#comment faire pour gagné au loto
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maraboutbadou · 2 years ago
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Comment gagner aux jeux de hasard
Comment gagner aux jeux de hasard-Voyant BADOU Formule pour gagner aux jeux de hasard -mots magique pour gagner au jeux de hasard et au loto Vous jouez aux jeux ? mais vous ne gagnez jamais et vous vous êtes dit peut être je n’ai pas la chance ou je ne gagnerai jamais c’est il ne faut plus jamais dit jamais car jamais n’existe pas. Avec le Medium Voyant Sérieux et Reconnu tout est possible car…
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masterofbiography · 1 year ago
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On ne peut pas dire que Jared a eu beaucoup de chance dans sa vie. Et pourtant. Il naît dans une famille relativement pauvre. Il est le cadet d'ailleurs et à deux grands frères et une sœur. Sa mère n'a jamais eu trop les moyens de subvenir à leurs besoins même si elle faisait tous les efforts du monde. Sans mentir, les quatre enfants sont des accidents. Cependant, à la naissance de Jared, leur père, décide de partir. Voyant qu'il n'arrive pas à subvenir au besoin de sa famille et s'endettant un peu plus chaque jour, il disparaît. Tout simplement. Alors naturellement, c'est sa mère qui récolte les problèmes. Jared reste quand même un bon élève à l'école même s'il subit beaucoup de moqueries pour la simple et bonne raison qu'il ne croule pas sous l'or. Quand il atteint la majorité, il laisse tomber ses études et travaille dans une supérette tandis que ses deux frères et sa sœur ont tout bonnement décidé de refaire leur vie loin de leur mère. C'est Jared qui reste auprès d'elle et l'assume tandis qu'elle tombe malade. Une vie qu'on n'envie pas. Quand il atteint 21 ans, il apprend que sa mère a un cancer et qu'il n'y a rien à faire. Juste laisser le temps. Un an à vivre. C'est si peu. Ni ses frères ni sa sœur n'ont cherché à leur rendre visite. Alors, pris d'une rage contre la vie, Jared va faire la chose la plus insignifiante du monde. Jouer au Loto. Tout simplement. Deux jours après, il se rend compte qu'il vient de gagner 236 millions de dollars. C'est étonnant comment les amis, la famille, revient quand l'un d'entre eux est brusquement riche. Pourtant, Jared fermera la porte au nez de son propre sang et se contentera de payer les dettes de son père pour libérer sa mère. Il lui payera même le plus beau voyage jusqu'à ce qu'elle meure. À l'enterrement, il est seul et ce n'est pas plus mal. Au désir de sa mère, il lance sa propre entreprise qui porte d'ailleurs le prénom de cette dernière “Grace Security”. Il gère la sécurité de nombreux endroits, créer les plus grands systèmes de surveillance, et quand bien même il est parti de la richesse qu'il a gagné, il se fait encore des millions et des millions. Il semblerait que plus rien ne l'arrête. En terme de caractère, il est difficile à cerner. . Il a encaissé tellement de colère et ne l'a jamais laissé sortir, ce qui fait de lui un mur. Ses employés savent qu'il a mauvais caractère et certains d'entre eux n'osent pas lui dire leur façon de penser de peur de se faire virer. L'entreprise de Jared est tellement côté qu'il ne lui serait pas difficile de remplacer quelqu'un qu'il juge gênant pour la sécurité et la rentabilité de son entreprise. Il est amené à voyager pour celle-ci. Il a d'ailleurs son avion personnel, un jet qu'il utilise pour ses déplacements à l'étranger ou dans des villes plus éloignées. C'est un connard qui s'assume parfaitement et qu'il est tout bonnement préférable de ne pas énerver.
Joue avec : Héloïse Douglas
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alexar60 · 4 years ago
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L’hôtel particulier (1)
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Chapitre 1 : Le domaine
Face à la façade, mes amis restèrent bouche-bée. Leurs yeux exploraient les murs en se posant de nombreuses questions. Déjà, ils durent traverser un jardin immense, mais là ! Ils s’attendaient à voir une jolie maison bourgeoise et ils faisaient face à un bâtiment plus proche du manoir !
Ayant les clés, j’entrai le premier suivi de Tatiana et Léopold. Ils furent sidérés de découvrir une frise juste au-dessus de la porte.
-          Qu’est-ce que ça raconte ? demanda Léo.
Je ne répondis pas, en fait, je ne le savais pas. La frise ressemblait à une bande dessinée. Elle rappelait la tapisserie de Bayeux ou les dessins volés de l’Acropole. J’observai attentivement. Elle représentait des femmes et des hommes dansant avec des animaux, certainement des divinités. Le groupe faisait la fête, certains buvait, j’eus du mal à y croire mais quelques couples semblaient copuler. Et le dernier personnage marchait avec la tête entre ses mains. A côté, une espèce d’hybride bouquetin sur deux pattes que je reconnus être Pan marchait en bombant le torse.
Dans le hall, la lumière permettait d’apercevoir voltiger de nombreuses particules de poussière. Tatiana pouffa de rire en m’imaginant en train de passer ma vie à nettoyer ne serait-ce que cette partie de la demeure. A notre gauche, la porte à double battants permit de constater une salle immense et vide. Moi-même, je ne savais pas quoi faire dedans. De l’autre côté, les appartements étaient aménagées. C’était là que vivait l’ancien propriétaire après s’être retrouvé paralysé. Il vécut une dizaine d’année en fauteuil roulant sans pouvoir entretenir la maison. Lorsque je racontai ça à mes amis, ils me fixèrent de leur regard interrogateur.
-          Mais pourquoi tu as acheté cette baraque? demanda Marc.
-          C’est immense, c’est trop grand pour toi, remarqua Léo.
-          Je sais, répondis-je. Je ne sais pas…Quand j’ai vu l’annonce, j’ai eu comme un coup de cœur en regardant la photo. Alors, je suis venu visiter et le coup de cœur s’est confirmé.
Je fis visiter la partie aménagée. A cet endroit, j’avais suffisamment de place pour vivre. Une cuisine, une salle à manger, un salon, deux chambres et une salle de bain. Quoi que petit, l’ensemble était aussi grand que n’importe quel F3. Tatiana habituée à mon ancien appartement, eut un large sourire après un long soupir. Elle observa les plafonds, on pouvait même ajouter une mezzanine. C’était trop grand, répétait-elle en soufflant.
Au bout de cet espace habitable, j’ouvris une porte fenêtre donnant sur le jardin arrière. Ils restèrent ébahis en découvrant le jardin aussi grand qu’une forêt. Il y avait de nombreux arbres fruitiers, des cerisiers, des pommiers, des noyers, un prunier et même un bananier. Nous étions en août et l’on pouvait voir le sol jonché de mirabelles sous le prunier. Quelques oiseaux s’en donnaient à cœur joie. Léo signala qu’il s’agissait surtout de corneilles et de corbeaux.
-          Tu vas être bien là ! C’est clair, bredouilla-t-il.
-          Et ça va loin. J’ai mis dix minutes pour atteindre le mur du fond. Après, ce sont des champs et la forêt.
-          Ça t’a coûté combien tout ça ? questionna Léo
-          Presque rien, c’était aux enchères. L’ancien proprio n’avait pas d’héritier et il était endetté. Alors, ça a été mis en vente…. Je n’ai pas compris pourquoi personne n’a vraiment surenchérit.
La vente s’était déroulée devant l’entrée. Le commissaire-priseur annonça le prix. Je fis un geste pour débuter. Il y a eu une femme d’une soixantaine d’année qui leva la main offrant un prix supérieur. Elle leva deux fois la main avant d’arrêter. Pourtant, il y avait du monde mais personne ne chercha vraiment à s’imposer dans la vente ; comme s’ils étaient statufiés ou tétanisés. Lorsque la phrase : « Adjugé, le domaine va M. Lantier » sortit de la bouche du huissier, un notaire m’agressa gentiment en me fournissant les papiers de propriété, genre il était content de se débarrasser de l’affaire.
Nous retournâmes dans le hall et commençâmes à grimper l’escalier. Ses marches légèrement abimées avaient besoin d’une réfection pour une seconde vie. Nous arrivâmes au premier des trois étages. Deux portes ouvertes se proposaient accédant à un couloir. Durant ma visite, je ne me souvenais pas qu’ils donnent accès à plusieurs portes.
-          Mais, en fait, tu as acheté un hôtel ? interpela Marc.
Encore une fois, je ne répondis pas. Et en effet, chaque salle était la même. On trouvait une place suffisante pour un lit et une armoire ainsi que les restes d’un évier bouffé par la crasse et les toiles d’araignées. Tatiana éclata de rire lorsque mes potes me charrièrent. Ils me connaissaient suffisamment pour savoir que je ne suis pas du tout une fée du logis. Dès lors j’expliquai mon projet. Ils écoutèrent avec attention.
-          J’ai envie de réaménager tout ça. De toute façon, je n’ai que ça à faire depuis que j’ai gagné au loto. J’ai l’intention de faire des appartements. On n’est pas loin de la ville et le côté campagne pourrait plaire. Ensuite, la salle de réception pourrait servir pour nos soirées. Je n’ai pas tout en tête mais je sais déjà comment transformer tout ça.
En visitant les chambres, nous découvrîmes quelques meubles oubliés. Bien entendu, c’étaient surtout des armoires ou des lits aux matelas moisis. Je devinai retrouver des vêtements ainsi que des objets personnels dans les tiroirs. Le second étage offrait le même paysage ; des chambres de chaque côté de l’escalier. Enfin le troisième ne fut pas accessible à cause d’une porte fermée dont je n’avais pas la clé. J’essayai en vain de l’ouvrir mais je me résignai à la laisser en état. Dès lors, nous retournâmes dans le vestibule.
-          C’est quand même pharaonique, me dit Tatiana. J’espère que tu ne comptes pas sur moi pour tout laver.
-          Je vais employer des gens pour ça. N’oublie pas que maintenant j’ai les moyens.
Elle eut un sourire crispé. Je pense qu’elle n’aimait pas me parler argent. On était ensemble depuis deux ans et il n’a jamais été question de ça. Depuis mon ticket gagnant, je sentais qu’il existait une certaine tension entre nous. Il n’y avait pas qu’elle. J’ai vite dégagé les vautours qui se disaient être mes amis si bien qu’il ne restât plus que Léopold et Marc, deux potes d’enfance…Et Tatiana pour qui l’argent n’a aucun intérêt.
Nous discutâmes encore de la maison. Le camion devait apporter mes meubles le mois prochain. En attendant, je comptais venir en apportant quelques affaires. C’était des outils, de la peinture, de quoi donner un souffle là où cela en avait besoin.
-          Tu en as pour des siècles, réagit mon ami Léo.
Sans leur demander, ils acceptèrent de venir donner un coup de main. Pas grand-chose de dur mais juste de quoi s’occuper. Car finalement, malgré mon portefeuille garni, je restai comme eux, quelqu’un de simple et même si j’avais ‘la folie des grandeurs’ avec cet hôtel particulier, je comptais d’abord le moderniser pour le faire revivre.
Nous quittâmes la maison en riant. Un nuage noir cacha brusquement le soleil qui rayonnait depuis son lever. Soudain, il se mit à pleuvoir abondamment nous obligeant à courir pour nous protéger dans la voiture. Mais avant, lorsque je me retournai afin de fermer la porte, celle-ci claqua brutalement devant moi faisant sursauter mes amis. Ils se mirent à rire du fracas et de la pluie qui commençait à tomber en disant que la maison me souhaitait la bienvenu. De mon côté, je me sentis légèrement troublé car juste avant que la porte ne se referme tout seule, il m’avait semblé voir une ombre descendre en glissant sur les escaliers.
Alex@r60 – janvier 2021
Photo : Clermont (Oise) dans les années 1970
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voieoff · 5 years ago
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Avoir de la chance, une question de chance ?
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La chance, une question de chance ? 
Ben oui, quelle question ?! Il y en a à qui tout sourit et d'autres qui collectionnent les ennuis. D'ailleurs Calimero le sait bien. « C'est vraiment trop injuste ».
https://www.youtube.com/watch?v=FdU5Oy1hM6o
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Et ceux qui répondent non, se rangent sans le savoir derrière Turnus, général imprudent loué par Virgile à qui il fait dire : « La chance sourit aux audacieux », mantra volontariste, un peu énervant.
Commençons par ceux qui n'ont pas de chance. Les malchanceux peuvent...
Être victimes d'une certaine distraction
Effectivement, certains Calimero n'ont vraiment pas de chance. Cela peut être drôle, quand la distraction en est la cause : les mésaventures de Gaston Lagaffe, des Dupont Dupond, du professeur Tournesol ou des pirates d'Astérix en sont la désopilante illustration.
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Mais ça, c'est le monde merveilleux de la bande dessinée. Dans la vraie vie, les malchanceux peuvent...
Être maudits
Cela est tragique, et loin de moi l'idée de rendre responsable celui qui n'a pas de chance, comme le font les amis de Job. Selon eux, si Job subit tous les coups du sort possibles et imaginables, c'est qu'il a fait quelque chose de mal.
D'où le sacrifice de « boucs émissaires » dans les sociétés primitives anciennes (ou modernes), afin de détourner du courroux divin ceux qui n'étaient « pour rien » dans les épidémies ou autres drames. Suivez mon regard...
Mais selon les statisticiens, il n'y a pas de bonne ni de mauvaise fortune. Le monde n'est constitué que de mouvements aléatoires. Et le plus aléatoire, c'est l'histoire et la g��ographie. Les malchanceux peuvent tout simplement
Être nés au mauvais endroit au mauvais moment.
Dans mon premier roman, j'évoquais le drame des « Malgré nous », ces Alsaciens enrôlés de force dans la Wehrmacht. Devenus allemands sous les Prussiens en 1871, redevenus français en 1918, ils sont envahis par les armées d'Hitler en 1940 et envoyés en priorité sur le front de l'Est (80% d'entre eux y laisseront leur peau). À la fin de la guerre, beaucoup sont faits prisonniers par les Soviétiques, car assimilés aux Allemands et ne ressortent des stalags que dix ans plus tard.
C'est le drame de l'histoire, et être audacieux ou non n'y change rien. (D'ailleurs les audacieux dans ce contexte mettaient en danger toute leur famille s'ils désertaient, cf C’était malgré nous ).
Donc, vous m'avez bien compris, j'écarte de ce débat les trajectoires happées par l'histoire, comme celles par exemple du jazzman autrichien Eddie Rosner, dont j'ai raconté le tragique destin à la radio. Au lieu de fuir plein ouest quand la Pologne est envahi, il épouse une belle Polonaise et part à l'Est. Il se retrouvera plus tard au Goulag, après avoir joué du jazz à bord des trains de l'armée rouge.
Non, il s'agit aussi de tout autre chose, moins tragique. C'est ce sentiment diffus qui fait que 57% des Français sont persuadés ne pas avoir de chance. En fait, selon le psychologue Fritz Heider, ils peuvent tout simplement
être victimes de « la théorie de l'attribution »
C'est à dire attribuer leurs réussites ou leurs échecs à des causes internes (j'ai été génial/ nul), ou externes (le contexte m'a été favorable/défavorable). Or, quand on choisit la seconde option, on cède aux sirènes de la pensée magique pour relativiser la portée de sa responsabilité et on se dit pour se consoler que « c'est la faute à pas de chance ». Comme Calimero !
Alors, c'est quoi avoir de la chance ?
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Avoir de la chance : réaliser son désir
Quand on parle de chance, il s'agit ici plus d'une posture, qui permet de conjuguer désir et réalisation.  Mais pour la majorité d'entre nous, avoir de la chance, c'est
« gagner au loto ».
C'est à dire, un gros coup de veine, qui nous délivre de tout souci, de toute obligation de travailler... le bonheur, quoi.
Eh bien, détrompez-vous.
ce n'est pas un hasard, c'est un métier. Connaissez-vous Joan Ginther, cette Américaine qui entre 1993 et 2010 a gagné quatre fois au loto ? Elle a dépensé environ 2,5 millions de dollars en tickets de loto, en calculant où et quand elle aurait le plus de chances de remporter la mise. Elle s'est obstinée et a fini par empocher plus de 20 millions de dollars. Elle a provoqué sa chance avec constance et détermination.
Gagner au loto ne rend pas forcément heureux. Cela terrifie d'ailleurs l'héroïne de  La Liste de mes envies  de Grégoire Delacourt. Elle cache à son entourage sa « bonne fortune » de peur de rompre les liens authentiques avec sa famille et ses amis.
Alors, c'est quoi, provoquer sa chance ? C'est...
multiplier les occasions pour...
être là au bon moment,
voir la bonne personne au bon endroit.
être curieux, ouvert et culotté.
La publication de mon premier roman a été un mélange de chance, d'opportunités, de travail et de culot. Vous savez que pour être édité, il faut trouver la bonne maison d'édition, celle qui a la fameuse bonne « ligne éditoriale ». On s'épargne ainsi de nombreux refus démoralisants. Oui, mais comment faire coïncider son sujet et la dite maison ?
Le jour de mon anniversaire, au lieu de le fêter chez moi avec ma famille et mes amis, je suis partie à une soirée caritative au musée Fabre, écouter au milieu d'inconnus Didier van Cauwelaert parler d'un manga écrit avec une artiste. Le mélange des genres me plaisait et je suis venue avec mon manuscrit dans mon sac. Dans ma naïveté, je pensais demander au grand Didier de me donner son avis. Pouvait-il lire mon livre ? Me dire si je pouvais tenter ma chance ou le mettre à la poubelle ? Démarche stupide, je ne vous conseille pas de le faire, les auteurs n'ont pas le temps de lire des manuscrits, ce n'est pas leur job. Une personne avec un badge m'a vue dans la file d'attente, mon manuscrit serré contre mon cœur. Elle m'a demandé ce que c'était. Je lui ai raconté mon histoire. Elle m'a suggéré de l'envoyer à la maison d'édition directement. J'ai suivi son conseil et trois mois plus tard je recevais un coup de fil de Prisma m'annonçant que mon livre serait publié. Il se trouve que Prisma lançait une nouvelle collection de fictions, nom de code « sphère de l'intime » et que mon livre correspondait exactement à ce qu'ils recherchaient. Si j'étais restée tranquillement chez moi, je n'aurais jamais rencontré cet ange badgé qui m'a indiqué la bonne voie.
Mais avoir de la chance, ce n'est pas seulement ça. C'est aussi...
accepter de ne pas toujours en avoir.
comprendre que la vie est un parcours jalonné d'étapes et de bifurcations
réaliser que certains événements vécus comme une malchance s'avèrent être une chance a posteriori.
Dans « Music of the heart » sorti en 1999, Meryl Streep interprète la vie extraordinaire de Roberta Gaspari violoniste abandonnée par son mari, parti convoler avec sa meilleure amie. Pour s'en sortir, elle donne des cours de violon dans un quartier défavorisé de New York. Quand l'école décide de supprimer l'activité, elle se bat pour organiser un concert. C'est un triomphe. À un moment du film, alors qu'elle remercie sa mère pour son aide, celle-ci lui dit : « Remercie plutôt ton mari de t'avoir trompée. Sans lui, tu n'en serais pas là aujourd'hui ».
Je pourrais aussi vous parler de synchronicité, de Jung, de kairos, mais c'est à vous maintenant de prendre votre destin en main et d'augmenter vos compétences en matière de chance. Le sujet est vaste et passionnant, comme la vie. Car la chance, n'est-ce pas tout simplement le sens que l'on donne à sa vie, la direction ? Si on aime la vie, on a plus de chance de bien la mener. Le poète grec Eschyle n'a-t-il pas écrit : « Lorsqu'un homme conspire à sa propre perte, les dieux viennent l'y aider. » ? Alors, à vous de jouer...
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Photos de Jaesung An
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santiagotrip · 6 years ago
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Étape 13 : Saint Loup
Préliminaire : Juste une petite rectification par rapport au billet d’hier soir : Levé à 6h, je prépare mes affaires dans la chambre le plus discrètement possible et je file dans la salle du petit déjeuner. À la fin de mon déjeuner, alors que j’avais mon sac sur le dos, je vois arriver mon « voisin de chambrée ». Il me salue, me sourit, et me demande ce que je fais ... Sympa, quoi. Bon, je lui parle de mon voyage, de Compostelle ... Il en rajoute pour me montrer qu’il connaît par cœur, en fait il connaît rien, mais je fais mine de ne pas m’en apercevoir et, hypocritement, de m’intéresser à son discours. En fait, je n’ai pas réussi à savoir qui il était réellement, mais il me faisait penser à ces éternels étudiants qui papillonnent de licence en licence sans jamais rien concrétiser, toujours pour de « bonnes raisons » et qui sont persuadés que ce parcours chaotique leur a conféré une ouverture d’esprit à nulle autre pareille. Et ils s’efforcent de l’étaler, assez maladroitement il faut dire. Ca a un côté assez triste. Pendant notre conversation, l’une des dames d’hier arrive, souriante, et se joint à la conversation (ou plutôt, à l’interrogatoire). Elle me demande d’où je viens, quand je compte arriver, quelle distance je fais par jour ... En fait, c’est juste pour m’expliquer qu’elle a un ami qui a fait la même chose, mais en mieux, en plus loin, en plus vite, en plus tout, en fait.
En creux, mon truc, c’est de la gnognote !
Mon problème à cet instant précis, c’est de savoir comment expliquer courtoisement que je ne me suis pas levé à 6 heures du mat pour que deux blaireaux étalent sa "petite science” pour l’un, sa « supériorité par procuration » pour l’autre pendant 20 minutes, alors que j’ai 20 bornes qui m’attendent.
Je salue tout le monde avec chaleur et je me casse. Ouf !
Ca, c’est la Cathédrale vue depuis la fenêtre de la salle du petit déjeuner de l’auberge de jeunesse
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On a modifié l’itinéraire avec Agnès. Initialement, je devais m’arrêter à Mignières, mais l’étape semblait courte, alors qu’il y en a une de 39 kms qui m’attend. Alors on essaie de calepiner le trajet autrement.
Je vais donc à La Bourdinière Saint Loup.
J’ai fait 19,8 kms aujourd’hui. C’est pas énorme, mais c’est la faute au « guide Lepère » qui a mesuré les distances un lendemain de fête, ou de mon GPS qui donne les distances hors taxes. J’essaierai d’en savoir plus, pour l’instant, je me base sur les indications GPS.
Autant la traversée de Dreux avait été sinistre, autant celle de Chartres est magnifique. Des aménagements partout (jeux d’enfants, parcours sportifs, passerelles ...), une architecture moderne intelligente, une ancienne bien mise en valeur, des espaces verts ... Je n’ai vu aucune zone commerciale ni industrielle ni à l’entrée, ni à la sortie.
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Quant au parcours de la ville, sans faute. Des demeures magnifiques, des maisons modestes mais accueillantes ... (quand c’est pour vous et moi, on dit « maison ». Quand il y en a pour un paquet de pognon, on dit « demeure ». Mais pour passer de « maison » à « demeure », il faut, soit avoir gagné au loto (tout seul), soit être le chef d’un cartel de la drogue, soit être entré en politique (non, je plaisante !).
Je parle à mon hôtesse d’aujourd’hui de Chartres et de l’impression que j’en ai eue, lui disant que Chartres avait l’air d’une ville très riche, elle me répond que pas spécialement, mais que le Maire « il rigole pas. ». Ca, c’est pas moi qui l’ait dit !
Bon, le voyage a été plus agréable, touristiquement parlant, que les deux jours précédents. Environnement plus varié, traversée de villages, de forêts ... Toujours un temps superbe ...
Et ça, c’est pour ceux qui diraient que je rédige mes billets devant une petite bière, depuis un bistrot du Crotoy :
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Pour les amateurs de sports de l’extrême ou de films d’action, un moment fort :
Dans un village, consultant mon GPS, je fais un faux pas et je m’étale de tout mon long sur la route ! Angoisse de m’être cassé quelque chose. Et alors pour me relever avec 15 kgs sur le dos, bonjour. Une jeune fille en voiture s’arrête, m’aide à dégager la route. Je bouge les jambes, les bras ... Tout fonctionne. J’ai juste une douleur dans le poignet gauche, mais ça ne devrait pas durer.
Je me réarnache, je remercie la jeune fille, et c’est reparti.
Je commence à progresser. À 13h, sans me presser, j’avais fait les 20 kms. Et je suis arrivé prêt à en faire encore. Je me dis qu’il n’y a pas d’’urgence, et que rien ne sert de tirer sur la bête. 
Curieusement, je n’ai aucune envie de visiter. Parfois, le chemin me fait faire un détour pour voir un truc, ça ne me branche pas du tout. J’ai l’impression de ne pas être là pour faire du tourisme. Quand c’est sur le chemin, je regarde avec intérêt, quitte à m’attarder un peu, mais sinon, j’ai l’impression de perdre mon temps. Même, quand je déambule l’après-midi après la marche, c’est plus pour me dégourdir les jambes que pour visiter.
Mon obsession, à mon corps défendant, est de tracer.
Alors je trace.
Là, je suis chez Marguerite et Marcel. Ils ont un grand corps de ferme et en ont aménagé une partie en chambres d’hôtes. Ce son deux personnes âgées (plus de 80 ans) Marcel est lourdement handicapé, et Marguerite s’occupe de tout. Les chambres sont louées (pas cher) à un monsieur Marocain qui démonte des bagnoles en France et emmène les pièces au Maroc, un monsieur de Bordeaux qui travaille dans le coin 4 jours par semaine et un malgache (je ne sais plus ce qu’il fait, sauf qu’il rentre tard, fait de la cuisine qui pue et parle fort au téléphone). La cuisine est commune.
C’est bien. Même très bien. Je n’avais plus de sous en liquide, Marguerite m’a emmené à la banque à Thivars. On a causé un peu dans la voiture.
Bon, un aparté : j’avais ajouté environ 50 lignes et quatre photos, au moment de sauvegarder, bug et l’appareil a tout mangé ! Heureusement que je sauvegarde de temps en temps ...
Bon, je recommence : Dans la voiture, je constate qu’elle a pas fait l’ENA, Marguerite, elle a un accent paysan à couper au couteau, mais elle a vraiment oublié d’être idiote. On a parlé agriculture, désertification des campagnes, je sais maintenant que dans leur région, pour dégager un SMIC, il faut au moins 150ha !
Puis, elle me propose de dîner avec eux ce soir. Je suis flatté, parce que je pense que tout le monde n’a pas ce privilège.
19h15 tapantes donc, Marguerite vient me chercher et je fais la connaissance de Marcel. Lourdement handicapé (il a quand même fait un an et demi d’hôpital, mais je n’en sais pas plus), il n’est pas du tout handicapé du cerveau. On a parlé de pas mal de choses, mais surtout d ‘un sujet qui les préoccupe fort, c’est la désaffection des jeunes gens, et en particulier des jeunes filles, pour les choses de la campagne. Ils sentent leur métier mourir et ça les affecte beaucoup.
Il ont une chienne, qui a sa chaise et son assiette à table, et qui consent parfois à laisser un bout de son fauteuil à Marcel. Elle a absolument tous les droits. Ils sont conscients du ridicule de la chose mais ils s’en foutent. Et je trouve qu’ils ont bien raison.
On mange une soupe, une omelette et un yaourt, on a passé une bonne soirée.
Demain, changement d’heure. Debout à 6h15, 5h15 ancienne heure. C’est pas humain. En même temps, je verrai le jour se lever et ça peut être sympa.
Nota : Je n’ai pas trouvé de panneau « Chartres » et je ne me voyais pas faire 5 bornes de détour juste pour l’esthétique du blog. Mais ça ne se reproduira plus, c’est promis.
Demain, Marboué. C’est loin.
Alors bonne nuit à tous
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leblogdemarinaetjeanmarie · 6 years ago
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LUNDI 13 MAI 2019 (Billet 1 / 2)
Quelques uns parmi vous ont cru que nous étions (re)partis en voyage et que nous avions choisi le « Old Cataract » d’Assouan comme lieu de villégiature.
Mais non, malheureusement, nous n’avons toujours pas gagné au Loto. Les photos de cet hôtel mythique ont été placées dans notre dernier Billet juste pour vous laisser deviner que l’un d’entre nous d’eux, en l’occurrence JM, allait se faire opérer de la cataracte. On vous l’accorde, ceux qui n’en avaient jamais entendu parler ne pouvaient pas s’en douter.
Qu’importe, le piège lui a semblé séduisant, il s’est amusé ensuite de vos réactions.
Par contre, ce qui est sûr, c’est que l’intervention sur l’œil droit a bien eu lieu le jeudi 9 mai et que tout s’est bien passé, à part quelques effets douloureux quelques heures après et une paupière complètement collée le lendemain matin au réveil… Le tout finalement sans gravité.
Mais, avec un œil qui commence petit à petit à mieux voir, l’autre qui n’a pas encore été opéré et des lunettes qui ne corrigent donc qu’un œil et qui troublent l’autre (comment les couper en deux ?), à part la vision de près, tout le reste est assez problématique. Le travail sur le PC se fait dans le flou, il n’y a que sur l’iPhone que tout va bien.
L’autre œil sera opéré le 23 mai. En attendant, malgré tout, la vie continue bien sûr !
Hier, profitant d’une belle journée sur Paris (mais encore fraîche), JM s’est lancé dans une nouvelle recette à la Plancha. Marie-Ange (T.), une amie, s’est jointe à nous au dernier moment... et nous avons passé ensemble un très agréable après-midi sur notre roof top.
Les amateurs de Plancha trouveront la recette ci-dessous.
____________________________
« COQUELET EN CRAPAUDINE aux herbes de Provence »
Si vous n'avez pas d'idée, essayez cette recette facile et rapide de coquelet en crapaudine aux herbes de Provence à la Plancha (et sous cloche – facultatif).
PRÉPARATION
ÉTAPE 1
Choisissez un beau et gros coquelet, placez- le sur le ventre et, avec un couteau, tranchez-le au milieu, du cou au croupion. Retournez-le et écrasez la cage thoracique avec la main, il sera alors en forme de crapaudine. Déposez-le dans un plat, côté peau. (C’est le côté sadique de la recette…).
ÉTAPE 2
Préparez une marinade avec :
1 citron pressé,
1 cuillère à café de moutarde,
3 cuillères à soupe d'huile d'olive,
Sel / poivre,
1 cuillère à soupe de piment d’Espelette,
3 têtes d'ail hachées,
1 cac de thym,
et enfin 1 cac de romarin.
Mélangez-bien, versez la marinade sur le coquelet, répartissez-la bien sur les 2 faces et laissez mariner 1h au réfrigérateur.
ÉTAPE 3
Mettez un peu d’huile sur la Plancha et faites-la préchauffer à feu vif 5 minutes. Faites griller les 2 parties du coquelet 4-5 minutes de chaque côté, toujours à feu vif.
ÉTAPE 4
Rajouter un peu de marinade sur le dessus, réduire à feu moyen puis posez la cloche sur les 2 parties du coquelet. Laissez cuire. 5 minutes plus tard, soulevez la cloche, retournez les 2 parties, redéposez un peu de marinade sur le dessus puis clochez et laisser cuire encore 5 minutes. Enfin, goûtez, rectifiez un peu l’assaisonnement si nécessaire puis, si cela vous semble cuit, servez aussitôt.
ACCOMPAGNEMENT
C’est Marina qui s’en est occupée : des tomates à la provençale.
Son petit plus : elle ne lésine pas sur le temps de cuisson à feu très doux pour presque les confire, ni sur l’ail, la noisette de beurre et la chapelure sur le dessus.
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ginobusiness · 4 years ago
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5 investissements accessibles pour gagner de l’argent en ligne
Je vous présente aujourd’hui cinq petits investissements accessibles à tous qui pourront vous aider à devenir libre financièrement.
Vous allez voir qu’il n’existe pas d’investissement qui vous rapporte avec un risque nul. Donc, le but de cet article est de vous présenter non pas l’investissement parfait puisqu’il n’existe pas mais de vous présenter un investissement qui vous correspondra avec votre profil d’investisseur.
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De même, je fais un point d’information important : il n’existe pas d’investissement 100% passif c’est à dire qu’il n’existe absolument pas d’investissement dans lequel vous mettez de l’argent une fois et vous n’avez plus à vous soucier de votre vie de ce qu’il se passe ; et vous allez gagner de l’argent aveuglément. Cela n’existe absolument pas du tout.
Il y a en fait différents investissements qui vont demander moins de temps que d’autres et qui vont vous rapporter plus ou moins en fonction des types d’investissements ; et en fonction du temps que vous allez impliquer et de l’argent que vous allez investir. Mais concrètement, que ce soit, l’immobilier, la bourse, ou l’investissement dans des business en ligne, le revenu 100% passif n’existe pas.
Je pense que la quête du revenu 100% passif est un mirage et il est préférable de se concentrer sur comment créer des business qui sont un maximum passif par exemple l’immobilier qui est un business extrêmement passif, la bourse qui est un business extrêmement passif ou encore l’affiliation.
Le business doit être une manière pour s’enrichir et réinvestir dans des investissements style immobilier et bourses et de pouvoir vivre de ses investissements en échange.
Donc, faire travailler l’argent pour soi oui, mais être conscient que le revenu 100% passif n’existe pas.
Maintenant que j’ai fait ce point d’information, attaquons le cœur de notre sujet : quels investissements pour avoir des revenus complémentaires ou pour devenir libre financièrement.
Investissement accessible N°1 : la bourse avec effet de levier
Le premier petit investissement accessible à tous, c’est d’investir sur les marchés financiers avec des effets de levier. Prenons un exemple : j’ai 100 euros à investir et bien, ces 100 euros je les mets sur une plateforme de trading. Je vais ensuite mettre un effet de levier x 10 pour me permettre d’acheter des actions avec peut-être plus de levier.
Qu’est ce que cela signifie réellement ? c’est à dire que j’ai mis mes 100 euros et en fait je vais faire une espèce d’emprunt à la plateforme qui veut dire que si jamais je gagne dix ou vingt fois mon investissement, je gagne plus.
Cependant dès que je vais perdre, ne serait-ce que 10 % comme l’effet de levier est x 10 et bien la totalité de l’investissement va disparaître en un claquement de doigts.
Donc les effets de levier sont intéressants pour ceux qui savent les utiliser.
Le premier petit investissement accessible à tous c’est aussi un investissement qui est dangereux dans le sens où vous pouvez perdre rapidement votre argent. Si cela vous tente, formez-vous avant de vous lancer.
Investissement accessible N°2 : Investir dans les garages et les parkings.
Les garages et les parkings peuvent se vendre approximativement entre 2000 jusqu’à 20000 euros en fonction de la localisation.
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Mais j’aimerais tout de même vous éveiller sur un point : pourquoi investir dans des parkings et des garages si c’est juste une histoire de capital ?
En effet, puisque finalement si vous avez ce petit capital de deux à vingt mille euros, pourquoi ne pas les investir dans un appartement avec un effet de levier de la part de la banque ce qui vous permettra de trouver un locataire qui remboursera les mensualités de votre crédit à votre place tandis que avec vos deux mille à 20000 euros.
Je pense que les parkings et les garages peuvent être intéressants pour les personnes qui ne peuvent absolument pas du tout accéder au crédit bien qu’il est toujours possible d’accéder au crédit même si on est étudiant ou intérimaire ou chômeur. il y a toujours un moyen d’emprunter de l’argent que ce soit à titre personnel ou à titre professionnel (c’est-à-dire au travers d’une entreprise où vous allez vous associer avec des personnes, ce qui va faire augmenter le revenu moyen de la boîte et vous permettre d’investir dans l’immobilier).
Investissement accessible N°3 : le crowdfunding ou l’investissement participatif
Le crowdfunding ou encore l’investissement participatif, qu’est ce que c’est ?
Admettons que j’ai 100 euros à investir. Plutôt que de les mettre en bourse ou dans un bien immobilier, ce que je vais pouvoir faire, c’est me rendre sur des sites qui vont proposer des projets d’investissement communs. C’est à dire que plusieurs personnes vont se réunir et vont investir des petits montants tous ensemble via une plateforme qui va proposer des investissements et va prendre des commissions sur le fait qu’ils vont rechercher des projets intéressants à soumettre aux investisseurs comme vous et moi. Du coup, on va investir ensemble pour pouvoir mettre en place des projets qui ne peuvent pas être financés par la banque par exemple. Admettons qu’un promoteur immobilier vend des biens immobiliers par exemple à monsieur madame tout le monde au cas par cas, admettons qu’il n’en ait pas vendu et bien dans ce cas là, il va pouvoir proposer ses biens immobiliers à des plateformes d’investissement participatif pour que eux les revendent derrière aux clients.
Même chose, avec des entreprises qui ont besoin de financement et pour qui la banque a refusé les prêts. Ces entreprises ou les startups viennent voir les plates formes d’investissement participatif et soumettre ces projets là aux investisseurs particuliers qui ont des petits capital à investir.
Cependant, faites attention. L’investissement participatif dans l’investissement immobilier n’est pas aussi rentable que l’investissement dans l’immobilier avec un emprunt ou en capitaux propres. En effet, dans l’immobilier il y a deux moyens de s’enrichir. Vous avez non seulement le fait que votre bien va prendre de la valeur dans le temps donc si vous le revendez 5, 10, 15, 20 ans après l’achat, vous aurez gagné de l’argent ne serait-ce que sur la valeur du bien.
Même chose avec les loyers donc tant que vous conservez votre actif, vous allez gagner de l’argent c’est à dire que tant que je garde un appartement qui est à moi, je vais toucher les loyers tout le temps, chaque mois et je pourrais le revendre.
Donc, j’ai deux effets d’enrichissement : la valorisation et les loyers que je vais toucher.
Sur le crowdfunding immobilier, le seul levier va être les loyers puisque un rendement approximatif sur l’investissement participatif est plus aux alentours de 7 à 8,5%. Donc, ce que vous devez comprendre, c’est que, en plus de prendre des commissions lorsqu’ils vont analyser le projet et vous présenter le bien, malheureusement vous ne pourrez vous enrichir que sur une des deux parties du tableau. Mais cela reste plus sûr et plus passif, car vous n’aurez à vous occuper de rien.
Investissement accessible N°4 : les cryptomonnaies
L’investissement dans les cryptomonnaie rivalise énormément avec la bourse aujourd’hui.
Il n’y a qu’à voir comment évolue la cryptomonnaie la plus emblématique à savoir le bitcoin pour comprendre de quoi on parle.
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Mais, il est très important de savoir non seulement à quel moment acheter, savoir étudier un projet pour y investir. Mais il faut aussi être patient puisque l’investissement dans les crypto monnaie peut être très liquide et très rapide et je pense que c’est là le piège.
En effet, beaucoup de personnes, parce qu’un investissement peut être liquide c’est-à-dire peut être vendus rapidement, et bien les personnes s’empressent de le vendre.
Ne pensez pas que les crypto monnaie sont un moyen un petit peu aléatoires de jouer au loto. C’est une analyse qui doit être fait et de la patience.
Ce que je vous recommande, c’est vraiment d’acheter de conserver longtemps et de revendre mais tout ça basée sur une analyse fondamentale et pas simplement des graphiques.
C’est mon expérience en tant qu’investisseur qui parle.
En tout cas, je ne vous conseille pas du tout le trading de crypto mais pkutôt, d’analyser, d’investir et d’attendre le temps qu’il faut.
Investissement accessible N°5 : Vendre des ebooks
Le dernier investissement accessible à tous, ça va être le fait de déléguer la rédaction d’un livre numérique et de le vendre ensuite sur amazon.
Admettons, j’ai envie d’écrire un livre dans le domaine de la santé et je n’ai pas le temps ni l’énergie ou alors j’ai pas envie de le faire tout simplement. Mais, j’ai envie que ça me rapporte ce que je vais faire, je vais trouver des prestataires, ce qu’on appelle également des ghost writer qui sont des écrivains fantômes. Ils vont écrire ce que vous allez dicter et vont rédiger un livre pour vous. Il vous suffira ensuite de trouver un graphiste et quelqu’un qui va le mettre en forme pour pouvoir ensuite le vendre sur des plateformes comme kdp sélect de Amazon. Vous êtes cela, une fois. Vous avez votre livre sur Amazon et bien chaque fois qu’il y aura une vente automatiquement, les taxes nouvelles vont se payer d’elle-même sur Amazon. Ils vont gérer ça eux mêmes. Ils vont même s’occuper de la délivrabilité si vous souhaitez écrire un livre au format papier et vous, depuis chez vous vous aller encaisser les revenus du livre.
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Cependant, sachez une chose c’est que cela va demander un petit peu d’implication en termes de temps et d’énergie puisque forcément, même si vous déléguez tout de A à Z, il va falloir un minimum d’implication ne serait-ce que pour vérifier le travail délégué.
Cela va vous coûter un petit peu plus cher forcément que les autres types de petits investissements, mais c’est un très bon investissement car cela va vous rapporter tous les mois si vous basez la stratégie de rédaction de livres numériques sur des mots clés qui sont spécifiques et demandé du marché.
Pour finir, je rappelle qu’un investissement doit se faire exclusivement avec de l’argent dont vous n’avez pas besoin pour vivre au quotidien. Autrement, vous risquez de vous retrouver sur la paille. ET ce n’est pas le but recherché.
Notre objectif commun est de générer des revenus passifs, des revenus complémentaires, de devenir libre financièrement.
Bonne chance pour vos futurs business en ligne ou non.
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teamfreeofficial · 4 years ago
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BIOGRAPHIE
On ne peut pas dire que Jared a eût beaucoup de chance dans sa vie. Et pourtant. Il naît dans une famille relativement pauvre. Il est le cadet d'ailleurs et à deux grands frères et une soeur. Sa mère n'a jamais eût trop les moyens de subvenir à leurs besoins même si elle faisait tous les efforts du monde. sans mentir, les quatre enfants sont des accidents. Cependant, à la naissance de Jared, leur père décide de partir. Voyant qu'il n'arrive pas à subvenir au besoin de sa famille et s'endettant un peu plus chaque jours, il disparaît. Tout simplement. Alors naturellement, c'est sa mère qui récolte les problèmes. Jared reste quand même un bon élève à l'école même si il subit beaucoup de moqueries pour la simple et bonne raison qu'il ne croule pas sous l'or. Quand il atteint la majorité, il laisse tomber ses études et travaille dans une supérette tandis que ses deux frères et sa soeur ont tout bonnement décidé de refaire leur vie loin de leur mère. C'est Jared qui reste auprès d'elle et l'assume tandis qu'elle tombe malade. Une vie qu'on envie pas. Quand il atteint 21 ans, il apprend que sa mère a un cancer et qu'il n'y a rien à faire. Juste laisser le temps. Un an à vivre. C'est si peu. Ni ses frères ni sa soeur n'ont cherchés à leur rendre visite. Alors, prit d'une rage contre la vie, Jared va faire la chose la plus insignifiante du monde. Jouer au Loto. Tout simplement. Deux jours après, il se rend compte qu'il vient de gagner 236 millions de dollars. C'est étonnant comment les amis, la famille, revient quand l'un d'entre eux est brusquement riche. Pourtant, Jared fermera la porte au nez de son propre sang et se contentera de payer les dettes de son père pour libérer sa mère. Il lui payera même le plus beau voyage jusqu'à ce qu'elle ne meurt. A l'enterrement, il est seul et ce n'est pas plus mal. Au désir de sa mère, il lance sa propre entreprise qui morte d'ailleurs le prénom de cette dernière "Grace Security". Il gère la sécurité de nombreux endroits, créer les plus grands système de surveillance, et quand bien même il est partie de la richesse qu'il a gagné il se fait encore des millions et des millions. Il semblerait que plus rien ne l'arrête. En terme de caractère, il est difficile à cerner. Jared a toujours peur des personnes vénales qui n'en voudrait qu'à son argent. On a d'ailleurs essayé de l'escroquer à de nombreuses reprises mais il s'est montré ferme. Il est vrai qu'il peut faire peur des fois. Il a encaissé tellement de colère et ne l'a jamais laissé sortir, ce qui fait de lui un mur devant toute forme de sentiment. Il part du principe qu'il n'a que des employés et des collaborateurs. Pas d'amis.
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highwayoflife · 7 years ago
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365 jours
Voilà 1 AN jour pour jour que nous avons quitté la France avec l'objectif de faire le tour du monde. C'était un lundi. Le 28 novembre 2016. 365+1 jours plus tard, nous sommes allés au bout du projet. Nous sommes contents d'avoir pu accomplir notre vision. Nous avons redécouvert des moments de joie très intense voire même absolu, vécu et réalisé tout ce que nous avions imaginé avant notre départ. Et bien au-delà.
Pourtant, au moment des préparatifs et de la planification, on ne pensait pas être capables, physiquement, d'aller au bout de ce projet. Ça paraissait lointain et abstrait. Impensable. Trop dur. Toutes ces choses à organiser, tous ces obstacles logistiques, tous ces pays, tous ces kilomètres, toutes ces étapes, tous ces transports, toutes ces activités, dans des conditions de confort supposées aux antipodes de ce qu'on connaissait. En plus, avant notre départ, on avait déjà une ardoise et une dette de fatigue inimaginable accumulée pour rendre l'ex-filtration possible, jusqu'à la dernière minute... On savait que le défi serait immense. Sans trop savoir, paradoxalement, ce qui nous attendrait… En prenant chaque jour l'un après l'autre, sans jamais nous projeter trop loin, surtout au regard des distances à parcourir, on a finalement pu aller au bout de notre itinéraire… en jouant même un peu les prolongations sur la fin… 12 mois de voyage, même avec de la préparation, c'est l'inconnu tous les jours. La réalité est que nos corps ont su trouver les ressources pour nous faire accéder à un nouveau niveau d'énergie. Un niveau énergétique supérieur qui a permis de réaliser cet enchaînement titanesque. Notre travail a été de voyager. Et on n'a pas dépensé notre énergie physico-chimique dans un job. Bref c'est un bon travail, et on en a eu conscience tout au long du périple. Nous avons chacun découvert les capacités d'adaptation insoupçonnables de notre organisme et de notre esprit. Nous avons pu expérimenter le dégradé infini de toutes les sensations de fatigue, physique, psychique et morale, et pourtant, jour après jour, étape après étape, ville après ville, on a pu trouver les ressources pour continuer à avancer en réalisant tout ce que nous avions imaginé, même après les nuits blanches, les intoxications, les accidents, les déconvenues, les choses inextricables du quotidien à régler. Ce voyage a été un immense challenge et nous avons vraiment pourfendu tout ce que nous pensions être nos limites. Il valait mieux ne pas savoir ce que tout cela représentait. Faire le tour du monde, c'est l'antonyme de partir en vacances - pas de confort-pas de repos-pas de répit. Nous avons pris des vacances, dans un lieu fantastique, à Hawaii, qui était “presque” sur notre route. C'était différent. Et surtout nécessaire. C'était les vacances les plus puissantes de notre existence. On a su apprécier chaque minute.
Aujourd'hui encore, regarder en arrière nous fait perdre le souffle, au regard du chemin parcouru, encore plus en considérant la complexité logistique et le fait de ne jamais nous être arrêtés. Le périple a été sans répit, mais pour la bonne cause. Il faut vraiment le dire : c'est dur et physique de “globetrotter”. C'est comme une épreuve d'endurance interminable. C'est un ultra trail, qui ne s'arrête jamais… c'est l'iron man sans la natation, sans le vélo, juste avec les pieds, le sac sur le dos et les défis du quotidien à relever tous les jours jusque tard dans la nuit, dans un environnement qui n'est jamais le même, pendant 1an. C'est reprendre la base de la pyramide de Maslow de façon incessante, à chaque étape. C'est mental. Maintenant que Julien a définitivement récupéré de sa fracture et que Gaby a découvert son grand potentiel, marcher 25 à 30 kilomètres est devenu facile, même avec la pluie, même avec le froid, même dans la montagne : il suffit de mettre un pied devant l'autre, pas besoin de réfléchir. Alors que pour le reste, que de prise de tête pour avancer…
Chaque destination mérite son lot d'exploration et la relâche n'est jamais à l'ordre du jour dans un voyage au long court. Quel que soit le rythme, rapide ou lent, on sait que les opportunités d'être sur place, faire telle chose, voir tel endroit, vivre telle expérience, ne se représenteront probablement pas… On est parti pour ça, on le savait. Alors on essaye d'en profiter, en composant avec l'énergie du moment, comme on peut. Les conditions ne sont pas toujours optimales - la météo, le budget, le sommeil, la récupération, le risque, le terrain, la motivation, la force, le matériel, l'équipement, l'alimentation - mais on s'en accomode et on a compris qu'il fallait composer avec tout ça et faire avec, comme on peut. Sur un an, on ne peut pas être toujours au top. C'est comme ça. Il faut faire avec. Et avancer. Ne surtout pas se trouver des excuses pour rester au chaud. Sinon on resterait au lit pour les 2 prochaines années…
C'est un à plusieurs nouveaux portails qui s'ouvrent chaque jour. Et qui se referment aussitôt. On les prend ou on ne les prend pas. Un océan d'opportunités comme jamais, qui se renouvelle en permanence. Aux antipodes de notre vie sédentaire d'il y a un an.
Il faut toujours aller de l'avant et on ne peut que rarement se satisfaire du chemin parcouru. Demain est un autre jour, il y a ce bus à prendre, cet hôtel à réserver, ces kilomètres sac sur le dos à faire, ce repas à préparer, cette activité à organiser, ça ne s'arrête jamais. Jamais ! Ce tour du monde est une expérience de vie extrême et quelque chose d'inimaginable sur tous les plans. C'est une expérience de vie magistrale et magnifique. Fatiguante mais absolue. Ces 365 jours sont passés à la vitesse de l'éclair, et nous avons pourtant l'impression d'avoir vécu 10 ans de vie, tant le voyage a été d'une intensité de tous les instants. On se souvient, pour la première fois de notre vie, de chacun des 365 derniers jours qui viennent de s'écouler. C'est simple, d'une façon ou d'une autre, ils étaient tous mémorables. C'était vraiment la “highway of life”.
Bref, on ne va faire de bilan ou de résumé. C'est juste impossible et indescriptible de retranscrire l'ascenceur émotionnel dans lequel nous avons gravité durant cette année. C'est comme si on avait changé d'orbite. On tourne dans un autre sens. Tous les 2-3 jours on change de galaxie. Il y a des jours avec une belle lumière d'étoile, et d'autres avec un méchant trou noir.   Toutes ces choses logistiques à régler tout le temps. Impossible à détailler. Juste trop lourd à gérer. Et paralèllement des lieux et des activités qui nous émerveillent.
Toute notre énergie et notre attention ont été focalisées sur ce voyage, sans dévier, pendant un an. Concentré sur l'organisation tout en vivant des journées très intenses, tous les jours. On a vite la tête totalement dans le guidon.
Maintenant que nous avons pu aller au bout de l'itinéraire et qu'on a atteint les objectifs qu'on s'était fixé, on peut enfin relever la tête, pour peut-être, enfin, nous reposer, commencer à penser à la suite. On n'avait pas vraiment de temps de cerveau disponible à accorder “au futur”. Réfléchir au retour n'était pas à l'ordre du jour. Il fallait d'abord trouver où-quand-comment prendre ce foutu prochain bus. Alors on est resté plongé dans notre quotidien de voyageur. Jusqu'à aujourd'hui. D'ailleurs on y est toujours. Et on n'a donc pas réfléchi à la suite.
Aujourd'hui on est libre. On est vivant comme jamais. On s'accomode de vivre au jour le jour. Aucune vie rangée qui nous attend au retour. Pas de travail à reprendre. Plus de chez soi à réinvestir. Pas d'objectif pour la suite. Et la fin de l'itinéraire tracé. Un voile sur la suite. Bref, on est libre !? C'est un sentiment bizarre. On voit les choses autrement après 12 mois de voyage. Sans obligations. On est plus à l'écoute de nos aspirations profondes. On ne ressent pas l'envie de réintroduire la matrice, surtout quand on sait à quel point il a été difficile de s'en extraire. On ressent l'envie de continuer à voyager, mais autrement, moins vite, moins planifié, encore plus au jour le jour… on a envie d'user notre matériel jusqu'au bout même s'il a déjà pris pas mal de coups et de profiter de notre expérience de voyage jusqu'à ce que notre esprit nous appelle vers autre chose, ou juste avant que nos poches soient vides :). On n'a maintenant plus grand chose dans nos sacs [ex : on a 2 t-shirt et basta] mais ça a suffit pour passer du désert de la Death Valley aux champs de glace de la Patagonie. Bref, on a tout ce qui faut pour aller partout. En plus on a encore un peu d'énergie et quelques pièces d'économies au fond du sac. Alors on a décidé d'oublier de prendre notre vol de retour pour poursuivre notre aventure, et cette fois les pages seront blanches. Qui vivra verra. Voyons où cela nous mènera.
A qui se demande si nous avions gagné au Loto pour réaliser ce voyage, un chiffre simple pour résumer la question : nous avons dépensé un peu plus de 8.000 euros tout compris pour passer 4 mois en Asie ; qui d'entre vous dépense moins de 2.000 euros pas mois dans son foyer pour vivre ?
Pour notre retour, qui n'est pas programmé, on ne reprendra sans doute pas nos vies d'avant. On aspire chacun à mener une vie beaucoup plus simple, mais on n'a pas encore découvert les réponses. Ce voyage n'a pas opéré une mutation transcendantale de ce que nous étions avant de partir, contrairement aux mythes et aux légendes qui alimentent les grands périples. On s'accorde tous les 2 à dire qu'on n'a pas changé d'un iota, et même que nos défauts se sont amplifiés. Ou tout simplement qu'on a découvert qui on était vraiment, sans voile, sans confort, sans certitude.
Juste pouvons nous dire qu'il est bien fort dommage que le monde se soit mis en marche autour du travail et de l'exploitation capitaliste. A la mesure de la beauté des lieux qui nous entourent, on ne peut que regretter et être profondément attristés par l'absurdité de l'ordre social humain. Il y avait mieux à faire… Le plus triste au-delà de la pauvreté affligeante et de la condition animale désolante, c'est bien l'état de pollution inimaginable, généralisé et profondément enfoui dans le moindre millimètre carré de poussière et de particule d'air que l'on découvre et que l'on respire aux 4 coins du globe. Mais bon, un jour peut-être, un cataclysme permettra de revenir à un niveau de conscience plus en accord avec ce que nous sommes et ce qui nous entoure. Cela paraît souhaitable. Il y avait la fôret. Il y a maintenant des Shanghai partout.
On remercie toutes les personnes qui nous ont encouragé, soutenu et suivi jusque-là. Il ne nous manque qu'une chose à ce stade : nos proches, nos parents, nos amis. Le reste est futile. Notre seul regret dans ce voyage est de ne pas avoir pu partager certains moments que nous avons vécu avec les gens qu'on aime. Nous avons fait ce site pour essayer de partager cette réalité, mais cela s'est révélé bien insuffisant. Pardon à tout le monde, nous n'avons pas pu vous appeler. On aurait aimé être sur place avec vous. Plutôt que de raconter. On n'aime pas publier nos vies. Ce n'est pas dans nos caractères. On a fait ce site pour garder le contact. Mais à la mesure de 365 jours, c'est un étalage avec lequel on ne se sent plus à l'aise. Donc on se sent un peu coincé entre l'envie de garder le contact et préserver notre pudeur… Cela a aussi représenté beaucoup de travail et de temps, dans des pays où l'accès à internet reste parfois un grand luxe. Alors on va continuer à publier quelques photos mais à un rythme différent, et avec moins de commentaires. En plus notre appareil photo montre des signes de faiblesse et depuis le départ, nous avons voulu mettre en avant la beauté du monde et jamais la régie du voyage. C'est pour ça qu'on vous dit simplement que cette expérience est magnifique, mais qu'elle est dure. Elle donne un sentiment de profond accomplissement et du devoir achevé, comme si nos vies avaient plus de valeur, parce que nous avons réalisé quelque chose qui nous faisait rêver et qui gisait au fond de nous.
On espère avoir pu illustrer à quel point notre monde est beau, immense, et infiniment diversifié. Merci à tous de nous avoir suivi jusque là. Une pensée à nos nonna 🌹
PS: c'est incohérent par rapport au discours mais juste pour immortaliser le souvenir
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rentscoot · 5 years ago
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Déferlantes 2019 – BigFlo et Oli : « On revient plus gros et plus sûrs de nous »
Les deux rappeurs toulousains donneront le coup d’envoi, ce vendredi soir, des Déferlantes d’Argelès-sur-Mer. 
Été 2016. Deux jeunes rappeurs, vêtements trop larges et casquettes vissées sur la tête, foulent la scène du parc de Valmy. Le public des Déferlantes découvre BigFlo et Oli, frères toulousains qui veulent se hisser au sommet du rap français. Le coup de foudre est immédiat. Depuis, les deux frangins ont sorti deux albums (« La vraie vie » en 2017, « La vie de rêve » en 2018), joué dans les plus grandes salles de France, rempli à deux reprises le Stadium de Toulouse et donné un mini-concert au cœur du Stade de France pour la finale du Top 14. Rien de moins. Trois ans après, ils reviennent sur la scène du festival argelésien. Rencontre avec Olivio, alias Oli, le plus jeune élément du duo toulousain.
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Oli : « Être meilleur, c’est ce qui m’importe le plus » – Nathalie Amen-Vals
Vous êtes de retour à Valmy, trois ans après votre première. Vous étiez également de passage au Mediator de Perpignan en octobre 2017, quels souvenirs gardez-vous de vos concerts dans les P.-O. ?
C’est toujours de super souvenirs ! Et c’est particulièrement vrai pour celui des Déferlantes, parce qu’on y a fait de belles rencontres. Je pense à Cali avec qui on s’est vraiment lié ce jour-là, il nous avait fait l’honneur de monter sur scène avec nous. C’est vrai qu’il y a des endroits où on joue beaucoup plus qu’à Perpignan. Mais à chaque fois, c’est un vrai plaisir. Je me souviens très bien du Mediator où on avait fait une résidence, on y avait répété le show. On a de très bons amis dans cette ville, c’est un endroit de la France qu’on aime beaucoup.
Vous avez grandi à Toulouse, le Pays catalan était peut-être une destination de vacances quand vous étiez petits ?
Alors non, c’était les colonies de vacances à la montagne organisées par la mairie (rires). Mais en tout cas ça pourrait l’être. Quand on y est passé avec un peu plus d’âge, on a découvert un endroit reposant, inspirant, c’est vraiment magnifique. Rien que la ville de Perpignan, on adore s’y balader avec Flo. On se déguise un peu et quand il fait beau on va boire des verres avec notre pote perpignanais Némir.
Le patron des Déferlantes David Garcia dit que vous êtes venus « comme des minots en 2016 » et qu’on vous retrouvera « comme des grands de la chanson française en 2019 ». Qu’est-ce que vous ressentez quand vous entendez ce terme de « grands de la chanson française » ?
Je pense que c’est faux mais ça fait extrêmement plaisir. Ce que je peux confirmer, c’est qu’on est venu minots. On n’avait pas encore un si gros parcours, il y avait plein de choses qu’on n’avait pas encore réalisées. On revient plus gros, plus sûrs de nous et meilleurs. De revenir meilleur, c’est ce qui m’importe le plus. 
On est prêt à jouer partout quand on a joué là où on a commencé
Vous avez rempli le Stadium de Toulouse deux soirs d’affilée. Pour la première date, vous avez dû faire face à des conditions météo dantesques et joué pendant trois heures sous une pluie battante. Est-ce qu’on peut se produire partout après ça ?
Franchement ouais (rires). On est immunisé pour longtemps parce que c’était tellement de stress. On ne l’a pas trop dit mais il y a eu un risque d’annulation par rapport au matériel, c’était un stress immense. Alors oui on est immunisé. Mais en réalité, on est prêt à jouer partout quand on a joué là où on a commencé. C’est-à-dire devant personne. Dans des endroits où il n’y avait qu’un micro pour deux. Ce sont les concerts du début qui nous ont forgés et qui nous permettent d’affronter toutes les galères. 
Sur votre nouvel album, il y a cette chanson intitulée « Stade » où vous scandez que « les Zéniths sont trop petits ». Cela ne vous manque pas de jouer dans des salles plus intimes ?
Oui, un peu parfois. Mais l’être humain s’habitue à tout. Maintenant, on a l’habitude de faire des grandes salles. Ce qui nous permet de continuer à vouloir en faire, c’est qu’on peut proposer un plus grand show. Quand tu ramènes une lune géante au-dessus du public ou quand tu termines ton spectacle par un feu d’artifice, tu ne peux pas le faire dans une petite salle. Mais c’est vrai que parfois ça manque. On ne s’enlève pas l’idée de la tête de faire une tournée plus intimiste et de revenir à l’essence même de notre musique.
C’est un rythme de fou mais c’est aussi le fruit d’un parcours
Vous n’avez que 23 ans mais votre carrière est déjà bien remplie. Comment analysez-vous votre parcours et comment fait-on pour garder les pieds sur terre ?
Pour garder les pieds sur terres, on ne regarde pas trop dans le rétroviseur. Quand on raconte mon parcours, je souris. Je ne sais pourquoi, peut-être que je ne réalise pas trop. C’est peut-être aussi ce qui nous permet de continuer et à chaque fois de se fixer des objectifs plus gros. Ça fait des années qu’on est dans cette course. On en parle dans l’album, il y a eu des moments très difficiles aussi. Je suis jeune mais ça fait 10 ans que tous les jours je pense « musique » de manière obsessionnelle. Ça fait cinq ans qu’on fait je ne sais pas combien de concerts par mois. C’est un rythme de fou mais c’est aussi le fruit d’un parcours. Ce n’est pas comme si j’avais gagné au loto : c’est une fierté, ce sont des étapes qu’on a franchies avec Flo.
Sur scène il y a Flo votre frère donc, mais aussi votre père qui vient pour une chanson, votre mère apparaît sur les écrans géants et votre pote Wawad (champion du monde de beatbox, NDLR) qui vous accompagne depuis vos débuts. Pourquoi avez-vous tant besoin de cet esprit de famille ?
Il y a eux mais il y a aussi la famille qui n’a pas le même sang que nous, les amis et les techniciens. On est très attaché à eux. Plus tu montes, plus tu as envie de garder les gens qui étaient avec toi depuis le début. Ça rassure, ça apaise, tu sais qu’ils te disent la vérité et pas te brosser dans le sens du poil. Pour l’équipe technique, certes ils sont 40 aujourd’hui mais on a gardé ceux du début également. Les 10 qui étaient là dans les petites salles nous accompagnent encore.
Cet « esprit de famille », on le retrouve aussi sur les réseaux sociaux où vous partagez votre quotidien, notamment pendant les périodes de tournées. Comment fait-on pour tout partager tout en gardant une certaine part d’intimité ?
Ça a été un choix depuis le début. D’ailleurs, c’est quelque chose qui nous a été reproché. On est des gens très ouvert, dans tous les sens du terme : on parle de tout, on montre tout, on va dans toutes les émissions TV, etc. Du moment qu’on reste nous-même et qu’on prend du plaisir, on ne se force pas ou on ne s’empêche pas de faire quelque chose. Du moment qu’on reste BigFlo et Oli, qu’on montre toutes les coulisses de la tournée, quand on est sur Instagram à filmer notre quotidien, ça ne nous gêne pas. Et puis c’est aussi ça la magie de la vidéo : on montre tout sans tout montrer.
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Quelle est la prochaine étape ? Allez-vous préparer ce voyage sur la Lune comme vous le dites dans votre dernière chanson qui cartonne ?
La prochaine étape, c’est la plus importante : on va bientôt se retirer. Aller se ressourcer et palper du vrai, vivre des choses. Comme je l’ai dit, ça va bientôt faire cinq ans qu’on a la tête dans le guidon. Et je pense qu’en tant qu’artiste – et en tant qu’être humain – on a besoin de souffler un coup. Et pour l’occasion regarder dans le rétroviseur et faire le point. Ça c’est dans un futur lointain on va dire. Pour le futur proche, c’est de continuer à faire rêver, à essayer de faire monter le show de plus en plus haut et de faire un bon concert aux Déferlantes. Là, on sera déjà bien.
Article Originale : Source
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feeluciole · 7 years ago
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Même pas peur?
- Je préférais l'introduction, maintenant qu'on est dans le vif du sujet, je n'ai plus envie de parler.
. Tu as peur?
- Peur? De quoi aurais-je donc peur?
. Du temps qui passe. Des bombes qui sautent. Des sourires torves. De lui qui te veux du mal. Tu en es sûre. Des ascenseurs qui montent et qui descendent. Et si jamais ils… Des bus bondés qui pourraient sauter en rythme avec les bombes. De ta gorge qui se sert quand tu es anxieuse. De cette bouffe transformée, témoignage vivant d'une société qui te veux du mal, elle aussi. Des factures qui s'accumulent alors que tu n'a pas encore gagné au loto. De la mort dans la douleur. De la perte de ton tout dernier pilier familial, écorchant le peu qu'il te reste de peau. De ne pas faire “assez” bien pour ta progéniture, petite chose qui a besoin d'être protégée… mais comment faire quand tu es toi-même en perdition?
. De tout cela et d'autres encore. La liste n'est pas exhaustive.
- Peur? Non. Je n'ai pas peur. Je ne me laisse pas toucher par ces menus détails.
. Tu te mens . Tu tergiverses . Tu nie l'évidence
- Mmmh…
. Mais encore?
- En fait, c'est une question de pudeur. Tu vois, si je raconte mes… peurs, c'est comme si je me déshabille. Une mise à nue de mes états d'âme. C'est indécent. Et que faire de tous ces vêtements? Ils sont encombrants. Cela gênerais les autres. Et puis, ce ne serais pas toléré. Tous ça, tu vois? Tout ça, tu vois?
. Vraiment? Essaie. Expérimente. Qu'est-ce que tu risques de plus???
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alexar60 · 4 years ago
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L’hôtel particulier (11)
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Les chapitres Précédents sont ici.
Chapitre 11 : le ticket gagnant
Le jour qui changea ma vie? C’était un vendredi.
Je me levais comme à mes habitudes pour aller travailler. Le bureau n’était pas très loin à dix ou quinze minutes à pieds si je prenais mon temps. Alors, je flânais tout en regardant les vitrines des magasins encore fermés. Une fois au bureau, je commençais à bosser sur un dossier épineux. D’ailleurs, je devais le finir puisque j’avais rendez-vous dans l’après-midi afin de donner un rapide compte-rendu au client et surtout avoir son accord.
Ne connaissant pas l’endroit, j’arrivais en fin de matinée dans la petite ville où l’on m’attendait. Je me garai donc près de la gare et partis marcher un peu dans le but de trouver un restaurant. J’entrais dans le premier qui faisait aussi bar-tabac. C’était plus un restau-routier à la bonne franquette qu’un trois-étoiles. Un serveur me proposa une table, la carte des menus était simple mais appétissante. Je me levais pour me laver les mains aux toilettes. Aussi, en passant devant les stands, j’achetais un journal. De plus une pub annonçant une super cagnotte m’incita à  prendre un ticket de loto.
Le repas fut succulent. Je partis ensuite à mon rendez-vous qui s’avéra plus compliqué que prévu car le client fut très exigent. Cependant, nous trouvâmes un accord et je retournai à ma voiture avec le sourire du gars satisfait. Une fois dans la voiture, j’appelai immédiatement mon patron qui annonça l’augmentation de mon salaire avec une prime. Puis, j’écoutai la messagerie car j’avais un appel manqué de Léopold.
Mon ami expliqua la situation inquiétante dans laquelle se trouvait mon ex-petite amie. Marion avait sombrée dans la drogue. Après un mauvais trip, elle s’était réveillée dans une maison abandonnée et ne savait pas comment rentrer. Dès lors, je partis la retrouver. Je mis une heure avant de pouvoir la rejoindre.
Le portail était grand ouvert. Au loin, je remarquai une maison immense avec des nombreuses fenêtres fermées. J’avançai de quelques pas tout en admirant la maison. Malgré son apparence lugubre, elle montrait une certaine fierté. Il y avait dans cette maison comme un souvenir, ou plutôt un vieux fantasme. Durant mon enfant, je rêvais d’avoir un domaine pareil. Chaque fois, je m’arrêtais pour regarder ces villas en forme de maison de poupée. Et même si celle-ci n’avait pas cette apparence particulière, elle m’intrigua énormément.
-          Arthur ? C’est toi ?
Marion attendait sur le trottoir quelques mètres plus loin. Avec ses cheveux ébouriffés, les cernes autours des yeux, sa bouche légèrement grimaçante, la pâleur de sa peau et la maigreur de son corps, je ne l’avais pas reconnue. Elle ressemblait plus à une morte-vivante qu’à la femme que j’avais aimée.
-          Léo m’a appelé, il ne pouvait pas venir et j’étais disponible. Comment tu as atterri ici ? dis-je
-          Je… Je ne sais pas.
Elle serra les bras contre sa poitrine pour se protéger du froid. Elle ne portait qu’un T-shirt alors que nous étions en hiver. Je retirai mon manteau pour lui donner. Elle le porta de suite tout en me remerciant. A ce moment, un morceau de papier tomba de ma poche intérieure. Il s’envola en direction de la maison avant de retomber sur le chemin. C’était mon ticket de loto. Je le récupérai, en même temps je contemplai de nouveau la maison. A mon arrivé, je crus voir tous les volets fermés. Mais à ce moment, je découvris qu’il y avait deux volets ouverts. Les fenêtres visibles étaient symétriques par rapport à la porte et représentait une espèce de visage. Mon attention resta suspendue à cette maison jusqu’à ce que Marion demande de partir.
-          Tu étais là-dedans ? demandai-je.
-          Oui, murmura-t-elle. Je me suis réveillée dedans. Je crois être venue avec des potes mais je ne sais pas où ils sont passés. A mon réveil, il n’y avait personne. La porte était ouverte, j’ai pu sortir facilement.
Je demandai à Marion de m’attendre, puis je partais afin d’explorer la baraque. Je n’étais jamais entré dans ce genre de maison, alors, ma curiosité voulut voir à quoi ressemblait l’intérieur. J’approchai et montai sur le perron. Seulement, au moment d’appuyer sur la poignée, je ne pus l’ouvrir car la porte était certainement coincée. De plus, Léopold m’appela subitement pour demander si j’avais récupéré Marion.
Dès lors, je fis demi-tour. Sur le chemin jusqu’à la grille, je me retournai de temps en temps avec une sensation d’être espionné. Dès lors, je constatai l’ouverture de deux nouveaux volets. Pourtant, je ne les avais pas entendus s’ouvrir.
Une fois dans la voiture, nous restâmes muets. Marion renifla de temps en temps. Je compris qu’elle pleurait en silence et ne voulait pas que je la réprimande. Mais, je n’avais rien à dire et, certainement pas à lui faire la morale. Elle connaissait mon point de vue puisque son addiction à la drogue fut la cause de notre séparation. Elle avait gardé cette manie de se recroqueviller sur elle-même en remontant les genoux jusqu’au menton. Je la laissai poser ses pieds sur le siège.
Devant chez elle, elle sortit précipitamment de la voiture. Elle me dit simplement : « merci » sans un regard. Je la regardai rentrer dans l’immeuble. Puis, je restai un peu pour attendre au cas où. Après dix minutes à m’apitoyer sur son pauvre sort. Je retournai au bureau déposer mon dossier complété et signé par le client.
A cette période, j’habitais un deux pièces dans un immeuble HLM. Ce n’était pas une triste cité comme on en trouve régulièrement dans les banlieues. Elle offrait un standing un peu plus convenable avec deux jolis parcs pour le plaisir des familles. D’ailleurs, les résidents étaient plus proches de la classe moyenne que de la pauvre.  La majorité payait certainement un surloyer.
Tatiana m’avait rejoint. Elle feuilletait une bande dessinée tout en se prélassant sur le divan. Devant elle, la télévision allumée montrait le journal télévisé d’une chaine importante. Je ne parlais pas de mon intervention auprès de Marion. Je sais qu’elles ne s’apprécient pas et même si Tatiana n’est pas jalouse, elle ne comprendrait pas pourquoi je suis allé l’aider.
Au moment d’apporter les assiettes, mon amie se leva et vint m’aider. Elle regarda le contenu de la casserole.
-          Ça sent bon, affirma-t-elle tout en aspirant une grande bouffée de fumée.
-          Bœuf-carottes maison. Je l’ai cuisiné hier et je l’ai fait mijoter depuis, dis-je fièrement.
Elle prit le pain qu’elle posa sur la table basse en même temps que les couverts. Puis, elle s’assit attendant ma venue avec le plat divin. Je déposais la casserole et m’assis à côté d’elle. Les publicités défilèrent jusqu’à un générique. Dès lors, Tatiana attrapa la télécommande et changea de chaine. Elle zappa lorsque je réalisai qu’elle venait de mettre l’euromillion. Malheureusement, elle changea immédiatement.
-          Remets le loto, s’il te plait. Je viens de me souvenir que j’ai joué, affirmai-je tout en sortant de ma poche le ticket.
Mon amie éclata de rire car je ne joue jamais d’ordinaire. J’attrapai un bloc-notes et me préparai à écrire dessus tout en regardant tourner le tambour rempli de balles. Elles descendirent les unes après les autres pendant que la speakerine annonçait les numéros gagnants. Une fois la combinaison sortie, une carte d’Europe s’afficha et colora la France d’un jaune doré.
-          Le gagnant a joué en France ! Eh bien, nous félicitons cette personne qui a remporté cent soixante millions d’euros, annonça-t-elle avec sa voix criarde.
Je restai immobile telle une statue. A l’exception de ma main qui trembla en réalisant qu’elle tenait le morceau de papier le plus précieux au monde. A ce moment, rien ne me passa dans la tête. J’étais stupéfait d’avoir gagné alors que je ne joue jamais. Tatiana s’en rendit compte.
-          Tu ne manges pas ? demanda-t-elle. Ça va être froid… Arthur, tu es sûr que ça va ?
-          Oui, répondis-je avant de poser le bloc-notes.
Je tenais toujours le ticket gagnant et relisais encore les numéros sortis. Ensuite, Je pris mon smartphone pour regarder l’annonce officielle sur le site internet et relire encore les numéros.
-          Alors, tu as gagné ?
-          Oui…oui.
-          Combien ? Trois numéros ou quatre ?
-          Non…. Cent soixante millions… Juste cent soixante millions.
Alex@r60 – janvier 2021
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monlivrepratique · 6 years ago
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Gagner De L’argent -  manières insolites de gagner de l'argent !
http://monlivrepratique.com/gagner-de-largent-2/
Voici la vie de Thomas, un jeune Français qui n'a pas gagné au loto, ni à la bourse, ni aux options binaires, ni au trading, ni aux affiliations... et qui perçoit pourtant plus de 7 500 € par mois.
Bonjour,
Je m'appelle Thomas, j'ai 22 ans et j'habite Montpellier.
Si j'écris cet article c'est parce que je pense avoir réussi un exploit que bon nombre d'entre nous espèrent un jour avoir : être son propre patron et gagner de l'argent en masse !
Je travaille de chez moi, j'ai un blog où les gens vont pour avoir tout un tas de choses comme des livres, des applications... Je n'ai pas mon BAC, je n'ai aucun diplôme à part le brevet des collèges, je n'ai aucune connaissance en marketing, ventes... et pourtant je gagne près de 7 500 € par mois !
C'est sûr que comparé à ce que mes anciens camarades de classe gagnent, je suis le roi à côté :D
Comment en est-il arrivé là, vous demandez-vous ?
Et bien la réponse est simple : je suis motivé et je veux réussir, il faut savoir choisir dans la vie, soit on s'amuse ou soit on réfléchit et on travaille un peu. J'ai choisi la deuxième solution pour faire fortune et aujourd'hui à 22 ans, je gagne plus de 7 500 € par mois de chez moi !
Je me couche à l'heure que je veux, je me lève à l'heure que je veux, mon travail ne me prend pas plus de 3 min par jour : allumer l'ordinateur, regarder mon site si tout se passe bien et éteindre l'ordinateur.
Par contre, à la fin de chaque mois, je dois prendre 5 min puisque je dois cliquer sur le bouton "Envoyer" pour me verser mes 7 500 € sur mon compte bancaire :D
Ce que j'adore le plus, c'est quand je me lève le matin tranquillement vers 9H30 et qu'il y a déjà plus de 120 € sur mon compte, ma journée commence bien !
Ça c'est ma dernière folie que je me suis faite, une C6 (je consomme Français) :
Ha c'est sûr que c'est très utile à 22 ans de rouler dans une voiture à 60 000 € ! Comme diraient certains "le gars il n'a eu que ça à faire". C'est vrai que je n'ai eu que ça à faire, je ne travaille que 3 min par jour maintenant ;)
J'avoue que j'ai la belle vie, mais bon, j'ai galéré pour en arriver là... ça m'a pris 5 ans pour comprendre le système, comment faire dépenser de l'argent à quelqu'un sans le brusquer, comment vendre quelque chose qui n'existe pas, vendre du virtuel, vendre du vent ! Je ne fais rien, je ne construis rien, il n'y a rien de plus compliqué au monde que de vendre quelque chose en parlant et en montrant des photos. Mettez-vous dans la tête que la personne ne prendra jamais dans sa main ce que vous lui présentez !
Bon nombre de mes amis me demandent aujourd'hui comment j'ai fait, car eux aussi veulent gagner 7 500 € par mois de chez eux (la plupart sont au chômage ou touchent le SMIC). En tout, j'ai dû expliquer mon histoire 200 fois et je dois vous avouer que je commence un peu à fatiguer là, c'est pour ça que j'ai écrit ce livre : Moi, 22 ans, 7 500 € par mois.
En tout j'ai mis 5 ans à me construire un salaire confortable de 7 500 € par mois, cela n'a pas du tout été facile, pour vous dire, au tout début je gagnais 8 € par jour, mais en réfléchissant, en faisant des expériences, en essayant des techniques, j'ai réussi à gravir les échelons et à gagner plus de 7 500 € par mois.
Si seulement je pouvais remonter le temps et me donner ce livre, j'aurais fait de l'argent beaucoup plus rapidement et perdu moins de temps... mais on ne peut pas voyager dans le temps :(
D'ailleurs c'est ce que je vais vous proposer : si vous aussi vous voulez faire comme moi, gagner du temps alors téléchargez ce livre dès maintenant !
Vous gagnerez 5 ans de votre vie et vous aurez celle-là à la place :
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drypauli · 7 years ago
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Le pouvoir de la pensée magique
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Résumé
Dans cet épisode, je vous propose de découvrir le pouvoir de la pensée magique. Dans une société où on essaie de tout rationaliser, nous avons malgré tout des croyances un peu superstitieuses ou des symboliques particulières attachées à des objets sans réelle valeur intrinsèque. Et c'est bon pour nous.
Les rituels et objets un peu superstitieux ont un rôle important dans la manière dont nous nous croyons chanceux. Quand on se sent chanceux, quand on se sent soutenu et encouragé par quelqu'un, un rituel ou un objet porte-bonheur, on est plus persévérant, plus motivé à passer à l’action et on a souvent de meilleurs résultats.
Croire au destin est une autre forme de pensée magique qui a un impact positif sur notre vie. Cela permet de se détacher des évènements extérieurs contre lesquels nous ne pouvons rien, qu'il faut simplement accepter, sans chercher à les contrôler. On lâche prise sur ces évènements autour de nous, pour être plus satisfait et heureux dans la vie.
L’effet « placebo » n’est pas si inefficace et inutile qu'on le croit. Même si un médicament n’a aucun effet actif sur notre corps, le fait d’avoir le rituel de prendre ce produit va vous aider à croire en la possibilité d’une guérison.
Développez l’amour irrationnel. Démontré dans des études scientifiques, le fait de voir une personne (un peu) meilleure qu’elle ne l’est en réalité améliore la relation avec cette personne et votre satisfaction dans votre relation. Sans tomber dans l’excès, imaginer un monde un peu plus « rose » permet d’être plus heureux.
Transcription
Dans cet épisode, je vous propose de découvrir le pouvoir de la pensée magique. Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui est au cœur de notre évolution en tant qu’être humain et d’une vie pleinement vécue.
Dans cet épisode, j’aimerais vous parler du pouvoir de la pensée magique. On est dans une société très mentale et très rationnelle, ou du moins on le croit, on aimerait nous le faire croire. Si vous regardez la télévision notamment, il y a énormément de philosophes, d’essayistes qui basent toute leur argumentation sur la raison. Vous êtes très certainement conscients que finalement on n'est pas des êtres aussi raisonnables qu'on veut bien le dire, nous sommes aussi des êtres très émotionnels et nous avons souvent des pensées qui ont trait un peu au magique, aux superstitions. Vous allez voir que ce n'est pas nécessairement néfaste pour nous. Donc, comme je vous le disais, nous avons tous ces situations où nous embellissons un peu nos perceptions de la vie, ou alors nous attachons une symbolique particulière à des objets qui, fondamentalement, n’ont pas nécessairement énormément de valeur intrinsèque. Ou encore, nous aimons bien croire ce que l’on croit déjà : vous avez peut-être entendu parler de ce phénomène dans les  médias des fake news, c'est-à-dire des faits, des scoops qui sont complètement montés, qui n’existent pas, des mensonges, mais plein de gens y croient parce que ça soutient leurs croyances intrinsèques.
On voit qu'on n'est pas aussi rationnel que ça, mais que ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose pour nous. Je vais vous parler de 4 exemples dans lesquels le fait de croire à la magie, aux superstitions est en fait bon pour nous.
Situation 1 : Le pouvoir des pattes de lapin
Le premier, c'est ce que j’appelle le pouvoir des pattes de lapin. Si vous êtes allés dans des lotos et que vous y voyez des gens qui jouent régulièrement, vous verrez qu'ils ont apporté pleins d’objets pour leur tenir chance, des grigris, etc. J’ai fait longtemps du foot, et je peux vous dire que dans le vestiaire, c'était vraiment un condensé de superstition, entre les joueurs qui mettaient toujours les mêmes chaussettes ou qui mettaient leurs protège-tibias en commençant toujours par le gauche puis le droit, etc. Il y avait ces rituels un peu superstitieux pour se donner chance. Ils croyaient dur comme fer que s’ils sortaient de leur rituel, ça allait les affecter dans leur performance. Ce dont il faut se rendre compte, c'est que c'est un peu vrai.
Des études montrent que si vous croyez en votre chance, en le fait d’être chanceux, si vous croyez aux rituels, à ces superstitions, ça va augmenter votre confiance en vous-même et ça va augmenter votre performance. Ça va aussi augmenter la persistance que vous avez face à des problèmes, des challenges et des obstacles, et ça va aussi augmenter votre motivation. Si on pense qu'on est chanceux, que ces rituels, ces superstitions nous aident, que finalement on n’a pas grand-chose à faire car l’Univers va travailler pour nous, en fait c'est le contraire : lorsqu'on se sent chanceux, on est encore plus motivé à passer à l’action, parce que, finalement, on se sent soulevé par l’assistance ou l’aide de l’Univers. C'est donc le premier aspect, le fait de croire en sa chance est bon pour nous.
Autre fait, le fait de souhaiter bonne chance à quelqu'un d’autre l’aide aussi. Dans des études très intéressantes, ils ont pris des groupes de sujets qui devaient résoudre certains tests basés sur la dextérité manuelle. Normalement, ces tâches, lorsqu'on demande aux gens de les faire, il leur faut 5 à 6 minutes pour les faire. Dans une des études, ce qui était fascinant, le simple fait de souhaiter bonne chance à un groupe de personnes, par exemple un groupe de contrôle, les personnes à qui on a souhaité bonne chance, leurs résultats sur ce test de dextérité manuelle étaient de 3 minutes et 11 secondes, alors qu’en moyenne, il faut entre 5 et 6 minutes pour le faire. Donc, ça améliore la performance des gens. Voilà donc à quel point croire aux pattes de lapin et autres grigris peut être bon pour vous.
Exemple 2 : Croire au destin
Deuxième situation dans laquelle avoir recours à la pensée magique peut être bénéfique pour nous, c'est de croire au destin. On peut avoir chacun une philosophie, de savoir si vous croyez en un Univers qui est ordré, qui a une forme de sagesse derrière la forme ou si vous pensez que purement chaotique, mais la notion ici est la suivante. On a cette notion de ce qu'on appelle locus de contrôle. En général, plus vous avez un contrôle intérieur sur vous-même, plus vous êtes satisfait de votre vie. Moins vous avez de contrôle, plus vous êtes influencé par les évènements autour de vous, moins vous êtes satisfait et heureux dans la vie.
Ce que la recherche montre, c'est que ce locus de contrôle n'est pas d’avoir toujours un locus de contrôle interne, qui est nécessairement bénéfique. Dans certaines circonstances, donner le contrôle aux circonstances extérieures peut être très bénéfique. Dans la vie quotidienne, sur des évènements de la vie quotidienne qui sont réguliers, vous avez meilleur temps d’avoir un locus de contrôle interne, c'est-à-dire d’avoir cette impression que vous avez le contrôle des choses. Par contre, lorsque des évènements proviennent du hasard, tout à coup vous vous trouvez dans une catastrophe, vous êtes au bord de la mer et il y a un tsunami, ou vous êtes passager dans un accident d’avion ou dans un carambolage sur l’autoroute, si vous vous trouvez dans une situation où des circonstances extérieures qui sont absolument dues au hasard, sur lesquelles vous n’avez aucun contrôle, donnez le contrôle à l’extérieur. Partir dans la notion de pouvoir donner un sens à ces évènements, dire « C'était écrit », un peu la notion du monde arabe « Inch’Allah, c'est Dieu qui l’a voulu », ça nous aide à donner un sens à ces circonstances. Donc de nouveau, dans ces cas-là, le fait de croire au destin, de donner une perspective, de partir de l’angle de vue que c'était écrit, que c'est l’Univers qui l’a prévu, de vous poser la question « Comment je peux en bénéficier, qu'est-ce que je retire de cette expérience-là ? » va nous aider beaucoup plus que de rester sur ce locus interne, où on pense avoir le contrôle sur la situation.
Exemple 3 : Utiliser une potion magique
Troisième notion, c'est l’utilisation de potions magiques. J’ai toujours le souvenir d’un épisode des Schtroumpfs, qui avaient organisé une course. Un des Schtroumpfs était parti un peu perdant, il voulait abandonner pensant qu'il était incapable de participer et gagner cette course. Le Grand Schtroumpf, pour l’aider, lui avait dit « Je vais te donner une potion magique ». Et il lui avait appliqué, si je me souviens bien, une forme de potion sur le nez. Le Schtroumpf avait gagné cette course, et lorsqu'il remettait les prix, il avait dit « Écoutez, je ne peux pas accepter le prix, j’ai triché. Le Grand Schtroumpf m’a donné une potion magique. » Mais en fait, il s’agissait seulement de confiture. Ce qu'on a ici, c'est tout simplement la notion d’effet placebo. On sait que c'est extrêmement puissant. Dans les études, en médecine, on a tendance à positionner ce placebo comme quelque chose de négatif. On dit « C’est l’effet placebo », mais en fait, l’effet placebo, c'est la capacité de notre corps à guérir par lui-même. Et c'est non négligeable dans les études, environ 30% des gens répondent à l’effet placebo, c'est-à-dire qu'on leur donne des pilules, comme au Schtroumpf, qui ne contiennent absolument rien d’actif dedans, mais le simple fait de croire à la pilule va générer, mobiliser les ressources de guérison du corps, et c'est non négligeable. Ce qui est très intéressant avec cette notion de placebo, c’est que même si vous savez que c'est un placebo, ça va fonctionner. Donc, même si on vous donne une pilule, qu'on vous dit que c'est un placebo, le simple fait de rentrer dans ce rituel de prendre le médicament, même s’il n’a aucune substance active, ça va aussi déjà vous aider. Donc, ne négligez pas cet effet placebo et ne négligez pas non plus son opposé, qui est l’effet nocebo, c'est-à-dire que le fait de croire à quelque chose de manière négative va avoir l’impact sur votre physiologie. C'est très important.
Exemple 4 : Amour irrationnel
Dernière situation dans laquelle la pensée magique peut nous aider, c'est ce qu'on appelle l’Amour irrationnel. C'est bien décrit dans la littérature : si vous êtes dans une situation de relation et que vous voyez la personne un peu meilleure qu’elle ne l’est vraiment, que vous voyez cette personne plus proche de votre idéal de la personne qu’elle ne l’est, ça va améliorer vos relations avec cette personne, ça va améliorer la relation, ça va améliorer la satisfaction dans la relation et dans le mariage, et c'est quelque chose de non négligeable. Donc le fait de percevoir les choses un peu plus roses qu’elles ne le sont vraiment, ça vous aide sur votre satisfaction et donc, il n’y a aucun problème à avoir ça. Ce qui est très intéressant, c'est de voir que dans les études qui sont faites, lorsqu'on demande aux gens d’apprécier les choses, la réalité telle qu’elle est, les personnes qui y arrivent le mieux sont celles qui sont déprimées. C'est ce qu'on appelle le réalisme de la dépression. Et on voit donc que les gens heureux s’inventent parfois un monde un peu Bisounours, un peu plus rose qu’il ne l’est réellement, ils ne sont pas vraiment complètement rationnels par rapport à ce qu’il se passe, mais c'est ce qui leur permet d’être heureux.
Mettez ça en pratique, n’hésitez pas à utiliser cette pensée magique. N’ayez pas peur de cette pensée magique car elle est bénéfique pour nous. Faites-moi savoir comment ces recommandations fonctionnent pour vous. Nous, on se retrouve bientôt pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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santiagotrip · 6 years ago
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Étape 15 : Saint Jean de Froidmentel
J’ai donc repris la route vers 7h45 à Marboué pour une étape de 29,7 kms (ça, je ne le sais qu’après, grâce à mon outil magique !).j’ai en effet un sens de l’orientation qui frôle le néant absolu. Si je vais faire pipi la nuit, je me perds en retournant dans ma chambre (ou presque !) Ce voyage serait donc impossible sans le secours de l’électronique, sauf à envisager le tour de la terre. J’ai donc une application, sur mon téléphone, où sont stockées les cartes, depuis la carte de l’Europe jusqu’aux cartes IGN ultra-précises. Et sur ces cartes, est indiquée par un petit point bleu ma position exacte. Quand j’avance, le petit point bleu bouge, je sais donc exactement à quel endroit je me trouve et dans quelle direction de me dirige. En plus, l’appareil enregistre mon parcours exact, ainsi que diverses informations. Pour une buse comme moi, (en terme d’orientation, s’entend !) c’est une accessoire idéal.Et malgré ça, j’arrive encore à me tromper ! Donc régulièrement, je fais un ou deux kilomètres en trop à rattraper mes étourderies. Mais bon, sans l’appli, ce serait dix ou vingt kms à rattraper chaque jour ! Et je serai à Compostelle en Juin 2025 !!!Le chemin s’est déroulé sans problèmes. Simplement, ne sachant pas où j’allais dormir, j’étais un peu stressé, m’attendant à dérouler la tente dans le bois de Saint Claude, ce qui, en définitive, n’eût pas été dramatique, mais maintenant que je suis habitué au luxe ...Ca s’est arrangé, j’y viendrai.
Sur le chemin, un truc qui vous fera peut-être sourire :
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Je sais pas vous, mais moi, j’imagine le riverain qui sort, la bave aux lèvres, les yeux injectés de sang, avec un bâton à la main et qui vous tape sur la tête jusqu’à ce que vous partiez en courant.
Sinon, j’ai traversé Chateaudun, très jolie ville, avec aussi un caractère médiéval.
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A Chateaudun, miracle ; Agnès m’appelle, elle a trouvé un hébergement à Saint-Jean-Froidmentel. Exactement l’endroit où je voulais arriver. Elle a appelé partout, et en désespoir de cause, elle a appelé la Mairie. La secrétaire de Mairie, charmante au demeurant, lui dit qu’elle n’a rien à me proposer, mais qu’elle a peut-être une idée, elle rappelle. Une secrétaire de Mairie qui vous dit qu’elle rappelle, on n’y croit pas une seconde. Hé ben voilà ! La seule secrétaire de Mairie française qui rappelle quand elle dit qu’elle rappelle, elle se trouve à Saint-Jean-Froidmentel. Et avec une solution, en plus !!!
Agnès appelle au numéro qu’elle lui indique, et miracle, une dame lui répond qu’il n’y a aucun problème, et qu’elle m’hébergera cette nuit. Ouf ! On n’en menait quand même pas large.
J’ai traversé Cloyes sur le Loir, pareil, très jolie petite ville ... 
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Un joli truc croisé sur le chemin ...
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Un monsieur en vélo m’apostrophe. Il a fait le chemin, lui aussi. On a devisé un bon moment, je me rends compte qu’il repartirait volontiers.
Il me demande si j’ai fait tamponner mon Credential, et que si je veux, je l’attends tranquillement et il fait un aller et retour à l’église pour voir si quelqu’un peut le faire. Là, une remarque : Vous faites 2000 kms. C’est énorme. Et pourtant, vous n’imaginez pas à quel point 50 m gagnés - ou perdus - sont importants. Il n’y a qu’un pélerin qui puisse savoir cela !
Il revient, c’est bon. Je fais donc un détour par l’église, je sonne au presbytère, une dame m’accueille, tout sourire : “ Vous dormez chez moi ce soir !” Je suis un peu interloqué, jusqu’à réaliser que cette dame est l’hôtesse que j’ai eue au téléphone et qui a accepté de me loger.  Il est petit, le monde, en fait !
Elle m’indique le chemin, encore 7 ou 8 kms à faire jusqu’à Saint-Jean-Froidmentel. C’est toujours ça de gagné, demain l’étape est très longue.
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Mes hôtes n’arrivant que vers 18h, je suis a la maison (ou dans le jardin, plutôt !) une heure avant eux.
La maison, pour le coup, est une vraie “demeure”. Le jardin, ou plutôt “le parc” est de toute beauté, très bien entretenu ... j’ai hâte de saluer mes hôtes, et de voir à quoi ils ressemblent, même si j’ai croisé la dame sur le pas de la porte du presbytère ...
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Je m’installe sur un banc devant la maison et je repose mes pieds en attendant qu’ils arrivent.
Une voiture arrive et entre dans le parc. Vous aussi, vous vous attendez à une grosse BMW rutilante avec des sièges en cuir et des roues à rayons ... Ben non, c’est une petite voiture, du genre C3 ou similaire ... ça me rassure, ça, c’est mon monde ! Un jeune homme sort de la voiture, la démarche pas assurée et se dirige vers moi. Je me rends compte qu’il n’est pas dans les « standards ». Je pense à un trisomique ou quelque chose comme ça. Il me tend la main avec un sourire épanoui et me souhaite la bienvenue. Je m’incline, lui serre la main et le remercie. Il s’appelle Louis. Puis la dame que j’avais rencontrée au presbytère et son mari s’approchent de moi. Ils ont, je dirais, dans les 70 ans. Elle est très élégante, très distinguée et très souriante. Son mari a un regard bienveillant, un sourire franc, il porte un costume gris, simple et discret, juste comme il faut. Il parle doucement. J’apprendrai plus tard qu’il a subi un AVC, qui n’a altéré aucune des ses capacités physiques ni cognitives (ça, j’ai pu le constater !) à l’exception d’un affaiblissement de ses cordes vocales. Exactement comme s’il avait crié trop fort au match de la veille (c’est lui qui se décrit ainsi).
Nous entrons. L’intérieur est très chaleureux. Un peu bordélique, juste comme j’aime. Des livres partout, des bibelots sur tous les meubles ... on s’y sent bien. On monte dans ma chambre par un escalier au tapis un peu défraîchi, mais ma chambre est impeccable. Ils ont mis un point d’honneur à ce qu’elle soit accueillante et que les sanitaires soient au top.
J’imagine la quantité de travail nécessaire pour l’entretien d’une telle maison et le budget que nécessiterait sa « remise aux normes » actuelles. Moi je la préfère ainsi. Je ne voudrais pas risquer de perdre ce qui fait le charme particulier de cette maison.
Elle était infirmière, lui Saint Cyrien, général à la retraite. Ils ont en même temps l’élégance un peu désuète des grandes familles du siècle dernier et une ouverture au monde d’aujourd’hui, une tolérance tout à fait impressionnantes. Martine est très investie dans la paroisse, dans la commune ... Comme je marchais pour rejoindre l’étape suivante, elle m’a doublé en voiture. Elle allait collecter des lots pour un loto. Rien à voir avec Madame la Comtesse qui reçoit ses amies pour le thé en regrettant le temps passé où - au moins - on respectait ses aînés, alors qu’aujourd’hui, tout se perd !
Quant à Jean-François, le général, il est plein force tranquille. Peut-être sa voix faible et son élocution posée participent-ils de cette impression ...
Il n’a rien de l’attitude péremptoire, dominatrice et sans affect du chef militaire qu’on imagine. Je ne sais pas comment il était à 40 ans ... mais aujourd’hui, je trouve que ses petits enfants devraient l’appeler « Bon Papa ». Ça lui irait drôlement bien.
Et puis Louis. Il a eu une grosse saloperie de maladie à la naissance. Il a aujourd’hui 40 ans. Il travaille dans un centre pour adultes handicapés où il se sent bien. Il revient un week-end sur deux, ses parents l’entourent d’une affection inouïe et se décarcassent pour qu’il ait la vie la plus normale possible. Et c’est pas simple.
On dîne à la cuisine (Bon, dans une cuisine comme ça, à Paris, on fait un F3 !). Le repas est agréable, l’ambiance enjouée. On rigole beaucoup, on se raconte ... Louis m’offre de « son » Montbazillac, il n’aime que ce vin-là. Je suis flatté ! Je me promets de faire mon possible pour revenir un de ces jours, en apporter une bonne bouteille et trinquer avec lui.
On boit le café au salon, Louis parle de son chat, Jean-François parle de Louis, Martine des pèlerins (celui qui dort avec son chien, ceux qui oublient de se laver, ceux qui se font passer pour des pèlerins et ne le sont pas plus que moi couturière), et on se marre. On va se coucher.
Le lendemain matin, 7h, Martine est en bas, elle a tout préparé. On s’installe à table et on parle de trucs plus sensibles. Elle parle de Louis, je lui raconte Gabriel, elle parle de ses autres enfants, celui qui est militaire, en opération extérieure au Mali et de son épouse. Eux aussi ont un enfant « différent », comme elle dit. Elle parle d’autres trucs que je garde pour moi, tout cela avec une infinie pudeur.
Elle me dit «  Bon, j’ai de la chance, j’ai la foi ». Et je trouve ça beau.
Quand on se quitte, achevant une conversation, je lui fais part de mon aversion pour les hommes qui se barrent du foyer en laissant leur femme seule avec un gosse malade. Elle me répond « Il ne faut pas juger. Beaucoup d’hommes ne sont pas armés pour supporter des situations aussi difficiles. Ils font de qu’ils peuvent avec ce qu’ils sont. Pour les femmes, c’est différent. Elles l’ont porté ... »
Je sais pas si elle a raison, mais je sais qu’au niveau « bonté forme supérieure de l’intelligence », elle me met dix longueurs dans la vue !!!
Madame, mon Général, si vous le permettez, je vous fais une place dans mon sac à dos et je vous emmène à Santiago. Et on assied Louis sur le sac, ça le fera marrer !
Allez, encore un cadeau, une jolie photo de moi :
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ilpleutducash · 5 years ago
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Comment devenir riche en partant de rien
La richesse peut appartenir à tout le monde, il suffit de le vouloir. On a tendance à penser que seule ceux qui naissent avec une cuillère en argent dans la bouche sont destiné à le devenir. Cette logique est erronée, nous vous proposons ici quelques pistes à suivre pour devenir riche sans rien avoir au préalable.
Tout d’abord, ayez un état d’esprit de vainqueur
C’est le cours de nos pensées qui transforme notre réalité en ce qu’on veut. En effet, tous autant que nous sommes, nous avons une vision différente du monde et de ce qui nous entoure. Il existe donc un état d’esprit pour devenir riche. Si par exemple vous commencer à vous imaginer devant riche, vous le deviendrai naturellement. Si vous pensez ne pas être capable de devenir riche, vous attirerez la pauvreté vers vous. La loi d’attraction est la clé de la richesse de plusieurs personnes. Cependant, elle n’est pas connue de tous et n’est pas utilisée ce qui rend infime le nombre de personne riche. Lorsque vous pensez aux choses que vous n’aurez pas, vous ne les auriez jamais. Faites surtout la différence entre le « je n’ai pas » et le « j’aurai ». Si vous vous pensez à la richesse, la richesse viendra à vous tout simplement. Le fait est que vos désirs peuvent devenir réalité, vous attirerez les effets positifs dans votre vie. En effet, vous avez déjà appliqué cette loi sans le savoir. Il se pourrait que vous ayez pensé à une personne que vous avez vue il y a longtemps et que quelques temps après vous voyez la personne. C’est ainsi que fonctionne la loi d’attraction. Pensez que vous êtes déjà riche et vous le deviendrai certainement. Par exemple, fixez-vous des objectifs comme atteindre un chiffre d’affaire d’un million dans 5 ou 10 ans. Vous remarquerez que tous les actes que vous poserez vont créer des opportunités et des moyens pour atteindre l’objectif que vous vous êtes fixé. Ainsi, commencez à abandonner l’idée ne que vous deviendrai jamais riche ou vous resterez pauvre. C’est ainsi que vous conduirez votre vie sur le chemin de la richesse.
Apprenez à vous former
Cette étape est tout aussi importante que la précédente dans votre quête de richesse. En effet, si vous n’apprenez pas comment gérer votre capital ou comment le développer, il est clair que vous n’évoluerai pas financièrement. Au pire des cas, vous risquer de perdre tout ce pour quoi vous vous êtes battus pendant plusieurs années. Gardez donc à l’esprit que suivre une formation pour avoir les outils indispensables afin de gérer votre capital est important. Vous pouvez suivre des séminaires ou vous faire assister par un mentor. Ainsi, choisissez une personne de votre domaine qui est partit de rien pour devenir riche, il saura mieux vous conseillez. Si vous ne vous formez pas ou si vous n’avez pas un mentor, vous risquez très probablement de connaître l’échec. Lorsqu’on ne se forme pas, la peur et la cupidité deviennent un mal dont on souffre pendant longtemps. Riches ou pauvres, ces deux sentiments sont toujours présents. Peut-être parce que vous n’arrivez pas à acheter quelque chose qui vous plaît du fait de votre pauvreté, ou parce que vous voulez encore plus de nouveauté à cause de l’argent que vous voulez dépenser. Ainsi, si vous ne savez pas comment gérer vos finances, vous risquez de faire de mauvais choix et de vous ruiner en un rien de temps. La peur de perdre votre argent ou de faire faillite va vous empêcher d’investir dans l’immobilier ou dans les actions. Et cela, bien que vous ayez conscience des avantages d’un tel investissement. D’un autre côté, la cupidité vous poussera à dépenser votre salaire pour améliorer votre style de vie. Si vous achetez par exemple une grande maison, vous allez prévoir plus de dépense notamment pour l’électricité, le chauffage et autres. Vous augmenterez donc vos dettes et votre richesse s’amenuisera. Par ailleurs, vous aurez à faire des sacrifices pendant quelque temps pour garantir votre richesse. Faites le tri entre vos besoins les plus importants et ne réaliser que ceux-là, laissez les plaisirs passagers qui ne feront que vous ruiner. En effet, évitez de dépenser tout votre argent dans les futilités. Si vous gagner au loto par exemple, faites le tri dans les dépenses que vous ferez. N’utilisez pas tout dans les fêtes et les loisirs. Investissez cet argent pour qu’il vous rapporte plus. Mais si votre but est de vivre une vie de riche à court terme, allez-y, dépensez tout en un coup. Tous les riches ont pris par-là, mais ils ont gardé leur objectif en tête pour se garantir une vie de luxe pour toujours. Lorsque vous aurez dépensé tout votre argent, vous devriez recommencer à zéro et le même scénario va se reproduire. Pensez toujours au long terme, ainsi vous ferez un bon investissement des revenus que vous aurez. Epargnez une partie de vos revenus et faites-le fructifier pour augmenter votre richesse, c’est le seul moyen de devenir riche. Par ailleurs, pour éviter de dépenser 100 % de vos revenus pour créer une fortune plus tard, ouvrez plusieurs comptes bancaires. En effet, dépenser, investir et donner sont les trois moyens pour utiliser de l’argent. Vous utiliserez un compte pour vos épargnes et un autre pour investir.  Lorsque vous avez plusieurs comptes, vous êtes à l’abri du besoin en cas d’imprévu. De même, vous pouvez faire fructifier votre richesse.
Optez pour l’investissement
Avant toute chose, sachez que pour devenir riche, vous devez prendre des risques. Tous ceux qui aspirent à richesse ont dû faire des sacrifices et prendre des risques afin de réussir financièrement. En effet, bien qu’on les considère comme des placements risqués, investissez votre argent dans des actions et des obligations car elle rapporte beaucoup. Par ailleurs, si le secteur boursier ne vous intéresse pas, vous pouvez aussi aller sur un autre terrain pour vous faire de l’argent. Cependant, il est plus risqué et prend plus de temps. Vous aurez à créer au lieu de consommer. Si par exemple vous mettez à profil le temps que vous passez pour consommer des informations et que plutôt vous l’utilisez pour en créer de nouvelles. Vous pourrez non seulement passer à l’action et investir, mais aussi avoir à votre actif des informations utiles pour votre investissement. Sondez votre entourage et voyez ce dont il a le plus besoin et qui n’existe pas encore, ensuite ajouté une touche d’originalité et mettez votre produit en vente. Vous allez acquérir une richesse très grande au fur et à mesure que votre projet évolue. Si vous ne créez et ne proposer rien, vous ne deviendrai pas riche et les personnes autour de vous deviendront riche. Par ailleurs, lorsque vous voulez investir, préférez les actifs aux passifs. En effet, les actifs sont des investissements qui rapportent de l’argent comme les entreprises, les obligations, les biens immobiliers, les entreprises. Et lorsque vous investissez dans ces domaines, votre argent travaille afin de vous créer encore plus de revenus. Mais les passifs par contre, vous coûtent de l’argent, ils ne sont pas générateurs de revenus. Ainsi, ne confondez pas les actifs et les passifs.
Comprenez tout ce qui a rapport à la fiscalité
Les impôts ont un impact négatif sur la richesse d’une personne et cela n’est nouveau pour personne. En effet, plus vous avez de l’argent, plus vous êtes contraint de payer des impôts dont le montant augmente au fur et à mesure que votre richesse s’accroît. Par ailleurs, il y a de nos jours plusieurs méthodes légales qui vous aideront à diminuer vos impôts sur une longue période. Si vous investissez dans votre société, votre revenu est moins imposé que si vous investissez en nom propre. Par contre si vous êtes salarié, vous êtes imposé sur vos revenus, mais une société investit et dépense. Elle est imposée sur le reste de son argent gagné après. Ainsi pour réduire les impôts, opter plus pour les sociétés, et aussi, collecter le plus d’informations sur les failles du domaine fiscal pour être sûr de vite devenir riche.
Connaître les bonnes personnes
Acquérir une richesse durable prend du temps et on a la chance de vite atteindre son but lorsque l’on a dans son camp, les personnes pouvant aider. Trouver un modèle qui vous inspire dans votre quête de richesse et lutter pour atteindre son niveau. Certes, il vous sera difficile d’approcher ces personnes, mais en dehors du contact physique direct, renseignez vous sur le vécu de la personne, son parcours, sa bibliographie. Ces différents renseignements peuvent vous inspirer et vous donner la voie à suivre. En outre, fréquentez les lieux où l’on ne retrouve que les personnes riches pour être en contact permanent avec eux et les questionner sur leur parcours en quelques minutes. Cela vous permettra de connaître leur habitude, comment elles agissent devant des situations difficiles. Par quel moyen elles ont pu combattre les mauvais tournants de leur vie pour atteindre leur niveau actuel. Vous pourrez vous faire des amis parmi eux en étant toujours dans leur entourage. La quête de la richesse est noble et il est possible d’atteindre son but si l’on a des bonnes résolutions. Devenir riche sans au préalable avoir un revenu est bien possible si vous le voulez. Ne vous contentez pas seulement d’admirer les autres, mettez la main à la pâte et réaliser vos rêves. Il vous suffit juste de mettre en pratique les conseils que vous recevez et la richesse sera à porter de vos mains. Read the full article
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