Tumgik
#bienes de capital
tenrose · 11 months
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Nothing like being on holiday, receiving your payslip and finding out that they dropped the productivity bonus from 170€ to 50€
I am sure going to come back doing absolutely shit nothing for those bastards.
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lilsparks5 · 18 days
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Aguante el cuarteto wachooo
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maddy-ferguson · 20 days
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france is known worldwide for its revolutions and strong tradition of protest I THINK it should be the two empires that followed and also the fifth republic or as like to call it our third empire
#and like i say: brf slt#CDGGGGG#did you know that people who don't like democracy in other countries (dictators) look at our constitution and go wait you can do that? and#are very inspired by it⚰️ me saying this is ironic considering what i say after this but like i don't intend to be a dictator so it's#different!#jv parler en français dsl pr ceux que ça intéresse jsp si qui que ce soit me lit.#la démocratie est vrmt un mythe autant me laisser gouverner je suis très sérieuse#le pire c'est que + tôt dans l'anneé mm l'année dernière enfin en tt cas avant les élections là je pensais au fait qu'enft...je suis pas#SI attachée que ça à la démocratie genr c'est un idéal sympa mais dans les faits bhhh si l'extrême-droite démocratiquement jveux pas qu'ils#gouvernent mdr⚰️ et bien sûr le recours c'est censé être les autres outils qu'on a la rue la grève etc mais dans les faits...enft jsp genr.#cet épisode montre que la démocratie est un outil bourgeois parmi les autres et c'est évident que les dirigeants élus démocratiquement font#tt pr le capital et r pr les gens qui sont pas des actionnaires mais là c'est tlmt grossier...c'est juste un truc d'apaisement pr continuer#l'exploitation le droit de vote me fait penser au divorce qui en rendant le mariage moins prégnant le renforce dans la durée et pareil pr#la monarchie anglaise qui se mêle moins de la politique qd les français ont coupé la tête au roi. jsp. et avc macron c'est vrmt grossier#pcq la répression policière est hardcore depuis le début de son mandat on a pas le droit de manifester les journalistes qui sont pas sur#bfm leur liberté est très relative on vote ça a pas d'effet mais on doit continuer à faire comme si on était en démocratie🤣🤣🤣 tt cque#cronma fait c'est vrmt ambiance la lutte des classes est le moteur de l'histoire mm louis xvi ne suçait pas les riches de la sorte#après jm bien la démocratie c'est sympa hein juste...si qqch va à l'encontre de l'avis de la majorité pcq y a une majorité de fachos ou de#droitards bh c'est pas un pb éthique pr moi c'est pr ça que je dis laissez-moi gouverner#et ouais le vote anesthésie de fou#d'ailleurs c'est qd la dernière fois que les manifs ont obtenu quoi que ce soit dans ce pays de malheur. et c'est pas voter mais juste une#preuve que r ne sert à r#et jspp c'est des choses que jsavais déjà mais auxquelles j'avais pas pensé aussi explicitement avant cet épisode j'avais encore un brin de#naïveté et de crédulité !
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elcorreografico · 2 years
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Programa Crédito Argentino por $500.000 millones y un impulso a la industria de Bienes de Capital
#Nacionales #Economía | #ProgramaCréditoArgentino por $500.000 millones y un impulso a la #industria de #BienesdeCapital
El ministro de Economía, Sergio Massa, junto al secretario de Industria y Desarrollo Productivo, José Ignacio de Mendiguren, lanzó el Programa Crédito Argentino (CreAr) para micro, pequeñas, medianas y grandes empresas industriales y agroindustriales por 500.000 millones de pesos. Cuenta con líneas de financiamiento para acompañar inversiones productivas, potenciar el desarrollo exportador y la…
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jujuygrafico · 2 years
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Programa Crédito Argentino por $500.000 millones y un impulso a la industria de Bienes de Capital
#Economía #Nacionales #Empresas #PyME | Programa #CréditoArgentino por $500.000 millones y un impulso a la #industria de #BienesdeCapital
El ministro de Economía, Sergio Massa, junto al secretario de Industria y Desarrollo Productivo, José Ignacio de Mendiguren, lanzó el Programa Crédito Argentino (CreAr) para micro, pequeñas, medianas y grandes empresas industriales y agroindustriales por 500.000 millones de pesos. Cuenta con líneas de financiamiento para acompañar inversiones productivas, potenciar el desarrollo exportador y la…
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unamourdeswann · 3 months
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Swann Arlaud giving a speech at Rassemblement et concert contre l'extrême droite, 03.07.2024, la République à Paris
Bonsoir. Bonsoir.
La responsabilité de ceux qui ont diabolisé la gauche est énorme. Ce sont les mêmes qui ont banalisé les discours d'extrême droite, le racisme et la xénophobie. Depuis des années, ils le font partout, chaque fois qu'ils peuvent. Et pourquoi ils font ça ?
Parce qu'ils préfèrent gouverner avec l'extrême droite qu'avec la gauche. Parce qu'ils savent très bien que le Rassemblement national n'est pas l'ennemi du capital, parce qu'ils veulent protéger leurs intérêts. Parce qu'ils veulent, que rien ne change, parce qu'ils partagent. La même haine des étrangers, la même obsession pour la sécurité. Parce qu'ils n'en ont rien à foutre de la planète!
Et ne lui il faut pas nous tromper, derrière le discours policer du RN se cachent la haine de l'autre. Le mépris du droit des femmes et la protection des puissants et les puissants le savent. Ils savent que leur RN ne touchera pas à leurs privilèges, ils savent qu'ils n'empêcheront pas l'industrie de continuer à détruire pour mieux s'enrichir. Ils savent qu'ils continueront à s'attaquer au plus faible, aux plus démunis, ceux-là même qui placent un espoir en eux parce qu'ils ont été oubliés depuis des décennies par tous les gouvernements successifs.
-
Alors ils agitent l'épouvantail, ils agitent le diable, le couteau entre les dents. Alors c'est les "islamo gauchistes", c'est les "féminazis", c'est les "éco terroristes". Mais en fait, il suffit de lire un peu les programmes, il est où le diable ?
-
Et vous le savez déjà. Vous le savez déjà, on y est déjà toute forme de contestation et criminalisée. C'est la police antiterroriste qui va déloger les militants écolos pacifistes chez eux à 06h00 du matin. Aujourd'hui, dénoncer le massacre du peuple palestinien est considéré comme un acte antisémite. Et lutter pour ses droits, pour la liberté, la solidarité, l'égalité des peuples, des êtres, dénoncer les abus, les violences, tout ça est considérer comme violent et dangereux. Ils ont- ils ont inversé les rôles, ils ont- ils ont détruit le langage, ils ont déplacé le sens des mots.
Et si on est là, c'est parce qu'on voudrait que demain ce soit pas encore pire.
Merci.
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annegrey · 4 months
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hola como estas? Espero que tu estés muy bien 💕 te quisiera pedir un one shot de acontinuacion de "dos por el precio de uno" one shot de kelly piquet x max verstappen x reader (poly) , que pasaría si la lectora queda embarazada y ellos no pueden quitarle las manos de encima , muchísimas gracias 😊 ( esto esta en español, soy latina) ( lo siento si no lo entiendes , amo tu forma de escribir) 💕💕
Hi! First, thank you so much, it really means a lot to me that you guys ask and comment and overall engage with my stuff! ❤️ I hope I (or rather the translator 😂) understood correctly, and it is just what you hoped for! And now, everyone, the next story in my "Two for the price of one" universe!
Pregnancy cravings
- A "Two for the price of one" story
Max x fem!pregnant!Reader x Kelly
At first, you had been terrified. Kelly already had a child, and neither of your lovers ever said something about having another baby. But somehow, it happened. You became pregnant.
Being who you are, you returned to your standard-method: ignoring, denying and avoiding. Bottling things up. The problem was, this time you had someone who cared about you, who knew that you were behaving weird, and one evening Max and Kelly sat you down to talk.
You were about to deny everything, to make up some reasons, tired from work, feeling misplaced in their world of glamour, having fallen in love with somebody else, anything. But, looking in their faces, you couldn’t lie. You broke down in tears, burying your face in your hands and sobbed. Immediately they sat next to you, hugging you at the same time, whispering words of comfort and love, and you couldn’t help yourself. You spilled everything. On how you missed your period, how you took a pregnancy test, how you went to your doctor to be sure. Just to always get the same answer: you were pregnant.
For a moment everything was quiet, and you feared the worst. That they decided to kick you out, to force you to make an abortion, that they hated you. But instead, you were hugged again, two faces rubbing into your shoulders.
“Why didn’t you tell us?”, Max whispered, his voice breaking, while Kelly’s arms around you tightened. Your small “I was afraid” ripped a sound out of Max, as if he was punched. And then a litany of apologies began, them fearing they didn’t make you feel loved and save enough to tell them, while you tried to make clear it was because you were sure the problem was yourself.
That night, you ended up cuddling under the sheets, three different hands on your belly, and always somebody else giggling, because… holy shit, you were pregnant.
This had been some time ago, as well as the slightly awkward talk with Penelope, because how do you explain a child that the baby, while being deeply loved by her mother and (kind of) stepfather, wasn’t her sibling? But in the end, she said she was going to be a big sister, and that was that.
Now was a completely different situation.
Kelly and Max made sure you always felt loved and comfortable, going so far as to literally beg you to go early maternity leave, as they obviously would have no problem with supporting you, and after three months of whining, begging, arguments and sweet talking, you gave in. You were five months pregnant when you started to stay at home, and the sometimes smug, sometimes proud smiles on their faces, as well as the fact that you didn’t want to fall asleep every five minutes told you you made the right decision.
And with their love came their passion. Both of them gave their everything, no matter the situation.
You were eight months along right now, sprawled out on your back on the soft mattress and some supporting pillows, while Max massaged your sore tits and Kelly your baby bump. Your sex drive had been HIGH, in capital letters, and Kelly just grinned at times, while Max had already thrown his shirt somewhere in the corner and gone down on you.
She was truly heaven-sent during everything, whether it was pain or pleasure, because she could truly relate. Your experiences might not be the same, but still, having gone through a pregnancy herself made her more empathetic towards you.
And Max… was down to sex whenever you dropped even the slightest hint. To say you were well taken care of was an understatement.
Because of that, by now it was completely normal for you to grab Max’ head and push him down towards your tits, moaning as you felt the deft tongue and soft suckling, while lifting your hips towards Kelly.
Before, she had always been the dominating one in your relationship, making you and Max beg and suffer, but your pregnancy seemed to make it impossible to both of them to keep their hands of you, and thus fulfilled your every desire.
Just like now, a hand slipped between your legs and started to circle your clit, drawing a moan out of your throat. You felt Max smirk against your nipple, and pressed him down again for a second, making clear what you thought about him being distracted.
This was also nothing new, that both of them were just taking care of you without any plan of getting off themselves. But with how often you demanded an orgasm it was probably impossible for them to keep up with you. Not like any of you three complained.
You let out a sigh of content and pleasure as the soft treatment went on, not pushing you towards the brink, but slowly carrying you there. Just how you loved it during times like these. Max’ mouth on your tit, his hand massaging the other one, and Kelly kissing your baby bump and rubbing your clit in the way you loved was the epitome of a perfect night for you.
A small whine left your lips when Max bit your nipple, and you pulled his hair as a reprimand, before mumbling “Faster, I wanna cum…” And just like any time you slept with each other during your pregnancy, your wish was their command.
Max started to truly massage your nipples in the way you loved, and Kelly sped up, before completely switching course and putting her mouth on your core. A loud moan was torn from you, and you placed both your hands in her hair to pull her closer, something you wouldn’t dare under normal circumstances.
But now she just complied to your silent command, and did her best, which was truly a dream, to make you cum. Maybe it was because she simply knew how she liked it, but it always boggled your mind how amazing she was at giving head.
It literally didn’t take you more than five minutes, maybe the pregnancy hormones were to blame, to finally reach your end, and you laid there gasping and sweaty – when did that happen? – while both of them looked like two cats that got the cream. Smug bastards. But you loved them. So you simply grinned back at them, probably looking high as fuck. (Ha!)
“Better now?”, Kelly asked, and you stretched with a satisfied smile and nodded. “Okay, then how about I help you to the shower and Max changes the sheets?” Immediately a disgruntled “Hey!” was heard but shot down with a “I changed them last time”, and you just giggled. “Yeah, sounds good.”
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elbiotipo · 5 months
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Cuándo se arma la conspiración clonan? Yo creo que no existen.
Hay muchas teorías conspirativas en Twitter, acá hay algunos datos:
Según uno revisó en el internet archive, para la empresa que los clonó en realidad son 4 perros (del original que estaba muerto y/o murió en los últimos años)
Todas las fotos existentes muestran 4 perros
Pero entonces por qué Milei dice que son 5? Porque para él Conan está vivo, evidentemente
No ha habido una sola foto de él con "sus hijos de 4 patas" que no sea IA o la promo de la empresa, uno pensaría que si los quiere tanto subiría una foto al instagram no, como Alberto con Dylan?
Por eso aclaro que "todas las fotos existentes" simplemente NO HAY OTRAS FOTOS
Se hicieron caniles a gran costo en la Quinta de Olivos (residencia presdiencial argentina) con aire acondicionado y todo, que se usaron de excusa para que Milei siga en el Hotel Libertador porque no se podía mudar ahí sin sus "hijos de 4 patas"
Esto es muy importante porque las reuniones en Olivos tienen que ser agendadas, en el hotel no, entonces nadie sabe cuantas reuniones ni con quien tuvo en esas dos semanas (creo no me acuerdo) que estuvo ahí como presidente sin ninguna clase de agenda oficial
A todo esto los caniles en Olivos parecen estar totalmente vacíos, y según se cuenta los perros están totalmente desacostumbrados al contacto humano
(recordemos que los perros de Alberto, Macri y CFK no tenían absolutamente ningún problema en vivir en Olivos)
Algunos dicen que capaz están en una guardería para perros, pero claramente con Milei no están
Eso sí, los perros existen, y eso es sabido. En el departamento de Milei los vecinos se quejaban de que eran agresivos y ruidosos
Según lo que cuentan en el libro "El Loco", Milei no podía hacer que se lleven bien (porque es un pelotudo que tiene mastines en un departamento de Capital), entonces lo que hizo es poner unos ganchos en el piso, atarlos con correas ahí y darles de comer.
El departamento de Milei terminó así con 4(?) perros que se odian, haciendo sus necesidades ahí en el piso, dejando "un chiquero" como tengo entendido que él mismo lo dijo una vez. Es realmente espantoso, vomitivo, no sé que decirles
(algunos especulan que como los perros son clones no se reconocían y por eso se odiaban entre ellos, no soy experto en perros y dudo pero le da un aire más siniestro a todo)
Se sabe también que uno de los perros lo atacó a Milei y le dejó el brazo hecho mierda, así que tanto cariño no les tiene parece
NO SÉ NI POR DONDE EMPEZAR A DECIRLES QUE MILEI USA A KARINA (SU HERMANA) COMO MEDIUM ESPIRITUAL PARA CONTACTAR CON CONAN (EL PERRO MUERTO ORIGINAL)
Entre una de las cosas que dijo es que él y Conan se encontraron originalmente como gladiador y león en el coliseo romano. Sería una anécdota más pero Milei y Karina fueron a Roma y se sacaron una foto ahí
Hay que hacer todo un megapost del misticismo de Andrew y Leley Javier y Karina la verdad.
Milei consultó con un científico argentino, Daniel Salamone, sobre como clonar su perros. Ahora lo puso a cargo del CONICET y es el tipo que está desfinanciando todo a sus órdenes lol
Y la última es que algunos dicen que la empresa de clonación de perros es una estafa y Milei pagó 50.000 dólares(!!!) por unos mastines cualquiera
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myillicitaffair · 8 months
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Strawberries & cigarettes | Esteban Kukuriczka
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Sumario: llamar a tu ex en la mitad de la noche jamás podrá ser buena idea, a menos de que se trate de él, claro.
Advertencias: sexo explícito (+18), masturbación, dirty talking, degradación, cigarrillos y engaños.
Créditos: el fic está basado en la canción de troye sivan y las fotos utilizadas para el collage las saqué de pinterest.
Nota del autor: este mi primer request, gracias por pedirlo, amoor xx
2k words
La ciudad se alza orgullosa frente a mis ojos, los edificios brillando en todo su esplendor. Un limitado arsenal de vehículos se pasea por las calles; desplegada en una silla de mimbre, me pregunto su destino.
¿A dónde se dirigen a las 2 de la mañana?
La bulliciosa metrópoli parece tomarse un respiro a estas horas de la madrugada, logrando, por consiguiente, relajar a los escasos espectadores de su tranquilidad.
Jugueteo con el cigarrillo entre mis dedos, notándolo desperdigarse gracias a la brisa otoñal. Es un mal hábito, lo sé, pero es de los pocos resabios de su presencia que aún conservo, una de las pocas garantías que aseveran su paso por mi vida.
Lo introduzco en mi boca, inhalando el humo profundamente para luego exhalarlo. Degusto sus notas amargas en mis papilas gustativas, como casi saboreando sus labios…
Esteban y yo habíamos terminado en buenos términos; él vivía en capital y yo demasiado lejos, ahí fue cuando descubrimos que la relación a distancia simplemente no funcionaba para nosotros.
Después su carrera como actor despegó, yo senté cabeza con un viejo novio de la infancia- inofensivo, predecible- y en nuestras vidas ya no cabía lugar para el otro. Incluso ahora, cohabitando en la misma ciudad, nuestros rumbos se habían desviado del otro.
Tecleo los números de su teléfono de memoria, grabados a fuego en mi retina.
Soy perfectamente consciente de las horribles consecuencias que mis acciones podrían conllevar, pero nada de eso cobra importancia cuando la línea se interrumpe con su contestación, su voz dormida aguardando al otro lado de la llamada.
“¿Hola?”- Vocifera, ronco y un tanto desorientado.
Mi pulso se desestabiliza al escucharlo hablar luego de tanto tiempo, recordando de golpe los matices en su tono. Me lo imagino tumbado en su recámara, durmiendo en posición fetal, como siempre, la almohada abrazada entre su fuerte contextura.
“¿Tebi, te desperté?”- Mi respuesta se oye torpe ante el nerviosismo. ¡Es la madrugada, claro que lo desperté!
“Nena, ¿sos vos?”- Pregunta, esta vez un tanto más despierto y despabilado.
Aquel viejo apodo se desliza por sus labios sin siquiera notarlo, sin causarle ningún esfuerzo. Sin embargo, a mi me destruye, me obliga a rebobinar el tiempo y fundirme en los agridulces recuerdos.
“¡Si! Perdón que te llame tan tarde”- Me disculpo atropelladamente, de pasada nada más- “Yo se que no hablamos hace meses.”
Me arrepiento de mis palabras en el segundo en el que las formulo, mis miedos se solidifican ante mis ojos; el temor a parecer necesitada, débil, obsesiva incluso.
Más allá de ello, se que fue la decisión correcta. Es en noches como estas, solitarias y sin una estrella parpadeando en el cielo, en que más extraño su luz, la que jamás fallaba en brindar sin pretensiones.
Un par de lagrimas fugaces atentan mis mejillas, derrumbando por completo el sereno revestimiento que tanto me esforcé en construir.
“¿Estás bien? ¿Qué pasó?”- Cuestiona, todo en su actitud delatando una reciente preocupación. Puedo oír el rechinar de las bases de su cama, evidenciando su brusca reacción, la fricción contra las sábanas al enderezar su espalda.
“Si si, pero ¿Podes pasarte por casa?”- Propongo, más temblorosa de lo que me gustaría.
Agradezco el soporte que el asiento me proporciona, tal vez sin este, mis piernas hubiesen cedido ante la ansiedad.
Espero paciente al otro lado de la convocatoria, siendo testigo de su respiración acompasada, como sopesando mis palabras.
“Estoy allá en 15 minutos, máximo.”- Confirma, irguiéndose para emprender camino.
“Esteban”- Llamo su atención, provocando que sus extremidades se aquieten- “Muchas gracias…”
Una sonrisa brota de su expresión, dándole lugar a una leve risa, que escucho desde la quietud de mi balcón. Sin notarlo, mis comisuras imitan su gesto.
“No hay de qué, chiquita, ¡esperame que ya llego!”- Asegura, dando por concluida la comunicación.
Un poco más distendida, permanezco quieta en mi lugar, moviendo mis anestesiados dedos solo para fumar pausadamente.
Una pequeña expectativa comienza a burbujear en mi interior; con la simple idea de volver a estar en su presencia, mi corazón descontrolado golpetea mi caja torácica, como tratando de huir de sus confinamientos.
¿Cuánto tiempo habré permanecido así? Genuinamente, no lo sé, pero lo suficiente para que él arribe.
Mis ensoñaciones se ven interrumpidas por el timbre resonando en mi departamento, generando temblores en toda la superficie.
Salto de mi butaca impacientemente, avanzando con agilidad hasta el recibidor. Del otro lado de la puerta, lo descubro enfrentándome, jugueteando con las llaves entre sus dedos. Sus orbes se pasean por mi persona presurosamente, por lo que autorizo a los propios a hacer lo mismo.
A pesar de nuestro breve tiempo separados, él permaneció prácticamente intocado; su postura relajada, sus cabellos alocados y desparramados en todas direcciones… “tal vez dejó crecerse la barba”, filosofo al chequearlo.
Sin más premeditaciones, me arrojo a sus brazos entreabiertos, los cuales me reciben gustosamente. Escondo mi nariz en su cuello, inhalando aquella familiar fragancia, perdiéndome en su calor corporal engulléndome por completo. Se toma la libertad de posar su pera contra la corona de mi cabeza.
Contra mis propios deseos, me despego de su torso, alejándome levemente para guiarlo adentro. Estiro mi mano, aguardando que la tome para adentrarnos en el living.
Una vez allí, esquivo la pequeña mesa ratona para dirigirlo hacia el sillón, donde se sienta sin mediar palabra.
Allí, parada en la sala de estar, mis pensamientos giran en su torno, envalentonándose con cada segundo que transcurre. Por un impulso indescifrable, me apropincuo a su espacio personal, rompiendo dicha barrera.
Acomodo mis piernas de modo que las suyas queden entre medio, para luego sentarme sobre sus templados muslos, regodeándome en la sensación de su contacto físico. Mi boca busca la suya en un movimiento desesperado, moviendo mis labios contra los suyos con una inesperada urgencia.
Me inunda la decepción al sentirlo separar nuestros rostros. La confusión tiñe su semblante, mientras investiga la escena que se le presenta.
“¿Y tu novio?”- Consulta, penetrándome con el fulgor de su mirada.
Abrazo su nuca entre mis brazos, atrayéndolo nuevamente hacia mí. Una mano se desliza hasta juguetear con el cuello de su remera, señalizando mi deseo de arrancársela.
“No está en casa”- Ronroneo en su oído, serpenteando mis manos por sus hombros con delicadeza- “No pienses en él, amor, concéntrate en mí.”
Comienzo a despilfarrar besos por su cuello, succionando su sensible piel hasta dejar marcas, clavándole los dientes juguetonamente para luego chupar el escozor. Saboreo su colonia en mi lengua y me encuentro adicta a su sabor amaderado, incapaz de separarme. Una necesidad primal se cuece en mi interior al presenciar su tez brillante con mi saliva.
“Esto está mal, nena”- Gime profundamente, echando su cabeza hacia atrás y concediéndome más acceso.
Me cuelo entre nuestras siluetas, acariciando su agitado abdomen, el cual se estremece ante mi toque. Batallo con el botón de su pantalón hasta desabrocharlo, sin parafernalias desciendo el cierre y descanso mi palma en su entrepierna.
“Decime que queres parar y yo lo hago”- Respiro, sobre la ardiente piel de sus hombros. Aún estática sobre su ropa interior.
“Sabes que no te voy a pedir que pares”- Murmura pesadamente, levantando sus caderas hasta rozarse con mis dedos. Evacua un sollozo de alivio.
Como cobrando vida, deslizo mis yemas por su longitud, generando una creciente erección. Masturbo su miembro sobre el calzoncillo a un ritmo agonizantemente lento.
“Entonces no te niegues, Tebi”- Respondo, inmiscuyéndome en la tela para palparlo piel a piel y acelerar mis atenciones.
Sus gemidos llenan el aire, complaciéndome de sobre manera y excitándome más de lo que creía posible. Buscando desesperadamente calmar el ardor, me froto contra la tela del pantalón, escasas barreras separándolo de mi centro.
Sus músculos se tensan bajo mi coño, devolviéndome placer al golpear mi clítoris al unísono de mis caricias en su polla. Mis labios se entreabren ante la fricción, escurriendo murmullos de regocijo por mis cuerdas vocales.
“Al final, que puta que resultaste”- Se burla cínicamente, enjaulando mi cintura en su agarre para presionarme más contra él.
Subo el volumen de mis quejidos ante la nueva intensidad de sus acciones, la degradación dejándome sin raciocinio. Mi torso completamente presionado contra el suyo, mis manos aún tocándolo deprisa.
Utilizando su fuerza, me recuesta en el sillón y se despega de mí, sentándose en el otro costado de este.
“Quiero que me muestres como te estuviste tocando, pensando en mí, mientras tu noviecito dormía a tu lado”- Demanda, su vista fija en mi mientras comienza a palparse.
“Mi amor, por favor”- Ruego, un tanto agobiada ante las llamaradas quemando mi vientre bajo.
Observo sus movimientos con atención, como sus yemas rozan su glande perezosamente, excitándose aún más. Una gota de sudor descendiendo por su cuello ante el esfuerzo físico, escondiéndose bajo su camiseta de algodón.
Bajo mis shorts aun observando la imagen frente a mí, aventándolos al suelo junto con mi blusa. Recubierta únicamente por mi ropa interior, asciendo hasta mi busto, pellizcando mis pezones hasta formar duros picos entre mis dedos. Sus penetrantes orbes persiguen cada uno de mis movimientos, sintonizando los suyos para que ambos nos movamos al mismo ritmo.
“Tu noviecito no te sabe satisfacer, por eso tuviste que llamarme, ¿o no?”- Se mofa al presenciar la impaciencia que me consume, como me apresuro a infiltrarme por mis bragas para sobar mi punto mas sensible con urgencia.
“Nadie me coge como vos, Tebi…”- Susurro, extraviada ante el renovado éxtasis.
Fantaseo con su toque entre mis labios, desparramando mi humedad, saboreándola desenfadadamente, con los ojos cerrados y la lengua paseándose por sus propios dígitos.
Sin embargo, debo conformarme con la mediocridad de la autovalidez, hasta que decida tomar piedad de mis intentos en vano de remplazar sus atenciones.
“No doy más, necesito que te corras conmigo, mi amor”- Pide al sentir su orgasmo aproximarse, ahora follando su propio puño con premura.
Al ver su estado de frenesí descontrolado, decido avivar mis caricias a mis zonas intimas, introduciendo mis dedos en mi apretado agujero hasta notar que mi estomago empieza a tensarse.
El ambiente transluce nuestros inminentes apogeos con los suspiros que desangran nuestras gargantas, el sucio sonido de humedad encontrada por extremidades y suplicas al aire, con un destinatario en concreto.
Acerca su temblorosa complexión a la mía, atisbando mi muñeca moverse al compás de los bombeos en su longitud y arrimándose a mis piernas abiertas. Ante un sollozo particularmente estridente de su parte, despierto de mi ensimismamiento y lo acerco a partir de sus caderas en erráticos movimientos.
“Encima de mí, por favor, ¡correte encima de mí!”- Imploro, aturdida por las oleadas de placer poseyéndome por completo.
Suelta un grave gruñido seguido de improperios al momento de llegar a la culminación de la satisfacción, depositando cuerdas infinitas de semen blanco sobre mi meciente pecho. Su excitación comienza a chorrear por mi vientre, agrupándose en mi ombligo para continuar su descenso pausado.
Con tal candencia rodeando los actos desplegados, logro abandonarme al pasmo de la conclusión con un arrollador orgasmo; mi coño apretando mis propios dedos, deseando que se aniden allí, mi cuerpo gozando violentos espasmos, mi visión jamás partiendo de las farolas apuntadas en mi dirección.
“Muy bien, chiquita, siempre tan obediente para mi”- Me alaga, estirando sus yemas para recoger unas resbalantes gotas de semen y empotrarlas en mi boca entreabierta, indicándome tácitamente mis propias acciones.
Mi lengua recorre cada uno de sus surcos y recovecos, aspirando casi instantáneamente su salada carga, como si de un codiciado elixir se tratase.
“Ahora vas a dejar que te coja hasta que no puedas ni caminar, hasta que te olvides incluso de su nombre ¿si bebita?”- Propone sin remover sus dígitos de mi cavidad, sus crudas palabras contrastando con la suavidad de sus manos en mí.
Asiento frenéticamente, ahuecando mis mejillas para lograr tomarlo aún más profundo, notando un estremecimiento recorrer mi medula espinal ante la anticipación de una larga noche de pasión.
Aclarar que cumplió con sus promesas al pie de la letra sería, francamente, caer en un vago eufemismo…
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the-wayward-arc · 6 months
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"And great warriors saved them all."
"Mama, are they real?"
She smiled weakly, "do you think they are?"
"Yeah, yeah I do. I hope they come for us one day..." Her mother held her hand as the caged walls separating didn't allow close contact between parent and child. All her siblings held their mama's hand as they slept.....
"I-its okay...m-mama's here..." She choked as her children cried, holding her hand from the cage as she struggled to breath, barely able to see them as her bruised swollen face from their master's beating. She looked away as said Master, an four armed reptilian xenos, was being beaten by an white armored Giant. The master begging for mercy as the giant kept beating him, each fist covered in purple blood.
"Avez-vous montré sa pitié ?!" ("Did you show her mercy?!")
Bring down both fists onto the master's face, caving it in as blood splattered onto the warriors armor as the master went limp, arms falling to the side as he stopped moving. The giant looked at her, she held her children's hands as she feared the worst. But he didn't raise a hand against her, kneeling down to her as he took off his helmet, she gasped as she saw a face like her people. With the color of blue sky she saw only once in her youth in his eyes, his eyes were warm as she placed his large armored hand out for her to reach. More warriors came in,
"Est-ce qu'elle ira bien ?" (Will she be alright?) He asked one as a small light washed over her from a machine on his arm.
She watched as the warrior nodded to him as the warrior slowly and carefully began to lift her up, she held onto her children's hand tightly as they did. Her children screaming for her, but the warrior smiled at her, a reassuring smile as she let go. She watched as he gripped the cage doors and effortlessly ripped it off, kneeling down to her frighten children as he too extended his hand to them, they were hesitant till her brave child walked forward.
"Are you the warriors our mama told us about?" He didn't speak their language, but he smiled at her and slowly each child accepted his hand. Carefully and slowly picking all five of them up as she carried them in his arms. Some climbing to his shoulders or head as they left.
She looked, the best she could see as more and more bodies of the slain masters laid strewn about. More giant warriors walked by, followed by smaller warriors as she heard small explosions and screams of her masters fill the halls. She saw her fellow slaves, women and their children as they were led out of this place...
Eventually they neared the exit, something she hadn't seen since she was a child, all were nearly blinded by the light as they hadn't seen the sun in so long, but as their eyes adjusted, ready to see the warships of her masters that filled the skies before she was thrown down here. The huge flag that waved way off distance in the capital above the Palace, but she didn't. No. She saw something else, huge warships she's never seen before! Hundreds of them in the sky as she watched one of the masters ship slowly fall from the sky, exploding as it crash landed in the distance.
The warrior looked at her before they were all gestured to look at something he was pointing at. Soon a giant face of a man appeared in yhe sky above, he had long hair that was the same color as the sun with the same colored eyes as the warrior that held her.
"Les gens de ce monde ! Vous ne me comprenez peut-être pas, mais laissez mes actions vous montrer, vous montrer que nous ne sommes pas là pour des conquérants ! Mais en tant que libérateurs !" (People of this world! You may not understand me, but let my actions show you, show you that we are not here to conquerors! But as your liberators!) He spoke as the flag that once reminded them all who their master's were fell,
"Tu es libre!" (You are free!) He exclaimed, holding the Symbol the Emperor of the master's, it was nothing but pieces as it fell from his hand.
"M-mama! The warriors! There the warriors you told us about!" Her daughter exclaimed happily as the people around them began to weep, falling to their knees. She too crying as the warriors around them began to cheer as well.
the surviving xenos of the World known as Rylk were being rounded up, brought to their knees as their Emperor was dead. Slain by the Primarch Jaune arc. The 11th Legion had freed another world from the darkness, their sacred duty as the defenders of the weak will never cease.
Been listening to this was inspired
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latinotiktok · 1 year
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Propaganda;
Crowley (Good omens)
-crowley de good omens. porque sí, me da vibras. es un demonio que anda por todo el mundo y me van a decir que es Inglés??? chupenla, él merece elegir de dónde es y eligió ser latino porque le gusta el caos
-Crowley good omens, es Bodoquecoded
-Otra nominación para el Crowley. Mi crowliganda (Crowley propaganda) es que en Latinoamérica le dirían algo así como el Arrastrao y es demasiado perfecto para dejarlo pasar. Tiene vibras de que llegó a Chile en algún momento y se quedó por los vinos. Me dijo una amiga que se adjudicaría el Casillero del Diablo como su mayor logro y me dio mucha risa.
-Crowley y Aziraphale de Good Omens. La segunda temporada salio en fiestas patrias peruanas. A Crowley podría ir al Parque Kennedy en la capital y causar un choque de 6 personas al pegar 1 moneda al suelo. Aziraphale tomaria emoliente y comeria rico. Como la comida es bien variada tendria varios restaurantes diferentes en donde pediria su plato de siempre.
-Crowley, good omens (él es el diablo/tuetue/lo que sea que tu abuelo fué a machetear al monte)
Crowley claramente es chileno, cualquier latine estaría de acuerdo que tiene esas chilean vibes ¿Que cosas exactamente? No sé, no tengo pruebas pero tampoco dudas, que otro chilean crowlet advocate explique mejor
Hobie Brown
-Hobie Brown pq yo lo sé en mi corazón, su doblaje es simple prueba de q es latino (y mi papá pensó q era puerto riqueño cuando vimos la peli 💀)
Hobie Brown porque NO PODEMOS DEJAR QUE LOS INGLESES SE LO QUEDEN POR FAVOR ES DEMASIADO BUENO PARA ELLOS Y es punk, es buena onda
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icariebzh · 4 months
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"J'ai du savon qui lave Les péchés capitaux Un stylo-bille qui grave Le goût d'un apéro Un soutien-gorge à piles Qui n' s'allume qu'aux beaux yeux Un dentifrice habile À blanchir les aveux Un buvard facétieux Qui sèche les chagrins Un œil pour lire à deux Quand le jour s'est éteint Un violon capital Voilé de Chambertin A faire sonner le mal Plus fort que le tocsin Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Ou bien chez des voyous Habillés de chagrin Qui vont par les chemins Chercher leur bonne amie La Poésie
J'ai des bas pour boiteuse À faire boiter l'ennui Et des parfums de gueuse À remplir tout Paris Des pendules à marquer Le temps d'un beau silence Des lassos à lacer Les garces de la chance Des machines à souffler Le vert de l'espérance Et des vignes à chanter Les messes de la démence Des oiseaux-transistors Qui chantent sur la neige Garantis plaqués-or Plaqués par le solfège
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Qui s' prend pour un hibou À regarder la nuit Habillée de souris Comme sa bonne amie La Poésie
J'ai du cirage blond Quand les blés vont blêmir De la glace à façon Pour glacer les soupirs Des lèvres pour baiser Les aubes dévêtues Quand le givre est passé Avec ses doigts pointus J'ai tant d'azur dans l'âme Qu'on n'y voit que du bleu Quand le rouge m'enflamme C'est moi qui suis le feu J'ai la blancheur du cygne À blanchir tout Saint-Cyr Et sur un de mes signes On meurt pour le plaisir
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Des fois qu'elle serait là Elle te recevrait même pas Elle n'est là pour personne Elle n'aime pas qu'on la sonne C'est pas une domestique Elle sait bouffer des briques Mais quand elle veut, elle crie La Poésie !"
Léo Ferré
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reverieact · 2 months
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* VACACIONES: Serene silence sings of peace, while chaos spins its tangled web...
LOCACIÓN: Berna, Suiza. FECHA: 5 de 25 de agosto de 2024. ¿tienes alguna duda? VISITA EL CALENDARIO (ON ROL).
Después de varios laboriosos días en Cayo Castaway y una travesía memorable a bordo de un crucero Disney por el Mediterráneo, llega la hora de regresar a Berna. Las residencias están tal como las dejaste, con los mismos salones que han sido testigos de incontables horas de clases. Aunque probablemente te sientas exhausto por las exigencias físicas y mentales de cada misión, Berna permanece inalterada, un refugio familiar tras las dos semanas de aventura.
Pero, ¿estás listo para continuar con la rutina? ¿No te gustaría un descanso? Entre esos entornos que ahora rozan lo acogedor, se les informa que a partir de ahora tendrán tres semanas de vacaciones. ¡Un respiro bien merecido! ¡Felicidades! No sabes si está dentro del cronograma o es un regalo por el desempeño mostrado el último mes. Como sea, queda claro cuando los profesores se despiden de sus estudiantes al día siguiente de llegar a Suiza. Durante los próximos veintiún días, podrán hacer lo que deseen; si quieren dejar la ciudad en ese tiempo, deberán informar su día de partida y fecha de retorno. De lo contrario, tendrán las residencias de la academia a disposición hasta que retomen las clases nuevamente, el lunes 26 de agosto.
Así se te despliegan tres semanas como un lienzo en blanco, lleno de posibilidades y expectativas que sólo podía proveerte el receso de la, a veces, angustiante rutina. Por un lado, la brisa fresca de Berna, cargada con el aroma de los pinos y flores silvestres, te invita al descanso. Por el otro, la posibilidad de tomar un avión o tren hasta casa ya no se siente como un anhelo imposible de concretar. ¿Cómo gestionarás tú ese tiempo?
Desafortunadamente, el tiempo vuela, y en un abrir y cerrar de ojos los días se han escurrido entre tus dedos cual arena escurridiza. Te queda poco tiempo antes de volver a las clases y las misiones de siempre, cuando aparece un flyer adherido a la cartelera principal de la residencia. Nadie sabe quién lo ha puesto, o a quién le pertenece la nota que le acompaña donde se les invita a dar un paseo, pero el motivo es obvio: el Berna ArtiFest es un festival de música y arte que se llevará a cabo en las afueras de la ciudad, y tendrán pase libre aquellos que forman parte de la Academia. ¿Quién sabe? ¿Será un pequeño regalo de los profesores? Según la publicidad, este festival que durará tres días promete ser un oasis de creatividad y entretenimiento en medio del paisaje natural de Berna. El escenario perfecto para despedirse de esas pequeñas vacaciones.
—¿Qué harás tú? ¿Le echarás un vistazo?
—No sé, yo creo que quiero pasar los últimos días durmiendo…
—¡No seas así! ¿Sabes cuántas personas les gustaría ir a ese festival? Es uno de los más famosos de Europa.
Los cuchicheos son inmediatos. ¡Todos hacen sus planes! ¿Te quedarás atrás? Sólo recuerda no levantarte muy tarde; si no logras estar listo a tiempo, no podrás tomar una de las vans que se alinearán a las afueras de las residencias para llevarte hasta ese paraíso musical…
¡Bienvenidos a los últimos días de sus vacaciones en el ArtiFest!
Este es un vibrante y efervescente festival de música y arte que se celebra a mediados de agosto en la capital suiza. La atmósfera está cargada de entusiasmo y la promesa de descubrimientos únicos a los que podrás acceder sin problemas ni costos de por medio. Algunos de los artistas que podrás presenciar son Sabrina Carpenter, Bad Bunny, Harry Styles, Lesserafim, Chappell Roan, Hozier, entre otros.
Las locaciones donde podrán coincidir son las siguientes:
Main Stage (Escenario Principal): El corazón pulsante del festival, donde se presentan las bandas y artistas más destacados. Con un imponente escenario y un sistema de sonido de última generación, las luces de colores danzan al ritmo de las melodías, creando una atmósfera mágica.
Art Pavilion (Pabellón de Arte): Una gigantesca carpa que alberga una asombrosa colección de obras de artistas locales e internacionales. Pinturas, esculturas y arte digital se exhiben en un caleidoscopio de creatividad.
Chill-Out Zone (Zona de Relajación): Un oasis de tranquilidad en medio del bullicio del festival. Equipado con cojines, hamacas, música ambiental suave y luces tenues que crean un ambiente ideal para descansar.
Food Court (Patio de Comidas): Un paraíso culinario con una variada selección de food trucks que ofrecen delicias gastronómicas de todo el mundo. Desde sushi fresco hasta tacos picantes, pasando por gourmet vegano y dulces artesanales, hay algo para cada paladar.
Workshop Tents (Carpas de Talleres): Carpas dedicadas a una amplia gama de talleres interactivos. Aquí, los asistentes pueden sumergirse en actividades creativas como pintura, escultura, danza y más.
Electronic Grove (Bosque Electrónico): Un área al aire libre que se convierte en un mundo de ensueño por la noche. Con música electrónica vibrante, luces decorativas y efectos visuales impresionantes, este espacio invita a bailar bajo las estrellas hasta altas horas de la madrugada.
Silent Disco (Discoteca Silenciosa): Una pista de baile única donde los asistentes usan auriculares para escuchar música. Tres DJs transmiten simultáneamente diferentes estilos de música, y los bailarines pueden cambiar de canal a voluntad. Desde fuera, parece una multitud de personas bailando en silencio, pero dentro de los auriculares, la fiesta está en pleno apogeo.
Film Screening Area (Área de Proyección de Películas): Un espacio al aire libre con una gran pantalla donde se proyectan cortometrajes y documentales sobre arte y música. Las cómodas sillas y el ambiente relajado invitan a los espectadores a disfrutar de una noche de cine bajo las estrellas.
Craft Market (Mercado de Artesanías): Un mercado vibrante donde se venden artesanías, joyas y arte hecho a mano. Los visitantes pueden pasear entre los puestos, admirar las habilidades de los artesanos y llevarse a casa un pedazo único del festival.
TIPO DE STARTERS: Starters abiertos. CÓDIGO DE VESTIMENTA: Elección libre. DURACIÓN DE LA ACTIVIDAD: 10 días, finalización 15 de agosto.
Durante esta actividad tendrán la posibilidad de abrir dos (2) starters privados, para hacerlo deben tener al menos seis threads activos. Estos son los únicos temas que podrán ubicar en cualquier momento de las tres semanas de vacaciones. Además, podrán rolear dos (2) flashback de quererlo.
¡Les invitamos a compartir Las vestimentas de sus personajes y todas las ediciones que deseen! Además, recuerden mantener sus asks con los anónimos desactivados, para evitar situaciones desagradables.
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raisongardee · 2 months
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"Y a des petits juifs bien sympathiques, et des Français des vaches finies, des lots écœurants. C’est pas du tout une question de race. C’est une question de classe. Tout le monde sait ça […] Les juifs responsables de la guerre ? Voilà encore une autre salade ! Une invention du Capital pour disculper les vrais coupables, les hommes de la cinquième colonne. Les vrais coupables c’est Hitler et puis Wendel, peut-être Dreyfus (et encore pour lui c’est à voir), d’accord et d’accord tous les trois (les gros ne se mangent pas), avec Churchill et Franco pour étrangler le prolétariat, lui reprendre ses conquêtes de 36, sa dignité par les week-ends, sa Simca et son bois de rose […] Tout le reste c’est que de la manigance, des embrouillaminis de fausses vaches, de mecs payés par les dudules et par conséquent par les riches pour déconfire, noyer le poisson, pour endormir le damné de la Terre."
Louis-Ferdinand Céline, Les beaux draps, 1941.
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thebusylilbee · 2 months
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En 2022, le milliardaire ultra-conservateur Pierre-Édouard Stérin avait confié vouloir consacrer l’intégralité de sa fortune au « redressement de la France et à la promotion du Christ ».
On sait aujourd’hui qu’il a aussi « un plan » « pour servir et sauver la France » et « permettre la victoire idéologique, électorale et politique ». Non pas celle du Christ, mais celle « d’un ensemble de valeurs clés – liberté, enracinement et identité, anthropologie chrétienne… », contre « les maux principaux de notre pays – socialisme, wokisme, islamisme, immigration ». Et, pour commencer, aussi la victoire du Rassemblement national (RN) aux élections municipales de 2026.
Selon un document confidentiel, rédigé en 2023 par l’équipe de Pierre-Édouard Stérin et révélé dans son intégralité par L’Humanité, ce plan baptisé « Périclès » prévoit « de déployer environ 150 millions d’euros sur les dix prochaines années via le financement ou la création de projets ».
Joint par Mediapart, François Durvye, le bras droit de Pierre-Édouard Stérin, a confirmé l’authenticité du document et l’existence de cette « réflexion ». Directeur général d’Otium Capital, le fonds d’investissement du milliardaire, François Durvye est apparu publiquement lors de la soirée électorale du Rassemblement national, dans le carré VIP, le 9 juin, et ne cache pas donner des « conseils » à Jordan Bardella et Marine Le Pen sur les sujets économiques.
Le projet « Périclès » fait logiquement la part belle aux ambitions du RN. « Présentation du projet et objectifs : permettre au Rassemblement national (RN) de transformer ses derniers succès électoraux en victoire aux municipales 2026. [...] Équiper l’état-major du RN d’un plan structuré sur trois ans avec des objectifs précis », résume sans détour le document.
« Une réserve d’hommes »
Le milliardaire ultra-conservateur, exilé fiscal en Belgique, qui avait postulé en mai à la reprise de l’hebdomadaire Marianne avec le soutien d’Arnaud Montebourg, a finalement retiré son offre, le 18 juillet, après un vote défavorable de la rédaction. En juin, le magazine Challenges a révélé qu’il a pris part au rachat d’une propriété de la famille Le Pen à Rueil-Malmaison, avec François Durvye, le principal acheteur de ce bien, en novembre 2023.
« Périclès », qui doit se comprendre comme l’acronyme de « patriotes, enracinés, résistants, identitaires, chrétiens, libéraux, européens, souverainistes », promet de « construire une relation de confiance avec tous les leaders de la droite de demain pour les faire travailler ensemble en cas de victoire électorale » et aussi de « fournir une réserve d’hommes de pouvoir prêts à servir à tous les postes clés (cabinets, structures parapubliques, haute administration) ».
Une « cartographie » intitulée « Construire une présence proche des dirigeants de demain » dresse une liste des personnalités de droite, allant des plus proches aux plus éloignées.
« Personnalités définies comme prioritaires. Relation de confiance et influence réelle : Jordan Bardella et Marine Le Pen (RN) », note le document, qui relègue Éric Ciotti, Laurent Wauquiez, David Lisnard, François-Xavier Bellamy (LR) et Marion Maréchal (Reconquête) en « relations actives » auprès desquelles le réseau Stérin n’a « pas de réelle influence ».
S’agissant des municipales de 2026, le document fait état d’un « conseil opérationnel municipales » et d’un « projet validé par la direction et l’état-major du RN aux Estivales 2023 » – traditionnelle réunion de rentrée du parti qui s’était tenue en septembre 2023. Il signale aussi la « constitution d’une équipe par département pour valider les villes et identifier les candidats, dirigés par le DG du RN », et enfin un « objectif de 300 villes à gagner absolument par le RN en 2026 ».
Contacté par Mediapart, le parti n’a pas répondu. « Il est possible qu’il y ait eu des discussions entre les gens de Périclès et le RN sur comment on pourrait systématiser une approche électorale pour transformer l’essai des législatives de 2022 dans les municipales de 2026, admet François Durvye auprès de Mediapart. Mais qu’il y ait un projet lancé, ce n’est pas le cas. »
« Le projet a été évoqué par mes équipes à la direction du RN. Mais il n’y a pas eu de suite de leur part, a exposé Pierre-Édouard Stérin dans une réponse écrite à Mediapart. Quoiqu’il en soit, Périclès ne travaillera pas exclusivement avec ce parti, ni avec aucun autre. La démarche n’a de sens que si elle s’adresse à toutes les nuances de la droite. » Le milliardaire souligne « les contacts » déjà « engagés avec des personnalités de la droite macroniste au RN, en passant par LR, et autres ». Et incluant « notamment des personnalités d’Horizon et Agir ».
Selon François Durvye, Pierre-Édouard Stérin, qui fait fortune dans les Smartbox, aurait eu, s'agissant du RN, une approche de « marché ». Vu le nombre d’élu·es du RN en 2022, il aurait ainsi pronostiqué ce nombre élevé de mairies susceptibles de basculer au RN en 2026. « C’est une logique industrielle qu’il transpose à la philanthropie et à la politique », commente-t-il. Mais le bras droit souligne aussi que sa définition de la droite ne se limite pas au RN. « Il n’a pas d’objectif partisan »,soutient François Durvye.
« Projets organiques »
[...] Les projets de Pierre-Édouard Stérin et de son « conseil opérationnel » pourraient se heurter aux dispositions très strictes de la loi sur le financement des partis politiques qui interdisent tout financement d’activités politiques par des personnes morales. « Nous avons bien cette donnée en tête et nous serons vigilants pour être dans la conformité la plus totale avec la loi », a réagi Pierre-Édouard Stérin auprès de Mediapart.
« On ne fait que ce que l’on a le droit de faire, certifie François Durvye. Est-ce qu’il y a un financement quelconque d’un parti politique ? la réponse est non. »
« Qu’en faisant la cartographie des hommes politiques auxquels on a accès, dans l’environnement de Pierre-Édouard, on considère que quelqu’un a une relation de confiance avec Marine Le Pen et Jordan Bardella, ce n’est pas un scoop, relativise François Durvye. Moi, je confirme avoir individuellement une relation de confiance avec eux. »
« Ça n’est pas une relation de confiance entre ma personne et les dirigeants du RN mais de certaines personnes engagées dans le projet, a corrigé le milliardaire. Certains veulent faire de moi un rouage essentiel dans le fonctionnement de ce parti ce qui est absolument faux. »
Dans une tentative de déminage, Le Journal du dimanche a fait, simultanément à L’Humanité, l’exégèse du projet « Périclès », qualifié de « projet pour influencer la métapolitique française ». « Le projet est de remporter 300 villes pour la droite et le RN », prétend le journal, alors que seul le RN est mentionné dans le document s'agissant des municipales.
École de futurs maires
Le journal mentionne plusieurs projets déjà engagés. L’animation d’une « guérilla juridique », à travers « un collectif d’avocats » afin « d’organiser et professionnaliser le contentieux stratégique en utilisant les leviers juridiques, judiciaires médiatiques contre l’islamisme, l’immigration, l’attaque à la liberté d’expression, la théorie du genre ». Le document évoque l’objectif de lancement de « plus de 20 procédures par an afin de faire changer la peur de camp, faire appliquer la loi et se défendre des attaques adverses, faire évoluer la loi ».
Ce collectif baptisé Justitia a déjà vu le jour, en 2023, en collaboration avec l’Institut Thomas More, relève Le JDD.
D’autres « projets organiques » sont listés. La création d’un « think tank Victoire politique » visant à devenir « le premier think tank de droite en France afin de réunir les principaux experts thématiques des sujets régaliens, d’influencer la sphère politique, médiatique, intellectuelle ».
La création d’une « école des futurs maires » et d’élus : « Une école de formation des futurs dirigeants politiques partageant nos valeurs en proposant aux futurs candidats (municipales, législatives) une palette d’outils stratégiques et opérationnels (communication, playbook, campagne électorale, analyse de données, financement, besoins en ressources humaines). Objectif : former et faire gagner en 2026 environ 1 000 maires de petites et moyennes communes. »
Au niveau financier, le plan prévoit « un essaimage écosystème » progressif : « + 50 projets (2023), + 70 projets (2024), + 100 projets par an à partir de 2025 ».Et espère constituer une « réserve avec plus de 1 000 hommes de pouvoir ».
En 2023, le budget était chiffré à 8 millions d’euros. « Au total, 3,5 millions d’euros ont déjà été engagés sur plus de 40 projets. Chaque priorité essentielle a été adressée : wokisme (35 % du montant total alloué), immigration (30 %), socialisme (12 %), culture et morale chrétienne (10 %), islamisme (8 %), autres (5 %). » La suite est déjà prévue : «  7-10 millions (2024), 12-15 millions (2025), 25 millions (2027). »
« Budget cumulé jusqu’en 2032 : 150 millions environ » conclut le document.
Karl Laske
Si vous avez des informations sur les extrêmes droites à nous communiquer, vous pouvez nous contacter à l’adresse [email protected].
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rollinginthedeep-swan · 9 months
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Pourquoi rendre les RPGs plus sûr est capital
Et je vais témoigner de ma propre expérience, Tw : Validisme, comportements abusifs et foutage de gueule complet.
Je crois pas avoir déjà songé à VRAIMENT faire un poste complet pour expliquer ça, mais en traînant un peu sur la toile après 4 ans d'absence, force est de constater que j'en ai, des choses à dire. Ironiquement, le temps est passé depuis mes débuts et j'ai pris une bonne claque à mon retour. J'ai réalisé un truc auquel je m'étais pas trop préparée.
Je fais partie d'une génération d'RPGistes d'AVANT. (?? Sérieux ?) Dans cet entre-deux où on se foutait un peu de tout et où c'était yolo, mais où on déplorait déjà le 'bon vieux RPG'. J'en aurais des choses à dire, bonnes ou mauvaises. J'en ai, des mauvais souvenirs, des moments qui m'ont fait trembler en voyant simplement le header d'un forum sur lequel j'étais incapable de revenir et qui aujourd'hui encore, me font carrément grimacer. D'après mon titre, vous vous doutez que je veux en venir à un élément super important : Les RPGs qui ne sont pas sûrs pour chacun-e-s. j'ai donc connu cet entre-deux, où le RPG avait déjà un peu changé mais pas trop. À l'époque, on reprochait surtout au forum une tendance à se complexifier, tant au niveau du contenu que de l'apparence. Y a bien entendu des trucs qui me manquent, mais c'est totalement normal d'avoir de la nostalgie et personne n'a à reprocher ça à quique ce soit. (Du moment que c'est pas des trucs crasseux et mauvais)
En revanche, je vais vous dire cash ce que je regrette pas, ce qui m'a dégoûtée au point de me tirer quatre ans en pensant ne jamais revenir. (J'ai pas arrêté d'RP, j'ai arrêté de relationner avec le monde du RPG.) J'ai arrêté par dégoût d'une ingratitude crasse de certaines personnes qui m'ont prise pour acquise. J'ai beaucoup grapher, pour pas mal de personnes, et certain-e-s d'entre elle-eux ont su tirer sur la corde, faire pression, me repprocher de ne pas être pile à temps pour un délai, d'écrire 'plus avec truc qu'avec elle-eux', de pas avoir vu telle ou telle truc alors que j'étais pas admin, mais graphiste. Je regrette pas les blagues sur mes étourderies orthographiques très nombreuses à ce moment-là et les vannes validistes, je regrette pas les coups bas, les séances de bitching en coulisse quand on pensait que j'allais rien voir. Tout ça, je le regrette pas.
Ici, mon objectif n'est pas de poser un pugilat et de taper sur une personne en particulier, parce que je m'en fous complet aujourd'hui. Non, le but de ce poste c'est de vous dire un truc, à vous, la "nouvelle génération" d'RPGiste. C'est pas parfait, mais au moins vous le faite. Vous tentez des trucs. On n'échappera pas aux types d'individus qui ont fait ce que j'ai cité plus haut, on n'échappera pas aux abrutis validistes, aux joueur-ses un peu envahissant-e-s et culotté-e-s ou aux plagieu-ses-rs éhonté-e-s. Mais vous faite de votre mieux, chaque jour, pour rendre une activité géniale aussi sûre que possible, pile comme elle devrait l'être. Je vois des gens faire des publications pour inspirer les créateurices de forum à optimiser leurs forums pour qu'ils soient ok pour chacun-e. Y a des sources, des options intégrées par FA. (Il était temps.) On pense enfin à prévenir les gens lorsqu'un sujet risque d'être dur, on arrête enfin d'en faire des blagues sans prévenir au coin du flood, on laisse les Dys tranquilles et MIEUX, on les aide. De plus en plus de gens pigent que le RPG est un jeu et qu'il faut arrêter de stalker les joueur-ses. C'est pas partout, mais ça se développe. C'est pas toujours parfait et tout le monde n'y trouve pas toujours son compte, mais c'est là. Parce qu'on est juste là pour ça, à l'origine, inventer des univers à plusieurs mains sans devoir galérer, se justifier où subir du Gaslighting de la part d'un Staff démissionnaire lorsqu'on pointe un problème du doigt. (Sérieux, arrêtez de faire ça.)
Bref, lâchez rien.
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