#comme on dit show must go on

[ladyniniane]

Nouveau chapitre !

Résumé

Elles se fraieront un chemin à travers les flammes de la guerre et lutteront pour ramener la paix.

Oyez la geste de Gladys la seigneuresse, Maeve la musicienne, Vigdis l’épéiste et Enid la guerrière de l’ombre. C’est celle de leurs rêves, de leurs blessures et du courage qui leur permettra de façonner leur destinée.

Extrait

Aussi continuerait-il à préserver son masque, tout en ignorant les reliques que brandissaient leurs meneurs, d’obscènes restes de ceux qui avaient autrefois été ses frères et sœurs, incapables de reposer en paix. Seteth endurait le dégoût viscéral qu’elles lui inspiraient, jouait le jeu nécessaire de la dissimulation. Il les voyait pour ce qu’elles étaient : des morceaux de cadavres, la moisson du massacre, se souvenait des noms associés à ces emblèmes. Les siens avaient presque disparu sous les dents de l’avidité. Ne restaient que des larmes, emportées par les vents salés de Rhodos.

[sloubs]

est-ce que je suis la seule à son grand âge pour qui ça compte encore qu'on lui souhaite son anniversaire ? je sais pas comment dire mais comme je retiens toutes les dates d'anniversaire de tout le monde (j'ai pas d'effort à faire, genre on me le dit une fois et je le retiens), quand on pense pas au mien ou que je reçois pas beaucoup de messages pour me le souhaiter je peux le prendre vraiment mal ? genre on sait hein c'est qu'une date, show must go on t'es pas le centre de l'univers, mais arf vraiment ça me touche trop et je sais pas pourquoi, quand ça arrive j'ai l'impression de compter pour personne mdr

est-ce que ça arrive à d'autres gens ça ou est-ce que c'est vraiment juste moi qui ait besoin de grandir et me rendre compte que j'ai plus six ans et demi ?

[kilfeur]

En vrai je trouve que malgré la mort de Penny, je trouve qu'en soit elle n'est pas si triste que ça. Je pourrais comprendre que pour certains il y a quelque chose d'inachevé. Car honnêtement moi aussi j'étais curieuse de voir comment elle serait à Vacuo maintenant qu'elle était dame de l'hiver. Mais le truc c'est que justement on avait plus ou moins tout dit concernant Penny. Je veux dire les thèmes de Penny était justement de trouver sa place, montrer qu'elle a bien une âme au lieu de n'être qu'une machine ! Avancer dans son propre chemin, avoir le choix, la liberté, être indépendante. Et on l'a vu justement dans le volume 7 et 8, d'ailleurs je me souviens que quand Penny est devenu humaine. Je voyais certains qui étaient déçus qu'elle soit humaine et moi aussi un peu au début. Mais le truc c'est que le virus lui volait son indépendance, ses choix et son libre abrite. Ça envahissait son corps comme un parasite étant incapable de pouvoir le neutraliser. Et dans ces deux volumes, elle a montré qu'elle avait une âme, qu'elle était bien plus que ça !

Elle était l'espoir des habitants d'Atlas et de Mantle, celui de Ruby mais son propre espoir ! L'espoir de pouvoir enfin vivre sa propre vie selon ses choix ! Donc oui, elle a obtenu un corps humain mais a comprit ce que c'était la chaleur aussi. Mais hélas ! Toute bonne chose a une fin et sa mort est tragique mais jusqu'au bout elle a eu le choix, jusqu'au bout elle a pu décider comment finir ! Et jusqu'à la fin, elle a pu confier ses pouvoirs à une amie sur qui elle peut avoir confiance ! Je trouve que c'est assez complet mine de rien quand on s'y penche ! Et j'avoue que je serai pas trop quoi ce qu'on pourrait raconter d'autre sur elle si elle avait survécu.

Non pas pour dire qu'elle méritait de mourir, loin de là, quand elle était morte, j'étais triste et en colère pendant deux semaines je dirais. C'est le plus long je pense pour une perso que j'aimais et je crois qu'aucun perso m'a fait ressentir ça justement ! Mais après maintenant je l'ai accepté et ça me va que justement elle revient pas ! Car Penny reste un personnage marquant malgré tout peu importe ce qui aurait pu lui arriver !

The truth is, despite Penny's death, I don't think it's all that sad. I could understand that for some there's something unfinished. Honestly, I too was curious to see how she would be in Vacuo now that she was Lady of Winter. But the thing is, we'd more or less said it all about Penny. I mean, Penny's themes were to find her place, to show that she has a soul instead of just being a machine! Going her own way, having the choice, the freedom, being independent. We saw this in volumes 7 and 8, and I remember when Penny became human. I could see some people being disappointed that she was human, and I was a little disappointed too at first. But the thing is, the virus was stealing her independence, her choices and her free shelter. It invaded her body like a parasite, unable to neutralize it. And in these two volumes, she showed that she had a soul, that she was much more than that!

She was the hope of the people of Atlas and Mantle, Ruby's hope, but her own hope! The hope of finally being able to live her own life according to her own choices! So yes, she got a human body, but she also understood what warmth was. But alas! All good things must come to an end, and her death was tragic, but right up to the end she had a choice, she could decide how she wanted it to end! And right up to the end, she was able to entrust her powers to a friend she could trust! I think it's pretty complete when you think about it! And I confess I wouldn't know what else to say about her if she had survived.

Not to say that she deserved to die, far from it, but when she died, I was sad and angry for two weeks, I'd say. I think that's the longest I've ever felt for a character I loved, and I don't think any character has ever made me feel like that! But now I've accepted it and I'm okay with the fact that she's not coming back! Because Penny remains a memorable character no matter what might have happened to her!

[wyriwyg]

rpf. slash. french.wysiwyg dldr

Zerator se rassit sur sa chaise, se prenant la tête dans les mains sans pouvoir réellement croire à ce qu’il venait de se passer. le montpelliérain était plus que fatigué. éreinté. 3 jours de streams, en plus de tout les problèmes à régler en dehors. sans compter tout le travail en amont. c’était des semaines de préparation et des mois de stress. en plus de l’épuisement physique, il y avait l’exhaustion morale. le streamer arrivait à bout de force et malgré la difficulté de continuer, l’adrénaline et la joie le ferait tenir jusqu’à la fin de l’évènement. car le zevent n’était pas encore terminé. ils avaient passé la barre des 10 millions, après les frayeurs du bug de streamlabs et avoir à repousser d’une heure la fin de l’event... il leur restait une quarantaine de minutes pour égaliser le montant de l’année précédente et enfin il était prêt à y croire. Enfin, il réalisait que peut être ça allait pouvoir se faire. Il se redressa en entendant Dash dire ‘‘j’ai plus de chaise’‘. Il lança un regard à son partenaire et ne put s’empêcher de rire. Dash s’était accroupit devant le bureau de stream, n’avait même pas pris la peine d’essayer de retrouver sa chaise et s’était cacher le visage dans ses mains. Il connaissait bien cette réaction. Il la partageait. Et il se jeta de nouveau sur lui pour l’enlacer. ‘‘c’est toi, c’est toi cette année!’‘ dit-il sans trop savoir ce qu’il essayait de communiquer. “je sais pas si c’est moi mais....” répondit Dash avant de pousser un soupir de soulagement. Zera avait du mal à réaliser, mais malgré tous les zevent précédent c’était la première fois où il se sentait un peu perdu. Comme déconnecté. Et il avait vraiment l’impression que, plus que les années d’avant, il allait avoir besoin de Dash pour finir sans craquer. En faisait un check à Etoiles, la légende qui s’était démené pour rendre ce Zevent mémorable, il pouvait sentir que ses émotions n’étaient plus très stables et qu’il était à deux doigts de pleurer comme jamais. En se retournant et en jetant un coup d’oeil vers le chat puis vers la caméra, Zera savait qu’il ne lui restait plus longtemps à tenir. Mais que les dernieères minutes allaient être les plus éprouvantes. The show must go on, prenant une inspiration, il se concentra sur les confettis tombés sur son bureau, les enlevant en faisant le clown, forçant un peu la joie qu’il présentait mais ne ressentait plus vraiment. C’était son job après tout, amuser la galerie. Un michel l’interpella et lui fit signe de se retourner et il vit Damdam avec les ballons des 10 millions. Un grand sourire franc lui étira immédiatement les lèvres. Elle savait arrivée au bon moment pour le relancer dans la bonne humeur. Il éclata le ballon des 9 millions et accepta avec plaisir l’un des ballons des 10 millions, laissant le soin à Dach de récupérer le deuxième. Ils posèrent avec leur ballon et reprirent le stream. Ne pas avoir à gérer seul était un soulagement.

[millie1536]

Izzy Has A Shitty Immune System

The time Izzy ended up hospital with the flu

Also the song Anne sings to Izzy is called Mademoiselle Noir and it’s really good 

TW;Illness, Hospitals, Panic attacks, Mentions of child abuse

Izzy pressed the heel of her palm into the side of her head as she tried to focus on her homework. She had tried to make herself comfortable in the armchair in Anne, Aragon, and Anna’s dressing room. The show had started not long ago and Izzy would occasionally glance up at the screen in the corner of the room to see what they were up to.

The homework wasn’t difficult. All she had to do was read a poem and answer a few short answer questions. It was the kind of thing she and Cathy did for fun. Izzy liked to analyse things, she tended to overthink most things anyway and that was all analyse was really, overthinking. So why was she finding this so difficult. After another 20 minutes or so she gave up, after all she had the whole weekend to work on it and if she was still struggling she would just ask Cathy to help her with it.

Putting her schoolbooks aside she curled up under the big blanket they kept over the back of the chair, though she threw it off not long after as it was too warm. She was tired, and although the idea of falling asleep alone terrified her, she found she couldn’t stay awake.

When the show finished and Anne, Aragon and Anna returned to the dressing room they found Izzy asleep in the armchair.

“Let her sleep,” Anne told the others, “I’ll wake her up when we’re ready to go home.” Aragon and Anna agreed and the three began to take off their make up in silence, the dressing room had never been so quiet. it was about an hour later that Anne attempted to wake Izzy.

“Come on, kid. Time to go home.” Anne gave Izzy’s shoulder a gentle squeeze but Izzy shook her off.

“My head hurts.” She whined, not opening her eyes. Anne sighed, she could tell Izzy wasn’t feeling well.

“Would you like me to carry you?” Anna asked, the girl. Izzy gave a small nod before reaching for Cleves, her eyes still shut. She fell asleep in the car on the way home and Anna, not wanting to wake her again, carried her upstairs. It was Kitty who got her changed into her pyjamas, Izzy hadn’t let anyone else see her scars and they didn’t want to risk losing her trust.

Izzy slept fitfully that night. She kicked the blankets off only to start shivering.

“She’s got a fever.” Anne whispered to Kathrine; her hand pressed gently to the girl’s forehead.

“I’ll get Jane.” Kitty jumped out of bed and Anne could hear her running down the hall to Jane’s room. Jane was the most knowledgeable of the group when it came to illness, Anne wondered if it was due to the fact that poor hygiene had played a part in her death.

The others must have heard Kitty running through the house because it wasn’t just Jane who returned.

“She’s been coughing a bit lately.” Aragon said, watching as Jane took the still sleeping girl’s temperature.

“I thought it was just a cold.” Cathy added from where she sat at the foot of the bed.

“Well, she’s definitely got a fever.” Jane sighed as she read the thermometer.

“I’ll book an appointment with the GP.” Cleves volunteered but Jane shook her head.

“It’s two in the morning, Anna. They don’t open till 8, I think we should take her to the hospital. Just to be safe.” Jane was known to get anxious when someone she cared about was ill.

“I’ll wake her up.” Kitty said.

“Shouldn’t we let her sleep?” Aragon asked.

“In theory, yes. But if she wakes up somewhere unfamiliar we’re risking a panic attack, and that on top of whatever she’s got could be dangerous.” Kitty informed them; she was after all the expert when it came to panic attacks. The others agreed to leave the room while she woke Izzy up.

A few minutes later Kitty emerged from the room carrying a semi-conscious Izzy.

The drive to the hospital was quick, Jane had given Anna the keys and told her to go wild. It would have been even faster had Anne been driving but no one was that desperate to crash.

It was quite the sight when six women rushed into A&E, still in their night clothes, with one of them carrying a small girl. Luckily it was a quiet night and it wasn’t long before Izzy was taken to a bed.

“I’m sorry but we only allow two adults to go with the child.” Cathy rolled her eyes at the nurse. It wasn’t his fault but she needed someone to be annoyed at.

“Anne and Kitty should go.” Anna practically pushed the two of them towards the nurse who led them towards Izzy’s room.

“That is so stupid.” Cathy said once the nurse was out of ear shot. She slumped back down into one of the hard plastic seats.

“It’s probably because most kids don’t have six mums.” Aragon sighed, taking the seat beside her goddaughter.

“I’ll have you know that Izzy has three mums, two incredibly cool aunts and the best big sister any kid could wish for.” Anna joked, doing her best to lighten the mood. In reality she was just as worried as the others.

 “I mean, she was coughing and her nose has been a bit runny but we thought she just had a cold or something.” Anne frantically answered the doctor’s questions.

“Look, you’re probably right, but we want to run a few tests just to be safe.” The doctor did her best to reassure Anne, she was used to dealing with concerned parents, but there was obviously more to this than just that.

“Kitty? Annie?” Izzy’s voice was hoarse and she tried to sit up, looking around for her family.

“Shh, I’m right here sweetheart, Annie’s just talking to the doctor alright?” Kitty held Izzy’s hand in hers, her thumb rubbing circles over Izzy’s knuckles. Anne smiled warmly at Izzy before turning back to the woman before her.

“Doctor?” Izzy asked, only just managing to get the word out before succumbing to a coughing fit.

“Yeah, we’re at the hospital. You’re not well but me and Annie are going to stay here until you’re better, alright? We’re not going to leave you alone.” This seemed to calm Izzy a bit and she settled back down on the pillows.

“It hurts.” She whined as she tried to get comfortable.

“What does?” Kitty reached over to brush some hair out of Izzy’s eyes.

“Everything.”

 “The flu?” Jane asked, she could feel the worry building in her chest.

“Yeah.”

“But that means she can come home right? If it’s just the flu?” Cathy asked hopefully.

“They want to keep her in for observation. Apparently she got a weakened immune system and the virus is pretty bad, they don’t want to take any chances.” The group stood in silence for a little while.

“You two staying here?” Aragon asked eventually, Anne nodded.

“Kitty doesn’t want to leave her here alone and quite frankly neither do I.” The others agreed with the decision and reluctantly returned home.

 It took them a while but eventually Anne and Kitty managed to get Izzy to sleep. They were grateful that she hadn’t been hooked up to any machine just yet as that would have made it much harder for them to get into the bed on either side of her. She woke up a few hours later with tears running down her cheeks.

“Shh, hey what’s wrong?” Anne asked, wiping away the tears with her thumb.

“It hurts.” Izzy curled up closer to Anne. Her head resting on Anne’s chest.

“You’ll be alright.”

An hour or so after that the doctor from the previous night returned, this time with some medication. Izzy’s eyes grew wide at the sight of the pills and Anne could feel her shaking.

“No, please. I’m sorry.” Izzy’s breathing grew rapid and shallow, “I’m sorry.” She repeated, the terror in her voice was unmistakable.

“Could you give us a minute?” Kitty asked the doctor who nodded and left the room quickly, “Hey, what’s happening?” Izzy just shook her head.

“Izzy, can you tell us what’s going on? We just want to help you.” Anne tried.

“I’m sorry.” Izzy shut her eyes tight, digging her palms into them, “Please, I’m sorry.”

“You haven’t done anything wrong.” Anne wasn’t sure if Izzy could hear her at this point. Anne really hoped that her next move would work, “A man came across this old tower one day, it was straight like from a book he once read,” She sang softly, “He lifted his head up and saw this young lady and here’s what the lady said,

‘Moi je m’eappelle mademoiselle Noir,

Et comme vous pouvez le voir,

Je ne souris, ni ri, ni vis,

Et c’est tout ce qu’elle a dit’” Kitty watched as Izzy seemingly relaxed, nuzzling closer to Anne as she sung. Kitty didn’t quite understand why Izzy loved this song so much, something about it gave her the creeps. Perhaps it was the woman dying in a tower while a group of people watched, but that didn’t matter right now. What mattered was that Izzy associated the song with safety and comfort.

“Are you alright?” Anne asked gently once the song came to an end, Izzy just shrugged. “Do you know what upset you?” Izzy nodded but made no indication that she was going to answer.

“Izzy, I know you don’t want to talk about it, but we need to know what happened so that we can find a way to fix it.” Kitty tried and for a minute she thought Izzy wasn’t going to respond.

“Mannox.” Kitty wasn’t exactly surprised that he had something to do with this but it didn’t make her feel any less sick, “He used to… before I went to bed… so I wouldn’t wake up… h-he…” Izzy shook her head, more silent tears making her way down her face.

“The pills.” Kitty said when she realised what Izzy had been referring to, the girl nodded, tightening her hold on Anne.

“Sweetheart, these aren’t those kind of pills, alright? They’re going to help you get better so you can come home.” Anne rubbed her nose against the top of Izzy’s head.

“I-I can’t.”

“How about I go make sure that none of them will make you sleepy, is that alright?” Kitty suggested. Izzy wanted to say no. She wanted to tell Kitty that the very idea of swallowing the pills made her light-headed, but instead she agreed. She agreed to take the pills if they wouldn’t make her drowsy.

 It was a few days before Izzy was discharged and even then she was sent home with a number of pill bottles. She wanted to hide them somewhere, to throw them away, but she knew that this was going to be one of the few things Anne wasn’t going to let her get out of. For the most part the queens were very gentle with Izzy, Anne, Kitty and Cathy in particular, but when it came to things like medicine she knew they would stand firm. She knew they would never do anything to hurt her but whenever she found herself alone she could still hear Mannox’s voice whispering in her ear.

[leblogdemarinaetjm]

LUNDI 6 AVRIL 2020 – 20ème jour du confinement (Billet 1 / 4)

« A tout seigneur tout honneur », commençons cette série de Billets de la semaine par un mail, un SMS et un WhatsApp… trois messages de lecteurs/abonnés reçus récemment et qui ont un point commun, il y est question de Rabat.

Dany et Jacques commence le leur en nous parlant d’un chef d’orchestre qui a fait chanter à distance 135 musiciens sur un titre culte de Queen. Nous avons recherché le document, il est superbe, on vous l’a mis dans la visionneuse ci-dessus.

Ensuite, l’iPhone de JM a fait « ding-ding », c’était un SMS de Marie Noëlle. Nous nous sommes connus, elle et son mari (qui a le même prénom que JM), lors de notre Circuit au Rajasthan en 2016. Depuis, nous sommes toujours restés en contact.

Jean-Marie a travaillé comme Attaché Culturel à l’Ambassade de France au Maroc, entre autre, et Marie-Noëlle nous avait dit que de toutes ses affectations, c’était à Rabat qu’elle s’était le plus plu. Un détail les relie avec JM, il a passé son Bac en 1968 au Lycée Descartes et elle y a travaillé… Peut-être, à quelques années près, ils auraient pu se croiser.

Enfin, dimanche, nous avons reçu le message de Mostéfa et Fatiha, avec une photo prise de leur chambre, on y voit le soleil se coucher à l’embouchure du Bouregreg (ils habitent à Salé, juste en face de Rabat) et une petite note historique sur les origines de la Kasbah des Oudayas.

Avant de vous laisser les lire, nous n’oublions pas de les remercier de nous avoir si gentiment écrit, nous les embrassons et nous les invitons, ainsi que l’ensemble de nos lecteurs/abonnés, après avoir regardé la vidéo ci-dessus (*), à ne surtout pas rater le mini-reportage sur Rabat dans le Billet suivant.

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Coucou les amis,

Bien réconfortant de voir toutes ces initiatives créatrices pendant cette période de confinement. 

J’ai bien apprécié aussi l’initiative du chef d’orchestre Samuel Sené qui a réussi à réunir à distance 135 artistes pour interpréter « The Show must go on ». 

Bien sympa aussi, parmi tant d’autres, la chanson « Pour les gens du secours » d’Obispo, Pagny et Lavoine. 

Les photos de Rabat nous rappellent de vieux souvenirs ! 

Nous avions beaucoup apprécié cette ville découverte en 2005 lors d’un superbe voyage d’un mois effectué tous les deux au Maroc. Nous avions dégusté un thé à la menthe dans ce même café... 

Excellent week end à vous deux. 

Bon apéro ce soir. 

Pour nous ce sera à 19h30 devant notre smartphone. Apéro Party en famille avec l’application « Zoom »... On se retrouve ainsi réunis, via nos petits écrans, chaque samedi.

Bisous.

Dany et Jacques (W.)

(*) NDLR du Blog « Il était impensable pour Samuel Séné, compositeur et directeur musical, de rester les bras croisés pendant cette période de confinement. "J'ai fait des vidéos tuto", explique-t-il, "pour que chacun travaille sa partie." Il a reçu des centaines de fichiers, qu’il a fallu découper, assembler, et mettre en scène. "On était sur du 24/24, nuit et jour à se relayer." Le résultat est saisissant, l’émotion est au rendez-vous, on a vraiment l’impression que ces 135 artistes sont sur scène en même temps.  (Source : « franceinter .fr »)

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Chère Marina et cher Jean-Marie,

Je lis toujours avec un grand plaisir votre Blog mais aujourd’hui, dès la première image, j’ai reconnu Rabat. Un flot de souvenirs heureux m’a envahie et je veux vous remercier tout de suite pendant que l’émotion est encore tellement forte.

Marie-Noëlle C. (Ex-professeur au Lycée Descartes)

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Bonsoir,

Je veux partager avec vous ce moment merveilleux : le coucher de soleil vu de ma chambre. En cette période de confinement je ne peux que m’extasier devant ce décor que la nature nous offre.

Mon regard ne peut éviter les murailles de la Kasbah de l’Oudaya qui s’érigent majestueusement sur la rive gauche du fleuve Bouregreg... avec la plateforme du Sémaphore qui pointe à l’embouchure.

La Kasbah fût fondée par la tribu des Zénètes pour servir de garnison, ensuite de place forte, sous le règne des Almohades. Elle prend le nom de « Ribat-El-Fath » Ce qui donna, plus tard, son nom à la ville de Rabat.

Mais peut-être que JM connaissait déjà…

[…] Bravo pour votre Blog, instructif et divertissant.

On vous embrasse

Fatiha et Mostéfa.

[hypermanga]

Kid Fever

This was requested by @deepestfirefun ages ago, so...Thank you procrastination for being in my life!😅 I'm deeply sorry for the wait, and I really hope the result compensates for it...I've been working my ass off this year at high school, and a lot of fics were just put aside, including yours😓😓 So yeah...Really sorry😓

Anyway, enjoy the reading❤

Pairing: Thorin x reader

Word Count: 1634

Warnings: Smut in the end

Request: She is from our world originally, after botfa, everyone lives. They have been married now couple of months and his kin is happy that their king has found such a kind soul as his queen. She is currently teaching young children in class (you can decide what, free hands) when one of the dwarfling started telling everyone about this particular dwarrowdam who has so horrible scarring around her face that she is actually really ugly and odd in her behaviors that she must be a offspring of an orc or something. Thorin has been a listening by the doorway behind the shadows and is angered by the way this young lad is talking about their own kin. But his queen interrupts his story telling. She tells the kids a tale of her own by singing a song from her world “mademoiselle Noir”. She then asks what the lesson in the song was. Thorin is smiling fondly thinking how wise and caring she is and realizes how much he desires to have children of his own with her. When everyone is dismissed, he approaches her and is determined to show her how much he loves and adores her.

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Since you'd started this journey, nothing had ever been near to being 'normal', so it was nice to have something had could be considered as such, even if the circumstances were ones that you couldn't possibly dream of.

Your new life had started when you'd been sucked by a portal you found in your little backyard, falling into Middle Earth, the Shire to be more accurate.

The whole company had stared at you with big eyes, as well as the little hobbit. Gandalf, who had looked as peaceful as ever, had let you accompany them, much to the dwarves dismau at first, as you didn't seem like the type to engage into a fight.

Throughout the journey though, you'd proven to be a good warrior, capable to defend yourself, although you knew your true profession was very different. In fact, before your life had turned upside down you were a teacher.

Of course, love had not been something you had much time to think about, even if by the middle of the journey you started to develop feelings for the company leader, Thorin Oakenshield. Trying everything to deny them, they had been discovered at the Battle of the Five Armies, when you'd saved him from the final blow that was to be delivered by Azog.

You still remember that day: the wind blowing your face mercilessly as you brandished your sword, piercing Azog's chest with it , turning to Thorin with a mixture of happiness and fatigue, and him dropping his own weapon and kissing you as if you were the air he needed to live.

After some months of courting that took place while you reconstructed Erebor, both knew that you were made for each other, and got married in a beautiful ceremony where all the dwarves attended, praising and celebrating the new queen and the return of the kingdom.

Even after two years of marriage, a tingling sensation pulsed through you when you recalled that moment. And you couldn't be happier, because apart from being queen, you were also the teacher of the young dwarflings, showing them as much as you could thanks to the vast library Erebor had.

"Good mornin' miss (Y/N)!" The kids shouted happily, quickly taking their respective seats and listening to your lessons: first, you went with some language as well as some initiation to khuzdul, then maths and finally history.

In this particular lesson, you taught them the story of the different races in Middle Earth, and today it was the orcs' turn, much to your dismay.

Trying to make the lesson as light as possible, you turned to one of your students, Bundin "Miss (Y/N)?" "Yes darling?" "About the orcs…There is something I have to tell you" He looked scared, making you worry slightly "Go on" Arching your brow,you sat on your desk, motioning him to continue "There's this girl…She walks around this land, and she is scary" "Why?" "She's got a scar along her face, and her skin tone is really pale, and…And…She always looks sad or angry, she looks like an orc!"

All the other kids looked petrified, some of them weeped, the other screamed "Hey!Hey!" You were so busy trying to calm everybody's nerves that you didn't see the silhouette hovering the door.

Thorin had taken up the habit of walking around when he didn't have any duties, one of the places he visited being your classroom. As he heard that kid speaking like that of someone of his own kin enfuriated him to no end. When he had decided on entering the class and give him a piece of his mind, he heard your voice.

"Calm down!" Clapping your hands, you looked at everyone "You know, this gives me the best opportunity to show you this song-"Taking out a paper for everyone, you smiled "-back from my world"

"Mademoiselle Noir?" A girl asked, of course not knowing the french accent "Yes, I think it'll teach you a valuable lesson "It has translation so you don't get lost with this strange language" The kids laughed, making you smile as well "C'mon, let's put tables and chairs aside and sit in circle"

The kids sat, holding their paper, expecting you "May I start?" The smiles on their faces told you anything the didn't. And so, you started to sing.

A man came across this old tower one day

It was straight like from a book he once read

He lifted his head up and saw this young lady

And here's what the lady said

Looking expectantly at the kids, you tried to make a weak voice, almost a whisper

"Moi je m'appelle mademoiselle Noir

Et comme vous pouvez le voir

Je ne souris, ni ris, ni vis

Et c'est tout ce qu'elle a dit"

The man was so scared, he could only run away

He ran to the town and then said

"I just saw a lady with the longest dark hair

And I think she's a living dead!"

Giving as much energy that you could, you raised your voice, the kids aweing, and Thorin widening his eyes. He'd never seen his wife so involved in a song.

The people, so scared, took their guns and their swords

They ran to the tower and then

They saw the pale lady and felt a great fear

When they heard how she said it again

"Moi je m'appelle mademoiselle Noir

Et comme vous pouvez le voir

Je ne souris, ni ris, ni vis

Et c'est tout ce qu'elle a dit"

The people, they knew what this all was about

She was clearly a demon from hell

They decided to set her long hair on fire

In the end it would burn her as well

But the lady was no demon, she was a lonely soul

Just like in that book they once read

Still waiting for her prince while her hair was on fire

The one last time she said

"Moi je m'appelle mademoiselle Noir

Et comme vous pouvez le voir

Je ne souris, ni ris, ni vis

Et c'est tout ce qu'elle a dit"

Concluding, you heard the weeping from the kids, as well as some sniffles "Oh…Come here" Opening your arms, you engulfed them in a big hug, wiping the tears away with a tissue.

Thorin, by now, was completely smitten all over again by you "Oh, amralime" He sighed, he was so happy he'd married you, and also he realised he wanted to be more united to you.

"What I meant to show you with this…Is that not everybody is what they seem, do not judge a book by its cover" "Sorry" Bundin's little voice was muffled by your shoulder "It's okay"

Smiling, you ruffled his head "Okay everyone, class is dismissed. Sorry that today it ends with such pouty faces-" Making a pouty face yourself, you continued "-To compensate, tomorrow we will be doing a little trip to the library" Everyone cheered, waving eachother as they left.

Thorin hid in the shadows, the kids not noticing him at all. When sure there was no one else, he made his presence known

"Good evening" He smirked "Thorin! What a surprise" Kissing him, you continued packing your things, until Thorin's hands rested on your hips, earning a gasp "There could still be kids" Chuckling, he closed the door and turned to you "(Y/N), my amrâlimê, I don't think I can hold myself until our room to show you my love" Closing the space in between you, you dropped your bag and returned the kiss with equal passion "I know…But we must try" Skipping quickly, you went to your royal chambers, Thorin trailing behind, with little self-control over him.

The air felt hot and heavy, specially while you slowly discarded your clothes to the floor, leaving you on your underwear "Mahal…I'm the luckiest dwarf" Leaving a trail of kisses from your lips to neck, he smirked to himself, as you moaned while he marked you "God…Thorin" You were sure there would be bruises, not that you did mind "Mine…And only mine" Carrying you to the bed, he looked at you in the eyes before claiming your lips again.

Venturing down, he memorised every curve from your body with his hands, leaving you a moaning mess. Removing your bra, he caressed your breasts and kissed your nipples, working magic with his mouth "Thorin…" "You like that, my queen?" "Yes!Please, don't stop!"

Smirking, he took off your panties. Your breath left your lungs when he made the first lick, and the next thing you knew, he was making you scream his name over and over again. When he added the first finger, you gripped the sheets, moaning like never before "If you keep moaning like this, I don't think I can hold up any longer" "Then don't"

Hovering over you, he entered you in one quick motion, setting a steady pace "Faster, Thorin!" Groaning, he pounded into you, covering your body with kisses and bites, just like you covered his with scratches and kisses of your own.

Screaming eachother's names in pure ecstasy, he spilled himself into you, falling beside you "I love you, (Y/N)…" "I love you too, Thorin" Sighing, you nuzzled your face in the crook of his neck and fell asleep with the rise and fall from his chest.

What you didn't know was, that from that passion, both of you would embark in a beautiful journey that would culminate nine months later with the welcoming of a new life.

A life that would change yours even more than what this journey and Thorin had, a life that you would give all of your time and love, for it became the most important thing in your world, as well as for your husband.

A life that sealed your love for eachother forever and ever.

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I hope you've enjoyed it!😁I don't write smut very often, so forgive me if it's kinda crappy😂

MASTERLIST

@sdavid09 @thorins-magnificent-ass @fandomgalcentral @life-is-righteous @book-boys-are-my-guilty-pleasure @igotanaddixon @averil-of-fairlea @deepestfirefun @leah-halliwell92 @schizonephilim @imaneternalflamebb @j25m18c24 @pixiiebutt @aidanturnersass @oakenshieldsmizimel @imaginationgotmegood

[forayoff]

Battle Royale à Pont Audemer

Journal. En ce beau samedi de mars, je m'évanouis sur le canapé du salon, la nuque humide, le tee-shirt moite, avec la satisfaction du travail accompli; 2 km de treck masqué sur les trottoirs de l'inconséquence. 30 minutes auparavant, dans un élan d'héroïsme, j'entreprenais d'aller à la médiathèque avec mes enfants. L'un en tricycle, l'autre en patins à roulettes. Tous deux novices et relativement free-style. Bilan, j'ai dû faire en sorte que le tricycle ne finisse pas dans le caniveau ou en plein milieu de la route pendant que je tenais à bout de bras une sorte d'automate à roulettes, en totale perdition. J'avoue que cela fait cher les aventures de SamSam et les Bijoux de la Castafiore. Mais Peu importe, je leur devais bien cela. Ils ne m'avaient pas beaucoup vu ces 15 derniers jours et puis je revenais de loin… Depuis le 22 février, j'étais à Pont-Audemer afin participer à la première Battle Royale de Compagnie de Théâtre, organisée par la mission locale de l'Eure et le CC du Val de Risle. L'idée était simple; deux compagnies, composées de 3 membres chacune, devaient encadrer et entraîner de jeunes volontaires aux techniques de l'écriture et de la musique, jusqu’à ce que mort s’en suive. Le tout en 10 jours. Le challenge était plaisant. Ainsi, l'acteur Vladimir Delaye et moi, avions répondu et rejoint les rangs de la Compagnie Z, sous la houlette du terrible acteur et metteur en scène Fabien Malcourant. Tout de suite, nous avons trouvé nos marques et mis en oeuvre un plan d'action ad hoc autour de la pièce "Chiffons, petits êtres faibles" une histoire inspirée de Thierry Paulain, le tueur de vieilles dames. Fabien et Vlad s'occuperaient des ateliers d'écriture et d'interprétation. J’animerais l'atelier ipad, organisant un planning d'enregistrement des plus strictes. Nous avions en charge 3 jeunes de Pont-Audemer bien décidé à en découdre avec la langue de Molière. Bilan, 12 chansons enregistrées en 10 jours. Contrat rempli et bonheur atteint. Hier, fut le jour de la confrontation avec nos rivaux de la compagnie Kopaster, composée des acteurs, musiciens, Luce et Sebastien Albillo et du terrible auteur David Coulon. Ils avaient quand à eux et dans le même temps, préparé un spectacle autour de « Brittany Parker » la dangereuse petite sœur de Jack l'Eventreur. Une bataille incroyable eut lieu dans l'enceinte enflammée de la Passerelle. Un spectacle unique et radical. Un truc de dingo. Chacun des participants faisaient preuve d'envie, d'abnégation et d'une dose de générosité sans limite dans l'effort. Le frisson fut au rendez-vous, si bien que les organisateurs décidèrent qu'il n'y aurait pas de vainqueurs, mais sûrement une représentation publique plus tard, Inch'Allah. Comme tu peux le voir sur la photo non censurée, nous étions fourbus mais néanmoins heureux. (Dans l'ordre d'apparition) bravo à Benoit, Antoine et Thibaut qui ont fièrement et vaillamment pris le travail à bras le corps. Comme le dirait Freddy, show must go on. En tout cas, tout cela m’a donné une puissante verve et remis du baume au coeur. Merci à tous. je vous embrache (comme on dit là-bas). Foray

[noksye]

Here we are ! I introduce you a new fanchild (even if he’s more like a fusion) :

Name : Nix (mix of Mist and Nex (murder) and the contraction of Nichts (nothing))

Age : 16/19

Pronouns : He/Him (normal) They/Them (mad)

Facts : 

He doesn’t like ketchup because of its resemblance with blood.

Nonetheless, he loves sweet things (cupcakes are his favorites, you can give him one to be his new bff).

He doens’t understand why people see his pressure means (muders) as something bad. He thinks he works for a great cause and regrets that the majority doesn’t understand him (ironically).

His favorite pastime is to create jewelry – his necklace was made by himself. Unfortunately, successful attemps are rare.

He doesn’t know how to do his shoelaces.

When he loves, he doesn’t count the cost. He has a phobia to lose something or someone he cares about (and he’s really paranoid about that).

He’s a reserved guy the first days you meet him. He needs to judge you to know if you’re gonna be a threat or not.

If you’re a threat, he’s gonna try to kill you.

If you’ll become a friend, he’ll wanna be essential in your life. 

If neither, he’ll be neutral.

He considers himeself as a shield to his relatives.

He kills what he sees as a threat for him or the ones he loves in thinking that would bring him inner peace and outer peace (first goal of his “parents”).

He thinks that without war, there’s no peace, so he sees himself as the one who has to fight against what he defines as “war”.

He’d do anything for something/someone he loves whether it’s a request or if he considers that it’s beneficial to this thing/person.

He’s kinda a stalker.

His L.O.V.E. is actually 1 because he didn’t have the occasion to kill someone in Dusttale (because of the resets) or in the Save Screen (otherwise, when he’ll get some people to “protect”, his L.O.V.E. will quickly up to 18-20, he’s been trained by Dust after all).

“I gain LOVE ‘cause I love 'em.”

He’s probably a Lawful – Evil guy.

Story :

He’s not born from a true and reciprocal love between Murder and Geno. Both of them found a middle ground : the human must stop genocide routes and resets, they played enough. So, they have created a fusion of themselves, by mixing their magics together (the way is pretty close to PJ’s), hoping that the child inherits of their will and be able to succeed where they failed. He grew up in Dusttale, his reference AU via Murder. He could see what his “father” had to do to stop the human. On the other hand, he had the ability to go in the Save Screen, where Geno showed him what his world, the Original, has experienced. Nix thought immediatly that if he needed to protect someone of a threat, he’ll do it before the threat could ever blink. He believes that his “parents” mistake was to wait too long.

In the Save Screen, he has the same capacity than Geno : he can follow something, more precisely someone (someone he encountered and he must know their name), because he doesn’t have the power to keep an eye on a whole AU. Usually, he watches what Murder does with his days.

If he has what he considers as friends or relatives, he can follow them instead of Murder. He can teleport in the world he observes (without necessarily knowing where it is, it’s as if he was crossing throught his monitor screen). But he’ll return inevitably in the Save Screen if he tries to teleport again (his teleportation only works that way).

Chips :

Dusttale!Sans ;

Nix is probably one of the few people to call him by his true name which is Murder. He cares about him, but not like a son with his father, more like a brother – including the fact that he follows him, even if he dosen’t doubt about his skills, we never know. If Murder tells him that a random people is a threat for a random thing he loves (especially what he calls peace), Nix will begin to spy them to study them, get his own opinion and find a proper method to kill them. Of course, if Nix’s judgement is not the same as Murder, he’ll do nothing.

Aftertale!Sans ;

He thinks that Geno has a negative view of his way of doing, but he lets him do, because it works (?). On his side, he belives that his second “father” is someone sad, to whom life has taken everything. So, he must protect him (that’s the reason why he chose to live in the Save Screen after discovering it). He doesn’t feel like he’s as close to him as Murder, but he feels that they have the same passion and the same conviction about “protecting” things, so he finds himself in Geno throught this. And because he doesn’t want to lose that, he has to be the shield.

Nom : Nix (mélange de Mist (brume) et Nex (assassinat) et aussi la contraction de Nichts (rien))

Âge : 16/19

Pronoms : Il/Lui

Facts :

Il n'aime pas le ketchup car ça lui fait penser à du sang.

Cependant, il adore les choses sucrées (lui offrir un cupcake fera de vous son nouveau meilleur ami)

Il ne comprend pas pourquoi les dissuasions qu'il utilise (#meutre) sont vues comme mauvaises. Il considère qu'il oeuvre pour une bonne cause et regrette qu'on ne le comprenne pas vraiment à ce sujet (ironiquement).

Il a un passe temps pour la création de bijoux, son collier étant de sa création, ceci dit, rares sont les essais qui aboutissent vraiment..

Il ne sait pas fait ses lacets.

Quand il aime, il ne compte pas. A une phobie de perdre ce à quoi il tient (au point d'en être paranoïaque).

Il est plutôt réservé les premiers jours après une rencontre pour se faire un avis de si la personne est une menace ou non.

Si oui, il va essayer de la tuer.

Si non, il fera tout pour devenir indispensable à sa vie.

Si aucun des deux, il sera neutre.

Il se considère comme un bouclier pour ses proches.

Il tue tout ce qu'il considère comme une menace pour ceux qu'il aime en pensant que ça lui apportera la paix intérieure et la paix extérieure (but premier de ses ''parents'')

Il pense que sans guerre il n'y a pas de paix, donc se voit comme celui qui doit lutter contre ce qu'il définit comme étant la ''guerre''.  

Il ferait n'importe quoi pour quelqu'un/quelque chose qu'il aime, que ce soit quand on lui demande ou s'il considère lui meme que c'est bénéfique pour cette personne/chose.

Un peu stalker sur les bords

Son L.O.V.E est actuellement 1 parce qu'il n'a pas eu l'occasion de tuer qui que ce soit à Dusttale (Resets nombreux oblige) ou dans l'écran de sauvegarde (sinon, quand il aura quelques personnes à ''protéger'', son L.O.V.E va rapidement passer vers 18-20, il a été entrainé par Dust après tout).

"I gain LOVE 'cause I love 'em."

Il serait probablement Loyal – Mauvais.

Story :

Il n'est pas né d'un amour pur et réciproque entre Murder et Geno. Les deux ont simplement trouvé un terrain d'entente sur le fait qu'il fallait que l'humain cesse les génocides et les resets, que ça avait assez duré comme ça. Ils ont donc, par le mélange de leurs magies (à l'instar de PJ), créé une fusion d'eux deux, en espérant que celui-ci hérite de leur volonté et qu'il réussisse là où ils ont échoué. Il a grandi à Dusttale, son AU de référence par le biais de Murder. Il a pu constater ce qu'avait du faire son "père" afin d'arrêter l'humain. De l'autre côté, il avait la capacité de se rendre dans l'écran de Sauvegarde où Geno a pu aussi lui montrer ce que son monde de base, l'original, avait vécu. Il se dit de suite que si jamais il devait protéger quelqu'un d'une quelconque menace, il le ferait avant que la menace ne puisse agir. Il estime que l'erreur de ses "parents" a été d'attendre trop longtemps que tout dégénère.

Dans l'écran de sauvegarde, il a la meme capacité de Geno à pouvoir suivre l'évolution de quelque chose, ou plus précisément de quelqu'un (qu'il connait et dont il connait au moins le nom), puisqu'il n'a pas la puissance nécessaire pour surveiller tout un AU, donc il regarde généralement ce que fait Murder de ses journées.

S'il a ce qu'il considère comme étant des amis ou des proches, il peut les suivre à la place de Murder. Il peut se téléporter sur le monde de la personne qu'il observe (sans forcément savoir où c'est, comme s'il passait à travers son écran de surveillance) mais retournera forcément à l'écran de sauvegarde s'il essaie de se téléporter à nouveau (sa téléportation ne marche que de cette façon).

CHIPs :

Dusttale!Sans ;

Nix est sûrement l'une des rares personnes à l'appeler par son vrai nom qu'est Murder. Il tient à lui, non pas comme un fils tient à son père, mais comme un frère - incluant le fait qu'il surveille ce qu'il fasse, bien qu'il n'ait aucun doute sur ses capacités, on ne sait jamais. Si Murder lui dit qu'untel est une menace pour x chose auquel il tient (notamment la paix), Nix commencera à l'espionner pour l'étudier, se faire son idée, et trouver une façon adéquate de le tuer. Bien sur, s'il n'est pas du même avis, il n'en fera rien.

Aftertale!Sans ;

Il pense que Geno voit d'un mauvais œil sa façon de faire mais qu'il le laisse faire parce que ça marche (?). De son côté, il imagine plus son deuxième "père" comme une personne triste à qui la vie a tout pris et qu'il doit protéger (c'est la raison pour laquelle il est resté vivre dans le Save Screen après l'avoir découvert). Il ne se sent pas aussi proche de lui que de Murder mais il sent qu'il a la même force et la même conviction que lui par rapport à la "protection" des choses, donc il se retrouve en lui a travers ça. Et parce qu'il ne veut pas perdre ça, il doit être le bouclier.

Geno!Sans belongs to @loverofpiggies

Murder!Sans doesn’t belong to me but I haven’t his ref blog, sorry :c

Nix is my baby ♪

[mimimindy]

[ENG]Here is my translation of Momoka’s graduation live speech and messages from the other members. I apologize in advance for my bad english >_<. [FR]Voici la traduction du discours de Momoka lors de son dernier live ainsi que les messages que les autres membres lui ont adressé: Reni-chan: [ENG] When you announced that you will quit the group, to be honest the first thing I thought was "You're really stupid!" and I asked you several times if you did not want to change your mind. You must have found me annoying. But I want you to know that they are many things you did I am grateful for: First, when you just joined the group, every time I told you that I could not do this dance step correctly, you always told me "What if you tried like that, or like that ?" while showing me the movement so that I can improve my dance. Also, whenever I was anxious, you took my hand to reassure me. When my foot was injured and that I couldn't do silly things on stage because of this, you did it instead of me. When I had surgery for my foot, when it was my birthday or when I had my solo concert, you always sent me messages. You really supported me a lot. I wondered what will Momoclo become without you. But you have to live your own life so I decided to go forward as 4 member group while having fun from now on. I want the 4 of us to build a new landscape even bigger than now while remembering the one we built with 5 members. I would like you to consider these 8 years together as a treasure. Thank you for all your efforts. [FR] Quand tu nous as annoncé ton départ, pour être honnête la première chose que j'ai pensé c'est "T'es vraiment trop bête !" et je t'ai demandé plusieurs fois si tu ne voulais pas changer d'avis. Tu as du me trouver pénible. Mais sache qu'il y a beaucoup de chose pour lesquelles je te suis reconaissante: D'abord, quand tu venais d'intégrer le groupe, à chaque fois que je te disais que je n'arrivai pas à faire tel pas de danse correctement, tu me disais toujours "et si tu essyais comme ça, ou comme ça" en me montrant comment faire pour que je puisse m'améliorer. Aussi, toutes les fois où j'étais angoissée, tu me prenais la main pour me rassurer. Quand je me suis blessée au pied et que je ne pouvais pas faire l'idiote sur scène, c'est toi qui l'a fait à ma place. Quand je me suis faite opérer pour ma blessure, quand c'était mon anniversaire ou quand j'avais mon concert solo, tu m'as toujours envoyé des messages. Tu m'as vraiment énormément soutenue. Je me suis demandée ce qu'on allait devenir sans toi. Mais toi tu dois vivre ta vie alors j'ai décidé qu'on avancerait désormais à 4 tout en s'amusant. Je veux qu'à 4 on construise un nouveau paysage encore plus grand tout en se souvenant de celui qu'on a construit à 5. Je voudrais que tu considères ces 8 années passées ensemble comme un trésor. Merci pour tous tes efforts. Aarin: First of all, thank you for your work during 8 years. When I think back to all my memories with you, the most memorable is the one when you joined the group. Me too, I joined it after the other member and everyone was very kind to me. So when I heard that a new member was going to join the group, I wanted to welcome her in the same way. Except that she was an incredibly talented girl. You were already famous, so I thought "That's THE Momoka!" and suddenly I had not anything to teach you neither in singing or dancing. But during all the years as Momoclo members, there have been many moments of doubt and I thought I was happy to have been able to be with you during these moments even just a little bit. From today, you will discover many things and I would like you to become happy to the point of you will think "It was the good decision to leave the group". And that you do your best to the point of making us think "She took the good decision by leaving the group". After your departure, I will feel lonely, I will not have anyone next to me in the car anymore and I will not be able to take a picture with you anymore. From now on I intend to do my best with the 3 others while keeping in mind that you had been there with us. Congratulations for these 8 years and thank you for being with us until now. Tout d'abord, merci pour ton travail durant ces 8 années. Quand je repense à tous mes souvenirs avec toi, le plus marquant reste celui du moment où tu as intégrée le groupe. Moi aussi je suis arrivée après les autres et tout le monde a été très gentil avec moi. Alors quand j'ai appris qu'une nouvelle membre allait intégrer le groupe, je voulais l'accueillir de la même manière. Sauf qu'en fait c'était une fille incroyablement douée. Tu étais déjà connue à l’époque, alors je me suis dis "C'est LA Momoka !" et du coup que ce soit en danse ou en chant, je n'avais rien à t’apprendre. Mais durant toutes les années où l'on a été dans les Momoclo, il y a eu beaucoup de moments de doutes et je me dis que j'ai été heureuse d'avoir pu vivre tout ça avec toi ne serait-ce qu'un peu. A partir d'aujourd'hui, tu vas découvrir pleins de choses et j'aimerais que tu deviennes heureuse au point de te dire que tu as bien fait de quitter le groupe. Et que tu fasses de ton mieux au point de nous faire dire à nous "C'est une bonne chose qu'elle ait quitté le groupe". Après ton départ, je vais me sentir seule, je n'aurai plus personne à côté de moi dans la voiture et je ne pourrai plus prendre de photo avec toi. A partir de maintenant je compte faire de mon mieux avec les 3 autres tout en gardant en tête que tu avais été là avec nous. Encore félicitation pour ces 8 années et merci d'avoir été à nos côtés jusqu'à aujourd'hui. Shiorin: Thank you for these 8 years. Suddenly, I realized that it was already 8 years! I remember the day when you joined the group as if it was yesterday. The first thing I thought was "Her hair looks so smooth and silky !" (They laugh.). At the beginning we were the two small ones of the group and now we are the ones with the most difference in term of height. We also share the same blood type but our personnality are total opposite. You keep your blog up to date and you are hard worker while I am not. Sometimes I watched you and I always thought you looked so beautifully calm and serene. And in the group, I saw you a bit like my rival (in a good way). From today we will follow two different paths but the fact that you have been there until now is something irrefutable. I wish you did not forget it. From now on we will do our best with 4 members so that you can know what we become without even having to use your high skill in net research. Merci pour ces 8 années. Tout à coup, j'ai réalisé que ça faisait déjà 8 ans ! Je me rappelle de ton arrivée dans le groupe comme si c'était hier. La première chose que j'ai pensé c'est "ses cheveux semblent tellement lisse et soyeux" (elles rient). Au départ on était les deux petites du groupe et maintenant on est celles avec le plus d'écart en taille. On a aussi le même groupe sanguin mais niveau personnalité on est tout l'opposé l'une de l'autre. Toi tu tiens ton blog à jour et tu es une bosseuse, moi pas du tout. Parfois je t'observais et je me disais toujours que tu avais l'air posée et sereine, je trouvais ��a beau. Et dans le groupe, je te voyais un peu comme ma rivale (dans le bon sens du terme). A partir d'aujourd'hui on va suivre deux chemins différents mais le fait que tu aies été là jusqu'à maintenant est quelque chose d'irréfutable. J'aimerais que tu ne l'oublies pas. A partir de maintenant on va faire de notre mieux à 4 pour que tu puisses savoir ce que l'on devient sans même avoir à utiliser tes super compétences en recherches d'informations sur internet. Kanako: You worked hard during these 8 years, congratulations. We shared advices on pills for mouth ulcers. If you ever find new pills, send me a message. (Everybody laugh) Really, I can not imagine the Momoclo with 4 members. But when you announced you leave the group, I understood that deep down, your decision was already taken so I did not say anything. But still there was a part of me that could not digest it and wondered what I was supposed to do. But you too were very anxious and you chose to make this difficult decision alone so I figured the best thing to do was we encourage you. (She thinks for a long time) In fact, there is something very straightforward that I could not tell you until now: I really wanted to celebrate our 10th Anniversary as a 5 members group. (She keeps quiet) There's a part of me that thought we could really do it with 5 members, but suddenly I realized that there is also dreams that would not come true.... From today, we will mutually follow a new path but I wish us all to be able to achieve the new dreams that we will find there and us, we will also do our best with 4 members. Now, follow this new path with a smile and take all our and Mononofu's feelings with you, please. Thank you again for everything you have done so far. Tu as bien travaillé durant ces 8 années. On s'échangeait des conseils sur les cachets pour les aphtes. Si jamais tu trouves des nouveaux cachets, envoie-moi un message. (Tout le monde rit) Vraiment, je n'arrive pas à m'imaginer les Momoclo à 4. Mais quand tu nous as annoncé ton départ, j'ai bien compris qu'au fond de toi, ta décision était déjà prise alors je n'ai rien dit. Mais malgré tout il y avait une part de moi qui n'arrivait pas à le digérer et qui s'est longuement demandée ce que j'étais censée faire. Mais toi aussi tu t'étais beaucoup angoissée et tu as choisi de prendre cette décision difficile toute seule alors je me suis dit que le mieux à faire était que nous t'encouragions. (Elle réfléchit longuement) En fait, il y a quelque chose de très franc et direct que je n'ai pas réussi à te dire: je voulais vraiment qu'on fête les 10 ans du groupe à 5. (Elle fait une pause) Il y a une part de moi qui pensait qu'on pouvait vraiment le faire à 5 mais tout à coup  j'ai réalisé que tous les rêves ne se réalisaient pas forcément.... A partir d'aujourd'hui, nous allons mutuellement suivre un nouveau chemin mais je nous souhaite à toutes de pouvoir réaliser les nouveaux rêves que l'on trouvera  là-bas et nous de notre côté on fera aussi de notre mieux. Maintenant, avance sur ce nouveau chemin avec le sourire en emportant tous nos sentiments ainsi que ceux des Mononofu avec toi s'il te plaît. Encore merci pour tout ce que tu as fais jusqu'à maintenant. Momoka's message to other members/ Message de Momoka pour les autres membres: I caused a lot of trouble to the group that will remains with 4 members instead of 5 and despite everything you took the trouble to prepare a farewell song, thank you very much. So first of all, Reni, Kanako, Shiorin, Aarin, I really want to thank you. Aarin, you who are an idol 24 hours a day, thank you for teaching me so much about how to become one. Shiorin, you always looked after us calmly and kindly, thank you. I was very surprised to see how much you had become a strong adult in such a short time. Kanako, you were the very embodiment of a responsible person. I followed you knowing that we could count on you in all circumstances, thank you. And finally Reni, no matter how much you were sad or anxious yourself, you showed me that you were always there to take care of others in a warm and kind way. Thank you for saving me so many times. J'ai causé énormément de soucis au groupe qui va se retrouver à 4 au lieu de 5 et malgré tout vous avez pris la peine de me préparer une chanson d'adieu, merci beaucoup. Alors avant tout, Reni, Kanako, Shiorin, Aarin, je tenais vraiment à vous remercier. Aarin, toi qui est 24h/24 une idole, merci de m'avoir appris autant de choses sur la façon d'en devenir une. Shiorin, tu veillais toujours sur nous avec calme et gentillesse, merci. J'ai été très surprise de voir à quel point tu étais devenue une adulte forte en si peu de temps. Kanako, tu étais l'incarnation même d'une personne responsable. Je t'ai suivi en sachant que l'on pouvait compter sur toi en toutes circonstances, merci. Et enfin Reni, peu importe à quel point toi-même tu souffrais ou angoissais, tu m'as montré que tu étais toujours là pour prendre soin des autres de manière chaleureuse et très gentille. Merci à toi de m'avoir sauvée tant de fois. Momoka's message to Mononofu and staff/ Message de Momoka pour les Mononofu et le staff: Reni, Kanako, Shiorin, Aarin, I'm really glad you were there. I too thought I could go to the 10th Anniversary as 5 members. But for the future of the 4 of you that begins now, I had to make a decision. We were often called the "5 miracles girls". But to be honest I never felt that way. I think the group of 5 that are Momoclo is you 4 plus the fans. So, dear Mononofu, whether for 10 years, for 20 years or much later, I count on you to support them. Dear staff members, thank you for creating this stage for me today. My dear fans, if I could reach 8 years, it is thanks to you who supported me warmly and kindly in any situation. Thank you for giving me this idol life full of happiness for 8 years. During these 8 years, I have the feeling I have accomplished all that I wanted, so I leave without regrets. That's why I want to be happy to the point of making you proud of me. To you who have followed me for 8 years and you, despite my selfish decision and my sudden departure, who told me "Congratulations, you did a great job.", thank you very much. From now on, I entrust you the 4 others. Reni, Kanako, Shiorin, Aarin, je suis vraiment heureuse que vous ayez été là. Moi aussi je pensais pouvoir aller jusqu'aux 10 ans du groupe à 5. Mais pour votre futur à vous 4 qui commence maintenant, j'ai du prendre une décision. On nous appelait souvent les "5 enfants miracles" mais pour être honnête je ne l'ai jamais vu de cette manière. Je pense que les Momoclo à 5 c'est vous 4 et les fans. Alors cher Mononofu, que ce soit pour 10 ans, pour 20 ans ou encore bien après, je compte sur vous pour les soutenir. Chers membres du staff, je vous remercie d'avoir créé cette scène pour moi aujourd'hui. Mes chers fans, si j'ai pu arriver au bout de ces 8 années, c'est grâce à vous qui m'avez soutenu chaleureusement et avec beaucoup de gentillesse dans n'importe quelle situation. Merci de m'avoir donné cette vie d'idol si heureuse durant 8 ans. Pendant ces 8 années, je pense avoir accompli tout ce que je voulais, alors je pars sans regrets. C'est pourquoi je souhaite devenir heureuse au point de vous rendre fiers de moi. A vous qui m'avez suivi durant 8 ans et qui, malgré ma décision égoïste et mon départ si soudain, m'avez dit "Bravo, tu as bien travaillé.", je vous remercie énormément. A partir de maintenant, je vous confie ces 4 autres filles. Kanako’s last message to Mononofu/ Dernier message de Kanako pour les Mononofu: Thank you all. So we are only 4 now. I do not know what awaits us from now on but to think about it, it was laways like this until now. We go to the unknown but I want us to do our best by having fun to make you smile. I apologize for all the confused feelings you could have had today, but I hope you will continue to support us. Merci à tous. Nous ne sommes donc plus que 4. Je ne sais pas ce qui nous attend à partir de maintenant mais à bien y réfléchir, on a toujours avancer de cette manière jusqu'à aujourd'hui. Nous nous lançons vers l'inconnu mais je veux qu'on fasse de notre mieux en nous amusant pour vous faire sourire. Je m'excuse pour tous les sentiments confus que vous avez du ressentir aujourd'hui mais j'espère que vous continuerez de nous soutenir.

[utank]

Pensée non suivie d’effet

Pensées non suivies d’effet, plutôt qu’actions dénuées de pensée?

L’ambivalence humaine poussée à son paroxysme n’est pas dans ces foules contenues par des gaz hilarants et des boules de gomme qui cognent. Qui cognent comme cognent ces hommes, les points fermés sur des gants de plastic dur, sur des bois durs. Ils cognent comme la machine en moins sûr, mais de façon à écrabouiller dans la même veine, en industrie, en république.

La République schizophrène, Impériale ou anarchiste selon. Qui, quand elle manifeste ou s’émeut est la plus touchante des nations mais qui fracasse ses enfants en loucedé comme la pire des marâtres, qui assassine en proxy, qui éborgne ses gueux et dénonce ses juifs.

Nos jui.f.ve.s, nos musulman.e.s, nos chrétien.ne.s, nos Sikhs, nos zoroastrien.ne.s... nos yogis du dimanche et nos Ganesh à encenser.... m’enfin laissez nous le folklore! On se plaît à parcourir les souks de nos quartiers plutôt que vos allées de vitrines sages et chères...

On le sait, ceux là, nous tous, ceux qui ânonnent, ceux qui déconnent, sont les cloches d’un monde déjà venu, une couche de (in)sens(é)’ qui recouvrait l’essentiel, comme une carapace à présent trop étroite... Les craquelures révèlent la nature profonde, génocidaire, de l’entreprise à laquelle « on » adhère. Alors ne leur, ne nous reprochez pas de regarder vers le haut et de bêler à présent.

J’entends résonner les sirènes de police tout autour de ma zone. Quelque chose sonne encore plus fort, les marteaux des ouvriers sur les échafaudages. Ils rénovent! Les marteaux des ouvriers sur la chaussée, ils équipent...

Le masque rejeté sous le menton ou le nez, à minima. Leur taux de silicate dans les poumons est déjà une cause de morbidité, mais le béton qu’ils coulent en dit long sur leur abnégation.

Et sur la volonté de continuer, de pomper ce sable, cette eau, pour nos jeux...

show must go on!

[leysendris]

Bedtime Story

This is a little in-between-Chapter for one of my Shenko-Headcanons.

It is also up on AO3: http://archiveofourown.org/works/12393123

I headcanon Kaidan as being half French Canadian and therefore growing up bilingual, while my Shepard Keyra doesn’t understand a single word French. But boy, does she love hearing Kaidan speaking it.

With a stifled cry, Keyra startled up from her sleep. It took her a moment to orient herself and realize she was safely in her cabin.

It had only been a nightmare... Yet she could have sworn to still have the stench of burnt flesh in her nose.

Keyra sighed silently and tucked the blanket tighter around her. She usually found the cool air in her cabin pleasant, but now, on her sweaty skin, it felt far too cold.

 The slight movement of the mattress below her when Kaidan carefully shifted his weight was no more surprising than the warm hand that shortly after gently stroked over her back. Of course she had woken him up. Once again.

 "It's all right, go back to sleep," she said, making an effort to get out of bed, but Kaidan put an arm around her hip to hold her back.

 "Another nightmare?" He sat up beside her and pulled Keyra closer to him.

 The question had of course only been rhetorical.

She was dripping with sweat, dishevelled, and even in the dim light that emanated from the fish tank, he was able to see the grim expression on her face, that she always put on when she wouldn't admit that something was straining her.

So it was obvious that she had had another nightmare.

 "I only slept poorly, don't worry about it," Keyra replied soothingly and tried to get up again, but Kaidans arm still held her back.

"Come on, Major," she teased him with a smile, "let me go. I just want to get a glass of water."

 "You say that every time," he countered and pulled her closer to him, placing a gentle kiss on her shoulder. "And then you always end up sitting in the mess with a cup of coffee and a stack of data pads working instead of sleeping."

That would have been roughly the plan. Keyra thought by herself, but she didn't say it out loud.

Kaidan's forehead was already showing this deep worry line again, which showed up whenever he was brooding or worried about something. Lately, she saw this wrinkle much more often than she would have liked.And the fact that he had this expression mostly because of her didn't make things any better.

It had been selfish to ask Kaidan to move into her cabin.... in the crew quarters he had at least been able to get a good night's rest, now her bloody nightmares made not only her lose her sleep, but him as well.

 Kaidan noticed that she was distracted and used the moment to slip out of bed.

 "Where are you going?"

 He could see from the corners of her eyes how she put one foot on the floor and threw a stern look over his shoulder. "Fetch your water. Stay in bed!"

 Keyra hesitated briefly. The less she discussed with him, the more likely it was that at least he would get some more sleep... So she pulled her foot back under the blanket, while Kaidan went to her desk and rummaged through one of the cupboards.

 When he came back into her field of view Kaidan had not only a bottle of water in his hand. It was only at second glance that she realized that the object in his hand was the edition of Le Petit Prince that Kasumi had given to her. Whatever the master thief had been thinking of giving her a French book, although Keyra couldn't understand a single word of French.

 She had seen Kaidan flip through the book a couple of times before. But what was he planning to do with it now?

 "What are you going to do with it, reading me a bedtime story?" she asked jokingly and gratefully received the water bottle he handed her.

While Kaidan slipped under the blanket next to her again, she took a big sip from the bottle. It was nice to get the bitter taste of bile out of your mouth.

 Kaidan had in the meantime made himself comfortable again and patted invitingly next to himself on the mattress.

"You're not so wrong about the bedtime story. Come here."

 Keyra stared at him in disbelief and Kaidan reached out to her with a mischievous grin. "Come on."

 "Kaidan..." Keyra sighed quietly. "I'm not a little kid anymore that you have to rock to sleep with a story."

 "But it's also no harm if we just cuddle up a little bit and I read aloud" Kaidan held against it. And he didn't look like he was giving up so easily. This man was so bloody stubborn...

 With a resigning sigh, Keyra placed the bottle on her bedside table and snuggled up to him. But not without nudging him into the side first and muttering a half-loud “Stop smiling so smugly.”

 Kaidan put his arm around her and pressed a kiss on her forehead, his smug grin still in place, before he flipped through the book.

 "Don't you usually start at the beginning?" Keyra asked cheeky and he snorted quietly.

"Smartass. I already know the story, and if you can't follow it - let me know."

The two of them exchanged a quick glance and began to laugh. After all they both knew all too well that Keyra couldn't even follow a manual to boil water if it was written in French.

 Eventually Kaidan swept his attention back to the little book while Keyra put her head on his chest and closed her eyes. She simply loved to hear his voice, and if it came down to him reading her a French children's book, she wouldn't disdain that either.

 After both of them had slid deeper into the cushions and made themselves comfortable, Kaidan cleared his throat and began to read.

 “Le petit prince s’sen fut revoir les roses

(The little prince went away, to look again at the roses.)

 Vous n’êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n’êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n’avez apprivioisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.”

(„You are not at all like my rose.“ he said. “As yet you are nothing. No one has tamed you, and you have tamed no one. You are like my fox when I first knew him. He was only a fox like a hundred thousand other foxes. But I have made him my friend, and now he is unique in all the world.”)

  Keyra took a deep breath. Kaidan's calm voice and his steady heartbeat at her ear were wonderfully soothing, and slowly her eyes began to grow heavy.

 „Et les roses étaient bien gênées.

(And the roses were very much embarrassed.)

 Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu’elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c’est elle que j’ai arrosée. Puisque c’est elle que j’ai misse globe. Puisque c’est elle que j’ai abritée par le paravent. Puisque c’est elle dont j’ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c’est elle que j’ai écoutée se plaindre, ou se vanter ou même quelquefois se taire. Puisque c’est ma rose.“

(„You are beautiful, but you are empty.“ he went on. “One could not die for you. To be sure, an ordinary passerby would think that my rose looked just like you – the rose that belongs to me. But in herself alone she is more important than all the hundreds of you other roses: because it is she that I have watered; because it is she that I have put under the glass globe; because it is she that I have sheltered behind the screen; because it is for her that I have killed the caterpillars (except the two or three that we saved to become butterflies); because it is she that I have listened to, when she grumbled, or boasted, or even sometimes when she said nothing. Because she is my rose.)

  Kaidan could feel how Keyra slowly calmed down next to him. She didn't constantly shift her weight any more to find a more comfortable position and her fingers, which at the beginning had wandered restlessly over his stomach, slowly came to rest.

  „Et il revint vers le renaird: Adieu, dit-il…

(And he went back to meet the fox. “Goodbye.” he said.)

 Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le Coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.

(„Goodbye.“ Said the fox. „And now here is my secret, a very simple secret: It is only with the heart that one can see rightly; what is essential is invisible to the eye.“)

 L’essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenier

(„What is essential is invisible tot he eye.“ the little prince repeated, so that he would be sure to remember.)

 C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.

(„It is the time you have wasted for your rose that makes your rose so important.“)

 C’est le temps que j’ai perdu pour ma rose… fit le petit prince, afin de souvenier

(„It is the time I have wasted for my rose…“ said the little prince, so that he would sure to remember.)

 Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas I’ oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose…

(„Men have forgotten this truth.“ said the fox. “But you must not forget it. You become responsible, forever, for what you have tamed. You are responsible for your rose…”)

 Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se souvenier.“

(„I am responsible for my rose.” The little prince repeated, so that he would be sure to remember..)

  Careful not to startle Keyra with a sudden movement, Kaidan closed the book and put it next to him on the bedside table after he had convinced himself that she had fallen asleep. By now he knew it when she was only pretending to be asleep. As convincing as she acted, she never managed entirely to release her tension.

 Not at all like she seemed at the moment. She looked so peaceful, much... softer than during the day, when there were permanent lines of worry on her forehead and a hard trait around her mouth. Now she was just Keyra, not Commander Shepard, the war heroine on whom everyone placed their hopes, happily ignoring the fact that behind the legend there was still a woman of flesh and blood.

 It was no wonder that she forgot it more and more herself as the pressure on her was steadily increasing. But Kaidan intended to keep reminding her of that.

And if he had to read to her every night from The Little Prince so that she could at least strip off the mask of Commander Shepard for a few hours and just be Keyra, he would gladly do so.

 Gently, he caressed a strand of hair from Keyras face and gave her a gentle kiss on the forehead.

"De beaux rêves, ma rose."

(Kaidans last sentence translates to “Sweet Dreams, my Rose”)

[noespensaressentir]

Disfutar y Bailar. Siempre nos han dicho que tras la lluvia o la tormenta, vuelve a salir el sol. Esto fue lo que ocurrió después del paseo por Abobo (lluvia y tormenta). Llegó el momento de ver la luz (del sol) en cuanto entramos en el terreno como ellos lo llaman.Es en este terreno, (para nosotros podría ser entre comillas, el patio de una cárcel) más o menos, entre cuatro paredes, con una superficie irregular, sin lugar para sentarse, dos porterias construidas con unos troncos, unas estacas incrustadas en unas latas de conserva grandes, con cemento dentro,  hacían la  labor de conos o referencias, 6 u 8 balones en muy malas condiciones, unos conos chinos  y multitud de sonrisas. Fue entrar en ese terreno y toda esa energía negativa que nos venía persiguiendo durante  el paseo que dimos por su vecindario (su casa) y por El Barrio de Abobo, se convirtió en ilusión y alegría!! y en un sentimiento desbordante por ayudarles a disfrutar de lo que realmente a ellos le apasiona, que es el fútbol. Esta escuela de fútbol de Abobo, compuesta por 55 niños, tiene formado tres grupos de niveles, no de edades (a lo mejor nos tiene que servir este ejemplo), como referencia a que la propia selección natural es la que nos coloca en función de nuestras capacidades. Por decisión del tutor, ese día a mi persona junto con la atención detallada de Eli, me tocó dirigir el entrenamiento del equipo de los más mayores y con mayor capacidad. Entre ellos había un chiquillo especial, era el que nos había regalado las lecciones en el día anterior, pero sobre todo, en esos 18 jugadores con los que pude participar, se podía distinguir perfectamente, cuál era su nexo común... la eterna sonrisa! Y sin apenas darnos cuenta, poco a poco nos acostumbramos a estar permanentemente sonriendo, no de forma forzada, sino de forma natural, como algo que vuelve a su ser cuando entra en armonía y se acomoda de nuevo en su estado vibracional. Sonreir y sentirse feliz, es en realidad el estado natural del ser humano. Nosotros teniéndolo “todo”, lo hemos olvidado, ellos no teniendo”nada” jamás la han perdido! Otra lección!! En fin... seguimos! Varios son los jugadores que presentan un talento sobrenatural (Isaac 9 años, Desiree 13 años y Silva 14 años), pero sobre todo me llamó la atención de que ese entrenamiento fue llevado a cabo durante una hora y cuarto más o menos, con jugadores que no se nos debe olvidar, son personas, que juegan al fútbol, pero con unas condiciones un tanto diferentes: se levantan para ir a trabajar a primera hora, después realizan entrenamiento de la mañana, desayunan leche en polvo con agua y con pan, se van a trabajar otra vez, vuelven a la tarde para volver a entrenar, se lavan tras el segundo entrenamiento si tienen agua, cenan ( arroz solo, la mayor parte de sus días, si lo hay )y a dormir en el suelo, porque no tienen colchones. Es decir, todo lo que se denomina entrenamiento invisible (en este caso se convierte en entrenamiento de supervivencia o vida cotidiana, para ellos) Nuestra pregunta es, cómo nos atrevemos algunos de nosotros a considerarla raza inferior? Quizás el racismo no sea nada más que la incapacidad de algunos en aceptar que son superiores a nosotros (los blancos).Qué sería de ese talento que tiene África si estuvieran bien alimentados, hidratados, cuidados básicos (a nivel medico), descanso… Perdón, por esta reflexión pero no podemos con todo lo que últimamente estamos viviendo en los campos de fútbol y en la sociedad. Tras dirigir posiblemente el mejor entrenamiento de mi vida, en cuanto alegría, sonrisas, disfrutar, calidad y capacidad teniendo en cuenta las circunstancias, llegó su particular vuelta a la calma. No voy a entrar a hablar del contenido del entrenamiento, porque es lo menos importante de todo lo vivido, solo voy hablar de la vuelta a la calma (esa gran olvidada) en muchos entrenamientos, pero en este caso tenemos que hacer mención de ella, porque fueron ellos quienes la dirigieron. Nos sentaron  en unas sillas de plástico, que fueron a buscar a no sabemos dónde y comenzaron su espectáculo, del cual nos hicieron partícipes como buenos anfitriones!! En ese momento, nuestro cometido se convirtió en disfrutar y bailar con ellos. Namaste.🌸🙏🏻 Eli y Antonio .

Enjoy and Dance.

We have always been told that after the rain or the storm, the sun rises again. This was what happened after the walk through Abobo (rain and storm). It was time to see the light (of the sun) as soon as we entered the field as they call it. It is in this field, (for us it could be in quotation marks, the courtyard of a prison) more or less, between four walls, with an irregular surface, with no place to sit, two goals built with logs, some stakes embedded in cans of large preserves, with cement inside, they did the work of cones or references, 6 or 8 balls in very poor condition, some Chinese cones and a multitude of smiles.

It was entering that terrain and all that negative energy that had been chasing us during the walk we took through his neighborhood (his house) and through El Barrio de Abobo, became illusion and joy !! and in an overflowing feeling for helping them to enjoy what they are really passionate about, which is soccer.

This Abobo football school, made up of 55 children, has three groups of levels, not age groups (maybe this example should serve us), as a reference to the fact that natural selection itself is what places us in function of our capabilities. By decision of the tutor, that day my person together with the detailed attention of Eli, I had to direct the training of the team of the oldest and most capable. Among them was a special boy, he was the one who had given us the lessons the day before, but above all, in those 18 players with whom I was able to participate, it was possible to distinguish perfectly, what was their common link ... the eternal smile ! And without hardly realizing it, little by little we get used to being permanently smiling, not in a forced way, but in a natural way, like something that returns to its being when it comes into harmony and accommodates itself again in its vibrational state. Smiling and feeling happy is actually the natural state of the human being. We having "everything", we have forgotten, they having "nothing" have never lost it! Another lesson !! Anyway ... we continue!

There are several players who present a supernatural talent (Isaac 9 years old, Desiree 13 years old and Silva 14 years old), but above all it caught my attention that this training was carried out for an hour and a quarter or so, with players who We must not forget, they are people who play soccer, but with somewhat different conditions: they get up to go to work first thing, then they do morning training, they eat powdered milk with water and bread, they they go to work again, they come back in the afternoon to train again, they wash after the second workout if they have water, they have dinner (rice alone, most of their days, if any) and they sleep on the floor, because they don't have mattresses. That is, everything that is called invisible training (in this case it becomes survival training or daily life, for them). Our question is, how do some of us dare to consider it an inferior race? Perhaps racism is nothing more than the inability of some to accept that they are superior to us (whites). What would be the talent that Africa has if they were well fed, hydrated, basic care (at the medical level), rest ...

Sorry, for this reflection but we cannot cope with everything that we have been experiencing lately on the soccer fields and in society.

After leading possibly the best training of my life, in terms of joy, smiles, enjoyment, quality and ability taking into account the circumstances, his particular return to calm came.

I am not going to talk about the content of the training, because it is the least important of all that I have lived, I am only going to talk about the return to calm (that great forgotten) in many training sessions, but in this case we have to mention it, because it was they who directed it. They sat us in some plastic chairs, who went to look for we do not know where and began their show, in which they made us participate as good hosts !!

At that time, our mission became to enjoy and dance with them.

Namaste.🌸🙏🏻

Eli and Antonio.

Litige et danse.

On nous a toujours dit qu'après la pluie ou la tempête, le soleil se levait à nouveau. C'est ce qui s'est passé après la promenade à travers Abobo (pluie et tempête). Il était temps de voir la lumière (du soleil) dès que nous sommes entrés sur le terrain comme ils l'appellent. C'est dans ce domaine, (pour nous ça pourrait être entre guillemets, la cour d'une prison) plus ou moins, entre quatre murs, avec une surface irrégulière, sans place pour s'asseoir, deux buts construits avec des bûches, quelques piquets encastrés dans des bidons de grandes conserves, avec du ciment à l'intérieur, ils ont fait le travail de cônes ou de références, 6 ou 8 boules en très mauvais état, quelques cônes chinois et une multitude de sourires.

C'était entrer dans cette terre et toute cette énergie négative qui nous avait chassés pendant la promenade que nous avons parcourue dans son quartier (sa maison) et à travers El Barrio de Abobo, est devenue illusion et joie !! et dans un sentiment débordant de les aider à apprécier ce qui les passionne vraiment, le soccer.

Cette école de football d'Abobo, composée de 55 enfants, a trois groupes de niveaux, pas des groupes d'âge (peut-être que cet exemple devrait nous servir), en référence au fait que la sélection naturelle elle-même est ce qui nous place en fonction de Nos capacités. Par décision du tuteur, ce jour-là ma personne avec l'attention détaillée d'Eli, j'ai dû diriger la formation de l'équipe des plus anciens et des plus compétents. Parmi eux, il y avait un garçon spécial, c'était lui qui nous avait donné les leçons la veille, mais surtout, parmi ces 18 joueurs avec lesquels j'ai pu participer, il était possible de distinguer parfaitement, quel était leur lien commun ... le sourire éternel ! Et sans à peine s'en rendre compte, on s'habitue peu à peu à un sourire permanent, non pas de manière forcée, mais de manière naturelle, comme quelque chose qui revient à son être quand il entre en harmonie et s'adapte à nouveau dans son état vibratoire. Sourire et se sentir heureux est en fait l'état naturel de l'être humain. Nous avons "tout", nous avons oublié, ils "rien" ne l'ont jamais perdu! Une autre leçon !! Quoi qu'il en soit ... nous continuons!

Il y a plusieurs joueurs qui présentent un talent surnaturel (Isaac 9 ans, Désirée 13 ans et Silva 14 ans), mais surtout j'ai retenu mon attention que cette formation s'est déroulée pendant une heure et quart environ, avec des joueurs qui Il ne faut pas oublier, ce sont des gens qui jouent au football, mais avec des conditions quelque peu différentes: ils se lèvent pour aller au travail en premier, puis ils s'entraînent le matin, ils mangent du lait en poudre avec de l'eau et du pain, ils ils retournent au travail, ils reviennent l'après-midi pour s'entraîner à nouveau, ils se lavent après le deuxième entraînement s'ils ont de l'eau, ils dînent (riz seul, la plupart de leurs jours, le cas échéant) et ils dorment par terre, parce qu'ils n'ont pas matelas. C'est-à-dire tout ce qu'on appelle un entraînement invisible (dans ce cas, cela devient un entraînement de survie ou la vie quotidienne, pour eux). Notre question est, comment certains d'entre nous osent-ils le considérer comme une race inférieure? Peut-être que le racisme n'est rien de plus que l'incapacité de certains à accepter qu'ils sont supérieurs à nous (les blancs). Quel serait le talent de l'Afrique si elle était bien nourrie, hydratée, soins de base (au niveau médical), repos ...

Désolé pour cette réflexion mais nous ne pouvons pas faire face à tout ce que nous avons vécu récemment sur les terrains de football et dans la société.

Après avoir dirigé peut-être le meilleur entraînement de ma vie, en termes de joie, de sourires, de plaisir, de qualité et de capacité compte tenu des circonstances, son retour au calme est venu.

Je ne vais pas parler du contenu de la formation, car c'est la moins importante de toutes que j'ai vécu, je ne parlerai que du retour au calme (ce grand oublié) dans de nombreuses sessions de formation, mais dans ce cas il faut le mentionner, parce que ce sont eux qui l'ont dirigé. Ils nous ont fait asseoir sur des chaises en plastique, qui sont allés chercher on ne sait pas où et ont commencé leur spectacle, auquel ils nous ont fait participer en bons hôtes !!

À ce moment-là, notre tâche est devenu apprécier et danser avec eux.

Namaste.🌸🙏🏻

Eli et Antonio.

[madamedupigeonsalon]

Psychologie - Pourquoi les hommes trompent ils?

C’est une question qui me revient souvent dans la tete? Est ce que les hommes se disent qu’ils peuvent tromper parce qu’ils ont le droit? Ou alors parce qu’ils ont une plus grande libido... ou alors ils sont des porcs? Il faut remettre les choses dans son contexte, tromper fait du mal et ce n’est pas que les hommes qui ont du pouvoir qu’ils le font ! Ok? Maintenant, nous pouvons en discuter !

D’abord nous devons identifier comment savoir si votre partenaire vous tromper? 

-Il est bizarre dans son attitude. C’est a dire qu’il a plus envie des memes choses comment avant, il bloque toutes conversations avec vous... il n’est plus votre nounours. 

-S’il est toujours sur son telephone ! Vous pouvez me croire ! Le telephone est le meilleur allié d’un homme qui trompe. 

-Quand, soudainement, il rentre tard et qu’il sent le parfum d’une femme. Ou qu’il vous dit qu’il a beaucoup travaillé et qu’il veut aller dormir. C’est clair que quelque chose de bizarre ce passe...

Tromper est synonyme d’immaturité, d’égoïsme, de peur et surtout d’insécurité. Désolé de paraitre pour quelqu’un de dure et de froid mais c’est vrai, si ou n’est pas assez fort pour être dans une relation.  

Apres , cette partie est pour les filles, vous devez comprendre qu’un homme qui trompe sa femme et qu’ils vous promets qu’il va la quitter un jour...C’est faux ! Un homme marié sera toujours en relation avec sa femme ! Alors ce n’est pas la peine de perdre votre temps et trouvez vous quelqu’un d’autre ! 

Tiger Woods est un exemple mondial qui nous a montré que l’homme puissant n’avait de limite pour sa soif des femmes, par contre, pour moi je trouve que cela nous montre plus que si on trompe c’est négliger les autres et c’est aussi ce négliger. Il faut faire mieux. Tristan Thompson , l’homme de Khloe Kardashian a trompé sa femme plusieurs fois. Il faut se dire que tromper sa femme est preuve de virilité ... et pour autant c’est tout le contraire. Les hommes ne trompent pas pour avoir du sex mais parce qu’ils ont un problème avec leur ego...ils se sentent incomplets.  

Mais trouver la raison pour laquelle un homme trompe c’est comme trouver une aiguille dans une botte de foin, impossible ! Pour l’éviter, à moins avis, il faut s’éloigner des profils narcissiques ! 

Psychology - Why do men cheat ?

This is a question that often comes back to my mind? Do men think they can deceive because they have the right? Or because they have greater libido ... or are they pigs? You have to put things in context, deceive do wrong, and it's not that men who have power do it! Okay? Now we can discuss it!

First we need to identify how to know if your partner is deceiving you?

-It's weird in his attitude. That is to say, he does not want the same things before, he blocks all conversations with you ... he is no longer your teddy bear.

-If he's still on his phone! You can believe me! The telephone is the best ally of a man who cheats.

-When, suddenly, he comes home late and feels the scent of a woman. Or that he tells you that he has worked hard and wants to go to sleep. It's clear that something weird is happening ...

To deceive is synonymous with immaturity, selfishness, fear and especially insecurity. Sorry to appear for someone hard and cold but it's true, if or is not strong enough to be in a relationship.

After, this part is for girls, you must understand that a man who cheats on his wife and they promise you that he will leave one day ... It's wrong! A married man will always be in touch with his wife! So do not waste your time and find someone else!

Tiger Woods is a global example that showed us that the powerful man had no limit for his thirst for women, however, for me, I find that it shows us more than if we cheat it is to neglect the others and c This is also neglecting. We must do better. Tristan Thompson, Khloe Kardashian's man has cheated on his wife many times. It must be said that deceive his wife is proof of virility ... and for all that is quite the opposite. Men do not deceive to have sex but because they have a problem with their ego ... they feel incomplete.

But finding the reason why a man is cheating is like finding a needle in a haystack, impossible! To avoid it, unless notice, we must move away from narcissistic profiles!

Kevin Ngirimcuti

[wearethegladiators]

*SENDS BACK A THOUSAND CHEF’S KISSES*

Ptn I’m so inspired but I’m so busy like!! Pourquoi je m’inscris à 2 forums en même temps aussi

Anyway have you seen Tom Felton’s latest IG posts because CASSIEL FEELINGS ARE STILL GOING STRONG

 Visual representation of Wynona by the beginning of Incendio:

Also I guess she’d be sort of middle-ground between Sacha and Nathan?? The dragons are her kids yo, she’s literally in a “the more family I lose the more dragons I will have” sort of shit. BUT at the same my girl likes a good fire…. And so dragons…..

Plus I mean it’s obvious she’s never given up on the Rebellion. She did not want to join originally because of the kids, but she hates so goddamn much this government and like?? The Ryders are muggleborns?? She’s angry as fuck rn.

(The fact that she’s siding with the Muggleborn Resistance is proof of that ofc, but it’s also out of opportunity. She can rebel while doing her own thing, that’s good with her atm. Or so she tries to believe)

Mdrrrr nan c’était pas cringy!! En vrai autant je trouve que certains de mes plots étaient invraisemblables autant j’ai pas été choquée par notre manière d’écrire mdrrrr (bon sauf quelques traits d’humour. Ça, je. Hm. Oui.)

GIVE NATHAN SOME SOLID BROMANCE 2K19 Avec le Charlie Hunnam là, Lily dit pas non :siffle:

  Mdrrrr ouais all this pureblood shit is so awkward for her I swear to God. Pretty sure that at one point she showed up in a Sioux outfit and everyone was like “…….. *cricket noises*”

Tbh Emori’s glow-up for the prime thingy is a 100% Wynona showing up to these events (plus they have relatively similar styles au quotidien) YASSS QUEEEEN (still a weird thought yeah mdr) (i thought at some point Luisa would be a good fc for Wyn btw) (and also Indyamarie Jean!! plus she’s like half native american or so) (but your last gifset i mean??)

BON KIERAN IS ON THE LIST

Omg I didn’t think about it (whispering the names before going to sleep) but 100% this is so HER

I mean even though she stopped her terrorist “phase” (IT’S NOT A PHASE MOM) she’s still living by the words of her family. She’s still angry. She’s still about fire. Tbh she’s gonna die in a ring of fire one way or another

SO THE SHEEPS ARE STILL NOT SAFE OK

(mdr Nathan sweetheart btw)

“but they would put her head on a stick so maybe not.” yeah what about trying to avoid that amirite

“did she anger the yaxley family and if so can nathan and her go after rick yaxley like the power couple they are?? just couple things… murder….arson…” well I mean if Rick and Wynona ever sat at the same table to talk about politics…. I don’t think he would really like her…

plus he’s on the list anyway because he hurt Nathan and Nathan is part of The Tribe™ and no one hurts The Tribe™

Mdr can you imagine Wyn literally bringing Rick to Nathan like “woopsie doopsie I think I may have a present for you” :arrow: (MAYBE A SIMPLE TEAMING UP WOULD DO UH) (mdr Rick is a bitch don’t tell me he’s not gonna make girlfriend jokes)

RED. Honestly I thought she’d be dead BUT I actually like to think of her as having survived the shitstorm, being still relatively sane and undyingly loyal to Nathan?? Because that’d be quite a plot twist judging who she is, but it would be interesting to see her as “wiser”, and especially, the ride-or-die lieutenant (ISN’T THAT SUPPOSED TO BE LILY THO OY)

(I mean especially if Red was close to Aron, she’s definitely trying to live up to his memory, so there’s that as well)

Wesh Win is gonna make so much fun of the MacFusty if they didn’t even play the dragons card 

NOW I really think Carmen and Win must have teamed up on some terrorist shit. No wonder the world c o l l a p s e d

(yeah yeah, Nathan-Carmen-Wynona is such a bad idea. Let’s not do it. Never ever. *winkwink*)

I mean they could be a trouple. I wouldn’t be incredibly surprised to learn that Win has hooked up with Carmen once or twice tbh :siffle: (WHY IS EVERYONE HAVING SEX WITH EVERYONE)

And meanwhile

My girl Lily

Anyway. NATHAN EXPELLED WYNONA. No wonder there’s some unresolved angst™ (actually, maybe not so much. Wynona is all about justice and she’s going to respect any decision/”trial”. She’s a “I did what I did and I will face the consequences of it” gal.)

 I read “try yoga hug” and I’m honestly here for it

“I AM going to be 23 and who am i??? i cry at cute animals videos!!! sometimes i forget to eat!!!” This was so relatable it kinda hurt tbh :////

MDR NATHAN AND LILY LAUGHING ABOUT THE SHIT THEY DID IN THE WAR IS A BIG-ASS MOOD, come on why’s everybody so serious :face:

THE MURPHY GIF

Nathan and Lily are gonna have so much fights omg

RICK GETTING INTO LILY’S HEAD????? …. kinda makes sense….

“how is nathan supposed to RELAX and let lily BE when she’s always in so much trouble?????” TROUBLE USUALLY FINDS ME BITCH. True tho, sorry big bro

“ça me fume” ptn Elo t’es si française jpp j’adore

THE REBELLION AND THE MUGGLEBORN RESISTANCE CLASHING WOULD BE SO DRAMATIC OMG I’m here for it

I don’t even think that would be a trigger for Lily tho tbh because active denial™ BUT there definitely would be people calling her on her bullshit (maybe even Fury??? Who sort of created this whole dynamic, or at least pushed her into that direction)

 Gnnn I actually love Fury so much, I’m binge-watching Peaky Blinders rn and I LOVE CILLIAN MURPHY TO DEATH and it just hit me that Fury could be an!! Irish!! Traveler!! THE POTENTIAL. Gypsy magic I’m so so so here for it

(also people probably don’t understand any shit he says so Lily has to translate it all)

(he likes (well, respects) Nathan a lot btw, too bad it’s not réciproque :( probably really likes the Blackbird girl too hihi)

“it’s okay they’ve been busy they just kinda forgot that they’re not JUST the red leader or morrigan or an auderic or a mudblood, they’re also FAMILY” THE TEARS IN MY EYES BITCH THIS IS SO TRUE

They really really really really need to talk it out/hug it out

Lily’s so far deep tho, like even if Nathan calls her out on her bullshit once she’d be like “Idk what you’re talking about, I’m fine, really, SI SI”

BUT she really needs to have this emotional breakdown where she goes like “there HAS TO be a reason why I’m still alive?? I HAVE TO save these people?? My people???”

Omg this moment is 10000% happening when Nathan’s losing his leg

She’d feel so guilty, like she failed to protect him

One thing I’ve always liked about Nathalily’s relationship is how it’s not what it seems like at first glance?? Cause it sounds like Lily is heavily dependent on Nathan’s for protection and Nathan’s needs Lily so much to “protect him emotionally” sort of? And actually Lily needs Nathan so fucking much to stay sane/ALIVE and Nathan needs his baby sister to save his drunken/reckless ass every once in a while :’))) IN MY MIND IT’S WAY CLEARER BUT ANYWAY

FEELS

She’d be there in a SECOND as soon as she hears about Nathan getting hurt

Idk why I have the scene of the Weasley twins after George lost his ear in mind

That’s definitely round 2 of “you’re my family too, I lost sight of that” and “I’M SO PROUD OF YOU BITCH” (mdr the “Nathan doesn’t cry but I sure do” part was so relatable mdrrrr)

Anyway drama drama drama feels feels feels!!

Also I actually don’t want Nathan to lose his leg, he’s already in emotional pain yo :’(((((

Can we talk about how Nathan and Wynona used to be sex-symbols/rock stars/badass athletes and now they’re both CRIPPLED

(I’m sorry but Nathan losing a leg also quite inevitably means Wynona being back into the picture)

Maybe he’s been sent to the Blackbird ranch for recovery :’)))

Makes me think that Lily is actually still… “whole”??? Like she’s got scars and shit but in spite of everything she’s been through she’s physically still ok? (besides the Occlumens thingy)

Interesting how the weaker one is still fully in capacity hé

I mean she’s got that black magic wound thing…. WAIT

WHAT IF IT’S ACTUALLY A CURSE

I always thought this was a progressive thing and this would eventually kill her

Have I already considered having Lily die in the middle of the night because of this when she survived so much shit?? YES YOU’RE NOT THE ONLY ONE CAPABLE OF THIS

But my girl deserves better so

Anyway what if it’s a curse actually related to death and this is why she attracts/is attracted to death so much???? Deatheaters may have done that to make fun of her survivor/Banshee vibes but that would make sense?? (i don’t really appreciate death eaters’ humor yo)

What’s this quote again

“Her presence always signed imminent death, torture, betrayal, or some other horror”

I’m having I D E A S I need to sort this out

 ‘est-ce que lily va se faire soulever un jour’ MDRRRRR didn’t have a drink but it was TOUT COMME ptn Lily’s MY DAUGHTER j’étais pas prête DU TOUT

En vrai interesting because they’re all screwing each other but Lily… I mean she was supposed to hook up with this one guy on Excidium but besides that?? I honestly don’t think she’s ever been with anyone else since the beginning of the war??

Mdr she had so many boyfriends in Hogwarts and now look at her

But she doesn’t have time for that? And she doesn’t want it? And she wouldn’t be able to take it if she lost that other person too?

ACTUALLY that would do her so much good but she just can’t see that

MAYBE FURY??

Mdr sorry pls let her have a nice functional guy

(funny how Wynona’s quite openly bisexual when coming from a very close-minded family and I think of Lily and Aron as strictly straight when they come from a much more tolerant background?? Idk)

(anyway yeah the Evans were Christians but at least for the parents it was this whole “RELIGION IS ABOUT LOVE, ALL TYPES OF LOVE” vibe)

(anyway je diverge)

Also she’s still pretty much traumatized by the fact that she lost her first love and learnt about it… almost a year later mdr

She carried the earrings he gave her for SO LONG, she probably lost it by now but still

It’s like the original trauma of the war

(sometimes I think about the toxic aspects of Mily’s relationship but today is not the day)

“do you think nathan will ever see that lily is not a kid anymore or will he always be like “oh yes my little sister she’s like… 15….” even when they’re both 30…40…50 years old lmao” MDR BIG ASS MOOD I LOVE THEM

Wait Edan’s ooooold

Sacha’s breaking my heart pls tell him I’m sending a hug

“SORRY I’M JUST A DRAGON RIDER” WESH

“SORRY I JUST HAVE VOICES IN MY HEAD” :arrow:

Lily probably felt this so much when she first arrived to the Rebellion, she was still a kid and Nathan was overprotective and she wasn’t a great fighter and no one could understand how she had made it??

Just thinking how the rebellion may have tried somehow to exploit Lily’s banshee capacities and how Nathan would not appreciate it :’) but she’d thought it was kind of her only weapon so

Idk but yeah banshee!Lily is canon I guess

Tbh I LIVE for the idea of characters never meeting in Hogwarts even though they were so close?? Idk like Wynona/Nathan, even Sacha/Lily

Or maybe she’d know him vaguely

Lily was quite known as the gnome that will kick anyone’s asses for calling someone a Mudblood so maybe something like that, but not a full-fledged friendship?? Or once again they almost killed each other in Quidditch you know, shit happens

That’d be fun tho if they recognized each other

SACHA AS THE THERAPIST AND PEOPLE THROWING THINGS AT HIM I’M :’((((( we don’t deserve him do we

Meanwhile Wynona

·         lmao no one: 

·         literally no one:

·         wynona: hey you want to FIGHT bITCH?

WILLY

Mdrrrr bah Kira avait quand même mis une tarte à Lily (ou l’avait poussé dans un mur aussi je crois) et il était devenu son psy LE CHAOS

(bon et Milo essayait de noyer Lily/lui faisait exploser des bouteilles de bière sur la tête/faisait des rape jokes aussi des fois)

(NOT TODAY ON A DIT)

Anyway: chaotic energy is the least we can say mdrrrr

Mdr I’m here for a weekend d’escapade tbh (NO JOHN DO involved tho)

Mdr Nathan really was a piece of shit on Les AM sometimes :’) can Lily tell him already how she admires that he became a better man at war

I mean she kind of feels it you know

NATHAN AND WYNONA CASUALLY DISCUSSING TRAUMA IS *chef’s kiss* (mdr sorry but this whole part about emo!Nathan made me laugh so much mdrrrr)

They’re definitely gonna fight on their first meeting and I’m here for it

I mean Wyn is NOT hard to trigger and she’d be so mad she may let slip some personal stuff like “SO YOU’RE THE ONE NEVER SHOWING UP TO LITTLE PURIES PARTIES”

Also it’s a fun dynamic bc that means they may know their whole names and faces and sort of family backgrounds when the Rebellion was still all about anonymity at that time?? Mdr she’d feel so threatened she’d probably think “I won’t hesitate to murder this mofo if he becomes creepy yo” but then he’s hot

Wynona leaving him kicking his ass without giving the info

Wynona showing up to the next rebellion meeting without him being aware, grumpy face bras croisés *sigh*

I don’t why I’ve always felt a Dorne vibe with both the Blackbirds and the Shafiqs but ANYWAY they could get along well

Too bad Wyn just wants lands for her kids and dragons

PLOT TWIST: THE WEDDING WE WERE TALKING ABOUT ACTUALLY IS THAT OF WYN AND NATHAN

Mdr now I have that in mind THANKS ELO

I mean…. That we could be a temporary thingy…. We’re trying to heal each other we love each other… until we realize we’re burning each other up too much…. *falls* *dies ensouvelie sous les feels*

Mdr the pureblood reactions

Btw vu que je rame sur mon chapitre JE SPOILE mais en gros je voulais finir sur une base de 2 mangemorts qui discutent de la newbie Blackbird et qui finissent par lâcher un « faudrait peut-être redessiner les plans de table. Manquerait plus qu’elle s’accoquine avec l’Auderic » MDRRRR

Sorry

YDRIA YDRIA

I mean she needs to come to the wedding

PLOT TWIST²: the “bad guys” (Ydria, the Americans) are actually HELPING the rebellion (they’re still scary people tho I’m not sure we should want that)

they’re all originally coming for the wedding

(but!! Native American magic!! Sorry)

PTN NATHAN AND WOLVES JSUIS MORTE PARCE QUE

There are wolves on the Blackbird ranch, we don’t know why they’re from BUT THEY’RE HERE

WYNONA NOT KNOWING AND PROUDLY SHOWING THEM TO NATHAN

(or if they’re still en froid just mentioning it casually thinking it’ll make him happy)

Aron found a dog at some point and it literally ended up being his last true friend/source of joy and this dog MAY VERY WELL HAVE LOOKED LIKE A WOLF

This dog may be following Lily everywhere now?? (Or did she let him go because this was too painful)

Aron had also adopted a kid btw mdr

A kid Lily is now raising :’) Mom!Lily may be rising in the end

ANYWAY THE FEELS FEELS FEELS

Wynona showing up to the battlefields with 2 dragons and Nathan with wolves?? Has anyone ever made fun of our crippled huh????

(I’m here for a pureblood recap thingy bc I actually don’t know enough about them to write about it hihihi)

(merci pour la chrono btw!!!!!)

 just seen one of the gifsets you’ve reblogged and is Nathan ever gonna call out Lily on a “THE MORRIGAN? IT’S A STORY FROM YOUR CHILDHOOD” basis??

idk if you can tell but I stopped the 100 for a while, went back to it and I’m having loads of Blake siblings feels zhgfshfslq

I’m also having Nathange feels now. Why can’t Nathan have simple relationships with women

PTN IF RICK IS RESPONSIBLE FOR NATHAN’S LEG I know at least 2 women that will come for him :face: :face: :face:

CARMEN GET IN LOSER you’re also part of the Nathan defense squad amirite

the Morrigan, a child ripper and une ex-tueuse à gages come knocking to your door

PTN BACK TO WYNONA AND SACHA AND GIVING EACH OTHER DRAGONS

Wynona raised one of her dragons. He’s a scary dragon. He’s a threatening dragon. What if the dragon raised by Sacha is goofy af and keeps on making “”jokes”” and Wynona’s always looking at him like “……..” but she secretly loves him/her to death just like Sacha arfhdhsfhqfcq and also she can ride him/her!!!!!

AND WHAT IF THE DRAGON WYN HAS GIVEN TO SACHA IS SO OVERPROTECTIVE

LIKE A MOTHER

And Sacha will never be at peace anymore because this dragon is always watching his ass :’) through his window while he’s sleeping :’) through the ranch while he’s working :’)

CAN MY HEART TAKE ANYMORE FEELS AND CAN THEY BE ABOUT DRAGONS

(I also appreciate Nathan and Wyn together A LOT because they’re both such n e r d s like omg some of the discussions they must be having)

Just saying I’m very excited for Nathan’s story hihihihi!!!!!! It’s been so long since I haven’t read you btw!!!

Alice’s death :’(((

NATHAN ALREADY LOST HIS LEG???? I’m not ready I don’t want this bb :( :(

Ptn je regarde plus TWD depuis des années mais je viens de voir une vidéo sur Carol and NOW I NEED une ex-Auror trop badass, genre Maugrey Fol Œil en féminin, dans la résistance et/ou la rébellion

Et Rosita qui a un bb !! PTN MAINTENANT J’IMAGINE WYN ENCEINTE MAIS

Ecoutez j’ai un train à 7h demain il me semble plus raisonnable d’aller se coucher c’en est trop pour mon cœur

Je sais pas si j’ai dit quoi que ce soit de constructif dans ce post mais yallah bye homies <3

[retexlhrdn]

4 pièces de Bel

      Notations à propos de 4 pièces de Jérôme Bel : Hora, 6/10/2017 ; Gala 15/10/17 ; The Show Must Go On, Bobigny 14/12 ; Pichet Klunchum, 16/11/17. Mai 2018, Athènes.

       L’amalgame commun entre le normal et le nombreux, le fonctionnel et la réussite, la santé, le beau ; entretenu par les capacités et intérêts idéologico-médiatiques qu’ont les tenants du système économique dominant à impulser une vision normative de l’individu et de la diversité sociale, humaine, - vision calibrée sur un idéal porteur d’activités (force de travail et capacité de consommation) –, aux porteurs même de cette diversité; amalgame promu en corps, images et discours via la télévision, publicités et spectacles; où de normaux avatars, tout en nous représentant aussi implicitement qu’évidement, nous dessinent un horizon que nous sommes invités à assimiler comme le désirable, la bonne volonté d’une synthèse de moyennes: adulte compris dans les tranches optimales de quotient intellectuel, masse corporelle, et ayant usage modéré de tous ses membres et sens, tonus, etc. Qu’il le veuille, à condition. Aux pourtours de ce capable calmant se frotteraient ses marges, communautés en pointillés, souvent rabattues aux problèmes spécifiques de leurs conditions marginales, et aussi choquantes dans leurs excès de différences que minorées par sous représentations. Et nous nous cherchons parmi ces corps en images et discours... entre ces on dit de nous médiatiques, qui entrent chez nous pour se loger dans nos conceptions de nous et miroitent dans ceux qu’endosse chacun de nous au gré du fragmentarium quotidien… celui avec lequel nous tous, mais comme seul pour tous, nous nous sentons un devoir de coïncider (a rejoindre, comme s’il nous attendait avec ses autres l’ayant déjà atteint), et que nous envoyons chavirer sur la mer de ce vers quoi – en pluriels je de nous -, nous tendons… envers nos zèles, positions, traditions, réactions; entre les nous staticisés de nos efforts de classements catégoriels et nos ambitions constructives de nous concertés; le brouillage destructeur du nous de la réplication égotique, et celui informe enfin de notre absence à tous, de nous… Dans le travail de ces tentatives qui échouent chacune au grand notre, de je-nous-vous-ils délié, nous constituons notre expérience plurielle de nous. Pourquoi le théâtre peut représenter cette expérience?

        Types, arch- et stéréotypes, catégorie sociale, caractère romancé… Un fauteuil roulant, un moignon de jambe, deux noirs… le Mutilé, l’Enfant, la Vieille, le Grand, l’Ultramarine, l’Excentrique, le Nain, le Trisomique… Un débile, un timide, une pimbêche, une peste, une vieille peau, une baltringue… Un préadolescent nonchalant, une vieille grasse appliquée… Un chromosome de plus, une jambe de moins, des origines d’outremer, des décennies d’écart…    Puis de la vieille à  l’enfant, du paraplégique en fauteuil au saut  ambitieux de l’étoile… au fur et à mesure se dévoile la timidité espiègle de l’enfant sous les feux de la rampe, la compétitivité hautaine d’une étoile ratée, la fatale qui touchant à l’obscène tourne au ridicule, didactisme au sourire archaïque du gymnaste, idiosyncrasies  domestique d’un travesti en robe de chambre, sensualité tranquille du piétiné sur place d’une amatrice de merengue dionysienne d’origines ultramarine… Un enfant maîtrise, un vieux apprend, une étoile rate, une diva trisomique est adulée…

      Dans les trois pièces Hora, Gala, et The Show Must Go On, - qui peuvent - être considérées comme des théâtralisations dansées d’individuations collectives -, les performeurs sont choisis pour leurs différences entre eux et par rapport au public. Tandis que les acteurs majoritairement trisomiques d’Hora se présentent face à un public dit ayant accès à la culture, les deux dernières troupes forment  des quasi échantillonnages de diversité sociale par leurs différences phénotypiques (génétiques, traumatiques) et culturelles (générationnelles, géographiques…) de ses membres. La discrimination positive impliquée par ces choix est aujourd’hui assimilée comme stratégie publicitaire en photo de mode et recrutement de sociétés de services; cependant dans ce théâtre il n’est pas demandé à des différences réifiées d’opérer les mêmes gestes en un temps donné, ni de personnifier ces traits immédiats qui parfois les marginalisent… mais à des individus complets dont les conditions physiques entraînent des rythmes singuliers et gestuelles associées (que le vieux, que son vieillissement ralentie, diffuse de la lenteur; que l’enfant distrait en joue…), de valoriser leurs différences relatives en actant leurs rôles de danseurs amateurs aux projets spécifiques, dont la performance dansée n’est qu’un moment. Ce qui les réunis, en même temps que ce qui les distingue, est le jeu complet de leur volonté de danser qui comprend la conception de leurs chorégraphie, sa performance, le comportement de groupe, les pauses, attentes et autres passivités visibles; dans Hora le regard immobile, la prise de parole.

        Il y a peu, si ce n’est pas de chorégraphies au sens de mouvement collectif concerté, assumé, exposé. L’organisation collective est théâtrale, mettant en scènes des volontés de danser. Les moments dansés paraissent pulsions individuelles, théâtralisation d’un partage didactique de compétences (transmission dans la forme du cours tous niveaux ou tour a tour un des membres conduit le groupe qui suit comme il peut), ou interprétations variables d’une règle donnée: injonctions musicales, directives du chorégraphe explicitée par une voix intermédiaire: regarder une minute le public immobile en silence, mourir doucement avec la voix qui le chantant, l’ordonnerait pour eux.

       Aucune coïncidence ne pourrait réunir les interprètes de Gala: la pièce est performance scénique d’une rencontre actuelle d’événements dansants hétérogènes rapportés. Des environnements simultanés sont suggérés par les vêtures (accessoires de danse et prolongation du corps, marqueurs sociaux) et les comportements de chaque interprète, qui, comme extraits du milieu de leurs pratiques, viennent sur ce plateau tantôt la continuer tantôt la bafouer pour d’autres codes… sans fiction d’une territorialisation homogène, sans décor; et portant sur eux, avec eux, le halos des lieux contrastés ou leurs expériences de danses ont eu lieu: les chambres, salles de fêtes publiques, concours, temps de loisirs… On imagine les camarades bluffés applaudissant dans le préau après un défi de recréation relevé, les habitues de derniers rangs des cours tous niveaux de clubs de vacances, le miroir devant lequel le danseur solitaire déploie ses  idiosyncrasies domestiques, les applaudissements de l’entourage depuis les gradins qui réconfortent d’un jury resté sévère, les premiers pas sur le parquet luisant de salle de bal… Je recherche un partenaire danseur pour soirées et après-midi dansantes. Cœur à prendre seulement... et la dépense aveugle dans l’ivresse des boîtes de nuit, en fin de semaine…

      Socialisation immédiate de leurs rapports à la danse (et peut-être à la société, au monde): appartenance à une communauté, loisirs compétitifs, compétences sociales extra utilitaires, dépense.

        L’occupation quasi constante de la troupe Hora rappelle celle d’une session de crew de breakdance. Depuis l’arc de cercle où les acteurs en attente font un public intime, en miroir du grand obscure, s’effectue un jeu spontanée de transgressions comportementales. Les postures et attitudes en regard desquelles les chorégraphies conçus par les acteurs proposent une gestuelle  conventionnelle: torsions de mains, mouvements compulsifs au repos... anormaux involontaires rythmés… secousses musculaires, contorsions, chorée, agitation… épaules basses et bâillement du laisser-aller, étalage sur trois chaises... mouvements… et encouragement par percussion manuelles de tout l’arc au milieu duquel se détache l’akinésie d’un seul aux tendances a immobilistes… Ce qui tient de l’agitation involontaire et parasite fait la richesse de la troupe.

        Que devient une personne reconnue handicapée, aux déficiences corporelles ou cognitives visibles, dont la préoccupation n’est pas la compensation de cette déficience mais de se représenter participant en performant ses inventions? Si l’on choisis de penser avec des situations de handicap plutôt que par des individus intrinsèquement handicapés, lorsque l’unijambiste lâche sa béquille par désir de se peloter le sein pendant que le cul de jatte en fauteuil roulant tire la langue en fixant les fesses agitées d’une femme à quatre patte (a ses pieds), ou encore que, dernière sur scène après qu’un à un les interprètes du canon l’aient quittée, une paraplégique en fauteuil roulant plongée dans l’écoute d’une musique pour soi, en offre une bribe en lançant Babe, i’m gonna live forever… alors, comme la cour des miracles aurait été le lieu où les pseudos handicapés de Paris - borgnesses, aveugles et éclopés, jambes de bois, courbes, pieds torses et œil louche - se délestaient la nuit tombée des accessoires et attributs avec quoi ils contrefaisaient leurs déficiences de jour; quand ces interprètes aux corps mutilés ou déficients sont mis en situation d’aises, se mouvant sans obstacles ni hontes, une tromperie semble tomber. Mais à la différence des mendiants qui  seraient responsables de déposer les accessoires de leurs ruses, ce sont de situations handicapantes, dont la société est en partie responsable, que sur cette scène les interprètes déconstruisent, pour un public souvent ignorant… et avec elles les représentations stigmatisantes d’un corps de douleur, vulnérable seulement, associé à une misère, maladie ou morbidité, dont la voie salutaire serait la guérison, le masquage maximal ou la prise en charge discrète par la population normale, via miracles ou charités...

       Les caractères confrontent leurs rapports à la danse, à la société, au monde en partageant leurs passions singulières avec celle de leurs camarades. Chocs, conflits, rencontre, séduction, sympathies… concurrences (compétitions implicites), transmission, admiration, inintérêt, incapacités, indifférence,  solidarité… Les binômes hétéroclites en tailles, corpulences et habiletés sont accouplés désaccordés. Quand du breakdance succède à la salsa, l’enfant qui essayait les pas et remuait le bassin fébrilement, nonchalant par désintérêt… la salsa que mène l’ultramarine, s’ennuie de la valse ; son tour venu réalise un moon walk quasi virtuose. Souplesse et rigidité. Frigidité et désintérêt. Passion et ennui.

       Au moment où tous les amateurs sur scène improvisent chacun des mouvements en solitaire, chacun son projet, une sensibilité obscure: l’un rampe, se traînent par terre, – se paralysent à mi-galipette… l’autre se tord. Certains cherchent en électrons libres dans les évolutions qui les entourent ou aveugles au reste, obsédés… leurs trajectoires s’entrelacent...

       Dans Gala chaque amateur spécialise connaît une chorégraphie qui représente une danse codifiée ou spontanée, et prend le rôle d’animateur, meneur (n’attendant généralement pas sa suite qui le suit dans la difficulté, pas à pas). Puis suiveur, observateur. Meneurs, suiveurs, binômes, chorus. Canons. Le groupe suit les allez et retours, déplacements des suiveurs sur la scène – bancs de poissons allant d’un bord à l’autre. La salle tangue, leurs couleurs bariolées. Des carambolages, des amateurs immobiles à défaut de pouvoir suivre. Les binômes sont hétéroclites, discordants. Les amateurs en bancs sont menés par un élu temporaire, sorti de parmi eux jusqu’au devant d’eux.

        Musique, histoire…

         Le déroulement linéaire est scindé en succession de tubes de l’industrie du disque, majoritairement pop. La musique est prête à emportée, empruntée tel quel. L’enchaînement rudimentaire, sans transition par l’art du remix, fait penser à une boom sans DJ, pots pourris des soirées musicales ou la musique doit plaire a tous sans efforts (Dans Gala un portant de programme annonce BALLET, VALSE… par des feuilles tournées au fur et à mesure… dans Hora chaque acteur aurait choisi un tube et conçu avec la chorégraphie qu’il performe: danseurs pensant), comme en  club de vacances, loisirs, fêtes de fin d’années, de villages…  avec longues pauses, silences interstitiels qui rompaient (date) l’immersion dans l’ambiance musicale…

       Le choix de musiques communes dans la société produit un partage d’expérience immédiat entre le public et les acteurs. L’industrie du disque et l’idéologie mélodramatique. Volonté du chorégraphe de réinterprétation lente de musiques brèves.

         Du désuet des trois playlists : les morceaux choisis, tubes années 80 ou d’il y a 10 ans, sont comme les pages d’un magazine daté... ces chansons qui transgressent les ages et générations sont écoutées par des individus qui dérangent l’appréhension des âges, que ce soit par une aberration génétique qui remette en cause l’âge standard de développement, ou la situation d’un enfant qui maîtrise, d’un vieillard apprenant...        

       Dépassé et juvénilisation (néoténie, pédomorphose), histoire… Ne pas être dans le mouvement, à la pointe de la mode, de l’histoire… nostalgies d’adultes à la culture démodée ou adolescents retardés, manque d’intuition quand a l’éphémère de son temps…  mais le tube persiste à exister dans la nostalgie des générations l’ayant intégré a leurs expériences biographiques et par les retardataires, démodé non complexé. le tube pour pré-adolescent d’il y 10 ans apprécié aujourd’hui par l’adulte: les personnes de cette génération n’écoutent plus ce morceau là (conçu pour la tranche même tranche d'âge de la génération passée)... ou: les personnes de ton âge n’écoutent pas la chanson produite pour la tranche d’âge qui la précède.  Jeune adulte aujourd’hui, apprécier et danser sur cette musique de lolita que trois générations d’adolescents passés ont déjà consomme…  Tu as débordé la tranche d’âge pour laquelle à été produite cette musique... et son temps de consommation bien que périmé, ressuscite à travers ton enthousiasme anachronique.  

       Connaître en retard, apprécier après les autres le daté d’il y a peu, juste un peu tard: quelques années de décalages insupportables, que ce soit dans le développement de l’individu ou de la génération entière. L’appropriation d’une vieillerie pour préadolescents est plus commune et acceptée avec les idées, les produits du marché comme les morceaux de pop, la mode vestimentaire, sont généralement renouvelés de manière à ne pas laisser leur appréciation durer plus de temps que rentable...

       Comment renouveler le sens d’une chanson rabattue par les deux dernières générations,  des millions, à en être devenue inécoutable, dans les clubs, fêtes publiques et privées depuis 30 ans? The show must go on qui reprend un principe du lyrical hiphop tente de donner aux paroles pop un pouvoir d’action, les danseurs actent les refrains et bribes de paroles fameuses comme si elles étaient des injonctions: ainsi come-t-ils together à by now… ne bougent qu’à let’s dance et trumble like flowers… et lorsqu’ils move ce qui leur plaît une sensualité s’établit entre celle qui à quatre pattes bouge ses fesses pour le public et celui qui la regardant de son fauteuil roulant, tire la langue. La troupe meurent doucement avec la musique… la mort douce sur scène (proche d’un endormissement) en même temps que les paroles I felt he foud my letters, red each one aloud… La danse et la mort, pathologique de la manie dansante de Saint-Guy... pour finalement continuer le show…

       Le personnage éclairagiste, ingénieur du son, danseur, chef d’orchestre, dit DJ… est la clef de The show must go on: démiurge à petit budget qui ouvre par une genèse de collage musicaux… plonge le public dans le noir sans sons à écouter et enchaîne les faux départs en se jouant des différentes lumières. Il éclaire la scène puis la salle en éteignant la scène, recommence, puis lui-même. Son ingénierie, sa technologie. Une légèreté de moyens. C’est régisseur et un DJ archaïque: un passeur de morceaux, comme préadolescents (90’s) nous alimentions nos booms avec la douzaine de single que l'un de nous avait amené dans une pochette. Il les insère lentement dans la stéréo, ménageant un quasi silence dans le temps de manœuvre. Mélange paradoxal de toute puissance (contrôle de la lumière et du son, des danseurs) et d’archaïsme technique; sa prise de pouvoir conjointe à son manque de moyen, son amateurisme et polyvalence complète… en refusant à voir et entendre au public ou déséquilibrant le rapport scène/public provoque des réactions sensibles, audibles du public: frappement de pieds, sifflements, briquets allumés, chants...

           1-      Deux chorégraphies d’après des musiques pop dont les paroles chantent l’aliénation a l’argent. L’une (Hora) s’affaire en divers points de la scène, paumes jointe vers le ciel, a recueillir l’argent chu à la propagation du refrain money money money suivi du bruit métallique d’une pluie de pièces, chanson pitoyable de travailleuse pauvre fantasmant la rencontre d’un homme riche. Elle se caresse, tourne, toujours affairée dans cette collecte fictive, comme travaillant dur à recevoir l’argent tombé du ciel. L’autre (The Show must go on) est le solo de l’éclairagiste ayant fait s’immobiliser puis fuir par sa venue et mise en danse, les femmes a la chorégraphie maniérée… prolonge en soliste à la lumière zenithale sur une chanson contant la prostitution de la femme dans private dancer: you keep your mind on the money, your eyes on the wall… i’m your private dancer, a dancer for money, any old song would do.

           2-    Individuellement ou par groupe, des acteurs immobiles et silencieux tiennent des smartphones et portent des casques avec lesquels ils écoutent sans partage des musiques différentes, que le public ne peut deviner qu’au moment ou ils débutent un canon de bribes de paroles chantées, qui révèle ce qu’ils écoutent et se rythment par écarts et répétitions en produisant une dynamique collective d’écouteurs isolés. Neuf partagent leurs oreillettes en écoutant a la même source et chantent en chœur, puis canon; la musique entendue solidaire - le mystère du morceau, la bribe qui est répétée à voix haute. De l’impromptu chorégraphié.

           3-    La favorite d’Hora, Julia Hausermann, boule d’énergie frangée,  imite une star tout en travaillant son flirt, tantôt fan tantôt amoureuse… au devant de la scène elle s’identifie à  Michael Jackson le temps d’une danse sur un de ses morceaux (Dirty Diana?) en imitant ses son style sévère sans sourire, ses pulsations du pelvis avec empoignement de son sexe, portant une mitaine de cuir à clou pointus de biker comme réminiscence du gant de cristal de l’idole; tandis qu’en retrait dans l’arc de cercle, elle joue l’amoureuse espiègle de son gros homologue barbu à bonnet, dont le pantalon tombe, et qui assis sur sa chaise jambes écartées (manspreading), balance son bassin en tics d’impatiences. Après que lui ai enlevé son hoodie zippé en découvrant son tee shirt orné d’un portrait de chef amérindien à coiffe de plumes occupant tout son buste… les bras croisés appuyés contre le relief de son ventre rond, comme un gangster… elle enfile son hoodie à capuche, mimant sa chorégraphie dans son dos lorsque son tour vient de danser, le valide au public en le pointant...  pendant que lui se saisi de sa chaise comme un rockeur près à la casser. lorsque dans un élan il se saisit de sa chaise, elle tout en restant sur la sienne, y substitue la bouteille. Le couple s’ouvre en trio avec le petit et mince introverti à lunettes, dans sa casquette enfoncée; qui n’aime pas les objets.

          4-   Il est demandé aux acteurs de regarder le public sans bouger pendant une minute: le public fait connaissance avec eux en distinguant leurs différentes interprétations de la minute, du silence, de l’immobilité, du regard. La minute, certains l’oublient, d’autres ne la supportent pas. Soutenir un regard, dans un face à face ritualise. Quelle information tirer d’un regard? Descriptible comment ? Quelles sensations tirer d’une succession de regards individuels, solitaires (chacun, les uns après les autres) – face à une multitude de regards, ceux dans la pénombre du public. Ceux sous la lumière des projecteurs des acteurs.