+18 ♤53. marié à une femme adorable inlassable, multiorgasmique et fontaine. ici c'est mon jardin secret. Mes fantasmes, mes expériences.
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Chapitre 5 : Première nuit
« Isabelle, tu es une belle pute. Ce soir tu vas me sucer et me faire
jouir. Ensuite je vais te taquiner une partie de la nuit et je me
reposerai demain matin. A mon réveil, je veux que tout soit parfait.
En attendant débarrasses et apporte moi un fruit et ma tisane. »
Isabelle se lève et débarrasse la table. Je sens sur le dos, à
l’endroit où elle était assise une sensation de fraicheur liée à de
l’humidité. Peut être le fruit de nos ébats… A cette pensée, j’ai un
moment de tension dans le sexe vite refreinée par la sensation de
cette cage qui me m’enserre le sexe et me blesse les testicules.
Je dois à nouveau la suivre mais ma vessie n’en peut plus… Nous
faisons l’aller-retour assez rapidement et nous retrouvons la position
devant la maitresse. Je sens Isabelle de plus en plus tendue.
« Laisse-moi et va ranger. Va aussi te soulager. Reviens quand tout
sera parfait pour la soirée. »
Isabelle m’entraine à sa suite et sa première direction est les
toilettes où elle s’assoit sans enlever sa culotte. J’entends sa pisse
couler au travers de sa culotte et s’écouler dans les toilettes. « Je
n’en pouvais plus… »
« Avant de te soulager tu vas lécher ce qui coule sur mes cuisses »
dit -elle, poursuivant mon calvaire… L’odeur de sa pisse, le bruit de
ses coulures dans les toilettes achèvent mon calvaire et n’y tenant
plus, je lâche ma pisse sur moi et je vois ma pisse s’écouler tout
doucement sur moi autour de mes pieds, honteux…
« Immonde Porc ! Se pisser dessus ! Tu vas nous mettre en retard
espèce de chien ! »
Sa main me gifle, un aller et retour cinglant et cuisant !
Quand j’ai fini, toujours assise sur les toilettes, moi à ses pieds,
elle force sur ma tête :
« Lèches ta pisse ! »
Je m’exécute. Mais ça n’en finit pas… Des gouttes coulent toujours de
ma bite et de sa cage… Elle pose ses pieds dedans (qu’elle avait
relevés) et me tire pour ouvrir le placard au-dessus des toilettes.
Elle me jette une serpillère :
« Nettoie et essore dans les toilettes ! »
Je m’exécute à ses pieds, et quand il ne reste plus trop de pisse sur
le carrelage, elle tire la chasse-d ’eau et m’indique de rincer la
serpillère dans la cuvette. Plusieurs fois, elle me fait essuyer ses
pieds et me force à rincer dans la cuvette la serpillère non sans
malicieusement tirer la chasse d’eau sur mes bras.
« Maintenant aspire la pisse de ma culotte et lèche bien mes cuisses.
Fait en sorte qu’il n’y ait pas de pisse qui coule lorsque je serai
avec Maitresse. »
Je m’exécute et comprends que la culotte n’a pas été changé au moins
de la semaine… j’ai un haut-le-cœur en aspirant sa pisse au travers de
sa culotte… L’odeur est si forte…
« Ça suffit maintenant ! » décrète-t-elle. « Nous avons du travail. »
Nous sortons des toilettes non sans nous essuyer les pieds sur une
autre serpillère qu’elle a jetée à l’entrée des toilettes.
J’ai à peine le temps de m’essuyer les mains et les pieds que je dois la suivre.
Debout elle me traine en long et en large dans l’appartement. Les
vêtements de Maitresse sont jetés dans une machine à laver. L’eau dans
la bouilloire est mise à bouillir. La tisane de Maitresse est servie….
Isabelle attrape une pomme et m’entraine à sa suite pour servir la
tisane à Madame.
Nous nous retrouvons comme la dernière fois, moi à quatre pattes,
Isabelle assise sur moi devant Maitresse, à attendre un ordre.
Elle croque à pleine dent la pomme et prend son temps. :
« Range et profite pour manger. A ton retour, tu me feras jouir, mais
prends ton temps. La tisane est encore chaude et je veux avoir le
temps de voir ma série. »
Nous retournons à la cuisine. La vaisselle de Maitresse est lavée et rangée.
Un moment, Isabelle prend une pizza qu’elle fait réchauffer dans le
micro-onde et s’arrête un instant devant l’ilot central de la cuisine.
Elle la coupe en deux et jette par terre le second morceau.
« Bouffe et presse toi car nous ne pourrons pas manger d’ici demain matin. »
J’attrape le morceau de pizza et le mange rapidement.
Elle se verse un verre d’eau, l’avale et le rempli à nouveau :
« Ouvre ta bouche si tu veux boire, et n’en perds pas une goutte… »
Puis elle remplit sa bouche d’eau, se penche vers moi et rejette l’eau
en un petit filet directement dans la bouche. J’avale le nectar à la
régalade et ma bite se rappelle à mon bon souvenir…
Elle renouvelle l’opération 2 fois avant de laver ses couverts et le verre.
Puis elle s’arrête et me regarde avec un drôle d’air :
« Maitresse regarde la télé. Tu vas t’occuper de moi »
Elle descend sa culotte sale et se met à quatre pattes :
« Suce-moi par derrière ! Commence par le cul, puis lèche ma chatte,
nettoie bien ton sperme ! que Ce soit bien propre pour ce soir !
Maitresse va s’occuper de moi ! »
Alors je m’applique à lui nettoyer l’orifice anal et sa chatte
imberbe… J’ai toujours envie d’elle et ma bite pressée dans sa cage me
fait mal… Ma langue rencontre son clitoris. Je m’attarde dessus et je
sens rapidement son petit bouton durcir… Elle se presse contre moi et
j’ai du mal à garder le rythme… Au bout de quelques minutes, je sens
sa contraction et son soulagement. Elle s’arrête et se relâche… « Et
bien, toi, tu vas me faire regretter les porteurs de bites ! Arrête !
c’est bien ! Tu mérites une récompense… » Elle se retourne vers moi et
me crache plusieurs fois sur le visage. Puis elle s’approche encore
plus prêt et étend avec sa langue sa salive sur mon visage : « Tiens
mon bon chien ! la bonne odeur de ta maitresse ! » et elle se relève
en souriant, remonte sa culotte et m’entraine à sa suite.
Nous nous présentons à nouveau devant la Maitresse.
Elle repousse la desserte sur laquelle elle a posé son bol de tisane
vide et s’adresse à Isabelle.
« Tu vas me sucer et comme d’habitude, je te bande les yeux !
Toi le chien, tu regardes et j’espère que tu vas bander ! »
Isabelle se met à genoux devant Maitresse et celle-ci lui bande les
yeux. Puis elle enlève sa culotte et son soutien-gorge et les jette
dans la salle. Elle a monté le son de la télé et mis le programme sur
une série…
« Suce-moi Salope ! et fais-moi bien jouir ! »
Je vois Isabelle se jeter sur l’entrecuisse de Maitresse et se
repaitre de son sexe.
Bientôt, Maitresse saisie Isabelle par les cheveux et la force contre
son bassin. Je ne quitte pas le spectacle des yeux et j’ai la gorge
serrée, le souffle coupé par la scène.
Maitresse commence à insulter Isabelle tout en se cabrant contre sa
bouche. « Ah ma Salope ! Que tu me suces bien ! Fais- moi jouir ma
belle, fais-moi jouir. Plusieurs fois, Maitresse arrive au bord de la
jouissance et retarde l’échéance… Elle fait durer le plaisir, sa
tension monte, et elle se retire, se calme puis laisse isabelle
reprendre son travail, chauffe son clitoris à l’extrême et ainsi de
suite. Mais à un moment, elle n’y tient plus et soudain, s’arrête de
bouger… Son visage se crispe, sa bouche fait une moue ridicule et un
jet gicle sur le visage d’Isabelle… Le bandeau d’Isabelle est
recouvert de son éjaculation, le liquide clair s’écoule sur le cou,
descend entre les seins d’Isabelle et goutte sur ses genoux.
Elle s’étend sur le canapé pendant qu’Isabelle se retourne vers moi :
« Lèche le liquide sur mon visage ! Sur mes seins, lèche par terre,
sur mes genoux ! Qu’il n’en reste pas une goutte ! »
Je m’exécute et goutte l’éjaculation de la Maitresse. Le goût n’est
pas fort, de l’eau peut être un peu teintée d’urine… pas désagréable.
Je m’attarde sur les seins d’Isabelle que je sens pointer à l’encontre
de ma langue… Avant de me prendre une claque derrière la tête. «
Vas-tu t’arrêter sale bite ? ». Maitresse est en colère, elle se jette
sur moi, me gifle deux ou trois fois de suite me pousse violemment et
me jette à terre, puis s’assoit sur mon visage, violemment.
« Je ne veux plus que tu t’occupes d’Isabelle ! Tu es là pour nous
servir. Pas pour batifoler avec Mon Isabelle ! Elle est à moi, à moi
seule ! Tu n’es qu’une bite et des couilles pour moi. Rien d’autre !
Ramasse sale chien ! »
Et elle me pisse au visage… Son jet d’urine jaillit… Source
intarissable, le jet m’inonde le visage, rentre dans le nez, s’immisce
dans ma bouche, me pique les yeux. Je suffoque ouvre la bouche, avale
de travers, cherche à me relever, mais elle me maintient fortement et
sourit de ma rage grandissante et de mon impuissance…
« Tu me fais rire ! Je vais te détacher d’Isabelle et tu vas nettoyer. »
Elle se relève de moi, me laisse suffoquer dans la mare de pisse au
pied du canapé. Elle enlève la chaine du pied d’Isabelle, et le remet
sur ma cheville, tire sur la chaine et la règle de façon à ce que je
ne puisse pas marcher debout.
« Tu sais où sont les serpillères et où sont les toilettes ? Va et
laisse-nous. Quand tu auras fini, tu reviendras te présenter devant
notre lit. »
J’ai dû faire au moins 10 aller-retours à quatre pattes pour nettoyer
le sol. J’ai commencé par me laver le visage et me rincer les yeux qui
me piquaient dans les toilettes. Puis j’ai attrapé les serpillères…
Entre temps, elles sont passées par la salle de bain puis je les
retrouve nues sur le lit.
Isabelle est toujours les yeux bandés. Elle est attachée sur le lit,
les bras écartés et les jambes relevés et tirées sur les côtés par des
liens attachés au lit. Maitresse est penchée vers la chatte d’Isabelle
offerte à sa vue et à ses caresses. Elle applique un gode vibrant sur
le clitoris de son esclave. Je me rends vite compte qu’elle joue avec
son esclave : dès que celle-ci se tend à la recherche de sa
jouissance, elle s’arrête de la caresser et regarde son esclave gémir
et se tordre de frustration.
Au bout de vingt minutes de ce petit jeu, Maitresse décide de
s’arrêter. Elle se redresse et saisit sur la table de chevet la culote
(très sale) d’Isabelle. « Alors Salope, c’est ta délivrance
aujourd’hui ? Tu as déjà joui il me semble… Alors ce soir, tu vas
dormir avec ta culotte de la semaine… c’est notre petit jeu… Ne pense
pas que j’avais oublié… » Isabelle ne dit rien et ouvre la bouche.
Maitresse lui enfonce dans la bouche et bourre la culotte entièrement.
Isabelle a un haut le cœur et Maitresse lui retire un peu la culotte.
Puis elle se penche sur la table de chevet, ouvre le tiroir et sort un
rouleau de scotch. Isabelle redresse sa tête et Maitresse la bâillonne
avec la culotte dans sa bouche en faisant 2 tours de scotch autour de
sa tête…
Puis elle reprend son jeu avec le gode, jouant alternativement avec la
pénétration d’Isabelle et les caresses sur le clitoris. La soirée
s’est passée ainsi, moi à genoux devant le lit à les contempler, dans
un état de frustration intense, Isabelle à essayer de jouir pendant
que maitresse contemplait l’effet de ses caresses internes et
externes, sans mettre un point final aux réjouissances.
Isabelle s’est mise à supplier Maitresse de la laisser jouir, puis
s’est mise à pleurer pendant que Maitresse continuait à la torturer.
Alors Maitresse s’est redressée et s’est penchée à nouveau sur le
tiroir de la commode. « C’est bon ! Cesse de pleurer tu me dégoûtes… »
Elle en a tiré une ceinture de cuir sur laquelle elle a fixé le
godemichet… Je n’en ai pas perdu une miette, absolument frustré et
tétanisé par ce spectacle que je n’avais jamais vu. Elle s’est
redressée, montrant son ersatz de sexe vainqueur et lui crachat au
visage : « Tu vas te soulager salope ! Je vais te soulager… » et elle
la pénétra et bourra de toute ses forces. Celle-ci se mit
instantanément à jouir et à pleurer. Du liquide s’écoulait de son sexe
à chaque pénétration, giclait sur le drap et chaque pénétration était
accompagnée d’un cri d’Isabelle. Je n’ai pu que me tortiller et
regarder cette scène, je crois même que mon esprit a disjoncté à ce
moment. Je me suis effondré dès que le calme fut revenu et me suis
allongé en chien de fusil au pied du lit.
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