#beau ténébreux
Explore tagged Tumblr posts
madou-dilou · 2 months ago
Text
Tumblr media
he wants to matter, he wants you to see the blood he's spilling
61 notes · View notes
czerwonykasztelanic · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
From my sketchbook: a study of une femme révolutionnaire (based on a contemporary illustration, thus titled) and an (unsourced) portrait of the beau ténébreux himself.
87 notes · View notes
ekman · 6 months ago
Text
Tumblr media
Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
41 notes · View notes
laicrivene · 2 months ago
Text
Chambre d'Antan
Tout part d’une reconstitution mentale et minutieuse, qu’elle tente de visualiser le plus précisément possible, là, au beau milieu de la pénombre de la pièce alors que l’obscurité pèse doucement contre elle.
Les yeux grands ouvert sur le noir complet qui avale et dérobe à sa vue les éléments constitutifs de sa chambre qui abrite soigneusement son sommeil, ses rêves ou le tumulte de ses pensées lorsque l’insomnie se loge en elle -comme dans ce cas précis-, une vive mélancolie envahit la jeune femme. Sa pire ennemie l’étreint délicatement et l’emporte sans prêter attention à sa lutte pour s’ancrer dans le présent, l’arrache à la sensation de son corps qui s’enfonce dans le matelas de son lit et de la délicate couverture qui l’enveloppe dans son agréable chaleur pour l’emporter des années en arrière. La contraint à éprouver une impression identique, mais dotée de la douce saveur des nuits de son enfance.
Son éphémère allée dans le passé l’amène à s’imaginer couchée dans sa chambre d’enfance. Sa chambre d’antan.
Il s’élance alors en elle le cheminement de la substitution qui persuade les sens qu’elle rencontre que c’est bel et bien la douce couette arborant les personnages de son dessin animé favori qui repose sur ses épaules. Que sous son oreiller se trouve la dent qu’elle a perdue dans la journée, et qu’elle attend patiemment, avec son regard prisonnier du vide ténébreux, la venue de la petite souris, obstinée à la voir de ses propres yeux. Peut être même qu’elle pourra lui parler !
Elle n’a aucune peine, grâce à l’obscurité, à se convaincre qu’à côté d’elle se trouve sa petite table de chevet rose, surmontée par une petite pile de livres conteneur d’aventures et de belles images, d’envolées directes en direction d’un émerveillement propice à l’insouciance. Elle est certaine que son coffre à jouets se tient non loin de son petit lit, où Julio, son cheval miniature, n’attend que le jour pour qu’elle se saisisse de nouveau de lui et qu’elle le fasse galoper sur le sol dans de grands éclats de rire. Persuadée aussi que c’est le long rideau rouge acheté avec sa maman au magasin qui lui masque la vision de la nuit au dehors et empêche ses conversations avec les étoiles.
Si elle se retourne sur le dos, elle verra sans nul doute les petits dinosaures fluorescents qui parsèment son plafond. Si elle tend mieux l’oreille, elle pourra aussi certainement percevoir les ronflements sourds de ses parents au bout du couloir. Et si elle tend la main, bien sûr qu’elle pourra saisir son lapin en peluche, qui accompagne ses nuits depuis si longtemps…
Mais sa main se referme dans le vide. Alors que ses doigts se replient dans l’air comme dans une tentative désespérée d’attraper un fantôme, sa conscience est de nouveau projetée vers l’infernal présent. Elle emplit son esprit de cette remarque brutale : que ce soit le passé qui nous rattrape ou bien le présent, dans les deux cas c’est toujours très amer.
2 notes · View notes
aurevoirmonty · 6 months ago
Text
Tumblr media
Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien… mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
5 notes · View notes
ladyniniane · 7 months ago
Note
for the original character ask! (you get to chose which OC you'd like to talk about)
2 - 7 - 12 - 20 - 26 - 31 - 37 - 50 - 51 - 60 :)
Original characters asks
Salut, merci pour les questions :)
Je vais choisir Zoé, l'héroïne de mon projet de roman !
2: What is your character’s favorite memory?
Au début de l'histoire, ses souvenirs les plus chers sont ceux liés à son défunt fiancé. Notamment le jour où ils ont décidé de se marier et tout ce qui suit cette période. Les moments simples où ils avaient l'impression que le monde leur appartenait.
Tout cela est bien sûr à double tranchant car la source de sa joie est devenue celle de sa plus grande douleur. Ces souvenirs laissent la place à des cauchemars où tout est distordu.
7: How does your character feel about their name?
Elle aime son prénom. Court, simple, efficace, jolie signification...que demander de plus ?
12: How would/does your character feel about roller coasters?
Elle a participé à des batailles, je pense que ça ne l'effraierait pas trop. Bon, elle n'est pas le genre à rechercher les sensations fortes pour les sensations fortes, mais elle n'aurait pas peur d'essayer.
(Enfin, passé le choc de la découverte si on imagine qu'elle se retrouve transposée d'un coup dans notre monde moderne).
20: What is the most surprising thing about your character?
Ce qui surprend ceux qui la côtoient est le fait qu'elle a l'air posée, mature et conciliante, mais elle est absolument sans pitié et effrayante quand elle s'énerve. Il n'y a plus qu'à s'accrocher. Surtout qu'elle a une personnalité très droite et terre à terre.
Certains s'imaginent en voyant sa blondeur et ses yeux clairs qu'elle est une étrangère. Son apparence reflète en effet les métissages qui peuvent avoir lieu dans une zone frontalière.
Sinon, je veux maintenir un effet de surprise sur son passé pour les lecteurs en dévoilant petit à petit les raisons de son départ (on évite l'info dumping, yeah !).
26: What is your favorite headcanon for your character?
C'est difficile d'en choisir un. J'aime tout : sa famille, son évolution, son adaptabilité, les liens qu'elle noue avec les autres personnes au palais...
31: What social media would your character use?
Vraiment très basique : Facebook et/ou Instagram pour suivre ses proches et communiquer avec eux. Elle aurait peut-être un Tumblr pour partager de belles images. Ce serait le genre à être assez discrète et à ne pas dévoiler sa vie privée. Elle ne serait pas fan de LinkedIn.
37: Do people have justified grudges against your character?
Pour commencer : ses ennemis (et ceux de la famille impériale) qui sont convaincus de leur cause et la voient comme quelqu'un qui se met en travers de leur chemin.
Ensuite, elle se heurte au début à une dame de compagnie plus âgée (Hélène ? Je n'ai pas encore décidé de son prénom). Il s'agit plus d'une incompatibilité de personnalités. Zoé se focalise plus sur leur rivalité mais ignore certains détails qui justifient le comportement d'Hélène.
50: What is your favorite thing about your character?
Le fait que ce soit un personnage adulte dans des situations d'adulte. Ce n'est pas une jeune ingénue en début de vingtaine qui rentre à l'école de magie (ou je ne sais quelle institution comme la romantasy en a le secret) et va avoir le coeur qui bat pour le beau ténébreux.
Elle découvre un nouvel environnement, mais elle le fait en tant que personne qui connaît le monde et a de la bouteille. C'est une femme qui a connu l'amour et la douleur de la perte.
Comme je disais aussi dans un autre questionnaire, j'aime la dualité des rôles qu'elle joue, à la fois guerrière et dame du palais. Beaucoup trop de discours sur Tumblr et internet vise à catégoriser les personnages féminins en : "femme douce et féminine traditionnelle" VS "Guerrière".
Ce qui est absolument réducteur vu que les vraies personnes rentrent rarement dans des cases. Ensuite, pour certains le fait qu'un personnage féminin sache se battre est une insulte envers les femmes qui ne le font pas...Ce qui est encore une fois très agaçant puisque cela sous-entend que seules les femmes qui se conforment aux normes arbitraires de la féminité sont dignes d'intérêt.
51: What is your character’s favorite animal?
Les chats et les chevaux ! J'en dis un peu plus sur son rapport aux animaux ici.
60: If you could title your character’s life, what would you title it?
C'est plus ou moins le titre du roman : "Zoé, dame du palais". Ou alors tout simplement "Impératrice Zoé" :D.
2 notes · View notes
ernestinee · 2 years ago
Text
Alors comment dire.
On est un peu sur l'exact opposé au livre précédent. Alors ouiii j'ai choisi un truc léger pour un peu me changer les idées après "Le bal des folles" qui m'a complètement retournée.
Là c'est vraiment très très léger. Trop léger. Pas bien écrit, ou c'est la traduction qui est mauvaise, j'aime bien trouver des excuses aux auteur.rices.
Bref on est sur Hadès et Persephone, parce que j'ai subitement envie de mythologie grecque. J'ai acheté Le chant d'Achille, j'en ai lu beaucoup de bien ici-même. Je vais relire des écrits d'Homère après si ma phase grecque n'est pas passée. Mais là je voulais de la légèreté et je suis trop trop TROP servie comme je le disais juste au dessus. Comment expliquer. Bon très facilement parce que c'est pas compliqué à comprendre.
On est dans du stéréotype +++. L'autrice s'est demandé comment être originale et elle a décidé après un brainstorming incroyablement bref : "Alooors on va mettre un beau mâle, ténébreux, à la réputation d'être de peu de vertu, et surtout très intelligent et sûr de lui, et face à lui, on va mettre...... (Suspens).... Une godiche. Voilà on n'a jamais vu ça nulle part, c'est l'idée du siècle, bravo"
On souffle.
Du coup pour booster la complexité des personnages, l'autrice a décidé que :
- l'homme a la réputation d'être mauvais, méprisant (quand même, il parie des âmes et il gagne toujours et il les envoie en enfer) MAIS en vrai il est plutôt sympa.
- la fille n'est pas totalement conne, elle est aux études, elle fait son stage en journalisme MAIS elle est tellement sous le charme d'Hadès qu'elle perd ses moyens. TOUT LE TEMPS. De plus, elle est très peu sûre d'elle parce que c'est la déesse du printemps et elle n'est pas foutue de faire pousser une fleur.
Enfin, l'autrice s'est demandé comment intégrer des dieux et déesses dans le monde moderne, et contre toute attente (non), ils prennent forme humaine voilà c'est tout. Ils ont des jobs et tout ça mais en un clin d'oeil ils peuvent sur simple pensée retrouver leur apparence divine, c'est à dire avec des cornes ou des bois selon qui ils sont.
Voilà voilà. Pour ajouter un peu de stéréotypes parce qu'il n'y en n'avait pas encore assez, on a une meilleure amie sans gêne et entremetteuse, et une mère hyperprotectrice.
On a du mansplaining à toutes les pages, que ce soit le collègue sexy (oui, il est là aussi le collègue sexy, il s'appelle Adonis et il est superbe - mais faux cul, ça on le saura plus tard, c'est juste que je le sens venir pcq comment dire.... IL Y A ZERO SUSPENS) ou que ce soit avec Hadès.
Alors au début elle le déteste pcq BIEN SÛR LES HISTOIRES D'AMOUR COMMENCENT PAR UNE DISPUTE C'EST BIEN CONNU. Et puis elle fond quand elle le voit, quand elle entend sa voix suave et sombre (mais confortable - private joke) elle bégaie, elle glousse mais mademoiselle un peu de tenue un peu de mystère un peu de caractère c'est quoi ça. J'AI ENVIE DE LA SECOUER BORDEL.
Et puis après de nouveau elle le déteste et elle veut écrire un article sur lui (dans le "New Athens News" ...... *Soupir*) et puis ma main à couper qu'elle va l'aimer de nouveau dans +- 2 pages et demi.
Un autre truc qui me casse les couilles quand je lis c'est l'impression que le travail d'écriture est transparent. L'autrice a mis dans un chapeau tous les noms de la mythologie et les caractères de chacun et puis pour les personnages secondaires, elle a pioché dans le chapeau et on rencontre par moments bidule qui est espiègle, machin qui est sage, etc etc et le tout sur fond d'histoire déjà existante vu que sans surprise, Persephone va finir par épouser Hadès comme dans la mythologie.
J'ai la même sensation que devant une série un peu niaise. Ça a ses avantages : ça vide le cerveau et on peut faire une petite sieste de 20/30 minutes et on n'a rien perdu. C'était un peu le but quand j'ai choisi de la romance mais je ne croyais pas que ce serait à ce point.
Truc cool, c'est assez soft pour l'instant, ça correspondrait bien à des ados qui cherchent de la romance un chouïa dark (avec le contexte de l'enfer etc) mais sans tomber vraiment dans la dark romance (qui est beaucoup plus glauque et vachement moins destinée aux ados)
Autre truc cool, le côté fiction est sympa pour retenir qui sont les personnages de la mythologie grecque (qui est une histoire sublime - quoiqu'une rawette trop consanguine, Hadès c'est qd même l'oncle de Persephone), leurs caractères, et quels sont les liens entre eux. Du coup ça passe parfois mieux que du purement documentaire pour qui a envie de s'initier à la mythologie grecque (mais il faudra supporter cette histoire d'amour)
Bon, l'autrice a la constance d'avoir écrit plusieurs tomes, ça se vend, ça a un public mais je suis convaincue que je ne lirai pas les autres tomes voilà voilà.
16 notes · View notes
dooareyastudy · 2 years ago
Text
March 2023
Tumblr media
Un beau ténébreux, Julien Gracq, 1945 | How come each Gracq’s book I read becomes my favorite? Well, Le roi pêcheur is still my absolute favorite but this one comes right after. The atmosphere, the tension, everthing is addicting. The writing, so elegant and striking. I really love Julien Gracq you guys.
Philosophie du droit, Jacques Ellul, 2022 | This is a lecture from the 70s given by Ellul to PhD students in Bordeaux. Kinda sad to see that PhD students from that same university are now mainly offered lectures on entrepreneurship and how not to be too depressed during their thesis! About the book itself, just like a lecture, some bits are really interesting and others less. Not too dense, overall a good introduction to law philosophy I think!
Pensées, Blaise Pascal, 1669 | I read this in order to read another book about jansenism and the figure of God in Pascal’s, Racine’s and Kant’s work. I’ll admit I skipped the parts about theology but the first half of the book is really worth reading. Not gonna lie, I wouldn’t have enjoy reading this if not for Goldmann’s book that brings a really interesting light on Pascal’s philosophy!
Le Dieu caché, Lucien Goldmann, 1955 | This book is an analysis of Pascal’s Pensées (and Racine’s tragedies but this is a very short part of the book unfortunately). I really like how it uses concepts and methods from Hegel and Marx to give a really deep and interesting insight on Pascal’s philosophy. The main concept of the book is the concept of “vision du monde” (world view). The author tries to demonstrate that Pascal’s philosophy (and Racine’s tragedies) embodies a tragic world view. The author shows that Pascal’s philosophy is one of paradoxes that cannot be solve in the world, but only in christian heaven. Thus, a never ending suffering for the one that cannot not live in the world where everything is relative and full of contradictions yet aspires to something absolute that can embrace and overtake the contradictions.
Liberté grande, Julien Gracq, 1946 | I was a bit disappointed but not too surprising as I am not usually a fan of prose poetry! Well, I had to have a least favorite Gracq’s piece!
Buddenbrooks, Thomas Mann, 1901 | Second book by Mann that I read and he is slowly but surely becoming an author that I really enjoy. This one is the portrayal of an old and wealthy family declining in a generation or so. The writing is clever, witty, often funny, often touching. Reading it was a ride! It had been a while since I appreciated a book so much for its characters.
La forme d’une ville, Julien Gracq, 1985 | An essay about the French city of Nantes and its role in shaping what is a city for the author. Very poetic essay (very Gracq), as the title suggests : as Baudelaire wrote, “la forme d'une ville change plus vite, hélas ! que le cœur d'un mortel”. It isn’t a description of Nantes as it is (was) but rather an exploration of the city as it exists in Gracq’s memory and mind.
18 notes · View notes
madou-dilou · 11 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
66 notes · View notes
les-portes-du-sud · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Quel plus beau contraste que ce blanc immaculé de son plumage sous un ciel ténébreux ou sur une pièce d’eau éteinte ? 
13 notes · View notes
lalel02 · 2 years ago
Text
Extrait One shot FFXVI Clive x Gab : Plus que des coéquipiers
Tumblr media
Clive tapotait du pied nerveusement sur le plancher de son bureau , il n'arrivait décidement pas à se concentrer sur son travail mais il ne savait pas pourquoi ce dernier était à ce point distrait donc qui l'empêchait de se concentrer à ce point . Son amie d'enfance entre dans la pièce avec un grand sourire , lui apportant quelques rafraîchissement le beau brun ténébreux lui adresse un sourire reconnaissant . La femme semble remarquer le mal-être de son ami et frère d'adoption .
-Tu sais Clive ce n'est pas en torturant le parquet que ça va avancer les papiers , mais tu peux bien avoir un autre moyens pour te changer les esprits  * dit -t-elle avec une pointe de malice dans la voix * Du genre je ne sais pas avoir un peu plus d'intéraction avec tes proches * ajoute la femme venant caresser la main de l'homme *
Clive tressaillit de surprise et retire vivement sa main , Cid n'était pas un homme stupide loin de là il avait bien entendu et comprit le sous entendu de la grise . Même si pendant un temps l'homme ressentait une attirance évidente pour cette dernière , ces derniers temps il ne pourrait pas en tire autant . Le jolie sourire de Jill s'efface suite à la réaction du brun et compris que ce n'était pas encore aujourd'hui qu'il allait se passer quelque chose . Enfin si quelque chose allait ENFIN se passer entre les deux .
-Je crois que je vais te laisser tranquille , on se voit plus tard pour l'heure du repas peut-être ? * demande Jill*
-Sans doute , même si je pense que je vais demander à ce qu'on fasse monter mon repas . Je ne pense pas que je serais d'agréable compagnie aujourd'hui * répond l'aîné des Rosfield*
L'émissaire de Shiva leva les yeux , ces derniers temps le brun n'est pas d'humeur à grand chose .Et cette dernière avait bien peur que ça devienne une mauvaise habitude du brun , quant à ce dernier il voyait bien qu'il avait d'avantage décue son amie . Il soupire en songeant qu'il devait sans doute faire un effort c'est vrai qu'à force les autres risques de s'inquiéter de son état . Peut-être qu'il devrait faire une apparition rapide , histoire d'éviter que sa " famille " s'inquiéte maintenant qu'il y pense il n'a pas beaucoup vu Joshua non plus . Lui qui s'était mit un point d'honneur à le protéger , c'est le comble .
-Non , je crois que je vais vous rejoindre en bas ce soir . Je pense que ça me fera tout de même un peu de bien de sortir de mon bureau * déclare le brun revenant sur sa décision *
Un beau sourire s'étend sur les lèvres de Jill , au moins une victoire dans sa poche . Elle se contente de répondre un d'accord puis elle sort du bureau du brun comme annoncé un peu plus tôt.
La suite sur Wattpad:https://www.wattpad.com/1363612874-one-shot-ffxvi-clive-x-gab-plus-que-des
4 notes · View notes
mysadecstasy · 11 days ago
Text
Fragments VII
Arbres échevelés en noir et blanc Nus Nus comme toi et ta peau pointillée par le froid Pointes roses comme un Everest Crues sous la soie déboutonnée Entre deux prouesses le sang perle à mes yeux écarquillés Parmi les tombes mon amertume s'égare Chante sous les marronniers Et ton corps plane dans le ciel irradié Mon désir fou profane le luxe de ta légèreté Laissée en offrande à tous les égarés *** Bleu Indicible grâce Cruelle de détachement Envolée à la clarté des frôlements cosmiques Sous un soleil croqué Ténébreux secrets hurlés dans les campagnes C'est ton corps qui brûle Qui incendie les balbutiements fragiles Les étreintes interdites Abeilles de l'univers Ton corps qui brûle sous les orbes sacrés de la sagesse des perdants *** Fleurs coupées Entre tes mains terreuses Séchées sur la table en fer de la terrasse Sous un soleil blanc comme la neige Petites boîtes de carton coloriées Faites de tes mains habiles Volutes et pointillés Pour ranger des petits cailloux Les fleurs dans ton carnet Avec tes grands secrets Tes aventures et tes marbrures Tes vagues à l'âme et tes extases Transfuge sous la lune Tout ira à l'amour *** Pointe en mon cœur  Éclats en mon âme Brûlante et vivace enserrant la vie comme une liane vorace Le Grand Voyage poursuit son chemin Mon corps incandescent descendant le Nil Brille en une nuit sans lune Tout est lent Et doux et suave Du miel coulant dans les bouches excitées Tout est lent les criquets susurrent  Quelques étoiles crépitent calmes et sans odeur Fleuve d'huile pourtant si impétueux après les pluies Source de vie source de mort juge et salut Catharsis je me purifie dans la Passion  *** Vibrants appels venus des profondeurs De l'antre de toute beauté Assoiffé je bois le nectar interdit Au-delà c'est la Bête Irréparable Aliénée et hurlante Comme ton corps de nymphe Prisme de la quadrature La plage est sans fin L'horizon aussi Il faut saisir l'instant La fulgurance éclatée J'attends dans les entrelacs du doute Une main caressante à mon cou *** Sur ton dos coule une larme d'eau salée Je la vois disparaître et tes épaules... Soleil rasant Pathétique comme un suicidé se jette à la mer Grandiose et entravé à son destin Comme toi Enchaînée à l'amour sans savoir pourquoi Entre les ballots de paille Étreinte animale La nuit chuchote la chanson de l'autre rive Croque le fruit sacré et embrasse l'Éternel *** Les cornes du dernier jour hurlent leur complainte Tournées vers l'horizon d'où les braves naissent La nuit tisse sa toile Demain n'existe pas Je sens les battements de ton coeur Ton coeur assoiffé Demain n'existe pas Il n'y a que des promesses prophétiques *** Nuit noire consommée de lunes endormies Sous les phares ta silhouette glisse sur les rideaux ténébreux Décor implacable Enrôlé dans le dernier instant ton sourire fend la mécanique impérissable Jeté ton corps à nu Salie ta bouche crémeuse Oubliés les regards de sang et d'eau tiède L'horreur est muette face au massacre Ton corps est beau dans l'exaction des vices Raccourci Immuable tendreté de ta chair Des falaises pleuvent les désirs inassouvis Les manquements les errances Les maladresses et les trop tard Et tes yeux hurlant l'innocence ont la saveur d'une pêche juteuse L'âpre douceur du dernier jour
0 notes
aforcedelire · 2 months ago
Text
Un crush, des dramas et un bal pour Noël, Lise Syven
Tumblr media
Pour sauver leur voyage de classe en Cornouailles, Ada et ses camarades doivent organiser un bal de Noël au lycée. Ada, qui adore cette fête, est aux anges… encore plus quand elle apprend que le beau Yanis (sur qui elle a un énorme crush) fera aussi partie du comité !
C’était troooop trop bien ! Je m’attendais pas à autant aimer parce que je me disais que ça allait être giga cliché mais c’était giga bien ! C’était très français et très actuel, mais très bien fait : d’habitude ça se sent que c’est forcé ou que c’est un auteur vieux qui essaye de parler aux djeuns, mais là c’était fluide et crédible ! J’ai beaucoup aimé qu’il y ait des références de nos générations et que ce soit bien fait.
J’ai beaucoup aimé l’exubérante Ada (quand on voit le super personnage qu’est sa mère on comprend d’où ça vient) et le mystérieux et ténébreux Yanis, leur duo marchait super bien. Et tous les personnages secondaires étaient super chouettes, même l’ex relou était cool. D’ailleurs à un moment donné j’ai vraiment cru que l’autrice construisait 300 pages sur le mauvais love interest, et vraiment j’ai trouvé ça super ingénieux !
J’ai vraiment passé un excellent moment et je relirais ce roman avec plaisir un prochain hiver !
08/12/2024 - 11/12/2024
1 note · View note
christophe76460 · 4 months ago
Text
Tumblr media
HALLOWEEN EST UNE FÊTE SATANIQUE !
Le leader de « Tercer Cielo » parle d’Halloween.
Juan Carlos témoigne d’une expérience vécue, la veille d’Halloween, expérience que lui a montrée que cette fête est satanique et dangereuse pour les enfants.
Le chanteur révèle qu’il y a 4 ans, la veille de cette fête, il s’était rendu sur la montagne de South Mountain au sud de Phoenix, afin de trouver un lieu de filmage pour un clip. Très vite pourtant, il a aperçu un groupe de personnes en posture de prière.
« C’était très tôt le matin, j’ai remarqué quelque chose de curieux, un groupe de jeunes vêtus de noir qui priaient à même le sol. Ils bougeaient d’une étrange façon et pointaient la ville. Franchement, au début je croyais qu’il s’agissait d’un shooting photo ou un truc du genre, puisque cet endroit est très visité. Mais alors j’ai spirituellement senti quelque chose de mauvais, , je me suis rendu compte qu’ils ne s’agissaient pas de chrétiens mais de sataniques. J’avais déjà vu des groupes religieux de diverses origines, mais eux, étaient très différents, totalement ténébreux .
Après cela, lorsqu’il a raconté ce qu’il a vu aux habitants de Phoenix, ils lui ont appris que ces groupes cherchent des hauts lieux de ce type, surtout les veilles de fêtes païennes, afin de prier leurs dieux pour la chute des pasteurs et l’effondrement de l’Eglise en général. Ils détestent particulièrement l’Evangile, et tout ce que l’Evangile représente. Il y a quelques années, ils y pratiquaient des rituels de toutes sortes y compris le sacrifice d'animaux, mais les nouvelles lois les empêchent de le faire publiquement.
La fête d’Halloween est très spéciale pour les groupes satanistes américains. Le niveau des ténèbres est très élevé à ce moment, ils le camouffle en faisant croire qu’il s’agit d’un évènement festif et beau, jusqu’à ce qu'à entrer dans les coutumes de l’église. Ils ont réussi à inclure ce culte à Satan dans la culture, la musique et tout ce qui peut paraître acceptable, alors qu’il s’agit de choses diaboliques.
Durant toute ma carrière, Satan a voulu que je plonge également dans ces compromis des choses de ce siècles, dans un monde rempli de sorcellerie, de santeria etc, mais nous, nous sommes appelés à apporter la Parole, où que nous nous trouvions.
Lorsque ma fille avait 3 ans, je me suis laissé emporter par la pression culturelle et je l’ai emmenée chercher des bonbons dans le voisinage lors de Halloween. Mais très vite, Evelyn et moi, nous nous sentis mal et nous avons promis de ne plus faire de compromis avec les choses du monde.
Quotidiennement, nous les chrétiens, devons faire face à ces pressions et ôter de nos vies tout ce qui nous damne. J’ai un grand respect pour l’Evangile et je connais très bien le monde spirituel, ce qui se cache derrière, et les buts de Satan, j’ai décidé de m’en préserver.
Halloween est une fête satanique, c’est un des jours où il se produit une grande opération spirituelle et de recherche sataniste. Ne vous laissez pas tromper et restez vigilants. »
Le chanteur a affirmé qu’il s’agissait de son opinion et pas d’une doctrine, il ne veut critiquer personne.
Source: Chrétiens2000
0 notes
exutoiredepenser · 5 months ago
Text
J'voulais que tout soit clair Avant que le couvercle ne se referme Une dernière fois, déranger l'oligarchie les ministères Cracher la vérité amère, de la part de la classe ouvrière Passer mes nerfs à travers quelques vers
Changer les choses c'était le but, c'est ce que j'ai cru Je suis venu j'ai vu, j'ai fais ce que j'ai pu Je te le jure, j'ai été jusqu'à parler de moi Moi qui d'ordinaire préfère me taire Muet comme un voyou devant l'commissaire
J'ai essayé d'être juste, peu importe s'ils me croient J'ai essuyé des insultes, et mes yeux quelques fois Quelqu'en soit le prix à payer, je paierai Je préfère 1000 fois crever debout que vivre à genoux, c'est vrai
J'ai dû ravaler ma fierté, tenté par des vieux démons En faisant semblant de sourire pour ressembler à tout le monde J'ai même mis de coté la honte Pris sur moi souvent afin de mettre des mots sur mes dégoûts, mes tourments
Mis à poil en parlant de moi un peu, il fallait qu'ils le sachent Eux qui se cachent derrière le masque, mon côté face ténébreux Un côté sage qui semble n'être une mascarade fragile Parce que, comme Anakin, j'ai la colère facile Je suis pire que ce qu'ils imaginent, parfois la violence me fascine Bipolaire, mon profil, mon passé rend mon présent d'argile J'espérais faire de la musique, un moyen de nous libérer Que ma lutte soit autre chose qu'une défaite anticipée Anti-injustice, j'ai essayé de résister J'ai eu beau semer de la paix, je n'ai récolté que des procès Donner tout ce que j'pouvais:, de la sueur, du sang et des larmes J'y ai laissé des années, des amis isolés, désarmés Pour finalement quoi, la richesse, la gloire, non, même pas Parfois chez moi c'est difficile, les 30 derniers jours du mois J'ai tout fait pour ne pas déclarer forfait Le faible a cette facilité, à critiquer ce que le fort fait Échouer ou réussir, mais au moins tenter sa chance Moi je dis que plus le combat est grand, plus la victoire est immense
Je prends des risques, mais qui le fera si j'me défile Je me sens vivre que si utile à mes semblables, je le suis Je me fiche bien qu'ils en rient, je m'écris, je résiste Même sans profit sans bénéfice, je serai un bénévole lyriciste Moi, pour que je cède, faudrait qu'je trépasse Plante-moi dans le dos, si tu trouves encore de la place sous une bâche Où sont mes chances, d'être suivi c'est certain Tant qu'il y aura moins de bon sens et de courage que de crétins Et de lâches
Et puisque rien ne nous attend, à part le cimetière J'écris chacune de mes rimes comme la dernière Et s'ils pensent que j'frappe sans raison L'histoire m'en donnera elle À bien observer leur vision Être libre, c'est choisir soi même ses chaines
Qu'un seul tienne, et les autres le suivront Qu'un seul tienne, et les autres le tueront On m'a dit l'union fait la force, mais qui fera l'union Dans ce pays où les moutons se comptent par millions Où la morale et la raison ont déserté les lieux Où les riches sont plus riches, et les pauvres plus nombreux Je n'peux rien prendre, je vous laisse tout T'inquiètes, un jour, la roulette russe tourne
Qu'ils se rassurent, je n'ai pas fini de me battre Je n'étais pas rappeur, mais un révolté qui fait du rap J'ai tenté d'être brave, j'espère ne pas m'être pas trop perdu des fois Désolé si j'déçois, mais parfois, j'ai du faire des choix Mauvais ou bons, ça, no comment Indifférent, je sais bien trop de choses pour l'être Y en avait un avant moi, y en avait un avant lui Après moi, qui viendra, après moi, ce n'est pas fini Enfin j'espère, car vu le QI de ces pseudos leaders J'ai des envies de Columbine toutes les demi-heures Dis-leur que l'abandon et moi font deux Si le futur est flou, c'est parce qu'on est au pied du mur Bien sûr, je ne souris pas, je grogne, ne me caresse pas, je mords Si les autres sont réveillés, c'est que je dors C'est peut-être le dernière fois qu'on m'entends Autant être franc Je n'suis pas de ceux qui suivent, je préfère prendre les devants
Gardez vos distances, je garderai mon calme Baisse d'un ton, et je baisserai mon arme Je crois que tout est dit, ou presque Je laisse le silence faire le reste
P.S., parmi les pauvres, enterrez-moi sans roses En espérant qu'il pleuve, qu'on pleure au moins pour quelque chose
Comme toujours, les plus faibles servent de proies Rien ne m'étonne Résignés, les autres ferment les yeux, sont borgnes Pourquoi pour rêver, faut-il attendre que l'on dorme Les portes closes, j'avance avec une clé de sol
Toujours les plus faibles servent de proies Rien ne m'étonne Résignés, les autres ferment les yeux, sont borgnes Pourquoi pour rêver, faut-il attendre que l'on dorme Les portes closes, j'avance avec une clé de sol.
1 note · View note
marshymindness · 10 months ago
Text
23.4.24 - bed - 3:02 - paex - 2A - tue - full moon
a whirlwind of cigarettes (dream)
while trying to leave francesca's I made it to her courtyard, and there a door inviting me into Rosie's kitchen. various internationals, french & germans, intoxicating cigarette smoke & le vin coule à flots.
l�� je retrouve mathis. son sourire de gargouille une clope sur la lèvre qui pendouille, et je lui souris et je le pourchasses
on me demande de la musique on me demande des photos on me demande de tenir la porte, je cours et je cours autour d'une table sans nourriture.
at some point Kayla gets in.
she urges me to leave, the parisians neither fully awake nor asleep Bertille Maxime Florian Nicolas Nina Luis Colette Hector... 《 Non Michael, reste encore une chanson ! joue encore un peu plus longtemps ! 》 ; someone took my phone out my case I can't find that small paper of naomie's from June 24th, the one from the sequoias from yosemite park.
I can't leave I'm searching desperately, under chairs and boots and sticky floors, no one is helping they fiddle and grab, kayla now joined of mom & Lisa keep saying we have to go...
mais Mathis est tout seul je ne veux pas le laisser, mais où est Greta, il ne fait que rire, 《 vas-y Michael, va-t-en, je t'en fait l'ordre, suis-je pas ton Napoléon ? 》
j'admets la défaite. Francesca descend, elle m'aide à chercher mais c'est trop peu trop tard. on feuillote un autre de mes carnets, je déchire d'une page un dessin de Lucía ou Amber, elle fera l'affaire à côté du coeur rouge de mon téléphone mais Naomie je t'ai perdu.
Kayla me pousse à partir mais on me réclame des BeReals, même elle danc ces moments se fige et s'absente, Mathis fait défilé les shots de whiskey.
《 et alors mon coco, ça ne partage pas ? 》
il sourit il ricane son rire raciste de la pleine lune. il sait qu'il m'a eu, que je suis sa proie. un ange doré du soleil devenu prince ténébreux et je lui en remercie alors qu'il ne m'a toujours rien donné.
maman n'ose pas rentrer dans la pièce, on empeste la fumée, mais pas celle des cigares qu'elle aime bien.
j'aperçois Greta furtivement derrière un frigo ouvert. Mathis me tend la porte puis repart à table boire un coup, j'ai faim je suis affamé ces européens oublient toujours de manger, avec mes gants de voleur j'oses prendre deux fromages mais il m'a vu.
j'ai beau être un renard je reste toujours le seul noir, et surtout ce soir, habillé pour la nuit. j'ai tout appris de ces démons citadins, pour survivre l'hiver j'ai une armure de minuit : la veste en cuir ruinée de Kayla ; la chemise ralph lauren tant aimée de Naomie ; des jeans californiens inspirés de Sydney ; mes bottes italiennes légèrement fâchés.
je refais le tour de la table et je reposes mes fromages. je rejoins Mathis qui éclabousse les alcools et enfin je sort le papershoot, il est miniscule mais son sac à ma hanche m'est une épine et un poids rempli d'amour dont je ne suis pas digne.
là, sans rien voir sans y réfléchir, enfin je documente ce qui me prends, j'imagine qu'au lendemain l'on verra que des photos flous de verres d'alcools gaspillés, et nos deux saoul rires de gamins, enfin les hommes tristes et forts peuvent sourire.
on rejoue le jeu, il part rejoindre sa femme, il me tend l'odeur du salé, mais en volant du fromage je ne me sens pas digne d'être français je les reposes sur la table.
mes sœurs en ont marre et me supplient de sortir, j'y vais extradié en otage confus, je cherchais mes cigarettes 《 laisser moi encore une clope ! 》 Les européens en réjouissent ils clâment ils célèbrent 《 oui! une dernière! par pitié laisser nous encore une dernière, promis c'est juré dans dix minutes c'est tout rangé 》
Francesca me fait signe que je suis dans la démesure et je sors avec kayla et lisa. elles me comprennent mais elles m'aiment. je peine à enfiler mon manteau je peine à prendre mes affaires, me voilà dans la rue ma mère me semble si vielle si fragile si refermée si triste et fâchée, mais moi je me dis adulte et je cherches encore mes cigarettes.
si seulement j'avais la preuve de mes arbres.
Tumblr media
1 note · View note