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Fêtes maritimes Bret 2024 - C'est dans un mois ...
Here we go !
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(via Coussin avec l'œuvre « "Voyage Fantastique au Crépuscule" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.

Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.

De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.

Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.



Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.

Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.


Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.

Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.

Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).

Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.


Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une première que de baiser aux côtés de son petit frère. Mais après quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur. Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frères " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitôt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ça été le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De même lors d'une sortie sur le lac Powell. Dès notre arrivée et les bagages déposés à l'hôtel, nous avons loués des petits bateaux à moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont très déchiquetés et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des à-pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand même plus excitant que la piscine chlorée.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxième peau. Le nylon lâche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une première que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la même chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprécie le fait que je sois le mec qui les ai amené à se lâcher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une première fois les bloquer aussitôt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montés même s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand même très efficace !! Les gémissements que je n'arrive pas à retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là, mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
Aussitôt je pense à mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa Moitié et aussi à Alban plus tous les autres qui peuvent y être sans que je le sache d'où je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vêtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'à ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon téléphone déjà 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent à moitié. Ils ont déjà contacté tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque à l'appel Alban et Ric et Kev qui étaient au Bataclan pour écouter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dès qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la même situation. Malgré toutes ses connaissances, il n'arrive pas à savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais à l'hôpital où Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon où il est en déplacement. Ça le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son côté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hôtesses et stewards très gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence ! A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les dernières nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la Salpêtrière. L'entrée est encore très encombrée mais grâce à Henri nous passons rapidement les contrôles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre à coté retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la dernière fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégâts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à côté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'était pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plâtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plâtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la première fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros câlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'était jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri règle le problème de l'entrée. La salle est loin d'être aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont à nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre américain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empêcher de parler des évènements. Henri nous remercie encore d'être venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frère pour moi quand à Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance éternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais après c'est leur propre alchimie qui l'avait poussé à l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
Réveil, douche, comme d'habitude il n'y a rien à manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientèle !!
Retour à la Salpêtrière. Sans que le calme soit revenu, la partie où mes amis sont soignés n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dévouement avec lequel les équipes ont traité cet évènement.
Nos deux blessés vont bien même si pour Kev cela tient aussi au traitement analgésique. L'infirmière en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientôt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicité de mes amis, nous arrivons même à soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodigué par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle à gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bâtiment ne fait que 2 étages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir acheté pour être tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepôt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
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Georges Dufrenoy (1870 - 1943)
"Bateaux à voiles"
Aquarelle sur papier 33 x 50 cm
Collection privée
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— Les Magies - La Brise
héritée du peuple de l'air qui furent autrefois harpies, la Brise est cette magie qui puise sa force dans le vent, les tempêtes et les plus puissants orages.
Capacités innées propres à cette magie et possédées par toustes ses pratiquant.es :
Une démarche incroyablement silencieuse et légère, comme s’ils flottaient qui permet de se déplacer sur des surfaces fragiles sans les briser.
Une sensibilité naturelle aux sons et vibrations transportés par l’air, leur permettant d’entendre des murmures ou des mouvements à une distance accrue.
Une capacité à sauter légèrement plus haut et plus loin que la normale, comme s’ils étaient portés par une brise invisible.
Caractéristiques physiques possibles (1 obligatoire, 2 maximum.):
Des marques en forme de plumes ou de griffures sur leur dos, comme si des ailes avaient été arrachées.
Des iris très clairs (argentés, bleu glacier ou gris), qui semblent capturer le ciel.
Un timbre naturellement mélodieux ou éthéré, presque comme un souffle. La voie des Courants:
Capacités innées :
Augmentation légère de la vitesse de déplacement.
Peut ressentir les changements dans le vent pour détecter des ennemis ou des dangers proches.
Capacités acquises (deux au choix) :
Création de courants ascendants pour effectuer des sauts impressionnants.
Manipulation du vent pour rediriger des projectiles ou des attaques magiques.
Augmentation temporaire de la vitesse pour attaquer rapidement ou fuir.
Création de lames d'air qui provoquent une hémorragie
Capacité à déplacer des bateaux en soufflant dans les voiles
Capacité ultime (une au choix) :
L’Éclair du Vent : Une série d’attaques rapides et meurtrières, comme une rafale de lames invisibles.
La Danse des Courants: Le mage devient presque intangible en se mouvant dans un tourbillon rapide.
La voie des Orages :
Capacités innées :
Résistance aux effets paralysants et électriques.
Peut créer des étincelles électriques pour allumer des objets ou effrayer des ennemis.
Capacités acquises (deux au choix) :
Lancement de projectiles électriques infligeant des dégâts et paralysant temporairement.
Création d’un champ électrique autour de soi qui repousse les ennemis proches.
Recharge des artefacts magiques grâce à l’électricité.
Capacité à invoquer une créature électrique qui combat pour le lanceur.
Capacité ultime (une au choix) :
La Colère du Tonnerre : Invoque une série de frappes de foudre dans une zone ciblée.
L’Avatar de l’Orage : Fusionne avec l’électricité pour devenir une entité électrifiée surpuissante.
La voie du Zéphyr :
Capacités innées :
Le mage peut faire circuler l’air autour de lui à volonté, le contrôlant avec une précision subtile pouvant déséquilibrer légèrement ses ennemis.
Le mage ressent les changements subtils dans l’air, comme une pression révélant des dangers imminents.
Capacités acquises (deux au choix) :
Le mage peut s’élever dans les airs en utilisant les courants aériens autour de lui, se déplaçant rapidement à une faible altitude ou flottant gracieusement.
Permet au mage de communiquer par la pensée à travers le vent, envoyant des messages instantanés sur de longues distances.
Manipulation du vent pour se déplacer rapidement, éviter les attaques ou même créer une illusion d’apesanteur en rendant ses déplacements imprévisibles et inaccessibles.
Création de tranchants d’air condensé, capables de trancher ou de repousser violemment à distance.
Capacité ultime (une au choix) :
Le Torrent du Zéphyr : Le mage invoque un vent déchaîné qui engloutit une zone, projetant tout sur son passage, et créant des rafales impossibles à éviter, allant jusqu’à briser des structures fragiles.
L'Avatar du Vent : Le mage se transforme en une entité éthérée faite d’air pur, devenant insaisissable et se déplaçant à une vitesse incroyable. Ses attaques sont des bourrasques qui font trembler le sol et éclipser la lumière, causant chaos et confusion parmi ses ennemis.
#baldur's gate 3#forum rpg#forumactif#forumrpg#french rpg#projet forum#rpg french#rpg#rpg francophone#the witcher
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2024 – Liste Culturelle
JANVIER
LIVRES
L'art et la psychanalyse de Freud à Lacan par Anita Izcovich
Rêves de paysage par Claudine Bertrand
Flipette & Vénère de Lucrèce Andreae
Lettres à une jeune Poétesse. Correspondance avec Anita Forrer (1920 – 1926) de Rainer Maria Rilke
Le joueur d'échecs de Stefan Zweig
Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke
Aurore, Ulysse … Les Centaures N°1 La porte du néant par Seron
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Diane Wellington d'Arnaud des Pallières
Rythmasspoetry de Jeremy Deller et Cecilia Bengolea
Les Yeux carrés de Louison Assié et Laure Massiet du Biest
What happened, Miss Simone ? de Liz Garbus
Patinoire de Gilles Carle
10 minutes de vie d'Herz Frank
Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'Anneau de Peter Jackson
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Bedtime Stories : Bateaux de Harun Farocki
What Men Want d'Adam Shankman
Bedtime Stories : Ponts de Harun Farocki
Le Passage du col de Marie Bottois
Ballerina de Lee Chung-hyeon
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Mon beau-père et moi de Jay Roach
They Do Not Exist de Mustafa Abu Ali
FEVRIER
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La Magie de la Nature. Se relier au pouvoir des éléments, de la Lune et des plantes par Lindsay Squire
Éditeurs de notre temps. Entretiens réalisés par Nicolas Querci
Mafalda 1 de Quino
Je suis un poltron de Johann Guyot
Mama Elefante es genial de Gabriela Keselman et illustré par Claudia Bielinsky
FILMS
Angle mort de Lotfi Achour
All Inclusive de Corina Schwingruber Ilic
Somme des choses de Mohammadreza Farzad
Indes Galantes de Philippe Béziat
Retour à Séoul de Davy Chou
Afrique 50 de René Vautier
Love, Dad de Diana Cam Van Nguyen
Sans toit ni loi d'Agnès Varda
La Vie sexuelle de mamie de Urska Djukic et Émilie Pigeard
Et les chiens se taisaient de Sarah Maldoror
O saisons, ô châteaux d'Agnès Varda
Plaisir d'amour en Iran d'Agnès Varda
Du côté de la côte d'Agnès Varda
Réponse de femmes d'Agnès Varda
Boy de Yalda Alsah et Ginan Seidl
MARS
LIVRES
Le style dans le cinéma documentaire entretiens recueillis par l'association ADDOC
Réensauvagez-vous ! D'Andreas Weber et Hildegard Kurt
De la tyrannie du cartel de Philippe Comar
FILMS
Un espagnol à Paris, Paco Ibañez de Bernard Bouthier
Hercules de Ron Clements et John Musker
The Silence of The Banana Trees d'Eneos Carka
In Flow of Words d'Eliane Esther Bots
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Behemoth : or the name of God de Lemohang Jeremiah Mosese
L'indomptable feu du printemps de Lemohang Jeremiah Mosese
Mon beau-père et nous de Paul Weitz
Mobiliser de Caroline Monnet
Cinzas e nuvens de Margaux Dauby
REW-FFWD de Denis Villeneuve
Vampire humaniste cherche suicidaire consentant d'Ariane Louis-Seize
Nos plus belles années de Sydney Pollack
Immaculée de Michael Mohan
AVRIL
LIVRES
Azimut T.1 Les aventuriers du temps perdu par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.2 Que la belle meure par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.3 Les anthropotames du Nihil par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Sous les Arbres. L'automne de Monsieur Grumpf de Dav
Jade sauve la forêt fabuleuse d'Alexandre Jardin, Fred Multier et Stéphanie Ronzon
Azimut T.4 Nuées noires, voile blanc par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.5 Derniers frimas de l'hiver par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Le Dialogue de Simon Johannin
Hallow T.1 La dernière nuit d'Halloween de Cazenove et Ood Serrière
500 affiches de Mai 68 par Vasco Gasquet
Ce monde-là. Voyage aux frontières du photojournalisme des éditions Loco / Emi
Mélusine T.1 Sortilèges de Clarke et Gilson
Intranqu'îllités N°5 Eros par auteurs multiples (magazine)
FILMS
Malcolm X de Spike Lee
Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog
La Demoiselle et le Dragon de Juan Carlos Fresnadillo
Un taxi pour Reykjavik de Damien Peyret
La BM du Seigneur de Jean-Charles Hue
Dune de Denis Villeneuve
Fabbricante di lacrime d'Alessandro Genovesi
8 Mile de Curtis Hanson
Lil' Buck Real Swan de Louis Wallecan
LOL (Laughing Out Loud) de Lisa Azuelos
Pretty Woman de Garry Marshall
L'arrestation de C. d'Arthur Jaquier
Mon voisin Abdi de Douwe Djikstra
Five d'Igor Gotesman
Her Job de Nikos Labôt
Le Barrage d'Ali Cherri
La Grande Vadrouille de Gérard Oury
PODCAST
Dingue. Dépendance affective : attachement et réciprocité du journaliste Adrien Zerbini
MAI
LIVRES
Verdad de Lorena Canottiere
Une vie de Simone Veil
La légende de Saigyô traduit du japonais et présenté par René Sieffert
FILMS
Disneyland, mon vieux pays natal d'Arnaud des Pallières
Sound of metal de Darius Marder
Godzilla d'Ishiro Honda
Brisby et le secret de NIMH de Don Bluth
Madame Lulu de Morgane Lincy-Fercot
JUIN
LIVRES
Laura, Lizzie & les Hommes-Gobelins de Christina Rosseti, Clémentine Beauvais et Digiee
Mes merveilles d'Else Lasker-Schüler traduit par Guillaume Deswarte
C'est comme ça qu'on fait un film de Tim Grierson
La conjecture de Karinthy de Michel Viegnes
FILMS
Grâce à Dieu de François Ozon
Average Happiness de Maja Gehrig
Claire, faire corps d'Arnaud Le Hesran
Mars Express de Jérémie Périn
Nathan, juste là d'Elya Serres
Supervision de Primitivi
JUILLET
LIVRES
Auguste Rodin de Rainer Maria Rilke
Un drôle de truc pas drôle de Giula Sagramola
Une certaine tendance du cinéma documentaire par Jean-Louis Comolli
La Mélodie de l'amour et de la mort du cornette Christoph Rilke par Rainer Maria Rilke
FILMS
Sainte Marie du Mont : kilomètre zéro zéro par Claude Goretta et Gilles Perrault
Non de Didier Nion
Backflip de Nikita Diakur
Letter to a pig de Tal Kantor
Kingdom of the Planet of the Apes de Wes Ball
Dune. Part Two de Denis Villeneuve
Pirates des Caraïbes : la légende du Black Pearl par Gore Verbinski
AOUT
LIVRES
160000 enfants. Violences sexuelles et déni social d’Édouard Durand
« On ne peut pas accueillir toute la misère du monde » En finir avec une sentence de mort de Pierre Tevanian et Jean-Charles Stevens
Désobéissance climatique de Sandra Laugier et Albert Ogien
Les écoféminismes d’Élise Thiébaut
FILMS
Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence par Rob Marshall
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar par Jooachim Ronning et Espen Sandberg
Super par James Gunn
Furiosa : A Mad Max Saga par George Miller
Doomsday de Neil Marshall
Shrek par Andrew Adamson et Vicky Jenson
Shrek 2 par Andrew Adamson, Kelly Asbury et Conrad Vernon
Pauvres Créatures de Yorgos Lanthimos
Élémentaire de Peter Sohn
Cowboy Bebop : Knockin' on Heaven's Door de Shin'ichiro Watanabe
Discours de bienvenue de Norman McLaren par Norman McLaren
Promising Young Woman par Emerald Fennell
Saltburn par Emerald Fennell
Zoom cosmique d'Eva Szasz
Memories of Murder par Bong Joon-ho
Venom : Let There Be Carnage par Andy Serkis
NDDJ (Notre-Dame-du-Jambon) par Grace D. Singh et Sita Singh
Aquaman et le Royaume perdu par James Wan
Vice-Versa 2 par Kelsey Mann
X par Ti West
MaXXXine par Ti West
Erin Brockovich, seule contre tous par Steven Soderbergh
SEPTEMBRE
LIVRES
L'âge d'or Volume 1 de Curil Pedrosa et Roxanne Moreil
Le féminisme ou la mort de Françoise d'Eaubonne
FILMS
Deadpool et Wolverine par Shawn Levy
Pearl par Ti West
The Witch par Robert Eggers
The Northman par Robert Eggers
Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque par Irvin Kershner
Sortir de l'amour romantique comme seul modèle de société par la journaliste Salomé Saqué
Star Wars, épisode III : La Revanche des Sith de George Lucas
Harry Potter and the Philosopher's Stone par Chris Colombus
Una volta ancora par Giulia Di Maggio
White power, au cœur de l’extrême droite européenne par Christophe Cotteret
Barbare par Zach Cregger
Jeanne du Barry par Maïwenn
La Terre est habitée !, par Kaj Pindal et Les Drew
The Game par David Fincher
The Crow par Rupert Sanders
Petite Leçon de cinéma : le documentaire par Jean-Stéphane Bron
A Girl Walks Home Alone at Night par Ana Lily Amirpour
Under the Silver Lake par David Robert Mitchell
Strangers par Tony Dean Smith
Blink Twice par Zoë Kravitz
Histoire de mon pays d'enfance par Marine Mabila
L’illusionniste par Alain Cavalier
Outlaw King : Le roi hors-la-loi par David Mackenzie
Under The Lake par Thanasis Trouboukis
God Bless America par Bobcat Goldthwait
King of Thieves par James Marsh
Beetlejuice par Tim Burton
Astartes par Syama Pederson
Lady Bird par Greta Gerwig
The Killer par David Fincher
Finestkind par Brian Helgeland
Wolfs par Jon Watts
Trap par Night Shyamalan
Apartment 7A par Natalie Erika James
SERIE
Godless par Scott Franck
OCTOBRE
LIVRES
Lettres autour d'un jardin par Rainer Maria Rilke
Pour le droit de vote dès la naissance de Clémentine Beauvais
FILMS
Depuis, je vole par Aylin Gökmen
Speak No Evil par Christian Tafdrup
The Wasp par Guillem de Morales d'après une pièce de Morgan Lloyd Malcolm
The Green Knight par David Lowery
Reptile par Grant Singer
Just Mercy par Destin Daniel Cretton
Le Collectionneur par Gary Fleder
Essai de reconstitution des 46 jours qui précédèrent la mort de Françoise Guiniou par Christian Boltanski
Julie and Julia par Nora Ephron
Mindscape par Jorge Dorado
Bloodshot par Dave Wilson
Hellboy : The Crooked Man par Brian Taylor
Fair Play par Chloe Domont
The Highwayman par John Lee Hancock
The Final Girls par Todd Strauss-Schulson
Come to Daddy par Ant Timpson
Spree par Eugene Kotlyarenko
Car Wash de Laïs Decaster
Beetlejuice Beetejuice par Tim Burton
Alien : Romulus par Fede Alvarez
Bad Genius par J.C. Lee
La Famille Addams par Barry Sonnenfeld
Carrie au bal du diable par Brian de Palma
Jennifer's body par Karyn Kusama
I Came By parBabak Anvari
Le Mangeur d'âmes par Alexandre Bustillo et Julien Maury
Addams Family Values par Barry Sonnenfeld
Une affaire de détails par John Lee Hancock
Scream par Wes Craven
Scream 2 par Wes Craven
Halloween : La Nuit des masques par John Carpenter
Massacre à la tronçonneuse par Tobe Hooper
A Nightmare on Elm Street par Wes Craven
La colline a des yeux par Wes Craven
Evil Dead par Sam Raimi
SERIE
Mercredi par Tim Burton, James Marshall et Gandja Monteiro
NOVEMBRE
LIVRES
Les idendités meurtrières d'Amin Maalouf
La haine du poil par Juliette Mancini, Sara Piazza et Alexia handon-Piazza
In Humus par Lina Sterte
Errance par Raymond Depardon
FILMS
The Irishman par Martin Scorsese
Don't Move par Adam Schinfler et Brian Netto
Vole, vole tristesse par Miryam Charles
I Care a Lot par J Blakeson
Halloween par David Gordon Green
Nocturnal Animals par Tom Ford
The Pale Blue Eyes par Scott Cooper
Zombie de George Andrew Romero
Le Comte de Monte-Cristo par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte
Vendredi 13 par Sean S.Cunningham
La colline a des yeux par Alexandre Aja
La Mécanique de l'ombre par Thomas Kruithof
Ephémères par Yuki Kawamura
In the Shadow of the Moon par Jim Mickle
Assassination Nation par Sam Levinson
The Substance par Coralie Fargeat
Harry Potter et la Chambre des secrets par Chris Colombus
Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban par Alfonso Cuaron
Harry Potter et la Coupe de feu par Mike Newell
Harry Potter et l'Ordre du Phénix par David Yates
Project X par Laura Poitras et Henri Moltke
Harry Potter et le Prince de sang-mêlé par David Yates
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 1 par David Yates
Les cow-boys sont noirs de Serge Moati
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 2 par David Yates
The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Two Towers par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Return of the King par Peter Jackson
La Chapelle du Diable par Evan Spiliotopoulos
The Wonder par Sebastian Lelio
Le Roi Arthur : La légende d'Excalibur par Guy Ritchie
Le Dernier Voyage du Demeter par André Ovredal
Yannick par Quentin Dupieux
The Hunt par Craig Zobel
Elizabeth : L'Âge d'or par Shekhar Kapur
Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés par Rian Johnson
Largo Winch : Le Prix de l'argent par Olivier Masset-Depasse
The Gray Man par Anthony et Joe Russo
DECEMBRE
LIVRES
Werner Bischof par Claude Roy
Elégie de Marienbad par Goethe
Le Doudou méchant par Claude Ponti
Histoires pragoises par Rainer Maria Rilke
FILMS
Le dernier des Mohicans par Michael Mann
Time Cut par Hannah Macpherson
SOS Fantômes : La Menace de Glace par Gil Kenan
Venom : The Last Dance par Kelly Marcel
Marie par D. J. Caruso
Sans identité par Jaume Collet-Serra
Heretic par Scott Beck et Bryan Woods
Reminiscence par Lisa Joy
An American Pickle par Brandon Trost
Renfield par Chris McKay
Carry-On par Jaume Collet-Serra
Céline (En français dans le texte) par Louis Pauwels et Yann Jouannet
Cold Blood Legacy : La Mémoire du sang par Frédéric Petitjean
Loups-garous par François Uzan
Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim par Kenji Kamiyama
Oppenheimer par Christopher Nolan
SERIE
Stranger Things par Matt et Ross Duffer
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Quand la nuit va venir scintillante d'étoiles,
Les ombres n'auront rien de celles du soleil ;
Demain quand les bateaux vont déployer leurs voiles,
On oubliera comment on se meurt de sommeil.
Charly Lellouche
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André Hambourg (1909-1999), Bateaux à voile.
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english:
uncertain dreams in the distance in the palm of my hands my heart absence I have to leave to grow give you my home the busy streets everywhere I go smiles under veils I don’t recognize the sun is setting here these dreams of hope
french:
rêves incertains bateaux au loir dans la paume de mes mains mon cœur l’absence je dois partir grandir t’offrir chez-moi les rues animées partout ou je vais sourires sous les voiles je ne reconnais le soleil d’ici est éteint ces rêves de l’espérance
#poets of the stars#poet nakshi 🌠#original poetry#poetry#original poem#original poetry 🌠#blackout poetry#french#french poetry#the french may be choppy. i'm sorry for this#i'm not too good at french yet </3
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Même quand y'a pas d'eau, je regarde passer les bateaux; ça me calme , toutes voiles dehors
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Lyonel Feininger - Bateaux à voiles, 1929
« Feininger a imaginé un procédé très personnel; il construit son tableau par des triangles débordant les uns sur les autres, qui, par leur transparence, suggèrent des plans successifs, à la manière de ces rideaux légers qu'emploient certains décorateurs de théâtre pour donner l'illusion des lointains. Le thème des régates s'accorde, presque après coup, a cette construction de l'espace. »
E. H. Gombrich - Histoire de l’art
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" Toujours plus loin, vers le soleil couchant, un jour , tu trouveras la rose qui t'attend. Toujours plus loin, au creux des sables blancs, elle dort comme elle dormait, il y a cent mille ans .Toujours plus loin, sous le ciel étouffant, il te faudra courrir jusqu'au bout du vent.
Cherche la rose des sables, tu finiras bien par la trouver , mets la contre ton oreille , elle a tant de choses à raconter. Elle te dira, qu'avant, à la place du sable , il y avait la mer. Elle te dira que les voiles des bateaux et que des grands pavés de reflétaient dans l'eau. Elle te dira que les caravaniers transportaient le trésor qui te ferait rêver. On a changé ce monde fantastique. À la place des arbres, il y avait du riz ,et, sur les dunes où chantent les buissons, l'ombrage des avions remplace les oiseaux. Il nous faudra peut-être cent mille ans pour oublier tout ça mais toi , tu as le temps. Cherche la rose des sables, un peu comme on cherche le bonheur mais prends bien garde aux mirages. Elle est, peut-être , dans ton cœur".
Paul Piot.
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Le bateau prêt à repartir : nouvel étai largable, nouvelle gazinière qui s'est décrochée de ses cardans dans les violentes secousses de la traversée après 32 ans de bons et loyaux services, nouveau foc 1 qui donnait des signes de faiblesse et que j'ai toujours connu sur le Romarin depuis 1986 ! Nouvelle bande anti-UV pour le gênois, nouveau système efficace pour éviter que les lattes s'envolent de la grand voile en pleine navigation, réparation du bimini déchiré lors de la tentative de sauvetage en hélicoptère, bandes antidérapantes sur le plancher du bateau, il nous reste à recevoir 8 nouvelles cellules au lithium pour la propulsion. Mais nous ne serons pas au bout de nos peines. De nouvelles difficultés nous attendent : le passage du détroit de Gibraltar avec ses courants, ses vents forts, son trafic intense et les attaques d'orques toujours plus nombreuses entre Cadix et Gibraltar. Certains défenseurs des orques trouvent plus juste de parler d'interactions avec les orques plutôt que d'attaques. Les orques s'attaquent uniquement au safran, partie du gouvernail immergé, des voiliers, jamais aux hommes envers lesquels elles ne montrent aucun comportement agressif. Les attaques sont presque quotidiennes aux mois de mai et juin au large du cap Trafalgar, Elles semblent liées au passage des thons rouges qui remontent dans le détroit à cette période. Une autre hypothèse consiste à dire qu'une orque blessée par un bateau enseignerait à ses jeunes d'attaquer les safrans par vengeance. Ou encore, les voiliers apparaissent comme des concurrents dans la chasse au thon dont le nombre a beaucoup baissé avec la surpêche. Les orques sont des animaux intelligents et protégés qui communiquent entre eux. On en dénombre à peu près une soixantaine dans le détroit. Les équipages des voiliers qui ont subi ces interactions en sont quittes pour une bonne frayeur. Certains voiliers ont dû faire appel aux secouristes n'étant plus manoeuvrant. D'autres ont eu des voies d'eau importantes et ont coulé. Nous avons rencontré Sébastien Destremeau, skipper du Vendée Globe et deuxième à la Route du Rhum dans la catégorie Rhum Mono en 2018, en escale forcée à Puerto America à Cadix qui a eu son safran détruit, voici le récit de son interaction avec les orques : Alors qu'il convoyait un bateau et naviguait au large du cap Trafalgar, une dizaine d'orques se sont attaquées à son safran. « on les a vu arriver d'assez loin, j'ai cru que le vent se levait et on a compris que, cette fois, c'était pour nous. » Selon son récit, 20 orques ont nagé vers son bateau. Le groupe s'est ensuite scindé en deux et au moins 8 animaux ont commencé à viser le navire et notamment son safran. Comme le recommande la procédure en cas d'attaque du GTOA protocole, Sébastien met alors à l'arrêt le voilier et affale les voiles. Après cette expérience, je ne suis pas du tout convaincu qu'arrêter le navire soit la bonne stratégie, confie t'il à posteriori. Alors que le bateau de 15 tonnes est arrêté, les orques continuent à le viser jusqu'à endommager le safran. «Une heure sous les coups de boutoir, c'était très impressionnant et on avait très peur. C'est terrifiant de sentir un bateau de 15 tonnes se faire secouer comme une coquille de noix. On en menait pas large à bord. J'avais vraiment peur que le bateau coule. A bord de ces bateaux, il n'y a pas de cloison étanche, comme sur un bateau du Vendée Globe» Le navigateur raconte qu'il a finalement remis le moteur au bout de 20 minutes, avançant et reculant en fonction des orques pour les empêcher d'approcher le gouvernail. «Comme les orques n'en démordaient pas, j'ai commencé à faire des ronds très serrés avec la barre à fond et au bout de quelques minutes, ils sont partis.Mais j'ignore si c'est cette manœuvre qui a été utile ou s'ils seraient partis de toute façon. » a détaillé le double participant au Vendée Globe. «Ce qui est sûr, c'est qu'on est sur leur territoire » estimait-il, alors que de plus en plus d'attaques d'orques sont justement rapportées entre Gibraltar et les côtes portugaises et espagnoles. Durant l'incident, les services de secours ont été prévenus et se tenaient prêts à intervenir si la situation empirait. Finalement, les mammifères sont partis au bout d'une heure, laissant l'équipage secoué mais sain et sauf. Le skipper s'est néanmoins retourné un doigt pendant une manœuvre et une escale est prévu à Cadix en Espagne afin de réparer le safran endommagé. Sébastien précise que les orques ne semblent pas agressives envers l'homme et qu'elles tentent de nous transmettre un message, mais lequel ? On rencontre désormais beaucoup d'appréhension chez les marins qui doivent aborder ce parcours. Des stratégies se développent, plus ou moins efficaces : naviguer de jour, près des côtes pas au-delà de 20 m de profondeur, émettre des ondes répulsives à l'aide d'un pinger : inefficace et interdit : les orques sont en voie de disparition et sont protégées. Naviguer en convoi, à plusieurs bateaux pour se secourir mutuellement en cas d'attaques, d'autres envisagent même des mesures plus radicales inavouables, ...
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Morning on the docks
It's morning on the docks of Coron Island. Slim boats are tied together in rows, we pass through several to reach ours, carefully stepping over crates, burning grills full of fresh fishes, paddles, ropes and safety vests. We lift the anchor and jump start the motor. Captain Sparrow leads us out of the port. An majestic eagle dives just near us, and flies away with a large fish in their talons. It's morning and we set sail to see worlds unknown to us.
https://en.wikipedia.org/wiki/Bangka_(boat) https://en.wikipedia.org/wiki/Balangay https://en.wikipedia.org/wiki/Philippine_hawk-eagle
/* Pencil doodle on A6 sketchbook - Porte-mine sur carnet A6 */
C'est le matin sur les quai du port de Coron. De fins bateaux à balanciers sont amarrés à la queue-leu-leu, et nous devons passer par plusieurs afin de rejoindre le notre, enjambant avec précaution caisses, grills fumants remplis de poisson frais, pagaies, cordages et gilets de sauvetage. Nous levons l'ancre et démarrons le moteur. Le capitaine Sparrow nous guide hors du port. Un aigle majestueux plonge à coté de nous, et repart avec un immense poisson entre ses serres. C'est le matin et nous mettons voile vers des mondes à nous inconnus.
https://en.wikipedia.org/wiki/Bangka_(boat) https://fr.wikipedia.org/wiki/Balangay https://fr.wikipedia.org/wiki/Aigle_des_Philippines
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Les plus belles escales de la Loire Atlantique

La côte de la Loire Atlantique, de Pornic à Piriac Sur Mer offre de nombreux paysages et se situe au carrefour de deux plans d'eau importants que sont la Bretagne et la Charente. Découvrons ces escales qui donnent envie de prolonger la découverte de cette côte. La Loire-Atlantique, est une région riche en paysages côtiers et maritimes. Pour y faire escale et découvrir cette côte faite de plages, marais et roches, on compte plusieurs petits ports, de la marina au petit port de pêche. Et il faut bien reconnaître que, trop souvent, nous avons tendance à quitter Noirmoutier, la Vendée ou les îles de Charente, en prenant directement au nord-ouest, vers Belle-Île et la La Baie de Quiberon, ou inversement. Dans cet article, nous vous proposons de partir à la découverte de ces havres de paix : Pornic, Pornichet, Le Croisic, Piriac-sur-Mer et La Turballe.
Pornic, un port authentique entre nature et patrimoine
Le port de plaisance de Pornic est situé dans le pays de Retz. Ce port moderne est bien protégé et équipé, en aval de l’ancien port. Une belle escale avant de descendre vers la Charente. Situé au sud-ouest du département, Pornic est un petit port de charme qui a su conserver toute son authenticité. Entouré par la nature préservée et les falaises escarpées, il offre un cadre idyllique pour une balade en famille ou entre amis. Le vieux port et ses maisons de pêcheurs

Le vieux port de Pornic est le cœur historique de la ville. Ses quais bordés de maisons de pêcheurs aux façades typiques témoignent d'une longue tradition maritime. L'échouage des bateaux sur le sable à marée basse ajoute au charme incomparable de ce lieu. Les plages de Pornic La station balnéaire de Pornic propose également plusieurs plages accessibles depuis le centre-ville. La Plage du Château, la Plage de la Fontaine aux Bretons et la Plage de la Noëveillard sont parmi les plus appréciées.
Pornichet, une destination prisée pour les plaisanciers
Le port de plaisance de Pornichet est situé au nord de l’estuaire de la Loire, en aval de Saint-Nazaire. Le port historique a été prolongé par un port sur ponton, bien protégé et équipé. Voisine de La Baule, Pornichet est une station balnéaire réputée pour son port de plaisance moderne et animé. Ses trois plages de sable fin ainsi que son front de mer aménagé en font un lieu de détente et de loisirs pour tous. Le port de plaisance de Pornichet

Avec ses 1200 places à flot, le port de plaisance de Pornichet est l'un des plus grands de la région. Il accueille chaque année de nombreux plaisanciers venus profiter des côtes atlantiques et participer aux nombreuses manifestations nautiques qui y sont organisées. Les activités nautiques et sportives Pornichet propose également une large gamme d'activités nautiques et sportives : voile, kite-surf, stand-up paddle, kayak de mer, etc. Pour les amateurs de randonnée, les sentiers côtiers offrent de magnifiques panoramas sur les criques et les plages de la ville.
Le Croisic, entre tradition maritime et nature préservée
Le port du Croisic est situé au coeur du marais salants de Guérande, à l’entrée de l’Estuaire de la Loire, avant de remonter vers la Bretagne.

Situé à l'extrémité de la presqu'île guérandaise, Le Croisic est un petit port aux airs d'autrefois. Son patrimoine architectural et ses paysages sauvages en font une destination incontournable pour les amoureux de la mer et de l'histoire. Le port du Croisic

Le port du Croisic est un véritable témoin de l'activité maritime qui a fait la renommée de cette ville. Les bateaux de pêche et de plaisance se côtoient dans une ambiance conviviale et animée, notamment lors des fêtes maritimes qui ponctuent l'année. L'Océarium du Croisic et la Côte Sauvage Pour les passionnés de faune marine, l'Océarium du Croisic propose un voyage extraordinaire à la découverte des fonds sous-marins. Quant à la Côte Sauvage, elle réserve de splendides panoramas sur les falaises et les criques sauvages, accessibles par des sentiers balisés.
Piriac-sur-Mer, un village de caractère au bord de l'eau
Classé "Petite Cité de Caractère", Piriac-sur-Mer est un charmant village breton situé entre Le Croisic et La Turballe. Ses ruelles étroites et fleuries ainsi que son petit port aux maisons colorées en font un lieu enchanteur à découvrir absolument. La vie autour du port de Piriac-sur-Mer

Le port de Piriac-sur-Mer est le point central de la vie locale et touristique. On y trouve de nombreux commerces, cafés et restaurants, ainsi qu'une atmosphère paisible et reposante propice à la flânerie. Les activités à Piriac-sur-Mer Piriac-sur-Mer offre également de nombreuses activités pour les amoureux de la nature et des sports nautiques : randonnées sur le sentier côtier GR34, plongée, kayak, voile, etc.
La Turballe, un port animé entre terre et mer
Le port de la Turballe est un port de plaisance de taille moyenne pouvant être une escale technique, près des marais salants de Guérande.

Dernière escale de notre périple, La Turballe est une station balnéaire dynamique située au cœur de la presqu'île guérandaise. Son port de pêche et de plaisance ainsi que ses longues plages de sable fin en font une destination prisée des vacanciers. Le port de La Turballe

Premier port de pêche de la région, le port de La Turballe est aussi un lieu d'échanges et de convivialité où se mêlent bateaux de pêche, voiliers et yachts. Les quais abritent également de nombreux restaurants et bars pour profiter de l'ambiance maritime. Les plages de La Turballe La Turballe possède deux grandes plages de sable fin : la Plage de Trescalan, orientée vers le sud et protégée des vents dominants, et la Plage des Bretons, plus sauvage et exposée aux vagues de l'océan Atlantique. Ces charmants petits ports de Loire-Atlantique sont autant d'escales incontournables pour découvrir la beauté des côtes atlantiques. Entre nature préservée, patrimoine maritime et activités nautiques, ils offrent une multitude de possibilités pour passer des moments inoubliables en bord de mer. https://youtu.be/BhOuIIvEANo Read the full article
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