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Le corps
15.08.2023
La torche éclairait le battement des secondes sur l'horloge, le jour se pointe, mon saut du lit est sans enthousiasme, un peu cassé. Le corps physique reflète probablement la déception émotionnelle... Je suis allé à 2 entretiens. Et c'est un fiasco. Dans le premier, on s'est fortement foutu de moi. Dans mon CV, il est indiqué ce que je veux, le détail du salaire dans leur offre manquait, mais la réponse au téléphone, disait pas moins que le vôtre. C'est une entreprise assez connue et je rêvais déjà que la rémunération y soit encore plus élevée. Néanmoins , je suis allée à l'autre bout de la ville. Nous avons parlé pendant une demi-heure et ils n'ont toujours pas abordé la question financière. Quand j'ai posé la question vers la fin de la discussion, il s'est avéré que le salaire était deux fois inférieur à celui porté sur mon CV. Dans ce studio de tournage, j'entendis le réalisateur vociférant : - "oh, on a tellement de boulot, des volumes de scènes à préparer Et nous ne gagnons que des centimes pour cela ... Je m'interrogeais : quelle est leur logique, je ne comprends pas? Dois-je être motivé par cela ? Ne sont-ils même pas intéressés par les avantages du demandeur, même en théorie ? ...Mais la deuxième interview a été épique. Le début est bon, après une conversation avec une autre fille, j'ai été emmenée en stage. Ils ont commencé à nous expliquer l'essentiel du travail, tout était clair et j'ai même pensé que je pourrais travailler ici, car les conditions semblaient me convenir, même si c'était un peu loin pour le trajet Mais, après un certain temps, une personne entre et, au milieu d'une phrase, interrompant le professeur, nous crie - partez ! On ne comprenait pas du tout ce qui se passait?? Mais on nous a fait sortir de la salle sans explication. Eh bien, vous n'êtes pas des salopes ?
Mais, le paradoxe est que le scénario "tu ne peux pas rester les bras croisés", a néanmoins été fixé - et puis j'ai beaucoup travaillé dans ma vie. Mais c'est pratiquement inutile. Car je n'ai toujours pas réussi à me retrouver dans le plan professionnel. Et je me cache derrière le fait que - je ne veux pas de travail au fond de moi-même, mais je dois travailler, et par conséquent, je peux faire presque n'importe quel travail jusqu'à ce que je sois déprimé. .... J'envie les artistes qui vendent leur travail... ou les chanteurs qui vendent leur voix.. Même si, ici, en plus du talent, il faut fouiller un peu plus dans les ventes et améliorer le "personal branding" pour se démarquer et vendre , et plus encore, vendre régulièrement. Mais ce n'est quand même pas la même chose que quand on n'a rien à vendre..... J'envie les belles personnes qui gagnent grâce à leur apparence... C'est à dire. tout vient d'une abondance fondamentale de quelque chose simplement accordé par la nature. Par exemple, une personne mince et plastique, engagée dans la danse, n'investit que son temps et sa force physique. Tandis qu'une personne sujette à la plénitude, inflexible, mais qui veut être danseuse, va investir toute sa vie, sa force, ses ressources, le rejet de tout autre plaisir, afin d'être au moins approximativement au niveau de ce premier. Autrement dit, leurs coûts pour le même niveau seront disproportionnellement différents. ....Quelqu'un dira qu'un talent ne suffit pas et qu'il faut des compétences supplémentaires. Eh bien, c'est compréhensible, seule une personne talentueuse, ayant des atouts physiques a une avance de cent pas sur celle qui a besoin de construire ce talent à partir de zéro. .... Et maintenant je cherche ces avantages en moi... mais bon sang, je ne les trouve pas. .... Cela signifie que la gamme de mes travaux est pratiquement quelconque, mais ils m'intéressent peu et sont très gourmands en ressources pour moi. ...Mais alors..?
Les-portes-du-sud
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SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
ENGLISH VERSION AFTER THE FRENCH ONE
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SERVICE(s) D'AIDE A LA PERSONNE AU CAP D'AGDE (jobs d'été) JUIN... JUILLET... AOUT... SEPTEMBRE...
Qui peut me proposer un ou des jobs d'été au CAP D'AGDE
Je peux être à votre disposition à la journée... à la semaine... au mois... Mes fonctions sont multiples et variées. Je peux être factotum... chauffeur... faire le ménage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirées... et bien plus encore...
Plus de renseignements et explications complémentaires directement par mail
A très bientôt j'espère
Esclavement et Putement vôtre
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SERVICE (S) FOR THE PERSON IN CAPE D'AGDE (summer jobs) JUNE ... JULY ... AUGUST ... SEPTEMBER ...
Who can offer me one or several summer jobs at CAP D'AGDE
I can be at your disposal by the day ... by the week ... by the month ... My duties are many and varied. I can be factotum ... driver ... do the housework ... do your shopping ... do the service during your evenings ... and much more ...
More information and further explanations directly by email
See you soon I hope
Slavery and Bitchy Yours ************************************************************************ MIS A VOTRE DISPOSITION en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS GRACE AUX SERVICES D'AIDE AUX PERSONNES (grâce au CESU profitez de 50 % de réduction d'impôts)
Je cherche à me mettre à disposition de personnes qui peuvent me proposer un ou des jobs en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS
Totalement "SOUMISSIBLE" je peux être à votre disposition à la journée... à la semaine... au mois...
Pour information j'ai servi un couple de très haute bourgeoisie parisienne pendant 5 ans dans ces conditions Eduqué et dressé comme Kajirus mais très très souvent utilisée comme kajira
Mes fonctions peuvent être multiples et variées. Je peux être utilisé(e) comme factotum... chauffeur... faire le ménage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirées... être utilisée comme soubrette... servir d'esclave sexuel... être femélisée... et bien plus encore... 24/24 à votre service
Esclave sexuel à disposition de femme dominatrice ou couple dominateurs
Ayant un impérieux besoin d'être utilise(e) comme une femelle esclave sexuelle
J'aime être pris(e) en main par une personne dominante ou un couple dominants qui pourrait faire de moi un(e) véritable esclave sexuel(le), un(e) chien(ne) en chaleur, un(e) putain soumis(e), un trou à bite pour être utilisé(e) comme femelle... salope... chienne... pute et tous ces mots ne sont pas que des mots pour moi mais un réel désir.. ou besoin d'être utilisé(e) comme ça
J'aime être exhibé(e) et présenté(e) pour être offert(e) et mis(e) à disposition en permanence.
"O" comme dans histoire d'O, un collier autour du cou et tenu en laisse mes Maitresse et Maitre pourront m'exhiber et me présenter à tous afin que je sois offert(e) et mis(e) en pâture comme ils le voudront de façon soft ou plus hard y compris pour des mises à l'abattage Chacun pourrait me palper... me fouiller... me pétrir... me triturer les fesses ou les tétons... me doigter... me baiser... double sodo possible... me goder... me fister... être livré(e) pour un Gang Bang, ou pour être baisé(e) à la chaine, et être utilisé(e) de façon intensive... etc.
MAIS IMPERATIVEMENT AVEC DES PRESERVATIFS PROPRES ET NEUFS A CHAQUE PENETRATION
Si vous avez d'autres idees ou propositions je suis ouvert(e) meme aux idées les plus perverses ou les plus vicieuses
J'espère devenir pour vous une bonne femelle... une bonne salope... une bonne chienne ... une bonne pute
Avec mes respectueux hommages
Esclavement et Putement vôtre
Stephan(i)e
************************************************************************ Baie des cochons : bienvenue sur la plage libertine du Cap-d’Agde Au coeur du village naturiste du Cap-d’Agde, sur un morceau de plage rebaptisé “baie des cochons”, les libertins s’amusent. Fellations, masturbations, bukkake, gang bang : ici, le plaisir est public et collectif. Article extrait des Inrocks spécial sexe, actuellement en kiosque.
C’est l’heure du goûter et quelques messieurs, visiblement affamés, hâtent le pas sur le sable chaud. Arrivés à hauteur d’un parasol gris, ils s’arrêtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en érection. Muscles contractés, mâchoire serrée, la plupart se masturbent même avec énergie. Sous le parasol, posé sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongée sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’années et leurs corps sont extrêmement blancs, totalement épilés. Bientôt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excités. Après quelques instants, elle souffle un mot à son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxième. Avec attention, il accélère le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font même entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer.
Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mètres et rebaptisé “baie des cochons”, rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur désir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs à l’affût. En semi-érection permanente, ceux-ci passent d’un couple à l’autre exactement comme un enfant enchaînerait les attractions à Eurodisney. Ici, la police se fait extrêmement rare. Elle intervient parfois lorsque les ébats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachées à la réserve naturelle. Il est même arrivé que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrêter et emmener au poste, simplement habillés d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, même si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un délit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame à cet endroit.
Tout le monde est adulte, consentant et nu
Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les années 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont même établies au fil du temps. Sur la “baie des cochons”, tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu (même le journaliste, après qu’il eut renoncé au stratagème du paréo). Le groupe veille sur lui-même et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet après-midi-là, un homme ayant eu l’indélicatesse de sortir un téléphone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sévèrement reprendre. Son portable finira même à l’eau.
Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgré l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et répand sa semence sur la plage, il prend même le temps de la recouvrir de sable.
Un peu plus loin, c’est maintenant une femme très bronzée, la cinquantaine peroxydée et siliconée, qui s’offre à son homme. Il est à genoux devant elle et lui lèche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, à vue d’oeil. Ils sont là, agglutinés, collés les uns aux autres, le sexe à la main. Ils se masturbent dans un silence de cathédrale, comme concentrés sur les petits cris de plaisir poussés par la femme. C’est elle l’héroïne de ce spectacle improvisé, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit “oui” ou “non”.
Quand une femme désigne un homme, il doit venir la contenter
Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses désirs sont comme des ordres. Quand elle désigne un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait généralement avec empressement. Là, le veinard est un jeune homme d’origine maghrébine au corps ferme. Délicatement, il s’installe à côté de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lèche ses seins. Bientôt, il pourra venir en elle.
Comme partout ailleurs, personne n’est évidemment égal devant le désir. Il y a une hiérarchie et un ordre esthétique. Dans Les Particules élémentaires, s’arrêtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq écrit :
“(…) une femme au corps jeune et harmonieux, un homme séduisant et viril se voient entourés de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obèse, vieillissant ou disgracieux sera condamné à la masturbation – à ceci près que cette activité, en général proscrite dans les lieux publics, sera ici considérée avec une aimable bienveillance.”
Nudité, érection et chaussures de ville, tout passe
Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue à voir déambuler des sexagénaires équipés d’épais cockrings en métal (assurément l’accessoire de l’été 2012 au Cap-d’Agde). On se fait aussi au spectacle bizarroïde d’hommes en érection, nus mais chaussés de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brûle les pieds en plein après-midi. Tout devient normal. Tout passe. Même quand notre voisine de serviette, âgée d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser à quelques centimètres d’elle, sous l’œil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte.
A lire aussi : Faisons un tour en club échangiste
Ici, les corps, entièrement épilés dans l’immense majorité des cas, sont souvent usés, tombants, fripés. La moyenne d’âge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’âge, les femmes de moins de 40 ans sont très rares. “C’était mieux avant”, regrette d’ailleurs un homme à casquette, posté en haut d’une petite dune, à un poste d’observation privilégié. “Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties…”
De façon générale, des habitués de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde à dire que “la baie des cochons” est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boîtes libertines, ouvertes le jour, qui a changé la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent désormais leurs après-midi au Glamour, une boîte de nuit du village naturiste réputée pour la qualité de ses ambiances mousse.
Il est 18 heures, les choses s’accélèrent
Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidèles venant poser leur serviette chaque jour d’été sur “la baie des cochons” continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maîtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accélèrent. Dans l’eau, à quelques mètres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrêmement généreuse.
Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derrière les dunes et raconte à ses copains qu’”une fille vient de se faire éjaculer sur le visage par une dizaine de types” (une pratique connue sous le nom de bukkake). Plus loin, une femme rousse allongée sur le sol fait l’attraction. Elle est entourée d’au moins cinquante hommes et elle désigne les élus, appelés à venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent à capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impénétrable, les yeux dans le vague, doucement gagnée par le plaisir.
Elle dit ” viens” à un homme. Elle est française, comme une majorité des gens présents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les étiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance à un milieu populaire, on ne peut savoir véritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier.
Toujours dans Les Particules élémentaires, Houellebecq évoquait, avec une certaine gourmandise, la présence “d’infirmières hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous très corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux”. Sur place, pourtant, les informations sont difficiles à glaner. Un homme, habitué des lieux depuis une dizaine d’années, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit être kinésithérapeute. Mais, ici, personne ne veut être ramené à la vraie vie. Il y a tellement mieux à faire. Tellement mieux à évoquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de préparer ce qui se passera plus tard, à l’abri des regards, cette fois.
#slave and mistress#subs wanted#esclave#bd/sm brat#faggot humiliation#sissi slave#sissi femboi#dominate me
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LECTURES DE 2024 : The Walking Dead, tome 2 - Robert Kirkman
Lecture terminée le 1er octobre 2024 (85/85)
Nombre de pages : 133 pages
Allen : My wife just died! Andrea : And my sister died, and Shane died, and Jim died! My parents are probably dead! Everyone I've ever known are probably dead! My friends, my family, my neighbors, my co-workers... Everyone. Everyone in this group is dealing with that... we're surrounded by death. It's taken over our lives. And there isn't a goddamn thing we can do about it! We either deal with it or we don't and right now your sons need you to deal with it... and get over it. They need you! Think about them!
Un tome par jour pour l'automne, ma 85ème lecture de l'année est le 2ème tome de la saga The Walking Dead, écrite par Robert Kirkman! De manière générale, j'ai préféré ce tome, même s'il a ses défauts!
Résumé : Le groupe ne peut pas rester plus longtemps en périphérie d'Atlanta, les dangers sont trop grands, les souvenirs trop douloureux. Et alors qu'ils rencontrent de nouvelles personnes et échappent encore et toujours aux morts ralentis par l'hiver, Carl est gravement blessé et ils doivent le sauver au plus vite.
CW/TW: morts, meurtres, tentatives de meurtres, pensées suicidaires, tentatives de suicide, armes à feu, cadavres, zombies, gore, violence physique, violence psychologique, sexisme, décomposition, cannibalisme, négligence infantile, sexe, putophobie, grossesse, pacte de suicide (sous-entendu), etc...
De manière générale, le tome 2 a été meilleur que le tome 1! L'histoire est mieux racontée, le rythme est mieux géré, les personnages sont approfondis et mieux travaillés... Bref, il est mieux construit que le précédent. Donc si vous avez lu le tome 1 et l'avez trouvé un peu bancal, celui-ci est mieux! On sent une réelle amélioration entre les deux tomes, c'est surprenant mais agréable.
Par contre, y'a quand même des choses que j'ai moins aimé. Déjà, y'a trop de romances. Ok, c'est la fin du monde, on sait pas si on trouvera quelqu'un d'autre, j'entends bien, et donc je comprends qu'on cherche le plaisir de la chair pour se réconforter, tout ça... Mais qu'on me parle pas d'amour! Pas pour Glenn et Maggie en tout cas. Je l'accepte pour les couples déjà mariés, mais ce sont pas des gosses de 18-19 ans qui vont me dire qu'en trois jours ils sont amoureux, etc... Puis, le fait de romantiser le fait que Sofia s'inquiète pour la santé de Carl? Bof hein.
Mais en vrai, ça va. C'est surtout le sexisme le problème, notamment (mais pas que!) avec Allen. Ce n'est pas la première fois que je le note, et autant je m'en suis fichu dans le tome 1 parce que oui, y'a du sexisme intériorisé et banalisé, c'est normal, faut s'y attendre, mais faut descendre de ses grands chevaux à un moment. Qu'Allen traite Andrea de pute, de salope, l'envoie chier alors qu'elle fait tout ce qu'elle peut pour le réconfort, qu'elle fait preuve d'empathie, mais qu'il remercie Rick de faire le minimum syndical qui consiste à lui dire qu'il faut "passer à autre chose"... C'est que ça commence à se voir, hein, qu'il déteste les femmes.
Mais bon, y'a rien de très extaordinaire non plus à ce tome. L'histoire avance bien, les personnages sont toujours faciles à comprendre, rien de bien extaordinaire, mais on s'amuse! Donc ouais, je recommande toujours The Walking Dead si vous voulez lire quelque chose de spooky pour la saison :)
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oui je cherche un maître arabe pour être se pute et salope de SISSY
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Rechute 16/02/24
22 h il me préviens qu’il sors boire avec sa cousine, qu’il ne rentre pas tard et qu’il bois resonablement. Je sais ce qu’il se passe quand il fait ça. Je craque , il faut que je sorte. J’appelle Matéo car Alexandre risque de frapper Axel.
00 h En pleurs avec Matéo , il ne veux pas me laisser retourner à la maison car il sera là. Je rentre quand même.
3 h , sa cousine m’appelle pour que je vienne car il est ingérable.
4 h au club, il m’insulte il est agressif. J’appelle Alexis il veux appeler la police, il entend Axel derrière qui hurle.il pete les plombs car il est trop loin pour m’aider.
J’appelle Alan et Daria, Daria veux que je vienne chez elle immédiatement.
Alan est furieux il veux frapper son frère et deviens fou de ne pas être à Paris. Il est mon meilleur amis. Nous sommes très similaires, et très proches. Il connais son frère dans cet état, il est le seul qui peux me comprendre dans ces moments là. Il me cherche un hôtel proche de moi pour le prendre une chambre.
J’essaie de partir mais je n’ai plus de batterie je dois retourner vers Axel, il ne veux pas me commander de taxis.
Daria l’appelle , il l’insulte , « si tu veux ta meuf viens la chercher salope » Dash lui dit d’aller se faire enculer, elle appelle Alan. Alan appelle son frère ils se disputent beaucoup.
5 h je suis en pleurs par terre dans la rue à Stalingrad, je lui dit d’arrêter de me toucher et de me parler , il m’insulte , il hurle , me crache dessus.
Des crackés veulent m’aider , des voitures s’arrêtent pour me proposer de vite grimper. Axel manque de se battre avec un cracké.
6 h il appelle mes parents ( ? Il a peur de lui même) mon père arrive il me prend en scooter on va discuter dans la Gare du Nord pour prendre un café. Il achète des cigarettes , il fume avec moi. Il a encore des problèmes de santé à cause de l’opération et les cigarettes sont interdites. j’apprends qu’il continue de fumer en secret.
Il veux parler avec Axel pour lui donner des conseils et le remettre dans le bon chemin
7 h on rentre , Axel est la. Il pleure.
7h - 10 h mon père et Axel partent parler. Il lui dit qu’il lui parle comme son fils , qu’il faut qu’il se sorte de tout ça. Il lui dit qu’il est gentil avec lui parce qu’il se sent responsable. Que si je suis comme je suis et dans ce genre de situations c’est à cause de lui. Qu’il a été trop dur avec moi. Qu’il a fait beaucoup d’erreurs.
Je suis au téléphone avec Alan.
11 h Guido a reçu des messages d’Axel dans la nuit « viens on va aux putes et prendre de la coke ». Il est furieux. Il voit les griffures sur le visage d’Axel quand il arrive à l’épicerie. Il l’attrape le sors dehors et le jette par terre il manque de le frapper. Il est au téléphone avec moi et m’explique la situation pour savoir s’il doit le faire. Je le calme en affirmant qu’Axel ne m’a pas frappé. Ce qui est vrai.
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2 frangins à la chasse cherche salope à défoncer !
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La pop aime les clichés. Et quand elle sature de guitares saturées et de refrains calibrés, en bonne fille de joie, elle se cherche de nouveaux amants plus exotiques que les blafards européens. Un avion et la voilà Argentine avec flute et poncho de rigueur. La salope est tellement avide de triomphe qu'elle vampirise avec talent tout ce qui brille, qu'importe que ce soit de l'or ou de la quincaillerie. Pie voleuse un jour pie voleuse toujours pour le plus grand plaisir de l'auditeur qui se moque de savoir si le flacon contient du Chanel n°5 ou du vulgaire sent bon. Pourvu qu'il ait l'ivresse!
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Noir et blanc
08 Août 2023
C'est très étrange d'en parler. Mais à ma manière, j'apprécie ce qui m'arrive. Quand je suis relativement calme, je peux l'accepter. Et n'oubliez pas qu'il n'y a pas que ça.
J'ai choisi cette voie pour moi. J'ai moi-même décidé de me réaliser avec mes côtés sombres et de vivre avec eux. Comprendre ce que c'est, ce qui peut être fait à ce sujet et comment faire demi-tour. Comprenez que l'excédent ou le superflu peut être jeté et sans lequel il est tout à fait possible de vivre.
J'ai découvert un high spécial dans ce que j'ai toujours condamné et rejeté. Ma vie est devenue plus épanouissante pendant un certain temps, jusqu'à ce que je vole à l'extrême.
Je ressens la grande signification de ce qui m'arrive.
Douleur, agressivité, apathie, désir suicidaire, indifférence à la vie. Si ce n'était pas important, ça ne le serait pas.
Et combien de déclarations retenantes exaspérantes. Quels conseils exaspérants, surtout de la part de ceux qui ne demandent pas. Je ne demande que de la compréhension dans une situation de perte. Oui, je cherche parfois du soutien.
Mais salope, je sais comment m'en sortir. Je sais.
Tout le monde peut penser que c'est stupide, mais je veux suivre ma propre voie. Je ne veux pas utiliser ce que quelqu'un a inventé avant moi, et en mâché des milliers, jusqu'à la distorsion et la perte de sens. J'en avais marre d'écouter la voix des autres, de surveiller la conformité de mon comportement avec leurs envois.
Allez vous faire f.... Si tu veux, envoie-moi la-bas. Avec la bonne approche, c'est très agréable là-bas.
Oui, je ne me connais pas. Et les conseillers savent encore moins.
Arrêtez de semer la division en noir et blanc.
Tout est important. Arrêtez de nier la douleur et de la fuir, de la rejeter chez les autres. Embrassez la victime, faites du thé, allez au diable, parfois l'indifférence est inutile.
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Bon, là je dois tourner une page avec Twitter
Je tourne une page sur les RS. Je ne ferme pas mon compte Twitter. Mais je vais arrêter d'y interagir publiquement. Fini.
Il y a quelques semaines, j'écrivais ceci :
Je ne vais pas fermer mon compte tout de suite. Mais mon activité sur Twitter va se limiter en gros à 2 choses : 1) Garder le contact en échangeant en DM avec quelques personnes. 2) Partager du contenu que j’aurais publié hors de l’Oiseau Bleu, (...). Je vais investir aussi d’autres plateformes, comme Post par exemple. Ou Reddit. Et il y a mon compte Mastodon.
Bon.
Et bien je vais franchir ce pas.
Ce que j'ai publié reste. Je vais garder contact en DM. Je vais m'exprimer ailleurs, et en repartageant sur Twitter.
Il y a Musk, ses conneries, ses accointances avec l'alt-right et les complotistes de tout bord. Ses projets de "méga app".
Tous les jours je reçois des nouvelles de Twitter, enfin de "X", dont je ne sais pas si elles sont grotesques, énervantes, inquiétantes, dramatiques...
Et je continue.
Ce tweet m'a fait bien réfléchir : https://twitter.com/ABRGLL/status/1684196603987472384
Le changement de nom et de logo est un sacré symbole. Concrètement ce n'est peut-être pas le pire. Mais au niveau symbole c'est fort. Nous, les twittos, sommes accros à Twitter, Musk le sait, il peut se permettre de se foutre de notre gueule.
Et il y a la suite. Je ne sais pas si les projets de faire une app "tout en un", incluant un réseau social, la messagerie, les solutions de paiement, etc, c'est un truc réaliste. Je m'en fous. Je ne veux pas y contribuer.
Donc, je me désengage.
Et il y a autre chose.
La fin d'une illusion.
Sur les RS, j'ai échangé, j'ai discuté. J'ai vu beaucoup de gens s'engager, militer, pour des causes qui me semblaient justes. Et qui me semblent toujours justes. Sauf que plus ça va, plus je me rends compte que trop souvent ces belles causes, elles ont bon dos.
Trop de gens qui racontent de la merde au nom de ces belles causes.
Trop de gens qui en salissent d'autres, sans le moindre scrupule, au nom de ces belles causes.
Trop de gens qui exigent une adhésion inconditionnelle au nom de ces belles causes.
Marre.
Marre de voir passer des tweets de "soutien" de la part de gens qui ne savent pas de quoi ils parlent, et ne cherchent pas à savoir.
Marre de voir que la lutte contre la désinformation ça ne s'applique pas aux copains/copines mais uniquement à celles et ceux qui sont dans le "mauvais camp".
Marre de découvrir régulièrement de nouvelles tournures de phrases bien tordues, de nouveaux discours pseudo-savants bien creux, pour dire simplement que les gens s'autorisent à mentir (à VOUS mentir), parce qu'ils servent la "bonne cause", qu'ils appartiennent au bon camp.
J'ai assez donné. Je joue plus.
Plus envie de perdre du temps à essayer de dialoguer avec des gens qui en ont rien à foutre de la vérité et du mensonge, rien à foutre des faits. Des gens qui ne sont là que pour exiger des autres qu'ils répètent le bon discours, inconditionnellement, religieusement.
Plus envie de perdre mon temps avec des gens qui vont vous classer dans la catégorie des salauds (ou des salopes) simplement parce que vous avez constaté que eux, ou qqn de "leur camp", a raconté n'importe quoi en public.
Moi je suis un vieux ringard. Pour moi, les faits comptent. Et je persiste à me préoccuper des la véracité : il ne suffit pas de me dire que cette affirmation provient du "bon camp", qu'elle est énoncée au nom de la bonne cause, pour que je la gobe.
Alors je veux aussi utiliser les RS autrement. Je ne vais pas chercher un autre Twitter. Je cherche pas à faire hors de Twitter ce que j'ai fait sur Twitter. Je veux faire autre chose.
Donc, désormais, Twitter, ce sera juste pour des DM avec des contacts et pour partager du contenu publié ailleurs. Ça dépendra.
Sur mon blog.
Sur Mastodon.
Sur Bluesky.
Sur Post.
Ici sur Tumblr.
...
Ce sera le bordel.
Je ne vais pas rester actif sur tous ces RS. Et je ne sais pas si à terme j'irai aussi sur Threads ou d'autre RS. Le blog, je vais essayer de le garder pour publier des trucs un peu "soignés" (pas trop de coquilles, pas de réactions à chaud sur l'actu, etc.). Et pour le reste, on verra.
Et une partie de l'engagement que j'ai eu sur Twitter va continuer peut-être en dehors des RS. Je vais peut-être avoir besoin de mobiliser mon énergie. Et cette énergie, il ne faut pas que je la dépense à me prendre la tête sur Twitter, ou X, avec des gens qui de toutes façons ne sont là que pour 3 choses :
raconter n'importe quoi
se donner de bonnes excuses pour raconter n'importe quoi
salir celles et ceux qui ne gobent par leur n'importe quoi
Vous le savez peut-être, ou vous l'avez peut-être deviné : je suis, comme d'autres, menacé de procédures judiciaires pour mon activité sur les RS. Refuser de se laisser éblouir par des beaux discours invoquant de belles causes, ça peut avoir un prix. Surtout si, en plus, on refuse de la boucler.
Je me permets vous donner 2 conseils pour conclure :
Ne vous sentez pas obligés de réagir à tout ce qui passe sous vos yeux.
Méfiez-vous comme de la peste de toutes ces situations où vous vous sentez obligé de réagir à une info fragmentaire, de croire une affirmation sans vérification ou ou de soutenir un discours sans savoir de quoi il s'agit.
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Rien de nouveau sous le soleil
Je grille une guinz et cherche mon ordi
Rien à faire les esprits en angle obtus reviennent ma casser les trompes de salopes
Il faudrait visiblement s'engouffrer tête baisser sur un seul chemin déjà battu
Je sens les esprits libres agoniser et les autres s'obstiner
La recherche doit se faire sans but
Que faudra t il pour faire comprendre aux piquets qu'il n'est nullement besoin de formuler toutes les vagues de l'esprit
Fantômes mythes et prophétie semblent vouloir créer des frontières a l'esprit
Choisir entre gloire et métaphysique
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Une pluralité de cultures dans les murs ?
Voilà, j'ai eu une discussion avec une autre fan, récemment, qui traîne assez sur les forums anglais. De fil en aiguille, nous en sommes venues à parler de la vie à l'intérieur des murs et elle a finit par émettre l'idée que les habitants pouvaient avoir emporté plusieurs éléments de cultures étrangères lors de leur exode. Ces mêmes éléments seraient désormais intégrés dans divers recoin des murs avec, peut-être, une culture par district, elle-même sectionner par murs. Avec quelques autres villages éparpillés de-ci, de là...
Personnellement, c'est une idée plausible à mes yeux mais j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose. Je l'ai donc remaniée avant d'en présenter une version un peu différente bien que la base demeure semblable.
Ainsi, je me suis demander si, plutôt que des vestiges d'anciennes communautés, ça ne pourrait pas plutôt être des mode de vie à part entière.
Nous avons vu que tout le monde dans les murs ne vivait pas de la même façon même au sein d'un même mur, comme les habitants de Trost d'un côté (en ville), le village de Connie (fermiers) d'un autre et celui de Sacha (chasseurs devenus éleveurs). De plus, je ne pense pas qu'une culture majoritaire serait avantageuse pour les dirigeants des murs. Dans l'idée, une seule et même culture aurait une valeur unificatrice. Hors, que ce soit les nobles qui souhaitent conserver leur pouvoir ou la famille royale qui cherche à affaiblir le peuple des murs pour les condamner, il serait plus avantageux pour eux d'instaurer diverses cultures pour, à terme, instaurer/exacerber les tensions et garder le peuple divisé.
L'autre raison que je pourrais voir à cela serait que la raison même de l'érection des murs par ce salop de Karl Reiss (je ne me remets toujours pas de la prise de conscience de sa trahison et titanisation forcée de certains de ses sujets avant de les enterrer vivants. On peut dire ce qu'on veut des autres purs mais, au moins, ils sont libres de se déplacer à leur guise en dépit de leur situation désastreuse) est son dégoût pour l'empire eldien construit par sa lignée. Pour cette raison, amener des eldiens venant de diverses cultures aurait pu être perçu, à l'époque, comme un geste de bonté et favoriser la confiance en un plan semblant étrange (L'Originel refusant de se battre alors que son royaume s'auto-détruisait ?! Ben voyons, pas du tout suspect, en effet...) tout en favorisant, même à l'intérieur des murs, l'effacement de la culture eldienne de l'empire centralisé au fil du temps.
Division du peuple et effacement de la mémoire collective au-delà de l'amnésie contrainte par l'Originel... ça vous parait trop tiré par les cheveux ou pas ?
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Vulgarité sociale assumée
J'ai une grosse chatte de pute, de l'art brut et pas de Médoc de loque
Mon corps est à moi et si la justice veux en faire sa loi ,je la dévisse et je la renvoie dans son froc
J'suis plutôt pute qu'épilation ,plutôt brute que dans la soumission
J'suis plutôt prude qu'hypersexualisation ,hypertexuali-passion ,pas là pour lécher le patron
Un peut salope, suce moi moi la chatte et barre toi puis aboule la moula
Devant toi je reste propre ,je te sucerais pas et tu rentrera pas en moi cette fois
C'est pas pour le mec gentils ,c'est pour le trop viril ultra misogyne qui te cherche et t'assassine
Les violeurs seront peut être à l'heure ,je détruit le temps et leur honneur
Désaxée,je désactive les rives des macho
Dépravée ,je dérive et me délivre à coup de mots
T'a les castagnettes à Castex
Avec un tipex on te castagne la tête
On te next comme un ver de prose trop pompette
Puis j'arrache tes roses par le cri de mon ciel poète
J'suis Violette parceque c'est violent ,viol ,sincère , gentils ,vulgaire et ça vole dans l'éther
C'est spirituel ,c'est le cri ardent de l'air et de l'univers
Féministe , mystique, électrique, éclectique
Écrit des cimetières mais cri sombre de lumière
Car ouai en sortant de l'ombre ,j'suis fière d'être vulgaire
C'est beau le vulgaire aussi ,les artères de la poésie qui crachent par terre et les terres pleines de mouille
Pas besoin de couille et de s'astiquer la nouille ,tu te pisse dessus et tu te mouille
Oui je le répète je suis la meuf vulgaire,keuf de la poesie -anarchie ,la meuf de l'éther ,pas besoin de reuf ,je te conchie
Du cosmos ,je suis descendue ,j'ai vu ,j'ai combattue,trucidée et tu t'est tue
Je dénonce pas n'importequel gars ,je suis tout sauf anti mec mais j'ai des ovaires qui me servent de pec et c'est de la peufra
Combien de femmes violées ,flammes camisolées ,larmes en isolement attachées
J'viens, j'entache ,ta loi misogyne je l'effrite comme une praline qui rend défoncé
Meuf douce ,timide ,splendide et violente, je suis
Mousse suave ,sordide et lave ardente,je cri
Je suis celle qui te hante ,t'appellera ni tes pouff ni ta tante
Entre salope on est propre ,entre prude on se brutalise pas
Flamme fontaine devant tes bombasses qui t'excitent ,tu bande mais moi j'ai l' arc crasse et ta bite je te l'effrite comme ton plastique d'en bas
J'ai une grosse chatte , a bat le féminicide de l'homicide -homme sordide
L'égalité des sexes c'est pas pour castrer ni prostrer les gars ,j'veux avoir le choix d'être religieuse,pute , gueuse ,prude ,brute ,grosse ou cassos ici et là bas
J'ai une grosse chatte et je viens gueuler
J'finirais seule plutôt qu'avec un sale rois comme toi, vive les rats ,les putes ,les trans et les maladroits
Vive ceux et celles qui sont pas de droite ni dans la loi mais droites dans leur foi
Vive les sale pute qui aiment sucer ,gueuler ,s'camer ,s'faire enculer ,lécher ou baiser
Vive les prudes qui aiment prier ,ont des toiles d'araignées entre les cuisses
Elles tissent leur toiles ,corps non dévoilés mais créatrices
Vive également les mal baisées par des mauvais baiseurs et surtout des gros frustrés du néant
Vive le vice ,celui qui glisse pas mais reste coincée dans ta gorge et se deloge pas
Vive les clodos qui puent ,la véritable odeur du peuple et les arbres anarcho qui peuplent nos montagnes
A bat le champagne ,ils sont dans les villes et les campagnes ,les fachos qui nous foutent la hargne
Soirée gaucho,soirée manchot,aucune discrimination,ni distinction,ici c'est chrétien ,musulman ,athé,clandestin ,enfant ,cri de la liberté ,LGBT ,égalité ,sororité , handicapé ,camé, fraternité
J'ai une grosse chatte et ce soir je viens dégueuler poétiquement le politiquement trop correct et incorrect de cette liberté pompette ,celle qui sort de ma verve ,de mes verbes et de ma schneck
Nébuleuse.M
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histoire vécue :
Nous sommes vendredi, j’ai fini journée et le frigo de la maison est vide. Il est presque 19h00 et je me précipite vers une grande surface pour faire quelques courses en me disant qu’il est heureux que le vendredi ce genre de magasin ferme à 20h00. Je descend au deuxième sous sol du parking et stationne ma voiture dans le fond pour avoir moins de manœuvre à effectuer puis me dirige vers l’ascenseur qui me mènera directement dans le magasin. Comme d’habite je suis habillée de manière très sexy, une jupe bien courte, des bas autoportants, des hauts talons et un chemisier bien provoquant. Cette tenue n’échappe d’ailleurs pas aux hommes qui se trouvent encore dans les allées. je sens très bien leurs regards se poser sur mon corps et je lis dans leurs yeux tout un tas de cochonneries qui leurs traversent l’esprit. Je n’hésite pas à me montrer provocante a chaque fois que j’en ai l’occasion. Je termine mes courses alors qu’une voix annonce la fermeture imminente. Je passe à la caisse assez rapidement car a cette heure et contrairement a mon arrivée, il n’y a maintenant presque plus personne. Je règle ma note et descend avec ma charrette dans le parking ou il n’y a plus que ma voiture. J’ouvre le coffre et commence a y placer les différentes marchandises que j’ai acheter.
Quelques mètres plus loin, tapis dans l’ombre, un homme m’observe vicieusement. D’où il se trouve, il peut voir quand je me baisse dans son coffre, la limite de mes bas et même une partie de mon cul. Ce type qui m’a suivie discrètement dans les rayons du magasin puis ensuite jusqu'à ma voiture bande certainement comme un âne en m’observant. A pas de loup, il s’approche de moi et quand je me trouve a sa portée, il pose une main sur mon cul. Un peu surprise, je me redresse et me tourne d’un coup vers l’inconnu. Il est grand, plutôt costaud, de type magrébin, cheveux court, yeux noirs. Il me regarde avec insistance dans les yeux puis les baisse vers mes seins.
Je ne panique pas le moins du monde en prenant la parole :
- « Je peux savoir ce que vous désirez ? »
- « Je veux te baiser. »
- « Comme ça, sans faire les présentation ? »
- « Avec les tenues de pute que tu porte, c’est tout ce que tu cherche non ? » Je suis toujours très excitée par ce genre de discourt et de déclaration et cette fois ci, je ne déroge pas à la règle. Je sens mon sexe qui commence à mouiller de plus en plus quand cet homme pose une main sur mon sein droit. Le tissus est tellement léger que je sens très bien la chaleur de la paume de cet inconnu sur mon seins nu sous le chemisier comme souvent. - « Tu es à poil sous ta blouse salope. »
- « Comme toujours. » - «Et sous ta jupe aussi?» Alliant le geste a la parole, il glisse sa main sous ma jupe
- « Espèce de petite pute, tu n’as rien sous ta jupe. » Je lui souris et adopte un regard des plus coquin avant de m’abaissée et de dégagé la pine tendue de cet étranger qui me regarde médusé que les choses se passe ainsi. Lui qui imaginait devoir utilité la force pour me faire entendre raison, le voila bien surpris par ma réaction. A peine le sexe du gars est il sortit de son antre que je le prend dans ma bouche pour entamer une fellation dont j’ai le secret. Le mec n’en peut plus, il sent qu’il va jouir très vite mais il ne veut pas, il est là pour me baiser et il compte bien le faire même si je pensais pouvoir éviter ça en le faisant jouir avec ma bouche de suceuse. Soudain, il m’attrape par les cheveux et me redresse en disant :
- « J’ai dit que je voulais te baisée sale pute. » Brutalement, il me retourne et m’enfonce la tête dans le coffre. Je repose maintenant avec le ventre sur le bord de celui-ci. L’inconnu gémis, souffle, grogne. Il remonte ma jupe pour découvrir mon cul qu’il touche et pétris avec fermeté.
- « Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de salope. » Je ne répond pas mais je suis hyper excitée par ce traitement sans ménagement. je sens le sexe de l’inconnu se positionné à l’entrée de ma chatte, dans la position que j’adopte sans l’avoir nécessairement choisie, je sais que son sexe est à la hauteur idéal pour une bonne pénétration en profondeur. D’un coup sec ce mec m’enfonce la bite profondément en moi, je ne peux m’empêcher de gémir brouillemment.
- « Tu aime ça salope ? » Il me prend par les cheveux tout en me posant la question et comme je ne répond pas , il répète :
- « Alors pouffiasse, je t’ai demandé si tu aimais ça ? »
- « hummmmmm ouiiiiiiiiii c’est bon. » Quand il entend la manière dont je lui répond, il se sent encore plus excité, il se redresse un peu plus, empoigne mes hanches de et commence a me limé rapidement et brutalement. Ces coups de reins sont de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Le rebord du coffre me fait mal au ventre mais mon excitation et ma jouissance est trop grande que pour m’en plaindre. Ca ne dure pas longtemps avant que je ne sente mon baiseur inconnu ressortir de ma chatte détrempée et que je ne sente ensuite des jets tièdes venir s’écraser contre mes fesses nue sous des râles et des grognements de jouissances. Quand je reprend un peu mes esprits que j’avait légèrement perdu suite a une pénétration et une jouissance aussi brutale et que je me redresse, le ventre rougis par le frottement contre le rebord du coffre de ma voiture, l’étranger n’était plus là. je suis seule, la jupe relevée sur les hanches et les fesses couvertes de foutre. Je m’ajuste doucement puis remonte dans ma voiture épuisée. De retours chez moi, je suis soulagée de voir que mon mari n’est pas encore rentré, je pourrai prendre une douche et enlevé toute trace de sperme de mon cul avant que mon homme n’y mette la main.
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[ID: text reading:
“Mr Stanhope had no notion of listening behind bulkheads, and he did not reply; but he could not prevent himself from catching isolated sentiments, such as ‘. . .tes moeurs crapuleuses . . . tu cherches à corrompre mon paresseux . . . va donc, eh salope . . . espèce de fripouille,’ for the dialogue had switched to French on the entrance of the wooden-faced Killick. ‘I hope they will not be late for our whist,’ he mur-”
/end ID]
DELIGHTED by this confirmation that jack and stephen call each other tu
#i mean not that i'd really believed anything else judging by their. everything#but confirmation is always nice#stephen maturin#jack aubrey#aubreyad
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Chapitre 5 : Première nuit
« Isabelle, tu es une belle pute. Ce soir tu vas me sucer et me faire
jouir. Ensuite je vais te taquiner une partie de la nuit et je me
reposerai demain matin. A mon réveil, je veux que tout soit parfait.
En attendant débarrasses et apporte moi un fruit et ma tisane. »
Isabelle se lève et débarrasse la table. Je sens sur le dos, à
l’endroit où elle était assise une sensation de fraicheur liée à de
l’humidité. Peut être le fruit de nos ébats… A cette pensée, j’ai un
moment de tension dans le sexe vite refreinée par la sensation de
cette cage qui me m’enserre le sexe et me blesse les testicules.
Je dois à nouveau la suivre mais ma vessie n’en peut plus… Nous
faisons l’aller-retour assez rapidement et nous retrouvons la position
devant la maitresse. Je sens Isabelle de plus en plus tendue.
« Laisse-moi et va ranger. Va aussi te soulager. Reviens quand tout
sera parfait pour la soirée. »
Isabelle m’entraine à sa suite et sa première direction est les
toilettes où elle s’assoit sans enlever sa culotte. J’entends sa pisse
couler au travers de sa culotte et s’écouler dans les toilettes. « Je
n’en pouvais plus… »
« Avant de te soulager tu vas lécher ce qui coule sur mes cuisses »
dit -elle, poursuivant mon calvaire… L’odeur de sa pisse, le bruit de
ses coulures dans les toilettes achèvent mon calvaire et n’y tenant
plus, je lâche ma pisse sur moi et je vois ma pisse s’écouler tout
doucement sur moi autour de mes pieds, honteux…
« Immonde Porc ! Se pisser dessus ! Tu vas nous mettre en retard
espèce de chien ! »
Sa main me gifle, un aller et retour cinglant et cuisant !
Quand j’ai fini, toujours assise sur les toilettes, moi à ses pieds,
elle force sur ma tête :
« Lèches ta pisse ! »
Je m’exécute. Mais ça n’en finit pas… Des gouttes coulent toujours de
ma bite et de sa cage… Elle pose ses pieds dedans (qu’elle avait
relevés) et me tire pour ouvrir le placard au-dessus des toilettes.
Elle me jette une serpillère :
« Nettoie et essore dans les toilettes ! »
Je m’exécute à ses pieds, et quand il ne reste plus trop de pisse sur
le carrelage, elle tire la chasse-d ’eau et m’indique de rincer la
serpillère dans la cuvette. Plusieurs fois, elle me fait essuyer ses
pieds et me force à rincer dans la cuvette la serpillère non sans
malicieusement tirer la chasse d’eau sur mes bras.
« Maintenant aspire la pisse de ma culotte et lèche bien mes cuisses.
Fait en sorte qu’il n’y ait pas de pisse qui coule lorsque je serai
avec Maitresse. »
Je m’exécute et comprends que la culotte n’a pas été changé au moins
de la semaine… j’ai un haut-le-cœur en aspirant sa pisse au travers de
sa culotte… L’odeur est si forte…
« Ça suffit maintenant ! » décrète-t-elle. « Nous avons du travail. »
Nous sortons des toilettes non sans nous essuyer les pieds sur une
autre serpillère qu’elle a jetée à l’entrée des toilettes.
J’ai à peine le temps de m’essuyer les mains et les pieds que je dois la suivre.
Debout elle me traine en long et en large dans l’appartement. Les
vêtements de Maitresse sont jetés dans une machine à laver. L’eau dans
la bouilloire est mise à bouillir. La tisane de Maitresse est servie….
Isabelle attrape une pomme et m’entraine à sa suite pour servir la
tisane à Madame.
Nous nous retrouvons comme la dernière fois, moi à quatre pattes,
Isabelle assise sur moi devant Maitresse, à attendre un ordre.
Elle croque à pleine dent la pomme et prend son temps. :
« Range et profite pour manger. A ton retour, tu me feras jouir, mais
prends ton temps. La tisane est encore chaude et je veux avoir le
temps de voir ma série. »
Nous retournons à la cuisine. La vaisselle de Maitresse est lavée et rangée.
Un moment, Isabelle prend une pizza qu’elle fait réchauffer dans le
micro-onde et s’arrête un instant devant l’ilot central de la cuisine.
Elle la coupe en deux et jette par terre le second morceau.
« Bouffe et presse toi car nous ne pourrons pas manger d’ici demain matin. »
J’attrape le morceau de pizza et le mange rapidement.
Elle se verse un verre d’eau, l’avale et le rempli à nouveau :
« Ouvre ta bouche si tu veux boire, et n’en perds pas une goutte… »
Puis elle remplit sa bouche d’eau, se penche vers moi et rejette l’eau
en un petit filet directement dans la bouche. J’avale le nectar à la
régalade et ma bite se rappelle à mon bon souvenir…
Elle renouvelle l’opération 2 fois avant de laver ses couverts et le verre.
Puis elle s’arrête et me regarde avec un drôle d’air :
« Maitresse regarde la télé. Tu vas t’occuper de moi »
Elle descend sa culotte sale et se met à quatre pattes :
« Suce-moi par derrière ! Commence par le cul, puis lèche ma chatte,
nettoie bien ton sperme ! que Ce soit bien propre pour ce soir !
Maitresse va s’occuper de moi ! »
Alors je m’applique à lui nettoyer l’orifice anal et sa chatte
imberbe… J’ai toujours envie d’elle et ma bite pressée dans sa cage me
fait mal… Ma langue rencontre son clitoris. Je m’attarde dessus et je
sens rapidement son petit bouton durcir… Elle se presse contre moi et
j’ai du mal à garder le rythme… Au bout de quelques minutes, je sens
sa contraction et son soulagement. Elle s’arrête et se relâche… « Et
bien, toi, tu vas me faire regretter les porteurs de bites ! Arrête !
c’est bien ! Tu mérites une récompense… » Elle se retourne vers moi et
me crache plusieurs fois sur le visage. Puis elle s’approche encore
plus prêt et étend avec sa langue sa salive sur mon visage : « Tiens
mon bon chien ! la bonne odeur de ta maitresse ! » et elle se relève
en souriant, remonte sa culotte et m’entraine à sa suite.
Nous nous présentons à nouveau devant la Maitresse.
Elle repousse la desserte sur laquelle elle a posé son bol de tisane
vide et s’adresse à Isabelle.
« Tu vas me sucer et comme d’habitude, je te bande les yeux !
Toi le chien, tu regardes et j’espère que tu vas bander ! »
Isabelle se met à genoux devant Maitresse et celle-ci lui bande les
yeux. Puis elle enlève sa culotte et son soutien-gorge et les jette
dans la salle. Elle a monté le son de la télé et mis le programme sur
une série…
« Suce-moi Salope ! et fais-moi bien jouir ! »
Je vois Isabelle se jeter sur l’entrecuisse de Maitresse et se
repaitre de son sexe.
Bientôt, Maitresse saisie Isabelle par les cheveux et la force contre
son bassin. Je ne quitte pas le spectacle des yeux et j’ai la gorge
serrée, le souffle coupé par la scène.
Maitresse commence à insulter Isabelle tout en se cabrant contre sa
bouche. « Ah ma Salope ! Que tu me suces bien ! Fais- moi jouir ma
belle, fais-moi jouir. Plusieurs fois, Maitresse arrive au bord de la
jouissance et retarde l’échéance… Elle fait durer le plaisir, sa
tension monte, et elle se retire, se calme puis laisse isabelle
reprendre son travail, chauffe son clitoris à l’extrême et ainsi de
suite. Mais à un moment, elle n’y tient plus et soudain, s’arrête de
bouger… Son visage se crispe, sa bouche fait une moue ridicule et un
jet gicle sur le visage d’Isabelle… Le bandeau d’Isabelle est
recouvert de son éjaculation, le liquide clair s’écoule sur le cou,
descend entre les seins d’Isabelle et goutte sur ses genoux.
Elle s’étend sur le canapé pendant qu’Isabelle se retourne vers moi :
« Lèche le liquide sur mon visage ! Sur mes seins, lèche par terre,
sur mes genoux ! Qu’il n’en reste pas une goutte ! »
Je m’exécute et goutte l’éjaculation de la Maitresse. Le goût n’est
pas fort, de l’eau peut être un peu teintée d’urine… pas désagréable.
Je m’attarde sur les seins d’Isabelle que je sens pointer à l’encontre
de ma langue… Avant de me prendre une claque derrière la tête. «
Vas-tu t’arrêter sale bite ? ». Maitresse est en colère, elle se jette
sur moi, me gifle deux ou trois fois de suite me pousse violemment et
me jette à terre, puis s’assoit sur mon visage, violemment.
« Je ne veux plus que tu t’occupes d’Isabelle ! Tu es là pour nous
servir. Pas pour batifoler avec Mon Isabelle ! Elle est à moi, à moi
seule ! Tu n’es qu’une bite et des couilles pour moi. Rien d’autre !
Ramasse sale chien ! »
Et elle me pisse au visage… Son jet d’urine jaillit… Source
intarissable, le jet m’inonde le visage, rentre dans le nez, s’immisce
dans ma bouche, me pique les yeux. Je suffoque ouvre la bouche, avale
de travers, cherche à me relever, mais elle me maintient fortement et
sourit de ma rage grandissante et de mon impuissance…
« Tu me fais rire ! Je vais te détacher d’Isabelle et tu vas nettoyer. »
Elle se relève de moi, me laisse suffoquer dans la mare de pisse au
pied du canapé. Elle enlève la chaine du pied d’Isabelle, et le remet
sur ma cheville, tire sur la chaine et la règle de façon à ce que je
ne puisse pas marcher debout.
« Tu sais où sont les serpillères et où sont les toilettes ? Va et
laisse-nous. Quand tu auras fini, tu reviendras te présenter devant
notre lit. »
J’ai dû faire au moins 10 aller-retours à quatre pattes pour nettoyer
le sol. J’ai commencé par me laver le visage et me rincer les yeux qui
me piquaient dans les toilettes. Puis j’ai attrapé les serpillères…
Entre temps, elles sont passées par la salle de bain puis je les
retrouve nues sur le lit.
Isabelle est toujours les yeux bandés. Elle est attachée sur le lit,
les bras écartés et les jambes relevés et tirées sur les côtés par des
liens attachés au lit. Maitresse est penchée vers la chatte d’Isabelle
offerte à sa vue et à ses caresses. Elle applique un gode vibrant sur
le clitoris de son esclave. Je me rends vite compte qu’elle joue avec
son esclave : dès que celle-ci se tend à la recherche de sa
jouissance, elle s’arrête de la caresser et regarde son esclave gémir
et se tordre de frustration.
Au bout de vingt minutes de ce petit jeu, Maitresse décide de
s’arrêter. Elle se redresse et saisit sur la table de chevet la culote
(très sale) d’Isabelle. « Alors Salope, c’est ta délivrance
aujourd’hui ? Tu as déjà joui il me semble… Alors ce soir, tu vas
dormir avec ta culotte de la semaine… c’est notre petit jeu… Ne pense
pas que j’avais oublié… » Isabelle ne dit rien et ouvre la bouche.
Maitresse lui enfonce dans la bouche et bourre la culotte entièrement.
Isabelle a un haut le cœur et Maitresse lui retire un peu la culotte.
Puis elle se penche sur la table de chevet, ouvre le tiroir et sort un
rouleau de scotch. Isabelle redresse sa tête et Maitresse la bâillonne
avec la culotte dans sa bouche en faisant 2 tours de scotch autour de
sa tête…
Puis elle reprend son jeu avec le gode, jouant alternativement avec la
pénétration d’Isabelle et les caresses sur le clitoris. La soirée
s’est passée ainsi, moi à genoux devant le lit à les contempler, dans
un état de frustration intense, Isabelle à essayer de jouir pendant
que maitresse contemplait l’effet de ses caresses internes et
externes, sans mettre un point final aux réjouissances.
Isabelle s’est mise à supplier Maitresse de la laisser jouir, puis
s’est mise à pleurer pendant que Maitresse continuait à la torturer.
Alors Maitresse s’est redressée et s’est penchée à nouveau sur le
tiroir de la commode. « C’est bon ! Cesse de pleurer tu me dégoûtes… »
Elle en a tiré une ceinture de cuir sur laquelle elle a fixé le
godemichet… Je n’en ai pas perdu une miette, absolument frustré et
tétanisé par ce spectacle que je n’avais jamais vu. Elle s’est
redressée, montrant son ersatz de sexe vainqueur et lui crachat au
visage : « Tu vas te soulager salope ! Je vais te soulager… » et elle
la pénétra et bourra de toute ses forces. Celle-ci se mit
instantanément à jouir et à pleurer. Du liquide s’écoulait de son sexe
à chaque pénétration, giclait sur le drap et chaque pénétration était
accompagnée d’un cri d’Isabelle. Je n’ai pu que me tortiller et
regarder cette scène, je crois même que mon esprit a disjoncté à ce
moment. Je me suis effondré dès que le calme fut revenu et me suis
allongé en chien de fusil au pied du lit.
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