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#boboland
poorinnocentguiguitab · 2 years
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#martinrev #suicide #keyboard #crazyshow #boboland #punk #glasses👓 (à Bourse de Commerce - Pinault Collection) https://www.instagram.com/p/CmOQGBZr_FU421ebeERQiIjjSr0eqdfwkyBYWs0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lepartidelamort · 6 months
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Culture : « Quelques jours pas plus », un trÚs beau film pro-migrants avec le talentueux Biolay
Boboland en est arrivé à un film pro-migrants par mois.
Cette motte de gelée grisùtre de Biolay est dans le casting, ce qui aggrave encore le tout.
Il y a de la musique dramatique et tout parce que sauver les bogmoules, c’est un enjeu.
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Fatalement, les fascistes ont boudé ce drame social.
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C’est bien, l’argent des contribuables. Ça permet d’échapper Ă  la loi de l’offre et de la demande et de faire vivre un Ă©cosystĂšme de bourgeois de gauche retranchĂ©s dans leur forteresse, bien Ă  l’abri des bogmoules qu’ils aiment tant et des paysans racistes qu’ils rackettent grĂące au CNC et au ministĂšre de la Culture.
Et puis, quel grand acteur ce Biolay. J’adore les films engagĂ©s, surtout intimistes. A fortiori quand c’est bien interprĂ©tĂ© comme ici.
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Les femmes profs – plĂ©onasme – adorent aussi. Plus une femme est Ă©duquĂ©e, plus elle est conne, mais c’est un autre sujet.
La curaille de gauche est Ă©videmment conquise. Ses Ă©vĂȘques recommandent chaudement cette oeuvre Ă©difiante aux pĂ©cheurs.
La Nouvelle RĂ©publique est formelle.
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« L’humanité », avec Daoud le bogmoule sorti de l’ñge de pierre.
Vous voyez ?
Votre pognon a des vertus rĂ©demptrices insoupçonnĂ©es. Quoique d’incorrigibles xĂ©nophobes, bornĂ©s et incultes, vos impĂŽts rachĂštent vos Ăąmes corrompues par les prĂ©jugĂ©s et l’intolĂ©rance grĂące Ă  des artistes courageux, qui dĂ©fient les clichĂ©s.
Cette belle recension, parmi d’autres, est signĂ©e par le prĂ©lat Jacques Brinaire, qui est aussi un peu pĂ©dĂ© et a une Ă©vidente part de sang sĂ©mitique. On le devine aux deux saucisses de Strasbourg qui lui servent de lĂšvres. MaghrĂ©bine ou juive, cela reste Ă  dĂ©finir.
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Mao avait fait arrĂȘter et dĂ©porter en camp de travail tous les intellectuels.
Tout n’est pas si mal dans le communisme, surtout la part oĂč on donne une pelle Ă  un artiste pour faire quelque chose de productif.
Il faut y songer.
J’y songe.
DĂ©mocratie Participative
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th-steen · 6 months
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maelgauduchon · 1 year
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Le crépuscule de la Non-violence
Note du 3 juillet 2023
Le crépuscule de la non-violence
-Parce que je refuse de raconter à mes gosses que je suis un petit babtou fragile de blanc privilégié qui est resté bien tranquillement chez lui à fermer sa gueule.-
Un gamin est mort il y a quelque jours. 17 ans il avait. Il s’appelait Nahel. Alors que le meurtrier Ă©tait un policier lui hurlant dessus « ArrĂȘte toi oĂč je te tire dans la tĂȘte » et que l’autre barbouze l’incitait en vocifĂ©rant « shoot le, shoot le », le tout accompagnĂ© de coups de crosse, comment ne peut-on pas comprendre ensuite tout le feu qui s’en est suivi ? Par quel horrible mĂ©pris, pas quelles idĂ©es honteuses ne peut-on pas comprendre ?
Tout le pays s’est embrasĂ©, et tout le fascisme a rĂ©pondu.
D’un cĂŽtĂ© tout s’est embrasĂ© parce que tout est systĂ©mique dans ces violences. Un policier tue un arabe, on connaĂźt.
De l’autre le fascisme a rĂ©pondu avec un racisme dĂ©complexĂ©, jugeant qu’un arabe qui meurt Ă  17 ans tuĂ© par un milicien c’est tant mieux, on connaĂźt.
D’un cĂŽtĂ© on pille des magasins, on redistribue des richesses injustement accumulĂ©es, on brĂ»le des commissariats, places fortes d’institutions dont l’illusoire lĂ©gitimitĂ© ne trompe plus personne, on incendie les mairies, symboles d’un Ă©tat qui n’est plus celui que des tyrans ;  ah, ce n’est pas bien, bien entendu, mais, n’a-t-on jamais racontĂ© des contes pour enfants expliquant que parfois le Bien s’habille de moyens douloureux pour parvenir ? On aurait bien peu de contes ou romans nationaux si on devait toujours faire le Bien Ă  coups de bisous.
Pendant ce temps, la milice changea de visages, le fascisme est revenu en France. La milice a des fusils Ă  pompes face Ă  des adolescents imberbes, des fusils d’assauts face Ă  des jeunes filles Ă  peine pubĂšres, et des blindĂ©s face aux scooters. Au diable la proportionnalité ! La mĂ©lodie des bruits de botte, des annĂ©es 30 aux annĂ©es 20, ça fait frĂ©tiller les oreilles des droitards.
Tout ceci pour protéger quoi ? Un état raciste et des policiers fascistes.
Parce que dĂ©sormais, on ne me la fait plus, ils sont tous parfaitement conscients de ce qu’ils font, les bons flics ont dĂ©missionnĂ© depuis longtemps. Il ne reste plus que des barbouzes.
Et pendant ce temps, en boboland, la non-violence était un doux principe. Il ne faut pas frapper, il ne faut pas répondre, cela ne résout rien, les policiers aussi sont des humains.
Mais la milice, elle, n’est plus humaine.
Qu’on comprenne bien, j’ai Ă©tĂ© non-violent longtemps, par stratĂ©gie, parce que l’heure y Ă©tait. J’étais coordinateur de groupe au moment des manifs pour le climat avec Greta Thunberg, et Ă  l’époque, nous Ă©tions si gentils, si non-violents, Ă  faire des sitting, Ă  faire des clean-walks, la non-violence, nous y avions cru.
Mais comment peut-on encore y croire ?
Mandela lui-mĂȘme, longtemps non-violent, finit par vaincre l’apartheid, non grĂące au pacifisme, mais parce que son groupe « fer de lance de la nation » est passĂ© au sabotage et qu’il fĂźt 27 annĂ©es de prisons ce qui mit de plus en plus mal Ă  l’aise la communautĂ© internationale constatant les rĂ©actions barbares du rĂ©gime raciste d’Afrique du Sud, acculĂ© par la pression internationale, le rĂ©gime de l’apartheid tomba.
Il faut parfois oser le rapport de force, ne jamais baisser la tĂȘte, jamais, jamais baisser la tĂȘte, la tĂȘte ne jamais baisser, la tĂȘte jamais baissĂ©e. Vous avez compris, menton haut, regard droit.
Osons le rapport de force, non seulement parce que nous allons gagner mais parce que cela va montrer qu’ils n’ont rien de diffĂ©rent d’avec une dictature. Faisons tomber le masque.
Le fascisme n’a pas Ă©tĂ© vaincu avec des bonnes intentions ou des dĂźners de gala, il fĂ»t vaincu par des tanks, des balles et des bombes nuclĂ©aires qu’il Ă©tait bon d’utiliser contre des sales nuisibles de fascistes.
La Gauche en France est telle une grenouille qui cuit dans une marmite, bobochisïżœïżœe dans des bienpensances bourgeoises qui la rende impuissante et castrĂ©e Ă  force de vouloir ĂȘtre toujours gentille. Il y a Ă  gauche une forme de dĂ©gĂ©nĂ©rescence qui laisse Ă  croire qu’on est plus foutu de se faire respecter et de tabasser un fasciste qui le mĂ©rite bien. On est en train de cuire parce que l’eau chauffe peu Ă  peu, sautons de la casserole et brĂ»lons les cuisiniers fascistes.
Je suis de gauche, je veux de l’ordre dans ma France, je ne suis pas gentil, je veux des rĂ©sultats.
La fin justifie les moyens, battre le nazisme justifie les bombes, les tanks et les pillages.
Battre l’apartheid justifie les sabotages.
EmpĂȘcher une dictature de se constituer en France sur fond de racisme justifie les violences.
On a dĂ©jĂ  connu par le passĂ© la complaisance Ă  l’égard des fascistes, et ça nous a baisĂ©.
Si l’on me baise, ce ne sera pas sans avoir luttĂ© un peu.
L’heure des bobos est finie, maintenant c’est l’heure des insurrections.
C’est bien beau de savoir bouffer des saucisses vĂ©gans, mais il va falloir apprendre Ă  faire des cocktails pour boire avec.
Il manque à la gauche un bras armé, on ne peut pas se laisser faire, se laisser attaquer à la sortie des facs, en marge de nos manifs, jusque dans nos bagnoles.
On ne peut plus laisser le monopole de la violence légitime à des miliciens du systÚme. Si un autre monde est possible, il faut aussi pouvoir le défendre.
Peut-ĂȘtre que nous entrons dans une nouvelle phase du mouvement, moins rĂȘveuse, plus rĂ©aliste, et qu’entre eux et nous, comme tout le monde avant nous, nous allons nous choisir, quoiqu’il en coĂ»te.
La non-violence n’est pas un principe, c’est un moyen, usĂ© et qui, bientĂŽt, aura fait son temps.
Soulevons nous, la terre, les banlieue.
Il est temps que la tempĂȘte arrive sur l’ancien monde.
Maël Gauduchon, 3 juillet 2023
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touhouweed · 3 years
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thinkin abt the map of Oz and the surrounding countries
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museoillogique · 4 years
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Charles Berbérian, Philippe Dupuy - Bienvenue à Boboland : Le Grand Palais
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kidzinparis · 5 years
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Pour rester dans la thĂ©matique « train » (on va voir tout de suite ceux qui suivent😋) direction La CitĂ© Fertile Ă  Pantin. Cette ancienne friche situĂ©e sur un terrain d’un hectare appartenant Ă  la SNCF est investie pendant 3 ans par une association qui a complĂštement transformĂ© le lieu pour y proposer barbecues, biĂšres artisanales et autres activitĂ©s bucoliques... On a passĂ© un bon moment et le temps Ă©tait parfait. AprĂšs il faut aimer la poussiĂšre, la biĂšre et les bobos 😜 #lacitefertile #pantin #sortieenfamille #boboland #sortieavecleskids #sortieaveclesenfants #barbecue #lieuinsolite #sncf (Ă  La CitĂ© Fertile) https://www.instagram.com/p/ByLxcFWn1aU/?igshid=35xczrbj3ffj
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justinunlocd · 3 years
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STORY TIME!!!
When I was in the sixth grade, I started playing in band. We had two days to look at the band and orchestra instruments, and for some reason percussion chose me; probably because of the few years before playing in Mr. Kevin Downie’s Orff Ensemble. If my memory serves me correct, Mrs. Carolyn Valiquette, my band director at the time, assigned us the task of writing a short piece for our band with a classmate; I was partnered with John Case. We wrote this piece called “Immortal,” and she liked it so much, we were able to play it at the last sixth grade band concert. I remember my older brother and grandmother being there to watch me play...
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Later in middle school, eight grade year actually, I played a little solo at contest and got a “I” rating on it. It was a Handel violin sonata in F and Mrs. Celeste Smith gave me the opportunity to play it during the last band concert. I remember distinctly saying, right before I was about to play, “you ain’t gon say something?” She chuckled and obliged me a short introduction about me working on that piece and how proud she was of me. I was elated...
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Ninth grade was the start of high school, which meant marching band, and I was playing snare drum with Amy, Drew, Pauline and Collin. That was the same year I started working on four-mallet technique and went to play in the front ensemble the next year. Sophomore year was also the same year the Derby High School Wind Ensemble was severed to play at KMEA. That year, I made it into the top band and was one of the four percussionists featured on our performance of David R. Gillingham’s “Concertino for Four Percussion and Wind Ensemble.” That was such a fun piece! I got to play this chromatic xylophone part in unison with Jason Lord. Glenn Woolard and Pauline Kennedy were the other feature soloists. That was probably the highlight of my high school music experience honestly, at least on the concert percussion side...
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Then we get to Twelve Grade, I audition for the solo competition with the Wichita Youth Symphony. Unfortunately I only get a runner-up spot because [redacted] although I had the better performance of the excerpt I chose, Ney Rosauro’s “Concerto for Marimba and Orchestra No. 2.” However, it would only be a few years later I would be able to play the piece’s first movement, and cutting in the cadenza from the third, with the WSU Symphony Orchestra as a soloist for their Concerto-Aria Competition. That was Junior Year, and don’t we love a good vindication story?...
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But I’m getting ahead of myself, sophomore year of college was the year I had a realignment of my purpose, and for the first time, chose to purposefully and intentionally move in that direction. It was November 22, 2010. We had a percussion ensemble concert that night, with guest artist, the one and only, and Wichita State University School of Music Alum, Kevin Bobo! We played his piece “Boboland,” where I got to play on the same marimba as him for a moment, it was hilarious and I still remember that moment fondly...
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Funny enough, I was still an engineering major Sophomore year. At the same time, I was leaving my Physics class early to go to steel band rehearsal, and skipping Statics altogether to hang out with Patrick, Da’Kneisha and Sparkle LOL. It wasn’t until the end of that concert, where my mom sent me a text message that said something to the effect of, “if you change your major to music, we support you,” and so I decided to change my major to music, and also choose to put my pursuit of happiness above everything else...
Oh yeah, and then the percussion ensemble I was in, Impulse Percussion Group, won second place in the Konrad Wolff-Ilse Bing Chamber Music Competition to a bit of controversy à la “is percussion a chamber group/instrument...” yup, even in 2013, that was a scandal that we even participated, let alone placed...
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Then for my second senior year, I finally played my senior recital and graduated college with my music degree. I already had a job setup at my church that I went into full-time one week after I graduated. (I do NOT recommend jumping from college immediately into job, it was a horrible mistake, but life happens fast.) I worked as the music director for the church for only three years before I realized my mental health was taking a toll. I became less of myself when I was at the office, I despised having to appear busy when I already completed my daily tasks (especially when I asked my supervisor for work to do, because according to him, “no one here has down time,” and he had nothing for me to do...) anyway, while on Facebook, I saw a post for an emergency percussion GTA position at WSU and I immediately contacted my old percussion professor, Jerry Scholl, on what I needed to submit to apply. Within a few weeks, I worked up the excerpts, recorded them all, and was accepted to begin my masters degree at WSU. And yes, I was fleeing a toxic work environment...
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Cut to August 13, 2020. I’ve graduated with my Masters in Music. I’m a year and some change out of school and still only working gigs as to not get into a 9-5/M-F job. I’ve started modeling seriously and got signed to not one, but two agencies. But my focus wasn’t honed in with music, what do I seriously do with this degree and the accomplishments I’ve earned and worked for after college? And then I reconnected with my old best friend Da’Kneisha Nikoyle Blount. We had a conversation the day before and also on the day of our friend’s wedding. We talked about how we should do music again, we just talked about it, almost in jest, but also in a reminiscence. Who knew what we got ourselves into...
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Our first music video.
Then a few articles here and there.
An inauguration.
Then a billboard.
An MLK event.
Contacted for a premiere piece.
Then our first concert.
A benefit concert.
A church service.
Recording in the studio.
A fundraising event.
A video shoot...
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And now, as of May 5, 2021, I’ve performed and premiered my first wind symphony piece as a member of @tupacmeetsbach with @dnikoyle. The piece is called, “Stained with Beauty - for Solo Soprano, Solo Marimba, Wind Ensemble and Choir” and is an elaboration and development of the original song written by Da’Kneisha. The piece comprises of four movements, and is roughly 25 minutes in length. This piece is our baby and as Renee would say, “one of the most honest and innovative music projects.” I’m so thankful to all the musicians who rehearsed for months to make this performance happen!
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Thank you to Dr. Timothy Shade for reaching out to us and providing us an ensemble to realize this piece. Thank you to the choir who became a nice supportive background for Da’Kneisha. Thank you to the stage techs and sound engineers for filming and recording this premiere. Thank you to my parents for financially supporting me during the pandemic to allow me to sustain while working fervently on this piece. And a special thank you to my best friend and partner in rhyme, Da’Kneisha, for your heart, your mind, and your friendship!❀❀❀
Y’all have really made my dreams come true and I can’t wait to start working on the next piece already!!!
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grugbe · 6 years
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On thé dock / Sur les quais #lyon #boboland #musique #music #saone #aufildeleau (à Lyon, France)
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potoroz · 7 years
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#boboland#theend#protest#store#paris#canalsaintmartin#paris10 (Ă  Rue De Lancry)
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thefoodpornista · 7 years
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So tasty torsada with shimps and avocado by the Chef @aaronisip for @donpaparum #donpaparum #donpapa #rum #rhum #cocktails #sugarlandia #philippines #paris #agencelebonmot #events #spirits #press #mixology #summer #bartender #soiree #drinkup #drinkstagram #drinksondrinks #hotelparticuliermontmartre #montmartre #paris18 #boboland #pressevent #latergram (Ă  Hotel Particulier Montmartre)
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reseau-actu · 6 years
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Philippe Gaudin tente de clarifier la notion de laĂŻcitĂ© pour apaiser une bataille qui nous dĂ©chire. Une entreprise vaine Ă  l'heure oĂč l'assimilation Ă  la française n'existe plus .
Philippe Gaudin.Robert Laffont, 146 p., 11 euros.
Il est quelques mots dans le vocabulaire politique français qui ont le don de susciter des passions, de provoquer des polémiques, des colÚres et des anathÚmes ; des mots avec majuscule pour lesquels chacun arrive avec sa définition, son interprétation, ses solutions: il en est ainsi pour la «Nation», la «République», ou encore l'«Europe». La «laïcité» en est un autre. Pour les uns, c'est une arme de guerre (contre l'obscurantisme religieux), pour les autres une arme de paix civile ; pour les uns, la garantie de la liberté religieuse, pour les autres, une invention diabolique d'incroyants ; pour les uns, une exception française, pour les autres, un produit de la sécularisation de l'Occident ; pour les uns, un principe liberticide et islamophobe, pour les autres, le seul rempart contre la communautarisation de la société française.
Avec son (bref) ouvrage, Philippe Gaudin essaie de sortir indemne de ce champ de mines. Ce directeur adjoint de l'Institut europĂ©en en sciences des religions (il faut croire qu'il existe des instituts europĂ©ens pour tous les sujets!) parvient au dĂ©but de son ouvrage Ă  Ă©viter l'Ă©cueil majeur du dĂ©ni de rĂ©alitĂ©: oui, il y a une laĂŻcitĂ© Ă  la française, mĂȘme si toute l'Europe est laĂŻque Ă  sa maniĂšre ; oui, «quand bien mĂȘme il n'y aurait que peu de catholiques pratiquants en France, notre pays reste catholique dans ses structures profondes, aussi bien mentales que politiques, et plus ces structures demeurent inconscientes ou oubliĂ©es, et plus elles sont prĂ©gnantes» ; non, ce ne sont pas toutes les religions qui menacent la laĂŻcitĂ©, mais seulement l'islam. Non, ce n'est pas parce que les musulmans qui vivent sur notre sol sont les «damnĂ©s de la terre»: «l'Ă©conomisme rĂ©ducteur, le cynisme aussi bien que l'angĂ©lisme sont irresponsables». Oui, «le marchĂ© halal conduit Ă  un sĂ©paratisme social qui ne pourra ĂȘtre rĂ©parĂ© par de niaises dĂ©clarations sur le vivre-ensemble». Et oui, le judaĂŻsme, lui aussi, avec ses rĂšgles du «kasher», pousse Ă  un «sĂ©paratisme social» ; mais le judaĂŻsme, au contraire de l'islam, n'est pas prosĂ©lyte et ne concerne qu'une part infime de la population française.
Notre auteur reprend les « niaises dĂ©clarations sur le vivre-ensemble » qu'il brocardait au dĂ©but de son livre
Et puis, peu Ă  peu, la pensĂ©e se dĂ©sunit ; on ne sait si notre auteur s'inquiĂšte de ses propres audaces, ou si son Ă©diteur (Robert Laffont, oĂč prĂ©sident les directrices de collection Mazarine Pingeot et Sophie Nordmann, deux vestales vindicatives de Boboland) l'a incitĂ© Ă  la prudence, ou s'il a cru de bonne foi qu'un rĂ©tropĂ©dalage politiquement correct s'imposait. Alors, on a le droit aux poncifs habituels, sur «la grande majoritĂ© des victimes du terrorisme islamiste sont des musulmans. C'est une guerre au sein de l'Islam» (mais qui se bat contre l'islamisme Ă  part les troupes françaises au Mali ou russes en Syrie?). Notre auteur reprend les «niaises dĂ©clarations sur le vivre-ensemble» qu'il brocardait au dĂ©but de son livre, en comptant sur «le temps» (mais le temps pousse plutĂŽt au sĂ©paratisme) ou sur «l'Ă©ducation» (les islamistes et les terroristes français sortaient tous de l'Ă©cole de la RĂ©publique). Il prĂŽne Ă  la fin de son ouvrage le «dialogue interreligieux» et vante le travail de l'Observatoire de la laĂŻcitĂ© de Jean-Louis Bianco, qui pourrait, Ă  lui seul, incarner les fameux trois singes (qui se bouchent les oreilles, les yeux et la bouche).
Philippe Gaudin apparaßt comme effrayé par ce qu'il a vu et compris. Il nous avoue, avec une naïveté confondante, qu'il a découvert (!) en visitant des prisons (l'auteur voudrait-il suggérer que la plupart des prisonniers sont musulmans?) que «l'islam n'était pas seulement une foi mais d'abord et avant tout une pratique, une orthopraxie. C'est-à-dire pas uniquement des convictions mais un mode de vie conforme en tout point à des prescriptions venant du Coran et de la Sunna». On est content pour lui qu'il ait fait cette grande découverte en prison, mais il lui suffisait d'ouvrir un livre de Rémi Brague pour l'apprendre trÚs facilement.
Ceci explique cela et pas seulement en prison: partout oĂč la population est majoritairement musulmane, une charia de fait s'impose, c'est-Ă -dire que la religion s'impose dans les mƓurs et devient un code juridico-politique de substitution. Pas besoin de «complot d'invasion», que rejette l'auteur avec une vĂ©hĂ©mence d'autant plus inutile qu'il suffit de rappeler la phrase de Benjamin Constant pour comprendre ce qui se passe: «Tout est moral chez les individus, tout est physique dans les masses. Un individu est libre parce qu'il a en face de lui des forces comparables Ă  la sienne ; dĂšs qu'il entre dans une masse, il n'est plus libre.»
« La laĂŻcitĂ© est bien une assimilation de tous les citoyens au sens oĂč ils sont tous semblables et partagent une mĂȘme citoyennetĂ©, mais elle est le contraire d'une assimilation au sens d'une uniformisation puisqu'elle protĂšge justement la pluralitĂ© religieuse. »
Philippe Gaudin
Philippe Gaudin coupe lui-mĂȘme avec effroi les chemins qu'il avait ouverts. Sa dĂ©finition de la laĂŻcitĂ©: «La laĂŻcitĂ© est la protection de la libertĂ© de conscience et du culte dans le cadre d'une loi qui est politique et non pas religieuse. Elle garantit l'autonomie rĂ©ciproque de l'État et des cultes», prouve a contrario que s'il peut y avoir des Français de confession musulmane, il ne peut y avoir d'islam de France, car l'islam refuse a priori la prĂ©Ă©minence d'une loi politique sur une loi religieuse. Dans une note de bas de page, notre auteur ose mĂȘme rappeler ce qui est devenu une incongruitĂ© dans le dĂ©bat public français: «La laĂŻcitĂ© est bien une assimilation de tous les citoyens au sens oĂč ils sont tous semblables et partagent une mĂȘme citoyennetĂ©, mais elle est le contraire d'une assimilation au sens d'une uniformisation puisqu'elle protĂšge justement la pluralitĂ© religieuse.»
Et oui, la bonne vieille assimilation française qui faisait de tous les citoyens «les mĂȘmes», en ce qu'ils partageaient la mĂȘme histoire, les mĂȘmes hĂ©ros, les mĂȘmes mƓurs, les mĂȘmes vĂȘtements, le mĂȘme rapport au monde et aux femmes, cette assimilation permettait seule sans danger pour l'unitĂ© du pays une authentique libertĂ© de pensĂ©e, et d'opinions mĂȘme religieuses, puisqu'elle inscrivait cette libertĂ© dans un fonds culturel commun.
Mais cette assimilation a Ă©tĂ© dĂ©truite depuis quarante ans par nos Ă©lites et achevĂ©e par les nouvelles gĂ©nĂ©rations de l'immigration qui ont transformĂ© la France en une mosaĂŻque de diasporas qui s'ignorent et se mĂ©prisent. Dans ce contexte, la laĂŻcitĂ© n'est qu'un mot creux, un concept vide de sens, que chacun utilise Ă  sa guise, selon ses intĂ©rĂȘts.
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claudehenrion · 6 years
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Election en SuĂšde : populistes ? racistes ? extrĂȘme droite ?                           Tous aux abris, il y a pĂ©ril !
  Un mal ronge nos sociĂ©tĂ©s, comme un cancer : insidieux, vicieux, et invisible jusqu'au moment oĂč il est trop tard... Son nom gĂ©nĂ©rique est ''le politiquement correct'', mais il se cache sous de trĂšs nombreux dĂ©guisements pour tromper (et parfois sĂ©duire, ce qui est un comble !) l'adversaire qui ne le voit pas venir. En France, aujourd'hui, il risquerait, si nous nous laissons rouler dans la farine, par avoir le mĂȘme rĂ©sultat lĂ©tal sur nous, sur nos enfants, sur notre civilisation et mĂȘme sur toute civilisation : devant le manque de rĂ©action de ses victimes, il a peu Ă  peu pris de l'ampleur et empoisonne dĂ©sormais tous les domaines de l'activitĂ© des hommes. Redisons-le : avec l'Islam (-isme)  et le dĂ©voiement d'une certaine science sans conscience, c'est l’une des pires menaces qui pĂšsent sur l'humanitĂ©...
  DĂšs lors qu'un comportement dĂ©plaĂźt aux grands prĂȘtres et aux thurifĂ©raires de cette nĂ©o-religion sans foi ni loi, des sĂ©ries de qualificatifs, que ces authentiques criminels croient infamants, s'abattent sur tout ce qui voudrait se dresser contre leur idĂ©ologie mortifĂšre. Un exemple typique, ces jours derniers, va illustrer la gravitĂ© de la situation, en mĂȘme temps que son ridicule : tout notre week-end passĂ© a ainsi Ă©tĂ© consacrĂ© par nos grandes consciences sans sciences Ă  mettre en garde les populations soi-disant sans dĂ©fense contre le danger, en SuĂšde, d'un vote pourtant indiscutablement dĂ©mocratique qui, ayant Ă©tĂ© (dis) qualifiĂ© de ''populiste'' une fois pour toutes, ne pouvait donc ĂȘtre que ''d'extrĂȘme droite'', insulte presque pire que ''populiste''. Mais il faut raison garder, nous : de quoi s'agit-il vraiment ?
  Un certain Jimmy Akesson, plutĂŽt du genre ''gendre idĂ©al'' et propre sur lui (en apparence) est le leader d'un mouvement qui n'est pas ivre d'admiration pour les partis traditionnels (rĂ©putĂ©s ''Ă  gauche'', en Boboland !). Ce type a eu le culot de dire tout fort que s'il Ă©tait Ă©lu, les immigrĂ©s devraient se conformer strictement Ă  la Loi du pays, adopter les us et coutumes et la langue suĂ©doises, et... travailler.             Ces propos sont insupportables Ă  la partie la plus inintelligente de l'Intelligentzia, celle qui se pique de modernisme, de progressisme, de tolĂ©rance lĂ  oĂč il n'en faut pas, de multiculturalisme, de sĂ©grĂ©gation et de refus de toute forme d'intĂ©gration, celle du ''pour vivre heureux, vivons chacun dans son coin, Ă  sa façon''. Depuis le V Ăšme siĂšcle, tout le monde sait que ''Si tu es Ă  Rome, vis comme les romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit''... sauf ces cuistres, qui n'ont jamais entendu parler de Saint Augustin mais qui sont, en revanche, de farouches partisans de la mort du seul modĂšle, multi-millĂ©naire, d'organisation de toute sociĂ©tĂ© digne de ce nom...         La levĂ©e de boucliers de toutes les fausses bonnes Ăąmes a donc Ă©tĂ© immĂ©diate, et nous en avons payĂ© le prix, en heures d'ennui et de dĂ©sinformation en boucle ! Mais pour eux, de tels propos ne pouvaient ĂȘtre que fascistes (un des mots les plus mal dĂ©finis de la littĂ©rature ''bobo''), et celui qui les a prononcĂ©s ne peut ĂȘtre que  d'extrĂȘme droite, en plus d'ĂȘtre populiste (puisque, Ă  tous ses vices, il ajoute celui d'ĂȘtre plus que rĂ©servĂ© sur les bienfaits de l'Europe telle qu'elle fonctionne si mal !).
  La terreur de nos commentateurs avait presque l'air d'ĂȘtre sincĂšre ! Pensez que ces monstres fascisants pouvaient, Ă  travers les urnes, atteindre jusqu'Ă  20 % des voix (donc des siĂšges au Riksdag, le Parlement suĂ©dois). Et avec ces 20 %, ils risquaient de progresser de quelque 6 % par rapport au scrutin prĂ©cĂ©dent.                   Il n'y a pas de doute, l'Europe Ă©tait en danger, et avec elle toutes les mauvaises idĂ©es que ses technocrates ont l'intention d'imposer, Ă  travers leur mode de fonctionnement si peu dĂ©mocratique... Alors... que ne nous a-t-on pas dit, pour nous faire peur ! Pour un peu, comme le fait le satrape Erdogan avec les turcs, ils auraient demandĂ© aux ‘‘vrais’’ europĂ©ens de descendre dans la rue pour crier leur indignation ! On n'est plus Ă  une ''marche blanche'' prĂšs, aprĂšs tout !  
  Mais en fin de compte, tout est bien qui finit bien : ils sont rassurés, cet petits anges puisque, au lieu de 20 %, les méchants ne se sont comptés que... 18 %, et ils n'ont progressé que de 5 points au lieu de 6 (on voit tout de suite la différence !).     Du coup, il n'y a plus de danger, les prébendiers du Berlaymont peuvent se remettre à pondre leurs tombereaux de normes contraignantes et inutiles (quant elles ne sont pas perverses ou mortelles), en fermant les yeux sur leur rejet....
  Revenons au titre de ce ''billet'' : le terme ''populisme'' est aujourd'hui uniformĂ©ment pĂ©joratif en politique, alors que des pratiques dites populistes peuvent ĂȘtre trĂšs diffĂ©rentes, voire ne rien avoir en commun. Pour l'historien Philippe Roger, ''le populisme dĂ©signe tant d'idĂ©es et de pratiques qu'aucune typologie, si fouillĂ©e soit-elle, ne saurait l’épuiser.''. Dire d'un mouvement politique qu'il est populiste est donc un obstacle Ă  toute analyse sĂ©rieuse, puisque ce terme disqualifie les opinions et les individus (Catherine Colliot-ThĂ©lĂšne). Le ''populisme'' est devenu, dans le langage courant, l'Ă©quivalent d'une insulte irraisonnĂ©e, un peu comme traiter quelqu'un de ''con'' n'a strictement aucune signification !
  Tous ces mots qui ne veulent rien dire et qui n'ont pas de dĂ©finition reconnue constituent certainement le meilleur atout au service de ce mode de non-pensĂ©e qui devrait ĂȘtre ''incorrect'' pour tous. La sagesse des peuples, le bon sens, la raison raisonnante, le respect de ce qui marche (on rappelle que ''le fait que quelque chose marche n'est pas une raison suffisante pour le casser et le remplacer par une autre chose qui n'a pas fait ses preuves'', comme devraient le comprendre nos hommes politiques !) et, tout simplement, notre bonne vieille dĂ©mocratie, mais libĂ©rĂ©e, bien entendu, de ses dĂ©rives expĂ©rimentales (Ă©tatiques, technocratiques, progressistes, ni... ni..., ou mondialistes)... sont et resteront longtemps les seules rĂ©fĂ©rences qui ne trahissent pas l'humanitĂ©. il faut ĂȘtre bien conscients que plus tĂŽt on intĂ©grera cette sagesse millĂ©naire, et  plus vite on ''sortira du trou'' !
H-Cl.
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phayakhrut · 5 years
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JANVIER SANS ALCOOL : LES MORALISATEURS NOUS SOÛLENT !
Dans quel esprit fécond a germé l'idée saugrenue de choisir le mois de janvier « 2000 VINS » pour lancer une campagne d'abstinence alcoolique en France ?
Il paraĂźt que la mode du « Dry January » (janvier sobre ou « janvier sec ») serait nĂ©e en 2013 en Grande-Bretagne et qu'elle fait de plus en plus d'adeptes chaque annĂ©e. Ce n'est pas surprenant, venant d'un pays oĂč la production vinicole est insignifiante (ce qui n'empĂȘche pas les britanniques initiĂ©s d'apprĂ©cier le bon vin, français le plus souvent). Mais il n'en fallait pas davantage pour que l'intelligentsia française, toujours prĂȘte Ă  s'Ă©merveiller pour tout phĂ©nomĂšne venant du monde anglo-saxon, gesticule et brait frĂ©nĂ©tiquement via tous les mĂ©dias pour tenter de l'imposer dans notre pays.
C'est devenu une habitude depuis quelques années dans bien des pays occidentaux : dans le domaine de l'écologie, les milieux du végétalisme intégral (pour ne pas dire intégriste), etc., prospÚrent des chapelles de moralisateurs persuadés d'incarner la Vérité au sein de leur microcosmique « Boboland ». Ils veulent imposer leurs certitudes à l'ensemble de la société, le plus souvent avec une rigueur qui confine au sectarisme. En général, leur cause est entendue sans discussion du fait que nos pouvoirs publics, pétris de bien-pensance, font preuve d'un zÚle exemplaire pour adopter des mesures toujours plus infantilisantes.
Il n'est pas dans mon intention de faire ici l'apologie de l'alcool dont les effets néfastes sont connus de tous lorsqu'il est consommé sans discernement. Mais les diktats émanant des prosélytes d'une prétendue bonne hygiÚne de vie qui veulent imposer leur mode et leurs codes à tout le monde, m'indisposent. Et tout particuliÚrement lorsque leur mauvaise foi les conduit à ne pas différencier l'alcoolisme d'une minorité de buveurs invétérés et l'usage mesuré et contrÎlé d'une large majorité de consommateurs.
Comment Ă©viter de pousser le tire-bouchon trop loin ?
Pour lutter contre le flĂ©au que reprĂ©sente l’alcoolo-dĂ©pendance, outre les soins que nĂ©cessite l'Ă©tat de toute personne qui en souffre, les autoritĂ©s en charge de la SantĂ© publique seraient bien plus inspirĂ©es de favoriser les viticulteurs français responsables qui militent en faveur d'une production plus qualitative tout en recommandant une consommation modĂ©rĂ©e toute l'annĂ©e. Ce serait, Ă  mon sens, une initiative plus responsable que de cautionner la toquade du moment prĂŽnant un carĂȘme pur et dur au cours du seul mois de janvier. Et surtout, que l'on s'abstienne de stigmatiser les amateurs raisonnables de bon jus de la treille.
L'alcool consommé avec excÚs est assurément mauvais pour la santé. Mais les prédicateurs du jeûne d'alcool nuisent aussi gravement à notre moral. Qu'ils s'abreuvent donc d'eau ferrugineuse (conseil de notre cher et regretté Bourvil), de sodas et colas ou de jus de navet comme bon leur semble et cessent enfin de fustiger ceux qui ne partagent pas leurs convictions.
En 1966, Georges Pompidou, alors Premier ministre nommĂ© par le GĂ©nĂ©ral de Gaulle, s'emportait devant quelques hauts fonctionnaires (dont un chargĂ© de mission du nom de... Jacques Chirac !) en leur lançant cette saillie restĂ©e cĂ©lĂšbre : « Mais arrĂȘtez donc d'emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de rĂšglements dans ce pays ! On en crĂšve ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libĂ©rer ce pays ! »...
En prononçant ces paroles, il savait pertinemment qu'il ne serait pas entendu. Un demi-siÚcle plus tard, le bon sens pompidolien est toujours d'actualité car les générations d'« emmerdeurs » se sont succédé et continuent de se multiplier !
Janvier sans alcool, soit, mais pas sans chanson car, rappelons-le joyeusement : Boire un petit coup, c'est agéable...
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Si vous avez apprécié ce billet, n'oubliez pas de lire (ou de relire) : LA CANICULE RECULE, LES P'TITS VIEUX SE REMPLUMENT ET BUZYN SE CONGRATULE !
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paris-enphoto · 7 years
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- Au marché de Enfants-Rouges (boboland)
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grugblog · 5 years
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