#calebasse
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filipevb · 2 years ago
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Calabass, 2023 Bluetooth Speaker [Prototype] A l’origine utilisée comme gourde, la calebasse offre naturellement un design parfait pour l’itinérance et ses rondeurs accueillent et répercutent à merveille les ondes sonores. Série #cyclé Artefacts numériques biodégradables #filipevilasboas — Introduites par le physicien José Halloy, les “zombies technologies” décrivent ces technologies mortes, énergivores, vouées à l'obsolescence programmée et qui ne tiennent pas compte des limites des ressources planétaires. Le philosophe Alexandre Monnin parle à ce sujet de “communs négatifs” qu’il va aussi falloir gérer, démanteler, déconstruire. Pour sortir de ce modèle intenable, la série “Cyclé” tente d’ouvrir la voie à une conception frugale de l’innovation en limitant autant que faire se peut son impact et ce dès la racine, en utilisant deux leviers : une réduction ou limitation des usages doublée d’une intégration de contenants végétaux déjà produits grâce à l’énergie solaire (photosynthèse) et en bout de chaîne, biodégradables. Si l’histoire des détournements et usages humains de coques végétales s’est en grande partie interrompue avec le développement du plastique, il est aujourd’hui grand temps de la poursuivre. Prototypage en cours avec @la_gouriche [ @ensparissaclay ] #ecoart #ecodesign #art #speakerbluetooth #calabasas #calebasse #calabaza #calabaza #calabass #josehalloy #zombiestechnologies #technologieszombies #contemporaryart #ecologicalart #alexandremonnin #ecoconception #biomaterials #biodegradable #artetecologie #artwork #artoftheday (à Compost de l’Insurrection) https://www.instagram.com/p/CoIQgLrLh90/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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inthemoodforportnawak · 4 months ago
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cinnamoncee · 9 months ago
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maitreahokpe · 4 months ago
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TEMOIGNAGE RETOUR AFFECTIF RÉUSSI
Bonjour, je m’appelle JULIE infirmière à NANTES (France). J’ai été victime des arnaques de beaucoup de marabouts au point où je ne voulais plus continuer à chercher. J’ai depuis longtemps coupé les recherches car j’ai déjà tout fait sans trouvé un vrai marabout qui puisse m’aider, que ça soit ici en France qu’en Afrique aussi. Mais aujourd’hui je viens remercier un grand monsieur que j’ai connu…
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grandmaraboutorogan · 7 months ago
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Témoignage de la multiplication des billets, le billet de banque ,Témoignage du portefeuille,marabout vrai, un vrai marabout du monde, marabout africain,marabout de confiance,blanchissement d'argent…
CONTACTE WHATSAPP +229 91 32 34 67 OU +229 53 83 81 14 POUR UN BON PORTEFEUILLE SANS DANGER
Je m’appel Michel, je témoigne aujourd’huit sur le grand marabout PARFAIT OROGAN qui ma montré la réalité de la multiplication d’argent réel . Voici la sommes d’argent qu’il ma envoyer ce matin comme prévus. Après beaucoup d’échec chez des marabout ,je n’es pas confiance dès le début que j’ai pris son numéro ,je voulais essayer avec la multiplication d’argent et après pour le portefeuille . Il ma…
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marieburgoscollection · 1 year ago
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CALEBASSE CANDLE - GOLD
A beautiful scented candle presented in a traditional artisanal Caribbean object revisited with a contemporary approach for todays needs and pleasure. Infused with the finest botanical fragrance oils. Our premium candles are poured into luxury handmade artisan ceramic and are made with a blend of premium, natural Soy & Bee waxes finished with the highest quality wood wicks. Read More: https://www.marieburgoscollection.com/candles/calebasse-candle-gold
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codumofr · 15 days ago
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Le Sitar est un instrument de musique typique des musiques Hindoustanie (style de musique phare indienne avec la musique Carnatique.) l’invention viendrait du XIIIe siècle et aurait été inventée par le musicien Amir Khusrau. Il est à l’époque un simple instrument à cordes dérivé du Tambur perse et sera modifié lentement au cours des siècles. Tandis qu'il évolue petit à petit au fil des siècles pour devenir sa version actuelle vers le XIXe siècle, il sera abondamment utilisé notamment par des musiciens dans la culture musicale Hindoustanie. Instrument à cordes de la famille des luths, il mesure 1.2 m de longueur et possède une caisse de résonance piriforme (en forme de poire.) profonde, faite de bois et de calebasse, d’un manche en bois long, assez large et évidé, ainsi que des chevilles frontales et latérales et vingt frettes arquées et qui sont mobiles. Généralement muni d’entre deux à cinq cordes servant pour les variations rythmique, puis de neuf à treize cordes métalliques placées sous les frettes tout en étant accordées sur les notes du Rāga (cadre mélodique de la musique classique indienne) et qui sont placée donc directement sous les frettes, dans le manche. Les frettes qui sont convexes, sont fixés par des liens tendus le long du manche, permettant ainsi le déplacement de ces dernières en fonction des besoins. Bien que les origines de l’instrument sont controversées, oscillant entre un descendant des luths à long manche en provenance d’Asie Central ou bien issue d’une variation du Vînâ à trois cordes de l’Inde du Sud, on peut situer que son nom en lui-même, le “Sitar” provient du persan “Sihtar” qui signifie “À trois cordes”. l’Âge d’or du Sitar se situe entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, tandis que sa forme actuelle date elle du XVIIIe siècle. Il est aujourd’hui l’instrument dominant la musique dans l’Inde du Nord et est utilisé comme un instrument soliste accompagnée Tambura (Luth à bourdon) ainsi que les tambours Tabla, mais aussi dans des ensembles pour les drames dansés nommée “Kathak”, issue aussi de l’Inde du Nord. Ainsi, pour le Sitar, il existe deux écoles modernes situées en Inde : Celle de Ravi Shankar, Sitariste et Compositeur Indien ayant vécu de 1920 à 2012 et celle de Vilayat Khan, Sitariste Indien ayant vécu de 1928 à 2004. Chacune de ses écoles possède son propre style de jeu, de type de Sitar (qui se résume par une taille, une forme et un nombre de cordes différentes) ainsi que le même système d’accord. Mais comment joue t’on du Sitar ? L’instrument est joué en étant assis en tailleur par terre et calé sous le coude droit et reposant sur le pied. Tenu de façon oblique comme la Guitare Flamenco et non pas de façon droite ou couché comme le Tampura, le sitariste use d’un onglet de métal du nom de Mezrab mis sur l’index droit pour pincer les cordes. Puis dans un mouvement de va-et-vient, comme dans la manière de jouer du le Setar, l'ancêtre du Sitar. Il y joue alternativement les cordes principales et rythmiques. L’utilisation dans la culture populaire se développe dans les années 1960 en piquant l’intérêt des Occidentaux dans les domaines de la spiritualité et de la musique Indienne. C’est avec le mouvement psychédélique en particulier que des sonorités asiatiques, ainsi que le sitar sont intégrées et font leur apparition dans la musique populaire, notamment chez les Beatles. On peut aussi nommer George Harrison qui sera l’élève de Ravi Shankar en 1966, puis son ami et l’utilisera dans de nombreux titres des Beatles tels que Norwegian Wood (1965), Love You To (1966), Withing You Without You (1966) ou encore The Inner Light (1968).
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philoursmars · 11 months ago
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Marseille, le MuCEM et sa nouvelle collection permanente (à mes yeux, bien plus intéressante et mieux présentée que la précédente...)
Il y aura un nombre important de billets !!!
reliquaire de Sainte-Barbe en ivoire - Nord de la France, 1830
boîte à priser en ivoire, de E.L., bagnard , "A ma mère" - Cayenne, 1873 ; tabatière en corne - Bretagne, 1768
Philippe Ragault - maquette du bateau "L'Assaut du Rêve sur la Fécondité" - ivoire, ébène, rubis - Dieppe, 1990
hochet et amulettes porte-bonheur juives en corail, or, ivoire, vermeil… - Maroc, 1900-50
calebasse - Nice, 1900-50
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secretsdeblackthornhall · 1 year ago
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De Julian à Kieran
CORRESPONDANCE PRIVÉE : TOUTE DIVULGATION ENTRAINERA LA PEINE DE MORT
De la part de : Julian Blackthorn de Blackthorn Hall
A l’attention de : Kieran, Roi de la Cour des Ténèbres
Eh bien nous sommes revenus de la Cour des Lumières. Bonne nouvelle : nous avons la pelle à poisson. Mauvaise nouvelle : nous n’avons pas appris grand-chose et nous avons éveillé beaucoup de soupçons. Mais je serai ravi de te raconter le déroulé des événements, en espérant que ça te soit utile. J’espère aussi que tu considèreras que c’est un échange équitable contre la faveur que tu dois maintenant à un phouka. (Je suis quasiment certain que cette faveur impliquera de te demander d’acheter un chapeau.)
Nous étions assez nerveux à l’idée d’y aller, même avec l’invitation d’Adaon : la dernière fois que nous étions dans le Royaume des Fées, ça ne s’était pas bien passé. Tout n’était que fumée grise, neige, phalènes et terres qui dépérissaient. Tout ça semble être du passé maintenant, le Royaume a de nouveau l’air en pleine santé. C’était l’automne là-bas, et le sol était recouvert de feuilles, toutes rouges et dorées.
Bref, nous avons suivi les instructions d’Adaon et sommes entrés dans le Royaume par un vieux tertre dans le parc de Primrose Hill. Nous nous sommes retrouvés dans une clairière où deux immenses portes en bois émergeaient du sol. Et Adaon était là pour nous accueillir, ce qui était sympathique de sa part.
Mais il n’avait pas du tout l’air content. Il s’est précipité vers nous et nous a avoué qu’il avait dû dire à la Reine que nous venions.
- Il ne se passe pas grand-chose sous son toit, a-t-il ajouté, dont elle n’a pas connaissance. C’est pour cette raison qu’elle a la main mise sur le pouvoir depuis tout ce temps, en partie.
Il avait un regard si misérable qu’Emma lui a assuré que tout allait bien et que nous ne faisions rien que la Reine désapprouverait, ni même dont elle se soucierait. Il a vaguement secoué la tête :
- L’on ne sait jamais ce dont Sa Majesté se souciera. Ni ce qu’elle désapprouvera. Elle m’a prié de vous conduire tous les deux dans la salle du trône dès votre arrivée, et c’est donc ce que je dois faire.
Là, j’ai commencé à être un peu plus inquiet. J’ai rappelé à Adaon qu’il avait garanti notre sécurité. Il a répondu :
- Selon les lois de l’hospitalité, sans parler des Accords, elle ne peut pas vous faire de mal ni vous retenir contre votre gré, si votre but est vertueux.
Mais il a de nouveau secoué la tête.
- Laisse-moi deviner, ai-je lancé. La Reine seule a le pouvoir de déterminer si notre but est vertueux ou non.
Adaon a esquissé un faible sourire.
- Exactement.
Mais il nous a conduit vers la salle du trône.
Le thème de l’automne était tout aussi présent dans cette salle que dans la clairière. Même davantage. Mais ce n’était pas par rapport à la fin de la période de végétation, ni à la tristesse que l’été soit fini. C’était plutôt comme une célébration des récoltes. Ce que je veux dire, c’est qu’il y avait des cornes d’abondance débordant de calebasses, de pommes, de poires, d’épis de maïs. Il y avait des ballots de foin, ce qui est assez drôle parce que personne dans cette salle du trône n’a jamais fait de ballots de foin, crois-moi. Des pixies avec des ailes de papillon ardentes faisaient le tour du plafond.
La Reine était, sans surprise, sur son trône. Elle portait une robe qui était faite entièrement, je te le jure, de scarabées d’un vert étincelant cousus ensemble. Ses cheveux encadraient son visage comme une explosion de flammes rouge doré. Elle n’a plus l’air chétif et décharné, tel que la dernière fois que nous l’avions vue, et elle semblait irradier un pouvoir qui lui manquait avant.
Il y avait les groupes d’elfes habituels dispersés dans la salle – des courtisans, je suppose – commérant, gloussant, assis avec indécence. Donc tout paraissait normal de ce côté-là. Ils nous ont à peine adressé un regard. Ils ont simplement tendu le cou, compris que nous n’étions pas intéressants et repris leur flânerie.
Je m’attendais à ce que la Reine se mette tout de suite à nous insulter, mais elle était en réalité assez cordiale. Pas chaleureuse. Mais pas hostile non plus. Évidemment elle a voulu que nous la complimentions pour la décoration d’abord. Elle a désigné la salle du trône d’un grand geste de la main et entamé la conversation :
- Vous avez choisi une charmante saison pour venir nous rendre visite.
- C’est plus fun que la dernière fois, a remarqué Emma.
- Et pourtant, vous avez choisi de revenir, a commenté la Reine comme si ça la réjouissait, malgré… l’absence de fun lors de notre dernière rencontre.
- Nous n’avions pas vu notre ami Adaon depuis longtemps, ai-je déclaré. Le plaisir de sa compagnie nous manquait.
- Si telles sont vos paroles, a répliqué la Reine.
Je suppose que ça se traduit par « C’est clairement des conneries ».
- Comme vous vous en doutez certainement, je ne suis pas sans savoir que votre frère est le consort du Roi de la Cour des Ténèbres.
- Seulement l’un de ses consorts, a corrigé Emma.
La Reine l’a ignorée.
- Assurément, vous avez anticipé que je vous soupçonnerais d’espionnage.
- Nous ne sommes pas ici pour le Roi de la Cour des Ténèbres, ai-je déclaré, mais plutôt pour nos intérêts à la Cour des Lumières. Notre famille est en effet liée �� la Cour des Lumières de plusieurs manières. Comme vous le savez.
La Reine m’a également ignoré.
- Votre meilleure défense, selon moi, est qu’il est si évident que l’on vous choisisse comme espions, que certainement Kieran Kingson (je pense que c’était censé être une insulte envers toi, ou moi, ou nous deux) ferait un choix plus réfléchi.
- C’est bien vrai, est intervenue Emma.
- Eh bien, a lâché la Reine. Racontez-moi une fable. Quelle est la raison de votre venue ?
J’ai pensé que nous n’avions rien à perdre avec la vérité – nous ne faisions vraiment rien dont la Reine aurait dû se soucier. Alors je lui ai raconté toute l’histoire : nous avons hérité d’une maison à Londres, la maison est maudite, nous voulons rompre la malédiction. J’ai insisté sur le fait que ni la maison ni la malédiction n’étaient liées au Petit Peuple. (Je n’ai pas mentionné Round Tom, puisque j’ai pensé que ça nous éloignerait du sujet principal.)
Pour rompre la malédiction, nous devons (entre autres choses) obtenir cette pelle à poisson. Nous avons appris qu’elle était ou avait été la propriété de Socks MacPherson le phouka. Nous sommes venus négocier avec lui pour la récupérer, et nous nous sommes arrangés avec Adaon pour recevoir une invitation parce que nous n’avions aucun moyen de contacter MacPherson directement.
- Tout ce que nous voulons, a continué Emma, c’est faire du troc avec MacPherson pour récupérer la pelle à poisson. Nous pouvons faire ça juste ici, dans la salle du trône, si l’on peut le faire appeler.
La Reine a semblé très intéressée tout d’un coup :
- Vous êtes prêt à régler cette affaire ici, sans jamais visiter la Cour à proprement parler ?
J’ai confirmé que nous partagions grandement le désir de la Reine que nous ne visitions pas la Cour.
Elle a paru surprise, mais elle a appelé l’un des courtisans et lui a chuchoté quelque chose.
- On enverra chercher le phouka, a-t-elle annoncé. Prince Adaon, quand les Nephilim auront terminé leur négociation avec lui, vous les escorterez dehors et leur donnerez congé.
Adaon a répondu par une révérence.
- Et maintenant, a repris la Reine avec un rapide mouvement des yeux, je vous prie de m’excuser, car je vois que l’on me demande.
Nous nous sommes décalés pour la laisser descendre de son trône. J’ai vu qu’un homme était entré. Je ne l’ai pas reconnu, mais c’était clairement quelqu’un d’important : il était vêtu complétement différemment de toutes les autres personnes. Au lieu de la tenue appropriée pour la Cour, il portait une cape à capuche gris-vert, et son visage était dissimulé par un masque en forme de tête de faucon. Ses vêtements étaient plus appropriés pour la chasse en forêt que pour autre chose, mais ils étaient parfaitement propres. Je ne savais pas quoi penser de lui. Mais je me suis dit qu’il valait mieux inclure sa description. Tu m’as dit de faire attention à tout ce qui pouvait être nouveau ou discordant, et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il l’était.
Nous avons attendu en discutant avec Adaon pendant quelques minutes avant que Socks MacPherson n’arrive. Nous avions déjà rencontré quelques phoukas avant – l’un d’entre eux est le portier du Marché Obscur de Los Angeles, comme tu t’en souviens peut-être – et j’avais pensé que MacPherson serait comme eux, mais non, c’est un type complétement différent. Il portait un immense chapeau rond en fourrure d’où dépassaient ses oreilles. C’était beaucoup pour un seul chapeau.
Il semblait surpris que la Reine nous ait laissés seuls. Il a affirmé qu’il était désolé si nous avions été tourmentés outre mesure à cause de lui. Je lui ai précisé qu’elle avait probablement eu l’intention de nous surveiller de son regard menaçant mais qu’elle avait dû partir à l’improviste. MacPherson a haussé les épaules :
- Elle croit que tout est un mouvement dans sa partie d’échecs à cinq dimensions. Mais parfois, quelqu’un veut simplement m’échanger quelque chose contre un ustensile de cuisine. En parlant de ça, j’ai la pelle à poisson.
Il avait avec lui une sorte de sac fourre-tout dont il a sorti la pelle. Tout de suite, le Détecteur de Fantômes a sonné bruyamment. MacPherson a sursauté et est allé se cacher derrière l’un des groupes de courtisans. Mais nous voyons toujours son chapeau. (Et ses oreilles qui tremblaient au-dessus du chapeau.) Alors nous nous sommes approchés et lui avons expliqué que c’était simplement un outil qui détectait les objets maudits que nous recherchions, et que le bruit était une bonne nouvelle puisque ça confirmait que la pelle à poisson était bien celle que nous recherchions. Puis les courtisans nous ont éloignés ; nous les empêchions de reprendre leur important badinage.
Socks a grommelé, c’était à parier, ce « minable Spoon » lui avait donné une pelle à poisson maudite.
- Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté ce marché, a-t-il poursuivi. Je n’en ai même pas l’utilité. Je suis végétarien.
Il nous a enfin demandé ce que nous avions à offrir, nous lui avons annoncé que c’était une faveur de ta part et avons expliqué en quoi nous étions qualifiés pour offrir une telle chose. Il a trouvé l’offre acceptable et nous avons ramené la pelle à poisson à la maison.
En résumé : Sock MacPherson est protégé par la Cour des Lumières mais n’a pas hésité une seule seconde à accepter une faveur de la Cour des Ténèbres. La Reine reste méfiante, elle avait des soupçons sur nous. Mais il faut aussi s’en méfier parce que son comportement était étrange. C’est certain que la Cour des Lumières cache quelque chose, étant donné que la Reine a été extrêmement soulagée au moment même où elle s’est rendu compte que nous n’allions pas quitter la salle du trône pour aller jeter un œil à la Cour. Mon intuition, qui n’a pas vraiment de fondement, c’est qu’elle ne cache pas quelque chose, mais bien quelqu’un – s’il s’agissait d’un objet, sûrement pourrait-elle le cacher quelque part où nous ne pourrions pas le voir ? Mais ce n’est qu’une impression.
C’est tout. Je te suis infiniment reconnaissant, comme toujours, pour toute ton aide. Je suis sûr que tu t’attendais à plus d’informations que le contenu de cette lettre, mais j’espère que tu y trouveras une utilité.
Embrasse Mark et Cristina pour nous. Nous t’embrassons également. Et surtout, gloire à Kraig.
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/688227415184588800/julian-to-kieran
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filipevb · 2 years ago
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Calabass, 2023 Bluetooth Speaker [Prototype] A l’origine utilisée comme gourde, la calebasse offre naturellement un design parfait pour l’itinérance et ses rondeurs accueillent et répercutent à merveille les ondes sonores. Série #cyclé Artefacts numériques biodégradables #filipevilasboas — Introduites par le physicien José Halloy, les “zombies technologies” décrivent ces technologies mortes, énergivores, vouées à l'obsolescence programmée et qui ne tiennent pas compte des limites des ressources planétaires. Le philosophe Alexandre Monnin parle à ce sujet de “communs négatifs” qu’il va aussi falloir gérer, démanteler, déconstruire. Pour sortir de ce modèle intenable, la série “Cyclé” tente d’ouvrir la voie à une conception frugale de l’innovation en limitant autant que faire se peut son impact et ce dès la racine, en utilisant deux leviers : une réduction ou limitation des usages doublée d’une intégration de contenants végétaux déjà produits grâce à l’énergie solaire (photosynthèse) et en bout de chaîne, biodégradables. Si l’histoire des détournements et usages humains de coques végétales s’est en grande partie interrompue avec le développement du plastique, il est aujourd’hui grand temps de la poursuivre. Prototypage en cours avec @anthoningourichon [ @ensparissaclay ] #ecoart #ecodesign #art #speakerbluetooth #calabasas #calebasse #calabaza #calabaza #calabass #josehalloy #zombiestechnologies #technologieszombies #contemporaryart #alexandremonnin #ecoconception #biomaterials #biodegradable #artetecologie #artwork #artoftheday (à Compost de l’Insurrection) https://www.instagram.com/p/CoIMA5Vr8BO/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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studiop8-blog · 7 months ago
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Un cocon teinté de souvenirs
intimité familiale 7.3
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
Depuis mon lit, j'ai une vue imprenable sur ce petit coin de paradis qu'est ma chambre à la résidence Le Sextant. Mon regard se pose d'abord sur l'imposante armoire aux multiples compartiments, véritable gardienne de mes trésors.
Au sommet de cette structure en bois, un chapeau en tissu ndop aux couleurs bleu et blanc d'origine camerounaise trône fièrement. Souvenir d'un voyage en pays Bamiléké, terre de mes ancêtres, il apporte une touche d'authenticité et de chaleur à cet espace intimiste.
Juste en dessous, la première étagère abrite ma modeste bibliothèque, composée de quelques ouvrages offerts par la généreuse bibliothèque de l'Université Paris 8. Ces livres, compagnons fidèles de mes études, représentent le savoir que je m'efforce d'acquérir jour après jour.
L'étagère suivante est un véritable garde-manger, où sont soigneusement rangés mes plats et verres. Juste en dessous, un panier débordant de fruits frais apporte une note de fraîcheur et de vitalité à l'ensemble.
Mais c'est ma petite table basse qui attire particulièrement mon attention. Posée dessus, une calebasse en bois précieux, gravée du mot Argentina, abrite une bombilla noire. Un trésor rapporté de mon voyage initiatique en Amérique du Sud, où j'ai découvert les délices du maté, cette boisson ancestrale aux vertus revigorantes.
Chaque objet dans cette pièce raconte une histoire, un fragment de mon parcours estudiantin et personnel. Des souvenirs précieux qui se mêlent harmonieusement à mon quotidien, créant un cocon chaleureux et réconfortant.
C'est ici que je me ressource, que je laisse vagabonder mon esprit entre les pages d'un livre ou les gorgées d'un maté fumant. Un havre de paix où je peux être pleinement moi-même, entouré des témoins muets de mon cheminement.
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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Le Langage “Poilu”.
“(…) Vous savez que la tête ou trognon se coiffe d'un képi, dit kébrock, pot de fleurs.  Le buste du poilu, la partie de son corps qui contient l'estomac et les entrailles, qui est par conséquent le réceptacle de la nourriture, se nomme pour ce motif: coffre, bide, buffet, lampe. Rien ne fait plaisir comme de s'en flanquer plein la lampe.  Le poilu met ses jambes, ses quilles, ses pattes, ses harpions, son compas, dans un objet appelé par certains pantalon, mais par lui: falzar, frandar, froc, fourreau, grimpant. On voit le geste de l'homme qui s'habille…
A ses pieds, panards, ripalons, il enfile des godillots ou, si vous préférez, des godasses, des grôles, des croquenots, des ribouis, des péniches, des chaussettes à clous, des pompes (à l'usage de l'eau des tranchées, probablement).  Tout le monde connaît Azor, le sac; Mlle Lebel, le fusil, et Rosalie, la baïonnette, trois fidèles amis du trouflon.
Le temps où le poilu se couchait dans un lit, appelé pajot ou plumard, en raison sans doute de l'absence de plumes dans la literie, est maintenant passé. Il dort (quand il dort, et alors il pionce, il roupille, il en écrase) sur la terre, heureux d'avoir de temps en temps un peu de paille en guise de drap ou de sac à viande. Au repos, en arrière, il trouve quelquefois un lit: quelle joie, quelle nouba. Quelle foire! Mais la chose est rare depuis que le poilu habite la tranchée et ses gourbis, ses cagnas, ses calebasses.  Sa grande préoccupation est alors de défendre sa peau. Car il reçoit des visites peu agréables: les gros noire, les marmites, les wagons-lits, les trains de wagons-lits, s'il y en a plusieurs, le métro.. Que sais-je encore? C'est alors que retentissent les:
« Planquez-vous! » Les poilus s'aplatissent sur le sol sans s'émouvoir: faut pas s'en faire! A quoi bon avoir les foies blancs, verts ou tricolores, en d'autres termes, avoir peur? On n'est pas une bleusaille!  Et quand résonne l'éclatement formidable du 105 ou du 120, le poilu apprécie d'un air amusé: C'est un pepère… un maous… un pépère-maous. De petits bourdonnements se font entendre: ce sont les éclats nommés mouches à miel, abeilles (ces qualilicatifs étant d'ailleurs communs aux balles) qui, heurtant un obstacle, cessent brusquement leur ronronnement.
Aussi, on est brave; on en a dans le ventre; on est blessé, attigé, amoché; on meurt, cela s'appelle être occis, clamecé, claboté,bousillé, zigouillé. II en tombe beaucoup, surtout à la charge à la a baïonnette, quand on va à la fourchette.  Notez enfin un autre petit inconvénient de la vie des tranchées. Ces cochons de Boches ont amené avec eux, laissés en liberté, une multitude d'insectes parasites, parmi lesquels on doit signaler, en raison de leur nombre et de leur universelle renommée, les poux, totos ou gos, petites bêtes blanches aux pattes agiles, appelées aussi pour ce motif mies de pain mécaniques… Et je vous assure que pour s'en débarrasser on a bien de da peine: quel boulot !
Ce sont là les ennuis d'un métier qui réserve, par contre, d'agréables moments. La soupe, par exemple… Il faut avoir vécu au front pour être capable de comprendre l'enthousiasme de l'accueil fait à l'homme sale que la guerre a révélé cuisinier, "Ah! te v'ià, l'cuistot! Eh bien! ça va, à la cuistance? Dis donc… vieux, qu'est-ce que tu nous apportes à becqueter?” Le cuisinier, louche en main, procède alors à la distribution. Chacun tend sa galetouse, lisez gamelle, et reçoit sa portion de rata: bidoche ou barbaque cuite avec patates, faillots ou riz. Avec cela, un quart de boule (pain ou bricheton) et de temps en temps, un morceau de frometon ou fromgi (fromage).
Seulement, il arrive parfois que, pour divers motifs, la soupe ne vient pas: attaques, changements imprévus de secteur, culbute du cuisinier et de sa becquetance sous la rafale des obus. Philosophiquement, en s'accompagnant d'un geste des mains qui esquissent un nœud imaginaire sur le ventre, le poilu se met la tringle ou la corde, serre un cran à la ceinture, ou, par antithèse, il se bombe. Et il le fait sans trop se plaindre - rouspéter ou rouscailler, - se réservant d'ailleurs de se tasser une boîte de singe.  Mais quelle n'est pas sa joie lorsqu'il peut se rassasier à son aise, se taper la tête ou la cloche, s'en mettre plein le col, plein le cornet!  Le comble du bien-être est atteint quand paraît le vin, le pinard tant désiré. On ne l'a plus, comme autrefois, en litre, en kil; on en touche - et encore!… - un quart. Sinon, au cas où le pinard a fait le mur, on se contente d'eau dite flotte ou lance. Puis vient le traditionnel jus, dont on ne se passerait pas pour un empire. De temps en temps, enfin, on distribue de l'eau-de-vie: la goutte, la gniole, le criq, le j'te connais bien. Mais généralement le poilu voit là un signe avant-coureur d'une attaque. Alors, malgré le plaisir de l'absorption, il trouve que ça la f…iche mal! Il eût préféré déguster en paix, que diable!
Ce plaisir de la soupe s'adresse à ce qu'Aristole appellerait l'âme inférieure. Il en est un autre d'une essence supérieure: celui de recevoir des lettres. Les babillardes sont toujours bienvenues: celles des parents, des vieux; des frères et sœurs, frangins et frangines; des amis, des copains, des connaissances restées au pays; des parrains et marraines de guerre. Souvent aussi on y trouve de quoi garnir son porte-monnaie Les yeux du poilu, ses mirettes, s'illuminent lorsqu'il voit son morling se remplir de ronds, de balles, de tunes. Bienheureux ceux qui ont du pognon, du pèse !“
Maurice Barrès
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vodoungnon · 7 months ago
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Témoignage de Lucas sur le vrai portefeuille magique, Témoignage du vrai portefeuille magique du papa vodoungnon medjo qui produit en dollars au +229 55 62 11 43
5e AvenueL’élite de New York dans le centre de Manhattan Me voici en photo avec du fric en main grâce a un vrai portefeuille magique qui me produit 20.000 dollars par semaine et qui ma permis de remboursé tout mes dette de 150.000 dollars avec la Banque de New York. Je fais ce Témoignage sur le vrai Porte monnaie magique de la richesse sans conséquence et sans dangers du puissant grand marabout…
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catherine-geoffray · 2 years ago
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05–02–23 Une séance de gymnastique collective se déroule avec un grand nombre d’enfants et d’adultes obligés de marcher à quatre pattes sur un sol rocailleux qui écorche les genoux. Je râle beaucoup et abrège la séquence alors que la plupart se soumet sans broncher à cette séance de torture collective qui m’évoque les chemins d’expiation de certains pèlerinages religieux. Mon cousin n’a pas non plus supporté et s’est mis à courir comme un dératé au sommet d’une falaise, puis à plonger dans la mer tout habillé. A la fin de la session, les gens partent marcher dans les collines. On se retrouve ensuite pour une séance de création collective. Mon cousin brandit alors son caleçon blanc dont il a tiré les fils et resserré les élastiques pour former une sorte d’ossature de calebasse qui me fait immédiatement songer à la radiographie d’une de mes sculptures. Quant à sa femme, elle agite devant elle une paire de chaussettes rouges serties de petits brillants qui scintillent, et munies de tétons réalisés avec des boutons empilés. Elle en déploie une qui se transforme soudain en sexe masculin, ce qui déclenche l’hilarité générale.
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lesillusionsterrestres · 2 years ago
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Là-bas
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Demain, je prends une grande machine volante pour aller dans un endroit où les gens ont la peau pâle. On m’a dit que cet endroit s’appelait La France, et que ce continent s’appelait L’Europe. Mes parents y sont déjà, mais moi, je ne sais pas si j’ai envie d’y aller. Je ne connais qu’un seul pays, Le Togo, je ne connais qu’un seul continent, L’Afrique. Je suis bien ici. Là-bas, il n’y a pas grand-mère et les cousins-cousines, les oncles et tantes, il n’y a pas mon école et le grand marché, il n’y a pas le soleil ardent qui colore la peau et l’ombre des manguiers pour se reposer. Là-bas il n’y a pas le fufu que l’on pilonne à bout de bras dans le mortier, les brochettes pimentées qui piquent la langue et réchauffent le ventre affamé, il n’y a pas tout ça, là-bas. Cet endroit ne m’attend pas et je ne l’attends pas non plus. Alors je ferais mieux de rester ici, dans mon pays, pauvre oui, mais riche de tous les rires.
On m’a dit que là-bas, ce sera vraiment mieux qu’ici. Vraiment ? On m’a dit que là-bas j’irai dans de bonnes écoles où l’on m’apprendra à bien penser et à bien dire. Vraiment ? On m’a dit que là-bas, je serai bien habillée, bien coiffée, bien nourrie et choyée. Vraiment ? On m’a dit que là-bas j’aurai le droit de rêver, et même le droit de réaliser mes rêves. Vraiment ? Mais si mon rêve c’est de rester ici, à quoi me servira de partir là-bas ?
Là-bas, je rêverai d’ici.
Ici, c’est les histoires et les chants de grand-mère, les jeux avec Bienvenu, Pascaline, Espoir et Dagobert. C’est la tante Rose qui coud une robe pour la communion de Lucia, la tante Afi qui fait frire les bananes plantains et les patates douces. Ici, c’est la tante Essie qui donne le bain au petit dernier dans la calebasse en bois. C’est tonton Koffi qui répare sa moto, qui depuis quelques jours ne sait plus rouler. Là-bas, je rêverai de traverser encore la grande cour intérieure de la maison familiale, pour franchir le portail qui mène dehors.
Dehors, c’est Lomé. La ville et son fracas. C’est la boulangère ambulante qui fait sa tournée dès l’aube et dont le cri se rapproche lentement : « Petit pain, 500 francs, gros pain, 1 000 francs. Ma chérie, je te fais un prix, pour toi, gros pain, 800 francs. » Dehors, c’est le coq qui libère son plus beau cocorico pour annoncer la naissance du jour, qu’il fête chaque fois avec l’euphorie d’un premier matin. C’est les poules et les chèvres qui vous accompagnent pour un bout de chemin avant de s’arr��ter pour brouter de l’herbe sèche sur le sol. Dehors, c’est la vendeuse de mandarine, qui s’appelle Clémentine, qui vous salue en levant la main, vous demande si vous allez venir à la messe le lendemain et qui rappelle avec entrain que « Il faut s’en remettre à Dieu. Dieu est grand ma soeur, et il peut tout ». Dehors, c’est les taxis-motos qui se bousculent pour prendre des voyageurs et qui ne manquent pas de vous bousculer au passage. Dehors, c’est Dodo, le patron du maquis qui ouvre son établissement Jésus sauve, où l’on se retrouvera avec les copains et les copines le soir venu pour rigoler et papoter autour d’une bouteille de Pompon ou de Malta. Dehors, c’est le vendeur de yaourt glacé qui fait résonner le bruit inimitable de son klaxon pour signaler que sa glacière est pleine. Dehors, c’est Félicie la coiffeuse qui vous demande de passer la voir bientôt parce que ça fait longtemps qu’elle ne vous a pas tressé. Dehors, c’est le brouhaha des moteurs, l’odeur féroce des pots d’échappement, les mots-colères des automobilistes. C’est la terre argileuse d’un chemin qui n’est pas une route mais un parcours vertigineux semé d’embûches rocailleuses et boueuses. C’est un peuple de déchets qui jonchent les pieds. Ce sont des rues sans nom qui défilent, des maisons sans numéro, des murs qui disent Il est interdit d’uriner et sur lesquels les gens urinent quand même. Les enfants courent. Les jeunes discutent. Les vieux sont assis et observent le silence. Est-ce que là-bas, ces gens que je ne connais pas savent observer le silence ? Il faudrait qu’ils apprennent à observer le silence. Alors, peut-être, je pourrai entrevoir la musique d’une grande espérance, le rythme enjoué d’un bonheur loin de chez moi.
Demain, je prends une grande machine volante pour aller dans un endroit où les gens ont la peau pâle. Moi, qui n’ai jamais connu que Le Togo, je vais rencontrer cet endroit qu'ils appellent La France. // Dédé ANYOH //
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grandmaraboutorogan · 7 months ago
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LES DANGERS DU PORTEFEUILLE MAGIQUE ,PORTEFEUILLE MAGIQUE EXPLICATION,PORTEFEUILLE AVIS, PORTEFEUILLE MAGIQUE CONSÉQUENCE...
Ce portefeuille du grand marabout féticheur honnête OROGAN est très puissant et efficace, il vous permet d’avoir en retour des billets de banque après le rituel de consécration, et chaque fois que vous essayez de dépenser l’argent du portefeuille, vous reverrez toujours la somme dépensée se multiplier par 100 ou plus ( Tout dépend de votre aura, de vos vibrations ) , revenir d’une manière ou…
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