Tumgik
#chaos noir jpg
chaosnoirjpg · 2 years
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Happy New moon in Capricorn and winter solstice, everyone.
// Controversial Artists, beauty and Truth //
Why would some of the most beautiful and True statements of the human condition come through some of the most vile human beings who don the title of artist/creator?
- The lesson in this is that its important to search for bits of beauty and Truth in every dark corner because you never know what or who you could learn and grow from.
// Differences, Existence, and God //
The above sentiment reminds me of a movie made me think about existence for years to come: that movie is called SAVED! The main character asked, “Why would God make us so different if They wanted us to be the same?”
- A: God made us different to learn how to Love each other, to figure out how to exist in harmony and reverence for one another.
// Tupac and purpose //
“I might not change the world but I will inspire the one who will,” Tupac
This made me think about how all of us can learn to follow out hearts and exist as we all know we should on our personal paths and allowing others to be inspired and moved by simply living in our Truths.
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afriknow · 7 years
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Elles sont d’excellentes ambassadrices pour toutes celles et ceux qui réduisent la Somalie à la pauvreté, au chaos et aux al chababs. En somme, à un no man’s land, territoire hostile, lointain et moyen-âgeux, une véritable catastrophe à la périphérie de la marche du monde et de l’histoire.
La Somalie, ses femmes et homme, sa diaspora, ont bien plus à s’offrir et à offrir au monde.
Warsan Shire : La poétesse
Tumblr media
HOME :
no one leaves home unless home is the mouth of a shark you only run for the border when you see the whole city running as well
your neighbors running faster than you breath bloody in their throats the boy you went to school with who kissed you dizzy behind the old tin factory is holding a gun bigger than his body you only leave home when home won’t let you stay.
(suite)
Poignant. Que dire de plus.
2. Sherihan Hersi aka Cherrie : La rappeuse
Véritable icône en Suède depuis 2015, Cherrie est une rappeuse suédo-somalienne portant fièrement son origine tout en étant fortement intégrée à cette néo-culture suédoise; multiculturelle et arc-en-ciel.
“I always felt like racism was more institutionalised here like in the workplace and school” Cherrie (Buzzfeed)
  Afropéene et third-culture kid, Cherrie chante son parcours à la fois teinté de racisme systémique, de ghettoisation et de résilience.
“I definitely see myself as a third culture kid or cross-culture kid. I was born in Norway, moved to Finland, then to Sweden, and then to London and then back again.”
    3. Halima Aden : dé-clicheuse
  Lorsqu’on voit Halima Aden, on voit une beauté, une fraîcheur, un top modèle et non ce carré de tissu sur sa tête. Ce qu’on voit moins ou pas du tout, s’est l’enfant née dans un camp de réfugié Kenyan, l’activiste qui bouscule les préjugés, les identités complexes et multiples. 20 ans et déjà toute une icône pour la jeune génération.
4. Ilhan Omar : Pionnière aux visages d’anges
Ce n’est pas l’Amérique misogyne et raciste de Trump qui empêchera cette femme douée de changer la narrative entourant les immigrants africains et musulmans.
De la Somalie aux parties démocrates. Aujourd’hui élue à la chambre des représentants du Minnesota. Avec elle, le concept d’intersectionnalité – femme, immigrante, africaine, musulmane – aux pays du Muslim Ban (interdiction des musulmans) prend tout son sens. Tout un symbole.
Ces femmes somaliennes battantes, pionnières, défiants les conventions et le statut quo. Mais, cela ne date pas d’aujourd’hui :
5. Ebla Awad – Araweelo : 
Certainement l’une des premières femmes-souveraines de l’histoire de l’humanité, la reine Ebla est comme ces demi-déesses greco-romaine ou pharaonique. Bien avant l’avènement des divines beauté Iman, Yasmin Warsame, Waris Dirie, elle trôna sur la Somalie d’une main de fer dans un gant de velour.
Dans l’imaginaire collectif, elle est protéiformes. À la fois héroïque et mystique. “Mère dévoreuse” sanguinaire pour certains, féministe-visionnaire instaurant le matriarcat pour d’autres. Son personnage s’est depuis mué en une légende effrayante racontée aux enfants. La légende noire dit qu’elle aurait soumis, castré, pendu les hommes, qu’elle tenait alors coupable des conflits tribaux incessants, mais aussi, péripétie précipitant sa colère, de misogynie et de machisme.
Aujourd’hui, les parents transmette cette histoire ‘effrayante’, sensée mettre en garde les unes sur la peur que suscite une femme au pouvoir – anti-féminité – et les autres (garçons) sur le danger que représente une femme en position de pouvoir – anti-masculinisme. La femme dominatrice non séductrice.
Pour plusieurs jeunes femmes, le personnage de la reine Araweelo est un symbole libérateur de la lutte pour l’égalité, un idéal-type de femme intelligente, battante et belle; on dirait aujourd’hui un role model.
(Constatons ici l’importance du rôle de la représentation)
Enfin, il faut dire que toutes ces femmes à la féminité assumée, aux talents manifestes et à l’influence grandissante sont comme un pied-de-nez, un uppercut, un bisou posé délicatement sur les joues livides de ceux qui font de la Somalie une anomalie.
  CHIRE Amina Saïd et NDAGANO Biringanine. Traversées, histoires et mythes de Djibouti. Revue de l’Université de Djibouti
    #Vu(es)SurLeWeb : La Somalienne ont du talent ! Elles sont d'excellentes ambassadrices pour toutes celles et ceux qui réduisent la Somalie à la pauvreté, au chaos et aux al chababs.
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olivierdemangeon · 6 years
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  Alors que le Prince de Joseon revient en Corée pour honorer les dernières volontés de son défunt frère, il se retrouve en pleine guerre de pouvoir avec la menace d’une épidémie zombie de grande ampleur qui risque d’infecter toute la nation.
    Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Kim Sung-hoon Scénariste : Hwang Jo-yoon Acteurs : Hyun Bin, Jang Dong-gun, Kim Eui-sung, Jeong Man-sik, Jo Woo-jin, Lee Sun-bin, Seo Ji-hye, Jo Dal-hwan, Kim Tae-woo Musique : Inyoung Park Genre : Action, Historique, Horreur Durée : 121 minutes Date de sortie : 25 octobre 2018 (Corée) Année de production : 2018 Sociétés de production : Leeyang Film, Rear Window, VAST Entertainment & Media Distribué par : Next Entertainment World Titre original : Chang Gwol / 창궐 Notre note : ★★★★☆
    “Rampant” est un film d’action historique et d’horreur sud-coréen, datant de 2018, réalisé par Kim Sung-hoon, à qui l’on doit également “Confidential Assignment” (2017). Les acteurs principaux sont Hyun Bin, qu’on a pu voir dans “The Negotiation” (2017), Jang Dong-gun, qu’on a pu voir dans “No Tears for the Dead” (2017), Kim Eui-sung, qu’on a pu voir dans “Steel Rain” (2017), Jung Man-sik, qu’on a pu voir dans “The Battleship Island” (2017), Jo Woo-jin, qu’on a pu voir dans “The Fortress” (2017), Lee Sun-bin, qu’on a pu voir dans “The Princess and the Matchmaker” (2018), et Seo Ji-hye, qu’on a pu voir dans “The Suicide Forecast” (2011). À noter la participation de Kim Tae-woo, qu’on a pu voir dans “Memories of the Sword” (2015).
L’histoire proposée par “Rampant” nous invite à suivre Lee Chung (Hyun Bin) qui doit se battre contre des “démons de la nuit” afin de sauver l’empire de Joseon. Lee Chug est l’un des fils du roi et l’un des plus grands artistes martials du pays. Bien qu’il soit pris par des obligations imposées par l’empire Qing, il rentre auprès des siens après avoir appris que son frère, le prince héritier Lee Young (Kim Tae-woo), s’est suicidé. Avec des zombies qui sévissent dans le pays dès la nuit tombée et le ministre de la Guerre, Kim Ja-joon (Jang Dong-gun) qui complote pour renverser la dynastie, le prince Lee Chung doit s’engager dans des combats aux côtés de la belle Seok-hee (Lee Sun-bin) et d’autres partisans.
“Rampant” est particulièrement divertissant, car il associe deux genres singuliers que j’affectionne particulièrement, le film historique et le film d’horreur de zombies. En anglais, on utilise souvent le terme period drama, parfois historical drama. C’est un terme un peu fourre-tout qui peut s’appliquer à plusieurs genres dans le cinéma. Pour le cinéma coréen, on utilise souvent ce terme pour désigner les films mettant en scène la période Joseon, soit le Moyen Âge pour faire simple. “Rampant” entre donc dans cette catégorie. Catégorie que j’apprécie donc particulièrement, comme je le soulignais en introduction. Kim Sung-hoon, le réalisateur, dont nous avions déjà savouré son précédent métrage, “Confidential Assignment” (2017), est proche de la perfection avec cette nouvelle et récente monture. En effet, ce film est sorti le 25 octobre dernier sur les écrans coréens.
L’aspect historique repose donc sur des éléments de production très soignés. Les costumes et les décors sont absolument sublimes et la photographie proposée par Sung-Jae Lee met tout ceci en valeur, en jouant avec les éclairages, l’ombre et la lumière naturelle, tant en intérieur qu’en extérieur. Hwang Jo-yoon, le scénariste, installe donc son récit durant la période où la dynastie Joseon fut sous l’autorité de la dynastie Qing. La toile de fond est un complot orchestré par le Ministre de la Guerre afin de destituer le roi et de monter sur le trône. Le prince héritier s’étant suicidé, c’est au cadet que revient la charge de contrer le ministre rebelle.
Mais Les choses se compliquent car des zombies vont venir semer le chaos partout autour de la ville. Dans ces négociations avec les Hollandais afin d’acheter des mousquets, des balles et de la poudre noir, le Ministre de la Guerre va découvrir un homme malade sur le bateau de ses alliés de circonstances, et y voir un moyen de régler certains de ses problèmes en laissant œuvrer des “démons de la nuit”. Cependant, les choses échappent à tout contrôle et les montres cauchemardesques se multiplient à vitesse grand V. Les effets spéciaux et autres maquillages sont très bien faits, avec un soin tout particulier apporté à l’hémoglobine. Comme souvent les figurants s’en donnent à cœur joie en jouant les morts-vivants.
Le récit est fluide et la narration est linéaire, les faits se déroulant sur plusieurs journées. “Rampant” propose une bonne dose de scènes d’action, avec une double orientation, se débarrasser des zombies et empêcher le Ministre félon et ses hommes d’arriver à leur fin et de prendre le pouvoir. Les scènes de combat sont superbement orchestrées avec des angles de prise de vue intéressante et des ralentis d’une superbe qualité. La bande originale présentée par Inyoung Park est très agréable avec une association de musique classique et de mélodie moderne et rythmée, venant harmonieusement coller aux images.
L’ensemble de la distribution offre de très bonnes prestations. On retiendra cependant la performance de Hyun Bin. L’acteur propose un personnage détaché de ses tâches princières, n’ayant d’intérêt que pour les femmes et la vie facile. Progressivement, il va prendre conscience de son rôle et la charge qui est la sienne et s’impliquer directement dans le devenir de sa nation. En outre, l’acteur montre sa dextérité pour les arts martiaux en s’avérant pleinement à l’aise dans ce registre. J’ai également apprécié la prestation de Jeong Man-sik dans un rôle de soutien, sorte de valet au prince, qui n’hésite pas à lui prodiguer des conseils sans que ce dernier ne l’ait sollicité. Le personnage amène une petite dose d’humour sans basculer dans le burlesque. Certains personnages sont en revanche sous-exploités, comme par exemple, celui incarné par la ravissante Lee Sun-bin.
En conclusion, “Rampant” est un très bon film mêlant astucieusement l’historique et les zombies. L’intrigue est accrocheuse et le développement est sémillant. Le rythme est bien équilibré, le récit est fluide et les scènes d’action sont très bien orchestrées. La photographie est excellente, les effets spéciaux et autres maquillages sont très bons. La bande originale est plaisante et la distribution offre de superbes prestations. Un métrage qui offre une belle harmonie entre différents genres qu’il fallait oser associer. À voir sans hésiter !
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    RAMPANT (2018) ★★★★☆ Alors que le Prince de Joseon revient en Corée pour honorer les dernières volontés de son défunt frère, il se retrouve en pleine guerre de pouvoir avec la menace d'une épidémie zombie de grande ampleur qui risque d'infecter toute la nation.
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dusudaunord · 7 years
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New York, Carnets de Villes
New York, Carnets de Villes
Est-il bien raisonnable d’écrire et partager un voyage sur New York, tant absolument tout semble avoir été dit, capturé, filmé, reproduit… La question se pose évidemment — toutefois nous jetons dans cet article tout notre émerveillement, notre inspiration et notre admiration puisée au cœur de cette ville-monde unique, qui a touché notre âme de créatifs et de voyageurs.
Greenwich Village, Soho, Chelsea, Little Italy, Brooklyn,… “La ville debout” comme l’écrit Céline, “absolument droite”, belle, vertigineuse, iconique. Ce quasi premier regard sur Big Apple que nous partageons sous forme de “Carnets de Villes” est enrichi de quelques belles adresses et références inspirantes de livres et littérature de voyage.
Ce carnet a été réalisé pour NYC & Company en collaboration avec la Maison Louis Vuitton.
NEW YORK CITY. ITINÉRAIRES ET PHOTOGRAPHIE URBAINE.
Les “Carnets de Villes” sont un prolongement naturel de Carnets de traverse. Nous y concentrons notre ressenti d’espaces urbains emblématiques, captivants — permettant au voyageur-flâneur de se projeter et de faire sienne cette destination.
Ce Carnet ne cédera pas à l’idée du guide de voyage, mais portera plutôt l’idée d’itinéraires photographiques, hautement subjectif, au caractère artistique.
  NOTE DE LECTURE — Dans une conversation récente avec une amie photographe, s’est posée la question suivante : “A quoi ressemblerait la couverture d’un “Carnets de Villes”, selon Carnets de traverse ?” J’imaginais simplement reprendre nos codes graphiques : cet aplat blanc que nous utilisons depuis quelques années, une belle compo typo, rigoureuse, simple, élégante. Rien de trop tape-à-l’œil. Une couverture toilée grise, permettant de donner un petit côté précieux au livre.
    Élévation new-yorkaise, les sky scrapers.
Rien ne semble plus évident que d’associer le miracle new-yorkais aux buildings et autres sky scrapers. Chrysler Building, Daily News Building, Rockefeller Center, Empire State Building, Flatiron Building… Qu’ils soient néoclassiques, Art déco, internationals, postmodernistes,… les gratte-ciel new-yorkais ont résolu le problème du manque d’espace de la ville pour investir la hauteur !
Cette course au gigantisme, au style, à la démesure architecturale autorise cette réflexion de Rem Koolhaas : « En soumettant leurs gratte-ciel à une concurrence acharnée, les architectes de New York ont transformé la population tout entière en un vaste jury. Là réside le secret du perpétuel suspense architectural entretenu par Manhattan.»
  ★ — Notre exploration urbaine débute autour de l’Empire State Building, au cœur de Midtown. Ce phare urbain de 380 mètres, iconique, majestueux, fascine par son isolement au croisement la 5th Avenue et de la 34eme Street. Son élégante silhouette attire le regard, rassure le voyageur égaré — sa verticalité monumentale rappelle quelques scènes mythiques d’un certains King Kong (Film de 1933).
Au sommet de l’Empire State Building, c’est Midtown, que dis-je, New York qui s’ouvre aux yeux du photographe. Parfaitement situé au milieu de Manhattan, la ville vue du ciel est un rêve urbain extraordinaire !
        Midtown est de loin notre zone d’exploration fétiche. Vaste, centrale, riche de mille beautés, de mille atmosphères, ce “plus qu’un quartier” est à lui seul un territoire que le peintre Hopper n’aura sans doute pas boudé.
Ici, les vieilles water-towers ponctuent les élévations de New York. Les cast-iron buildings affirment l’absence d’uniformité de l’espace urbain — l’ombre et la lumière révèlent un chaos esthétisant et très photogénique.
Time Square, Macy’s, New York Public Library, Rockefeller Center, Madison, Lexington… Ces icônes accrochées à la 5th, 6th et 7th Avenue sont une délicieuse aventure urbaine qu’il faut arpenter l’œil attentif aux scènes de vie new-yorkaises !
                On appartient à New York instantanément ; on lui appartient tout autant en cinq minutes qu’en cinq ans. Cette ville vous accroche par ses sollicitations visuelles, son intensité sensorielle, ses contrastes flagrants qui portent son exubérance !
    Vibration new-yorkaise, l’ombre et la lumière.
New York nous a fasciné par sa lumière. Cette belle lumière d’hiver. Une intensité particulière, “presque” européenne. Ce sont des compositions picturales qui s’installent sous nos yeux à chaque pas, chaque bloc, chaque street remontée avec avidité.
Des petits riens que le new-yorkais ne voit plus depuis bien longtemps. Des fire escapes graphiques, des reflets de fenêtres sans âge, des crépis lessivés par le froid polaire et l’odieuse chaleur moite d’été.
        ★ — Notre exploration urbaine suit un itinéraire très intéressant, de Greenwich Village (au niveau de la 7th Avenue — Christopher Park) jusqu’à Little Italy (par Broomse Street puis Grand Street).
Greenwich Village fascine par le dédale et “l’étroitesse” de ses rues. On y ressent encore au petit matin des atmosphères épaisses, que l’écrivain John Dos Passos a puisé dans les années 20-30 ! Little Italy quant à elle, semble ne plus tenir qu’à quelques blocs tant l’expansion de Chinatown semble insatiable. Très touristique par ses trattorias pittoresques, la Petite Italie reste un endroit intéressant pour le voyageur !
            Le Flatiron Building, plus au Nord dans Midtown — cette proue de navire urbain, au croisement de la 5th Avenue et de la 23th Street, affirme son excentricité architecturale devenue icône de New York. L’architecte Daniel Burnham respecta scrupuleusement la forme du terrain pour obtenir ce gratte-ciel à trois côtés ! Le développement noir et blanc assoit sa forme sculpturale et élégante.
Le fond et la forme new-yorkaises, l’exubérance.
J’ai gardé en tête ce précepte enseigné en Ecole d’Art, à chaque pas dans la ville. La forme new-yorkaise, rigoureuse, répétitive, souvent ocre, dorée ou blanche, réfléchissante,… offre une matière photographique infinie. Le fond quant à lui, serait plutôt le mouvement de la foule, perpétuel. Un mouvement régulier, un tempo rapide.
Le fond et la forme donnent alors un ton photographique très intéressant que le voyageur aura plaisir à saisir. Des compositions lumineuses et variées, de beaux instantanés de New York.
          Des food-trucks de la 6th Avenue aux enseignes de Chinatown, le fond et la forme new-yorkaises offrent aux Leica des scènes de rue étonnantes, esthétiques — jetant à nos yeux ce jaune-icône de New York. Le flux incessant des Yellow-cabs accentue ce vertige urbain ; la lumière de février donne aux ombres une densité tout à fait exceptionnelle !
★ — Notre itinéraire urbain va de la 6th Avenue (de Central Park) à Chinatown (Canal Street), via KoreanTown, puis la 5th Avenue incluant le Flatiron Building, Washington Square Park, St. Patrick’s Cathedral et enfin Canal Street. C’est un longue marche de deux à quatre heures, très belle, très inspirante que je vous recommande !
    Atmosphère new-yorkaise, l’Atelier-Room.
Les intérieurs de buildings sont propices à saisir de belles atmosphères new-yorkaises. Nous avons séjourné durant quelques jours au NoMad Hotel (sur Broadway), un de nos hôtels fétiches à New York. Superbe ! Quelques beaux objets de voyage et guides de la Maison Louis Vuitton à photographier. Joli plaisir surtout dans cet écrin urbain.
        Rêve new-yorkais, voir l’art autrement.
Le Guggenheim Museum est une œuvre en lui-même, haut lieu des collections d’art avant-gardistes ! Nous sommes soufflés par cette rampe hélicoïdale, donnant à l’espace une continuité dans la présentation des œuvres.
Figer ces espaces par la photographie se révèle étrangement compliqué. Tout semble rentrer dans le cadre du 28mm et pourtant rien ne rentre vraiment ! Un casse-tête ! Nous savions qu’il faudrait fragmenter la mise en page pour révéler les formes que nous trouvions les plus belles ! Un 14mm aurait déformé cette magnifique architecture. Impensable !
Chagall, Mondrian, Pollock, Kandinsky, Calder… ils sont là tous ces géants que nous avons tant étudié aux Beaux-Arts et continuons d’aimer ici ou ailleurs dans le monde !
          ★ — Notre itinéraire urbain part du 1 Hotel Central Park, (nous y avons séjourné trois jours. Impeccable !) pour rejoindre le Guggenheim Museum. Puis la traversée de Central Park pour photographier l’American Museum of Natural History et ses dinosaures. (#ReveDeGosse)
Direction DUMBO (Down Under the Manhattan Bridge Overpass) et ses quartiers industriels pour saisir d’autres rêves new-yorkais !
        Vertige de Brooklyn, beautés industrielles.
Brooklyn. Pointe Sud-Ouest de Long Island, le plus peuplé des boroughs de New York City ! Au-dessus de l’East River, le Manhattan Bridge. La vision de cet assemblage monumental est saisissante. La brume a envahi Manhattan, la couvrant d’une atmosphère que nous n’avions que très peu vue auparavant. Berenice Abbott a photographié ce pont tout au long de sa vie, explorant à travers des milliers d’ « instants » toute sa beauté et ses subtilités.
Il faut errer dans et le long du quartier de Dumbo. Le bruit assourdissant des rames de métro traversant ce pont d’acier est inouï ! Les ambiances des vieux entrepôts, les adresses un poil hype, les workers des chantiers à proximité — là encore de magnifiques heures de photographie. Cette ville possède une puissance narrative hors du commun !
          Une partie de Brooklyn (Greenpoint) s’étale devant nous. Depuis notre chambre du William Vale (L’hôtel est pas mal !), ces blocs couleur de rouille, hétérogènes, révèlent une esthétique sublime avec une lumière de fin de journée.
Les églises, les friches industrielles, les blocs d’appartements, les usines en activité, les chantiers de construction, les restaurants hypes, les galeries,… Toute cela donne une atmosphère très étrange, un mélange étonnant de population et de personnes. Je ne saurais trop si nous avons été séduits. Nous devrons revenir !
        Le vertige du Pont de Brooklyn. Esprit du progrès de la fin du XIXeme siècle, cette autre icône de New York fascine autant qu’elle rebute les new-yorkais. Les cyclistes lancés à toute allure y pestent sans cesse contre les touristes, les automobilistes s’y pressent pour rejoindre Long Island.
On y revient comme un des nombreux points «zéro» de nos boucles urbaines. Paul Morand le décrit avec habileté :
«Faites-vous mener au centre de Brooklyn Bridge, au crépuscule, et en quinze secondes vous aurez compris New York. D’abord on ne voit rien, on est perdu dans un entrecroisement de charpentes, de tringles, de câbles dilatés par le soleil de l’après-midi. C’est à pied qu’il faut le traverser. Arrivé à mi-chemin, je m’arrête à l’entrée de cette ogive noire qui en soutient la superstructure ; en-dessous, à travers des cages carrées suspendues dans le vide, les express doublent, avec un vacarme infernal.»
★ — Notre exploration urbaine commence au Main Street Park (sous le Manhattan Bridge) puis déroule un itinéraire assez classique : Brooklyn Bridge, New York City Hall, de là descendre Broadway, Wall Street jusqu’à Battery Park à l’extrême Sud de Manhattan.
    Rigueur new-yorkaise, force de la répétition.
Son damier urbain, ses blocs apposés presque mécaniquement les uns aux autres, ses facades répétitives, ses éléments architecturaux standardisés,… la démultiplication donne à New York un graphisme rigoureux. Chelsea, NoMad, Financial District,… sont de beaux quartiers pour fixer une photographie particulière.
Chelsea nous a séduit par sa beauté et son patchwork architectural. Des logements sociaux y côtoient les plus luxueux townhouses de New York. Ces enfilades de maisons extraordinaires, sont à quelques pas de petites industries, d’ateliers ou d’antiquaires aux objets raffinés. En quelques mètres, ce quartier bouscule votre regard et développe des envies de possession immobiliere !
        Financial District est un espace étrange que nous avons aimé photographier ! Il n’y a pas à proprement parlé de “charme” mais une esthétique puissante. Ces architectures fonctionnelles offrent des perspectives sublimes. Monolithes noirs de verre ou tours néo-gothiques de pierre, elles fixent sur les viseurs des Leica des lignes de tension formidables !
        ★ — Notre itinéraire urbain commence au Burning in Water Art (Entre les W 29th et W 28st Streets) puis accéder à la High Line jusqu’à la W 16th Street. De là, rejoindre Tribeca puis Financial District par Hudson Street ou Greenwich Street !
    Vide new-yorkais, Central Park.
New York a investi la hauteur. Central Park conserve jalousement un vide bienfaisant — offrant aux new-yorkais 340 hectares de prairies, de chemins, de lacs,… Il est étrange de se retrouver au cœur de cet immense espace vert, ceinturé de hautes murailles de buildings.
Le tempo y est différent, le rythme semble s’être doucement ralenti. Il est très agréable d’incorporer dans une découverte de New York, au moins un après-midi complet de flânerie dans cet espace hors du temps. Le regard s’y apaise et retrouve quelques heures de normalité dans une ville extra — ordinaire.
        Cette idée de retrouver les plus grands musées de New York autour de Central Park est étonnante : the Metropolitan Museum of Art, the Solomon R. Guggenheim Museum, the Museum of the City of New York, the Neue Galerie, the Frick Collection, the American Folk Art Museum, the Museum of Arts and Design, the Jewish Museum, the American Museum of Natural History,…
    Contraste new-yorkais, la pierre et le verre.
On ne peut louper ces contrastes de styles et de matières. Ils vous interpellent à chaque rue, chaque bloc. Cette vision de Saint Patrick’s Cathedral baignée de lumière, émergeant de l’obscurité de la 5th Avenue a été un choc visuel. Ses flèches néo-gothiques semblent défier la façade-rideau de l’Olympic Tower. Vision inoubliable de Midtown !
Même folie visuelle, même extravagance des contrastes quand la New York Public Library décide en fin de journée de s’enfoncer dans le sombre, écrasée par les reflets dorés des hauts buildings ! Saisissant spectacle de volumes imbriqués sur des plans et des perspectives différentes.
          ★ — Notre itinéraire urbain commence à la Saint Patrick’s Cathedral, puis glisse doucement vers le Rockefeller Center (Top of the Rock) et son Atlas veillant sur la 5th Avenue. La New York Public Library n’est qu’à quelques pas, puis Time Square, le Radio City Music Hall et le quartier des spectacles.
En fonction de la saison et de la lumière, il peut être intéressant de flâner en fin de journée dans cette partie de Midtown !
    Couleurs new-yorkaises, les ocres de façade.
Les couleurs de New York accrochent l’œil avec d’étonnants jeux d’ocres, de rouges-rouille et d’oranges éteints. Ces camaïeux discrets suivent notre traversée de la ville, des quartiers les plus huppés aux zones les plus “pauvres”. Le blanc vient rythmer les blocs d’appartements et les façades — donnant cette identité si particulière à l’espace d’habitation new-yorkais.
Les escaliers de secours, aussi inutiles et dangereux soient-ils, enrichissent le vocabulaire graphique et visuel de NOLITA, Little Italy, Chinatown, Greenwich Village,…
        ★ — C’est un court itinéraire, très sympa à parcourir par grande lumière avec des ombres très marquées — de Nolita (Prince Street) descendre Mott Street jusqu’au cœur de Chinatown en passant par Little Italy.
Les quartiers traversés offrent des visions assez brutes de New York. La gentrification semble moins rapide dans cette partie de la ville. Il y a de magnifiques scènes de rues à saisir portées par les atmosphères chinoises !
            Mots et images de New York.
La bibliographie parlant de New York est infinie, il serait absurde de la recenser ; toutefois voici trois livres que j’ai particulièrement apprécié :
• Henry Miller et son sublime “Aller Retour New York“. C’est un récit un rien cynique sous forme de lettre adressée à un ami. Il y oppose New York et “les jours tranquilles” à Paris. Un très chouette ouvrage !
• John Dos Passos, Manhattan Transfer. Vision désenchantée, grouillante dans la narration de l’auteur. Complexe à lire, il m’est arrivé de devoir relire certains chapitres plusieurs fois. Je n’ai pas lâché l’affaire, le livre est sublime de détails et de figures de style comme je les aime.
• Saul Leiter, Early Color. Un maître de la photographie urbaine et new-yorkaise, souvent associé au Kodachrome ! Des photographies d’une puissance extraordinaire. Je vous recommande avant de partir à New York d’y jeter un coup d’œil !
        Cinéma de New York.
Je n’avais jamais vu “Manhattan” de Woody Allen avant de partir à New York. J’ai profondément aimé ce film et toute son iconographie noir et blanc, son histoire et ses personnages intrigants. Mais c’est surtout le choix du noir et blanc qui m’a fasciné : “Manhattan” est une déclaration d’amour à New York, un éblouissement visuel de chaque instant !
        Nous avons réalisé ce “Carnets de Villes” pour NYC & Company en collaboration avec la Maison Louis Vuitton. Le choix des contenus éditoriaux et visuels nous revient librement.
Cet article New York, Carnets de Villes a été publié sur ✖ Carnets de traverse.
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chaosnoirjpg · 2 years
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aesthete: pronoucned - ĕs′thēt
One who cultivates an unusually high sensitivity to beauty, as in art or nature.
One whose pursuit and admiration of beauty is regarded as excessive or affected.
One who makes much or overmuch of æsthetics.
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chaosnoirjpg · 2 years
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Being with your family on any holiday should be an Olympic sport.
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chaosnoirjpg · 2 years
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Lessons from Nature:
The moon taught me there is beauty in darkness; even when I do not feel whole, I am enough.
The sun taught me that when I shine in my truth, others blossom into their truth too; the true essence of me is untouchable and sacred. the warmth of the heart of God herself.
The waters taught me to trust my heart, give space to honor my emotions, become mindless and embody my true self, one of peace.
the earth taught me to be steadfast - slow and consistent, plant and nurture what you desire to manifest and in due time reap what is sown by divine timing; be prepared, be ready, it's already done.
the wind taught me to believe in things unseen, breath is sacred and connects me to the present, grounding and deeply rooted in love, the earth breathes with me with each breeze; I am never alone.
the fire taught me that a single flame can light up the darkness. like the sun and God, I too am a piece of consciousness, existing is a miracle compared to the natural chaos and everchanging flux of life.
Reflection // The last 6 months: July: Dream Con 2022! finally
August: Nope the movie, created Chaos Noir on tumblr
September: a blur, disassociated for 2 weeks and a half
October: timeline shifts galore and speeding up time, gone too soon
November: appreciation and gratitude
December: Hopeful, powerful, renewed/renewing vows
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chaosnoirjpg · 2 years
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youtube
We have three brains:
1. The actual brain,
2. The heart
3. The gut (small and large intestine)
All listed above have neuron like the brain. The brain has 86 billion neurons. The gut has 100 - 500 million neurons. The heart has 40,000 neurons.
The heart is the strongest electro-magnetic instrument in the body.
It is the heart that send the brain signals about what the soul truly desires. Once you unlearn and relearn the language of you own heart then can you live in you truth fully.
Do you trust your heart?
Your heart cannot lie. Your heart cannot lead you astray. That is why you learn to trust and listen to your heart. Follow your heart and your life will become a masterpiece of your fulfillment.
Heart-Brain coherence is when the mind, body and spirit are in harmony, present, and aware. When you are in the state of coherence your body can heal itself.
Heart-brain coherence practices:
Deep breathing
Meditation
Yoga
Visualization
Progressive muscle relaxation
Benefits:
Increased creativity
Improved decision-making
Clarity in thought
Emotional stability
Increased physical energy
Reduced stress level
Improved sleep quality
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chaosnoirjpg · 2 years
Note
Do you believe in spirituality
My apologies for keeping you waiting. Thank you for the ask.
// Short Answer // Yes, I do believe in spirituality because there is nothing stopping me from believing in whatever I want. Everyone has a chance to explore the depths of their soul in their lifetime. The act of going within yourself is the act of spirituality.
Long Answer | Deepening Perspective:
Do you believe in spirituality?
This question depends on one's perspective on the words "believe" and "spirituality".
Exploring Belief:
- to trust, have faith or confidence in, to assume a subject is true, something exists
What is it to believe? Where does belief come from? Is it inherited through bloodline, taught in church/other holy places or coerced by the masses? Does a certain matter of *facts or *truth have to be present before belief exist? Does my belief in anything matter?
*Facts are boring and the truth is expensive. ~American Baron
Exploring Spirituality:
Spirituality precedes religion. Religion is a branch of spirituality as it is a man-made institution, structured and procedural. Spirituality has existed since the beginning of mankind, unwritten and all encompassing. Humanity is inherently spiritual to some capacity.
Breaking down the word spirituality to the following: (spirit-u-ality) spirit + you = (your) reality
The idiom, “Change your mind, change your life/reality.” Some view Spirituality as "spicy" psychology, another way to mend and heal the mind. There are many similarities between psychology and spirituality. However, psychology isn’t a perfect replacement or substitute for spirituality as it only addresses 1/3 of the whole (mind, body, spirit).
Psychology deals with the psyche/the mind - vastly different than the brain as it is a physical organ located in the body. The understanding of the mind is something that has eluded mankind for a millennia.
Thought experiment and example of the mind at work: close your eyes and imagine an apple. Can you feel the weight of it, the texture of its surface, the taste of it?; now open your eyes. Can you still see and hold the apple in your mind? What, how, where is that happening? You can even travel in time in your mind to events past(life regression) or future(visualization) both useful tools to help heal.
I recently stumbled upon someone saying the following:
Spirituality is the journey within, the journey to mastering one's inner-world.
Therefore, making the path unique to each individual and deeply personal. Spirituality is inclusive by nature; one can believe in no God, many Gods, or one God and still be spiritual.
Closing Question: What is stopping you from believing in whatever you desire?
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chaosnoirjpg · 2 years
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Words that expand my mind and fill my heart
American Baron Quotes:
The Difference between something and nothing is perception.
Pretending is powerful (especially as a group activity)
Nothing stops anyone from believing whatever they want to believe in.
Facts are obsolete.
Truth is expensive.
All I can do is be me, whoever that is. ~Bob Dylan
Live like your prayers are already answered.
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chaosnoirjpg · 2 years
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Comforting things
Nonresistance, nonjudgment, and nonattachment are the three aspects of true freedom and enlightenment living.
whenever you feel superior or inferior to anyone that's the ego in you.
Give up on defining yourself; to yourself and to others. Don't be concerned by how others define you. When they define you, they limit themselves. So it is not their problem.
Whenever you interact with others don't just be there as a function or a role but as a field of conscious presence.
~eckhart tolle, new earth
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chaosnoirjpg · 2 years
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affirm
I take responsibility for my life and my happiness. I follow what lights me up inside. I commit to my heart. I align with people, places, and things that have an open heart. I welcome healthy-loving relationships. I release all expectations.
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chaosnoirjpg · 6 months
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About
Salutations to everybody grown (18+, 25 and older, old enough to rent a car, etcetera etcetera…you've been warned),
Known as: Abe, Abe the Artist, Chaos Noir (jpg), Scrivener of Chaos, Bryn, Ryn, Rainbow/R. Barnan, Neo Nash
If I could describe myself in a few words: chaotic and queer, lives under a rock like a proper gremlin
Currently: obsessed with sapphic vampire OC Shadows of Faith
Fav Quote: 🖤 I will always dream of a better world. I don't give a f**k about the odds ~Noname 🖤
about: mini addition
philosopher's fool
b. Bulani and Solaani (Black/Afro-Descent)
Signs: Sagitterorist (Sun and Venus), Gemini (Moon and Mars), Libra rising, and Aquarius North Node
MBTI: INFP-T
Enneagram: 5w4
Blood type: O+
House: Ravenclaw in the streets, Slytherin in the sheets
Clan: Scar clan
life status:
I have absolutely no idea what we’re doing here. Or what I’m doing here, or what this place is about, but I am determined to enjoy myself. ~Mrs. Peacock, Clue (1985)
Links:
chaosnoirjpg.tumblr.com/bio
--
Embrace your weird. Stay curious. Chao, OOxxOO🖤
A.B.
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chaosnoirjpg · 2 years
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// inner-teen healing //
The inner-teen reveals itself when you have fully integrated and freed the inner-child.
You know that you have healed your inner-child when imagination and a sense of play returns to the body and heart.
The Inner-teen has two ways it shows up: anger and sadness.
How to heal Anger:
Pause, breath in through the nose, hold, out through the mouth, make a sound when you breathe out through the mouth, stick your tongue out when you breathe out too
Breathe in peace, breath out anger
Say aloud your feelings: "I am pissed and I don't know why" etc.
Where do you feel the anger in your body? breathe and bring it to the heart to be transmuted into love or breathe and send it to Mother Earth to be transmuted into useful energies
Anger is grief that is unexpressed
How to heal Sadness:
Move the body, dance to joyful music
Sing, chant joyfully
Write a list of grateful things
commune with nature, feel the sun
Your inner-teen desires to be safe, seen/validated, and heard. Listen to your feelings. Allow the ebb and flow of emotion to pass over you. Know that this will pass.
The only way out is through (your emotions)
Journaling: work on your energy centers
throat - center of expression, express yourself, the bridge between the heart and the 3rd eye where the soul can be expressed via words/chant/song
heart -the body’s compass, powerful transmuter, Brigid between the lower chakras and the higher chakras, isten to your heart, your heart never lies to you
solar plexus - self-esteem, person power, Affirm: I can
sacral - a sense of safety, sexual energy, identity, Affirm: I feel
root - the sense of your environment and tribe, Affirm: I am
Working with the Energies/Chakras:
throat - express yourself, the bridge between the heart and the 3rd eye where the soul can be expressed via words/chant/song, tell someone you love them today even if it is yourself,
heart - listen to your heart, your heart never lies to you, put your hands over your heart and focus on your breath, what comes up for you as you intend to connect with your heart
solar plexus - self-esteem, person power, physically do the things you think you cannot do
sacral - a sense of safety, sexual energy, identity, express yourself in creative ways like art, poetry, dance, or song
root - the sense of your environment and tribe, spend time with family - blood or chosen-family, go out into nature and commune with a tree to feel grounded, aid your community
Affirmations:
I speak my truth.
I am allowed to shine and dim my light for no one.
I am the authority of my life.
I trust myself. I honor myself. I value myself.
We know we have healed the inner teen when we know our worth, we trust ourselves, outside things don't phase you, and you are able to express yourself healthily
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chaosnoirjpg · 2 years
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cultivating joy list
Things that make me happy or think or whatever...[not limited to]
Fat babies
Tiny things
That boop sound from the mathematical video
Good music
Good poetry
Good art
good conversation
A genuine smile
A genuine laughter
Sunsets and sunrises
Cool rainy days
Cold rainy days
Sitting in my car while it rains
Jamming out to music in my car
Singing in the shower
Singing in my car
Being held by a loved one
Holding a loved one
Dancing with my dogs in the nighttime
Watching Ghibli films
Buttered bread
Reading Hannibal lecture books
Philosophical discussion
Breakfast food any time of the day
Coldwater on a humid night
Dancing in my room in the dark
Shitting in the bathroom in the dark
Baby cooing
Puppy's first a-wooo
Puppy hitching a ride on a duck
Baby hugs a puppy
Pizza.
Katsu curry.
Peach cobbler.
Banana pudding without the Banana.
Sweet potato pie.
Lovingly regarded without motive
Bear hugs
Gently petting
Loving caress
Being present
Mediating together
Writing love poems
Doing what you love
Doing what makes you smile
Paradoxical theories and ways of thought
Anthropology
Sociology
Social Science Ethnic Studies
The way people and the world think and move in the world
The light in your heart after you've processed and healed dense emotions
Creating for yourself only
Loving yourself completely
Inner knowing that you cannot deny
Child taller than their parents
Child taller than an adult
Younger sibling taller than older sibling
Musicians making music on the fly
Ppl saying birds aren't real
Horror movies
Comedy, drama, murder mystery movies
Ugly big mansions
Beautiful architecture
80's hair
Fucked hairstyles
Authenticity
Chill vibes
The color Teal
The smell of coffee
Soft and crunchy cookies
Chocolate long johns donuts
Waffles
Fried hard eggs
Pancakes
Buttered toast
Turkey bacon and sausage
Sausage and baked beans
Baked beans
Blackened salmon with veggies and mashed potatoes
Shroom tea
Clicky keyboard
Pill bottle sounds
Clicky pen/pencil
Pickles
Pickle juice
Cranberry juice
Moisturized skin
Dry brushing
Body tingles
Ant wars
Creatures in the sea
Conspiracy iceberg
The word sonder
The word moledro
Obscure emotions
Ambiguous colors: Teal, periwinkle, etc
Cool facial wipes
Made bed
Soft blankets
Soft pillows
Nice smelling candle
Fruit bowl
Houseplants
Flourishing garden
Sunlight
Starry night sky
Goya paintings
Orange juice
RnB soul
Emo rap
Alt rock
Common sense
The morning time
The night time
Soaking in the tub
Hot shower
Cool shower
Starting over
New perspective
Love songs from the 80's
Playing with their baby
Playing with their dog
Iridescent beetles
Iridescent bug wings
Iridescent anything
Not taking life seriously…bc the universe has a sick sense of humor my guy
Surfer dude accents
Scottish accents
Irish accents
Dinosaurs.
Vibing out
Chicago Architecture
Clean bathroom
Edibles
Tea hot and cold
River
Waterfall
Sense of awe and wonder
Sweet potato fries
Mom keeps buying off-brand cheerios by accident and now we have several boxes of non-brand cheerios
Ppl wearing glasses for aesthetic
Getting inebriated
Broad city
Flight of the concords
The office
Arrested development
New girl
The fountain movie and graphic novel
Shoulder massages
Tempura sushi
Good food with loved ones
Self-discovery
Hoodie
Big afro
Beautiful tattoos
Teeth
Rengoku
Demon slayer
Jujutsu kaisen
Nail art
Vincent Van Gogh
Vincent Van Gogh's brother and sister-in-law
Eyeliner art
Brain tickles
Hogwarts architecture
Indie movies
Indie music
Sagitterrorist lol
Scorpihoe lol
Thrift store
String instruments
Anime, dubbed teehee
Black boy joy
black men acting a dayum fool
titties
thighs
chicken thighs
flats
sweet chili sauce
thai food
spring rolls
Mothers approval
Dogs love
Animal affection
Pets love and affection
Nightmare core synthetic wave music
Puns like corny puns
Wednesdays
Thursdays
Fridays
Sunday risings
Skin care routines
Curly hair routines
Babies looking at themselves in the mirror
Babies being afraid of their own shadow
Musicians with beautiful minds and souls
Toothpaste
The right lipstick
Good hair days
Le twins
Twins in general
Black alternative gender-ambiguous beings
MUSIC:
RnB
RnB soul
Rap
Alt rock
Alt rap
Indie rock
House music
FOOD:
Thai food
Japanese tempura sushi
katsu curry
Chicken Tikka masla
Tea in general
Mac and cheese
Cheese toast
Chocolate chip cookies
Banana pudding no bananas
Peach cobbler
sweet potato pie
Jumex
Shrimp tacos
Blackened salmon
Lobster tails
Grilled chicken
Outback steakhouse
Strawberry banana smoothie
Egg rolls
Shrimp rolls
Teriyaki chicken
bourbon chicken
cookie dough ice cream
Caramel ice cream
Cookies and cream ice cream
Nachos
Loaded fries
Pizza
Sweet spicy chili wings
Crunchy fries
Honey mustard sauce
Caesar salad
Mediterranean sandwich/salad
Waffles
Pancakes
Ice coffee
Hashbrowns
eggs fried hard
peanutbuter and honey sandwich
tomatoe soup
Grilled oysters
Tuna salad
Pasta
ART:
Frances Goya
Vincent van gogh
LMJ works
Marc Rebillet
Kendrick Lamar
Kenny mason
Chris Fleming
Dave Chappell
bill hicks
Bo Burnham
Lakieth Stanfield
Le twins
Frankjavcee
whyt manga
Likelihood art
LANGUAGE//SAYINGS:
Think mark think
You got my head spinning out of control
Grief is love persisting
Everything the light touches is ours/our kingdom
Animals:
Quakka
Kasawari
emu
Ostrich
jaguar
cheetah
Jellyfish
octopus
squid
whale
Turtle
tortoise
dog
Cats on screen only
Crow
owl
frog
High animals From the vet
PLACES:
Africa
Australia
Japan
islands
Northern lights
The split sea
Nighttime glow Beach
Black sands Beach
Dessert
Mountains
redwood forest
THINGS:
Thighs
Titties
Clean teeth
sweet smile
Big expressive eyes
Sharp cat-eye makeup
Good lipstick
New purse smell
Purses that smell like a pleasant perfume or lotion
Cracking creme brulee
Dipping hands in a bag full of beans
Warm tea on a cool rainy day
Looking up at the sky to see the stars and moon
Feeling the rain on my skin
A warm bath by candlelight
Dinner by candlelight
Reading or journaling by candlelight
Sunbathing in a hammock
Sleeping under the stars
Genuine laughter
The look of love and affection
Completing a project
A job well done
Making it out alive
Dancing like no one is watching
Singing like no one is listening
A good book
Pillow fights
Intimate soulful talks at 3am
3am
Twilight
Dusk
Sunsets
Sunrises
Cold rain
Washed hair
Moisturizer
Body oil
Tea tree oil
Eucalyptus oil
Lavender oil
Intense burning
Lit candle
Oil burner
House plants
Clean kitchen
Hidden storage
Northern lights
Hot showers
Wine
Night drives
Pedicure
The clicking of heels
Keyboard clicks
Pills shifting in a bottle
Retractable pen clicks
Geometric architecture
Emerald windows
The color Teal
Looney toons
most ghibli movies
Afros
Edibles
Head massages
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chaosnoirjpg · 2 years
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// self perception //
Perception and judgments of others: you cannot control how others perceive you. you cannot control how others judge you. Only concern yourself with what you can control.
"I see you seeing me" - What you see in me, I see in me, I also see in you.
Other perceptions of me have nothing to do with me. My perception of myself has nothing to do with me either.
You are not the things you accumulated - thoughts, ideas, emotions, things, soul, body and more etc. You were you before your accumulated all this stuff.
How you perceive yourself is ever-flowing and fluctuating. You are only You in the present moment. You are not your past or future, you are not your mistakes/accomplishments or potential or perception.
***You are you in the present moment always and ever-changing.***
You are allowed to view yourself from the lowest of the low to the highest of the high. You are you before you remembered who you are.
ALL WE HAVE IS THE PRESENT MOMENT!
***Journal Prompt*** - Knowing this, removing the weight of awareness of my and others' perceptions of myself, how would I live out life?
- MY ANSWER: In removing the perception of others and my own perception of myself, I would move in the world very differently; I'd take more chances without fear of being perceived, PERIOD. I would wear what I pleased, speak freely, take risks, love freely, dance like no one is watching, sing like no one is listening, be cringe and free. I may be "perceived" as delusional but I would essentially be free, free from my own mind and allowing my soul to be expressed without bounds.
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