choses venant de ma fille pour lesquelles j’ai dû me ressaisir pour apparaître forte et puissante pour affronter ses paroles et ses cris de colère d’une rare profondeur et ce, avec une belle réponse de maman. Une maman parfois remplie de remords. Une réponse pleine d’encouragements et d’espoir. Des images qui resteront gravées dans ma mémoire et mon cœur à tout jamais.
Mais le 7e étage, aussi surprenant que ce puisse l’être, devient un endroit quasi réconfortant. Des visages familiers partent et reviennent. Des habitudes se créer, des préférences et des caprices se développent au fil du temps; Un tissue de couverture, une fenêtre, un piqué de lit, une table de lit d’hôpital qui roule mal dans telle chambre, un sofa-lit placé du mauvais bord… On en vient même à préférer une chambre plus qu’une autre. Enfin, nous avons trouvé le secret du contrôle de l’éclairage « ambient ». Un défi de taille, je vous le jure!
Le 7e étage, un endroit qui sera un jour que souvenir mais qui restera un endroit où nous aurons appris à vivre nos émotions, à évacuer ce qui devait sortir. Nous aurons appris à faire la paix avec la douleur de l’attente, développer une patience sans fin, l’appréciation des petites choses qui font du bien. Nous ne serons plus jamais les mêmes.
Ne plus jamais être la même, me fait terriblement peur. J’aimais qui j’étais. Je ne me jugeais pas, je m’appréciais. Je me trouvais « ben correct comme ça ».
Le 7e étage m’a donné une nouvelle corde à ajouter à mon arc. J’ai l’impression qu’un réalisateur de film m’a choisie pour être l’héroïne de son nouveau long métrage et qu’il m’a donné une armure et un arc et m’a demandé de me débrouiller avec ça.
Le 7e étage m’a présenté des moments de silence. Des moments de silence qui étaient les bienvenus, que je n’ai pas à la maison. Des moments de réflexions qui sont devenus des moments précieux, des moments remplis d’émotions que j’ai pu vivre enfin seule, avec mon cœur, ma tête, sans jugement, des moments qui m’ont apporté conseil pour me débrouiller avec ma nouvelle armure.
Je n’avais pas le désir de devenir plus forte mais la vie en a décidé autrement.
Au 7e étage, je fais le plein d’énergie en regardant ma p’tite Jasmine se battre.
Juste ça, c’est ben en masse pour devenir championne au tir -à-l ’arc avec une armure dans un film de Super héros!
Julie
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Après le 18 octobre, Takana Zion annonce qu’il ne considérera plus Alpha Condé comme président
L a prorogation de l'état d'urgence sanitaire a provoqué l'ire du reggaeman Mohamed Mouctar Soumah alias Takana Zion qui a laissé exploser mercredi sa colère dans les Grandes gueules de la radio Espace FM. L'artiste s'est montré virulent à l'égard du président Alpha Condé qu'il appelle à quitter le pouvoir au terme de son second mandat. "Après le 18 octobre, je considère qu'il n'est pas mon président. Nous ne resterons pas confiner (..). Ils n'ont pas construit des hôpitaux décents pour soigner le peuple. Nous ne sommes pas avec ce système-là", a-t-il lâché, furieux. Avant de poursuivre : "Il faut que les gens apprennent à dire la vérité à Alpha Condé. II a 92 ans, il n'a aucune capacité, ni physique ni morale ni intellectuelle, de diriger la Guinée. Il faut que ça s'arrête. Nous lui avons parlé de mille manières". Pour marquer son opposition à un 3e mandat, Takana Zion rappelle avoir "fait des vidéos pour faire appel à sa sagesse pour qu'il comprenne les souffrances du peuple.
Nous sommes 12 à 14 millions de guinéens, Alpha Condé n'est pas le seul guinéen capable. Beaucoup d'autres sont capables de diriger ce pays. Des escrocs et hypocrites nous dirons : 'Non mais à part Alpha Condé, il y a qui ?' A part lui, moi- même je peux diriger. N'importe quel autre guinéen qui a une certaine éducation, qui connait les réalités du pays, peut diriger la Guinée". Il assure que les tenants du pouvoir "s'entêtent à aller au bout de leurs idées pour briguer ce 3º mandat, organiser des élections et brigander le peuple, intimider les gens, violenter nos mamans. Or, le pouvoir de l'homme n'est que passager". Justifiant sa décision de ne pas soutenir un mandat de plus pour le président de la République, le reggaeman indique: "Moi je ne m'accroche pas à un arbre tombant et je ne parie pas sur un cheval avec un pied cassé. Je ne peux pas voter Alpha Condé et je conseille à tous mes fans et à tous les bons citoyens de ne pas voter pour lui. S'il vous donne de l'argent et du riz, mangez, mais ne votez pas pour ce vieillard, parce
qu'il risque de compromettre l'avenir de nos enfants". "Il faut que ça s'arrête, nous sommes fatigués !", s'exclame-t-il, accusant les dirigeants guinéens de "vouloir tuer tout le peuple. Il n'y a aucun secteur qui bouge. On nous raconte qu'il faut le laisser parachever ses euvres. Mais quelles euvres a-t-il vraiment commencé ? Il est professeur, au lieu de nous construire des universités pour éduquer nos enfants, ce sont des hôtels qu'on construit (...). Que Dieu nous sauve de ces mécréants".
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Organiser sereinement les visites post-naissance : guide pratique
La naissance d’un enfant est un moment magique, rempli de joie et de bonheur. C'est aussi une période d’ajustement et de découverte. Les visites post-naissance font partie intégrante de cette période. Elles sont souvent accueillies avec enthousiasme, mais peuvent aussi causer du stress. Alors, comment gérer ces visites de la manière la plus sereine possible? C'est le sujet que nous allons explorer ensemble. Organiser les visites post-naissance, le premier pas vers la sérénité La première règle d'or est de prévoir. Discutez avec votre partenaire et mettez en place un planning pour les visites post-naissance. Les futures mamans ne doivent pas hésiter à communiquer clairement leurs souhaits et leurs limites. Il peut être judicieux d'espacer les visites afin de vous donner le temps de vous reposer et d'établir une routine avec votre nouveau-né. Conseils pratiques pour la planification des visites Gardez une flexibilité dans votre planning. La naissance et le rythme de vie de votre enfant peuvent être imprévisibles. Les futures mamans ont besoin de prendre soin d'elles-mêmes aussi. Il est tout à fait acceptable de reporter une visite si vous vous sentez fatiguée ou débordée. Comment gérer le temps des visites post-naissance Une visite n’est pas toujours synonyme de repos pour la maman. Il faut parfois répondre aux questions, participer à la conversation, tout en s'occupant de votre petit. Pour gérer efficacement ces moments, pensez à fixer des horaires de visite. Expliquez poliment à vos visiteurs que les séances de câlins avec bébé seront limitées, pour respecter ses heures de sommeil et les vôtres. Astuces pour optimiser le temps de visite N'hésitez pas à demander de l'aide. Les visites post-naissance peuvent être une occasion pour vous de faire une pause. Proposez à vos visiteurs de tenir bébé pendant que vous prenez une douche ou que vous vous reposez un peu. A lire aussi : Préparation à l’accouchement : pourquoi ces cours sont-ils un atout majeur ? L'importance du respect des règles sanitaires lors des visites post-naissance La santé de votre bébé est primordiale. Assurez-vous que vos visiteurs respectent les règles d'hygiène de base : se laver les mains avant de toucher le bébé, éviter de venir en cas de maladie, etc. Expliquer ces règles à l’avance peut éviter des malentendus et assurer la sécurité de votre nouveau-né. Comment instaurer ces règles sans froisser? La clé est la communication. Exprimez vos inquiétudes de manière bienveillante et compréhensive. La plupart des gens seront compréhensifs et respecteront vos souhaits pour le bien de votre petit. La naissance d'un enfant est un événement heureux, partagé avec la famille et les amis. Les visites post-naissance font partie de cette célébration. En planifiant, en fixant des limites et en établissant des règles claires, vous pouvez vous assurer que ces visites seront une source de bonheur, et non de stress. Vous êtes une super maman, et vous pouvez gérer cela avec grâce et sérénité! Et n'oubliez pas : demander de l'aide n'est pas un signe de faiblesse, mais de force. Prenez soin de vous! Read the full article
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LETTRE ANONYME: JE NE SUPPORTE PLUS, JE VEUX DIVORCER
Je fais ce témoignage pour attirer l'attention des sœurs sur la propreté corporelle au foyer.
Je suis le frère T. d'une assemblée dans l'ouest du pays. Ça fait maintenant 3 ans que moi et ma femme sommes mariés avec 1 enfant, grâce du Seigneur. Je travaille à la CIE et mon épouse est professeur de lycée.
Le soucis est que depuis les premiers mois de mariage, je fus très découragé car mon épouse n'est pas propre. Je pèse bien mes mots, elle ne l'est pas du tout. Si vous la rencontrez dehors, vous ne le saurez jamais, il faut vivre avec elle pour le constater. Si je m'étais rendu compte de ce degré de (son état), jamais je ne l'aurai épousée. La saleté tue l'amour, même en Jésus.
Nous ne sommes pas des anges donc en plus de votre consécration en Christ,
Chère sœur, vous n'avez pas épousé des anges mais des hommes.
Comment comprendre qu'une femme peut porter des sous-vêtements pendant plus d'un mois sans les laver. Malgré que j'achète chaque fin du mois des habits, des sous-vêtements et autres, elle refuse de les laver. Elle a un budget de mise en beauté dans mon salaire chaque mois mais hélas.
Elle développe à chaque fois des infections vaginales( ...)mais elle a honte de se rendre chez le gynécologue. Elle a toujours la main dans [son sous-vêtement] comme un petit garçon en train de gratter.... Ça fait aujourd'hui 3 mois que j'arrive pas à avoir des relations [intimes] avec elle tellement je ne ressens aucune envie....
Lorsque je lui fait des histoires pour la propreté de son propre corps, elle peut passer des semaines à bouder et à dormir au salon.
J'étais allé voir la femme du Pasteur en second, une maman sage pour la conseiller mais mon épouse a trouvé que je l'ai humiliée. J'ai déjà jeûné et prier mais sans résultat.
Je suis déçu! [Elle est très dévouée à l'église, mais sous cette dévotion se cache autre chose.Si vous la voyez en train de prier, juger le péché.
À la maison on en parle pas, car je me tape seul le boulot. La sœur est toujours fatiguée. Je vais jusqu'à laver ses dessous des fois mais hélas
Souvent je me demande si se marier dans le monde n'était pas la bonne solution avant de venir en Jésus. Dans le monde, une telle femme n'aurait jamais eu de mari.
Jai approché déjà 2 maman de l'église mais toujours aucune solution.
S'il vous plaît chers Pasteurs , insistez sur la propreté des sœurs durant les cours de fiançailles. C'est pas toujours qu'on peut constater cela de l'extérieur.
En toute sincérité, j'ai dit au Seigneur que j'allais divorcer s'il ne rendait pas mon épouse propre.
Malgré tout ça je suis resté fidèle à mon épouse.
C'est un véritable cri de cœur.
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12 Conseils Pour les Femmes qui Veulent prendre pendant la Grossesse
Pendant la grossesse, beaucoup de préoccupations qui viennent immédiatement à l’esprit dans la santé de la femme et du bien-être de votre bébé, le nourrir, préparer la maison pour l’arrivée de l’enfant, et l’achat de vêtements et de la literie, et apprendre à prendre soin de lui un être si petit dans les premiers jours de la vie, et dans la plupart des beaucoup d’autres choses. Et entre toutes ces choses qui occupent l’esprit de la future mère, une question qui peut se poser est par rapport à la pratique et à la course, surtout si il ou elle est une personne qui se soucie et a toujours soigné dans la forme appropriée.
Serait-il possible de continuer à faire une activité, comme la course, pendant la période de grossesse? Si oui, comment qu’elle devrait aller à ce sujet? Vous en saurez plus dans notre liste ci-dessous:
1. Parlez-en à votre médecin
Avant de prendre toute décision à l’égard de l’inclusion ou de la poursuite de la course est dans une routine au cours de votre grossesse, il est essentiel de parler avec votre médecin que vous prenez soin de la grossesse. Comme chaque femme est différente et a un autre corps qui réagit différemment à la grossesse, il est essentiel de savoir à coup sûr si c’est le type d’activité physique n’entraîne pas de problèmes, et si elle ne peut pas être fait, quelles précautions doivent être prises.
“Certaines des femmes-qu’ils exécutent régulièrement ou pas, vous pouvez continuer avec la course, vous ne pouvez pas être à l’aise, même mal à l’aise”, explique l’entraîneur personnel et fondateur du centre de remise en forme spécialisé dans les femmes enceintes, découvrez la Zeil.
En outre, une discussion en profondeur, et de dire le médecin, c’est la meilleure façon de vous assurer que vous sélectionnez un entraînement pour une course qui n’bien pour la future mère et le bébé.
2. Considérez que c’est un voyage
Pour ceux qui n’ont jamais eu l’habitude de courir, au moment de la grossesse est le moment idéal pour vous de commencer à faire ce type d’exercice. Selon le chef du service médical du centre de santé de la reproduction aux États-unis, Diana Ramos, la grossesse n’est pas la situation convenable pour commencer, la suite est une activité complète, en tant que race, et la meilleure chose pour une femme enceinte qui n’a jamais couru dans la vie, mais aussi envie de faire un peu de type de exercice physique est la randonnée dans les montagnes.
“C’est l’un des meilleurs exercices lorsque vous êtes enceinte, il est inférieur à l’impact, et si vous n’êtes pas habitué à l’augmentation de l’impact de la course, vous devriez orienter clairement de cela. Si un défi est ce que vous cherchez, alors vous devriez essayer d’ajouter un peu de talons ou aller pour une promenade en haut de l’escalier,” dit le docteur.
3. Faites attention aux signes d’alerte
Même après que le médecin de presse pour la course, il est important pour les femmes de continuer à être à l’écoute de votre corps, si vous avez des signes, comme des crampes, des taches, de l’essoufflement, des maux et des douleurs, il devrait cesser de l’exercer et d’en informer le médecin sur le problème dès que possible.
Voir aussi:
Le plus de la mère-à-être pourriez vouloir considérer le symptôme comme quelque chose d’importance, parlez-en avec votre médecin est la meilleure façon de s’assurer qu’il n’y a pas vraiment quelque chose de mal, ou que le signe n’a rien à voir avec la course.
4. Il est temps de ralentir
Pour les femmes, qui ont déjà l’habitude de courir avant la grossesse, vous continuez avec votre pratique pendant que vous êtes enceinte, il est un bon choix pour vous, lorsque le médecin se déverrouille et s’en va avec elle, bien sûr, mais cela ne signifie pas que l’intensité de votre entraînement devrait être le même qu’avant la grossesse.
À ce stade, il n’est pas rare pour les femmes de diminuer le taux, ou de réduire le nombre de pieds ou des miles pour vos courses. “Rappelez-vous, vous êtes porteur d’un autre être humain, et que ce n’est pas une tâche facile”, a déclaré l’entraîneur personnel, découvrez à Pied.
Lorsque la course permet à la femme de se sentir fatigué ou léthargique, cela peut être un signe qu’il pourrait être trop sur l’exercice. Si c’est le cas, il est préférable de ralentir et de s’atteler à la tâche.
5. Boire beaucoup d’eau
Pour éviter la déshydratation, ce qui peut provoquer des signes de contraction, et l’accouchement prématuré, il est important de boire beaucoup d’eau pendant la course. Dans tous les cas, si la femme a des signes d’un recul de la course, la recommandation est de faire le plus de l’eau immédiatement et consulter un médecin dès que possible pour savoir comment faire.
6. La sécurité en premier lieu
Les changements dans le corps, qu’une grossesse pourrait aussi faire la course de la femme est d’être modifié. Les chemins sont aussi courts que votre ventre se développe et votre solde sera affecté. De cette façon, pour protéger le travail sécuritaire, l’une de ces lignes directrices est de choisir un endroit qui a une surface plus plane que celle d’un lieu qui a un terrain accidenté avec beaucoup de bosses et obstacles qui peuvent vous faire tomber.
“Même si vous êtes un coureur, régulier de la piste, rester sur le côté de la prudence. Sur votre itinéraire préféré, pouvez, rechercher, bien sûr, en un jour, mais sur les autres, il peut être différent. En outre, en tant que votre ventre se développe, vous ne serez pas en mesure de voir sur la piste, et l’équilibre est déjà compromise”, a déclaré Erica à Pied.
7. Accepter qu’il est différent de l’autre
Une femme peut se sentir grand, le jour de la course, et sur l’autre n’étant pas tellement envie de faire de la formation. Lorsque cela se produit, la solution est d’accepter qu’il y a des moments où le corps sera ainsi, et pas du tout dans d’autres, et d’apprendre à tirer parti des bonnes journées et la compréhension des pauvres, et de respecter ses limites.
L’entraîneur de la course, et un blogueur de Michele Gonzales est une femme qui a vécu ce type d’expérience. Elle a, par deux grossesses, elle a continué à exécuter pour eux, et a même pris part à une édition de l’Ironman triathlon triathlon, comme elle l’allaitait un de ses bébés.
“Certains jours, tout le mal, et je l’ai il n’a pas été jusqu’à la fin de mon bloc avant de m’arrêter et de revenir à la maison. Les autres jours, j’étais en pleine forme et en mesure d’exécuter pour 6,5; 9,5 ou 16 km,” dit Michael.
8. Pour être sur le téléphone
Beaucoup de gens aiment écouter de la musique sur le téléphone portable alors qu’il est en cours d’exécution, mais ce n’est pas la principale utilisation de l’appareil pour une enceinte de coureur. Il est important que vous avez votre téléphone à portée de main en cas d’urgence, ou pour elle de ressentir la moindre gêne, elle doit faire appel à son mari, un membre de la famille, ou même un combattant du feu, et de demander de l’aide.
Et, il est essentiel de toujours sortir de la maison, le téléphone est complètement chargée, vous courez le risque de la batterie et à la fin, au moment même où une urgence se produit.
9. Ne pas se contenter de la course
Lorsque vous avez une conversation avec leur fournisseur de soins de santé au sujet de la course, elle devrait lui en demander quels types d’exercices qu’il peut intégrer dans la routine alors que vous êtes enceinte. Par exemple, la formation de base des muscles dans le corps (appelé le noyau) est également important, car il contribue en ce qui concerne la stabilité de la hanche.
En général, l’exercice modéré est important pendant la grossesse. Une étude de l’espagnol publié en juin de cette année, a constaté que les femmes enceintes qui pratique une activité physique d’intensité modérée sont moins susceptibles de développer le diabète gestationnel et avoir une perte de poids.
10. D’échanger les accessoires pour la course en conformité avec les exigences du corps,
Cela ne signifie pas que les femmes enceintes doivent acheter des chaussures tous les mois de la grossesse, mais que votre corps change tout au long de la période de neuf mois, il est probable qu’elle devra utiliser un équipement différent de celui utilisé avant le un bébé dans et de lui-même.
Par exemple, si une femme n’était pas à l’aise avec les chaussures simple, quand je n’étais toujours pas enceinte, et après votre grossesse, vous ressentez de la douleur dans vos pieds ou les genoux, peut-être qu’il est temps pour elle de change de la paire d’un modèle qui permettrait de fournir une plus grande stabilité dans le mouvement.
Quand mon ventre a commencé à s’agrandir, et vous laisser dans le passé, était mal à l’aise, le médecin n’a pas interdire les courses, sortir à résoudre la situation à l’est de rendre l’utilisation d’un éventail de services de soutien pour les femmes enceintes.
“Utiliser le bas de le ventre, donne plus de soutien de votre abdomen, et il peut vous aider à continuer à exécuter confortablement”, a déclaré Erica à Pied.
11. Rien dans la course à couper le souffle
Le fait que le médecin de laisser les femmes pendant la grossesse ne signifie pas qu’il est libre de tourner autour jusqu’à ce que vous perdez votre souffle, comme s’il prenait part à un marathon ou de viser une médaille d’or olympique.
Comme nous l’avons déjà anticiper dans cet article, il est démontré qu’il va diminuer le taux, et de ne pas repousser les limites de votre corps. Cela étant dit, il y a encore nécessaire de vous inscrire en faveur de la recommandation du Congrès Américain des Obstétriciens et Gynécologues (ACOG, son sigle en anglais), il est constaté que l’intensité de la course pour la future maman à être celle dans laquelle elle sera en mesure de tenir une conversation sans être à court de souffle ou de trouver qu’il est difficile d’en parler.
12. Gardez un œil sur vos aliments
Le fait que la pratique d’une activité physique comme la course ne peut pas être utilisé comme une excuse pour les femmes enceintes de manger plus que nous le devrions. Parce que c’est l’histoire d’un repas pour deux, c’est, en fait, un mythe. “Vous n’avez pas besoin d’autant de calories chaque jour, même si vous travaillez en dehors. En fait, vous avez seulement besoin de 300 à 500 calories sur une base quotidienne. Il est plus important de se concentrer sur l’équilibre de la nutrition protéines, de fruits et de légumes pour garder les mères et les bébés en bonne santé”, dit le docteur, et Diana Ramos.
En plus de cela, il est indispensable de prêter attention aux changements qui se produisent dans la pratique de l’exercice physique. Si la fréquence est plus basse trop, il peut ne pas être nécessaire d’augmenter le nombre de calories que vous brûlez.
De toute façon, il est préférable de parler à votre médecin au sujet d’un régime alimentaire et programme d’ajustement d’un régime alimentaire sain pour la femme enceinte et de l’enfant, avec l’aide d’un professionnel.
Avez-vous l’intention de poursuivre son style de vie actif de l’exercice pendant la grossesse? Si vous portez déjà un enfant, senti la difficulté quand il a essayé de la pratique de la course? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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Cet article a été publié pour la première fois dans 12 Conseils Pour les Femmes qui Veulent prendre pendant la Grossesse
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Le sommeil (compliqué) de notre fille...
Allez, on va attaquer ce premier article, en plongeant dans le vif du sujet, en prenant ce que je vis au quotidien le soir, et même la journée avec ma fille, à chaque fois qu’elle tente de s’endormir.
Je vais poser ici une question (allez, dont je ne me cache pas avoir la réponse au fond de moi), qui ouvrira le débat je pense :
Est-ce le droit chemin, que de coucher ma fille de 10 mois dans sa chambre, en la contraignant à s’endormir, -parce qu’elle est fatiguée, je précise- ; chambre dans laquelle elle se réveille la nuit, une fois, trois fois, jusqu’à six fois, en nage, désemparée, parfois tout en cauchemardant à moitié endormie, difficile à calmer?
Et bien tout le problème est là pour moi. Oui c’est ce genre de cheminement, d’“apprentissage” du sommeil solitaire, même dirons certains, qui est acceptable dans notre société moderne, pour nos bébés. Acceptable pour qui? Pour la clique du corps médical, qui ne me semble pas toujours bien informée sur comment fonctionne le cerveau du bébé, et ses besoins des premiers mois de vie. Acceptable pour les anciennes générations et pour les plus jeunes qui ont suivis ce qui est le bon chemin pour eux, sous l’influence de certaines personnes ou par choix personnels.
Après avoir passé dix mois maintenant à éprouver ce que c’est que d’être maman, une maman se voulant être bien-veillante, à l’écoute des besoins de son bébé...après avoir passé dix mois à ressentir cet instinct maternel couler dans mes veines ; l’écoutant parfois. Le refoulant d’autres fois, en écoutant les conseils de mon conjoint se voulant bien-veillant lui aussi, et me faisant prendre un chemin où on voit plus loin pour le bébé, en pensant à où il devra en être dans quelques temps ; en pensant à son autonomie, à son entrée future en crèche, au dodo qui devra être solitaire... Je peux vous dire que non, à mes yeux, ce n’est pas plus acceptable pour moi d’avoir le sentiment quotidien d’aller contre ma fille, d’avoir loupé quelque chose avec elle, quand je lui demande d’essayer de s’endormir dans sa chambre, pour dormir seule.
Pourtant, avec son père on a essayé de faire au mieux, de chercher à la comprendre, de lui apporter ce dont elle avait besoin. Qu’est ce qu’on a pu la bercer, pour qu’elle arrive à s’endormir. Et je ne compte plus les fois où elle a pu dormir sur nous. Elle a dormi en cododo, elle a était allaitée jusqu’à six mois et c’est elle qui a décidé de sauter des tétés, elle a beaucoup été portée en écharpe. on a quasiment toujours suivi son rythme...
Certains nous diraient, c’est du caprice, vous avez fait tout ce que vous pouviez. Même, vous avez certainement trop fait, trop donné. Elle s’est habituée...Il faut lui apprendre à rester seule. Laisser la pleurer un peu. N’y allez pas de suite...
Il me semble au contraire, qu’elle avait besoin d’être encore plus sécurisée, de dormir avec nous, de rester dans notre chambre, dans notre lit. D’être plus portée. Je pense que les fois où on s’est écoutés un peu plus qu’on ne l’écoutait elle, cela l’a beaucoup destabilisée. Je pense notamment à ces fois où on a voulu qu’elle reste dans son cododo pour dormir, alors qu’elle avait clairement besoin d’autre chose, à cette fois où je l’ai passée dans sa chambre. Quand je repense à ces situations, avec tout l’amour que j’ai pour elle, j’en suis maintenant malade. Je me demande comment j’ai pu faire ces choix là.
Lorsque notre fille est arrivée dans notre vie, naturellement, jour après jour, je me donnais corps et âme pour elle. Et les fois où je ne me suis pas écoutée et que je l’ai du coup encore moins écoutée, je me suis cruellement éloignée de ce dont nous avions besoin toutes les deux. Et je crois que nous avons, mon conjoint et moi bien envenimé la situation en pensant, quand on en pouvait plus : “ça suffit elle ne va pas toujours dormir sur nous, ou en écharpe, ou elle ne doit pas s’endormir au sein...ça suffit son comportement” etc. Mais quel comportement? Un bébé n’exprime que ses besoins naturels. Pas de caprice.
Je crois que si je m’étais laissée aller à mon instinct, totalement, on en serait pas là aujourd’hui ; dans un rapport conflictuel pour le dodo, avec un bébé luttant encore et toujours pour ne pas dormir. Je dis bien je crois. Car très dur d’être sûre. Entre les fois où je m’en veux de ne pas avoir réussi à taper dans le mille par rapport à ce dont elle avait besoin et les fois où je me demande si j’ai eu tord en lui donnant encore et toujours plus, en ne mettant pas un cadre strict...Je suis perdue.
Finalement, pour répondre au titre...Sommeil (compliqué), oui...mais compliqué parce que je n’ai pas fait tout le temps au plus naturel, au plus évident, me dis-je. Il y a quelques mois de ça, alors qu’on me demandait si ma fille faisait ses nuits... Je répondais que oui...Elle ne se réveillait jamais totalement, tétait et se rendormait... J’aurais aimé être que dans la douceur. Lui donner pas forcément plus, parce que qu’est ce que je donne de moi! Mais mieux, de façon plus juste.
Quand je repense à ce que je m’empêchais de faire alors qu’elle n’avait que quatre mois, qu’un mois même, pour ne pas trop l’habituer...Et quand je vois comment je peux être encore avec elle alors qu’elle va sur ses un an. Tout ce que je voulais lui donner ce n’était que de l’amour et de la sécurité. Je me sens mal et je me sens faible de ne pas nous avoir plus écoutée.
Plus je lis des écris sur le maternage proximal, plus je me rends compte que je ne suis pas dingue, que tout ce que j’ai dans la tête, dans le cœur et dans les tripes va de soit. Certes, c’est tout autre chose que de faire le choix que de materner à ce point, plutôt que de laisser pleurer bébé, de tout faire pour qu’il ne s’habitue à rien, etc...Mais sans y avoir pensé avant l’arrivée de notre fille, être parent, c’est ça pour moi : se donner. Et n’oublions pas, entres autres réflexions, le bébé a passé 9 mois dans un nid douillé, dans sa mère, ne connaissant rien de l’extérieur...Et nous sommes les adultes, à nous de nous raisonner, pas l’inverse,...Et on a jamais vu un ado à la sortie du collège venir téter sa mère, bien qu’il ai profité d’un allaitement long... Pour finir sur une petite touche d’humour.
Je veux bien des retours de mamans pratiquant le maternage proximal, notamment sur l’évolution au fil des mois de leur relation avec leur bébé et l’autonomie prise par ce dernier.
Merci.
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