#classe politique française
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stephanemortimore · 6 months ago
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Lettre ouverte aux crabes.
Cher vous tous, Pardonnez-moi par avance ma liberté de ton et de langage que je vais employer à votre endroit mais il me semble que parfois le citoyen que vous avez la prétention de diriger, investit de votre certitude d’appartenir à une élite, doit vous rappeler à vos obligations. Il semblerait pourtant que la seule obligation de la classe politique française soit de nous faire rire, mais…
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lebibliocosme · 1 year ago
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La ville au plafond de verre
Titre : La ville au plafond de verre Auteur/Autrice : Romain Delplancq Éditeur : HSN Date de publication : 2023 (novembre) Synopsis : Korost bouillonne. Dans la capitale économique de l’ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés de guerre et de réfugiés. La cité crépite de tension entre ses…
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helshades · 2 years ago
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lire1x · 4 months ago
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Les vents ovales: T1. Yveline de Horne, Mermilliod et Tripp
Restons en France ! Aujourd’hui, ma suggestion littéraire t’emmène dans le sud-ouest, où l’accent chantant célèbre la chocolatine, même si nous savons tous qu’il s’agit plutôt d’une couque au chocolat. Changement de format aussi puisque je te propose une bande dessinée. Publiée chez Dupuis en mai dernier, elle marque le début d’une trilogie intitulée « Vents ovales ». N’hésite pas à te procurer…
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girafeduvexin · 4 months ago
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Peut-être qu'on est tous dans le coma depuis 2017, on sait pas. Et on va se réveiller demain en pleine primaire de la de la droite, on va rien comprendre.
Et si Juppé avait gagné la primaire, est-ce que Macron serait président aujourd'hui ? Et si le PS avait réellement soutenu Hamon, et si Valls et Hollande ne l'avaient pas immédiatement trahi ?
Ou peut-être que la France est dans une hallucination collective depuis 2012. On est toujours sous Sarkozy. Et si Hollande, après son élection, avait appliqué un vrai programme de gauche, s'il ne s'était pas trahi lui-même ? Et si la droite ne s'était pas déchirée pendant cinq ans ? Et si la gauche avait réussi à s'unir ?
On en serait où, aujourd'hui ?
Ce qui me rend folle avec Macron, c'est qu'en 2017, tous ses adversaires, sur tout le spectre politique, disaient "C'est un opportuniste ! Il n'a pas de programme ! Il est inconscient !" et c'était vrai ! Et il a quand même été élu.
Mais en même temps, si ça avait pas été lui, ça aurait été qui, François Fillon ? C'était foutu d'avance.
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frenchlitclub · 6 months ago
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Un peu de contexte historique qui peut être utile pour la lecture du Comte de Monte-Cristo!
Contexte historique et social de l'époque 
 "Le Comte de Monte-Cristo" se déroule au début du XIXe siècle, une période turbulente marquée par des bouleversements sociaux et politiques en France et en Europe. 
 1. La chute de Napoléon Bonaparte et la Restauration : L'histoire commence en 1815, peu de temps après la chute de Napoléon Bonaparte lors de la bataille de Waterloo. Après cette défaite, la France est placée sous la Restauration, une période caractérisée par le retour de la monarchie des Bourbons au pouvoir avec Louis XVIII sur le trône. Cette période a été marquée par des tentatives de restaurer l'ancien régime, ce qui a entraîné des tensions sociales et politiques. 
 2. Les intrigues politiques et les complots : Durant la Restauration, les intrigues politiques étaient monnaie courante. Les rivalités entre différentes factions et les complots pour renverser le gouvernement étaient omniprésents. C'est dans ce contexte que l'intrigue de "Le Comte de Monte-Cristo" se développe, avec des personnages qui manipulent les événements politiques pour servir leurs intérêts personnels. 
 3. La montée de la bourgeoisie et les inégalités sociales : La Révolution française et les guerres napoléoniennes ont bouleversé l'ordre social traditionnel en France. La bourgeoisie, qui était auparavant exclue du pouvoir politique et social, a gagné en influence et en richesse. Cela a créé des tensions entre les différentes classes sociales, avec une élite aristocratique qui tentait souvent de maintenir ses privilèges et sa suprématie. 
Source (spoilers sur le livre à cette page, attention si vous lisez +)
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thebusylilbee · 4 months ago
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d���Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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aurevoirmonty · 8 months ago
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Le Très Respecté Piotr Tolstoï : la France est gouvernée par des « pervers » homosexuels.
Piotr tolstoï est tellement excellent, que chacune de ses déclarations mérite un article.
Le gouvernement français ?
« Un ramassis de pervers » en faisant allusion aux homosexuels qui contrôlent désormais la France, ou ce qu’il en reste.
« Décadent »: un proche de Vladimir Poutine vise Gabriel Attal avec des propos homophobes pic.twitter.com/J887lU7ZeU — BFMTV (@BFMTV) March 21, 2024
J’échange la totalité de la classe politique française contre Piotr.
La Russie mène une guerre sainte contre l’empire du mensonge.
Il n’y a pas d’argument contre cette réalité.
La caste au pouvoir est si malfaisante, si objectivement inspirée par le mal, déterminée à tout détruire et avilir, qu’à part les boomers, personne ne veut la suivre dans ses projets de guerre démoniaques.
C’est une des raisons de la haine intense qu’éprouve la clique au pouvoir à Paris pour la Russie : elle sait que des millions de gens en France souhaitent la victoire de la Russie, et même, si c’était possible, l’invasion de la France par l’armée russe pour la nettoyer du haut en bas. C’est pour ça que ces gens deviennent hystériques à propos des « complotistes » et des « collabos », tout en parlant de « 1938 ». Ils se savent en minorité, seulement maintenus au pouvoir par les États-Unis et l’OTAN, leur bras armé.
Qui ne voudrait pas que l’armée russe atteigne Paris pour tout purger par le fer et le feu ? Ce ne serait pas les volontaires qui manqueraient pour former des escadrons de la mort.
Si ce n’est par voie de terre, cette libération peut partiellement intervenir par la voie des airs avec les missiles hypersoniques de la grande Russie.
Ce n’est pas dans les plans de la Russie à ce stade, mais une guerre produit des revirements imprévisibles. Le Tsar ne prévoyait pas non plus en 1811 d’être à Paris en 1814.
Mais c’est surtout nécessaire à ce stade.
Je pense qu’il faut un comité de libération implanté à Moscou, disposant d’une radio en français, qui travaille dans le sens de la purification du territoire français de tous les traîtres, ennemis du peuple et autres éléments antisociaux irréformables, pas même éligibles pour le camp de travail.
Soutenir l’armée russe, c’est soutenir la justice historique.
Démocratie Participative
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ekman · 6 months ago
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La solution est pourtant là, devant leurs yeux, mais la question reste pendante : la Nouvelle-Calédonie française peut-elle redevenir la Kanakie d’il y a trois cents ans, ouverte aux appétits chinois, aux promesses azerbaïdjanaises et aux visées anglo-saxonnes ? Doit-on laisser cet espace et le domaine maritime qui lui est attaché aux mains de prédateurs forts d’arguments et de moyens sérieux pour séduire les bougres alcoolisés, les délinquants armés et autres criminels descendants du peuple premier ? “Non !”, crie-t-on à l’Élysée, même si le marché du nickel s’est esquinté le profil ces derniers temps et que la dernière fiesta son et lumière des autochtones coûtera, une fois encore, quelques centaines de millions aux Français – qui s’en foutent, comme à l’accoutumée.
Comment parvenir à convaincre pacifiquement les Kanaks que les Blancs sont leurs amis de toujours et pour toujours, que la République – mère nourricière autant que bonne fille – leur a apporté l’hygiène, la santé, l’instruction, le développement ou, à défaut, le RSA ? Le problème, nous le savons bien, c’est que ces fausses promesses n’ont produit que des désillusions. D’abord parce qu’il y a une question de logiciel racial contigu aux idées de développement et de civilisation, ensuite parce que les Européens présents sur l’île, qu’ils aient fait souche depuis longtemps ou qu’ils y séjournent depuis peu, captent fort justement la plupart des moyens de développement insulaires et métropolitains. Au final, le tableau local est identique à celui présenté dans l’Hexagone, dès lors que l’on compare les abrutis pullulant en banlieue au reste de la population française ou assimilée. D’un côté, l’illettrisme, l’ultra-violence, la haine du Blanc et de l’autre, une vie organisée, structurée et globalement légaliste. La différence – et Dieu sait qu’elle est considérable – tient à ce que les Caldoches et la plupart des Zoreilles sont armés jusqu’aux dents, du moins le sont-ils autant que les hyènes ivres de colère qui leur font face.
Alors, cette solution si évidente ? Si l’on part du principe que la cohabitation entre les communautés n’est plus possible dans le cadre constitutionnel français, que les Kanaks souhaitent voir disparaître de leur horizon la leucocratie locale et que les Blancs comptent bien rester sur le Caillou, cette solution s’appelle “Gaza”.
Bon sang, mais c’est bien sûr ! Organisons le débarquement de forces armées suffisantes pour nettoyer la partie sud de l’île dans un premier temps, puis ratissons tranquillement le territoire en remontant vers le nord, ce qui provoquera l’exil apocalyptique de l’indigénat. Arrivés à la pointe septentrionnale, les effectifs armés de la métropole compteront les survivants et les inviteront à se regrouper sur l’île d’Ouvéa où ils pourront avantageusement retourner à l’âge de pierre tout en célébrant le culte de la grotte éponyme, haut lieu de la résistance kanaque.
J’en entends qui disent que la France aurait dès lors sur le dos une bonne partie de l’opinion publique mondiale, qui la taxerait de puissance coloniale tyrannique, de dictature anti-humanitaire, d’État racialo-raciste, etc. Certes. Il faudrait alors brandir le joker ultime : la conversion au judaïsme de l’ensemble de l’exécutif, acte volontaire et éclairé qui permettrait dès lors de revendiquer bien des souffrances passées, condition requise pour brandir à la face des détracteurs le spectre de l’antisémitisme. Les médias, même les plus ouvertement hostiles, reprendraient deux fois du gâteau et tout rentrerait dans l’ordre. On ne parlerait plus de “crimes contre l’humanité”, mais tout au plus de “maltraitance animale”. L’ensemble de la classe politique française convertie se réjouirait et la question néo-calédonienne serait résolue sans plus d’atermoiement ni d’à-peu-près.
Shalom, les Kanaks !
J.-M. M.
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rayondelun3 · 11 months ago
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Mon prof de littérature me rend zinzin : j'ai passé les 3/4 de l'après midi a corrigé son cours sur Victor Hugo. Il a donné des mauvaises dates, n'a même pas parlé de la querelle Hernani qui est super importante... Il a parlé de l'engagement politique sans par'er des faits. Vraiment je me suis dit tout le long « mais what the fuck ???? » ok l'erreur est humaine, et c'est pas parce que tu es dans l'enseignement que tu ne peux pas te tromper mais là on parle de TOUT le fucking cours en fait. Et en plus sur Victor Hugo, le monument LE MONSTRE LE BIG BOSS de la littérature française. Comment tu peux autant foiré ton cours sur Victor fucking Hugo à la fac en lisant littéralement tes fiches ? J'hallucine vraiment. J'ai dû tout refaire, tout reprendre... Je n'ai même pas encore fini ! C'est une blague ce prof.
Oui c'est ce prof qui nous a enlevé Flaubert du programme oui. Oui. FLAUBERT. J'ai beau faire des efforts mais je peux plus me le voir. En plus Victor Hugo que je peux pas me l'encadrer celui-là non plus. Heureusement j'ai changé d'avis à force de faire mes recherches sur lui etc. D'où la petite carte postale avec ses petits enfants là... Trop mims.
Vraiment ça me détruit : mon prof a préféré s'attarder sur les funérailles nationales (en donnant les mauvaises dates sinon où est l'intérêt ???) pendant les 15 dernières minutes du cours et se tromper dans l'explication de Notre-Dame de Paris pendant 30 minutes (oui sinon encore une fois où serait l'intérêt right ????). C'est pour nous pranker qu'il fait ça ? Parce que ça ne me fait ABSOLUMENT PAS rigoler. J'ai d'autres trucs à faire, j'ai eu zéro vacances à cause des fucking 3 semaines de partiels et là je reprends et on me sort que des mauvaises informations pendant une heure ?
Je suis affolée. Ça veut dire que les gens de ma classe qui auront pris en notes certains trucs (parce qu'aussi la prise de notes dans son cours c'est un bon gros bordel hein on va pas se mentir sur ça non plus mais on est à la fac alors on va pas chouiner)... S'ils ne vérifient pas ils auront littéralement que de la merde.
C'est génial. Bien joué. J'hallucine vraiment. J'hallucine. Tu m'étonnes qu'il ne met pas ses cours sur cursus le boug. Ça serait mettre à la vue de tous toutes ses fucking erreurs là. VRAIMENT JE N'EN PEUX PLUS.
Et c'est encore que «la reprise» lol.
J'imagine que comme nous sommes jeunes ils se disent qu'on ne sait rien peut-être ? Mais putain heureusement que j'applique la méthode de Descartes.
FUCKING HELL.
Après j'aime bien faire des recherches etc. Normal. Toujours je fais du complément de cours MAIS J'AI AUSSI D'AUTRES MATIÈRES AVEC D'AUTRES LIVRES À LIRE EN FAIT.
When you are young they assume you know nothing.
J'avais tiqué sur des dates, sur les noms des recueils pendant le CM alors que bon, je ne suis pas du tout une pro sur V. Hugo... Mais je pensais pas QUE C'ÉTAIT À CE POINT LA MERDE.
Allô j'ai Plaute à lire, Ovide et Callapée. J'ai mes recherches sur la mythologie greco-romaine ok ? J'ai un million de trucs à faire à côté dans ma vie. J'ai zéro temps pour mes loisirs et après ils viennent nous engueuler parce qu'on finit en burn out ?
Allez c'est bon aussi.
Anyway je suis dans le car pour rentrer j'vais taper un bon run comme d'habitude et essayer de pas péter mon crâne bien que ce ne soit pas l'envie qui manque.
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artmarghan · 3 months ago
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Je m'appelle marghan je dessine au stylo et j'écris des textes qui les accompagnent
Insta :art.marghan si vous voulez voir mes dessins ^^
Je vais expliquer pourquoi je dessine actuellement des dessins qui porte sur un style Renaissance ,c'est parti !!!
La Renaissance, période de renouveau intellectuel, artistique et culturel qui s'est étendue du XIVe au XVIIe siècle, est souvent perçue comme une rupture radicale avec les siècles précédents. En France, elle a marqué l'épanouissement des arts, la redécouverte des savoirs anciens et le développement d'une pensée humaniste qui a tenté de placer l'homme au centre de l'univers. Mais si l'on gratte sous la surface de cette époque, on peut voir que certaines structures de pouvoir, notamment la monarchie, sont restées étonnamment inchangées. Et en observant notre époque, on peut se demander si ce parallèle n’est pas plus pertinent qu’on ne le pense.
À la Renaissance, la monarchie française a connu une période de consolidation et de renforcement. Des rois comme François Ier ont été des mécènes des arts et des lettres, mais ils ont également centralisé le pouvoir, affirmant l'autorité royale sur les seigneurs féodaux et renforçant les bases de l'absolutisme. La société de l'époque restait fondamentalement inégalitaire, structurée autour de l'autorité monarchique, avec une noblesse puissante et un peuple souvent réduit à l'obéissance.
Aujourd'hui, bien que la monarchie en France ait été officiellement abolie en 1792, certaines dynamiques héritées de cette époque perdurent sous des formes différentes. Le pouvoir exécutif, concentré entre les mains du Président de la République, peut parfois évoquer un retour à une sorte de monarchie républicaine, où l'autorité centrale dispose d'une influence considérable sur les institutions et les décisions nationales. Les élites politiques et économiques continuent de jouer un rôle prépondérant, créant un fossé entre les dirigeants et le peuple qui rappelle, à certains égards, la distance entre la monarchie de la Renaissance et ses sujets.
De plus, la société française moderne reste marquée par des inégalités économiques et sociales profondes, que certains comparent à des formes contemporaines de privilèges qui ne sont pas sans rappeler ceux de l'Ancien Régime. La persistance de réseaux d'influence, le rôle de grandes fortunes et la rémanence d'une certaine classe dirigeante sont autant d'éléments qui peuvent faire écho à cette France d'autrefois.
En conclusion, si la Renaissance est souvent célébrée comme un moment de rupture et de transformation, elle a également été une période de continuité dans la structure du pouvoir monarchique en France. De même, notre époque, malgré ses apparences démocratiques, peut parfois sembler reproduire certaines logiques du passé, où le pouvoir reste concentré et les inégalités profondément ancrées. En cela, on pourrait dire que la monarchie, sous différentes formes, n'a peut-être pas tant changé que cela.
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Partage et like ça serait cool 🤟
A bientôt...
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yespat49 · 3 months ago
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Messieurs les censeurs, bonjour : l’incroyable confession de Mark Zuckerberg
@Anurag R Dubey/Wikimedia Commons C’est un immense scandale qui fait bondir une partie de la classe politique française et américaine et laisse l’autre silencieuse. Une confirmation de la fragilité croissante de la liberté d’expression dans les démocraties occidentales, sans tambour ni trompette. La preuve que Big Brother n’est plus seulement une fiction. Continue reading Messieurs les…
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lebibliocosme · 2 years ago
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Olangar, tome 3 : Le combat des ombres
Titre : Le combat des ombres Cycle/Série : Olangar, tome 3 Auteur : Clément Bouhélier Éditeur : Critic Date de publication : 2021 (novembre) Synopsis :   Sous le joug des duchés, la grande cité vit désormais recroquevillée sur elle-même tandis que ses habitants subissent les affres des privations et la violence de la milice dirigée par le pantin de Jush Thagon, Lec Rossio. Dans l’ombre des bas…
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nando161mando · 6 months ago
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‌Exclu pour un drapeau palestinien : le règlement insolite de l’Assemblée Nationale
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Ce 28 mai : les hurlements stridents de Yaël Braun-Pivet, présidente macroniste du Parlement, qui résonnent dans l’Assemblée, pour un drapeau.
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Alors qu’il était question, lors de débats parlementaires, des ventes d’armes de la France à Israël, pays mis en cause par la justice internationale dans le cadre d’une procédure pour génocide, le député Insoumis Sébastien Delogu a brandi un drapeau palestinien. Ce qui a mis hors d’elle la présidente, qui avait affiché son «soutien inconditionnel»…
‌ Excluded for a Palestinian flag: the unusual regulation of the National Assembly
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This May 28: the shrill screams of Yaël Braun-Pivet, Macronist president of Parliament, which resonate in the Assembly, for a flag.
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While it was a question, during parliamentary debates, of arms sales from France to Israel, a country implicated by international justice in the context of proceedings for genocide, the Insoumis deputy Sébastien Delogu brandished a flag Palestinian. Which infuriated the president, who had displayed her “unconditional support”…
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girafeduvexin · 5 months ago
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Nathalie Saint Cricq qui demande à Copé s'il pourrait être premier ministre dans C à vous, mais p t d r
Fillon ? NKM ? Félix Faure ? Edith Cresson ? Tout est possible !
Macron va nommer Villepin premier ministre, on va rien comprendre.
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francaistoutsimplement · 5 months ago
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Cette fois ci, ils bougent! Cela ne se passe plus comme prévu!
Editorial: Ne vous laissez pas influencer par les cris d’orfraie de la classe politicienne, un abcès est en train de crever, des hypothèques se lèvent.
Personne ne peut être satisfait lorsqu’un parti politique, lorsque qu’une ancienne boutique du style de celle de Jean Marie le Pen accède à des scores électoraux de l’ordre de 30%.
Personne sauf les fachos, les vrais! Ceux qui sont cachés dans l’ombre derrière les Macron et sa clique.
D’abord un peu de logique; si le parti fondé par Jean Marie le Pen n’a cessé de grimper aux élections et dans les sondages, à qui la faute?
Qui a paupérisé les masses, qui a tué le parti communiste, qui a avili de jaune les syndicats, qui a vidé le débat démocratique de tout contenu, qui a vendu la souveraineté de la France au capital local, européen et mondial, qui a abandonné toute volonté de défendre les Français face aux coups de boutoir de l’étranger et a fait alliance avec le monde extérieur contre les classes françaises défavorisées?
Qui a balancé des insultes, des injures , des ignominies sur le petit peuple d’en bas?
Tous les pouvoirs qui se sont succédés ont produit la paupérisation, la déchéance, le déclassement, le sentiment de perte de dignité et tous ont tué l’avenir. Ils ne savent promettre que toujours plus, plus d’effort, moins de récompense, moins de reconnaissance, plus de servitude, moins de liberté .
Les 30% qui osent voter pour le RN sont objectivement courageux, je ne sait pas si ils le sont subjectivement, mais en termes sociaux et historiques ils se lèvent pour dire «non» comme ils ont essayé de dire «non» au moment des Gilets Jaunes par exemple.
Ce sont, j’ose le dire des forces de vie qui s’élèvent face à des forces de mort car, qu’on le veuille ou non, le capital qu’il soit financier, économique, culturel, ou symbolique pour reprendre les catégories du merveilleux Bourdieu, ce capital multiforme est toujours concrétisation des forces de mort, des forces qui veulent emprisonner la vie; celle des autres au profit de la leur.
Il est évident que ni Bardella ni Marine ne sont conscient du rôle historique qu’ils jouent, ce rôle est joué a travers eux par les forces qui traversent la société française .Ils sont des instruments au même titre que Macron est l’instrument du fétiche Pognon.
Le Vote RN , le RN, les couches qui votent RN ne sont certainement pas conscientes du rôle historique qu’elles jouent, cela les dépasse, mais ce rôle consiste à bouleverser l’échiquier, à renverser la table ou les nantis et les riches et les planqués se gobergent.
Bien sur que le RN ne peut gouverner , sa fonction ancienne tribunitienne est maintenant dépassée, sa fonction est de dire/montrer: maintenant c’est fini on remet tout cela sur ses pieds, Et on on réintègre le peuple dans le jeu dont il a été exclu.
Les 30% du RN sont le premier signe que la glaciation politique scélérate mise en place par Mitterrand au début des années 80 est en train de fondre, le réaménagement, la recomposition sont enfin lancés, l’hypothèque sur la future présidentielle est en train d’être levée.
Les bobos, les gôches, les petits bourgeois qui poussent ces fameux cris d’orfraie sont des mystifiés, ils sont les boucliers qui protègent le grand capital, le grand business exploiteur. Celui qui fait donner ses troupes comme il le fait toujours, en restant planqué, mais ses médias veillent, ce sont eux qui fournissent aux mystifiés les étendards des faux combats.
Si encore ces gens avaient étudié le fascisme et étaient capables de comprendre que précisément le vote populaire et populiste est une réaction contre le fascisme soft des gouvernants, que ces gouvernant sont au service d’une élite du pognon exactement comme dans les années 20/30
Aucune culture, aucune réflexion, ils gobent, ils gobent et ils se font mystifier de bout en bout sur tous les grands thèmes imposées par le Grand Capital; -guerre contre la Russie -soutien d’Israël -immigration -woke -paupérisation- décroissance- climat etc
Les laissés pour compte qui ont rejoint/voté pour le RN doivent être réintégrés à la vie politique, personne n’a le droit de les exclure ou de décréter qu’ils puent! D’une certaine façon ils représentent les forces de vie et de résistance face à la mort qui saisit enserre notre société.
Les bourgeois qui stigmatisent le vote RN et veulent le nullifier feraient mieux de se montrer utiles et créer par exemple un Comité de Vigilance crédible dont la fonction serait d’analyser et de contrôler les initiatives et propositions du RN afin d’être sur qu’il ne dérive pas.
En attendant, le peuple, lui, doit s’approprier le RN, il doit le faire sien et cette fois ne pas accepter d’être dépossédé.
(Source : Bruno Bertez) 23/06/2024
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