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#canard mariné
thaibypow · 11 days
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Riz au canard
Le Sommaire <p>Le "Riz au canard" est un plat populaire à Singapour, combinant le riz parfumé avec du canard rôti ou braisé. Voici un aperçu de ce plat savoureux :</p> <h3>Ingrédients principaux</h3> <img width="1024" height="585" src="https://thaibypow.fr/wp-content/uploads/2024/06/Riz-au-canard-1-1024x585.webp" alt=""…
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SAMEDI 24 SEPTEMBRE 2022 (Billet 4/4)
C’est dans l’environnement du Château La Framboise que tout s’est passé. Toutes nos félicitations aux mariés d’avoir choisi ce lieu pour le cocktail et la soirée.
Ils ont eu beaucoup de chance avec le temps, le ciel était d’un bleu quasi-immaculé et contrairement à la semaine précédente (où le thermomètre a frôlé les 40°), il a fait chaud juste ce qu’il fallait. Et ce week-end, il pleut à Dumes !
Les convives ont déambulé d’un stand à l’autre où leur étaient proposés saumon fumé-blinis-crème fraîche, huîtres (d’une fraîcheur remarquable !), des brochettes de cœurs de canard landais (une tuerie !), des supions marinés, des brochettes de blancs de poulet safranés et sûrement d’autres spécialités… le tout cuisiné sur une superbe plancha, sans compter de sympathiques jeunes gens qui passaient régulièrement parmi les convives avec des plateaux de succulentes mises en bouches. Il y avait un van Volkswagen où l’on pouvait « tirer » 3 ou 4 sortes de bières, un stand « Special Mojito » (le cocktail préféré de la grand-mère paternelle de Maïlys, récemment décédée) et un comptoir où l’on vous servait 3 sortes de vin et toutes sortes de boissons non alcoolisées.
Comme il y avait beaucoup d’enfants (35 nous a-t-on dit) et de bébés, le couple avait prévu 5 animatrices et 2 nurses. Ils ont pu dessiner et colorier sur un livret conçu spécialement pour l’occasion et s’ébattre dans la propriété, dotée en plus de 2 grands vrais tipis indiens.
Pour finir, mais on oublie certainement d’autres détails, il y avait un stand photo genre « Polaroïd » où l’on pouvait se faire photographier avec des accessoires rigolos mis à disposition.
Quelques palettes de bois servant de tables basses et des bottes de foin comme sièges (recouverts d’une serviette pour faire plus chic) étaient disséminées au milieu des stands. Près d’un beau barnum où allaient se dérouler le repas et la soirée, un petit orchestre pour mettre de l’ambiance...
Voilà, on vous a à peu près tout dit. Quand la nuit a commencé à tomber (la fraîcheur aussi), les invités se sont dirigés vers le barnum. A partir de ce moment, JM n’aimant pas trop les photos prises au flash avec son iPhone, a pratiquement cessé de photographier, sans remord, sachant qu’on allait pouvoir dans quelques semaines admirer le travail des professionnels.
Nous restait-il de la place après ce très gourmand et copieux cocktail pour apprécier la suite du dîner ? Pas sûr ! Mais le grenadin de veau et son accompagnement de légumes étaient excellents. Discours des mariés, desserts, Champagne, ouverture de la danse avec une chorégraphie INCROYABLE des mariés (on vous la montrera la semaine prochaine si les mariés nous y autorisent) et puis la fête…
Voilà, vous savez tout ou presque. Ça a donné même à JM l’envie de se remarier… avec Marina bien sûr car les mariages sont souvent des événements familiaux et amicaux très intenses, en général réussis, et très particulièrement celui-ci !
Nous savons que le voyage de noce se fera à Zanzibar et sûrement en décembre. Nicolas (K), notre ami (lecteur/abonné du Blog depuis sa création) et directeur du superbe Melià Zanzibar en est bien sûr informé. Nul doute que tout se passera pour le mieux, nous penserons très fort à eux…
Mais avant Zanzibar, c’est le départ demain dimanche pour Rome car mercredi matin les jeunes mariés ont rendez-vous… avec le Saint-Père.
« Audiences papales à Rome : une étape importante pour les jeunes mariés.
Les jeunes mariés ont la possibilité d’assister à une audience papale dans les 3 mois qui suivent leur mariage. Ces derniers ont le droit à des places de choix réservées pour eux au premier rang. Pour ce faire, les mariés doivent s’inscrire au préalable et remplir un formulaire supplémentaire. Trop beau pour être vrai ? Presque, puisque les mariés doivent se présenter à l’audience papale avec leurs tenues de mariage ! »
__________________________________
Vous n’êtes pas mariés ou vous êtes mariés depuis bien longtemps mais vous désirez connaître toutes les possibilités pour rencontrer le Saint-Père, cliquez sur le lien ci-dessous :
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lissfactor · 3 months
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La Fusion du Lissage Japonais en France
Ces dernières années, une tendance fascinante a émergé dans le monde culinaire : la fusion des techniques de lissage japonaises avec la cuisine traditionnelle française. Cette approche innovante combine la précision et la délicatesse de l'art culinaire japonais avec les riches saveurs et techniques de la cuisine française, pour une expérience culinaire unique et délicieuse.
Au cœur de cette fusion culinaire se trouve le concept « umami », un terme japonais qui fait référence au cinquième goût de base, aux côtés du sucré, de l'aigre, du salé et de l'amer. L'umami est souvent décrit comme un goût savoureux et satisfaisant, et il joue un rôle crucial dans les cuisines japonaise et française. En mélangeant des ingrédients riches en umami, tels que des champignons, de la sauce soja et des algues, avec des sauces et des méthodes de cuisson françaises classiques, les chefs sont capables de créer des plats complexes, savoureux et absolument délicieux.
L’un des éléments clés du lissage japonais en France est le souci du détail apporté à la préparation et à la présentation. Les chefs japonais sont réputés pour leur précision et leur talent artistique, et ces qualités sont évidentes dans la façon dont ils abordent la cuisine française. Du tranchage parfait des légumes à la création de garnitures complexes, chaque aspect du plat est soigneusement conçu pour garantir une présentation visuellement époustouflante et harmonieuse.
Un autre aspect qui différencie le lissage japonais en France est l'accent mis sur des ingrédients frais et de qualité. Les traditions culinaires japonaises et françaises mettent fortement l'accent sur l'utilisation des meilleurs ingrédients possibles, qu'il s'agisse de légumes de saison, de coupes de viande de qualité supérieure ou de fromages artisanaux. En s'approvisionnant en ingrédients localement et en les incorporant dans les plats fusion, les chefs sont en mesure de présenter le meilleur des deux mondes culinaires.
L'un des plats les plus populaires qui illustre cette fusion est le « Magret de canard mariné au saké et glacé au soja et à la truffe ». Dans ce plat, le succulent magret de canard est mariné dans du saké, un vin de riz traditionnel japonais, qui ajoute profondeur et saveur à la viande. Le glaçage au soja et à la truffe, inspiré des sauces françaises classiques, apporte un élément luxueux et riche en umami au plat, créant un équilibre harmonieux de saveurs à la fois sophistiquées et réconfortantes.
Un autre plat remarquable est les « Côtes levées braisées au miso avec purée de pommes ». Ici, les côtes levées tendres sont cuites lentement dans un bouillon miso savoureux jusqu'à ce qu'elles soient tendres et fondantes dans la bouche. La purée de pommes qui l'accompagne, un aliment de base français à base de purée de pommes de terre crémeuse, ajoute une texture crémeuse et gourmande au plat, l'élevant à de nouveaux sommets d'excellence culinaire.
La fusion du lissage japonais en France s'étend au-delà des plats salés jusqu'aux desserts. Un délicieux exemple est le « Matcha Crème Brûlée avec Infusion Yuzu ». Cette variante du dessert français classique comprend une crème anglaise soyeuse et onctueuse infusée de thé vert matcha parfumé et de saveurs vives d'agrumes de yuzu. Le résultat est un dessert à la fois familier et exotique, mettant en valeur la polyvalence et la créativité de cette fusion culinaire.
Dans l’ensemble, le mariage des techniques de lissage japonaises avec la cuisine française témoigne de la créativité et de l’innovation sans limites du monde culinaire. En combinant le meilleur des deux traditions, les chefs sont capables de créer des plats non seulement délicieux, mais qui célèbrent également le riche héritage culturel du Japon et de la France. Que vous soyez un passionné de gastronomie en quête de nouvelles saveurs ou un gourmet aguerri à la recherche d'une expérience culinaire unique, le lissage japonais en France propose un voyage culinaire qui ravira à coup sûr les sens.
Pour plus d'informations:- 
Lissage capillaire japonais France
Lissage japonais de qualité en France
Lissage japonais en France
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Déjeuner avec vue sur la campagne praguoise au restaurant Kovarna avec cuisse de canard confite aux pommes et au thym, chou rouge mariné et pommes de terre sautées au saindoux, suivi de sa couronne aux amandes, crème de noisette, chantilly maison et framboises (ressemblant à s'y méprendre à notre fameux "Paris-Brest"), septembre 2022.
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kbcinparis · 2 years
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X Library. Watching Netherlands-Morocco at the barbers in Belleville wh exploded into celebratory mode w Morocco’s win flag waving cars honking light flares erupting into song everywhere - every driver was celebrating it seems, every person on the street, everyone rooting for the ultimate underdog. France’s victory later in the evening was comparatively more subdued even though P + I were more “intensely engaged” but maybe that had to do w where we were geographically. dumplings/pancake/tea aux mandarins de Belleville in the afternoon - x brought us. Best service team - no pix tho. We left treats. We waited in line prior to 7pm opening time at Abri Soba. Heavenly meal. R ordered food and H ordered wines and I am so truly grateful.
Mousse De Poisson
En beignet, assaisonné d'algues
Légumes Croquant
Mariné, bouillon de dashi et vinaigre
Pomme De Terre, Radis Blanc, Lardon
Ecraser de pommes de terre, radis blanc fumé et lardon fumé
Thon, Poireau Grillé
Mariné au sauce soja avec jaune d'oeuf vinaigré
Canard +
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Un petit nouveau 🍷 sans sulfites Cépages : Carignan (70%) et Grenache noir (30%) Descriptif du vin : Notre cuvée Frère sauvage créée l’année dernière est un vin dit « vin nature ». Nous entendons par « nature » tout vin sans sulfite ajouté avec un travail en cave au minimum mais un maximum de vigilance. Les sulfites (substance naturellement présente dans le vin), servent à stabiliser les vins notamment lors de la vinification et de la mise en bouteille. Notre cuvée Frère Sauvage est certifiée AB, aucun sulfite n’est donc ajouté, et la fermentation est faite en levure indigène. Un vin résolument dans l’ère du temps, mêlant méthode naturelle et savoir-faire. Ce vin est au nez frais et gourmand, en bouche c’est une gourmandise avec des notes de cassis et de fraise des bois. Il est léger et se boit très facilement. Avec quel(s) plats conseillez-vous accorderiez-vous cette bouteille ? Ce vin sera idéal servit en apéritif ou accompagné de grillades de bœuf ou de poulet marinées au citron et aux herbes de Provence. Il se mariera également à merveille du canard à la sauce saté ou de l’agneau au citron confit. (à Languedoc-Roussillon, France) https://www.instagram.com/p/ChDDtohslED/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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100plats · 4 years
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Canard mariné soja caramel
Avec des nouilles sautées
Un peu trop cuit
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maisonbacchus · 3 years
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Un joli coussin de bonheur 37cm sur 37cm, 13cm de haut, pigeon, ris de veau, foie gras, canard, boudin, noisette, marron, le tout mariné dans de la vendange tardive de @lapetiteparcelle . #pâtécroûte #charcuterie #montpellier #suddefrance #cuisinemaison #bacchus (à Maison Bacchus Traiteur) https://www.instagram.com/p/CKjvTAqlj-B/?igshid=1gqhkjnume67z
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hippocampinae · 3 years
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20 octobre 2021
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Déjeuner : Petite quiche, pommes de terre, salade de pâtes, yogourt, jus de raisin
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Diner : Riz avec algues et autre substance mystérieuse délicieuse, légumes marinés, porc, aubergines, oeuf.
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Souper : Calmar (j'aime vraiment pas... j'ai donné à un autre JET), petits morceaux de légumes, spaghettis, canard (?), omelette.
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SAMEDI 30 MAI 2020 – (Billet 2 / 4)
Bonjour Marina et Jean-Marie,
Ça y est, nous avons reçu notre « cheminée mexicaine » (*). Ce midi nous l’avons testée avec un magret de canard mariné au piment d'Espelette, accompagné de galettes de polenta à la tomate et au basilic. Le tout fait maison, sauf le canard que nous n'avons pas eu le courage de trucider ! Un régal !
Bon après-midi.
Bises
Noëlle (A.)
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(*) Nous avons voulu en savoir plus sur cette « cheminée mexicaine » dont nous avaient parlé Noëlle et Gaëtan et nous avons pensé que ces infos pouvaient aussi vous intéresser. Voir ci-dessous (NDLR du Blog)
« Elle vient des pays chauds pour conquérir nos terrasses et jardins. Pour se chauffer ou pour cuisiner, découvrez comment utiliser une cheminée mexicaine.
Avec ses formes arrondies, la cheminée mexicaine est la nouvelle star de nos jardins. Comme son nom l'indique, elle est originaire du Mexique, et permet non seulement de cuire des aliments, comme des pizzas ou des grillades, mais aussi de réchauffer l'air ambiant. Zoom sur ce braséro à chapeau venu tout droit des pays chauds, bien parti pour détrôner nos barbecues.
Pourquoi faut-il adopter une cheminée mexicaine ?
Pour cuisiner à la mexicaine
Alimentée avec du bois ou du charbon, la cheminée mexicaine permet de cuire les aliments qui régaleront vos invités. Pour les fans de mets braisés, c'est le pied ! Son foyer fermé permet une cuisson à cœur en un minimum de temps.
Pour son côté joli élément déco
Si elle se révèle utile pour cuisiner, la cheminée mexicaine peut aussi servir d'élément décoratif dans votre jardin. Son design et son aspect artisanal apportent un charme certain, bien plus qu'un barbecue classique.
Pour réchauffer l'air ambiant
Traditionnellement fabriquée en argile ou en fonte, la paroi emmagasine et restitue la chaleur, vous avez un excellent tirage qui entretient longuement la braise. Ainsi, après avoir cuisiné votre repas, la cheminée peut ainsi devenir votre alliée pour réchauffer vos soirées passées sur votre terrasse.
Plus besoin d'investir dans un chauffage d'extérieur… qui est bien moins écologique de surcroît. »
(Source : « Internet »)
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Nous n’attendons plus qu’une chose : tester les talents culinaires « d’extérieur » de nos amis avec cette superbe cheminée !
Qu’ils s’entraînent et à très bientôt.
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tombeedanslpanneau · 6 years
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Oslo, 27 juillet
Mardi après-midi, tout juste descendue du train, je m'installe dans l'une des auberges de jeunesse hyper-centrale d'Oslo. Malgré le fait qu'il diffuse en permanence une insupportable musique d'ascenseur ibizien dans les pièces communes, l'établissement est accueillant, et, détail qui a son importance, propose un buffet de petit-déjeuner gargantuesque. 
Réouverture d'une parenthèse "obsession nourriture". J'avais déjà été impressionnée par le buffet de l'auberge de Trondheim (l'hôtel nazi), époustouflée par celui de celle d'Ålesund (avec ses harengs marinés et son salami d'agneau). À Oslo, c'est petit-déjeuner continental, et par continental on entend toute l'Europe d'avant Brexit : baked-beans, müsli, concombre, fromage et confitures me donnent des forces pour les longues balades prévues. Clôture de la parenthèse.
Je profite de cette première demi-journée pour constater qu'Oslo, c'est avant tout un plan orthogonal ("cool", dit le pigeon voyageur bredzingue qui niche dans ma tête), plein de styles architecturaux réjouissants et à chaque coin de rue des surprises.
Mes premiers pas dans la capitale me portent ainsi par hasard devant le sobre et émouvant mémorial des attentats qui ont fait 77 victimes dans le centre politique d'Oslo et sur l'île d'Utøya il y a 7 ans.
Mercredi, je découvre les quais très graphiques d'Aker Brygge, côté est, qui mènent en un gracieux grand-écart temporel et politique de l'hôtel de ville à la forteresse d'Akerhus, longtemps siège de la royauté. Ici pas de chichi à la Louis XIV : ce château qui a traversé le second millénaire de notre ère est sobre et fonctionnel. La suite de mes promenades me fera comprendre que c'est la marque de fabrique d'Oslo.
En suivant les conseils souvent drôles et décalés du petit guide "Use it", qui décortique à l'usage de visiteurs me ressemblant les petits secrets des villes d'Europe (je n'aime pourtant pas trop la version chtimie du guide, trop vieuxlillocentrée à mon goût), j'entame un circuit dans les quartiers ouest de la ville, les plus chics. 
Passage obligé par le palais royal, résidence arborée des coupeurs de rubans Harald & Sonja, puis à travers les rues cossues jusqu'au parc Vigeland où le sculpteur éponyme a disposé plus de 200 statues de bronze ou de granit représentant le spectre des émotions humaines. On oscille entre le touchant et le grotesque, et ma préférence va clairement aux ferronneries des portails plutôt qu'à la statuaire.
Je grignote quelques framboises cueillies près de l'ambassade de France et m'accorde une IPA plus que légère - mais amère à souhait - à l'Oslo Mikrobryggeri, plus vieille brasserie osloïte. 
Un peu de verdure et de prise de hauteur ensuite à travers le parc St Hanshaugen puis le cimetière Vår Frelser où parmi quantité d'anonymes sont enterrés Ibsen, Munch et d'autres célébrités norvégiennes. 
Je termine mon cheminement du jour en passant devant St Lukas (half-ugly church) et St Olav (chrétienté whaouh) avant de me poser à l'ombre de l'église de la Trinité, lieu idoine où finir le livre qui occupe depuis presque un mois mes soirées et mon esprit sain : Le Royaume, d'Emmanuel Carrère.
Jeudi matin, je commence mes déambulations sous un soleil déjà au taquet, en direction de l'opéra (& ballet). Le bâtiment, œuvre en 2008 du cabinet local Snøhetta, est déconcertant de simplicité, et son toit pentu offre une vue à 360° sur la ville, les collines alentours, l'Oslofjorden et ses îles.
Je mets ensuite le cap vers le levant, direction cette fois les quartiers populaires, pour une promenade au rythme sinusoïdal. 
Régal d'animation, de couleurs et de graffitis du côté de Grønland, pause à l'ombre dans le parc de la prison, puis balade au calme entre les petites maisons de bois du quartier de Kampen.
Suit le brouhaha des rues de Tøyen qui fourmillent de vie, puis la quiétude moite des serres du jardin botanique (environnement idéal par 30°C), et les boutiques très "Plateau" du quartier hipster de Løkka.
J'arrive alors près de l'Akerselva, la rivièrette qui coupe Oslo entre ouest posh et est popu. L'Eventyrbroen ("pont des contes de fées") et ses statues oniriques laissent la place en un coup de baguette magique à des façades entièrement peinturlurées au voisinage de l'école d'art Strykejernet et d'Hausmania, squat d'activistes et scène alternative. Au fil de l'eau, je me retrouve dans le nouveau quartier de Vulkan, et file à Mathallen, les splendides halles début XXe, où j'engloutis pour le goûter le plus délicieux des sandwiches au canard (là aussi particulièrement adapté à la météo). 
Après l'expo photo du centre Nobel pour la paix, sur le thème de la maison chez les réfugiés, je termine cette chaude journée sur les quais - ouest cette fois - d'Aker Brygge, quartier portuaire reconverti en secteur tendance avec restos, bars et marina, et aussi une plage et de nombreuses jetées en bois qui m'amènent ici. Pour la seconde fois après Copenhague, j'ai le plaisir de pouvoir me baigner dans une capitale. Je ne suis évidemment pas la seule à avoir eu l'idée : des centaines d'Osloïtes viennent faire trempette à la sortie du travail ou d'une journée de glande (pour les post-adolescents). 
Parenthèse partiellement dénudée. Je me suis familiarisée ces derniers jours avec la décontraction physique qui sévit ici - essentiellement chez les gravures de mode vingtenaires, mais pas que. Alors qu'au sortir de l'hiver, jusqu'au 30 juin donc, tout ce petit monde était probablement blanc comme un cul (sauf des cheveux, fréquemment teints en vert, bleu ou rose comme le faisaient les jeunes Allemands dans les années 1990), les mecs profitent de juillet pour se balader torse-poil et les filles sont en bikini dans tous les parcs, y compris les jardins du palais royal, à côté de la tombe d'Henrik Ibsen ou dans le parc de la prison. Fin de la parenthèse.
Aker Brygge héberge surtout le musée d'art contemporain Astrup Fearnley, sorti en 2012 du carton à dessin de Renzo Piano, et dont je me réserve la visite de l'expo "I Still Believe In Miracles" ce vendredi. Je passe vite devant les œuvres de Damian Hirst (choquez-moi, choquez-moi) mais m'attarde devant les toiles de Catherine Opie, Rob Pruitt et Takashi Murakami, les photos de Diane Arbus et Walker Evans, et les installations popement subversives de Dan Colen.
En préparant mes sacoches cet après-midi, j'essaye d'emmener avec moi un peu de la vie d'Oslo. 
Je traverse cette nuit l'Oslofjorden et le Skagerrak pour rejoindre Frederikshavn au Danemark, puis je descendrai la côte ouest du Jutland (conseil d'Eva & Sergio), l'estuaire de la Schlei (recommandation de Max) et traverserai le Mecklembourg et le Brandebourg pour rallier Berlin (autosuggestion).
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Menu fête des mères
 Mises en bouche
****
Salade  de saumon mariné aneth
Ou
Bloc  foie gras de canard du sud-ouest pain aux noix chiffonnade vinaigrette échalote  
******
Gambas flambées aux saveurs provençales
 Ou
Dos de cabillaud à la vapeur de citron crème ciboulette
******
Faux-filet limousin aux cèpes  
Ou
Côtelettes d’agneau limousin poêlées
Ou
Magret de canard au miel de châtaigner de Saint-Martin  
 ******
Pommes forestières
*****
 Fromages de pays  
******
Mille-feuilles framboise chocolat blanc
Ou
Vacherin en boule pomme châtaigne
Ou
Paris Saint-Martin
Ou
Fraises melba
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labellerouge · 4 years
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à goûter, magret de canard mariné aux agrumes. vous pourrez retrouver ce produit pour les fêtes en rôti pour 4 personnes, 30mn au four, 😋 https://www.instagram.com/p/CIVRSjHJuzy/?igshid=r802crp14soh
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lepetitlugourmand · 4 years
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D’une ferme sud-africaine à la Riviera… Jan-Hendrik van der Westhuizen est un jeune  chef étoilé, entrepreneur aux multi-talents et au parcours atypique. Né, “là où le soleil se lève” dans la région de Mpumalanga en Afrique du Sud, il a grandi dans un environnement de partage, de générosité et d’hospitalité; très jeune, il observe et reproduit les gestes de sa mère et de sa grand-mère en cuisine. C’est au Cap qu’il développe ses talents artistiques et culinaires : entre études de cuisine et d’Arts appliqués ( photographie, peinture, graphisme… ), la photographie lui fera parcourir les grandes régions viticoles du pays et le fera entrer dans le monde et la passion du vin, puis en 2006, il travaille en tant que journaliste et photographe culinaire pour le magazine ELLE – South Africa et rejoint très rapidement les équipes de ELLE à Paris.
On retrouve Jan en tant que chef privé sur un yacht à Monaco, d’où il va parcourir le monde en cuisinant, mais aussi en photographiant et mettant en scène ses aventures et son univers culinaire sur les réseaux sociaux… une amie, subjuguée par son talent, le met en relation avec un éditeur qui le publie en 2013. Le chef gère tout de son livre “The French Affair, Table of Loves” : stylisme, photographie et, bien évidement, les recettes qui font références à son héritage familial et culturel.
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JAN PORTRAIT C
Peu de temps après, sa bonne étoile et la providence lui font rencontrer un homme d’affaires qui va lui permettre de vivre son rêve de petit garçon ( Il se souvient alors, quand il transformait le salon familial en salle de restaurant et servait sa famille ) : ouvrir son propre établissement. En 2013, le restaurant Jan ouvre ses portes dans le bouillonnant quartier du port de Nice, une ville et une région au passé riche et cosmopolite ouverte sur le monde, que le chef affectionne et qui correspond parfaitement tant à son enthousiasme qu’à son ambition. En 2016, il devient le 1er chef Sud-Africain à obtenir une étoile au Guide Michelin.
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Entrée Jan ©lepetitlugourmand
Le restaurant Jan est le véritable ADN du chef : on y retrouve toute son identité et tout ce qui lui est cher. C’est dans une idée de partage et de transmission rendant hommage à “Maria”, sa grand mère, que le chef a créé une ambiance chaleureuse et hors du temps : tableaux anciens, portraits, bougies, lumières tamisées et chaudes, meubles et bibelots chinés, murs de couleurs sombres contrastant à la blancheur de la pierre apparente, donnent une atmosphère et une ambiance baroques, raffinées et réconfortantes à la fois. A peine après avoir franchi la porte, le temps disparait comme par magie et l’on se retrouve transporté bien loin de Nice et du tumulte du port. Un lieu à part et feutré, un véritable retour dans un passé où le chic et l’élégance étaient de mise. Pascal, le directeur vous accueille avec délicatesse et attention. La blancheur immaculée des tables nappées et mises en lumière par un faisceau discret donne une profondeur et un clair-obscur contemporain, sobre et bien vu avec le reste de la salle.
Détail salle ©lepetitlugourmand
Détail décoration restaurant Jan ©lepetitlugourmand
©lepetitlugourmand
La salle Jan ©lepetitlugourmand
Hester Maria Ferreira – Grand-mère du Chef Jan-Hendrick van der Westhuisen
Détail salle ©lepetitlugourmand
Une fois installé, on vous apporte un joli broc de toilettes en porcelaine ancienne rempli d’eau infusée aux herbes et rooibos et on vous invite à vous rincer les mains avec cette eau aromatique, tel un rituel d’avant repas ( comme cela pouvait se faire dans les campagnes chez nos grands-mères ). Une petite serviette en éponge repose sur un petit caisson de bois accompagné d’une carte qui vous raconte en quelques lignes l’histoire des différentes influences culinaires d’Afrique du Sud : venues de l’Europe, elles ont évoluées avec le temps et l’arrivée du commerce avec l’Asie. Aujourd’hui, la cuisine Sud-Africaine a sa propre “identité” et c’est ce que le chef souhaite nous faire découvrir au travers de son menu dégustation, tout en travaillant les produits locaux issus de l’agriculture biologique de petits producteurs de la Côte d’Azur.
Eau infusée aux herbes et rooibos ©lepetitlugourmand
Coupe de toilettes en porcelaine ancienne ©lepetitlugourmand
Le menu “Diamant” en 7 plats débute par une élégante coupe de MCC ( Méthode Cap Classique, tradition viticole acquise des 1ers Huguenots installés au 17ème siècle ) à la bulle fine, vive et à la robe cristal, idéal pour débuter de façon stylée le repas et en  accord parfait avec les quatre étonnants amuses-bouches proposés : le sandwich comme un macaron cuit et fumé sur le braai ( barbecue sud africain ) croustillant et moelleux à la fois, le délicieux Mieliepap ( sorte de bouillie à base de polenta ) à la douceur suave est rehaussé de tomate en fond et relevé de curcuma, l’incroyable bouchée Biltong  ( viande séchée marinée et épicée, une tradition de 400 ans servie le plus souvent à l’apéritif en lamelles ) à la consistance sèche et dense au fumet prononcé vous transporte instantanément dans la région natale du chef. Le cigare crème de champignons cacao bio : sorte de très légère pastilla au goût affirmé de cacao s’allie à merveille à la saveur sous-bois des champignons. Un très belle mise en avant du menu : tout autant captivant que surprenant.
Méthode Cap Classique ( tradition viticole acquise des 1ers Huguenots installés au 17ème siècle ) ©lepetitlugourmand
Quatre étonnants amuses-bouches : le sandwich ( comme un macaron ) cuit et fumé sur le braai, le Mieliepap, le Biltong et le cigare crème de champignons cacao bio ©lepetitlugourmand
Le Crabe, concombre et caviar posé tel un nuage dans l’assiette est d’une virtuosité rare, les saveurs virevoltent délicatement entre le citronné et le torréfié, une douceur caressante et une texture apportée par le riz soufflé. Une assiette simple de prime abord qui se révèle complexe au fur et à mesure de la dégustation. On rentre véritablement dans “le vif du menu” : une expérience qui nous emporte loin et nous attire inlassablement vers l’univers du chef.
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Crabe, concombre et caviar ©lepetitlugourmand
La très gourmande présentation du beurre salé fermier de la maison Beillevaire est au summum du raffinement et du détail : nacré, fleuri et posé en volutes sur le couteau à beurre, il accompagne le très aromatique Mosbolletjies ( pain brioché, importé également par les Huguenots français, fait à base de jus de raisin fermenté et d’anis ).
Beurre salé fermier de la maison Beillevaire : au summum du raffinement et du détail ©lepetitlugourmand
Beurre salé fermier de la maison Beillevaire accompagne le Mosbolletjies ©lepetitlugourmand
Pomme, chorizo, haddock et Tête de Moine –  une élégante présentation en hommage à la fleur préférée de la grand-mère du chef. A peine posé sur la table, les effluves jouent de leur identité et apportent une grande gourmandise, telle une carbonara qui stimule les sens. Puis arrive le temps de la dégustation et la découverte des jeux de textures et de température des différents éléments : le haddock est agréablement présent de son iode, assoupli du voile d’acidité pimpant de la pomme, le chorizo vient rebondir de son piquant en harmonie. La Tête de Moine en crème et en copeaux lie le tout en plaisir d’aise.
Pomme, chorizo, haddock et Tête de Moine ©lepetitlugourmand
Pomme, chorizo, haddock et Tête de Moine ©lepetitlugourmand
Saint-Jacques, fleur d’oranger, rooibos et aneth : comment ne pas résister à cette efficacité visuelle et essentielle qui donne une envie insatiable de piocher et de découvrir cette prometteuse Saint-Jacques à la nacre parfaite, qui semble raconter tant de choses. Elle est brillamment soutenue en vivacité marine par les algues et le citron de Menton. Le bouillon chaud du savoureux trio roobois-canelle-soja mène la cadence suave et péchu des bouillons qui soignent et réconfortent. Les carottes accordent de leurs camaïeux jaune-orangé à l’assiette et sont bien assorties de leur condiment algue, tel une sauce gribiche de la mer.
Présentation Saint-Jacques, fleur d’oranger, rooibos et aneth ©lepetitlugourmand
Saint-Jacques, fleur d’oranger, rooibos et aneth ©lepetitlugourmand
Canard, orange, orge et poire : l’épure de cette assiette est plaisante, le canard à l’orange est revisité et saupoudré de sésame noir. La réduction orange encourage “l’essence” du canard soutenu par la cuisson maitrisée. La poire à cru et cuite flatte les arômes, la salade de chou et orge travaillés comme un risotto est l’accent frais et gourmand à la fois.
Canard, orange, orge et poire ©lepetitlugourmand
Canard, orange, orge et poire ©lepetitlugourmand
Visite de notre salle des fromages et délices : voilà une invitation hors du commun que de venir découvrir la salle des fromages qui se situe de l’autre côté de la rue! Une pause quelque peu surprenante et inhabituelle, mais intrigante et amusante à la fois. Quel délice, en effet, de découvrir cette extraordinaire et fantasmagorique salle des fromages. Un “décor” et non une décoration de designer “proprette” et académique, mais un lieu à part et flamboyant qui vous transporte dans une atmosphère Fellinienne : entre opulence et générosité décomplexée. On est de suite happé et subjugué par ce moment atypique et lumineux. Les yeux virevoltent partout pour tenter de dénicher les détails nombreux et inimaginables, le cristal étincelle de sa splendeur par des bougies posées de-ci de-là et par une superposition de luminaires à pampilles. Les meubles anciens, les compositions florales, tout comme les nombreux portraits de femmes ( où l’on reconnait aisément Maria, la grand-mère, si importante aux yeux et au coeur du Chef), authentifient les lieux. La grande table centrale est dressée en abondance de fromages de toutes sortes et origines. Les accompagnements, les fruits secs et frais, les marmelades ou confitures dans des jarres, les carafes de vins doux ou cuits et autres alcools… sont à disposition pour accompagner en grandeur l’un des plus incroyables “plateau de fromages”. Quelques tables en intimité vous accueillent comme par magie et sans gêne dans la famille et l’histoire sublimée du chef.
Entrée de la salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
Salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
Salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
Salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
Salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
Salle des fromages et délices ©lepetitlugourmand
De retour, après cette expérience inédite et cette mini marche digestive, dans la lumière diffuse et tamisée du restaurant, tel un fantasme vécu empli de lueurs et de souvenirs, vous voilà prêt à découvrir les douceurs du menu.
Le Citron de Menton et fenouil est percutant et vous aide à vous remettre de votre voyage “spatio temporel”. Le citron accompagné du fenouil et du lait fermenté labné rafraîchissent parfaitement la bouche et remetttent en éveil les papilles, la rondeur des saveurs fleuries et caramel délivrent la gourmandise finale.
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Citron de Menton et fenouil ©lepetitlugourmand
Le Sago pudding est le dessert traditionnel familial obtenu à partir de fécule de sagoutier  ( sorte de palmier ) et de lait, ici tel une meringue farcie de coco fraîche et de fruits de la passion arrondis de vanille et subtilement saupoudrée de buchu ( plante aromatique aux huiles essentielles aux vertus digestives ). Une ingénieuse finale rafraichissante et structurée.
Le Sago pudding ©lepetitlugourmand
Le Sago pudding saupoudré de buchu ©lepetitlugourmand
Le Sago pudding saupoudré de buchu ©lepetitlugourmand
Les Mignardises comme le fudge chocolat- beurre salé et les pâtes de fruits restent une douceur délicate et attendue. N’oubliez pas d’emporter votre petit cadeau ” The Big Dipper” parfait à tremper dans le thé pour un petit déjeuner typiquement Sud-Africain.
Les mignardises ©lepetitlugourmand
Restaurant Jan ©lepetitlugourmand
Le service est de haute volée et virevolte avec professionnalisme, gentillesse et générosité.
La carte des vins met en avant les références pointues de vignerons à l’identité aguerrie. N’hésitez pas à vous laissez guider de façon exemplaire par Michaël, le sommelier, qui saura vous emporter dans la richesse et la virtuosité des vignobles Sud-Africains pour déguster de belles découvertes.
Le chef à l’insatiable dynamisme, qui déborde de projets et d’activités, reste très attaché et disponible pour son établissement niçois, il est brillamment épaulé par son chef exécutif Rutger Eysvogel. En effet, Jan gère un magazine gastronomique ” Jan – the Journal” au graphisme glamour, et a ouvert récemment à Cape Town, le “Jan Innovation Studio”, un studio culinaire créatif et de formation ( ouvert au public certains soirs ), afin de developper et travailler sur de nouveaux plats, tout en exploitant le patrimoine culinaire Sud-Africain. Il travaille également sur l’ouverture de son nouveau restaurant “Klein Jan”, situé en plein désert du Kalahari au sein du “Tswalu”, l’une des plus vastes réserves privées d’Afrique du Sud, véritable sanctuaire animalier, qui dispose de deux luxueux et intimes lodges totalement respectueux et en parfaite harmonie de l’environnement. 
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Magazine Jan
Jan – Nice, n’est pas uniquement un restaurant étoilé, mais avant tout une expérience à part entière à vivre et à déguster : une cuisine identitaire, sincère et remarquablement réfléchie. Une adresse unique et rare dans la région à ne manquer sous aucun prétexte.
  JAN ÉTÉ 2020
Nouvelle proposition pour l’été 2020 – Menu 5 plats – 85€ ou 130€ avec accord mets-vin.
  Menu Cristal en 4 plats – 104€ ou 149€ avec accord mets-vin  ( option visite salle des fromages +15€ ).
Menu Diamant en 7 plats et visite de la salle des fromages 139€  ou 194€ avec accord mets-vin.
  Restaurant JAN
12 Rue Lascaris, Nice, 06300, France
Tel: +33 (0) 4 97 19 32 23
Ouvert du mardi au samedi 18h – 22h
  Jan – Restaurant Nice D'une ferme sud-africaine à la Riviera... Jan-Hendrik van der Westhuizen est un jeune  chef étoilé, entrepreneur aux multi-talents et au parcours atypique.
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Les Gardes sont de retour pour leur deuxième week-end de délicieux repas à emporter. Il est temps de décrocher le téléphone!⁠ ⁠ Voici le menu pour le week-end du 8 au 10 mai:⁠ ⁠ Vendredi soir : ⁠ ·Salade de poulpe au piment de l’été dernier⁠ ·Tourte de canard et champignons, carottes glacées à l’hibiscus ;⁠ ·Panna cotta de fraises à la fleur de sureau⁠ ⁠ Samedi soir :⁠ ·Soupe de carottes au gingembre ; ⁠ ·Lasagnes de bœuf maturé et légumes de saison ;⁠ ·Pavlova à la rhubarbe, crème à la vanille⁠ ⁠ Dimanche midi :⁠ ·Salade de saumon mariné ;⁠ ·Brandade de cabillaud ;⁠ ·Brownie au caramel et chocolat noir, crème fraîche⁠ ⁠ Le tout, comme toujours, accompagné de tranches de notre pain au levain fait maison. ⁠ Tous ces plats sont conçus et cuisinés pour être dégustés directement sortis de la boîte, à température ambiante. Néanmoins, si vous préférez réchauffer les plats principaux, nous vous conseillons de sortir la viande ou le poisson de la boîte, et de les placer dans un plat allant au four, à 180°C pendant 5 minutes.⁠ ⁠ Comment commander ? Vous nous appelez au 03.52.96.00.06, au moins 24 heures à l’avance, et on fixe ensemble un créneau pour que vous veniez chercher votre commande⁠ 25 euros/personne⁠ Paiement par CB ou chèque (pas d’espèces)⁠ Livraison possible si vous ne pouvez pas vous déplacer, à discuter avec chacun d'entre vous⁠ ⁠ https://www.instagram.com/p/B_4Wd4RnMFL/?igshid=1w7aaefxvdkqk
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lilcandybrownie · 4 years
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#tapas #dolcevita #vino #bordeaux . . . Magret de canards mariné Huile d’olives/ Gros Sel/ Poivre/ Miel/ Persil/ Romarins/ Citron/ Gingembre/ Curcuma . Pommes de Terre glaces aux beurres persil . Cœur de Savoie/ Roquefort . Cornichons/ Olive . Puis la Baguette avec un petit verre de Bordeaux . #love (à Clichy, Hauts-de-Seine) https://www.instagram.com/p/B_DNAq7F8ry/?igshid=l0c77s7h5o6e
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